La bataille prend une si grande importance que le cardinal de Richelieu, ecclésiastique et homme d'État français, la désigne comme la « bataille qui a sauvé la civilisation ». Celle-ci est restée fameuse même en Croatie et en Hongrie, inspirant le poème épique hongrois « Siège de Sziget » et l'opéra croate « Nikola Šubić Zrinski ».
Le pas de base du csárdás est apparenté aux anciens branles : il est formé de pas latéraux à gauche et à droite, où le couple se déplace soit ensemble (en miroir), soit du même pied sur un petit cercle. En général, deux pas à droite suivis de deux pas à gauche constituent une unité, mais il existe de nombreuses variantes moins répandues, comme le pas "des vieux" (öreges: en avant et en arrière, avec ou sans inflexion diagonale), ou le pas syncopé (un pas à droite suivis d'un pas à gauche = une unité) du csárdás rapide de Kalotaszeg, localement connu sous le nom de szapora.