Sainte-Foy-la-Grande
Sainte-Foy-la-Grande | |||||
![]() La rue de la République. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays Foyen | ||||
Maire Mandat |
Christelle Guionie 2020-2026 |
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Code postal | 33220 | ||||
Code commune | 33402 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Foyens, Foyennes | ||||
Population municipale |
2 577 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 5 154 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 28″ nord, 0° 13′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 20 m |
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Superficie | 0,5 km2 | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Pineuilh (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintefoylagrande.net | ||||
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Sainte-Foy-la-Grande est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
GéographieModifier
Commune située dans l'unité urbaine de Bergerac, Sainte-Foy-La-Grande est une bastide fondée en 1255 sur les rives de la Dordogne. Elle est aussi appelée « Porte du Périgord ». La bastide se situe sur les bords de la rivière Dordogne qui permet de pratiquer de nombreuses activités nautiques (canoë, bateau promenade et baignade en saison estivale). Elle est le cœur du vignoble AOC de Sainte-Foy-Bordeaux. La bastide de Sainte-Foy-la-Grande est située à la confluence des départements de la Dordogne et de Lot-et-Garonne.
Sainte-Foy-la-Grande est l'une des plus petites communes de France : elle s'étend sur 51 hectares presque totalement urbanisés[1].
Communes limitrophesModifier
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Du fait de sa superficie réduite, la commune n'est entourée que de deux communes limitrophes : au nord et au nord-ouest Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (en Dordogne), et dans les autres directions, Pineuilh.
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Sainte-Foy-la-Grande est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[2] et 63 988 habitants en 2017, dont elle est la banlieue[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle fait partie du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
ToponymieModifier
En occitan, la commune se nomme Senta Fe la Granda.
HistoireModifier
Du Moyen Âge à la RévolutionModifier
Le Sud-Ouest compte environ 350 bastides, érigées à partir du XIIIe siècle. Il s'agit de villes neuves dont le plan architectural orthonormé est ordonné autour d'une vaste place centrale[1].
La bastide de Sainte-Foy-la-Grande (qui s'appelle à l'origine Sainte-Foy-en-Agenais) est fondée en 1255 sur un territoire presque vierge situé sur les bords de la Dordogne, par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis. L'année suivante, il accorde une charte de coutumes aux habitants[1]. Bernard de Saint Astier cède à Alphonse de Poitiers par acte de paréage signé à Gaillac, le , la terre limitée par les ruisseaux la Rance à l'est et le Vinairols à l'ouest[7]. En 1326, Alfonse d’Espagne, seigneur de Lunel et lieutenant du roi, accorde aux consuls de la ville le droit de la fortifier (ce qui ne signifie pas qu'elle ne l'était pas déjà auparavant)[8]. Sa position stratégique de ville frontalière avec les possessions anglaises en a fait une place forte importante. Elle est un temps conquise par les Anglais au XVe siècle durant la guerre de Cent Ans[9] puis devint un bastion protestant au XVIe siècle[10].
Construite au XIIIe siècle, l'église Notre-Dame est détruite en 1561 par les Huguenots, peu avant les guerres de Religion, lors desquelles la majorité de la population est désormais protestante. Un temple est même inauguré en 1587. Cependant, la défaite des troupes protestantes face aux armées royales sous Louis XIII et les conversions forcées opérées sous Louis XIV retournent la situation : le temple est détruit en 1683 et une nouvelle église, construite au même emplacement que l'ancienne est achevée en 1686[11].
De nombreux bâtiments de la bastide datent de l'époque médiévale, comme une des maisons de la rue Alsace-Lorraine, étudiée par le musée du Pays foyen. Datant des XIIIe et XIVe siècles, l'édifice en pierre élevé sur trois niveaux a eu dans le passé des fonctions religieuses et militaires ; au XXe siècle, il sert de commerce, puis de garage. Des inscriptions sur les poutres, graffitis datant de la Révolution, traces de tapisserie et dessins de saints sur les murs sont encore visibles[12].
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Bonne-Foy[13]. Devenu député, le Foyen Pierre-Anselme Garrau s'oppose à la volonté du maire, qui souhaite transformer l'église en magasin à fourrage[8].
Depuis le XIXe siècleModifier
L'église Notre-Dame est agrandie en 1850, la première pierre étant posée par Pierre-Henri Gérault de Langalerie, ancien curé de la ville, devenu archevêque. Elle devient l'épicentre des tensions entre catholiques et républicains sous la Troisième République, notamment lors de la querelle des inventaires en 1906, lors de laquelle l'opération doit être effectuée de nuit, après que de nombreux fidèles se sont barricadés dans l'église[8].
La gare de Sainte-Foy-la-Grande est mise en service en 1875, date de l'arrivée de la ligne de chemin de fer en ville. Elle participe de son développement économique, qui se manifeste jusqu'au début des années 1910 par une vague d'environ 300 nouvelles constructions autour de la mairie, dans les rues commerçantes et près de la Dordogne. Ces demeures remplacent souvent des maisons à colombages remontant aux années 1500. Surnommé le « Petit Nice », le nouveau quartier de la gare situé au sud de la bastide, édifié autour de l'avenue éponyme (de nos jours l'avenue Paul-Bert), s'urbanise : bordée de palmiers, cette voie accueille des villas bourgeoises rappelant celles des stations balnéaires, la salle Linard (spectacles) et le café de l'Orient. Les palmiers gèlent lors de l'hiver 1956 et disparaissent[11].
Plus à l'ouest est aménagée la place Broca, où une statue du célèbre médecin Paul Broca, né à Sainte-Foy, est inaugurée en 1888. Œuvre du sculpteur Choppin, second exemplaire de la statue installée à Paris place Broca un an plus tôt, elle est fondue en 1942 sous le régime de Vichy. En 1972, les descendants de Broca offrent un buste à la municipalité qui le place dans l'hôtel de ville[14]. Au no 3, la place accueille le café Proca, qui a du changer son nom après un procès intenté par la famille du médecin ; initialement orné de fenêtres de type mauresque, son bâtiment abrite de nos jours une agence d'assurances. 5 avenue Paul-Broca est édifié en 1906 le casino Rey, dont le bâtiment existe encore de nos jours ; en face sont érigées des bains-douches. Le boulevard Charles-Garrau accueille pour sa part des maisons simples, qui se distinguent des demeures cossues de l'avenue Paul-Bert[11].
En 1919, le maire Ernest Flageol annonce l'édification future d’un monument aux morts de la Première Guerre mondiale, désirant qu'il soit commun avec Pineuilh. Le projet traîne cependant en longueur ; initialement confié au sculpteur Marcel Bouraine (en), il échoit finalement à Jean Camus. Au sein du monument est incrustée une sculpture figurant, selon le contrat établi à l'époque, le « seuil d’un foyer dont le fils est parti là-bas pour toujours… Sur le seuil restent l’aïeul et le petit ; un casque troué sur le genou, l’aïeul lègue à l’orphelin le culte du passé héroïque que, plus tard à son tour l’enfant transmettra ». Au dos sont gravés 86 noms de Foyens (dont une femme) et 52 habitants de Pineuilh. Il est inauguré en 1924, face à l'école élémentaire (sur l'actuelle place Aristide-Briand) afin, selon le projet initial de perpétuer « de façon durable aux yeux et au cœur des générations futures le souvenir de cette période de trouble mondial et de sacrifice si noblement acceptés par leurs aînés »[15].
Au XXe siècle, les Foyens édifient des maisons à l'extérieur de la bastide, d'abord pour y passer les fins de semaines, près de jardins où des riverains modestes cultivaient des légumes. Plusieurs mouvements de construction se succèdent, avant la Grande Guerre, dans l'entre-deux-guerres et à partir des années 1950. Le développement de l'automobile contribue aussi grandement à modifier la circulation des habitants, les modes de vie et les connaissances inter-communautaires[11].
Au début de la Seconde Guerre mondiale, le , au lendemain de l'armistice, le pont suspendu menant à Port-Sainte-Foy est détruit. Un pont suspendu est alors édifié en amont, finalement emporté par une crue le de la même année. Sur les quais, une plaque apposée sur un vestige rappelle cet évènement.
En 1948 est créée sous l'impulsion de Jean Corriger la Société historique du Cercle des Amis de Sainte-Foy. Le cercle publie des fascicules sur l'histoire du pays foyen et organise des conférences. Les statuts associatifs sont déposés en 1966 et le cercle devient Les Amis de Sainte-Foy et sa région. L'association est rattachée à la Fédération historique du Sud-ouest. Deux fois par an, elle publie des Cahiers sur l'histoire de la bastide et de ses environs (culturelle, religieuse, architecturale, personnalités, etc.), travaux réalisés à partir d'archives privées et publiques (archives municipales, bibliothèque municipale de Sainte-Foy, office du tourisme, archives départementales). L'association s'investit aussi lors des Journées européennes du patrimoine, organise des sorties, des conférences et des colloques[16].
Gare.
Monument à Paul Broca.
Politique et administrationModifier
Liste des mairesModifier
Au fil de l'histoire qu'il dresse de l'église Notre-Dame, le musée du Pays foyen liste le nom de plusieurs maires (les dates d'entrée et de cessation de fonctions ne sont pas précisées) : Sambellie en 1793, L. de Brugière en 1851, Borderie en 1871, Flageol en 1916, Chastel en 1925, Faucher en 1928 et Bertin-Rouleau en 1938[8].
Lors de la Première Guerre mondiale, le maire est Ernest Flageol. François Mazelle lui succède en 1919 puis Gabriel Chastel le [15].
JumelagesModifier
DémographieModifier
Les habitants de Sainte-Foy-la-Grande sont les Foyens[22].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2018, la commune comptait 2 577 habitants[Note 3], en augmentation de 11,03 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
ÉconomieModifier
Vie pratiqueModifier
CultesModifier
- Église catholique Notre-Dame, 24 rue des Frères-Reclus ;
- Temple protestant de l'Église Unie de France, 26 rue Louis-Pasteur ;
- Assemblée des « frères », deux églises protestantes de tendance darbyste.
EnseignementModifier
- Public
- Groupe scolaire Paul-Bert (école maternelle et primaire)
- Collège Élie-Faure / Mézières (Port-Sainte-Foy)
- Lycées Paul-Broca (professionnel) et Élisée-Reclus (général et technologique)
- Privé sous contrat
- Groupe scolaire Anglade-Langalerie[26] :
- École maternelle et primaire Langalerie
- Collège Anglade (mixte depuis 1960, il compta un internat jusqu'en 1983)
CultureModifier
- Bibliothèque municipale, 8 rue Jean-Louis-Faure.
SantéModifier
- Centre hospitalier de Sainte-Foy-la-Grande, 1 avenue Charrier.
Activités sportivesModifier
Le Stade foyen, club de rugby à XV créé en 1909 qui a été :
Le long de l'allée Jean-Raymond-Guyon (ancienne allée de Coblentz), se trouvait autrefois la piscine municipale, construite dans les années 1950-1960 et finalement comblée dans les années 2000 pour laisser place à un terrain de basket. Certains éléments d'origine ont toutefois été conservés (gradins, cabines, buvette). Le terrain de basket est lui-même détruit à la fin de la décennie suivante.
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
- Vestige des remparts médiévaux,
- Place centrale à arcades (place Gambetta, ancienne place d'Armes, ou place de l'Hôtel de ville),
- Tour du Temple, du XIIIe-XIVe siècle. Elle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1967, tout comme les maisons aux n°53, n°58, n°94–96 et n°102 rue de la République (depuis 1955) et le monument aux morts de la place Aristide-Briand (depuis 2014).
- Église Notre-Dame, construite au XIIIe siècle, détruite en 1561, reconstruite au XVIIe siècle puis agrandie en 1850,
- Temple protestant, rue Louis-Pasteur, à l'angle de la rue Chanzy,
- Hôtels particuliers du XVIIIe siècle,
- Le point de départ du sentier de grande randonnée 6 (GR6) — qui traverse latéralement la France jusqu'aux Alpes-de-Haute-Provence — est situé sur la commune.
- L'aérodrome de Sainte-Foy-la-Grande, sur la commune de Fougueyrolles, à 3 km.
La « tour du Temple ».
Quais sur la Dordogne.
Personnalités liées à la communeModifier
Par ordre alphabétique du nom de famille.
Nées à Sainte-Foy-la-GrandeModifier
- Gérard Ansaloni (1958 -), poète, auteur-compositeur.
- Manuel Bibes (1976 -), physicien
- Paul Broca (1824 - 1880), médecin, anatomiste et anthropologue.
- Pierre Cassignard (1965 -), acteur.
- Élie Faure (1873 - 1937), historien de l'art et essayiste.
- Yannick Fischer (1974-), footballeur.
- Jean-Marc Furlan (1957-), footballeur et entraîneur de football.
- Pierre-Anselme Garrau (1762-1829), homme politique.
- Pierre-Henri Gérault de Langalerie (1810 - 1886), archevêque.
- Louis Pierre Gratiolet (1815 - 1865), anatomiste et zoologue.
- Christian Jourdan (1954 -), coureur cycliste.
- Christophe Lafont (1966 -), écrivain et historien.
- Rémi Lamerat (1990-), rugbyman.
- Pierre Larthomas (1915-2000), théoricien du théâtre.
- Julien Le Devedec (1986-), joueur de rugby à XV français.
- Ugo Mola (1973 -), vainqueur en 1996 avec le Stade toulousain de la coupe d'Europe de rugby à XV.
- Élisée Reclus (1830 - 1905), géographe libertaire[28].
- Brigitte Roy (1959 -), tireuse française au pistolet 10 et 25 mètres.
- Jean Vircoulon (1947-2019), historien[29].
Mortes à Sainte-Foy-la-GrandeModifier
- Gaston Aumoitte (1884 - 1957), joueur français de croquet champion olympique.
- Jacques Dejean (1919 - 2013), violoniste, professeur au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, y possédait une maison.
- Roger Lanzac (1920 - 1996 à Sainte-Foy-la-Grande), animateur de télévision et de radio.
- Peter Warr (1938 - 2010), ancien directeur sportif de l'écurie de Formule 1 Team Lotus, y vécut avant sa mort en 2010.
Ayant vécu à Sainte-Foy-la-GrandeModifier
- Jeanne Barret (1740-1807), exploratrice.
- Roby Bois (1926 - 2009) pasteur protestant (à Sainte-Foy-la-Grande de 1964 à 1969), secrétaire général de la Cimade (de 1973 à 1984).
- Philippe Henriot (1889 - 1944), homme politique français, qui a enseigné les lettres et l'anglais au collège catholique Charrier de Sainte-Foy à partir de 1909[30].
- Jean-Didier Vincent (1935-), neuropsychiatre, neurobiologiste et écrivain, directeur de l'Institut de neurobiologie Alfred-Fessard du CNRS de 1991 à 2004.
HéraldiqueModifier
Blason | ||
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Pierre Bertin-Roulleau, Sainte-Foy-la-Grande. Vieilles maisons, vieux documents, Feret & Fils Éditeurs, 1927.
- Jean-Michel Boudié, La vie publique à Sainte-Foy-la-Grande au début du XXe siècle.
- Jean Corriger, La libération de Sainte-Foy, sous les auspices du Comité de libération de Sainte-Foy-la-Grande, Delmas et Cie, 1945.
- Jean Corriger, « Le VIIe Centenaire de la fondation de la bastide de Sainte-Foy », Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, 1955.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-la-Grande, les noms des rues, Cahier Les Amis de Sainte-Foy, 1966.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-La-Grande : 700 ans de souvenirs ; mon village au grand coeur, Groupe girondin des études locales de l'enseignement public, 1976.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-la-Grande, son histoire, Groupe girondin des études locales de l'enseignement public, 1988, postface de Pierre Lart.
- André Prunis et Jean Vircoulon, Histoire de l'hôpital de Sainte-Foy-la-Grande, Amis de Sainte-Foy, 1994.
- Félix de Verneilh, Architecture civile au Moyen Âge dans le Périgord et le Limousin : Sainte-Foi, p. 83-88, dans Annales archéologiques, 1847, tome 6 (lire en ligne)
- Ghislain Verral, Sainte-Foy-la-Grande, une ville protestante (1852-1905), éditions Jean-Jacques Wuillaume, 2017.
- 750 ans de la bastide de Sainte-Foye-la-Grande, actes du colloque tenu les 3 et , Les Amis de Sainte-Foy et sa région.
- Publications de la société d'histoire « Les Amis de Sainte-Foy et sa région ».
Articles connexesModifier
- Liste des communes de la Gironde
- Gare de Sainte-Foy-la-Grande
- Sentier de grande randonnée GR 6
- Agenais
Liens externesModifier
- Ressource relative à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Site de l'office de tourisme
- Résultats du recensement de la population de Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Sainte-Foy-la-Grande sur le site Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui de l'EHESS, consulté le .
- Société d'Histoire Les amis de Sainte-Foy et sa région
- Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'Institut géographique national
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Historique », sur saintefoylagrande.net (consulté le 17 avril 2020).
- « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 26 décembre 2020)
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 26 décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 26 décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 26 décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 26 décembre 2020)
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, Fondation de la bastide
- « Autour de l'église Notre-Dame », sur musée du Pays foyen (consulté le 27 avril 2020).
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, L'essor de la bastide XIIIe - XVIe
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, revue no 82, 2003, cahier no 1, Catholiques, Protestants XVIe siècle
- « « La maison du 2, place Broca, à Sainte-Foy », sur paysfoyen.canalblog.com, (consulté le 7 avril 2020).
- Pierre Lamothe, « Trésor caché de la bastide », sur museedupaysfoyen.com (consulté le 7 avril 2020).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Monument à Paul Broca – Sainte-Foy-la-Grande (fondu) », sur e-monumen.net (consulté le 21 mars 2020).
- Danièle Provain, « Le monument aux morts Sainte-Foy-la-Grande et Pineuilh », saintefoylagrandehistoire.com, 4 juin 2018.
- « Qui sommes nous? », sur Les Amis de Sainte-Foy et sa région (consulté le 28 avril 2020).
- Commune de Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 11 janvier 2012.
- « Christophe Chalard maire à l’unanimité », Sud Ouest, 7 avril 2014.
- « Christelle Guionie, première femme maire de la bastide », Sud Ouest, 29 mai 2020.
- Annuaire des villes jumelées
- Jean-Claude Faure, La fin du jumelage, faute de bénévoles, Sud Ouest édition Périgueux du 11 octobre 2014, p. 28.
- Nom des habitants de Sainte-Foy-la-Grande sur habitants.fr, consulté le 11 janvier 2012.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « L'abbé Anglade », sur college-anglade.com (consulté le 24 mars 2020).
- « 2006 - Pose d'une plaque commémorative Charles Pierre Anselme Garrau », sur saintefoylagrandehistoire.com (consulté le 26 avril 2020).
- Jean-Claude Faure, Les Reclusiennes ont convaincu , Sud Ouest, 22 juillet 2013, texte intégral.
- « Jean Vircoulon n’est plus », sur sudouest.fr (consulté le 1er août 2019).
- « Philippe Henriot au collège catholique de Sainte-Foy » (consulté le 15 décembre 2016)