Liste des États membres de l'Organisation des Nations unies
La liste des États membres de l'Organisation des Nations unies regroupe les 193 États membres de cette organisation. Quatre autres États, pour un total de 197, sont reconnus par l'Organisation des Nations unies (ONU).
Chacun des 193 pays a un ambassadeur permanent à l'ONU à New York. Le Soudan du Sud, indépendant depuis 2011, est le dernier pays à y avoir établi une ambassade.
Liste des États membres
modifierCette liste ne reprend pas les dénominations de pays utilisées par l'ONU, elle utilise la terminologie généralement utilisée dans Wikipédia, à savoir le nom usuel et francisé des pays.
Cartographie
modifierNon-membres
modifierÉtats observateurs non-membres
modifierIl n'existe, en 2020, que deux États non membres auxquels a été adressée une invitation permanente à participer en qualité d’observateurs aux sessions et aux travaux de l’Assemblée générale, et ayant une mission permanente d’observation au Siège de l’ONU :
Le Saint-Siège, depuis le , dispose du statut d'observateur auprès de l'ONU ; l'Assemblée générale, par sa résolution 58/314 du , a défini la « Participation du Saint-Siège aux travaux de l'Organisation des Nations Unies » notamment le droit d'intervenir et de participer à ses sessions et conférences.
La Palestine dispose également du statut d'État observateur depuis que, le , l'Assemblée générale lui a accordé ce statut par sa résolution A/RES/67/19.
Ce sont deux États non membres de l'ONU auxquels a été accordé un statut d'observateur[19], respectivement le [20] et depuis 2012[21]. La Palestine est passée du statut d'« entité » à celui d'« État observateur non membre » à l'ONU le à la suite d'un vote de l'Assemblée générale ayant obtenu une majorité de 138 voix pour, 9 contre et 41 abstentions[22].
Le , l'Assemblée générale vote une résolution permettant aux États observateurs de hisser leur drapeau au siège de l'ONU[23].
Le , l'adhésion pleine et entière de la Palestine à l'ONU est rejetée par le Conseil de sécurité en raison du veto américain, seul opposant à cette adhésion, malgré 12 voix pour et deux abstentions[24]. Le , l'Assemblée générale des Nations unies a adopté à une très large majorité (143 voix pour, 9 voix contre et 25 abstentions) la résolution ES-10/23 en faveur de l'admission de l'État de Palestine en tant que membre de plein droit de l'ONU, recommandant ainsi au Conseil de sécurité de « réexaminer favorablement » cette question. Par ailleurs, le statut d'État observateur de l'État de Palestine est rehaussé, l'Assemblée générale ayant décidé, « à titre exceptionnel et sans que cela constitue un précédent » (précision ajoutée notamment pour satisfaire des pays qui ne reconnaissent pas le Kosovo), d’adopter plusieurs modalités pour la participation de l'État de Palestine à ses sessions et travaux à compter de sa soixante-dix-neuvième session[25].
États non-membres et non observateurs reconnus par l'ONU
modifierEn 2020, deux États reconnus par l'ONU, tous deux océaniens, sont à la fois non-membres et non-observateurs :
- les Îles Cook, reconnues comme État non-membre depuis 1992[26]
- Niue, également reconnu comme État non-membre depuis 1994[26].
Les îles Cook et Niue sont sous souveraineté néo-zélandaise, étant juridiquement des territoires dépendants en libre association avec la Nouvelle-Zélande. En tant qu'États associés ne disposant pas de la souveraineté extérieure, il leur est impossible de devenir membres des Nations unies[27]. Ils sont néanmoins tous deux considérés comme indépendants dans leurs relations étrangères par l'ONU et y ont le statut d'États non-membres, depuis 1992 pour les îles Cook[26] et depuis 1994 pour Niue[26].
Organisations intergouvernementales invitées en qualité d'observateur
modifierActuellement soixante-neuf organisations internationales, comme l'Union européenne ou l'Organisation internationale de la francophonie possèdent également un statut d'observateur[28],[29],[30].
Organisations régionales autorisées par leurs États membres à parler en leur nom
modifierOrganisation ou entité | Date où le statut d'observateur a été accordé | Type d'entité |
---|---|---|
Union européenne[note 3] | 11 octobre 1974 (résolution A/RES/29/3208[31]) : statut d'observateur 10 mai 2011 (résolution A/RES/65/276 )[32]) : statut d'observateur avancé |
[33] |
Organisations intergouvernementales
modifierOrganisation | Date de statut d'observateur accordé |
---|---|
Pays d'Afrique, Caraïbes et Pacifique | (A/RES/36/4) |
Banque africaine de développement | (A/RES/42/10) |
Union africaine (avant Organisation de l'unité africaine) | (A/RES/2011(XX)) 15 août 2002 (General Assembly decision 56/475) |
Traité de Tlatelolco | (A/RES/43/6) |
Communauté andine | (A/RES/52/6) |
Organisation internationale de la francophonie |
Autres organisations jouissant d'un statut d'observateur
modifierCinq organisations non gouvernementales agissant dans la sphère internationale ont actuellement un statut d'observateur[28] :
- l'Ordre souverain militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte depuis 1994[34] ;
- le Comité international olympique ;
- l'Union interparlementaire ;
- la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge et le Comité international de la Croix-Rouge.
L'Organisation de libération de la Palestine (OLP) a bénéficié de ce statut de 1974[35] au , date de l'accession de l'État de Palestine au statut d'État observateur.
Particularités
modifierCodification des drapeaux des États membres
modifierLes drapeaux des États membres de l'ONU sont hissés en ordre alphabétique anglais du nord au sud devant le siège new-yorkais de l'organisation. Ceux-ci doivent se conformer à un règlement publié par le bureau du Secrétaire général en 1967. Pour une question d'unité, ce règlement prescrit une taille standardisée de 4 par 6 pieds, ou 122 par 183 centimètres[36].
Népal
modifierLe drapeau en zigzag du Népal n'était pas soumis à ce règlement lors de l'admission du pays le .
Suisse
modifierUne exception prévue par ce règlement a permis à la Suisse de conserver son drapeau carré lors de son admission le [37],[38].
Union ou réunification d'États
modifierAllemagne
modifierLa République fédérale d’Allemagne et la République démocratique allemande ont été admises à l’ONU le . Du fait du rattachement de la République démocratique allemande à la République fédérale d’Allemagne, qui a pris effet le , les deux États allemands se sont unis pour former un seul État souverain.
Tanganyika et Zanzibar
modifierLe Tanganyika a été admis à l’Organisation des Nations unies le et Zanzibar le . À la suite de la ratification, le , du traité d’union entre le Tanganyika et Zanzibar, les deux États ont été représentés à l’Organisation avec un siège unique sous le nom de République Unie de Tanganyika et de Zanzibar et, à partir du , sous le nom de République unie de Tanzanie.
Yémen
modifierLe Royaume mutawakkilite du Yémen (ou Yémen du Nord, devenu en 1962 la République arabe du Yémen) a été admis à l’Organisation des Nations unies le et la République démocratique du Yémen du Sud (devenue en 1970 la République démocratique populaire du Yémen) le . Le , les deux États ont fusionné et sont depuis lors représentés comme un seul et même État, le Yémen (république du Yémen).
Éclatement d'États
modifierÉgypte et Syrie
modifierEntrées à l’Organisation des Nations unies le , l’Égypte et la Syrie étaient membres fondateurs de l’Organisation. Après le plébiscite du , l’Égypte et la Syrie se sont unies pour former la République arabe unie, qui a continué à être représentée à l’Organisation avec un siège unique. Le , la Syrie a recouvré son statut d’État indépendant et repris son siège à l’Organisation des Nations unies. Le , la République arabe unie a changé son appellation en République arabe d’Égypte.
Malaisie et Singapour
modifierLa fédération de Malaisie a été admise à l’Organisation des Nations unies le . Le , elle a pris le nom de Malaisie à la suite de l’admission au sein de la nouvelle fédération de Singapour, Sabah et Sarawak. Singapour est devenu un État indépendant le [39] et est entré à l’Organisation des Nations unies le .
Tchécoslovaquie
modifierEntrée à l’Organisation des Nations unies le , la Tchécoslovaquie était membre fondateur de l’Organisation. Dans une lettre datée du , son représentant permanent a informé le Secrétaire général que la République fédérale tchèque et slovaque cesserait d’exister le et que les États successeurs demanderaient à être admis à l’Organisation des Nations unies. La Tchéquie et la Slovaquie sont ainsi devenues, le , des États membres de l’ONU.
Yougoslavie
modifierLa République fédérative socialiste de Yougoslavie fut l’un des membres fondateurs de l’ONU, elle en a signé la Charte le et l’a ratifiée le .
- À la suite du démembrement du pays et de la création de nouveaux États, la Bosnie-Herzégovine (résolution A/RES/46/237), la Croatie (A/RES/46/238) et la Slovénie (A/RES/46/236) ont été admises à l’ONU le ;
- Macédoine du Nord : l’Assemblée générale a admis le l’État provisoirement dénommé ex-République yougoslave de Macédoine en attendant que soit réglée le conflit diplomatique avec la Grèce au sujet de son nom. Cet État est alors communément appelé ARYM en français. Depuis l'entrée en vigueur de l'accord de Prespa le , il est désigné par l'Organisation des Nations unies et tous ses membres sous le nom de « (république de) Macédoine du Nord » ;
- bien qu'initialement reconnue comme le continuateur de la République fédérative socialiste de Yougoslavie, la République fédérale de Yougoslavie a, sous la pression des États-Unis, été exclue de l’Assemblée générale des Nations unies le , et n'était plus désormais reconnue que comme un de ses successeurs, en lui laissant donc la possibilité de présenter sa candidature en son nom propre. L'État regroupant la Serbie et le Monténégro fut admis comme État membre sous le nom de République fédérale de Yougoslavie le (résolution A/RES/55/12). Elle s'est ensuite appelée Serbie-et-Monténégro à partir du .
D'autres changements sont intervenus par la suite :
- à la suite de la partition du pays entre la Serbie et le Monténégro le , la Serbie a hérité du siège de la Serbie-et-Monténégro en tant qu'État continuateur de l'union, tandis que le Monténégro est devenu membre le ;
- le Kosovo a déclaré son indépendance unilatéralement le mais n'est pas membre de l'ONU. La reconnaissance de son indépendance n'est que partielle parmi les États membres : le Kosovo est reconnu par 3 membres permanents du conseil de sécurité et par 99 pays membres de l'ONU.
Soudan du Sud
modifierÀ la suite de la proclamation de son indépendance le et de l'Assemblée générale de l'ONU du , le Soudan du Sud devient le 193e État membre[40].
Succession d'un État à un autre
modifierDe la République de Chine à la Chine communiste
modifierLa république de Chine est un membre fondateur des Nations unies en 1945. En 1949, à la fin de la guerre civile chinoise, le gouvernement de la république de Chine se réfugie à Taïwan, laissant le contrôle de la majeure partie du pays aux mains du gouvernement de la république populaire de Chine.
Le siège chinois à l'ONU est occupé par la république de Chine jusqu'au , date à laquelle il est ré-attribué à la république populaire de Chine dans toutes les instances de l'ONU par le vote à l'Assemblée générale de la résolution 2758.
Depuis, la république de Chine est exclue de l'ONU. Des accords assimilables à des traités sont conclus avec ce territoire (et notamment des accords de défense avec les États-Unis), sans qu'il n'y ait eu à ce jour de proclamation officielle d'indépendance ni, a fortiori, de reconnaissance comme État de la part de l'ONU ou d’États tiers.
De l'URSS à la Russie
modifierEntrée à l'ONU le , l’Union des républiques socialistes soviétiques était membre fondateur de l’organisation. Par une lettre datée du , le Président de la Russie, Boris Eltsine, a informé le Secrétaire général que la fédération de Russie, avec l’appui des 11 pays membres de la Communauté des États indépendants, succédait à l’Union soviétique au Conseil de sécurité et dans tous les autres organes de l’ONU.
Politique de la « chaise vide » ou retrait provisoire
modifierFrance
modifierDe 1956 jusqu'à 1964 environ, la France pratiqua souvent la politique de la chaise vide, car le général de Gaulle était très réservé vis-à-vis de l'Organisation (elle refusa parfois également de verser une partie de sa contribution). Les raisons en étaient diverses :
- opposition de l'ONU à l'expédition à Suez en 1956 ;
- les dossiers avec les colonies : Maroc ou Tunisie (jusqu'à leur indépendance en 1956) ou Algérie (indépendance en 1962) ;
- l'incident de Bizerte en 1961 avec le gouvernement tunisien ;
- les essais nucléaires français menés au Sahara jusqu'en 1966 (puis dans le Pacifique jusqu'en 1996) ;
- opposition à l'opération des casques bleus menée de 1960 à 1964 dans l'ex-Congo belge.
Indonésie
modifierDu au , l’Indonésie s'est retirée de l’Organisation des Nations unies pour protester contre l'adhésion de la Malaisie.
URSS
modifierL'URSS pratiquait la politique de la chaise vide à l'ONU depuis la non-reconnaissance de la République populaire de Chine au lieu de la Chine nationaliste (voir supra, Chine et Taïwan).
En 1950, à la suite de l'invasion de la Corée du Sud par la Corée du Nord, les États-Unis purent faire voter la décision de reconnaître la Corée du Nord comme agresseur et celle de l'envoi de troupes sous la tutelle des Nations unies. Ayant reconnu cette erreur tactique, l'URSS a ensuite assisté à toutes les réunions et a rendu très difficiles les prises de décisions pendant 30 ans (jusqu'à la fin de la guerre froide) en usant de son droit de veto[41].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Selon le Groupe d'experts des Nations unies pour la normalisation des noms géographiques (GENUNG), « l'État d'Israël a fixé sa capitale à Jérusalem, où siègent le Président, la Knesset, le Gouvernement et la Cour Suprême. En l'absence d'un accord international sur le statut de cette ville, les ambassades sont situées à Tel-Aviv-Jaffa »[7],[8],[9]. De son côté, le gouvernement français considère deux capitales, Tel-Aviv-Jaffa et Jérusalem, aux termes de la « Recommandation concernant les noms d'États, d'habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie par le ministère des Affaires étrangères et européennes) » publiée au Journal officiel du 24 septembre 2008[10].
- Indépendance le 9 juillet 2011
- À l'origine sous le nom de Communauté européenne. La CE est devenue officiellement l'UE en 2010 et a été reconnue en 2011.
Références
modifier- Fonctionnement de l'Assemblée générale, ONU, consulté le 26 juin 2022
- Afrique du Sud : Pretoria est la capitale administrative et le siège du gouvernement, Le Cap est le siège du Parlement et Bloemfontein la capitale judiciaire.
- Bénin : Porto-Novo est la capitale constitutionnelle, Cotonou est le siège du gouvernement et des ambassades.
- Birmanie : Depuis le , Naypyidaw à côté de Pyinmana est la capitale officielle. Dans sa mise à jour de 2010, le CNIG donne Rangoon comme capitale, avec Rangoun comme graphie alternative, et indique que Yangon est le nom préconisé par l'ONU. Il précise que « Naypyidaw, est officiellement capitale politique, mais en l’absence de reconnaissance internationale, les ambassades restent à Rangoun ». L'UE, qui indique ne pas se positionner sur le nom officiel, a remplacé Yangon par Nay Pyi Daw le 1er janvier 2013. L'ONU retient Nay Piy Taw.
- Bolivie : Sucre est la capitale constitutionnelle, La Paz est le siège du gouvernement et des ambassades.
- Côte d'Ivoire : Selon l'IGN, Yamoussoukro est la capitale politique depuis 1983, l'ancienne capitale Abidjan demeure le siège des ambassades.
- « Jérusalem », Groupe d'expert des Nations unies pour les noms géographiques (consulté le )
- Voir aussi « Geographic names », United Nations Statistics Division (consulté le ) : « The designation Jerusalem as the capital is provided by Israel. The position of the United Nations on the question of Jerusalem is contained in General Assembly resolution 181(11) and subsequent resolutions of the General Assembly and the Security Council concerning this question »
- Résolution 478 (1980) du Conseil de sécurité des Nations unies
- « Recommandation concernant les noms d'États, d'habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie par le ministère des Affaires étrangères et européennes) », Légifrance (consulté le )
- Kazakhstan : Akmola est la nouvelle capitale depuis le . Elle a été rebaptisée Astana en 1998 puis Nour-Soultan en 2019. L'ancienne capitale est Almaty (du kazakh) ou Alma-Ata (du russe).
- Kiribati : La capitale des Kiribati est Tarawa-Sud, une communauté urbaine de l'atoll de Tarawa. Bairiki, un lieu-dit, fait partie de Tarawa-Sud.
- Kuala Lumpur est la capitale et Putrajaya, située à 20 km, est la nouvelle capitale administrative.
- Îles Marshall : Delap-Uliga-Darrit est une municipalité située sur l'atoll de Majuro).
- Palaos : Melekeok, dont le lieu-dit Ngerulmud accueille le Capitole, est la nouvelle capitale depuis le , en remplacement de Koror.
- Sri Lanka : L'UE ne donne que Colombo comme capitale. L'IGN donne Sri Jayewardenepura-Kotte comme capitale administrative et législative et Colombo comme capitale commerciale.
- Depuis 1848, Berne est la ville fédérale, à savoir le siège du gouvernement fédéral suisse, sans cependant avoir le statut de capitale.
- Vaiaku : centre administratif de l'atoll de Funafuti.
- « États non membres », sur Nations Unies, (consulté le ).
- « The Permanent Observer Mission of the Holy See to the United Nations », sur The Permanent Observer Mission of the Holy See to the United Nations (consulté le ).
- « Assemblée générale: ovation debout pour l’accession de la Palestine au statut d’État observateur non membre en présence du Président Mahmoud Abbas | Couverture des réunions & communiqués de presse », sur Nations Unies (consulté le ).
- « ONU : la Palestine obtient le statut d'État observateur », sur L'Obs, (consulté le ).
- « La Palestine va pouvoir déployer son drapeau au siège de l'ONU », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Guerre à Gaza : l'adhésion pleine et entière des Palestiniens à l'ONU rejetée en raison du veto américain », Les Échos, (consulté le ).
- « L’Assemblée générale vote à une écrasante majorité pour l’admission de l’État de Palestine à l’ONU et rehausse son statut d’Observateur permanent », sur press.un.org, (consulté le ).
- UN THE WORLD TODAY [PDF] and Repertory of Practice of United Nations Organs Supplement no 8, p. 10 [PDF].
- (en) « REGION: Cook Islands puts New Zealand citizenship first », Pacific Magazine, 14 juin 2001.
- [1] Organisations intergouvernementales invitées, de façon permanente, à participer en qualité d'observateurs aux sessions et aux travaux de l'Assemblée générale de l'ONU.
- « Liste des observateurs », Ministère des Affaires étrangères, (consulté le ).
- « Organisations intergouvernementales invitées, de façon permanente, à participer en qualité d'observateurs aux sessions et aux travaux de l'Assemblée générale de l'ONU », sur un.org (consulté le ).
- Assemblée générale des Nations unies,Résolution 3208 session 29 Status of the European Economic Community in the General Assembly.
- Assemblée générale des Nations unies,Résolution 276 session 65 Participation of the European Union in the work of the United Nations.
- « Résolution adoptée par l'Assemblée générale le 3 mai 2011 », sur le site de l'ONU (consulté le ).
- « Résolution 48/265 : Octroi à l’Ordre souverain et militaire de Malte du statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale », sur Nations Unies, (consulté le ).
- « Reconnaissance grandissante des droits des palestiniens par l'Assemblée générale », Organisation des Nations unies, (consulté le ).
- (en) Endrst, Elsa B., « So Proudly They Wave ... Flags of the United Nations », UN Chronicle, vol. 29, no 4, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) The Associated Press, « Switzerland becomes 190th member of United Nations », sur usatoday.com, (consulté le ).
- Stéphane Bern, Les Pourquoi de l'Histoire, Volume 2, Albin Michel, 2015, 304 p. (ISBN 978-2-226-37571-1) [extrait en ligne].
- (en) Proclamation de Singapour.
- « L'ONU admet le Soudan du Sud comme nouveau membre », dépêche de l'ONU, 14 juillet 2011.
- « Au Conseil de sécurité de l'ONU, une longue histoire de blocages », lemonde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
Annexes
modifierArticles connexes
modifier- Liste des pays du monde
- Liste des États non reconnus internationalement
- Liste des ambassadeurs aux Nations unies actuellement en fonction
- Liste des membres fondateurs de l'Organisation des Nations unies