Villefranche-de-Lauragais
Villefranche-de-Lauragais | |||||
![]() L'église Notre-Dame de l'Assomption. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres du Lauragais (siège) |
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Maire Mandat |
Bernard Barjou 2020-2026 |
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Code postal | 31290 | ||||
Code commune | 31582 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villefranchoises, Villefranchois | ||||
Population municipale |
4 662 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 450 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 069 hab. (2017) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 24′ 02″ nord, 1° 43′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 168 m Max. 256 m |
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Superficie | 10,35 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Revel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Villefranche-de-Lauragais est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Villefranchois.
GéographieModifier
Ancienne bastide située sur l'Hers-Mort à 36 km au sud-est de Toulouse, dans le Lauragais entre Atlantique et Méditerranée, Villefranche-de-Lauragais est située près du seuil de Naurouze entre Castelnaudary et Toulouse. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire urbaine de Toulouse.
Communes limitrophesModifier
Villefranche-de-Lauragais est limitrophe de six autres communes.
HydrographieModifier
La commune est longée par l'Hers-Mort dans sa partie sud-ouest et est traversée par le Marès et ses affluents le Ruisseau du Cordet, Ruisseau des Barelles puis le Ruisseau de Favayrol qui longe la commune dans sa partie sud-est et la Grasse qui la longe dans sa partie ouest.
Voies de communication et transportsModifier
Voies de communicationModifier
Villefranche-de-Lauragais se trouve sur la route départementale 813, l'autoroute des Deux Mers (A61) sortie 20, et l'ancienne route nationale 622.
TransportsModifier
La gare de Villefranche-de-Lauragais, sur la ligne Bordeaux-Saint-Jean - Sète-Ville, est ouverte depuis 1858. Elle est desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Castelnaudary, Carcassonne et Narbonne.
La ligne 350 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Université-Paul-Sabatier du métro de Toulouse depuis Avignonet-Lauragais, la ligne 386 relie la commune à la gare routière de Toulouse, et la ligne 413 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Castelnaudary.
ClimatModifier
Pays de collines et de champs céréaliers, Villefranche subit les influences atlantiques et méditerranéennes avec un printemps frais et humide, un été chaud et sec, un automne doux et un hiver peu rigoureux. Balayée principalement par le vent d'autan (sud-est) ou le cers (nord-ouest), Villefranche compte seulement 168 jours non ventés par an.
Géologie et reliefModifier
La superficie de la commune de Villefranche-de-Lauragais est de 1 035 hectares. Son altitude varie de 168 à 256 mètres[2].
ToponymieModifier
« franche » signifie « libre »: la ville franche était une ville dont la bourgeoisie s’était beaucoup enrichie (sans doute en partie grâce au pastel) et s’était affranchie du régime féodal d’un seigneur. De ce fait, la population se retrouvait soustraite aux obligations fiscales. De plus, lors de la création d’une bastide, le contrat de paréage prévoyait des mesures incitatives visant à encourager l’installation d’habitants.
HistoireModifier
Bastide fondée au XIIIe siècle en 1267 par Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse.
En 1280, Philippe le Bel lui accorda une nouvelle charte de privilèges. Elle sera dévastée en 1355 par Edouard de Woodstock, surnommé le Prince noir, lors de sa terrible chevauchée partie de l'Aquitaine anglaise.
La bastide de Villefranche, fondée sur un terroir propice à l’agriculture (céréales) et l’élevage (bovins ; porcins ; ovins ; volailles) prit son essor au XVIe siècle au détriment de sa voisine Avignonet-Lauragais. Elle est une cité prospère du « Pays de Cocagne ».
Quant aux rues longilignes, elles se croisent en angle droit en bordure de l’axe routier commercial, datant de son origine. Un entremis servant à l'évacuation des eaux usées témoigne de son passé médiéval ainsi qu’un nom : place du Portail (ancienne porte d’Autan), preuve de ses défenses.
En 1790, la bastide devient chef-lieu de canton, sous-préfecture en 1800.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.
Politique et administrationModifier
Administration municipaleModifier
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[3],[4].
Rattachements administratifs et électorauxModifier
Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'en 2012 puis dixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Terres du Lauragais et du canton de Revel (avant le redécoupage départemental de 2014, Villefranche-de-Lauragais était le chef-lieu de l'ex-canton de Villefranche-de-Lauragais).
Liste des mairesModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
La commune vote majoritairement à gauche.
PrésidentielleModifier
En 1995, au premier tour Lionel Jospin arrive en tête avec 40,45 % des suffrages, arrive ensuite Jacques Chirac (16,22 %), Edouard Balladur (14,72 %), Jean-Marie Le Pen (10,88 %), Robert Hue (5,97 %) et Arlette Laguiller (4,95 %), aucun candidat ne dépasse ensuite les 4 %. Au second tour, contrairement au vote national, Lionel Jospin arrive en tête avec 61,16 % des suffrages contre 38,84 % pour Jacques Chirac.
En 2002, au premier tour Lionel Jospin arrive en première position avec 28,55 % des votes, en seconde position c'est Jean-Marie Le Pen avec 17,81 % puis Jacques Chirac 14,5 %, Arlette Laguiller 5,59 % et Jean Saint-Josse 5 %. Au second tour, Jacques Chirac obtient 83,01 % et Jean-Marie le Pen 16,99 %
En 2007, au premier tour Ségolène Royal obtient 35,83 % des votes, Nicolas Sarkozy obtient lui 24,98 %, François Bayrou 15,77 % et Jean-Marie Le Pen 9,75 %. Au second tour, Ségolène Royal obtient 56,33 % des suffrages, Nicolas Sarkozy 43,67.
En 2012 au premier tour François Hollande obtient 37,93 %, Nicolas Sarkozy 21,05 %, Marine Le Pen 17,53 %, Jean-Luc Mélenchon 10,64 %. Au second tour, François Hollande obtient 60,8 % et Nicolas Sarkozy 39,2 %
En 2017, au premier tour Emmanuel Macron arrive en tête avec 25,79 %, Jean-Luc Mélenchon arrive deuxième avec 20,67 %, en 3e position Marine Le Pen avec 20,56 %, puis François Fillon avec 14,83 %, Benoît Hamon avec 9,19 % et Nicolas Dupont-Aignan avec 3,99 %. Au second tour, c'est Emmanuel Macron qui l'emporte avec 67,01 % des suffrages contre 32,99 % pour Marine Le Pen.
LégislativesModifier
En 2007, Patrick Lemasle (PS) obtient 41,05 % des votes, Jean-Pierre Bastiani (UMP) quant à lui en obtient 32,68 %. Éric Gautier le candidat du MoDem 6,05 % tandis que le candidat FN Arnaud Delamare obtient 4,14 %. Au second tour, Patrick Lemasle est vainqueur avec 59,68 % contre 40,32 % pour Jean-Pierre Bastiani.
En 2012, au premier tour Gilbert Hébrard (DVG) obtient 29,40 % des votes, en seconde position Kader Arif (PS) 25,63 % puis Dominique Faure (PR-UMP) 20,53 % tandis que Marie Lopau du Front National obtient 11,55 % des votes et Christian Picquet du Front de Gauche 4,90 %. Au second tour, Kader Arif est vainqueur avec 60,90 % contre 39,10 % pour Dominique Faure.
En 2017, c'est Sébastien Nadot (MUP) qui arrive en tête avec 35,26 %, suivi de Monique Fabre pour la France Insoumise avec 12,29 %, vient ensuite le député sortant Kader Arif (PS) avec 12,23 %, Matthieu Lachuries pour le FN avec 11,94 %, Arnaud Lafon (LR) avec 8,74 % et Dominique Faure (UDI) avec 6,74 %
Au second tour, Sébastien Nadot est élu, il obtient 59,17 % à Villefranche ( 60,48 % sur la circonscription) contre 40,83 % pour Monique Fabre (et 39,52 % sur la circonscription).
Européenne de 2009Modifier
La liste du Parti socialiste menée par Kader Arif obtient 28,14 %, celle de Dominique Baudis obtient 24,51 %, la liste de EELV menée par José Bové obtient 13,13 %, celle menée par Jean-Luc Mélenchon obtient 7,69 %.
Cantonales de 2011Modifier
En 2011, Le président du conseil général de la Haute-Garonne Pierre Izard du PS est réélu dès le premier tour avec 67,1 % des votes, en seconde position c'est Gilles Gonzalez du Front national avec 11,5 % des votes suivi par Julien Faessel (EELV) avec 9,6 % des suffrages ensuite vient Jean-Guillaume Jamon (UMP) avec 7,4 % puis la représentante du PCF Chantal Picard-Sigure avec 4,4 % et enfin David Coste du POI) qui obtient 0,5 %.
Départementales de 2015Modifier
Au premier tour, c'est le binôme socialiste Gilbert Hébrard et Marie-Claude Piquemal-Doumeng (maire de la ville) qui est arrivé en tête avec 51,44 % des votes (mais 35,58 % sur le canton) , vient ensuite le binôme Front National de Ghislaine Meyer de Nadai et d'Olivier Lupion avec 21,28 %, en 3e position le binôme union de la droite avec 16,09 %. Au second tour, c'est le binôme socialiste qui l'emporte avec 61,73 % (47,53 % sur le canton), en 2e position, le binôme de droite avec 19,49 % et le binôme Front National ferme la marche avec 18,78 %.
Régionales de 2015Modifier
Au premier tour, c'est la liste PS de Carole Delga qui est arrivée en tête avec 40,95 %, vient ensuite la liste de Louis Aliot (FN) avec 25,77 %, en 3e position c'est Dominique Reynié (LR) avec 14,82 %, en 4e position c'est Gérard Onesta (EELV - PCF) avec 7,14 %. Au second tour, c'est la liste PS de Carole Delga qui est arrivée en tête avec 55,38 %, vient ensuite la liste de Louis Aliot (FN) avec 28,43 %, en 3e position c'est Dominique Reynié (LR) avec 16,19 %.
Européenne de 2014Modifier
En 2014, c'est la liste PS-PRG menée par Virginie Rozière qui est arrivée en tête avec 25,87 % des suffrages, en deuxième position; c'est la liste du FN menée par Louis Aliot a obtenu 22,33 % des voix puis 15,27 % pour Michèle Alliot-Marie (UMP), ensuite c'est José Bové avec 10,07 %, Jean-Luc Mélenchon obtient 7,67, Robert Rochefort pour le MoDem 6,60%; 2,80 % pour la liste Nouvelle Donne menée par Joseph Bouisson et enfin 2,53 % pour DLR menée par Pascal Lesellier.
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[7].
En 2018, la commune comptait 4 662 habitants[Note 1], en augmentation de 10,08 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
selon la population municipale des années : | 1968[10] | 1975[10] | 1982[10] | 1990[10] | 1999[10] | 2006[11] | 2009[12] | 2013[13] |
Rang de la commune dans le département | 19 | 26 | 32 | 40 | 45 | 47 | 50 | 54 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
ÉconomieModifier
EnseignementModifier
Située dans l'académie de Toulouse, Villefranche-de-Lauragais possède :
- Une école maternelle : La colline aux enfants ;
- une école élémentaire : Jules Ferry ;
- un collège : Jules Ferry;
- un lycée : Léon Blum.
Manifestations culturelles et festivitésModifier
C’est le roi Louis XIV qui autorisa, en 1668, l'ouverture d'un marché hebdomadaire fixé au vendredi et quatre foires annuelles (une par saison). Il y eut jusqu’à six places destinées aux échanges : foirail, marché aux porcs (Fontasse), aux ovins (jardin public), aux volailles, La Pradelle et la halle aux grains.
L'hiver un marché au gras est ouvert avec ses foie gras, canards gras et autres chapons et cassoulet.
Enseignement musicalModifier
- Une école de musique
- Une harmonie municipale
Santé et sécuritéModifier
La ville dispose d'une Clinique : la clinique Monié, d'une caserne de pompiers et de deux gendarmeries (départementale et autoroute (attachée aux bâtiments des ASF, également présents du fait de la présence de l'échangeur autoroutier ( 20) de l'A61 )).
Activités sportivesModifier
Villefranche-de-lauragais dispose de diverses installations sportives (3 gymnases, 4 terrains de rugby / football, et de boulodromes), circuit de motocross.
- Club de rugby à XV, le Football Club Villefranchois (FCV)[14] évolue en Championnat de France de 2e division fédérale.
- Club de Handball, Le Handball Club Villefranchois (HBCV)[15] fort de sa formation à jouer la finale d'accession pour le championnat -18 France (haut niveau chez les jeunes) chez les filles et chez les garçons en 2018[16]. Les filles se sont qualifiées[17] et donc jouent en championnat -18 France pour la saison 2018-2019. Les autres catégories jouent les premiers rôles en championnat et/ou dans leurs coupes attitrées[18].
- Tennis, Twirling, Gymnastique, , Judo, Taekwondo et Football et Équitation sont aussi pratiqués et dispensés.
Écologie et recyclageModifier
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Cap-Lauragais[19].
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
Vestiges antiques en architecture civile, la halle centrale aux hautes arcades, quelques maisons à colombages et tourelles, des maisons du XVIIe siècle, des passages couverts (« canton merdou »), le château de Barelles, des pontets médiévaux, le moulin à eau de Barelles.
et aussi :
- Le canal du Midi
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, église édifiée en 1271 par Alphonse de Poitiers et Jeanne de Toulouse fondateur de cette bastide et frère de Saint-Louis. Le clocher-mur à tourelles et à six baies de style gothique toulousain
- Une halle aux hautes arcades jouxte l'église
- Kiosque à musique dans le jardin public, ombragé
- Château de Barelles
- le château Lavelanet à la sortie de la commune
- Le faubourg de Sébastopol à Villefranche-de-Lauragais était célèbre pour son alignement de moulins.
- La fontaine de Barreaux où on célébrait le repas de mariage au début du XXe siècle
Personnalités liées à la communeModifier
- Jane Berbié
- Pierre Bélinguier
- Pierre Bondouy
- Godefroy Calès
- Jean Jules Godefroy Calès
- Paul Fagot
- Hugues Martin-Saint-Jean
- Pierre Izard
- Laurent Mazas
- Raymond Roques
- Georges Turines
HéraldiqueModifier
Les armes de Villefranche-de-Lauragais se blasonnent ainsi : De gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, accompagnée de deux tours d'argent, maçonnées de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.
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Pour approfondirModifier
BibliographieModifier
- Société académique d'architecture, Les bastides du Lauragais et du pays de Foix : Carcassonne, Chalabre, Mazères, Mirepoix, Montgeard, Revel, Roquefixade, Saint-Félix-Lauragais, Villefranche-de-Lauragais, Diagram, Toulouse, 1991, 32 p.
Articles connexesModifier
- Liste des communes de la Haute-Garonne
- Liste des bastides
- Chevauchée du Prince noir (1355)
- Massacres perpétrés par les Allemands en France durant la Seconde Guerre mondiale
- Anciennes communes de la Haute-Garonne
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le 10 août 2020).
- actu.fr, 6 juillet 2020
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- Site du FCV
- « HBCV », sur sites.google.com (consulté le 26 juillet 2018)
- « Fabuleux parcours des jeunes handballeurs », ladepeche.fr, {{Article}} : paramètre «
date
» manquant (lire en ligne, consulté le 26 juillet 2018) - « Le HBCV reçu une sur deux », ladepeche.fr, {{Article}} : paramètre «
date
» manquant (lire en ligne, consulté le 26 juillet 2018) - « Les matches du week-end », ladepeche.fr, {{Article}} : paramètre «
date
» manquant (lire en ligne, consulté le 26 juillet 2018) - http://www.cap-lauragais.com/fr/nos-missions/ordures-menageres/tournees.html