Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt

commune française du département de la Dordogne
(Redirigé depuis Saint-Avit-du-Tizac)

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Port-Sainte-Foy au bord de la Dordogne.
Blason de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Foyen
Maire
Mandat
Jacques Reix
2020-2026
Code postal 33220
Code commune 24335
Démographie
Gentilé Port-Foyens
Population
municipale
2 501 hab. (2021 en diminution de 0,08 % par rapport à 2015)
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 40″ nord, 0° 12′ 40″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 167 m
Superficie 18,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Pineuilh
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt [pɔʁ sɛ̃t fwa e pɔ̃ʃa] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

La commune est située dans l'unité urbaine de Bergerac. Bordée au sud par la Dordogne, elle est arrosée par un de ses affluents, l'Estrop, qui y prend sa source.

Trois ponts traversent la Dordogne à ce niveau du fleuve : le pont Michel-de-Montaigne (vers Sainte-Foy, ancien pont suspendu dont ont été conservés les piliers d'entrée), le nouveau pont suspendu (vers Pineuilh, construit en 1961[1]) et le pont ferroviaire.

Bien que la commune soit dans le département de la Dordogne (numéro 24), son code postal commence par 33 (bureau distributeur : Sainte-Foy-la-Grande en Gironde).

Communes limitrophes modifier

Parmi les dix communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, la moitié se trouvent dans le département de la Gironde. Son territoire est limitrophe de celui d'Eynesse, au sud-ouest sur moins de 300 mètres, et d'environ 350 mètres de celui de Saint-Avit-Saint-Nazaire à l'est. Au sud-est, la commune de Pineuilh est limitrophe en deux endroits disjoints, séparés par Sainte-Foy-la-Grande.

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 829 - Duras » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et leurs notices associées[4],[5].

 
Carte géologique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 7 mètres et 167 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,32 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,79 km2[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dordogne, l'Estrop, la Léchou, la Prunarède, la Rode, le ruisseau du Lardot et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[16],[Carte 2].

La Dordogne longe la commune sur son flanc sud-est. D'une longueur totale de 483,1 km, elle prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements, dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne, pour former l'estuaire de la Gironde[17]. Elle borde la commune au sud sur plus de sept kilomètres, face à Saint-Avit-Saint-Nazaire, Pineuilh, Sainte-Foy-la-Grande et Eynesse.

L'Estrop, d'une longueur totale de 17,8 km, prend sa source dans le nord la commune et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Saint-Antoine-de-Breuilh et de Saint-Seurin-de-Prats, face à Pessac-sur-Dordogne[18],[19]. Il arrose le nord de la commune sur deux kilomètres et demi, lui servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre, face à Fougueyrolles.

Son affluent de rive gauche le ruisseau du Lardot prend sa source sur la commune qu'il baigne sur 300 mètres.

Deux autres affluents de rive droite de la Dordogne arrosent le territoire communal : la Prunarède à l'ouest sur plus de deux kilomètres, et la Rode qui sert de limite naturelle à l'est sur 1,8 kilomètre face au Fleix.

La Léchou, affluent de rive gauche de la Lidoire, borde le territoire communal au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Monfaucon.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Statistiques 1991-2020 et records PORT STE FOY (24) - alt : 28m, lat : 44°51'00"N, lon : 0°11'08"E
Records établis sur la période du 01-07-1956 au 31-05-2017
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 1,8 4,1 6,3 10,2 13,3 14,7 14,7 11,4 9 5,3 2,7 8
Température moyenne (°C) 6,2 6,9 10,2 12,5 16,5 19,8 21,6 21,8 18,3 14,6 9,8 6,8 13,8
Température maximale moyenne (°C) 10,2 12 16,3 18,7 22,8 26,3 28,4 28,9 25,1 20,2 14,2 11 19,5
Record de froid (°C)
date du record
−18,5
17.01.1987
−16
09.02.12
−11,5
01.03.05
−3,1
21.04.17
−2,9
07.05.1957
2,5
01.06.06
6,5
11.07.04
4,3
30.08.1986
1,5
21.09.1977
−5,6
30.10.1997
−8,5
17.11.07
−11,8
26.12.1962
−18,5
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
19
02.01.03
23,1
15.02.1998
27
29.03.12
31,5
07.04.11
34,4
30.05.01
40,5
26.06.11
40,2
08.07.1982
42
05.08.03
38
03.09.05
32,5
02.10.11
26
06.11.15
21
05.12.06
42
2003
Précipitations (mm) 73,9 57,2 57,2 75,4 74,6 64,1 52,3 55,7 61,7 67,8 86,1 83,4 809,4
Source : « Fiche 24335001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

Natura 2000 modifier

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[28],[29]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[30].

ZNIEFF modifier

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[31],[32], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[33].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[34],[35],[36]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[37] et 64 204 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[38],[39].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[40],[41].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (29,7 %), zones urbanisées (12,8 %), forêts (12,5 %), prairies (6,1 %), eaux continentales[Note 5] (3,2 %), terres arables (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[42]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[45]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[46]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2015[47],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne », couvrant 9 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[48],[49].

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[50]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[51],[52].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[54]. 90,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[55].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[43].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[57].

Toponymie modifier

Le nom de Sanctus Petrus de Punchac est mentionné pour la première fois en 1122[58].

En occitan, la commune porte le nom de Lo Pòrt de Senta Fe e Ponchac[59].

Histoire modifier

 
Repère de crue.
 
 
Monument aux morts.

Le long de la promenade de la Batellerie, des repères indiquent le niveau des crues importantes de la Dordogne de 1848 et 1944.

En 1859, les trois communes de Saint-Avit-du-Tizac, Le Canet et La Rouquette fusionnent sous le nouveau nom de Port-Sainte-Foy, c'est-à-dire le port de Sainte-Foy-la-Grande, commune située sur l'autre rive.

En , à la suite de l'avancée des forces allemandes en Alsace et en Lorraine, les habitants de ces deux régions sont évacués et répartis dans le Centre-Ouest et le Sud-Ouest de la France[60]. Le , la gare de Sainte-Foy-la-Grande voit arriver 850 Alsaciens originaires de Plobsheim, dont une partie est accueillie à Port-Sainte-Foy[61].

En 1960, les communes de Ponchapt et de Port-Sainte-Foy fusionnent sous le nom de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[58].

En eaux profondes, ce petit village de mariniers, pêcheurs, artisans, et commerçants de la vigne et du vin a connu son apogée artisanal et commercial avec l'âge d'or de la batellerie sur la Dordogne. Une intense vie marinière animait alors quais, chais et entrepôts bordant la rivière.

Le , le train TER en provenance de Bordeaux et à destination de Sarlat percute à 120 km/h un camion-citerne chargé de 31 tonnes d'hydrocarbures, au passage à niveau du Noble où se croisent la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson et la route départementale 936 (axes Bordeaux-Bergerac). Le bilan de cet accident est de 13 morts et 43 blessés, dont dix grièvement brûlés[62].

Au XXIe siècle, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt promeut le tourisme et les loisirs : sentiers de randonnées, églises romanes et moulins, deux bases de loisirs nautiques (aviron et canoë-kayak), tennis-club et enfin la Maison du Fleuve et du Vin, musée de la Dordogne batelière, avec sa vue imprenable sur la Dordogne.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont les suivantes :

Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
Municipales 2020 Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt Maire Jacques Reix SE
Départementales 2021 Canton du Pays de Montaigne et Gurson Conseillers départementaux Christel Defoulny et Éric Frétillère DVD
Législatives 2022 2e circonscription de la Dordogne Député Serge Muller RN

Élections présidentielles modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes modifier

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections départementales modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections cantonales modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[85],[86].

Liste des maires modifier

 
La mairie en 2020.
 
Plaque de la place Elie-Philit.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1971 1995 Élie Philit PS Conseiller général du canton de Vélines (1982-1988)
1995 2001 Joël Creton PS  
2001 mars 2008 Max Geneste    
mars 2008
(réélu en mai 2020[87])
En cours Jacques Reix SE[88] Secrétaire de mairie

Jumelages modifier

 
Panneau de jumelage à l'entrée de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[89].

Équipements et services publics modifier

 
Bibliothèque municipale.
 
Agence postale.

Enseignement modifier

À l'origine, l'école communale se trouvait dans le même bâtiment que l'hôtel de ville, comme dans la plupart des autres municipalités (mairie-école)[90].

Avant l'instauration de la mixité, Port-Sainte-Foy disposait d'une école de filles, dont l'inscription est toujours visible sur le fronton du 54 rue Onésime-Reclus, au croisement avec la rue Jules-Ferry. L'édifice accueille de nos jours la bibliothèque municipale.

En 2023, les établissements scolaires sont les suivants :

Justice modifier

Dans le domaine judiciaire, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt relève[92] :

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont appelés les Port-Foyens[93].

Jusqu'en 1859, les trois communes du Canet, de La Rouquette et de Saint-Avit-du-Tizac étaient indépendantes. Leur regroupement a donné naissance à la commune de Port-Sainte-Foy.

Avant la fusion de 1859 modifier

Évolution démographique de Saint-Avit-du-Tizac
1800 1806 1821 1831 1836
283298302304289
1841 1846 1851 1856 -
278286306315-
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[6])

Après la fusion des communes de 1859 modifier

Lors de la fusion des communes de 1859, Saint-Avit-du-Tizac prend le nom de Port-Sainte-Foy. En 1960, la commune de Ponchapt fusionne avec Port-Sainte-Foy qui devient Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[94]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[95].

En 2021, la commune comptait 2 501 habitants[Note 8], en diminution de 0,08 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1101 1901 1971 3141 3191 3171 3221 4001 489
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4471 4281 2161 1891 2531 2481 3201 4321 594
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 7981 8722 0932 2222 3452 3352 4892 4922 501
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[96].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

 
La mosquée de la Paix de Port-Sainte-Foy, édifiée en 1995[97].

Sports et loisirs modifier

 
Plage des Bardoulets.
  • Complexe sportif de Mézieres Pierre-Lart. Sur plus de 11 872 m2, il accueille plusieurs terrains de sport[99].
  • Club de tennis.
  • Plage des Bardoulets, au bord de la Dordogne, surveillée durant l'été dans le cadre de l'opération CAP33, en partenariat avec le département de la Gironde. Activités culturelles et sportives proposées, dont du beach-volley[100],[101].

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Salon du livre « Mémoire ancrée », début septembre (13e édition en 2023[102].
  • Fête locale fin août[103].
  • Fin août-début septembre, festival de théâtre Pampa (9e édition en 2023[104]).

Économie modifier

Emploi modifier

L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

Emploi des habitants modifier

En 2015[105], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 873 personnes, soit 34,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (135) a augmenté par rapport à 2010 (122) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,5 %.

Emploi sur la commune modifier

 
Ehpad Saint-Joseph.

En 2015, la commune offre 984 emplois pour une population de 2 503 habitants[106]. Le secteur tertiaire prédomine avec 42,2 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 33,9 %.

Répartition des emplois par domaines d'activité

  Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale Total
Nombre d'emplois 77 116 42 415 334 984
Pourcentage 7,8 % 11,8 % 4,3 % 42,2 % 33,9 % 100 %
Source des données[106].

Établissements modifier

Au , la commune compte 228 établissements[107], dont 141 au niveau des commerces, transports ou services, trente-trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et quinze dans la construction[108].

Jusqu'à l'ouverture à Pineuilh du centre commercial Grand Pineuilh, en 2012, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt comptait une grande surface, avenue de Bordeaux, par la suite reconvertie en magasin de bricolage[109].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Charles Sinsout (1889-1985), homme politique, sénateur, adjoint au maire de Port-Sainte-Foy

Héraldique modifier

Les armes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt se blasonnent ainsi :

Écartelé, au premier et au quatrième contre-écartelé au I et au IV de gueules au lion d'or, au II et au III d'argent plain, au deuxième et au troisième d'or à l'aigle de sable.

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
  • Jacques Reix, Port-Sainte-Foy. Chroniques du temps passé, Fanlac, 1981.
  • Jacques Reix, Origine des noms de lieux et hameaux de Port-Ste-Foy-et-Ponchapt, Bulletin municipal, 1985.
  • Jacques Reix, Aux portes de Sainte-Foy. Monographie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, 2001.
  • Jacques Reix, Ponchapt. Dans les pas de l'histoire, Itinérance, 2015 (ISBN 978-2-9547839-1-8).
  • Michel Villemiane, La colonie agricole évangélique pénitentiaire de Sainte-Foy, Les Dossiers d'Aquitaine, 2014.
Pays foyen
  • Jacques Reix, La Dordogne du temps des bateliers, Fanlac, 1990.
  • Jacques Reix et Jean Vircoulon, Chronique des années de Guerre en pays foyen, Fanlac, 1995.
  • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
  • Jacques Reix, Sainte-Foy-la-Grande et le pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2005.
  • Jacques Reix, Le pays foyen dans la guerre, 1939-1945, Nouvelles Éditions Sutton, 2007.
  • Jacques Reix, Un siècle de vie sportive en pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2008.
  • Jacques Reix, La Dordogne batelière. Images au fil de l'Onde, Les Dossiers d'Aquitaine, 2010.
  • Jacques Reix, Entre Gironde et Périgord. Le pays foyen. Bastides et villages, La Lauze, 2012.
  • Jacques Reix, Au cœur des bastides. Du Périgord à l'Entre-Deux-Mers, Éditions Sutton, 2013.
  • Jacques Reix, Libération Sainte-Foy-Castillon 1943-1944, Itinérances, 2014 (ISBN 978-2-9547839-0-1).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[56].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. « Carte géologique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  3. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Gironde : à Sainte-Foy-la-Grande, le pont suspendu bientôt inspecté », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 829 - Duras de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. Sandre, « la Dordogne »
  18. « Confluence Estrop-Dordogne au sud de la Vergnotte » sur Géoportail (consulté le 1 septembre 2022)..
  19. Sandre, « l'Estrop »
  20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  24. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  25. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Pays de Belvès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  29. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  30. Espèces, INPN, consulté le .
  31. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  32. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  33. Espèces, INPN, consulté le .
  34. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  36. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur insee.fr (consulté le ).
  38. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  40. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  41. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  42. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  43. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Géorisques (consulté le ).
  44. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  45. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  46. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bergerac », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  48. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
  49. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dordogne » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le ).
  50. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  51. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  52. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  53. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  54. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  55. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  56. Article R214-112 du code de l’environnement
  57. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  58. a et b Jean-Claude Faure, « Dans les pas de l’histoire », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  59. Le nom occitan des communes du Périgord - Lo Pòrt de Senta Fe e Ponchac sur le site du conseil général de la Dordogne, consulté le .
  60. Philippe Nivet, Les réfugiés de guerre dans la société française (1914-1946), p. 254, [lire en ligne].
  61. a et b « Jumelage : 80 ans après l'exode », Sud Ouest édition Dordogne, 8 octobre 2019, p. 20f.
  62. Jean-Claude Faure, « Port-Sainte-Foy : il y a 25 ans l’accident ferroviaire faisait 13 morts », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  63. « Résultat de l'élection présidentielle de 2002 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  64. « Résultat de l'élection présidentielle de 2007 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  65. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  66. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  67. « Résultat de l'élection présidentielle de 2022 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  68. « Résultat des élections législatives de 2002 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  69. « Résultat des élections législatives de 2007 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  70. « Résultat des élections législatives de 2012 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  71. « Résultat des élections législatives de 2017 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  72. « Résultat des élections législatives de 2022 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  73. « Résultat des élections européennes de 2004 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  74. « Résultat des élections européennes de 2009 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  75. « Résultat des élections européennes de 2014 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  76. « Résultat des élections européennes de 2019 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  77. « Résultat des élections régionales de 2004 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  78. « Résultat des élections régionales de 2010 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  79. « Résultat des élections régionales de 2015 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  80. « Résultat des élections régionales de 2021 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  81. « Résultat des élections départementales de 2015 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  82. « Résultat des élections départementales de 2021 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  83. « Les résultats des élections départementales et régionales en Dordogne », sur FranceBleu.fr, (consulté le ).
  84. « Résultat des élections cantonales de 2008 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  85. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
  86. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
  87. Michel Labatut, « Municipales en Dordogne : Jacques Reix réélu à Port-Sainte-Foy », Sud Ouest, 26 mai 2020.
  88. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 29.
  89. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  90. Jean-François Ratonnat, La vie d'autrefois en Périgord, éditions Sud-Ouest, 1995, p. 29.
  91. Michel Labatut, « Les 20 ans de l’école Rigoberta-Menchu », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  92. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  93. Nom des habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sur habitants.fr, consulté le 12 décembre 2011.
  94. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  95. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  96. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  97. Chantal Crenn, « Ce que les musulmans nous disent de la campagne girondine », Ethnologie française, vol. 47, no 4,‎ , p. 693-702 (lire en ligne)
  98. Communauté catholique des deux rives du pays foyen
  99. « Complexe sportif de Mézieres Pierre-Lart », sur sportenfrance.fr (consulté le ).
  100. « CAP33 », tourisme-dordogne-paysfoyen.com, consulté le 20 mai 2022.
  101. « CAP33, sport et culture pour tous ! », paysfoyen.fr, consulté le 20 mai 2022.
  102. Michel Labatut, « Le 13e salon du livre, un évènement culturel », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 18.
  103. Michel Labatut, « Exposition photo et tennis de table pour la fête locale », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 17.
  104. Jean-Claude Faure, « Le Festival Pampa fait son retour pour une 9e édition », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.
  105. Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
  106. a et b Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
  107. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  108. Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
  109. « Un nouveau centre commercial pour mars 2012 », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  110. « Inscription du château de Fauga », notice no PA00083077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 février 2011.
  111. Jacques Reix, Aux portes de Sainte-Foy. Monographie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, 2001, p. 55-57.
  112. Michel Labatut, « Passage de témoin », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  113. « Le musée de la Batellerie fête ses 25 ans », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.