Robert De Niro
Nom de naissance | Robert Anthony De Niro |
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Naissance |
Manhattan, ![]() |
Nationalité |
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Profession |
Acteur Producteur Réalisateur |
Films notables |
Le Parrain 2 Il était une fois en Amérique Mission Les Affranchis The Irishman (voir filmographie) |
Robert Anthony De Niro (prononcé en anglais : /ˈɹɑbəɹt də ˈnɪəɹoʊ/[1]) est un acteur, réalisateur et producteur de cinéma américain naturalisé italien, né le à New York dans l'arrondissement de Manhattan.
Il commence sa carrière dans les années 1960 en collaborant avec des réalisateurs de renom, tels Brian De Palma et Martin Scorsese. De Niro compte une riche filmographie incluant de grands succès internationaux, notamment Mean Streets (1973), Le Parrain 2 (1974), Taxi Driver (1976), 1900 (1976), Voyage au bout de l'enfer (1978), Raging Bull (1980), La Valse des pantins (1983), Il était une fois en Amérique (1984), Brazil (1985), Mission (1986), Angel Heart (1987), Les Incorruptibles (1987), Midnight Run (1988), Les Affranchis (1990), L'Éveil (1990), Les Nerfs à vif (1991), La Liste noire (1991), Backdraft (1991), Hollywood Mistress (1992), Il était une fois le Bronx (1993), Blessures secrètes (1993), Frankenstein (1994), Heat (1995), Casino (1995), Sleepers (1996), Le Fan (1996), Simples Secrets (1996), Jackie Brown (1997), Des hommes d'influence (1997), Copland (1997), Ronin (1998), Mafia Blues (1999), The Score (2001), Limetless (2011), Happiness Therapy (2012), Joker (2019) et The Irishman (2019), avec certains films devenus « cultes ».
Depuis le début de sa carrière, il a tourné avec, entre autres, Martin Scorsese, Brian de Palma, Michael Cimino, Francis Ford Coppola, Elia Kazan, John Frankenheimer, Terry Gilliam, Tony Scott, Ron Howard, Quentin Tarantino, Michael Mann, Barry Levinson, Roger Corman, David O. Russell ou encore les italiens Sergio Leone et Bernardo Bertolucci, les britanniques Alan Parker et Kenneth Branagh ainsi que les français Marcel Carné, Agnès Varda et Luc Besson. Prochainement, il tournera avec deux autres réalisateurs prestigieux : James Gray et Ridley Scott.
De Niro remporte de nombreuses récompenses au cours de sa carrière, notamment l'Oscar du meilleur acteur pour son rôle de Jake LaMotta dans un drame biographique, Raging Bull (1981), ainsi que deux Golden Globes. En 2016, Barack Obama lui remet la Médaille présidentielle de la liberté. Depuis 1992, il participe occasionnellement au Saturday Night Live, jouant récemment le procureur Robert Mueller. D'origine italienne par son père, il devient citoyen italien en 2006[2],[3].
BiographieModifier
JeunesseModifier
Né à Greenwich Village, dans l'arrondissement de Manhattan à New York[4], Robert Anthony De Niro est le fils du peintre Robert De Niro et de Virginia Holton Admiral, peintre et poète[5]. Son père est d'origine albanaise italienne venant de la région du Molise, il est de confession catholique, et sa mère est d'origines irlandaise, anglaise, allemande, française et néerlandaise, de religion presbytérienne[6],[7],[8].
Les parents de De Niro, qui se sont rencontrés au cours de peinture de Hans Hofmann, à Provincetown, dans le Massachusetts, divorcent alors qu'il a trois ans. Le jeune garçon est élevé par sa mère dans le quartier de Little Italy, à Manhattan, et à Greenwich Village. Son père vit à proximité et en grandissant Robert passe beaucoup de temps avec lui[9]. Robert De Niro est scolarisé au PS 41, une école primaire publique à Manhattan jusqu'à sa sixth grade[note 1], puis poursuit ses études à la Elisabeth Irwin High School pour sa seventh grade et sa eighth grade[note 2] de la Little Red School House[10]. Il est accepté au High School of Music and Art pour sa ninth grade[note 3], mais n'y reste que peu de temps avant d'être transféré dans un autre collège[11]. Il entre au lycée à la McBurney School[12], puis dans le secteur privé à la Rhodes Preparatory School[13], bien qu'il n'ait jamais été diplômé ni de l'une ni de l'autre[14].
Durant sa jeunesse dans Little Italy, au cours de laquelle il est surnommé « Bobby Milk » du fait de sa pâleur, il traîne avec un groupe de jeunes de rue dont certains sont restés ses amis de toujours[15]. Son avenir prend forme lors de ses débuts sur scène, à dix ans, lorsqu'il joue le lion peureux dans une production scolaire du Magicien d'Oz[4],[16]. Y trouvant une façon de vaincre sa timidité en jouant, De Niro est également fasciné par le cinéma : il abandonne l'école à seize ans pour entamer une carrière d'acteur[15]. Il prend des cours au Stella Adler Conservatory, puis à l'Actors Studio de Lee Strasberg[14].
Ascension fulgurante et consécration (années 1970-1980)Modifier
À 20 ans, il obtient son premier rôle dans The Wedding Party, de Brian De Palma (1963), aux côtés de son amie Jill Clayburgh[17]. Il est découvert par De Palma lors d'un casting ouvert organisé à Greenwich Village avec l'acteur William Finley[18]. De Niro impressionne Brian De Palma en improvisant avec Finley alors qu'il n'a pas 20 ans et ne peut même pas signer lui-même son contrat (la majorité étant à 21 ans)[18]. Tourné en plusieurs fois entre 1963 et 1965[18], le film ne sort en salles qu'en 1969[19].
En 1965, il apparaît dans Trois chambres à Manhattan de Marcel Carné, puis en 1968, dans Greetings à nouveau réalisé par De Palma. Ses rôles suivants restent peu connus du public.
C'est en 1973 qu'il commence à travailler avec Martin Scorsese sur le film Mean Streets. Il enchaîne avec Francis Ford Coppola sur Le Parrain 2, préquelle dans laquelle il prête ses traits au personnage de Vito Corleone, incarné par Marlon Brando dans le premier opus, Le Parrain. Pour sa performance, le jeune acteur remporte l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. En 1976, il partage la vedette avec Gérard Depardieu dans la longue saga de Bernardo Bertolucci : 1900.
Par la suite, il entame une fructueuse collaboration avec Scorsese, dont découlent plusieurs classiques hollywoodiens : c'est d'abord Taxi Driver, qui, en 1976, l'intronise comme une révélation majeure, et qui lui donne une notoriété mondiale. Il enchaîne en 1977 avec le musical New York, New York, puis le drame sportif Raging Bull en 1980, qui lui vaut l'Oscar du meilleur acteur. Et, en 1983, La Valse des pantins l'amène sur le terrain de la comédie noire.
Après ces cinq longs-métrages, l'acteur s'émancipe de Scorsese pour tourner quelques chefs-d'œuvre : en 1984, Sergio Leone le dirige dans l'ambitieuse fresque historique Il était une fois en Amérique ; en 1985, il fait partie de la distribution principale de l'expérimental et acclamé Brazil, de Terry Gilliam, où il prête ses traits à Archibald « Harry » Tuttle ; en 1987, il retrouve Brian De Palma pour le polar Les Incorruptibles, aux côtés de Kevin Costner et Andy Garcia, où il incarne Al Capone.
Il forme également des couples de cinéma fameux : en donnant la réplique à Meryl Streep pour la romance Falling in Love, d'Ulu Grosbard, en 1984 ; puis dans le registre de la buddy comedy pour Charles Grodin dans le culte Midnight Run, de Martin Brest, en 1988.
Il collabore aussi avec des cinéastes européens : Roland Joffé pour le drame britannique Mission, en 1986, avec Jeremy Irons ; Alan Parker pour le thriller Angel Heart : Aux portes de l'enfer en 1987 ; David Jones pour le drame Jacknife, en 1989 ; et l'Irlandais Neil Jordan l'amène à la comédie pure avec Nous ne sommes pas des anges, qui constitue un rare échec pour cette décennie, âge d'or de sa carrière.
Cette même année, il co-fonde sa société de production, Tribeca Productions, du nom de TriBeCa, le quartier de New York dans lequel il vit.
Les années 1990 s'annoncent moins constantes, mais encore riches en productions majeures.
Confirmation et passage à la réalisation (années 1990)Modifier
L'année 1990 marque ses retrouvailles avec Martin Scorsese pour leur sixième collaboration, Les Affranchis, un classique instantané ; suivi dès 1991 des Nerfs à vif, qui lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur acteur.
Parallèlement, il continue à partager l'affiche avec des acteurs issus d'univers différents : Jane Fonda pour la romance Stanley & Iris, de Martin Ritt, cependant un échec critique ; et le drame L'Éveil, de Penny Marshall, avec Robin Williams.
Son aura lui permet ensuite de porter des projets risqués : il est dirigé par Irwin Winkler dans deux drames noirs : La Liste noire, en 1991, et La Loi de la nuit en 1992. Il s'aventure aussi sur le terrain de la comédie dramatique avec Hollywood Mistress, de Barry Primus, puis Mad Dog and Glory, de John McNaughton ; et en 1993, il participe au drame Blessures secrètes, de Michael Caton-Jones, où il côtoie un jeune Leonardo DiCaprio.
Il s'aventure également sur des terrains inédits : il tient un rôle secondaire dans la grosse production Backdraft, de Ron Howard ; prête ses traits à La Créature dans Frankenstein, de Kenneth Branagh, en 1994. Et surtout passe derrière la caméra : il réalise et joue dans le drame Il était une fois le Bronx. Cet essai est acclamé par la critique.
Après ce cycle lucratif, il retrouve Martin Scorsese pour la septième fois : la fresque Casino, où il prête ses traits à Sam « Ace » Rothstein, et est entouré de Sharon Stone et Joe Pesci. C'est un nouveau succès critique et commercial. Mais cette année 1995 est aussi marqué par la sortie du polar urbain Heat, de Michael Mann, où il est confronté pour la première fois à un autre acteur désormais iconique, Al Pacino. Un autre succès.
En 1996, il enchaîne trois productions différentes : il porte le thriller Le Fan, de Tony Scott, puis est entouré de Dustin Hoffman, Jason Patric et Brad Pitt pour le controversé drame judiciaire Sleepers, de Barry Levinson, et retrouve Leonardo DiCaprio et Meryl Streep dans le drame Simples Secrets, où il se contente d'un rôle plus secondaire.
En 1997, il enchaîne trois œuvres différentes : le crépusculaire Copland, de James Mangold, porté par Sylvester Stallone ; retrouve Barry Levinson et Dustin Hoffman pour la comédie Des hommes d'influence ; et fait partie de la distribution quatre étoiles réunie par Quentin Tarantino pour son polar Jackie Brown.
L'année 1998 marque un tournant : il est dirigé par Alfonso Cuarón dans son second film américain, le polar De grandes espérances ; donne la réplique à Jean Reno dans le thriller d'action Ronin, de John Frankenheimer, et enfin entame le tournage d'une comédie annonçant le virage de la décennie suivante.
En effet, en 1999 sort Mafia Blues, mis en scène par le vétéran de la comédie Harold Ramis, et dont il partage l'affiche avec Billy Crystal. En parrain dépressif, il livre une interprétation comique surprenante, multipliant les références aux performances les plus emblématiques de sa carrière. L'échec critique et commercial de la comédie dramatique Personne n'est parfait(e), de Joel Schumacher, passe du coup inaperçu.
Échecs successifs et virage comique (2000-2011)Modifier
De même en 2000 avec le drame Les Chemins de la dignité de George Tillman Jr. qui déçoit la critique[20] et qui n'est qu'un succès commercial modéré[21]. Cependant, la comédie potache Mon beau-père et moi connait un succès critique et commercial international[22]. Le long-métrage réalisé par Jay Roach lui permet de jouer une nouvelle fois de son image, en interprétant un beau-père vétéran dur à cuire martyrisant un Ben Stiller dont le numéro de souffre-douleur est quasi-éclipsé.
Il connaît ensuite une série d'échecs commerciaux : en 2001 le thriller 15 minutes de John Herzfeld est un flop[23]. Tout comme en 2002 la satire Showtime[24] de Tom Dey, pour laquelle il partage l'affiche avec Eddie Murphy. Quant au drame Père et Flic, pour lequel il retrouve Michael Caton-Jones, il passe inaperçu. La suite de Mafia Blues, Mafia Blues 2 : La Rechute, connaîtra le même sort[25].
Seul parvient à émerger le film de braquage The Score de Frank Oz, dont il partage l'affiche avec Edward Norton[26].
Par la suite, il se met donc en retrait : en 2004, il intègre les distributions chorales du film fantastique Godsend, expérience interdite de Nick Hamm, et Le Pont du roi Saint-Louis de Mary McGuckian. Ces deux films déçoivent au box-office. Il accepte tout de même de retrouver son rôle désormais culte de Jack Byrnes pour la suite Mon beau-père, mes parents et moi. Si les critiques ne suivent pas, le public répond présent[27]. Son caméo vocal dans le blockbuster d'animation Gang de requins, où il double le personnage de Don Lino, s'inscrit dans cette même veine auto-parodique.
En 2005, le film fantastique Trouble Jeu de John Polson est un nouvel échec. L'année suivante, sa seconde tentative de réalisation est moins convaincante, sur le plan critique comme commercial : l'ambitieux drame historique qu'est Raisons d'État lui donne néanmoins la possibilité de diriger Matt Damon, mais également de sortir exceptionnellement Joe Pesci de sa retraite.
En 2007, il fait partie de la distribution de stars des années 1990 réunies par Matthew Vaughn pour son blockbuster fantastique Stardust, qui lui permet de retrouver les faveurs de la critique.
Mais en 2008, La Loi et l'Ordre de Jon Avnet, qui reforme son tandem avec Al Pacino, est un échec[28]. Tandis que ses retrouvailles avec Barry Levinson passent inaperçues : la satire indépendante Panique à Hollywood sort dans un circuit limité de salles.
En 2010, il s'aventure de nouveau dans le rôle d'un patriarche dépassé pour la comédie dramatique Everybody's Fine, de Kirk Jones, un nouvel échec ; et Mon beau-père et nous reçoit des critiques encore plus mauvaises que le précédent opus, mais le public répond présent pour suivre la conclusion de la trilogie, cette fois mise en scène par Paul Weitz ; en revanche, le polar Stone, de John Curran, marquant ses retrouvailles avec Edward Norton, est un autre échec cuisant au box-office.
Son année 2011 poursuit sur cette lancée : le thriller d'action Killer Elite, avec Jason Statham et Clive Owen, est un nouvel échec critique et commercial ; sa participation à la comédie romantique chorale Happy New Year, de Garry Marshall, est couronnée par un succès commercial, mais une défection critique quasi-totale. Et enfin il accepte de tenir un second rôle de luxe dans le thriller de science-fiction Limitless, de Neil Burger, porté par Bradley Cooper.
Malgré ce déclin critique, il reste un acteur respecté : en , il reçoit un Cecil B. DeMille Award aux Golden Globes, qui récompense l'ensemble de sa carrière. En mai, il préside le jury de la 64e édition du Festival de Cannes[29], vingt-quatre ans après avoir été président du jury du 15e festival international du film de Moscou (1987).
Seconds rôles et regain critique (depuis 2012)Modifier
L'année 2012 marque le début d'une collaboration avec le cinéaste David O. Russell qui lui permet de regagner les faveurs de la critique. Cependant, il continue à tourner beaucoup, et pas toujours des projets de premier plan.
En effet, en 2012, la comédie dramatique Happiness Therapy, où il seconde le tandem formé par Bradley Cooper et la révélation Jennifer Lawrence, est accueilli comme une renaissance artistique. L'acteur décroche ainsi une nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, plus de vingt ans après Les Nerfs à Vif.
O'Russell continue à le diriger dans ses prochains projets : s'il se contente d'un petit rôle dans la satire American Bluff, sorti en 2013, le biopic Joy, sorti fin 2015 avec Jennifer Lawrence dans le rôle-titre, lui permet d'hériter une partition plus développée.
L'année 2013 est marquée par la sortie de plusieurs films : la comédie dramatique Un grand mariage, de Justin Zackham. Il y joue un patriarche aux côtés de Diane Keaton, mais le film est un flop. L'acteur revient au thriller d'action avec Face à face, de Mark Steven Johnson, qui l'oppose à John Travolta. Un autre flop critique et commercial. Il joue aussi un parrain de la mafia retraité dans la comédie d'action Malavita, réalisée par Luc Besson et produite par Martin Scorsese, aux côtés de Michelle Pfeiffer et Tommy Lee Jones. Enfin, dans la comédie dramatique Last Vegas, réalisée par Jon Turteltaub, il côtoie d'autres « vétérans » du cinéma américain : Michael Douglas, Morgan Freeman et Kevin Kline.
L'année 2014 lui permet de jouer dans un duo de vieux boxeurs avec Sylvester Stallone dans Match retour, de Peter Segal. Il joue aussi dans un thriller de série B, L'Instinct de tuer, porté par John Cusack et Rebecca Da Costa.
En 2015, l'acteur retrouve le succès critique et commercial en jouant de nouveau d'une cette alchimie paternelle avec une jeune actrice : il accompagne Anne Hathaway dans la comédie Le Nouveau Stagiaire, écrite et réalisée par Nancy Meyers. Le long-métrage connait un joli succès commercial. Mais la même année, il joue dans le film d'action Bus 657, face à Jeffrey Dean Morgan.
Il ne renonce pas pour autant à des projets plus ambitieux : le , il annonce ainsi qu'il va incarner le rôle du constructeur automobile Enzo Ferrari, dans un film qu'il va coproduire et dont il souhaite que Clint Eastwood assure la mise en scène. Mais à la fin de la même année, Michael Mann est annoncé à la réalisation d'un projet similaire, avec Hugh Jackman dans le rôle-titre. Le projet n'avance pas.
En 2016, il renoue avec la comédie potache en tenant le rôle-titre de Dirty Papy, face à la vedette des adolescents Zac Efron. Il revient aussi vers l'univers de la boxe pour Hands of Stone, de Jonathan Jakubowicz, où il prête ses traits au légendaire Ray Arcel. C'est Edgar Ramirez qui incarne son élève Roberto Durán. Enfin, il est la tête d'affiche de la comédie dramatique The Comedian, de Taylor Hackford. Il y a pour partenaires Leslie Mann et Harvey Keitel.
En 2017, il partage l'affiche du téléfilm prestigieux The Wizard of Lies, de Barry Levinson, où il prête ses traits à Bernie Madoff, et retrouve Michelle Pfeiffer comme partenaire de jeu.
L'année 2019 le voit mener la comédie The War with Grandpa, face à Uma Thurman et Jane Seymour. Il joue également un rôle secondaire dans l'acclamé Joker avec Joaquin Phoenix. Mais surtout, il retrouve Martin Scorsese pour une neuvième collaboration[30] mise en ligne exclusivement sur la plateforme Netflix. Ce polar intitulé The Irishman est un projet de très longue date qui marque aussi le retour à l'écran du retraité Joe Pesci. De Niro y prête ses traits à Frank « The Irishman » Sheeran, face à Al Pacino dans le rôle de Jimmy Hoffa. Un projet prévu pour 2021 intitulé Killers of the Flower Moon lui permettra de retrouver le cinéaste et de jouer avec Leonardo Di Caprio[31].
Vie privéeModifier
Avec sa première épouse, l'actrice afro-américaine Diahnne Abbott, ils ont eu un fils en 1976, Raphael, nommé d'après l'hôtel à Rome où il a été conçu, et De Niro adopte Drena, la fille de Diahne née en 1971 d'un précédent mariage.
Puis avec la mannequin et actrice Toukie Smith (en) ils ont, par mère porteuse, les jumeaux Julian et Aaron en 1995.
De Niro rencontre dans une boîte de nuit londonienne en 1987, Grace Hightower (en), une philanthrope, mondaine, actrice et chanteuse américaine, et l'épouse en 1997 ; ils ont un fils, Elliot, né en 1998, autiste, ainsi qu'une fille, Helen, née d'une mère porteuse en [réf. souhaitée] ; ils se séparent en 2018.
De Niro est âgé de 60 ans lorsque son médecin Esma Mint lui découvre un cancer de la prostate, détecté à temps. Après une prostatectomie et plusieurs séances de radiothérapie, De Niro reprend sa carrière au cinéma.
EngagementsModifier
À la suite des attentats du 11 septembre 2001 à New York, il participe à une séquence filmée des rues de sa ville natale pour l'ouverture du documentaire New York : 11 septembre (2002), attentats vus par les yeux des pompiers du FDNY. En 2011, à l'occasion d'une nouvelle version du documentaire pour commémorer les dix ans des attaques, une nouvelle séquence est tournée, cette fois-ci depuis le mémorial, au centre du chantier du nouveau complexe du World Trade Center.
En , sa fortune personnelle est estimée à environ 310 millions de dollars[32].
En , il fait l'objet d'une controverse en décidant de promouvoir une campagne anti-vaccination avec Robert F. Kennedy Jr, récemment nommé par Donald Trump à la tête d'une commission pour vérifier la sûreté des vaccins. En effet, lors d'une conférence de presse, les deux hommes décident d'offrir la somme de 100 000 $ à qui pourrait prouver que le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons était totalement sans danger pour la santé. Une telle attitude de la star réside dans le fait que De Niro est convaincu que l'autisme de son fils est imputable à un vaccin[33].
Le , lors de son speech au cours de la cérémonie des Tony Awards, Robert De Niro s'en prend violemment au président Donald Trump (en prononçant : « Fuck Trump »). Ses prises de position lui vaudront d'être la cible d'un colis piégé lors de l'affaire des colis piégés d'octobre 2018 aux États-Unis.
Lors de l'arrestation de l'homme d'affaires Peter Nygård pour crimes sexuels, il est exposé que DeNiro était un de ses proches et aurait visité sa luxueuse résidence, « Nygård Cay » au Bahamas, à plusieurs reprises.[34]
Style de jeuModifier
Plutôt discret dans sa communication, De Niro est généralement considéré comme un fin observateur psychologique des personnages et un grand perfectionniste. Il est également connu pour son engagement dans ses différents rôles et son travail d'interprétation physique de ses personnages : il prend près de 30 kg et apprend à boxer pour son interprétation de Jake LaMotta dans Raging Bull ; il apprend également à jouer du saxophone pour New York, New York. En outre, pour Taxi Driver, il se prépare en conduisant un taxi de nuit des semaines durant. Comme tous les acteurs qui ont suivi les cours de Stella Adler (Marlon Brando, Benicio del Toro…), il s'est toujours efforcé de « défictionnaliser » la fiction.
Robert De Niro est souvent comparé à Al Pacino, un acteur de la même génération que lui avec qui il a en commun des origines italiennes et une formation à l'Actors Studio. Ils tiennent tous deux la vedette du Parrain 2, mais n'ont dans ce film aucune scène en commun, leurs personnages évoluant à des époques différentes. Les deux comédiens se retrouvent en 1995 dans Heat de Michael Mann, où ils partagent cette fois deux scènes, puis en 2008 dans La Loi et l'Ordre de Jon Avnet puis en 2019 dans The Irishman de Martin Scorsese.
FilmographieModifier
Comme acteurModifier
CinémaModifier
Années 1960Modifier
- 1965 : Trois Chambres à Manhattan de Marcel Carné : un client au diner (figuration)
- 1965 : Encounter de Norman C. Chaitin : le neveu (court-métrage)
- 1968 : Les Jeunes Loups de Marcel Carné : un client chez Popov (figuration)
- 1968 : Greetings de Brian De Palma : Jon Rubin
- 1969 : Sam's Song de Jordan Leondopoulos : Sam Nicoletti (remonté en un film différent en 1979 sous le titre The Swap)
- 1969 : The Wedding Party de Brian De Palma : Cecil (ce film tourné en 1964 est le premier de Robert De Niro)
Années 1970Modifier
- 1970 : Bloody Mama de Roger Corman : Lloyd Barker
- 1970 : Hi, Mom! de Brian De Palma : Jon Rubin
- 1971 : Jennifer on My Mind de Noel Black : Mardigian
- 1971 : Né pour vaincre (Born to Win) d'Ivan Passer : Danny
- 1971 : The Gang That Couldn't Shoot Straight de James Goldstone : Mario Trantino
- 1973 : Le Dernier Match (Bang the Drum Slowly) de John D. Hancock : Bruce Pearson
- 1973 : Mean Streets de Martin Scorsese : John « Johnny Boy » Civello
- 1974 : Le Parrain 2 (The Godfather: Part II) de Francis Ford Coppola : Vito Corleone jeune
- 1976 : Taxi Driver de Martin Scorsese : Travis Bickle
- 1976 : 1900 (Novecento) de Bernardo Bertolucci : Alfredo Berlinghieri
- 1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan : Monroe Stahr
- 1977 : New York, New York de Martin Scorsese : Jimmy Doyle
- 1978 : Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) de Michael Cimino : Michael Vronsky
Années 1980Modifier
- 1980 : Raging Bull de Martin Scorsese : Jake LaMotta
- 1981 : Sanglantes confessions (True Confessions) d'Ulu Grosbard : Des Spellacy
- 1983 : La Valse des pantins (The King of Comedy) de Martin Scorsese : Rupert Pupkin
- 1984 : Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America) de Sergio Leone : David « Noodles » Aaronson
- 1984 : Falling in Love d'Ulu Grosbard : Frank Raftis
- 1985 : Brazil de Terry Gilliam : Archibald « Harry » Tuttle
- 1986 : Mission (The Mission) de Roland Joffé : Rodrigo Mendoza
- 1987 : Angel Heart : Aux portes de l'enfer (Angel Heart) d'Alan Parker : Louis Cyphre
- 1987 : Les Incorruptibles (The Untouchables) de Brian De Palma : Al Capone
- 1988 : Midnight Run de Martin Brest : Jack Walsh
- 1989 : Jacknife de David Jones : Joseph « Jacknife » Megessey
- 1989 : Nous ne sommes pas des anges (We're No Angels) de Neil Jordan : Ned
Années 1990Modifier
- 1990 : Stanley & Iris de Martin Ritt : Stanley Everett Cox
- 1990 : Les Affranchis (Goodfellas) de Martin Scorsese : Jimmy Conway
- 1990 : L'Éveil (Awakenings) de Penny Marshall : Leonard Lowe
- 1991 : La Liste noire (Guilty by Suspicion) d'Irwin Winkler : David Merrill
- 1991 : Backdraft de Ron Howard : Donald « Shadow » Rimgale
- 1991 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Martin Scorsese : Max Cady
- 1992 : Hollywood Mistress (Mistress) de Barry Primus : Evan M. Wright
- 1992 : La Loi de la nuit (Night and the City) d'Irwin Winkler : Harry Fabian
- 1993 : Mad Dog and Glory de John McNaughton : Wayne « Mad Dog » Dobie
- 1993 : Blessures secrètes (This Boy's Life) de Michael Caton-Jones : Dwight Hansen
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale) de lui-même : Lorenzo Anello
- 1994 : Frankenstein de Kenneth Branagh : La Créature
- 1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : Le mari de la star-fantasme en croisière
- 1995 : Casino de Martin Scorsese : Sam « Ace » Rothstein
- 1995 : Heat de Michael Mann : Neil McCauley
- 1996 : Le Fan (The Fan) de Tony Scott : Gil Renard
- 1996 : Sleepers de Barry Levinson : Le père Bobby
- 1996 : Simples Secrets (Marvin's Room) de Jerry Zaks : Le Dr Wally
- 1997 : Copland de James Mangold : Le lieutenant Moe Tilden
- 1997 : Des hommes d'influence (Wag the Dog) de Barry Levinson : Conrad Brean
- 1997 : Jackie Brown de Quentin Tarantino : Louis Gara
- 1998 : De grandes espérances (Great Expectations) d'Alfonso Cuarón : Arthur Lustig
- 1998 : Ronin de John Frankenheimer : Sam
- 1999 : Mafia Blues (Analyze This) de Harold Ramis : Paul Vitti
- 1999 : Personne n'est parfait(e) (Flawless) de Joel Schumacher : Walt Koontz
Années 2000Modifier
- 2000 : Les Aventures de Rocky et Bullwinkle (The Adventures of Rocky & Bullwinkle) de Des McAnuff : Chef Sans-Peur (voix)
- 2000 : Les Chemins de la dignité (Men of Honor) de George Tillman Jr. : Le maître principal Leslie Sunday
- 2000 : Mon beau-père et moi (Meet the Parents) de Jay Roach : Jack Byrnes
- 2001 : 15 minutes (15 Minutes) de John Herzfeld : L'inspecteur Eddie Flemming
- 2001 : The Score de Frank Oz : Nick Wells
- 2002 : Showtime de Tom Dey : L'inspecteur Mitch Preston
- 2002 : Père et Flic (City by the Sea) de Michael Caton-Jones : Vincent LaMarca
- 2002 : Mafia Blues 2 : La Rechute (Analyze That) de Harold Ramis : Paul Vitti
- 2004 : Godsend, expérience interdite (Godsend) de Nick Hamm : Richard Wells
- 2004 : Gang de requins (Shark Tale) d'Éric Bergeron : Don Lino (voix)
- 2004 : Mon beau-père, mes parents et moi (Meet the Fockers) de Jay Roach : Jack Byrnes
- 2004 : Le Pont du roi Saint-Louis (The Bridge of San Luis Rey) de Mary McGuckian : L'archevêque de Lima
- 2005 : Trouble Jeu (Hide and Seek) de John Polson : David Callaway
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd) de Robert de Niro : Bill Sullivan
- 2006 : Arthur et les Minimoys de Luc Besson : Le roi des Minimoys (voix pour la version anglophone)
- 2007 : Stardust de Matthew Vaughn : Le capitaine Shakespeare
- 2008 : La Loi et l'Ordre (Righteous Kill) de Jon Avnet : Le lieutenant Tom « Turk » Cowan
- 2008 : Panique à Hollywood (What Just Happened?) de Barry Levinson : Ben
Années 2010Modifier
- 2010 : Everybody's Fine de Kirk Jones : Frank Goode
- 2010 : Mon beau-père et nous (Little Fockers) de Paul Weitz : Jack Byrnes
- 2010 : Machete de Robert Rodriguez et Ethan Maniquis : Le sénateur McLaughlin
- 2011 : Killer Elite de Gary McKendry : Hunter
- 2011 : Stone de John Curran : Jack Mabry
- 2011 : Limitless de Neil Burger : Carl Van Loon
- 2011 : L'amour a ses raisons (Manuale d'amore 3) de Giovanni Veronesi : Adrian
- 2011 : Happy New Year (New Year's Eve) de Garry Marshall : Stan Harris
- 2012 : Monsieur Flynn (Being Flynn) de Paul Weitz : Jonathan Flynn
- 2012 : Red Lights de Rodrigo Cortés : Simon Silver
- 2012 : Unités d'élite (Freelancers) de Jessy Terrero : Le capitaine Joe Sarcone
- 2012 : Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) de David O. Russell : Pat Solitano Sr.
- 2013 : Un grand mariage (The Big Wedding) de Justin Zackham : Don Griffin
- 2013 : Face à face de Mark Steven Johnson : Benjamin Ford
- 2013 : Malavita (The Family) de Luc Besson : Fred Blake
- 2013 : Last Vegas de Jon Turteltaub : Paddy
- 2013 : American Bluff (American Hustle) de David O. Russell : Victor Tellegio (caméo)
- 2014 : Match retour (Grudge Match) de Peter Segal : Billy « The Kid » McGuigan
- 2014 : L'Instinct de tuer (The Bag Man) de David Grovic : Dragna
- 2015 : Le Nouveau Stagiaire (The Intern) de Nancy Meyers : Ben Whittaker
- 2015 : Bus 657 (Heist) de Scott Mann (en) : Francis « The Pope » Silva
- 2015 : Joy de David O. Russell : Rudy, le père de Joy
- 2015 : Ellis, réalisé par JR, écrit par Éric Roth
- 2016 : Dirty Papy (Dirty Grandpa) de Dan Mazer : Dick Kelly
- 2016 : Hands of Stone de Jonathan Jakubowicz : Ray Arcel
- 2016 : The Comedian de Taylor Hackford : Jackie Burke
- 2019 : Joker de Todd Phillips : Murray Franklin
- 2019 : The Irishman de Martin Scorsese : Frank « The Irishman » Sheeran
Années 2020Modifier
- 2020 : Mon grand-père et moi (The War with Grandpa) de Tim Hill : Ed
- 2020 : The Comeback Trail de George Gallo : Max Barber
- Prochainement / projets Dates sujettes à modification
- 2021 : Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese : William Hale
- 2021 : Armageddon Time de James Gray
- 2021 : Wash Me in The River de Randall Emmett
- 2022 : The Formula de Gerard McMurray
TélévisionModifier
- 1977 : Le Parrain (The Godfather: A Novel for Television) de Francis Ford Coppola : Vito Corleone jeune
- 2017 : The Wizard of Lies (téléfilm) de Barry Levinson : Bernard Madoff
Comme producteurModifier
CinémaModifier
- 1989 : Nous ne sommes pas des anges (We're No Angels) de Neil Jordan
- 1991 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Martin Scorsese
- 1992 : Cœur de tonnerre (Thunderheart) de Michael Apted
- 1992 : Hollywood Mistress (Mistress) de Barry Primus
- 1993 : Chassé-croisé (The Night We Never Met) de Warren Leight
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale) de lui-même
- 1994 : Frankenstein de Kenneth Branagh
- 1995 : Panther de Mario Van Peebles
- 1996 : Faithful de Paul Mazursky
- 1996 : Simples Secrets (Marvin's Room) de Jerry Zaks
- 1997 : Des hommes d'influence (Wag the Dog) de Barry Levinson
- 1999 : Entropy de Phil Joanou
- 1999 : Personne n'est parfait(e) (Flawless) de Joel Schumacher
- 2000 : Les Aventures de Rocky et Bullwinkle (The Adventures of Rocky & Bullwinkle) de Des McAnuff
- 2000 : Mon beau-père et moi (Meet the Parents) de Jay Roach
- 2001 : Prison Song de Darnell Martin
- 2002 : Pour un garçon (About a Boy) de Chris Weitz et Paul Weitz
- 2004 : Stage Beauty de Richard Eyre
- 2004 : Mon beau-père, mes parents et moi (Meet the Fockers) de Jay Roach
- 2005 : Rent de Chris Columbus
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd) de lui-même
- 2008 : Panique à Hollywood (What Just Happened?) de Barry Levinson
- 2009 : Public Enemies de Michael Mann
- 2010 : Mon beau-père et nous (Little Fockers) de Paul Weitz
- 2012 : Unités d'élite (Freelancers) de Jessy Terrero
- 2019 : The Irishman de Martin Scorsese
- 2019 : Artemis Fowl de Kenneth Branagh
TélévisionModifier
- 1993 : TriBeCa
- 1998 : La Famille trahie (Witness to the Mob) de Thaddeus O'Sullivan
- 2000 : Holiday Heart de Robert Townsend
- 2012 : NYC 22
- 2013 : The 4th Reich
- 2017 : The Wizard of Lies (téléfilm) de Barry Levinson
Comme réalisateurModifier
CinémaModifier
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale)
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd)
DistinctionsModifier
Le , il pose ses empreintes devant le Grauman's Chinese Theatre sur Hollywood Boulevard, inaugurées 10 jours plus tard.
Le , Barack Obama lui décerne la médaille présidentielle de la Liberté[35].
RécompensesModifier
- 1974 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un thriller dramatique pour Mean Streets (1973).
- 1974 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un thriller dramatique pour Mean Streets (1973).
- 47e cérémonie des Oscars 1975 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame pour Le Parrain 2 (1974).
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1976 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 1977 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 1977 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 1978 : Fotogramas de Plata du meilleur acteur étranger dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 1978 : Sant Jordi Awards de la meilleure performance dans un film étranger dans un drame romantique pour Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) (1976), dans un thriller dramatique pour Mean Streets (1973), dans un drame musical pour New York, New York (1977), dans un drame historique pour 1900 (Novecento) (1976) dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- Hasty Pudding Theatricals 1979 : Lauréat du Prix de l’homme de l’année.
- 6e cérémonie des Los Angeles Film Critics Association Awards 1980 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- National Board of Review Awards 1980 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1980 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1re cérémonie des Boston Society of Film Critics Awards 1981 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 38e cérémonie des Golden Globes 1981 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 53e cérémonie des Oscars 1981 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- Mostra de Venise 1981 : Lauréat du Prix Golden Phoenix du meilleur acteur dans un drame pour Sanglantes confessions (True Confessions) (1981) partagé avec Robert Duvall.
- 1986 : Sant Jordi Awards de la meilleure performance dans un film étranger dans un drame pour Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America) (1984) et dans un drame romantique pour Falling in Love (1984).
- National Board of Review Awards 1990 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour L'Éveil (Awakenings) (1990).
- 56e cérémonie des New York Film Critics Circle Awards 1990 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour L'Éveil (Awakenings) (1990) et dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas) (1990).
- 1992 : Jupiter Award du meilleur acteur international dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- New York Women in Film & Television 1993 : lauréat du prix Muse.
- Mostra de Venise 1993 : lauréat du prix Lion d'or pour la carrière.
- 1997 : Christopher Awards du meilleur film pour Simples Secrets (Marvin's Room) (1996) partagé avec Jerry Zaks (Réalisateur), Scott McPherson (Scénariste), Scott Rudin (Producteur), Jane Rosenthal (producteur), Tod Scott Brody (Producteur exécutif) et Lori Steinberg (Producteur exécutif).
- Festival international du film de Moscou 1997 : lauréat du prix d’honneur pour sa contribution au monde du cinéma.
- Online Film & Television Association Awards 1998 : lauréat du prix OFTA Film Hall of Fame.
- 2000 : Blockbuster Entertainment Awards du duo comique préféré partagé avec Billy Crystal dans une comédie pour Mafia Blues (1999).
- Festival international du film de Saint-Sébastien 2000 : lauréat du prix Donostia pour l’ensemble de sa carrière.
- Gotham Independent Film Awards 2001 : lauréat du prix pour l’ensemble de sa carrière.
- 2001 : MTV Movie Awards de la meilleure ligne de dialogue dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi (2000).
- 4e cérémonie des American Film Institute Awards 2003 : lauréat du prix pour l’ensemble de sa carrière.
- 2003 : Christopher Awards du meilleur film pour Pour un garçon (About a Boy) (2002) partagé avec Paul Weitz (Réalisateur/Scénariste), Chris Weitz (Réalisateur/Scénariste), Peter Hedges (scénariste), Jane Rosenthal (Producteur), Brad Epstein (Producteur), Tim Bevan (Producteur), Eric Fellner (producteur), Debra Hayward (coproducteur), Liza Chasin (Coproducteur), Hardy Justice (Coproducteur), Nicky Kentish Barnes (Coproducteur), Nick Hornby (producteur exécutif) et Lynn Harris (Producteur exécutif).
- Golden Eagle Awards 2006 : Lauréat du Prix Golden Eagle pour sa contribution au monde du cinéma.
- Festival international du film de Berlin 2007 : Meilleure contribution technique dans un drame historique pour Raisons d'État (The Good Shepherd) (2007) partagé avec John Sessions, Oleg Shtefanko, Martina Gedeck, Michael Gambon, John Turturro, Keir Dullea, Eddie Redmayne, Mark Ivanir, Timothy Hutton, Joe Pesci, Lee Pace, Matt Damon, Gabriel Macht, Alec Baldwin, Angelina Jolie, Billy Crudup, William Hurt et Tammy Blanchard.
- Golden Camera 2008 : lauréat du prix Golden Camera pour l’ensemble de sa carrière.
- Festival international du film de Karlovy Vary 2008 : Lauréat du Prix Spécial pour sa contribution au monde du cinéma.
- BAFTA/LA 2009 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière.
- 2009 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur dans un drame d’aventure pour Everybody's Fine (2009).
- 2009 : Yoga Awards du pire acteur étranger dans un drame d’action pour La Loi et l'Ordre (2008) partagé avec Al Pacino.
- AARP Movies for Grownups Awards 2010 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière.
- Festival du film de Taormine 2010 : Lauréat du Prix Taormina Arte.
- 68e cérémonie des Golden Globes 2011 : Lauréat du Prix Cecil B. DeMille Award pour l'ensemble de sa carrière.
- 2012 : Capri de la meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagée avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker et Julia Stiles.
- 6e cérémonie des Detroit Film Critics Society Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2012 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur de l’année dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- Made in NY Awards 2012 : Lauréat du Prix d’Honneur partagé avec Meryl Streep et Whoopi Goldberg.
- 2e cérémonie des Australian Academy of Cinema and Television Arts Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2013 : Gold Derby Awards de la meilleure distribution dans une comédie dramatique pour Happiness Therapy (2012) partagée avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Anupam Kher, Dash Mihok, John Ortiz, Julia Stiles, Chris Tucker, Jacki Weaver et Shea Whigham.
- Festival international du film de Santa Barbara 2013 : Lauréat du Prix Kirk Douglas pour l’excellence dans ses films.
- 2014 : Gold Derby Awards de la meilleure distribution dans un drame pour American Bluff (2013) partagée avec Amy Adams, Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Christian Bale, Louis C.K., Jack Huston, Alessandro Nivola, Michael Peña, Jeremy Renner et Elisabeth Röhm.
- Festival du film de Hollywood 2015 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière.
- GLAAD Media Awards 2016 : Lauréat du Prix de l'excellence dans les médias.
- 2016 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur de l’année dans une comédie pour The Comedian (2015)
- Festival du film de Sarajevo 2016 : Lauréat du Prix d’Honneur Heart of Sarajevo.
- Film Society of Lincoln Center 2017 : Lauréat du Prix Gala Tribute.
- 22e cérémonie des Satellite Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
NominationsModifier
- 1974 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un thriller dramatique pour Mean Streets (1973).
- 1974 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame pour Le Parrain 2 (1974).
- 29e cérémonie des British Academy Film Awards 1976 : Meilleur nouveau venu dans un rôle principal dans un drame pour Le Parrain 2 (1974).
- 30e cérémonie des British Academy Film Awards 1977 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 34e cérémonie des Golden Globes 1977 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 1977 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un drame romantique pour Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) (1976).
- 49e cérémonie des Oscars 1977 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver (1976).
- 35e cérémonie des Golden Globes 1978 : Meilleur acteur pour dans un drame musical pour New York, New York (1977).
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1978 : Meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 1978 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 36e cérémonie des Golden Globes 1979 : Meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 1979 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 51e cérémonie des Oscars 1979 : Meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 33e cérémonie des British Academy Film Awards 1980 : Meilleur acteur dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 1981 : David di Donatello Awards du meilleur acteur étranger dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1981 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1981 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré dans un drame de guerre pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) (1978).
- 35e cérémonie des British Academy Film Awards 1982 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1982 : Fotogramas de Plata du meilleur acteur étranger dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 1982 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré dans un drame biographique pour Raging Bull (1980).
- 37e cérémonie des British Academy Film Awards 1984 : Meilleur acteur dans une comédie dramatique pour La Valse des pantins (1983).
- Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens 1984 : Meilleur acteur principal dans une comédie dramatique pour La Valse des pantins (The King of Comedy) (1983).
- Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens 1987 : Meilleur acteur principal dans un drame d’aventure pour Mission (The Mission) (1986).
- 15e cérémonie des Saturn Awards 1988 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un thriller horrifique pour Angel Heart (1987).
- 1989 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal dans une comédie d’action pour Midnight Run (1988).
- 46e cérémonie des Golden Globes 1989 : Meilleur acteur dans une comédie d’action pour Midnight Run (1988).
- 1991 : Awards Circuit Community Awards du meilleur acteur principal dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 44e cérémonie des British Academy Film Awards 1991 : Meilleur acteur dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas) (1990).
- 4e cérémonie des Chicago Film Critics Association Awards 1991 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour L'Éveil (Awakenings) (1990).
- 1991 : David di Donatello Awards du meilleur acteur étranger dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas) (1990).
- 1991 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un drame biographique pour L'Éveil (Awakenings) (1990) et dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas) (1990).
- 63e cérémonie des Oscars 1991 : Meilleur acteur dans un drame biographique pour L'Éveil (Awakenings) (1990).
- 1991 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas) (1990).
- 49e cérémonie des Golden Globes 1992 : Meilleur acteur dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 1992 : David di Donatello Awards du meilleur acteur étranger dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 1992 : MTV Movie Awards de la meilleure performance masculine dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 1992 : MTV Movie Awards du meilleur vilain dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 1992 : MTV Movie Awards du meilleur baiser partagé avec Juliette Lewis dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 64e cérémonie des Oscars 1992 : Meilleur acteur dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 1993 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- Mostra de Venise 1993 : Nomination du Trophée Lion d'or pour Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale) (1993).
- 1994 : Fangoria Chainsaw Awards du meilleur acteur dans un drame d’horreur pour Frankenstein (1994).
- 1995 : Awards Circuit Community Awards de la meilleure distribution dans un drame pour Casino (1995) partagé avec Sharon Stone, Joe Pesci, James Woods, Don Rickles et Kevin Pollak.
- 21e cérémonie des Saturn Awards 1995 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame d’horreur pour Frankenstein (1994).
- 1997 : MTV Movie Awards du meilleur vilain dans un drame d’action pour Le Fan (The Fan) (1996).
- 3e cérémonie des Screen Actors Guild Awards 1997 : Meilleure distribution dans un drame pour Simples Secrets (Marvin's Room) (1997) partagé avec Meryl Streep, Leonardo DiCaprio, Diane Keaton, Hume Cronyn, Gwen Verdon, Hal Scardino et Dan Hedaya.
- 19e cérémonie des Boston Society of Film Critics Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour De grandes espérances (Great Expectations) (1998).
- 1998 : Russian Guild of Film Critics du meilleur acteur étranger dans une comédie dramatique pour Des hommes d'influence (Wag the Dog) (1997).
- 1999 : MTV Movie Awards de la meilleure séquence d’action partagé avec Natascha McElhone dans un thriller d’action pour Ronin (1998).
- 57e cérémonie des Golden Globes 2000 : Meilleur acteur dans une comédie pour Mafia Blues (1999).
- 2000 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal dans une comédie pour Mafia Blues (1999).
- 2001 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi (2000).
- 2001 : Blockbuster Entertainment Awards de l’acteur préféré dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi (2000).
- 58e cérémonie des Golden Globes 2001 : Meilleur acteur dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi (2000).
- 2001 : MTV Movie Awards du meilleur duo à l’écran partagé avec Ben Stiller dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi (2000).
- 5e cérémonie des Satellite Awards 2001 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame biographique pour Les Chemins de la dignité (Men of Honor) (2001).
- 23e cérémonie des Razzie Awards 2003 : Pire couple à l’écran dans une comédie d’action pour Showtime (2002) partagé avec Eddie Murphy.
- 2006 : St. Louis Film Critics Association Awards du meilleur réalisateur pour Raisons d'État (The Good Shepherd) (2007).
- Festival international du film de Berlin 2007 : Nomination au Prix de l’Ours d'or du meilleur film pour Raisons d'État (The Good Shepherd) (2007).
- Alliance of Women Film Journalists Awards 2008 : Prix de la plus grande différence d'âge entre deux acteurs dans un drame d’action pour La Loi et l'Ordre (2008) partagé avec Carla Gugino.
- 2010 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur dans un drame d’aventure pour Everybody's Fine (2009).
- 2012 : 20/20 Awards du meilleur acteur dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear) (1991).
- 2012 : Awards Circuit Community Awards de la meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker, Anupam Kher, John Ortiz et Julia Stiles.
- 2012 : Awards Circuit Community Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 18e cérémonie des Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2012 : Golden Schmoes Awards du meilleur acteur de l’année dans un second rôle dans une comédie dramatique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 22e cérémonie des Gotham Independent Film Awards 2012 : Meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker, Anupam Kher, John Ortiz, Julia Stiles, Shea Whigham et Paul Herman.
- 2012 : Indiewire Critics' Poll du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 38e cérémonie des People's Choice Awards 2012 : Icône de film préféré dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 13e cérémonie des Phoenix Film Critics Society Awards 2012 : Meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Chris Tucker, Jacki Weaver, John Ortiz, Anupam Kher, Julia Stiles, Paul Herman, Dash Mihok et Shea Whigham.
- 13e cérémonie des Phoenix Film Critics Society Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 17e cérémonie des Satellite Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2013 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 12e cérémonie des Central Ohio Film Critics Association Awards 2013 : Meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagé avec Bradley Cooper, Anupam Kher, Jennifer Lawrence, Chris Tucker et Jacki Weaver.
- 18e cérémonie des Critics' Choice Movie Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 4e cérémonie des Denver Film Critics Society Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2e cérémonie des Georgia Film Critics Association Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2013 : Gold Derby Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 11e cérémonie des Iowa Film Critics Association Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 85e cérémonie des Oscars 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 19e cérémonie des Screen Actors Guild Awards 2013 : Meilleure distribution dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagé avec Bradley Cooper, Anupam Kher, Jennifer Lawrence, Chris Tucker et Jacki Weaver.
- 19e cérémonie des Screen Actors Guild Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012).
- 2014 : MTV Movie Awards du meilleur caméo dans un drame pour American Bluff (American Hustle) (2000).
- 2016 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame biographique pour Joy (2015).
- 21e cérémonie des Critics' Choice Movie Awards 2016 : Meilleur acteur dans une comédie pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern) (2015).
- 2016 : Jupiter Award du meilleur acteur international dans une comédie dramatique pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern) (2015).
- 42e cérémonie des People's Choice Awards 2016 : Acteur comique préféré dans une comédie dramatique pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern) (2015).
- Alliance of Women Film Journalists Awards 2017 : Prix de la plus grande différence d'âge entre deux acteurs dans une comédie pour Dirty Papy (2016) partagé avec Aubrey Plaza.
- 2017 : Gold Derby Awards du meilleur acteur principal dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
- 2017 : Online Film & Television Association Awards du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
- 69e cérémonie des Primetime Emmy Awards 2017 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
- 69e cérémonie des Primetime Emmy Awards 2017 : Meilleure mini-série pour The Wizard of Lies (2016) partagé avec Jane Rosenthal (Productrice exécutive), Berry Welsh (Productrice exécutive), Barry Levinson (Producteur exécutif), Tom Fontana (Producteur exécutif), Jason Sosnoff (Coproducteur exécutif) et Joseph E. Iberti (Producteur).
- 37e cérémonie des Razzie Awards 2017 : Pire acteur dans une comédie pour Dirty Papy (2016).
- 23e cérémonie des Critics' Choice Movie Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
- 2018 : PGA Awards du meilleur producteur d'un téléfilm pour The Wizard of Lies (2017) partagé avec Jane Rosenthal, Berry Welsh, Barry Levinson, Tom Fontana, Jason Sosnoff et Joseph E. Iberti.
- 75e cérémonie des Golden Globes 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
- 24e cérémonie des Screen Actors Guild Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies (2016).
Box-officeModifier
Les films dans lesquels Robert De Niro tient un rôle important ont rapporté 5,4 milliards USD de recettes mondiales, dont près de 3,3 milliards aux États-Unis[36].
Films[note 4] | Budget | États-Unis[36],[37],[38] | France[37],[38] | Monde[36],[38],[39] |
---|---|---|---|---|
Greetings | 43 000 $[40] | 1 870 000 $ | 1 909 entrées | NC |
Hi, Mom! | 100 000 $[41] | 1 230 000 $ | NC | NC |
Bloody Mama | NC | 3 400 000 $ | 153 623 entrées | NC |
Le Dernier Match | NC | 3 570 000 $ | NC | NC |
Mean Streets | 480 000 $[42] | 3 954 942 $[43] | 168 031 entrées | NC |
Le Parrain 2 | 13 000 000 $ | 47 542 841 $ | 1 131 922 entrées | 92 842 841 $ |
Taxi Driver | 1 300 000 $ | 28 262 574 $ | 2 764 339 entrées | NC |
Le Dernier Nabab | 5 500 000 $[44] | 1 819 912 $ | 471 737 entrées | NC |
New York, New York | 14 000 000 $ | 16 400 000 $ | 591 746 entrées | NC |
1900 | 9 000 000 $ | 104 220 $ | 1 748 512 entrées | NC |
Voyage au bout de l'enfer | 15 000 000 $ | 48 979 328 $ | 1 957 882 entrées | NC |
Raging Bull | 18 000 000 $ | 23 383 987 $ | 505 031 entrées | NC |
Sanglantes confessions | 10 000 000 $[45] | 12 850 276 $ | 188 250 entrées | NC |
La Valse des pantins | 20 000 000 $ | 2 536 242 $ | 201 557 entrées | NC |
Il était une fois en Amérique | 30 000 000 $ | 5 321 508 $ | 1 251 337 entrées | NC |
Falling in Love | 12 000 000 $[46] | 11 129 057 $ | 408 875 entrées | NC |
Brazil | 15 000 000 $[47] | 9 929 135 $ | 1 065 134 entrées | NC |
Mission | 24 500 000 $[48] | 17 218 023 $ | 2 511 782 entrées | NC |
Angel Heart | 17 000 000 $ | 17 185 632 $ | 1 340 804 entrées | NC |
Les Incorruptibles | 25 000 000 $ | 76 270 454 $ | 2 459 380 entrées | 186 270 454 $ |
Midnight Run | 30 000 000 $ | 38 413 606 $ | 564 995 entrées | 81 613 606 $ |
Jacknife | 10 000 000 $[49] | 2 049 769 $ | 81 210 entrées | NC |
Nous ne sommes pas des anges | 20 000 000 $ | 10 555 348 $ | 124 129 entrées | NC |
Stanley et Iris | 23 000 000 $[50] | 5 820 015 $ | 294 857 entrées | NC |
Les Affranchis | 25 000 000 $ | 46 836 214 $ | 985 173 entrées | NC |
L'Éveil | 29 000 000 $ | 52 096 475 $ | 707 295 entrées | NC |
La Liste noire | 13 000 000 $[51] | 9 480 198 $ | 345 071 entrées | NC |
Backdraft | 35 000 000 $ | 77 868 585 $ | 1 201 511 entrées | 152 368 585 $ |
Les Nerfs à vif | 35 000 000 $ | 79 091 969 $ | 1 376 234 entrées | 182 291 969 $ |
Hollywood Mistress | NC | 1 102 469 $ | 27 813 entrées | NC |
La Loi de la nuit | 18 000 000 $[52] | 6 202 756 $ | 36 905 entrées | NC |
Mad Dog and Glory | 11 100 000 $[53] | 11 081 586 $ | 184 947 entrées | NC |
Blessures secrètes | NC | 4 104 962 $ | 29 602 entrées | NC |
Il était une fois le Bronx | 22 000 000 $ | 17 287 898 $ | 286 110 entrées | NC |
Frankenstein | 45 000 000 $ | 22 006 296 $ | 1 174 814 entrées | 112 006 296 $ |
Casino | 52 000 000 $ | 42 512 375 $ | 1 661 111 entrées | 116 112 375 |
Heat | 60 000 000 $ | 67 436 818 $ | 1 434 256 entrées | 187 436 818 $ |
Le Fan | 55 000 000 $ | 18 626 419 $ | 209 798 entrées | 42 226 419 $ |
Sleepers | 44 000 000 $ | 53 315 285 $ | 1 762 652 entrées | 165 615 285 $ |
Simples Secrets | 23 000 000 $ | 12 803 305 $ | 499 021 entrées | 20 494 889 $ |
Copland | 15 000 000 $ | 44 862 187 $ | 553 653 entrées | 63 662 187 $ |
Jackie Brown | 12 000 000 $ | 39 673 162 $ | 1 335 402 entrées | 84 473 162 $ |
Des hommes d'influence | 15 000 000 $ | 43 061 945 $ | 511 326 entrées | 64 256 513 |
De grandes espérances | 25 000 000 $[54] | 26 420 672 $ | 65 747 entrées | 55 494 066 |
Ronin | 55 000 000 $ | 41 616 262 $ | 983 024 entrées | 93 352 061 $ |
Mafia Blues | 80 000 000 $ | 106 885 658 $ | 1 227 067 entrées | 176 885 658 |
Personne n'est parfait(e) | 27 000 000 $ | 4 488 529 $ | 158 558 entrées | NC |
Les Aventures de Rocky et Bullwinkle | 76 000 000 $ | 26 005 820 $ | 11 228 entrées | 35 134 820 $ |
Mon beau-père et moi | 55 000 000 $ | 166 244 045 $ | 1 843 354 entrées | 330 444 045 $ |
Les chemins de la dignité | 32 000 000 $ | 48 818 921 $ | 223 490 entréés | 82 343 495 $ |
15 minutes | 60 000 000 $ | 24 403 552 $ | 375 406 entrées | 56 359 980 $ |
The Score | 68 000 000 $ | 71 107 711 $ | 756 096 entrées | 113 579 918 $ |
Showtime | 85 000 000 $ | 38 082 712 $ | 597 575 entrées | 77 741 732 $ |
Père et Flic | 40 000 000 $ | 22 448 879 $ | 50 710 entrées | 29 413 966 $ |
Mafia Blues 2 : La Rechute | 60 000 000 $ | 32 130 627 $ | 409 776 entrées | 55 003 135 $ |
Godsend, expérience interdite | 25 000 000 $ | 14 379 751 $ | 201 291 entrées | 30 114 487 $ |
Mon beau-père, mes parents et moi | 80 000 000 $ | 279 261 160 $ | 1 736 524 entrées | 516 642 939 $ |
Trouble jeu | 30 000 000 $ | 51 100 486 $ | 384 064 entrées | 122 650 962 $ |
Le Pont du roi Saint-Louis | 24 000 000 $ | 49 981 $ | 54 354 entrées | 1 800 141 $ |
Raisons d'État | 110 000 000 $ | 59 952 835 $ | 521 745 entrées | 99 480 480 $ |
Stardust, le mystère de l'étoile | 70 000 000 $ | 38 634 938 $ | 469 951 entrées | 135 560 026 $ |
La loi et l'ordre | 60 000 000 $ | 40 081 410 $ | 675 672 entrées | 78 460 699 $ |
Panique à Hollywood | 25 000 000 $ | 1 090 947 $ | NC | 6 710 888 $ |
Everybody's Fine | 21 000 000 $ | 9 208 876 $ | NC | 16 443 609 $ |
Machete | 10 500 000 $ | 26 593 646 $ | 183 898 entrées | 44 093 316 $ |
Stone | 22 000 000 $ | 1 810 078 $ | 101 780 entrées | 9 479 718 $ |
Mon beau-père et nous | 100 000 000 $ | 148 438 600 $ | 1 277 762 entrées | 310 650 585 $ |
Limitless | 27 000 000 $ | 79 249 455 $ | 877 210 entrées | 161 849 455 $ |
L'amour a ses raisons | NC | NC | 25 310 entrées | 9 556 036 $ |
Killer Elite | 70 000 000 $ | 25 124 966 $ | 238 066 entrées | 56 383 756 $ |
Happy New Year | 56 000 000 $ | 54 544 638 | 540 798 entrées | 142 044 638 $ |
Monsieur Flynn | 11 000 000 $[55] | 540 152 $ | 2 911 entrées | NC |
Red Lights | NC | 52 624 $ | NC | 13 551 174 $ |
Happiness Therapy | 21 000 000 $ | 132 092 958 $ | 1 069 359 entrées | 236 412 453 $ |
Un grand mariage | 35 000 000 $ | 21 819 348 | 160 003 entrées | 47 122 137 $ |
Face à face | NC | 39 881 $ | NC | 1 071 322 $ |
Malavita | 30 000 000 $ | 36 918 811 $ | 961 076 entrées | 68 218 811 $ |
Last Vegas | 28 000 000 $ | 63 914 167 $ | 214 305 entrées | 134 402 450 $ |
Match retour | 40 000 000 $ | 29 807 260 $ | 136 364 entrées | 41 907 260 $ |
L'Instinct de tuer | NC | 56 574 $ | NC | 461 780 $ |
Le Nouveau stagiaire | 35 000 000 $ | 75 764 672 $ | 432 282 entrées | 197 232 734 $ |
Bus 657 | 22 000 000 $ | 50 136 $ | NC | 3 324 184 $ |
Joy | 60 000 000 $ | 56 451 232 $ | 512 726 entrées | 101 134 059 $ |
Dirty Papy | 11 500 000 $ | 35 593 113 $ | 220 927 entrées | 105 241 410 $ |
Hands of Stone | 20 000 000 $[56] | 4 712 792 $ | NC | 5 032 013 $ |
The Comedian | 15 000 000 $[57] | 1 659 002 $ | NC | NC |
Joker | 55 000 000 $ | 335 451 311 $ | 5 606 729 entrées | 1 074 251 311 $ |
Voix francophonesModifier
Pour les versions françaises, Jacques Frantz est la voix de Robert De Niro, qu'il double notamment pour Il était une fois en Amérique (2e doublage), Mission, Les Incorruptibles, Les Affranchis, Casino et Heat[58]. Maurice Sarfati l'a également doublé à plusieurs reprises[59], notamment pour Taxi Driver et Raging Bull, de même que Michel Creton[58] (Voyage au bout de l'enfer, Il était une fois en Amérique (1er doublage de 1984), etc.). Pour Le Parrain 2, Roger Crouzet est la voix de De Niro lors du premier doublage du film en 1974 et Marc Perez pour le second doublage de 2008[60].
Au Québec, Hubert Gagnon (Jackie Brown) et Jean-Marie Moncelet (Tension, La Correction) sont les voix françaises de l'acteur dans la majorité de ses films[61].
Versions françaisesModifier
- Jacques Frantz : Il était une fois en Amérique (2e doublage)[58], Les Incorruptibles[58], Les Affranchis[58], Casino[58], Heat[58], etc.
- Maurice Sarfati : Taxi Driver[59], Raging Bull[59], etc.
- Michel Creton : Voyage au bout de l'enfer[58], Il était une fois en Amérique (1er doublage)[58].
- Patrick Descamps : Everybody's Fine, Malavita
Versions québécoisesModifier
- Hubert Gagnon : Jackie Brown[61], etc.
- Jean-Marie Moncelet : Tension[61], La Correction[61], etc.
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Le sixth grade est l'équivalent de la classe de sixième au collège en France.
- Ce sont les équivalents des classes de cinquième et quatrième au collège en France.
- La ninth grade est l'équivalent de la classe de troisième au collège en France.
- Ne sont pris en compte uniquement les rôles notables et par ordre chronologie de sortie aux États-Unis.
RéférencesModifier
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API. Son patronyme provient de l'Italie [de ˈniːro].
- « International Rome Film Festival - De Niro: "I have an Italian passport, I have finally come home" », (consulté le 28 septembre 2016)
- « De Niro Will Get Italian Citizenship » (consulté le 28 septembre 2016)
- Inside the Actors Studio, 1998.
- (en) « Robert De Niro Biography », filmreference.com (consulté le 20 août 2007)
- (en) « Robert De Niro Biography », contactmusic.com (consulté le 7 décembre 2010)
- Andy Dougan, Untouchable : a biography of Robert De Niro, Da Capo Press, , 400 p. (ISBN 1-56025-469-6, lire en ligne), p. 145.
- (en) « Biography for Robert De Niro », imdb (consulté le 29 août 2013)
- Dougan, p. 10.
- Dougan, p. 12–13.
- Dougan, p. 13–14.
- John Baxter, De Niro : A Biography, HarperCollins, , 404 p. (ISBN 978-0-00-257196-8), p. 37–38.
- Baxter, p. 37.
- Dougan, p. 17–18.
- Dougan, p. 17.
- Dougan, p. 15.
- (en) Kevin Dolak, « Actress Jill Clayburgh Dead at 66 », sur ABC News, (consulté le 28 avril 2014).
- Samuel Blumenfeld et Laurent Vachaud, Brian de Palma : Entretiens avec Samuel Blumenfeld et Laurent Vachaud, Paris, Calmann-Lévy, , 214 p. (ISBN 2-7021-3061-5), p. 23.
- « The Wedding Party (1969) », sur imdb.com.
- « Men of Honor 2000 », sur metacritic.com.
- « Men of Honor », sur boxofficemojo.com.
- « Meet the Parents », sur boxofficemojo.com.
- « 15 Minutes », sur boxofficemojo.com.
- « Showtime », sur boxofficemojo.com.
- « Analyze That », sur boxofficemojo.com.
- « The Score », sur boxofficemojo.com.
- « Meet the Fockers », sur boxofficemojo.com.
- « Righteous Kill », sur boxofficemojo.com.
- « Robert de Niro, président du jury du 64e Festival de Cannes », festival-cannes.com, 6 janvier 2011
- Interview Dany Jucaud, « Martin Scorsese, Netflix, Donald Trump... Robert De Niro se confie à Paris Match », Paris Match, (lire en ligne, consulté le 11 juillet 2020).
- Leonardo DiCaprio retrouvera Martin Scorsese pour une sixième collaboration, www.lesinrocks.com, 19 juillet 2017.
- bilan.ch.
- « De Niro promet 100 000 dollars à qui prouvera que les vaccins sont sans danger », sur lexpress.fr, (consulté le 26 février 2017).
- (en-US) Dan Adler, « Peter Nygard Is the Latest Multimillionaire With a Gated Island Estate to Whom Things Seem to Have Caught Up », sur Vanity Fair (consulté le 25 janvier 2021)
- « Barack Obama a remis ses dernières médailles de la Liberté », parismatch.com, 23 novembre 2016.
- (en) « Box-office américain des films avec Robert DeNiro », sur Box Office Mojo.com (consulté le 23 avril 2014).
- Box Office Story
- « Box-office des films avec Robert DeNiro », sur Jp's Box-office.com (consulté le 23 avril 2014).
- Robert De Niro - The Numbers.
- Gandini, p. 12.
- (en) « AFI Catalog - Hi, Mom! (voir la section "History") », sur AFI.com (consulté le 17 août 2018) : « On 26 Nov 1969, Var reported that the film, officially titled Hi, Mom! was completed at a cost of slightly more than $100,000, and was in the final stage of editing ».
- (en) « Mean Streets – AFI Catalog », sur American Film Institute (consulté le 17 août 2018) : « In a 24 Feb 1974, NYT article, Taplin revealed that he raised the $480,000 budget for Mean Streets “from acquaintances in Cleveland, his hometown.” (voir dans la catégorie History) »
- Box-office du week-end du 12 octobre 1973
- Nat Segaloff, Final Cuts: The Last Films of 50 Great Directors, Bear Manor Media 2013 p. 146-148
- Sanglantes Confessions, IMDb
- (en) « Box office / business for Falling in Love (1984) », sur imdb.com
- (en) « Box office / business for Brazil (1985) », sur imdb.com
- (en) « Box office / business for Mission (1986) », sur imdb.com
- (en) « Jacknife - AFI Catalog », sur American Film Institute (consulté le 17 mars 2018) : « An 18 May 1988 Var news item estimated the film’s budget was over $10 million. (voir catégorie History) »
- Nat Segaloff, Final Cuts: The Last Films of 50 Great Directors, Bear Manor Media 2013 p 253-255
- (en) « Guilty By Suspicion - AFI Catalog », sur American Film Institute (consulté le 17 août 2018) : « (voir catégorie History) : Principal photography on the $13 million picture concluded on 8 Jun 1990 in Los Angeles. ».
- http://catalog.afi.com/Catalog/moviedetails/59343
- (en) « Mad Dog and Glory », sur powergrid.thewrap.com
- PERSALL, STEVE. "Fake Expectations", St. Petersburg Times, August 19, 1996
- (en) « Being Flynn », sur powergrid.thewrap.com
- « Hands of Stone (2016) », sur The Numbers (consulté le 26 avril 2016)
- « The Comedian (2016) », The Wrap (consulté le 17 février 2017)
- « Comédiens ayant doublé Robert De Niro en France » sur AlloDoublage.
- « Comédiens ayant doublé Rober De Niro en France » sur RS Doublage.
- « Le Parrain 2 », sur AlloDoublage (consulté le 30 octobre 2018).
- « Comédiens ayant doublé Robert De Niro au Québec » sur Doublage.qc.ca.
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Franck Buioni (trad. Guylaine Collewet et Franck Buioni), Absolute directors. Le temps de la décadence, Rosières-en-Haye, Camion blanc, coll. « Camion noir » (no 88), , 1003 p. (ISBN 978-2-35779-446-7, ISSN 1950-0270, OCLC 869725147, notice BnF no FRBNF43763531, SUDOC 176807144, présentation en ligne).
DocumentairesModifier
- Luc Lagier, « C'est quoi, Robert De Niro ? », sur Blow Up, Arte, .
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
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- Robert de Niro - Portrait sur ina.fr