Utilisatrice:Manacore/Brouillon

En travaux modifier

Concours modifier

Discussion concours

Contrairement à ce que les protestants ont parfois prétendu, il n'a jamais enseigné le salut par les œuvres. Avec la Réforme, et comme elle, il affirme que c'est Dieu qui sauve, Dieu seul, et qu’il sauve par grâce ; sans grâce pas de salut. Le Concile de Trente déclare : « Si quelqu'un dit que l'homme peut être justifié devant Dieu par ses œuvres ... sans la grâce divine venant par Jésus Christ, qu'il soit anathème. »

En cours modifier

[1]

[2]

[3]

Narrative criticism modifier

:de

Visfortprol

Charles Feld

William Henry Bartlett - Upper Cascade of the Reichenbach (Canton Bern), 1836.jpg

Wikipédia:Sondage/Écriture inclusive

Benoit M. sur Dubourg

uuuuuurgent : NTBrill

Divine Simplicityn Irénée

Transm or des év : Delbert Burkett, An introduction to the New Testament and the origins of Christianity, Cambridge University Press, 2002 (ISBN 978-0-5210-0720-7), p. 124

Peuple témoin

Peuple prophétique et nation témoin. Le peuple juif dans le "Contra Faustum manichaeum" de saint Augustin Massie

Pages: 666 p. Size:165 x 250 mm Language(s):French Publication Year:2011

  • [4]
  • Bernhard Blumenkranz, Die Judenpredigt Augustins, Basel, 1946, im Kapitel „Bescheltungen der Juden bei Augustin“.
  • Christian Staffa, „Von der gesellschaftlichen Notwendigkeit christlicher Antisemitismuskritik.“ In: Zentralrat der Juden in Deutschland (Hrsg.): „Du Jude“ – Antisemitismus-Studien und ihre pädagogischen Konsequenzen. Hentrich & Hentrich, Leipzig, 2020

Historiographie Shoah modifier

Quête du Jésus historique modifier

cf version 2009 pour chronologie et classif

Historical Jesus sur :en

À la suite de Hermann Gunkel, les chercheurs Karl Ludwig Schmidt (1891-1956) et Martin Dibelius (1883-1947) introduisent en 1919 la Formgeschichte, qui remplace la critique littéraire jusque-là prévalente. Il ne cherche pas des sources plus anciennes pour l’auto-proclamation de Jésus, mais pour la forme, le genre et l’intention personnelle d’une unité textuelle qui rend son Sitz im Leben, c’est-à-dire son but, compréhensible pour le cercle respectif des porteurs.

Dans son essai Der Rahmen der Geschichte Jesu, Schmidt confirme la thèse de Wrede : l’Évangile selon Marc ne fournit pas de chronologie ni d'éléments topographiques, car seul l'auteur a organisé les événements selon la séquence qu'il souhaitait. Ce point soulève une question méthodologique supplémentaire : celle des intentions de cette composition, autrement dit celle de l’histoire éditoriale, la Redaktionsgeschichte. Les évangélistes apparaissent donc comme des auteurs plutôt que comme de simples éditeurs de sources données. Schmidt note, par exemple, que l'Évangile selon Matthieu regroupait les textes de Marc et la Source Q dans l’ordre « Messie de la Parole » (doctrine, interprétation de la Torah : Mt 5-7) et « Messie d’action » (Mt 8-12).

Roi-prêtre modifier

Grassfields Université d'Oxford Rex et sacerdos Roi-Prêtre de Mohenjo-daro Priesterkönig

TJ, mormons et alii modifier

Cf. le Conseil oecuménique des Églises (COE). Une recherche des termes "témoins de Jéhovah", "mormon" ou "Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours" sur le site du COE ne renvoie aucun résultat « page d'accueil », sur le site du Conseil œcuménique des Églises (consulté le ).

Varia modifier

Plutôt que de parler de clan ou de militants LGBTQI ou LSP, il me semble qu'il s'agit de contributeurs et contributrices qui se reconnaissent comme ayant une vision plus large de la notion d'inclusivité. La notion d'inclusivité ayant un forte connotation morale positive, ils se sentent légitimes à se soutenir les uns les autres et voient la remise en question de leur choix éditoriaux comme une agression et une attaque contre leurs valeurs communes. Cette sensibilité les conduit à interpréter toute opposition comme des attaques de phobiques en tout genre contre lesquels il s'agit de lutter en démontant leur discours (analyse de texte, mise en exergue de parallelisme potentiellement litigieux, oubli de bon genrage etc). Parmi leurs opposants, il y a certes probablement quelques haineux, mais aussi des représentants classiques de la sociéte qui auront besoin de temps pour comprendre, accepter et admettre ces changements...


  • André Gounelle, « Théologies des religions non chrétiennes », Autres Temps, 1990, n°27, p. 6-17.
  • Dominik Helms, « Vaticinium ex eventu », in Michaela Bauks, Klaus Koenen, Stefan Alkier (Hrsg.), Das wissenschaftliche Bibellexikon im Internet (WiBiLex), Stuttgart, 2019
  • Joël Kotek, « Qu'est-ce qu'une caricature antisémite ? Essai d'explication historique et politique », sur ISGAP, Institut d'étude sur l'antisémitisme,
  • Copies conformes ou simples démarquages des illustrations du Pilori ou du Stürmer, les caricatures antisionistes d’aujourd’hui ont recours [...] au même mode de représentation (le Juif au nez crochu, à la bouche lippue, au dos voûté) [...] que leurs ‘illustres’ prédécesseurs.
  • Car peut-on encore parler de « caricature » lorsque l’idée n’est pas de grossir ou d’exagérer la réalité mais tout simplement de l’inventer ? Une caricature digne de son nom décrit avec un minimum de mots le réel. Une caricature antisémite ne s’intéresse pas au réel, elle l’invente tout simplement.
  • File:Ces bons juifs (R. VIau, affiche).jpg Affiche pour Ces bons juifs ! du journaliste antisémite Raphaël Viau, 1898. Pamphlétaire proche d'Édouard Drumont, Viau s'en prend notamment aux Rothschild afin de dénoncer « l’asservissement du Français par le Juif »[1].
  • Le Point, 2 novembre 2022
  • ibid 24 octobre 2021
  • Le Nouveau Péril sectaire, 2021

Barnabé Il est supposé dans cet article que l’individu désigné dans les Actes comme Jean Marc (12:12, 25; 15:37), Jean (xiii, 5, 13), Marc (15:39), est identique à la marque mentionnée parsaint Paul (Colossiens 4:10; 2 Timothée 4:11 ; Philémon 24) et par saint Pierre (1 Pierre 5:13). Leur identité n’est remise en question par aucun écrivain ancien de renom, alors qu’elle est fortement suggérée, d’une part, par le fait que Marc des épîtres pauliniennes était le cousin (ho anepsios) de Barnabas (Colossiens 4:10), à qui Marc des Actes semble avoir été lié par un lien spécial (Actes 15:37, 39); de l’autre par la probabilité que le Marc, que saint Pierre appelle son fils (1 Pierre 5:13), n’est autre que le fils de Marie, vieil ami de l’apôtre àJérusalem (Ac 12:12). Au nom juif Jean a été ajouté le pronomen romain Marcus, et par ce dernier il était communément connu des lecteurs des Actes (15:37, ton kaloumenon Markon) et des Épîtres. La mère de Marc était un membre éminent de l’Église naissante deJérusalem ; c’est chez elle que Pierre se tourna vers sa libération deprison; la maison était approchée par unporche (pulon), il y avait une esclave (paidiske), probablement la portière, pour ouvrir la porte, et la maison était un lieu de rencontre pour les frères, dont « beaucoup »priaientlà la nuit où saint Pierre est arrivé deprison (Actes 12:12-13).

Ambiances modifier

  1. Grégoire Kaufmann, « Rothschild & Cie. La bourgeoisie juive vue par Édouard Drumont », Archives juives, 2009/1 (Vol. 42), p. 51-68, lire en ligne.

Le Bistro et ses suites modifier

 

MV : Yves Chiron + Salon de médiation + diffs modifier

(2017) Benoît de Fleurac, chargé de com ; Daniel Fiorletta, représentant des éditions Pisani ; Yves d’Horrer, le traducteur ; François-Michel Debroise, auteur de livres consacrés à Maria Valtorta  ; le Père Yannik Bonnet (+ 2018) ; Florian Boucansaud, ancien footballeur professionnel. « Sont en cours de parution une édition adaptée et illustrée pour les enfants et une autre édition « simplifiée » (en 20 volumes !) « avec les dialogues authentiques, sans les longues descriptions ni les longs discours » (sic). [...] Depuis le mois de juin, l’Association Maria Valtorta offre le tome 1 de la nouvelle traduction de L’Évangile tel qu'il m’a été révélé à tout prêtre qui en fera la demande. [...] L’association espère bien sûr que ces prêtres, devenus fervents admirateurs de Maria Valtorta, seront les meilleurs ambassadeurs de ses livres auprès de leurs fidèles. »

Je m'inscris en faux contre cette accusation personnelle larvée, selon laquelle je n'accepterais pas la discussion, voir l'historique de Discussion:épistémologie depuis janvier 2023 [5]. Seulement, mes forces humaines et mes disponibilités sont limitées en matière de discussions à n'en plus finir qui ces derniers temps visent le plus souvent à "discuter"/critiquer mes contributions en personnalisant le débat. En dernier lieu et étant donné l'annulation réitérée de l'une de mes contributions sourcées par le contributeur ici demandeur, avec un diff. que je trouve légèrement cynique sur le "temps" dont je dispose pour contribuer à l'article plutôt que pour "discuter" [6], je ne me sens pas tenu(e) d'avoir à "paraître" dans un "salon de médiation" prétexte, ayant valeur larvée accusatoire de ma personne vis à vis du rapport de forces groupé qui souhaite m'obliger à discuter encore jusqu'à épuisement ou élimination de "l'adversaire"... De toute façon et n'ayant nulle envie de m'engager dans un conflit d'édition stérile, et forcée de la sorte à me retirer moi-même en raison de l'épuisement de mes forces investies plutôt dans la rédaction de l'article [7], j'accepte la dernière annulation de ma contribution jugée "hors sujet" par le contributeur demandeur. Je la transporte dans l'article James Frederick Ferrier, qui avait bien besoin d'être sourcé, et où, il me semble, nul(le) ne pourra me reprocher de ne pas être dans le "sujet". Cette convocation à paraître en "salon de médiation" me parait donc caduque me concernant. Cordialement --Utilisateur:Bruinek|Bruinek]] (Discussion utilisateur:Bruinek|discuter]]) 22 avril 2023 à 14:01 (CEST)
Utilisateur:D Cat laz|D Cat laz]] semble déterminé à se ranger aux côtés de Utilisateur:Dominic Mayers|Dominic Mayers]]. D'après son intervention sur la pdd de Maria Valtorta, il semble également déterminé à me désigner, au même titre que Utilisateur:Bruinek|Bruinek]], comme bouc émissaire des innombrables polémiques suscitées par DM. Grand bien lui fasse, mais à ce stade il est urgent de mettre qq points sur les i.
Nous sommes en effet un certain nombre (ou plutôt : un nombre certain) de contributeurs à vivre depuis plusieurs mois la même pénible expérience que Bruinek dans de tout autres articles et pages de discussion. Cela concerne notamment les articles de base sur les PF, la notion de neutralité, celle de travail inédit, celle de pov-pushing, celle de sourçage, etc., mais aussi des articles quasi inconnus mais riches en possibilités de pov-pushing et de trollage.
Dans tous les cas, les contributeurs se retrouvent prisonniers d'interminables débats chronophages, agressés par une avalanche de "nouvelles sections" et sous-sections où se multiplient les reproches gratuits, les attaques personnelles toujours énoncées bien poliment, bien "gentiment", sur des dizaines de milliers d'octets, pour aboutir, au terme d'un long processus d'hypercritique de toutes leurs réponses, à revenir au point de départ avec néanmoins un supplément, toujours le même : les PF ne sont "pas clairs" (sic), les règles de base ne sont "pas claires" (sic), tout est dans tout et réciproquement, et les contributeurs n'ont de toute façon rien compris ni aux PF ni aux tl;dr de DM.
Ces contributeurs sont épuisés, vidés, d'avoir dû lui réexpliquer 15 fois la même chose, chaque fois à sa demande : tous ces efforts, toute cette patience, pour se retrouver dans la peau de coupables (!) face à un DM mystérieusement transformé en "victime" ! S'estimant sur le point de faire l'objet d'une RA collective, DM vient d'annoncer subitement son retrait de wp pour 6 mois - sans toutefois oublier de solliciter d'éventuels renforts. Bruinek, comme nous tous, est bénévole, et l'ensemble de ses contributions démontre qu'elle est sur wp pour contribuer. Les personnes qui sont sur wp pour contribuer, comme Bruinek, comme nous, ont le droit de ne pas se faire piétiner et de pouvoir contribuer dans une ambiance sereine. Cdt, Utilisatrice:Manacore|Manacore]] (Discussion utilisatrice:Manacore|discuter]]) 22 avril 2023 à 15:37 (CEST)

Ostpolitik du Saint-Siège modifier

WP:P De nombreux cultes païens ont précédé la tradition du sapin de Noël. Par exemple, le dieu nordique Heimdall était supposé venir la nuit dans les maisons afin de déposer des cadeaux pour récompenser les enfants qui s'étaient bien conduits pendant l’année. Pour sa part, le christianisme s'est longtemps opposé aux vestiges du paganisme et en particulier à son culte des arbres.

Au VIe siècle, selon une légende, le missionnaire irlandais Colomba aurait remarqué dans les région des Vosges un grand sapin considéré comme sacré et, avec d'autres moines, aurait disposé des lanternes sur ses branches pour former une croix lumineuse. De même, au VIIIe siècle, d'après une autre légende, Boniface de Mayence aurait abattu d’un coup de hache un arbre dédié au dieu Thor devant une foule de païens, qui se seraient alors convertis au christianisme en voyant que leur dieu n'avait pas réagi à ce sacrilège.

En dehors de ces origines mythiques, il est probable que la coutume du sapin de Noël remonte au XVe siècle.

sfn modifier

Démarrage simple modifier

L'ouvrage de la bibliographie doit être codé avec l'un des modèles {{ouvrage}}, {{article}}, {{chapitre}}, {{lien web}}... Exemples :

  • modèle {{Ouvrage |langue= |auteur1= |titre= |sous-titre= |lieu= |éditeur= |collection= |année= |volume= |tome= |pages totales= |passage= |isbn= |lire en ligne= }}
  • {{ouvrage |auteur=Peter Longerich |titre=Himmler |sous-titre=l'éclosion quotidienne d'un monstre ordinaire |éditeur=éditions Héloise d'Ormesson |lieu=Paris |année=2010 |pages totales=917 }}.

Il convient ensuite de rédiger l'appel de note :

Voici la portion de texte dans laquelle un appel va être placé en utilisant le modèle sfn, à cet endroit précis{{sfn|Longerich|2010|p=195}} et, codé de manière strictement identique, à ce second endroit{{sfn|Longerich|2010|p=195}}.

Test 1 modifier

Le prénom Marie (en grec : Μαριαμ, Mariam, ou Μαρια, Maria) apparaît 54 fois dans le Nouveau Testament : 27 fois Mariam, 18 fois Maria, 7 fois Marias et 2 fois Marian[1],[2] Ce prénom, porté par une femme sur quatre, est de loin le plus répandu chez les Juifs du Ier siècle[3].

La figure du pécheur repenti, déjà populaire en Occident depuis le Moyen Âge, acquiert encore plus d'importance à partir de la Contre-Réforme, moment où le concile de Trente insiste sur la valeur des sacrements, en particulier le sacrement de pénitence[4]. Marie Madeleine en devient alors l’une des incarnations les plus éminentes[4].

Biblio modifier

  • (en) Richard Bauckham, Gospel Women : Studies Of The Named Women In The Gospels, T&T Clarck, (ISBN 978-0802849991)
  • (en) Richard Bauckham, Jesus and the Eyewitnesses : The Gospels as Eyewitness Testimony, (ISBN 0802831621)
  • (en) Richard Bauckham, The Testimony of the Beloved Disciple, Baker Academic, (ISBN 978-0-80103485-5)
  • (en) Maurice Casey, Jesus of Nazareth : An Independent Historian's Account of His Life and Teaching, New York and London, T&T Clark, (ISBN 978-0-567-64517-3)
  • (en) Bart Ehrman, Peter, Paul, and Mary Magdalene : The Followers of Jesus in History and Legend, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-530013-0)
  • (en) Bart Ehrman, How Jesus Became God : The Exaltation of a Jewish Preacher from Galilee, New York, HarperOne, (ISBN 978-0-06-177818-6)

Refs modifier

  1. Concordance de Strong.
  2. La New American Standard Exhaustive Concordance de 1998, dont la traduction se fonde sur le Novum Testamentum Graece (Nestle–Aland, 27e édition, 1993), dénombre également 54 occurrences.
  3. Bauckham 2006, p. 89.
  4. a et b James Hall, Hall's Dictionary of Subjects and Symbols in Art, Crown Press, 1996, p. 345-348.

Commentaires modifier

Bonjour. Je trouve que la page du modèle {{sfn}} est bien documentée. La bonne vieille page Utilisateur:Cantons-de-l'Est/Insérer des références explicite aussi la différence entre {{harvsp}} et {{sfn}}. L'article en page d'accueil ce jour, Navizence, contient aussi des exemples d'appels au modèle {{sfn}}. --[[Utilisateur:Gaspart de la Meije
En résumé: mettre un modèle {{ouvrage}} ou {{article}} en section bibliographie en bas de page, puis positionner le modèle {{sfn}} après l'information à sourcer, en indiquant en paramètre le nom de l'auteur, la date et le n° de page (par exemple {{sfn|Longerich|2010|p=195}}), et c'est tout! -- [[Utilisateur:Speculos
C'est souvent mieux si il y a un "id" dans tout ça. Par exemple {{sfn|Longerich|2010|p=195|id=xy}} {{ouvrage|blabla|blabla|blabla|blabla|id=xy|plume=oui}}. Un exemple simple ici. --[[Utilisateur:Arroser
Quel est l'avantage d'utiliser un "id" de manière systématique? Ça nous oblige à se rappeler de l'id ou de créer son propre standard pour un id. Pourquoi ne pas utiliser le standard qui existe par défaut et ne pas utiliser un id qu'il faut mémoriser? Si je sais que la référence est vers auteur1=Irène Verlaque, date=12 9 2019 (et la page est 99), alors j'utilise sfn|Irène Verlaque|2019|p=99. [[Utilisateur:Dominic Mayers
Pour le paramètre name (dans la balise <ref>) comme pour le paramètre id, j'utilise systématiquement XxxYYYY où Xxx est le patronyme du premier auteur et YYYY l'année de la source (il y a rarement d'ambiguïté, sinon on fait comme dans les revues scientifiques : YYYYa, YYYYb, etc.) : pas de problème pour mémoriser. — [[Utilisateur:Ariel Provost
Mettre un id dans ouvrage ou article n'est utile que quand on n'a pas d'auteur identifié dans l'ouvrage ou l'article pour le lier avec sfn ex {{ouvrage|titre=théorie de la terre plate|id=théorie de la terre plate|plume=oui}} {{sfn|Théorie de la terre plate|2010|p=195}}--[[Utilisateur:Remy34
Perso j'utilise aussi un id quand il y a beaucoup d'auteurs (dont des directeurs de la publication). {{mention|Ariel Provost, je fais pareil pour les id : « Nom année ».
Par ailleurs, {{mention|Arroser, ton exemple utilise une syntaxe inutilement compliquée pour l'appel de note : tu peux simplement écrire {{sfn|xy|p=195}} (où xy est l'id défini dans le modèle {{ouvrage}} en biblio). — [[User:Jules*
Pareil, j'utilise quasiment tout le temps le id car dans certains articles la probabilité que des auteurs soient présents sur plusieurs publications est élevée et même technique que Ariel Provost avec Nom+année. [[Utilisateur:GF38storic
Les exemples de cette page sont très clairs et pédagogiques, mais ne comportent pas de point final : n'est-ce pas contraire aux conventions ? → Aide:Note#Autres consignes. [[Utilisateur:Jilucorg
avec sfn le point est mis automatiquement, à l'inverse d'harvsp--[[Utilisateur:Remy34
Attention, quand le nom de l'auteur est plus compliqué que "auteur1=x Y" (par exemple "auteur1=X1 X2 Y" ou autre, sfn s'embrouille pour former sa clé, il faut revenir aux formes qui isolent correctement le nom (ex: prénom1= X1 X2 nom1=Y) [[Utilisateur:Ursus
Oui, c'est ce que je considère comme étant le standard. Dans un travail collectif, il est mieux de réutiliser le standard qui existe que de recréer son propre « standard  » pour un id. [[Utilisateur:Dominic Mayers

Lex orandi modifier

Origine modifier

L'adage lex orandi, lex credendi est l'abrégé d'une phrase de Prosper d'Aquitaine, disciple d'Augustin et secrétaire du pape Léon le Grand vers 435[1]. Dans ses Capitula, seu Auctoritates de gratia, Prosper écrit que les « rites des invocations sacerdotales » de l'Église ont été « transmis par les apôtres » et sont « célébrés uniformément dans le monde entier », « de telle sorte que la loi de la prière détermine la loi de la foi » (ut legem credendi lex statuat supplicandi[2])[1]. Il explique en détail que l'Église prie pour les infidèles, les idolâtres, les Juifs, les hérétiques, les schismatiques, les lapsi et les catéchumènes afin que leur soient données la foi chrétienne et la miséricorde divine[1].

Pour Prosper, si l'Église prie pour les non-chrétiens et pour les chrétiens au statut incertain, cela signifie que la grâce est nécessaire pour venir à la foi[1]. La lex supplicandi correspond à l'injonction de la Première épître à Timothée (2:1-2) : il faut prier pour tous les hommes, « car Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et arrivent à connaître pleinement la vérité »[1]. Prosper fait une « loi » à partir de cette injonction, en forçant un peu le trait pour affirmer que ces prières sont suffisantes pour couper court à toute discussion théologique. Puisqu'elles parmettent de découvrir la foi véritable, conclut-il, la lex orandi détermine la lex credendi[1],[3],[4].

Prosper reprend ce thème, en 450, dans son De vocatione omnium gentium (« L'Appel de tous les peuples »).

Interprétations modifier

L'Église catholique traduit cette formule par « la loi de la prière est la loi de la foi » et l'explique en ces termes dans son Catéchisme (paragraphe 1124) : « La foi de l'Église est antérieure à la foi du fidèle »[5].

Traditio Legis modifier

 
La Traditio Legis, mosaïque d'une absidiole de l'église Santa Costanza, Rome. Le rouleau remis à Pierre porte l'inscription DOMINUS PACEM DAT (« Le Seigneur donne la paix »). Le terme usuel est LEGEM (« Loi »), et non PACEM (« paix ») : l'hypothèse d'une erreur de restauration a été proposée[6].

La Traditio Legis (« transmission de la Loi » en latin) est un thème iconographique de l'art paléochrétien. Cette scène s'intitule également DOMINUS LEGEM DAT (« Le Seigneur donne la Loi »). Il s'agit d'une représentation de Jésus de Nazareth entouré par Paul et Pierre, à qui il remet un rouleau. La scène inclut parfois la présence d'autres apôtres.

Ce sujet, fréquent dans les mosaïques, les fresques et la statuaire d'influence romaine et byzantine, symbolise la transmission du message évangélique aux disciples de Jésus puis aux premiers chrétiens. Les artistes ont perpétué cette tradition picturale jusqu'au Moyen Âge.

Son interprétation fait aujourd'hui l'objet de discussions parmi les historiens de l'art.

Histoire modifier

 
Mosaïque du baptistère San Giovanni in Fonte, basilique Santa Restituta, Naples, v. 390. Le rouleau donné à Pierre porte l'inscription DOMINUS LEGEM DAT (« Le Seigneur donne la Loi »).

La Traditio Legis, thème de l'iconographie chrétienne, représente Jésus-Christ debout ou assis sur un trône et remettant la Nouvelle Loi aux apôtres Pierre et Paul sous la forme d'un rouleau ou, plus rarement, d'un codicille[7]. Cette image est également connue sous le nom de Dominus Legem dat (« Le Seigneur donne la Loi »)[7].

Ces compositions sont propres à l'art paléochrétien, en particulier dans les sarcophages du dernier tiers du IVe siècle[8]. La version la plus ancienne, sculptée sur les sarcophages dits « de la Passion », montre Jésus au sommet d'une montagne symbolisant le paradis et tenant un rouleau ouvert[9]. Après les années 400, comme la pratique des inhumations dans ce type de sarcophage tend à se raréfier, l'image sculptée de la Traditio Legis tombe peu à peu en désuétude, même si elle réapparaît sur des coffrets-reliquaires, tels ceux de Pola à Venise ou de Nea Heracléa à Salonique[8], et subsiste jusqu'au XIIIe siècle dans les arts carolingien, ottonien et roman[9].

Description modifier

Qu'elles soient sculptées dans le marbre ou l'ivoire, ou qu'elles soient dues aux techniques de la verrerie, de la mosaïque et de la peinture à fresque dans les catacombes,, ces œuvres sont majoritairement d'influence romaine[9],[10].

Pierre se trouve généralement à droite de l'image, donc à la gauche du Christ, et porte une croix à hampe longue[8]. Le Christ a les traits d'un homme adulte, barbu, et se tient au centre, en hauteur, dans une attitude majestueuse face au spectateur[8],[10]. Il lève la main droite, paume ouverte, en un geste caractéristique de l'iconographie de Sol Invictus et des empereurs romains qui en ont revendiqué la filiation, à commencer par Constantin Ier[8].

La main gauche du Christ tend un rouleau à Pierre, qui s'approche pour le placer dans un pli de son pallium[10]. Paul est à la droite du Christ, donc à gauche de l'image, avec un geste d’acclamation[8]. Parfois, le Christ surplombe un monticule rocheux où se trouve un agneau et d'où s'écoulent un ou quatre fleuves (les quatre fleuves du paradis), et l'ensemble peut être encadré par deux palmiers dont l'un abrite un phénix, symbole de la Résurrection[8]. Il arrive souvent qu'une double rangée de brebis se dirige vers l'agneau à partir de deux villes : Bethléem et Jérusalem[8].

Au Moyen Âge, il n'est pas rare que divers personnages se tiennent aux côtés du Christ, de Paul et de Pierre : d'autres apôtres, des évêques, des donateurs[11]...

Débat historiographique modifier

De rares vestiges archéologiques laissent apercevoir une courte phrase sur le rouleau que tient le Christ : DOMINUS LEGEM DAT, phrase sur laquelle se fonde la tradition catholique pour intituler cette scène Traditio Legis, c'est-à-dire « transmission de la [Nouvelle] Loi [à Pierre] », ce dernier étant alors assimilé à Moïse transmettant l'Ancienne Loi au peuple d'Israël[8]. Or, jusqu'au XIXe siècle, ce type d'imagerie n'avait pas reçu d'appellation spécifique parmi les historiens : c'est le chanoine Louis Duchesne (1843-1922) qui lui a donné son nom de Traditio Legis[8]. Cette dénomination s'accorde avec le fait incontesté que la figure du DOMINUS LEGEM DAT apparaît dans l'iconographie chrétienne quelques années après la promulgation de l'édit de Milan par Constantin Ier en 313 : l'hypothèse est que les codes de ce stéréotype sont conformes à la coutume romaine de représenter les empereurs, Constantin ou ses successeurs, remettant un document à un subordonné[9].

 
Copie du Missorium de Théodose au Musée national d'art romain de Mérida.

Toutefois, depuis la seconde moitié du XXe siècle, cette interprétation se voit contestée à partir des travaux de Walter Nikolaus Schumacher (de)[8],[12]. Cet archéologue fait remarquer que le document en question apparaît déroulé et ne saurait donc être assimilé à un mandat impérial : en effet, dans ce cas, l'usage classique représente l'empereur donnant de la main droite (et non pas gauche) un document fermé (et non pas ouvert)[8]. En témoignent le Missorium de Théodose mais aussi plusieurs sarcophages paléochrétiens de Ravenne où ce schéma est adapté à des portraits de Paul[8]. Pour Schumacher, la scène ne signifie donc, non pas que le Christ confie un mandat à Pierre, mais qu'il ressuscite sous les traits de Sol Invictus et proclame la Nouvelle Loi devant Pierre et Paul[8].

Cette interprétation s'oppose à la lecture traditionnelle du catholicisme qui voit le symbole de la primauté pétrinienne dans cette image et l'assimile à des thèmes picturaux a priori assez proches, tel celui de la Traditio clavium[8].

La Traditio clavium modifier

La Traditio clavium (« Remise des clés »), ou Traditio clavis (« Remise de la clé ») se fonde sur un passage de l'Évangile selon Matthieu (Mt 16:19) pour représenter Jésus remettant à Pierre les clés du Royaume des cieux[13],[14],[15].

Quand les sarcophages paléochrétiens associent la Traditio Legis avec les portrait des défunts, la communion des saints avec le Christ[16]


en relation avec « l’Ange du Seigneur » d’Is 9:2-5 LXX, d’Ap 10:1-2 et le rouleau déroulé figure de la révélation de l’Ancien Testament comme dans le Nouveau, ce livre ou ce rouleau que seul l’Agneau est digne d’ouvrir[16].



  1. a b c d e et f Paul De Clerck, « Existe-t-il une loi de la liturgie ? », Revue théologique de Louvain 38-2 (2007), p. 187-203.
  2. Supplicandi est synonyme de orandi, cf. Réponse des théologiens de la Déclaration d'Utrecht.
  3. Réponse des théologiens de la Déclaration d'Utrecht à la constitution apostolique Ineffabilis Deus (1854) de Pie IX.
  4. Charles R. Hohenstein, Lex orandi, lex credendi : Cautionary Notes.
  5. « Lex orandi », site de l'Église catholique de France.
  6. Mikael Rasmussen, « Traditio Legis Motiv: Bedeutung und Kontext », Late Antiquity : Art in context, Acta Hyperborea 8, 2001, université de Copenhague, 2001, p. 21-52.
  7. a et b « Traditio Legis », Robert E. Bjork (dir.), The Oxford Dictionary of the Middle Ages, Oxford University Press, 2010 (ISBN 9780198662624).
  8. a b c d e f g h i j k l m n et o Yves Christe, « The Lord’s Left Side : une mise au point salutaire sur l’image dite de la Traditio legis », compte-rendu, Bulletin monumental 175-3, 2017, p. 273.
  9. a b c et d Annemarie Weyl Carr, « Traditio Legis », in Alexander P. Kazhdan (dir.), The Oxford Dictionary of Byzantium, Oxford University Press, 2005 (ISBN 9780195046526).
  10. a b et c Robert Couzin, The "Traditio Legis" : Anatomy of an Image, Archaeopress, Archaeology, 2015 (ISBN 978-1784910815).
  11. Matthias Exner, « Estucos », in Enrico Castelnuovo et Giuseppe Sergi (dir.), Arte e historia en la Edad Media, Akal , Madrid, 2013 (ISBN 978-84-460-2496-5), p. 517-518.
  12. Walter Nikolaus Schumacher (de), « Dominus legem dat » Römische Quartalschrift 54, 1959.
  13. « Traditio Legis », Tom Devonshire Jones, Linda Murray, and Peter Murray (dir.), The Oxford Dictionary of Christian Art and Architecture, Oxford University Press, 2013 (ISBN 9780199680276).
  14. « Traditio clavis », ministère de la Culture.
  15. « Traditio clavium », Tom Devonshire Jones, Linda Murray, and Peter Murray (dir.), The Oxford Dictionary of Christian Art and Architecture, Oxford University Press, 2013 (ISBN 9780199680276).
  16. a et b Yves Christe, « The Lord’s Left Side : une mise au point salutaire sur l’image dite de la Traditio legis », compte-rendu, Bulletin monumental 175-3, 2017, p. 274.

Identification/Image cachée modifier

 

Vache tête gauche.

Passage supprimé Charline Vanhoenacker modifier

Le 16 septembre 2021, jour de la fête annuelle de Kippour pour les Juifs, elle publie sur son compte Twitter une vidéo où elle détourne une affiche d'Éric Zemmour en transformant le Z de « Zemmour » en « Zob » et en ajoutant la moustache de Hitler sur la photo de cet essayiste, ce qui entraîne une polémique où elle est accusée d'antisémitisme[1],[2],[3].

Marie (mère de Jésus) modifier

[1]

Épîtres pauliniennes et catholiques modifier

Les Épîtres de Paul, écrites vers l'an 50, sont les textes les plus anciens du Nouveau Testament. Elles n'indiquent nulle part le nom de la mère de Jésus[1]. Une seule occurrence, dans l'Épître aux Galates 4:4, mentionne simplement que Jésus est « né d'une femme », sans autre précision, et cette naissance ne présente apparemment rien de particulier[1]. Dans le même verset, Paul affirme cependant que Jésus est le Fils de Dieu et le Messie d'Israël, « assujetti à la Loi » afin d'en libérer les Juifs[2].

Dans le reste du corpus paulinien et les autres lettres du Nouveau Testament (les Épîtres dites « catholiques »), Marie n'est pas évoquée[1].

Marc modifier

Dans l'Évangile selon Marc, rédigé vers l'an 70, Marie est nommée par référence à son fils : « Celui-là, n'est-il pas le charpentier, fils de Marie ? » (Mc 6,3).



Les deux premiers dogmes mariaux sont communs aux différentes confessions chrétiennes : Marie est déclarée Théotokos (« Mère de Dieu ») par le concile d'Éphèse (431) et sa virginité perpétuelle est officialisée par le deuxième concile de Constantinople (553)[1].

Toutefois, à l'époque moderne, l'Église catholique ajoute deux autres dogmes : l'Immaculée Conception (1854), qui porte sur la conception de Marie elle-même et non pas sur celle de Jésus, et l'Assomption (1950)[1]. Ces deux derniers dogmes sont rejetés par la Réforme protestante mais aussi par le christianisme oriental, malgré sa grande vénération envers Marie[1].

Lors du concile Vatican II, l'Église catholique a inclus la mariologie dans le cadre de l'ecclésiologie générale[3] afin d'éviter les dérives de la piété populaire[1].


  1. a b c d e f g et h Silke Petersen (de), « Maria, Mutter Jesu », lien permanent, 2011.
  2. Simon Butticaz, « L'Épître aux Galates », in Camille Focant et Daniel Marguerat (dir.), Le Nouveau Testament commenté, Bayard/Labor et Fides, 2012, 4e éd. (ISBN 978-2-227-48708-6), p. 830-832.
  3. « La bienheureuse Vierge Marie, mère de Dieu dans le mystère du Christ et de l'Église », chapitre 8 de la constitution dogmatique Lumen Gentium (1964).

Quatre sens de l'Écriture modifier

  • cf dn
  • Leif Grane, Evangeliet for folket : drøm og virkelighed i Martin Luthers liv, København : Gad, 1983, 284 sider, DK5=27.16 (99.4 Luther, Martin). (ISBN 87-12-24250-0)
  • Jan Lindhardt, Middelalderens (og Renæssancens) Bibeludlægning in Fønix nr. 3, 1979.

Sacerdoce universel modifier

Miracle eucharistique modifier

Définition modifier

Plusieurs types d'événements ont été qualifiés de miracles eucharistiques. Il s'agit principalement d'hosties consacrées exsudant du sang ou entrant en lévitation. Ces manifestations jugées surnaturelles ont été décrites comme des « miracles » religieux[1].

On dénombre 132 miracles dits de la « Sainte Hostie » entre 750 et 1962 en Europe occidentale, particulièrement du XIIIe siècle au XVIe siècle[2]. Le pape Innocent III avait reconnu en 1215 la doctrine de la transsubstantiation, [3], selon laquelle Jésus-Christ est charnellement présent sous les espèces du pain et du vin.

Ambiguïtés modifier

Les récits de ces miracles eucharistiques correspondent à des intentions apologétiques renforcées au Moyen Âge par de nombreuses commémorations : des représentations théâtrales connues sous le nom de « mystères », tel le « mystère de la Sainte Hostie » mettant en scène le « miracle des Billettes »[2].

Or les témoignages des contemporains ne permettent guère d'établir une distinction entre le miracle lui-même, sa représentation ou sa commémoration[2]. À partir du XVIe siècle, la propagande religieuse liée à la réaffirmation du dogme de la présence réelle par le concile de Trente incite également les spectateurs à confondre mise en scène et événement concret[2]. La différence entre ce qui est et ce qui n'est pas, entre ce qui se passe et ce qui est montré, entre le réel et l'illusion, s'avère d'autant plus difficile à percevoir qu'il s'agit souvent de fraudes pieuses destinées à convaincre les foules par le biais d'artifices[2]. Le statut de ces représentations, « miracles » et « mystères », demeure donc ambivalent, indistinct[2].


Un problème identique se pose ouvertement, avec les fresques d’Urbino consacrées au thème de la profanation de l’Hostie, puisque le peintre veut montrer que le sang qui en sort est le sang réel du Christ tout en sachant que c’est de la peinture rouge, de la peinture donc, mais réelle donc.


Au Moyen Âge, les Juifs étaient fréquemment accusés de profanation de l'hostie[3]. Cette accusation a conduit des milliers de Juifs au bûcher. Les Juifs étaient censés voler l'hostie ou l'acquérir par achat ou par corruption, la briser ou la faire bouillir, et y enfoncer des aiguilles ou la transpercer, après quoi elle se mit à saigner.

L'accusation de profanation de l'hostie est née après le pape Innocent III. avait reconnu (1215) la doctrine de la transsubstantiation, qui aboutit au culte public et général de l'hostie consacrée. Cela a été fait en 1243 à Belitz, près de Berlin, et à la suite de cela tous les Juifs de Belitz ont été brûlés. Des accusations similaires, entraînant des persécutions plus ou moins étendues contre les Juifs, furent avancées en 1290, à Paris Martin Luther (1523) et Sigismond Auguste de Pologne (1558) furent parmi ceux qui répudièrent l'accusation, dont la répétition cessa peu à peu après la Réforme. L'accusation de profanation de l'hostie reposait sur l'hypothèse que les juifs, comme les chrétiens, identifient l'hostie avec le vrai corps de Jésus ; qu'en crucifiant l'hostie, ils s'imaginent crucifier à nouveau Jésus

L'Enlèvement d'Europe (Rembrandt)

Le tableau a pour sujet une scène mythologique fréquemment représentée dans la peinture occidentale : l'enlèvement d'Europe par Zeus métamorphosé en taureau. Le thème Métamorphoses d'Ovide (II, 833 et suiv.)[4].

Europe


World Jewish Relief

Leonard Montefiore

  1. Corinne Marchal, Manuel Tramaux (éd.), « Le miracle de Faverney (1608). L'eucharistie : environnement et temps de l'histoire ». Actes du colloque de Faverney (9-10 mai 2008).
  2. a b c d e et f Jelle Koopmans, « L'équarrissage pour tous ou la scène des mystères dits religieux », Littératures classiques,‎ (lire en ligne).
  3. a et b « Desecration of the Host », Jewish Encyclopedia, jewishencyclopedia.com lire en ligne.
  4. « The Abduction of Europa », site du J. Paul Getty Museum.


Création (Bible) modifier

Dans le premier récit (Genèse 1:1 et suivants), il est dit: « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre ». Le mot hébreu bara (ברא) utilisé ici pour « créer » s'applique exclusivement à l’action divine[1]. Or, dans la Bible, non seulement il se réfère à la Creatio ex nihilo, mais aussi à l’action créatrice et sans effort de Dieu, qui produit des choses nouvelles, qui n’ont pas encore été faite. Dans diverses bénédictions, en particulier le Kiddouch du jour de Shabbat, Dieu est boré (créateur).

Dans le judaïsme, l’idée d’une création à partir de rien a été formulée notamment par Saadia Gaon (882/892-942)[2] ainsi que par Maïmonide (1138-1204) dans Le Guide des égarés.

Selon l'exégèse historico-critique de la Bible, ces deux récits ont été écrits par des auteurs différents à des époques différentes. Ils n'appartiennent pas non plus au même genre littéraire. Le premier texte (Gn 1:1) s'apparente à un hymne, tandis que Gn 2:4b est une narration.

Épître aux Hébreux : « C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles[3]. » Dans l’interprétation théologique chrétienne, l’origine de tout ce qui n'est pas Dieu est attribuée à Dieu lui-même comme cause unique (causa prima). Par « ciel et terre », on entend l’ensemble de toutes les choses en dehors de Dieu. Le mot "au début" doit exprimer le commencement absolu de toutes choses et du temps du monde.

Communauté johannique modifier

La communauté johannique, ou école johannique, ou encore milieu johannique, est, selon toute vraisemblance, un groupe de chrétiens de la fin du Ier siècle qui auraient écrit collectivement le corpus johannique, notamment l'Évangile selon Jean. Parmi les exégètes qui ont le plus étayé l'hypothèse de l'existence de cette communauté, on peut citer Oscar Cullmann, Raymond E. Brown, Bart D. Ehrman, Harold W. Attridge, Udo Schnelle et Jean Zumstein.

La proximité de ce courant avec les Douze Apôtres fait encore débat chez les spécialistes, tout comme ses liens avec un judaïsme « orthodoxe » ou plutôt « hétérodoxe », ainsi que le lieu où il se serait établi, encore que la majorité des chercheurs penchent pour l'Asie Mineure, probablement la région d'Éphèse.

Toujours est-il que ce groupe a légué au christianisme un corpus bien distinct des Évangiles synoptiques et semble avoir joué un rôle significatif dans la formation de la « Grande Église » comme dans les définitions de la christologie.

La communauté modifier

 
Le Papyrus 66 (Gregory-Aland), ou Codex saint Jean, v. 200.

La tradition chrétienne attribue à l'apôtre Jean de Zébédée la paternité du corpus johannique, c'est-à-dire l'Évangile, les trois épîtres et l'Apocalypse[4]. Cependant, les chercheurs modernes considèrent que Jean de Zébédée n'est l'auteur d'aucun de ces textes[4].

Pour la majorité d'entre eux, dont Bart D. Ehrman, la totalité de ce corpus johannique est due à un collectif d'auteurs spécifique[5],[6]. De même, pour Udo Schnelle, les recherches des deux biblistes Wilhelm Bousset[7] et Wilhelm Heitmüller[8] suffisent à démontrer l’existence de cette « école johannique »[9].

Les spécialistes situent généralement cette communauté à Éphèse, ou parfois à Damas, vers 90-110[10],[11].

De nombreux chercheurs considèrent toutefois que l'Apocalypse n'a pas la même origine que le reste du corpus johannique : elle serait l'œuvre d'un auteur distinct, peut-être Jean de Patmos, qui l'aurait écrite vers l'année 95, avec d'éventuelles interpolations de textes datant du début des années 60, sous le règne de Néron[12]. Udo Schnelle, notamment, estime que l'Apocalypse présente de trop grandes différences de style et de structure avec le reste du corpus pour provenir de la même communauté[13].

Le développement du corpus johannique modifier

Sur la question de l’enchaînement des écrits johanniques, en excluant l'Apocalypse, Schnelle distingue deux modèles possibles[14] : le « modèle classique », avec la séquence : Évangile selon JeanPremière épître de JeanDeuxième épître de JeanTroisième épître de Jean ; et le « modèle alternatif », avec la séquence : Deuxième épître de Jean → Troisième épître de Jean → Première épître de Jean → Évangile selon Jean. Dans ce « modèle alternatif », l'ordre correspondrait au développement de la théologie johannique[15].

Dans l'évangile johannique, Raymond E. Brown discerne quatre phases de développement : les récits issus de l'apôtre Jean, l’édition partielle par ses disciples, la synthèse par le rédacteur et les ajouts d'un éditeur final[16]. En outre, le chapitre 21 montre qu'un narrateur s'exprime à la première personne du pluriel (« nous »), comme la voix d'une communauté qui reprend le témoignage d'un personnage appelé le « disciple bien-aimé »[16].


  1. Jan Christian Gertz, Das erste Buch Mose (Genesis). Die Urgeschichte Gen 1–11, Göttingen, 2018, p. 38.
  2. Michael Satlow, Creating Judaism: History, Tradition, Practice, Columbia University Press, 2006 (ISBN 9780231509114).
  3. He 11:3, trad. Louis Segond, 1910.
  4. a et b Stephen L. Harris, Understanding the Bible: a Reader's Introduction, Palo Alto: Mayfield, 1985, (ISBN 978-0-87484-696-6), p. 355.
  5. Bart D. Ehrman, The New Testament: A Historical Introduction to the Early Christian Writings, New York/Oxford, 2004 (ISBN 0-19-515462-2), p. 178 sq.
  6. Jens-Wilhelm Taeger (de), Johannesapokalypse und johanneischer Kreis. Versuch einer traditionsgeschichtlichen Ortsbestimmung am Paradigma der Lebenswasser-Thematik, Walter De Gruyter, New York/Berlin, 1989.
  7. Wilhelm Bousset, Jüdisch-christlicher Schulbetrieb in Alexandria und Rom. Literarische Untersuchungen zu Philo und Clemens von Alexandria, Justin und Irenäus, Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen, 1915 (ND Olms, Hildesheim/Zürich/New York, 2004), p. 316.
  8. Wilhelm Heitmüller, Zur Johannes-Tradition, ZNW 15 (1914), p. 189–209.
  9. Udo Schnelle, Antidoketische Christologie im Johannesevangelium. Eine Untersuchung zur Stellung des vierten Evangeliums in der johanneischen Schule, Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen, 1987 (ISBN 3-525-53823-5), p. 53.
  10. « The Gopel According to John », Encyclopaedia Britannica.
  11. Raymond E. Brown, Introduction to the New Testament, Anchor Bible, New York, 1997 (ISBN 0-385-24767-2), p. 334.
  12. Bart D. Ehrman, The New Testament: A Historical Introduction to the Early Christian Writings, 2004, p. 468.
  13. Udo Schnelle, Das Evangelium nach Johannes. Theologischer Handkommentar zum Neuen Testament 5. Aufl., Evangelische Verlagsanstalt, Leipzig, 2016 (ISBN 978-3-374-04317-0), p. 2.
  14. Udo Schnelle, « Die Reihenfolge der johanneischen Schriften », New Testament Studies 57, 2011, p. 91–113.
  15. Udo Schnelle, Das Evangelium nach Johannes. Theologischer Handkommentar zum Neuen Testament, 5. Aufl., Evangelische Verlagsanstalt, Leipzig, 2016 (ISBN 978-3-374-04317-0), p. 9.
  16. a et b Raymond E. Brown, The Gospel and Epistles of John: A Concise Commentary, 1988 (ISBN 9780814612835), p. 100 sq.

Irene Harand modifier

Irene Harand, née à Vienne le 6 septembre 1900 et morte à New York le 3 février 1975, est une femme politique et essayiste autrichienne, résistante connue pour sa lutte contre l'antisémitisme et en faveur des droits de l'homme. Elle a reçu en 1969 le titre de Juste parmi les nations. Un monument à sa mémoire est érigé depuis 2010 sur une place de Wieden qui porte son nom.

Biographie modifier

Irene Harand, en éditant jusqu'en mars 1938 une série de timbres à l'effigie de « Juifs vraiment éternels pour leurs mérites », dont le prix Nobel Paul Ehrlich, le poète Heinrich Heine et le compositeur Giacomo Meyerbeer[1].

Ces timbres comportent des notices informatives, en vertu du principe que s'impose Irene Harand : « Il faut répondre par la vérité à chaque mensonge[2]. » Entrés illégalement en Allemagne, les timbres sont clandestinement distribués dans les couloirs de Der ewige Jude[2].

Résistante antinazie de la première heure, Irene Harand avait fondé en 1933 un hebdomadaire, Gerechtigkeit (« Justice »), dans lequel elle s'élevait chaque semaine contre la propagande antisémite du Troisième Reich[2]. Elle avait également publié dès 1933 un pamphlet intitulé So oder So - Die Wahrheit über den Antisemitismus[3]. Cet ouvrage a été traduit en plusieurs langues sous le titre La Vérité sur l'antisémitisme à partir de 1937[3]. Lors de l'Anschluss, en mars 1938, elle donnait une tournée de conférences en Angleterre, d'où elle a émigré vers les États-Unis avec son mari[3]. Sa lutte pour sauver les Juifs autrichiens lui a valu d'être reconnue Juste parmi les nations par Yad Vashem en 1968[3].


Publications modifier

Textes d'origine
Traductions et rééditions
  • Son Combat. Réponse á Hitler, Bruxelles et Vienne, 1936
  • His Struggle. An Answer to Hitler, Chicago, 1937
  • Sein Kampf ("His Fight"). Answer to Hitler and his Mein Kampf, transl. William B. Korach, Laguna Hills, CA, 1983
  • Sein Kampf. Antwort an Hitler, Franz R. Reiter (Hrsg.), Reproduktion der Ausgabe Wien 1935, Ephelant-Verlag, Wien, 2005 (ISBN 3-900766-16-9)

Bibliographie modifier

  • Rosemarie Burgstaller, « Der Ewige Jude (Ausstellung, 1937) », 30 juillet 2020, in Historisches Lexikon Bayerns, (lire en ligne)
  • Anne Commire (ed.), « Harand, Irene (1900–1975) », in Women in World History: A Biographical Encyclopedia, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications, 2002 (ISBN 0-7876-4074-3) (lire en ligne) »
  • Joseph Hausner, Irene Harand and the Movement against Racism, Human Misery and War, 1933–1938, université Columbia, New York, 1974
  • Christian Klösch, Kurt Scharr, Erika Weinzierl (éd.), Gegen Rassenhass und Menschennot : Irene Harand - Leben und Werk einer ungewöhnlichen Widerstandskämpferin, Studien-Verl., Fonds national autrichien, Innsbruck, 2004 (ISBN 9783706519182), 324 p.
  • Christian Klösch, Kurt Scharr, Erika Weinzierl (éd.), Gegen Rassenhass und Menschennot : Irene Harand - Leben und Werk einer ungewöhnlichen Widerstandskämpferin (lire en ligne) sur le site du Fonds national autrichien
  • John Connelly, « Über den Irene-Harand-Reader von Klösch, Scharr, Weinzierl », recension de l'ouvrage Gegen Rassenhass und Menschennot : Irene Harand, Department of History, université de Californie, Berkeley (lire en ligne)
  • Kurt Scharr, « Irene Harand (1900-1975) : Antwort an Hitler. Aspekte einer frühen - christlich fundierten Opposition gegen den Nationalsozialismus », université d'Innsbruck, 2005 (lire en ligne)

Annexes modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. Rosemarie Burgstaller, « Der Ewige Jude (Ausstellung, 1937) », 30 juillet 2020, in Historisches Lexikon Bayerns.
  2. a b et c « Über den Irene-Harand-Reader von Klösch, Scharr, Weinzierl », recension de l'ouvrage Gegen Rassenhass und Menschennot : Irene Harand par John Connelly, Department of History, université de Californie, Berkeley.
  3. a b c et d Irene Harand, biographie et documents sur le site de Yad Vashem.


Autres modifier

Première épître de Clément modifier

Suivi du vote

Geoffrey de Peyrac

LS vs LS

William Jennings Bryan, NYT, 1896

Marilyn J. Boxer

Twitter

Autres

PàS XD

Non-Chalcedonian, or Oriental Orthodox

Modèles médailles modifier

Récompenses modifier

  Bonjour, la page Le Juif éternel (exposition) vient d'être acceptée au label Bon article.

Un grand merci pour cette promotion   !

À titre d'image, ou plutôt de contre-image, la présente photo est celle du mémorial de Yad Vashem.

Merci d'avoir su démontrer la valeur de notre travail commun   !

Bien cordialement, Manacore (discuter) 7 janvier 2021 à 19:58 (CET)

  Miaou XXX  , valeureux lauréat de la médaille d'or de Los Gatos, capitale du monde libre.
Avec les félixitations de la Cabale des chats  .
Bien chamicalement,
  Bonjour, la page sur la Première épître de Clément vient d'être acceptée au label Bon article.

Merci d'avoir participé à cette promotion   !

Bien cordialement, Manacore (discuter) 13 novembre 2018 à 12:38 (CET)

Années modifier

  Que cette année 2019 soit riche en bonheurs sur wp comme dans la vraie vie.

Avec tous mes vœux  . Amicalement,

  Le 31 janvier étant le dernier moment pour présenter ses vœux,
ils n'en sont que plus intenses
pour que l'année 2020 soit belle, heureuse et baroque  .

Amicalement, Manacore (discuter)

  Que cette nouvelle année 2021 soit la plus belle !
Tous mes vœux, bien amicalement  .

Manacore (discuter) 1 janvier 2021 à 16:52 (CET)

  Que cette nouvelle année 2023 tienne ses plus belles promesses !
Tous mes vœux, bien amicalement  .

Manacore (discuter) 2 janvier 2023 à 19:09 (CET)

  Meilleurs vœux pour 2024 !
Hello Manacore/Brouillon,

Que cette nouvelle année
Te soit douce et légère
Dans la vraie vie comme sur wp.
Amicalement,
Manacore (discuter) 31 janvier 2024 à 21:23 (CET)

Divers modifier

Après m'avoir gravement blessée il y a plusieurs mois en niant mon statut de femme, TwoWings continue dans ses attaques personnelles à mon encontre. Dans une PàS où j'ai donné un avis "neutre" qui ne le concernait en rien, il me notifie et viole WP:FOI : il m'accuse carrément de lui faire un procès d'intention - ce qui ne risque pas de se produire, étant donné que j'ai indiqué que je souhaitais ne plus jamais avoir affaire à ce contributeur, pour quelque raison que ce soit. Pierrette13 remet les pendules à l'heure en lui répondant que, de toute évidence, ma remarque ne le concernait pas. L'incident est-il clos ? Non, au contraire. TwoWings en rajoute, en piétinant à nouveau WP:FOI et en m'accusant d'être non seulement malhonnête mais stupide : « cela montre simplement que Manacore n'a pas cherché à comprendre ce qui pouvait avoir permis cette PàS ». Pour éviter que cela devienne une Wikitraque de sa part, je demande un ferme avertissement à son égard. Si un admin pouvait lui faire comprendre mon refus absolu de lui adresser la parole... Merci d'avance. Cdt,

AH

L'un des blocages de l'ip hostile 82.120.95.7 90.2.119.228 86.249.66.117

Voir aussi l'ip 90.35, suivie de 86.249
Merci de cette réponse. Il y a eu une RA de la part de l'une de ces ip multiples : voici le lien, en espérant qu'il est bon.

LSP

Exemple d'« interprétation » de source Texte interprété par Asterix757 : « Des centaines de revues systématiques ont déjà établi que certaines thérapies alternatives pouvaient avoir des effets positifs. » Texte d'origine : « Bien que que l'on critique souvent l'usage des thérapies alternatives malgré un manque de preuves, des centaines de revues systématiques ont en fait évalué des thérapies alternatives spéifiques ; quelques-unes, bien conduites, ont démontré que la médecine alternative offre un net bénéfice. » (« Although CAM therapies are often criticized for being used despite a lack of evidence, hundreds of systematic reviews have, in fact, evaluated specific CAM therapies; of these, some have been well conducted and have shown that the CAM therapy offers a clear benefit. »)


Attente d'archivage modifier

Fusion de documents rédigés de façon autonome et publiés tels quels. Chacun peut provenir d'un ou de plusieurs auteurs se fondant sur différentes sources écrites ou orales.

J : YAHVISTE (Jahvist) (Jehowist) Xe siècle Écrivain du Sud (Jérusalem)

E : ELOHISTE IXe ou VIIe siècle Écrivain du Nord (Samarie)

D : DEUTÉRONOME Fin du VIIe siècle (règne de Josias) Législateur de Jérusalem

P : SACERDOTAL (Priestercodex) (Priesterschrift) VIe siècle Prêtres de Jérusalem en exil à Babylone

D'abord J. Puis E arrive à Jérusalem après la chute de la ville de Samarie en 722. Il est fusionné à J, formant ensemble le document jéhoviste (JE). Après l'exil à Babylone (582-538), P reçoit des ajouts de type législatif (codés Ps) puis fusionne à JE pour donner le Tétrateuque (JEP) (les 4 premiers livres de la Bible). Puis D est fusionné à l'ensemble, d'où le Pentateuque (JEDP).

Critiques

J est flou, avec un découpage qui reste à déterminer. Datation contestée : plus récent (VIIe siècle ou après) ?

E est contesté : les textes qu'on lui attribue sont trop fragmentaires pour provenir d'un livre.

D'où deux grandes écoles rédactionnelles :

DTR (école deutéronomiste), mise en forme du Deutéronome : surtout Babylone au début de l'exil. Scribes, sans doute proches des milieux prophétiques. Le but est d'expliquer les causes de l'exil d'Israël. Ecrit l' histoire d'Israël, de Josué aux Livres des Rois.

P (école sacerdotale) : en exil également, peut-être un peu plus tard. Milieux du clergé d'Israël. Précisions chronologiques.

Après l'exil, les deux écoles continuent à modifier le Pentateuque jusqu'à sa forme actuelle. D'où relectures post-sacerdotales ou post-deutéronomistes.

En attente modifier

Piasa Bernie Testimonia, site à vérifier

été 81 Wiltshire terrasse café Marlborough Downs David Umber jeune doctorant documents Griffin Junius Sally Wilkinson coroner accident pas suicide ni meurtre Tamsin deux ans fourgon blanc printemps 2004 George Sharp Oliver Hall Jeremy Percy Nevinson Claire Wheatley et Alice amie de Sally 9 ans après l'enlèvement Brian Radd Jane Questred Jersey sight unseen bantam press 2005 sonatine éditions 2017 maxime berrée les mystères d'avebury (ISBN 978-2-35584-362-4)

[[Catégorie:Livre des Ketouvim|Daniel [[Catégorie:Littérature apocalyptique [[Catégorie:Eschatologie juive [[Catégorie:Eschatologie chrétienne [[Catégorie:Fin du monde

GUIDE modifier

2S 12,1-4 Lv 19,18

2 S 12:1-4, 2 S 14:6-8, 1 R 20:39-40, Is 5:1-6 et Is 28:24-28 Livre d'Ézéchiel (Éz 3:24-26, 4:1-4 et 24:3-5)

Notes et références modifier

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Références modifier

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Excerpts from Raymond Martin's (Lat. Raymundus Martini, appointed by the Pope to dig up the passages of the Jewish Talmud objectionable to Roman Catholics) Pugio Fidei adversus Mauros et Judaeos of 1270 CE (page 559). The Latin form "Jehova" of the Tetragrammaton is seen. This edition is published in Leipzig, 1687, now is found in the New York City Public Library

Raimond Martin dominicain XIIIe siècle (v. 1215-1285)

Raimond Martin, célèbre inquisiteur et auteur du texte antisémitique Poignard de la foi, Pugio fidei adversus Mauros et Judaeos en 1278

Le 23 mars 1264 il est chargé par le roi Jacques Ier d'Aragon de travailler à « expurger les livres des juifs de leurs blasphèmes. » Sont mandatés avec lui l'évêque de Barcelone, le dominicain Raymond de Peñafort, et deux autres dominicains C'est la première mention de censure dominicaine du Talmud en Espagne. Dans le rapport qui fait suite à ce travail, Raimond Martin déclare que beaucoup de passages des livres examinés confirment la vérité du christianisme et que le Talmud ne doit pas être entièrement brûlé (Pugio Fidei, ii.14, §8). Raimond Martín est l'auteur de deux pamphlets antijudaïques : le Capistrum Judaeorum (inédit, trois manuscrits conservés), et le Pugio Fidei (1278). ses écrits furent longtemps la source principale des polémistes dominicains.Une de ses idées dominantes est que le nom de Jésus est annoncé dans la littérature rabbinique comme celui du Messie et du Fils de Dieu. Il soutient aussi que les lois juives, bien que révélées par Dieu, ont été abrogées par la venue du Messie et que les talmudistes ont corrompu le texte de la Bible, en voulant pour preuve les tikkoune soferim.

Salomon ben Aderet Adret, Solomon ben Abraham Shelomoh b. Avraham, c.1235–c.1310, commonly known as Rashba). Spanish Jewish scholar. He was considered the outstanding student of Naḥmanides, and for forty years held the position of Rabbi of Barcelona. He was the author of many responsa which were gathered together for future guidance. He also refuted the attempt of Raimundo Martini in Pugio Fidei to argue from the Talmud against the Jews; and he argued against ibn Ḥazm, contesting the divine origin of the Qurʾān.

PF 1278 Procès du Talmud 1240-42 Impia Judaeorum perfidia 1244 Disputation de Barcelone 1263 Raymond de Penafort

Discours décisif Averroès Le dominicain Raymond Martin traduit seulement l'« Appendice » en 1278 dans le Pugio Fidei. Le Discours décisif intégral sera publié en langue originale en 1859 et traduit en 1875 par l'orientaliste allemand M. J. Müller3.

Et quod est nomen tuum ? יהוה, Jehova, sive Adonay, quia Dominus es omnium in incunable de Pugio fidei, III : 2.3., commentaire du Livre des Rois, 1270

Et quod est nomen tuum? YHWH (en caractères hébreux) Jehova, sive Adonay, quia Dominus es omnium in incunable de Pugio fidei (édition de 1381 du pamphlet antijudaïque de Raimundus Marti, le dominicain employant l'orthographe Yohoua dans les éditions précédentes), III.2.3, commentaire du Livre des Rois datant de 1270

Le Pugio Fidei fut signalé par Justus Scaliger et édité par Joseph de Voisin (1610 ? - 1685), avec des notes et sous le titre de Pugio Fidei Raymundi Martini Ordinis Prædicatorum Adversus Mauros et Judæos (Paris, 1651)[1]. MARTINUS Raymundus, Pugio fidei Raymundi Martii ordinis praedicatorum adversus Mauros et Judaeos [...], Paris, M. et J. Henault, 1651.

Il y traite de la conscience de Dieu, de la création, de l'immortalité, de la résurrection des morts, et tend à montrer la « fausseté » du judaïsme ; la troisième et dernière partie de l'œuvre est composée d'extraits du Talmud, du Midrash et d'autres sources.

Le Pugio Fidei fut utilisé par Porchetus de Salvaticis (impr Paris 1520 Porchetus de Salvaticis, Livre de la victoire sur les Hébreux impies. « Liber Victorie a Porcheto de Salvaignis, Januensi, divina favente gracia compilatus, ad Judaicam perfidiam subvertendam » [2] au début du XIVe siècle dans sa Victoria Porcheti adversus impios Hebreos (1520) (Le Livre de la victoire sur les Hébreux impies : Porchetus (died circa 1315) was a Genoese Carthusian monk.He is known for his anti-Semitic work from c. 1303, printed in 1520 as Victoria Porcheti adversos impios Hebraeos. He followed the Dominican Ramón Martí in many arguments, and in the matter of the Tetragrammaton that Martí had raised.) et par Hieronymus de Sancta Fide dans son Hebraeomastix. (Jerónimo de Santa Fe (fl. 1400-1430) (born Yehosúa ben Yosef ibn Vives) was a Spanish physician and religious writer who after conversion to Catholicism, wrote in Latin as Hieronymus de Sancta Fide (Jerome of the Holy Faith).[1][2] Born Yehosúa ben Yosef ibn Vives, voir aussi disp Tortosa) Flavius Mithridate juif converti Le vendredi saint de l'an 1481, il fit un sermon devant le pape et les cardinaux sur la Passion du Christ, s'appuyant prétendument sur des textes juifs (en fait plagiant le Pugio fidei de Raimond Martin)

Toledot Yeshou Le dominicain Raymond Martin traduit seulement l'« Appendice » en 1278 dans le Pugio Fidei.

Il fut aussi plagié par Petrus Galatinus. Pietro Colonna Galatino (1460 – 1540), also known as Petrus Galatinus, was an Italian Friar Minor, philosopher, theologian and Orientalist. He is sometimes referred to as the "inventor" of the latinized term Jehovah. He had borrowed largely from the Pugio Fidei of the Dominican Raymond Martini, remodelling, however, the material and supplementing it with copious quotations from the Zohar and the Iggeret ha-sodot of the Jewish convert Pablo de Heredia.

Vers 1620 François Bosquet, évêque de Lodève, découvrit au Collège de Foix de Toulouse un manuscrit du Pugio qui servit, avec deux autres manuscrits, à l'édition procurée par Voisin, bientôt réimprimé et mieux diffusé par J. B. Carpzov (Leipzig, 1687[3]), avec une préface antijuive, Introductio in Theologiam Judaicam.

== Pascal

La liasse Rabbinage Clermont Université (Université Blaise-Pascal)

Pugio chez Pascal + facsim éd 1651

Analyse détaillée du Pugio + citation finale Renan

Les deux messies

Pensées unité 20, Rabbinage Université de Fribourg-en-Brisgau

== Notes et références

== Bibliographie

  • Philippe Bobichon, « Ramón Martí (XIIIe siècle) : un ‘Maître orientaliste’ ?, in : Portraits de Maîtres offerts à Olga Weijers, Porto 2012, p. 405-414.
  • Philippe Bobichon, « La ‘bibliothèque’ de Raymond Martin au couvent Sainte-Catherine de Barcelone : sources antiques et chrétiennes du Pugio fidei (ca 1278) », in Entre stabilité et itinérance. Livres et culture des ordres mendiants, XIIIe-XVe siècle, Turnhout 2014, p. 329-366.
  • Philippe Bobichon, « Quotations, Translations, and Uses of Jewish Texts in Ramon Martí, s Pugio Fidei », dans The Late Medieval Hebrew Book in the Western Mediterranean. Hebrew Manuscripts and Incunabula in Context, Brill, 2015, p. 266-293
  • Lionel Cohn, “Pascal et le judaïsme”, in Pascal : Textes du tricentenaire, Paris, Fayard, 1963, p. 195-224.
  • Pierre Force, Le Problème herméneutique chez Pascal, Vrin, 1989

== Liens externes

Notes et références modifier

Galerie modifier

Montefiore modifier


  • fille d'Emma :
        1. Hélène Levi Montefiore (1857-1932), mariée à James Hermann de Ricci
          1. Alice de Ricci
          2. Seymour Montefiore Roberto Rosso de Ricci

Irène CAHEN D'ANVERS (20 Sept. 1872 Bougival - 25 Nov. 1963 Paris) épousa le 8 Octobre 1891 Moïse, Comte de CAMONDO (1860-1935) dont elle se séparera en 1896 puis divorcera le 8 Janvier 1902 pour se convertir au catholicisme et épouser le 2 Mars 1903 Charles, Comte SAMPIERI Maître des Ecuries de CAMONDO.

A la fin des années 50 elle acheta Cannes Château Thorenc L'ARAUCARIA. Elle avait 2 autres villas à Cannes, la VILLA LAURENCE VILLA ELVINA

elle a vécu :

~ HÔTEL CAHEN D'ANVERS. 2 RUE DE BASSANO.

En 1942, l'Hôtel était réquisitionné comme annexe de Drancy.

~~ CHÂTEAU DE CHAMPS-SUR-MARNE. 31 RUE DE PARIS. 77420 CHAMPS-SUR-MARNE.

Acquis en 1895.

En 1934, leur fils cadet Charles-Albert (1879-1957) époux de Suzanne LEVY vendit le mobilier à l'Etat auquel il donna le domaine avec ses 85 ha de parc à condition que soit maintenu l'emploi des 63 jardiniers, 18 domestiques, 11 gardes-chasses et une cinquantaine d'employés des fermes du domaine. Le Comte Charles- Albert fut Maire de Champs-sur-Marne à la suite de son père le Comte Charles-Raphaêl, élu en 1904.

HÔTEL DE CAMONDO 63 RUE DE MONCEAU PARIS 8è. Construit après son divorce, en fait la Comtesse habitait rue Hamelin du temps de son mariage

Renoir retrouvé après la guerre en 1946,"La petite fille au ruban bleu" 'elle s'empressa de céder aussitôt après l'avoir récupéré en 1949 accroché dans les communs 2 rue de Bassano à Paris fut offert en 1910 par sa mère

son fils tombé au Champ d'honneur à 25 ans durant la Première guerre mondiale. Affecté à l'escadron du 21e. régiment de Dragons il rejoignit ensuite l'escadrille F 33. Son avion s'écrasa dans les lignes ennemies le 5 Septembre 1917.

sa fille Béatrice morte à Auschwitz

Elizabeth née en 1874, internée à Drancy puis morte entre Drancy et Auschwitz se marier au Comte de Forceville en 1896, puis en secondes noces à Emile Louis Denfert-Rochereau, en 1904.

la mort de sa fille Béatrice a recueilli sa succession assez conséquente puisqu'elle provenait de son premier mari le Comte Moïse de CAMONDO. Ce dernier légua en 1936 son hôtel particulier parisien du 8e, rue de Monceau avec toute sa collection du XVIIIe s. à l'Etat et en confia la gestion à l'Union centrale des Arts décoratifs (devenue "Les Arts décoratifs" en 2004)

        • Irène Cahen d'Anvers (1872–1963), mariée au comte Moïse de Camondo (1860-1935), banquier, puis au comte Charles Sampieri (1863-1930)
          • (du 1er mariage) Nissim de Camondo (1892-1917), mort pour la France
          • (du 1er mariage) Béatrice de Camondo (1894-1945), mariée à Léon Reinach (1893-1944), fils de Théodore Reinach, morte en déportation ainsi que son époux
            • Fanny Reinach (1920-1943), morte en déportation
            • Bertrand Reinach (1923-1943), mort en déportation
          • (du 2e mariage) Claude Sampieri (1903-1995), mariée à André Dubonnet (1897-1980)[1]
            • France Dubonnet
            • Lorraine Dubonnet
        • Élisabeth Cahen d'Anvers (1874-1944), mariée au comte Jean de Forceville puis à Louis Denfert-Rochereau, morte en déportation
          • Marie Antoine Philippe de Forceville (1897-1984), marié à Clara Glena Seminario
        • Alice Cahen d'Anvers (1876-1965), mariée au général britannique sir Charles Townshend, lord Townshend of Kut

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Divers modifier

Début modifier

Juif de cour Samuel ibn Nagrela 11es Joseph Süss Oppenheimer « J'ai eu envie de parler [...] des mariages entre l'aristocratie du faubourg Saint-Germain et les milieux israélites de la plaine Monceau [...], et souvent, dans mon enquête, j'ai eu le sentiment de croiser des personnages de la Recherche. Car le monde des Camondo, des Cahen d'Anvers, des Rothschild... est en grande partie le monde de Proust. »

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

[[en:List of European Jewish nobility]

Notes et références modifier

Brown modifier