Villefranche-de-Lauragais

commune française du département de la Haute-Garonne

Villefranche-de-Lauragais
Villefranche-de-Lauragais
L'église Notre-Dame de l'Assomption.
Blason de Villefranche-de-Lauragais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité CC des Terres du Lauragais
(siège)
Maire
Mandat
Valérie Grafeuille-Roudet
2022-2026
Code postal 31290
Code commune 31582
Démographie
Gentilé Villefranchoises, Villefranchois
Population
municipale
4 990 hab. (2021 en augmentation de 14,84 % par rapport à 2015)
Densité 482 hab./km2
Population
agglomération
5 533 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 24′ 02″ nord, 1° 43′ 08″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 256 m
Superficie 10,35 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Villefranche-de-Lauragais
(ville-centre)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revel
Législatives 10e circonscription de la Haute-Garonne
Localisation
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Villefranche-de-Lauragais
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Villefranche-de-Lauragais
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Villefranche-de-Lauragais
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Villefranche-de-Lauragais
Liens
Site web https://www.mairie-villefranchedelauragais.fr/

Villefranche-de-Lauragais est une commune française située dans l'est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Mort, la Grasse, le Marès, le ruisseau de Favayrol, le ruisseau des Barelles et par divers autres petits cours d'eau.

Villefranche-de-Lauragais est une commune rurale qui compte 4 990 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Villefranche-de-Lauragais et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Lauragais ou Lauragaises ou Villefranchois.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Villefranche-de-Lauragais se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 24 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Villefranche-de-Lauragais[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Villefranche-de-Lauragais fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[3].

La superficie de la commune de Villefranche-de-Lauragais est de 1 035 hectares. Son altitude varie de 168 à 256 mètres[4].

Communes limitrophes modifier

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Renneville (2,2 km), Gardouch (2,9 km), Saint-Rome (3,7 km), Montgaillard-Lauragais (3,9 km), Vallègue (4,0 km), Montclar-Lauragais (4,3 km), Vieillevigne (5,1 km), Saint-Vincent (5,5 km).


Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Villefranche-de-Lauragais.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Hers-Mort, la Grasse, le Marès, le ruisseau de Favayrol, le ruisseau des Barelles, le ruisseau d'en Dax, le ruisseau des Grangettes, le ruisseau du Cordet et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[8].

La Grasse, d'une longueur totale de 18 km, prend sa source dans la commune des Les Cassés (11) et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente vers le sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Marès à Montgaillard-Lauragais, après avoir traversé 11 communes[9].

Le Marès, d'une longueur totale de 12,7 km, prend sa source dans la commune d'Avignonet-Lauragais et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Montgaillard-Lauragais, après avoir traversé 4 communes[10].

Le ruisseau de Favayrol, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Mourvilles-Hautes et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Marès à Renneville, après avoir traversé 6 communes[11].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ségreville à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Villefranche-de-Lauragais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villefranche-de-Lauragais, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 3] et 5 533 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones urbanisées (24,8 %), prairies (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 255, alors qu'il était de 2 074 en 2013 et de 1 888 en 2008[I 8].

Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 76,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23,1 % des appartements[I 8].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villefranche-de-Lauragais en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (4,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,6 % en 2013), contre 52,3 % pour la Haute-Garonne et 57,5 % pour la France entière[I 9].

Le logement à Villefranche-de-Lauragais en 2018.
Typologie Villefranche-de-Lauragais[I 8] Haute-Garonne[I 10] France entière[I 11]
Résidences principales (en %) 89,1 88,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 4,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,5 7,3 8,2

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

Villefranche-de-Lauragais se trouve sur l'ancienne Route nationale 113 (actuelle RD 813), l'autoroute des Deux Mers (A61) sortie   20, et l'ancienne route nationale 622.

Transports modifier

La gare de Villefranche-de-Lauragais, sur la ligne Bordeaux-Saint-Jean - Sète-Ville, est ouverte depuis 1858. Elle est desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Castelnaudary, Carcassonne et Narbonne.

La ligne 350 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Université-Paul-Sabatier du métro de Toulouse depuis Avignonet-Lauragais, la ligne 386 relie la commune à la gare routière de Toulouse, et la ligne 413 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Castelnaudary.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Villefranche-de-Lauragais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Marès, le ruisseau de Favayrol et la Grasse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1998, 1999, 2000, 2009, 2014, 2017 et 2018[26],[24].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Villefranche-de-Lauragais.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 716 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 716 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 2002, 2003, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

Toponymie modifier

« franche » signifie « libre »: la ville franche était une ville dont la bourgeoisie s’était beaucoup enrichie (sans doute en partie grâce au pastel) et s’était affranchie du régime féodal d’un seigneur. De ce fait, la population se retrouvait soustraite aux obligations fiscales. De plus, lors de la création d’une bastide, le contrat de paréage prévoyait des mesures incitatives visant à encourager l’installation d’habitants.

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Bastide fondée au XIIIe siècle en 1267 par Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse.

En 1280, Philippe le Bel lui accorde une nouvelle charte de privilèges. Elle est dévastée en 1355 par Édouard de Woodstock, surnommé le Prince noir, lors de sa terrible chevauchée partie de l'Aquitaine anglaise.

La bastide de Villefranche, fondée sur un terroir propice à l’agriculture (céréales) et l’élevage (bovins ; porcins ; ovins ; volailles) prend son essor au XVIe siècle au détriment de sa voisine Avignonet-Lauragais. Elle est une cité prospère du « Pays de Cocagne ».

Quant aux rues longilignes, elles se croisent en angle droit en bordure de l’axe routier commercial, datant de son origine. Un entremis servant à l'évacuation des eaux usées témoigne de son passé médiéval ainsi qu’un nom : place du Portail (ancienne porte d’Autan), preuve de ses défenses.

Révolution française et Empire modifier

En 1790, la bastide devient chef-lieu de canton, sous-préfecture en 1800.

Elle est chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Toulouse du département de la Haute-Garonne.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Villefranche-de-Lauragais[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Revel

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne.

Intercommunalité modifier

Villefranche-de-Lauragais était le siège de la communauté de communes Cap-Lauragais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2008 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Terres du Lauragais dont la commune est le siège.

Tendances politiques et résultats modifier

La commune vote majoritairement à gauche.

Élections présidentielles dans la commune modifier

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 1995, Lionel Jospin arrive en tête avec 40,45 % des suffrages,suivi par Jacques Chirac (16,22 %), Édouard Balladur (14,72 %), Jean-Marie Le Pen (10,88 %), Robert Hue (5,97 %) et Arlette Laguiller (4,95 %), aucun candidat ne dépasse ensuite les 4 %.
Au second tour, contrairement au vote national, Lionel Jospin arrive en tête avec 61,16 % des suffrages contre 38,84 % pour Jacques Chirac.

Lors du premier tour de l'élection de 2002 Lionel Jospin arrive en première position avec 28,55 % des votes, suivi par Jean-Marie Le Pen (17,81 %), Jacques Chirac (14,5 %), Arlette Laguiller (5,59 %) et Jean Saint-Josse (5 %).
Au second tour, Jacques Chirac obtient 83,01 % et Jean-Marie le Pen 16,99 %

Au premier tour de celle de 2007, Ségolène Royal obtient 35,83 % des votes, suivie par Nicolas Sarkozy (24,98 %), François Bayrou (15,77 %) et Jean-Marie Le Pen (9,75 %).
Au second tour, Ségolène Royal obtient 56,33 % des suffrages et Nicolas Sarkozy 43,67.%.

Au premier tour de la présidentielle de 2012, les quatre premiers candidats sont François Hollande (37,93 % des suffrages exprimés), Nicolas Sarkozy (21,05 %), Marine Le Pen (17,53 %) et Jean-Luc Mélenchon (10,64 %).
Au second tour, François Hollande obtient 1 498 voix (60,8 %) et Nicolas Sarkozy 966 voix (39,20 %). Lors de ce scrutin14,53 % des électeurs se sont abstenus[31]

Au premier tour de l'élection de 2017, les quatre premiers candidats ont été respectivement Emmanuel Macron (25,79 %,des suffrages exprimés), Jean-Luc Mélenchon (20,67 %), Marine Le Pen (20,56 %), François Fillon (14,83 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 1 095 voix (67,01 %) et Marine Le Pen 736 voix (32,99 %). Lors de ce scrutin, 22,77 % des électeurs se sont abstenus[32].

Au premier tour de l'élection de 2022, les quatre premiers candidats sont respectivement Emmanuel Macron (26,52 %), Marine Le Pen (22,72 %), Jean-Luc Mélenchon (19,17 %) et Éric Zemmour (6,78 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 1 390. voix (56,41 %) et Marine Le Pen 1 074 voix (43,59 %). Lors de ce scrutin, 23,67 % des électeurs se sont abstenus[33].

Élections législatives dans la commune modifier

Lors du premier tour des élections législatives de 2007 en Midi-Pyrénées, où la ville est encore rattachée à la septième circonscription, les quatre premiers candidats sont Patrick Lemasle (PS, candidat sortant : 41,05 % des suffrages exprimés), Jean-Pierre Bastiani (UMP : (32,68 %), Éric Gautier (UDF-MoDem : 6,05 %) et Arnaud Delamare (FN - 4,14 %).
Au second tour, Patrick Lemasle, candidat élu, recueille 1 190 voix (59,68 %) et Jean-Pierre Bastiani 804 voix (40,32 %). Lors de ce scrutin, 32,21 % des électeurs se sont abstenus[34].

À compter des élections législatives de 2012 dans la Haute-Garonne, la ville est rattachée à la dixième circonscription.
Lors du premier tour, les quatre premiers candidats sont Gilbert Hébrard (PS dissident : 29,40 % des suffrages exprimés), Kader Arif (PS : 25,63 %), Dominique Faure (UMP-AC-PR : 20,53 %), Marie Lopau (Front National : 11,55 %).
Au second tour, le candidat élu Kader Arif obtient 1 067 voix (60,90 %) et Dominique Faure 685 voix (39,10 %). Lors de ce scrutin, 39,20 % des électeurs se sont abstenus[35]

Lors du premier tour de l'élection de 2017, les quatre premiers candidats sont Sébastien Nadot (MUP : 35,26 % des suffrages exprimés), Monique Fabre LFI : 12,29 %), Kader Arif, député sortant (PS : 12,23 %), Matthieu Lachuries (FN : 11,94 %)
Au second tour, le candidat élu Sébastien Nadot recueille 832 voix (59,17 %) et Monique Fabre 574 voix (40,83 %). Lors de ce scrutin52,70 % des électeurs se sont abstenus[36].

Au premier tour des élections législatives de 2022 dans la Haute-Garonne, les quatre premiers candidat sont Alice Assier (G.s (NUPES) : 33,07 % des suffrages exprimés), Dominique Faure (PRV - LREM (ENS) : 27,05 %), Christelle Poirier (RN : 19,81 %) et Baptiste Marquié (RES : 6,92 %).
Au second tour, Alice Assier recueille 869 voix (52,99 %) et la candidate élue Dominique Faure 771 voix (47,01 %). Lors de ce scrutin, 50,77 % des électeurs se sont abstenus[37]

Élections européennes dans la commune modifier

Lors de l'élections européennes de 2014 en France, Villefranche fait partie de la circonscription Sud-Ouest.
Les quatre premières listes sont à Villefranche celles du PS-PRG menée par Virginie Rozière (25,87 % des suffrages exprimés), du FN menée par Louis Aliot (22,33 %), de UMP menée par Michèle Alliot-Marie (15,27 %) et d'Europe Écologie Les Verts menée par José Bové (10,07 %).
Lors de ce scrutin, 49,79 % des électeurs se sont abstenus[38].

Lors de l'élections européennes de 2019 en France, menée dans une unique circonscription nationale, les quatre premières listes sont à Villefranche celles du RN (21,37 %), LREM-MODEM (20,39 %), Europe-Écologie (13,50 %) et PS (9,65 %). Lors de ce scrutin, 41,55 % des électeurs se sont abstenus[39].

Élections régionales dans la commune modifier

Au second tour des élections régionales de 2015 en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, la liste PS de Carole Delga obtient 1 081 vioix (55,38 % des suffrages exprimés), celle FN de Louis Aliot (FN) (555 voix (28,43 %) et LR menée par Dominique Reynié 316 voix (16,19 %). Lors de ce scrutin, 35,55 % des électeurs se sont abstenus[40].

Au second tour des élections régionales de 2021 en Occitanie, la liste PS menée par Carole Delga obtient 937 voix (70,66 % des suffrages exprimés), celle RN menée par Jean-Paul Garraud 211 voix (15,91 %) et celle LR menée par Aurélien Pradié 178 voix (13,42 %). Lors de ce scrutin, 60,42 % des électeurs se sont abstenus[41].

Élections cantonales puis départementales dans la commune modifier

Lors du premier tour des élections cantonales de 2011 dans la Haute-Garonne, où la ville est encore le chef-lieu du canton de Villefranche-de-Lauragais. Les deux premiers candidats ont été dans la ville[42] :

A compter des élections départementales de 2015 dans la Haute-Garonne, la ville fait partie du canton de Revel. Lors du second tour, les binômes ont obtenu[43] :

  • Gilbert Hébrard et Marie-Claude Piquemal-Doumeng (PS) : 1 121 voix, 61,73 %, élus ;
  • Marielle Garonzi et Louis Palosse (DVD) : 354 voix, 19,49 % ;
  • Olivier Lupion et Ghislaine Meyer (FN) : 341 voix, 18,78 %.
    Lors de ce scrutin, 40,01 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du second tour des élections départementales de 2021 dans la Haute-Garonne, les binomes ont obtenus[44] :

  • Gilbert Hebrard et Florence Anne Siorat (Union à gauche) : 1 121 voix, 61,73 %, élus ;
  • Pascale Ajac et Fernand Batigne (Rassemblement national) : 293 voix, 22,50 %.
    Lors de ce scrutin, 59,23 % des électeurs se sont abstenus.

Élections municipales modifier

Lors des élections municipales de 2014 dans la Haute-Garonne, la liste PS-PCF-EELV menée par la maire sortante Marie-Claude Piquemal-Doumeng est la seule candidate et obtient donc la totalité des 1 462 suffrages exprimes. Sa liste est élue en totalité et 8 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin, 34,59 % des léecteurs se sont abstenus et 24,37 des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[45].

Au second tour de l'élections municipales de 2020 en Haute-Garonne, la liste DVG menée par Bernard Barjou obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 907 voix (25,94 %, 21 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant de 101 voix celle également DVG menée par Valérie Grafeuille-Roudet qui a recueilli 806 voix (47,05 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 47,77 % des électeurs se sont abstenus[46]

Après la démission de plus d'un tiers du conseil municipal, de nouvelles élections municipales sont organisées le . La liste menée par Valérie Grafeuille-Roudet obtient 1 187 voix (66 % des suffrages exprimés, 23 conseillers élus dont 6 communautaires), devançant très largement celle menée par Lina Pic-Nardèse, conseillère municipale de la majorité sortante[47], qui a recueilli 615 voix (34 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 49,97 % des électeurs se sont abstenus[48]

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[49].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[50]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1870 1874 Henri Gringaut    
1874 1878 A. Bonay DVD  
1878 1892 Jean Jules Godefroy Calès[51] Rad. Député de la Haute-Garonne (1885 → 1889)
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1880 → 1889)
1892 1896 M. Camberoque DVG  
1896 1904 Albert-Godefroy-Victor Calès DVD Fils de Jean Jules Godefroy Calès, percepteur
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1889 → 1904 et 1907 → 1914)
1904 1908 J. Bourrel DVG  
1908 1926 Pierre Bélinguier[52] DVG Négociant en bestiaux à Villefranche-de-Lauragais
Député de la Haute-Garonne (1914 → 1919)
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1914 → 1926)
1926 1929 Ernest Cacha Rad. Notaire
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1926 → 1934)
1929 1944 Charles Bernard Gajan SFIO Conducteur des Ponts et Chaussées
1944 1965 Georges Turines[53] RGR Directeur de cours complémentaire, ancien conseiller d'arrondissement
Député de la Haute-Garonne (1951 → 1955)
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1949 → 1961)
1965 1971 Roger Alias DVD Notaire
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1961 → 1967)
1971 2001 Pierre Izard PS Médecin pédiatre
Président de la CC Cap-Lauragais (2008 → 2016)
Conseiller général de Villefranche-de-Lauragais (1967 → 2015)
Président du conseil général de la Haute-Garonne (1988 → 2015)
mars 2001 juillet 2020[54] Marie-Claude Piquemal-Doumeng PS Fonctionnaire au conseil général
Conseillère départementale de Revel (2015 → 2021)
juillet 2020[55] novembre 2022[56] Bernard Barjou DVD Receveur-percepteur des finances retraité
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
novembre 2022[57],[58] En cours
(au 24 janvier 2023)
Valérie Grafeuille-Roudet PS Chargée de mission au conseil départemental de Haute-Garonne

Équipements et services publics modifier

Eau et déchets modifier

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Cap-Lauragais[59].

Enseignement modifier

Située dans l'académie de Toulouse, Villefranche-de-Lauragais possède :

Enseignement musical modifier

Santé et sécurité modifier

La ville dispose d'une Clinique : la clinique Monié, d'une caserne de pompiers et de deux gendarmeries (départementale et autoroute (attachée aux bâtiments des ASF, également présents du fait de la présence de l'échangeur autoroutier (  20) de l'A61)). Clinique vétérinaire,

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[61].

En 2021, la commune comptait 4 990 habitants[Note 4], en augmentation de 14,84 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6651 9342 1152 2712 6022 7652 8052 7692 870
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9392 8652 8292 6442 5382 5812 5742 5562 224
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2772 3472 1762 0352 1192 0042 1222 1612 218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 5222 7712 9483 1273 3163 3383 6343 8564 090
2014 2019 2021 - - - - - -
4 2824 8064 990------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[63] 1975[63] 1982[63] 1990[63] 1999[63] 2006[64] 2009[65] 2013[66]
Rang de la commune dans le département 19 26 32 40 45 47 50 54
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le roi Louis XIV autorise en 1668, l'ouverture d'un marché hebdomadaire fixé au vendredi et quatre foires annuelles (une par saison). Il y eut jusqu’à six places destinées aux échanges : foirail, marché aux porcs (Fontasse), aux ovins (jardin public), aux volailles, La Pradelle et la halle aux grains.

L'hiver un marché au gras est ouvert avec ses foie gras, canards gras et autres chapons et cassoulet.

Sports et loisirs modifier

Villefranche-de-lauragais dispose de diverses installations sportives (3 gymnases, 4 terrains de rugby / football, et de boulodromes), circuit de motocross.

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 029 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 4 774 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 040 [I 12] (23 140  dans le département[I 13]). 49 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (55,3 % dans le département).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 14] 5,7 % 7,5 % 7,3 %
Département[I 15] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 16] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 751 personnes, parmi lesquelles on compte 79,8 % d'actifs (72,5 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 20,2 % d'inactifs[Note 7],[I 14]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 17]. Elle compte 2 998 emplois en 2018, contre 2 513 en 2013 et 2 258 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 025, soit un indicateur de concentration d'emploi de 148 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %[I 18].

Sur ces 2 025 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 666 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 19]. Pour se rendre au travail, 79,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,1 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 20].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Détail de la porte de l'église

Vestiges antiques en architecture civile, la halle centrale aux hautes arcades, quelques maisons à colombages et tourelles, des maisons du XVIIe siècle, des passages couverts (« canton merdou »), le château de Barelles, des pontets médiévaux, le moulin à eau de Barelles.

et aussi :

  • Le canal du Midi
  • La mairie. Cet équipement a occupé successivement plusieurs emplacements : En 1835, celle-ci occupe avec l'école l'étage d'une petite halle jouxtant l'église et la rue Traversière permettait d'y accéder. En 1885, la mairie s'installe dans la Grande-rue, à l'actuel no 129 rue de la République. Le juge de Paix tenait au rez-de-chaussée du bâtiment des audiences de conciliation. La mairie s'installe dans les années 1970 à l'emplacement de l'ancienne Halle aux grains construite vers 1880 place de la Pradelle, l'actuelle place Gambetta, dans un bâtiment construit pour satisfaire à ses besoins[72]
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, église édifiée en 1271 par Alphonse de Poitiers et Jeanne de Toulouse fondateur de cette bastide et frère de Saint-Louis. Le clocher-mur à tourelles et à six baies de style gothique toulousain
  • Une halle aux hautes arcades jouxte l'église[72]
  • Kiosque à musique dans le jardin public, ombragé
  • Château de Barelles
  • le château Lavelanet à la sortie de la commune
  • Le faubourg de Sébastopol à Villefranche-de-Lauragais était célèbre pour son alignement de moulins.
  • La fontaine de Barreaux où on célébrait le repas de mariage au début du XXe siècle

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, accompagnée de deux tours d'argent, maçonnées de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Société académique d'architecture, Les bastides du Lauragais et du pays de Foix : Carcassonne, Chalabre, Mazères, Mirepoix, Montgeard, Revel, Roquefixade, Saint-Félix-Lauragais, Villefranche-de-Lauragais, Diagram, Toulouse, 1991, 32 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Villefranche-de-Lauragais » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

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  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
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  11. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  12. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villefranche-de-Lauragais » (consulté le ).
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Autres sources modifier

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  54. Marine Pons, « Municipales 2020 à Villefranche : le maire Marie-Claude Piquemal-Doumeng ne sera pas candidate : Marie-Claude Piquemal-Doumeng, maire de Villefranche-de-Lauragais depuis 2001, ne briguera pas un quatrième mandat de maire lors des Municipales 2020. Interview », Voix du Midi Lauragais,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il sera aussi inutile de chercher le nom de l’actuelle conseillère départementale du canton de Revel sur l’une des futures listes pour les Municipales 2020. Après avoir passé 18 ans à la tête de la commune, elle précise qu’elle stoppera totalement sa vie de conseillère municipale ».
  55. « Portrait. Qui est vraiment Bernard Barjou, nouveau maire de Villefranche-de-Lauragais : C'est officiel! Bernard Barjou, après avoir remporté l'élection municipale à Villefranche-de-Lauragais le 28 juin, a été élu maire par le nouveau conseil. Mais qui est-il vraiment? », Voix du Midi Lauragais,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. Laurent Gales, « Après les démissions, le maire de Villefranche-de-Lauragais annonce de nouvelles élections : Suite à la vague de démissions dans la majorité, le quota est aujourd’hui atteint pour demander à la préfecture la tenue de nouvelles élections », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Laurent Gales, « Valérie Grafeuille-Roudet a ceint l'écharpe de maire de Villefranche-de-Lauragais : Ce samedi 20 novembre, le nouveau conseil municipal a élu sans grande surprise le nouveau maire de Villefranche-de-Lauragais en la personne de Valérie Grafeuille-Roudet », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. « Portrait : qui est (vraiment) le nouveau maire de Villefranche-de-Lauragais ? : Élue maire de Villefranche-de-Lauragais par le conseil municipal samedi 26 novembre 2022, Valérie Grafeuille-Roudet n'est pas vraiment une inconnue. Notre portrait, côté cour », Voix du Midi Lauragais,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Adjointe au maire sous le mandat de Marie-Claude Piquemal-Doumeng puis conseillère municipale de la minorité pendant le mandat de Bernard Barjou, c’est désormais à la tête de la commune de Villefranche-de-Lauragais que Valérie Grafeuille-Roudet aborde le nouveau mandat qui s’est ouvert samedi 26 novembre ».
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