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Date des élections législatives françaises de 1986

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Bonjour,

J'ai une question à vous poser qui est très simple, mais je n'arrive pas à trouver la réponse.

La question est : on sait que les députés français sont élus pour 5 ans, et ceci n'a pas changé depuis la promulgation de la Constitution en 1958. En 1981, François Mitterrand a été élu le 10 mai ; il a dissous l'Assemblée nationale ; les élections législatives ont eu lieu les 14 et 21 juin 1981 (cf. Élections législatives françaises de 1981). On s'attendrait donc que les élections législatives suivantes aient eu lieu en juin 1986 (cinq ans après juin 1981, à l'expiration de la mandature). Or il n'y a pas eu de dissolution, et elles ont eu lieu le 16 mars 1986. Pourquoi les avoir anticipées de trois mois ? Pour quel motif juridique ? Cet « avancement » n'était-il pas anticonstitutionnel ? La page élections législatives françaises de 1986 ne donne pas de réponse à cette question… --Éric Messel (discuter) 16 février 2015 à 02:37 (CET)Répondre

En 1986, le code électoral disait: "Les pouvoirs de l'Assemblée nationale expirent à l'ouverture de la session ordinaire d'avril de la cinquième année qui suit son élection." et "Sauf le cas de dissolution, les élections générales ont lieu dans les soixante jours qui précèdent l'expiration des pouvoirs de l'Assemblée nationale.", ce qui donne une élection entre février et avril 1986, ([voir ici] donc dans ce que prévoit la loi. Légifrance nous apprend de plus que cet article est resté en vigueur de 1964 à 1995. Defunes43 (discuter) 16 février 2015 à 07:31 (CET)Répondre
D'ailleurs, cette variation de durée de la législature se voit pour plusieurs d'entre elles (je précise, dont la fin n'est pas due à une dissolution), qui durent un peu, voire beaucoup moins que 5 ans : la deuxième commence le 6 décembre 1962 et s'achève le 3 avril 1967, soit une durée de 4 ans et 4 mois, la quatrième commence le 11 juillet 1968 et s'achève le 2 avril 1973 (4 ans et 8 mois), la neuvième commence le 23 juin 1988 et s'achève le 2 avril 1993 (4 ans 9 mois). >O~M~H< 16 février 2015 à 07:47 (CET)Répondre
De mémoire et en marge de la question très précise, je me souviens que cette élection législative est considérée à l'époque comme très controversée, en effet il s'avèrait pour beaucoup que, la date retenue, le 16 mars 1986, était très mal choisie, mais avait-on le choix ? en fait sur la base de critères objectifs économiques (forte poussée du chômage et déjà un plan de rigueur mis en place depuis 1983 qui sonnera la fin de l'union de la gauche en 1984), et en donnant du grain à moudre à l'opposition avec le projet de loi de A. Savary sur l’école publique et l’école privée, et l'introduction du scrutin proportionnel à un tour, on avait avancé aussi, pour la date, des considérations plus subjectives comme la morosité due aux intempéries (l'hiver 1985 - 1986 est un des plus froid depuis 1956 et le mois de février en particulier) et l'on pense que le mois d'avril aurait été plus propice à l'optimisme, mais là aussi, après vérification, ce mois d'avril 1986 s'avère le plus froid depuis 1917), en conclusion date avancée ou reculée, rien n'aurait fait changer les résultats.--Doalex (discuter) 16 février 2015 à 10:27 (CET) et modifié à 13:00 (CET)Répondre
Je fais un petit ajout quand à l'aspect anticonstitutionnel de la chose. La Constitution ne régit pas les élections législatives, qui est du domaine de la loi, et donc du vote des députés eux mêmes. On pourrait imaginer, stricto sensu, une législature qui fasse un coup d'Etat en votant par exemple un mandat à vie des députés. Defunes43 (discuter) 16 février 2015 à 10:38 (CET)Répondre
  Defunes43, Olivier Hammam et Doalex : Merci beaucoup de vos réponses ! --Éric Messel (discuter) 17 février 2015 à 19:34 (CET)Répondre

Lavoir de Sivrey

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Autre vue du même lavoir (dommage qu'à la réfection, ils aient maçonné dessus le ru); l'eau s'écoule du lavoir, abritant en dessous, et autrefois, des écrevisses rouges. Les truites vont et viennent toujours dans le ru, comme dans le lavoir.

Bonjour à tous !
J'aimerais dater plus exactement cette carte postale du Lavoir de Sivrey. J'aurais tendance à la dater d'après Guerre de 14-18 à cause des vélos. Or le site du Ministère de la Culture donne 1903 - 1920. Je vous remercie. Mike Coppolano (discuter) 16 février 2015 à 08:47 (CET)Répondre

Si tu peux dater les vélos sur cette carte, t’as d’bons yeux, tu sais (l’année en cours figure sur la plaque de vélo). Sinon je ne vois pas d’élément de datation possible, mais la vue de mon nez me suggèrerait plutôt avant-guerre (trop d’hommes en apparence vivants et valides, oui c’est mince comme argument). --Morburre (discuter) 16 février 2015 à 10:38 (CET)Répondre
Moi je suis intrigué par l'accoutrement de la personne située à gauche au second plan.--Doalex (discuter) 16 février 2015 à 13:11 (CET)Répondre
Qu'en est-il Doalex ? @ Morburre, les vélos même en 45 dans l'Aube c'était rare ! Alors là, avant 14-18, j'ai du mal ! Mike Coppolano (discuter) 16 février 2015 à 13:15 (CET)Répondre
C'est la question ou plutôt que fait-il ? --Doalex (discuter) 16 février 2015 à 13:32 (CET)Répondre
C'est le maréchal-ferrand, son atelier était bien là, à gauche (c'est depuis, une résidence secondaire). Mike Coppolano (discuter) 16 février 2015 à 13:37 (CET)Répondre
Les 2 hommes tenant leur vélo semblent être en uniforme. Des gendarmes? Dhatier discuter 16 février 2015 à 14:10 (CET)Répondre
Oui, je pense qu'il s'agit bien de la maréchaussée. Les vélos me semblent bien. Alors avant 14 - 18 ? Pas évident ! Mike Coppolano (discuter) 16 février 2015 à 14:13 (CET)Répondre
Ils portent un képi. Essaie de trouver à partir de quand cette coiffure a fait partie de leur uniforme. Aussi une autre piste : S.B. et compagnie est abréviation de Sauveur Brunclair, éditeur à Troyes Dhatier discuter 16 février 2015 à 15:06 (CET)Répondre
Képi et uniformes, c’est pas évident. Les gendarmes en portaient, des képis, bien avant 1900. Les facteurs aussi (mais ils marchaient plus à pied qu’à vélo). Quant à savoir ce qu’ils font, j’ai la réponse : ils posent pour la photo, et sans bouger s’il vous plaît, c’est pas du numérique. --Morburre (discuter) 16 février 2015 à 16:49 (CET)Répondre
C'est pas tout, avant 14-18 ou bien après ? On est là vraiment à la campagne entre Auxon et Ervy-le-Châtel. Auriez-vous d'autres éléments de réponse ? Merci Mike Coppolano (discuter) 19 février 2015 à 12:18 (CET)Répondre
Bonjour Mike. Moi, le seul truc que je peux dire, c'est que les chevrons du lavoir sont d'avant la guerre. Ça ne t'aide guère  . Dans un si petit village, il n'y a pas d'époque, y a-t-il seulement un temps qui passe ? C'est pas la photo qui nous dira d'où elle vient ni de quand elle est. Peut-être la mention de l'éditeur. Il est né en 1870 et il était photographe et éditeur de cartes postales à Troyes avant la guerre. Pendant la guerre, il a photographié l'« arrière », et ça a plutôt bien marché pour lui. Après la guerre, il a passé la main, c'est peut-être à ce moment là que Cie s'est associé ?   -- le sourcier 20 février 2015 à 23:05 (CET)Répondre
sur ce site, il est dit : « Les habitants se sont réunis en association pour la restauration de la chapelle, bien réussie ; le lavoir est ouvert et vous pouvez demander la clé aux voisins pour visiter l’intérieur de la chapelle ! »… si tu ne peux te rendre sur place pour une visite et "demander la clé aux voisins", peut-être que la mairie d’Auxon, dont dépend le hameau pourra te donner les coordonnées de la dite asso à qui tu pourras poser la question… suis sûr qu'un ancien se fera un (grand) plaisir de te renseigner en te racontant « qui c'est qui… » et « quoi c'est quoi… » depuis 70… Bon courage  Hautbois [canqueter] 21 février 2015 à 11:27 (CET)Répondre
Merci le sourcier de la colline  Hautbois [canqueter] Merci, je sais qui garde les clefs. Au bout de la route, il y a une ferme où, ils ont des laitières. Plus haut au Mesnil-Saint-Georges il y a le Gaec des Tourelles ; ils expédient même jusqu'à Tokyo leurs Chaources (Il y a quelques années le fromager-vacher m'a fait goûter le « zèbre ») ; ils ont aussi des soumaintrains. Quand au ru, il prend sa source dans ce que les habitants du hameau appellent le « Bois des fées », et passe par le moulin [2]. Cordialement Mike Coppolano (discuter) 21 février 2015 à 13:04 (CET)Répondre
… wahou, génial ! j'adore. Et donc, il doit bien y avoir un ancien avec une 'tit'-bouteille-de-derrière-les-fagots pour te raconter tout ça, non ? — Hautbois [canqueter] 21 février 2015 à 13:16 (CET)Répondre
Ben, oui On s'est tous mis ensemble et on a viré le projet de décharge nucléaire. On a eu chaud. Les plans de la poubelle nucléaire étaient déjà tout tracés. Un nouveau maire a été élu. Il y même eu les gendarmes qui gardaient la salle des fêtes, c'est dire. Bon, ça suffit pour aujourd'hui ? Alors la date, chères Pythies ?   It is the Oracle or not ? Cordialement Mike Coppolano (discuter) 21 février 2015 à 13:25 (CET)Répondre

s’crâw’ di fiér ?

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mes excuses !

Bonjour. Traduisant un texte wallon du XVIIIe s., je bute sur pas mal d'expressions dont celle-ci. Littéralement, c'est "sa crosse de fer". Mais il s'agit de l'arme utilisée par un chevalier fort vindicatif en 1325, à la bataille de Dommartin, pour étendre définitivement au sol son ennemi déjà désarçonné avant de l'assommer raide mort. Il me semble que cela pourrait être un marteau d'armes dont la forme peut faire penser à une crosse, plutôt que d'une masse d'armes. La bonne question est : ce marteau était-il bien utilisé par les chevaliers cavaliers à cette époque, ou seulement par les piétons ? Merci déjà, Égoïté (discuter) 16 février 2015 à 14:52 (CET)Répondre

Donc, en fonction de cette illustration, par les chevaliers ! Bisous, Égoïté (discuter) 16 février 2015 à 15:33 (CET)Répondre
D'après ce texte, en page 107, il semble bien que les chevaliers l'utilisait également. -- Doc103 (discuter) 16 février 2015 à 16:07 (CET)Répondre
Salut Égo ! Aussi appelé bec-de-corbin en raison de sa forme. Thib Phil (discuter) 18 février 2015 à 11:45 (CET)Répondre
Salut Thib Phil ! et merci. Mais je vais garder marteau parce qu'il rime avec tombeau et qu'en Belgique, on aime que ça rime et ça rame comme tartine et boterham.   Égoïté (discuter) 18 février 2015 à 17:25 (CET)Répondre

Quadrine

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Broyeur avec 4 meules coniques

Bonjour,
Dans ce texte de 1840, il est fait référence, en page 12 du PDF, à des moulins à quatre meules appelés quadrines que les Romains utilisaient pour écraser les olives. Je ne trouve pas de description de ce type de moulin, et en particulier sur la localisation des deux meules en surnombre par rapport à un moulin traditionnel ? Une des Pythies aurait-elle un avis sur la question ? Avec mes remerciements anticipés. – Doc103 (discuter) 16 février 2015 à 15:59 (CET)Répondre

Monsieur Gravier a décrit ce système de moulin dans le Bulletin de la Société académique des Vosges [3], comme tu dois déjà le savoir. J’imagine des meules superposées, le mouture des deux premières tombant ensuite entre les deux autres ? --Morburre (discuter) 16 février 2015 à 17:01 (CET)Répondre
Merci   Morburre : ; je connais effectivement cette référence, mais je ne trouve pas l'explication du mode de fonctionnement. -- Doc103 (discuter) 16 février 2015 à 20:33 (CET)Répondre
Salut Doc, je crois que ce site espagnol avec une version en anglais répond à quelques questions sur la possibilité d'utiliser 4 meules coniques et cette page d'images de Google Espagne diverses images, il existe aussi une version appelée el molino de Pfeiffer avec 4 meules coniques, c'est une première version dont la seule révolution est de remplacer la source d'énergie : vapeur et moteur à combustion à la place de l'animal et de l'homme. --Doalex (discuter) 17 février 2015 à 10:58 (CET)Répondre
Ce qui pose question, c’est que les moulins à farine et les moulins à olives ne fonctionnent pas de la même façon. Il faut bien écraser les olives pour en exprimer l’huile, mais pas casser les noyaux. S’il s’agit d’un moulin à quatre meules coniques, il n’y a pas une « meule supérieure, » il y en a quatre, si on considère la base avec sa rigole circulaire comme « meule inférieure ». --Morburre (discuter) 17 février 2015 à 13:53 (CET)Répondre
Ma première impression à froid, c'est de rectifier une idée fausse, les noyaux sont concassés également, c'est la phase du broyage ; ensuite vient l'extraction précédée du malaxage et puis je ne résiste pas à faire simple (ça arrive parfois !) et tout est là et rudimentaire. En vérité je passe des mois chaque année en Espagne dans une localité dont l'huile d'olive est la principale ressource économique et possède la Denominación de Origen Protegida qui va bien avec.   --Doalex (discuter) 17 février 2015 à 17:31 (CET)Répondre
N’ayant jamais fabriqué d’huile d’olive, j’ai répété ce que j’avais lu. Après tout, le noyau doit aussi participer au goût final. Il n’en reste pas moins que les olives ne sont pas réduites dans les mêmes proportions que le grain en farine. Si on utilise le même moulin, il faut réduire ou augmenter l’espace entre les meules tournante et fixe. Les spécialistes confirmeront, ou rigoleront bien. --Morburre (discuter) 17 février 2015 à 20:22 (CET)Répondre
Personnellement je ne pense que le moulin servait à 2 usages si différents.--Doalex (discuter) 17 février 2015 à 22:17 (CET) et un autre lien avec une meule à 4 roues cylindriques.Répondre
Où l’on confirme que les noyaux concassés jouent un rôle essentiel dans l’extraction de l’huile. On s’instruit. --Morburre (discuter) 18 février 2015 à 10:05 (CET)Répondre
Merci à vous tous. Maintenant, je sais tout (ou presque... ). -- Doc103 (discuter) 18 février 2015 à 15:22 (CET)Répondre
Pour l'olive, les meules servent à des processus de trituration, pas de véritable mouture comme pour les céréales. Voir meule à grains. Historiquement des outils très proches ont pu être utilisés pour les deux fabrications (Voir par exemple le moulin avec anneau broyeur de Volubilis). Le trapetum romain était aussi un outil constitué de 2 orbes pour assurer la trituration des olives et qui peut se rapprocher des quadrines. Reste plus qu'à profiter de cette question pour rajouter quelques éléments sourcés dans Meule à grains et en particulier dans Meule à grain#Meules dressées   --Yelkrokoyade (discuter) 24 février 2015 à 19:39 (CET)Répondre

Article France

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Bonjour. Je serais curieux savoir quels sont les wikis qui ne possèdent pas d'article sur la France. Auriez-vous une réponse ? Merci par avance. Cordialement. --Pro patria semper (discuter) 16 février 2015 à 20:30 (CET)Répondre

Pour les wkipedias (qui sont loin d'être tous les wikis, meme en se bornant à ceux de wikimedia) faire la soustraction entre ces 288 wp] et France sur wikidata --Epsilon0 ε0 17 février 2015 à 01:17 (CET)Répondre
Merci encore. Je voulais effectivement parler des versions de Wikipedia. Cordialement. Pro patria semper (discuter) 17 février 2015 à 11:09 (CET)Répondre

Quel brin d’ADN est transcrit

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Bonjour,

Quel est le brin d'ADN transcrit en ARN pour coder les protéines ? Les codons complémentaires de chaque brin ne codent pas les mêmes acides aminés, donc les deux séquences de chaque brin devraient coder pour des protéines différentes (à condition qu’elles codent quelque chose). Laquelle des deux est la "bonne" séquence dans ce cas ? merci d'avance Bu180 (discuter) 16 février 2015 à 20:50 (CET)Répondre

Voir Acide désoxyribonucléique#Complémentarité des deux brins d'ADN et en particulier «  l'existence de deux sillons (l'un grand, l'autre petit) autorisant l'accès à la séquence des nucléotides sans avoir à "ouvrir" la molécule en séparant les brins entre eux »: les deux brins sont lus en même temps. La question est plutôt, comment identifie-t-on le sens de lecture correct? Pour ça, voir Transcription (biologie)#Chez les eucaryotes la section "initiation" (développée dans l'article Promoteur (biologie)) : il faut une configuration spécifique pour démarrer le codage, qui ne se rencontre normalement pas dans l'autre sens. Ou alors c'est « l'autre sens » qui est retranscrit... Cordialement, Biem (discuter) 16 février 2015 à 21:25 (CET)Répondre
Euh... il y a plus de boucle de transcription maintenant ?!
Bon, sinon, votre remarque, cher Bu180, est frappée au coin du plus profond bon sens. La réponse est que ça dépend des gènes : pour chaque région codante, un seul des deux brins fait sens. Je pense que comme l’indique Biem, l’initiation de la transcription ne peut se faire que sur ce brin, grâce à la présence du promoteur. Cependant il y a plein de séquences transcrites (en ARN) et non traduites (en protéines) : il y a bien d’autres mécanismes qui entrent en jeu pour que la cellule « choisisse » les morceaux de séquences qui servent à fabriquer des protéines... rv1729

Statistiques napoléoniennes

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Les chevaux de waterloo

Bonjour une fois !

Où pourrait-on trouver des statistiques concernant la production de canons, d'armes, de poudres et de tous autres effets et équipements militaires au temps des guerres napoléoniennes. Je cherche également des infos sur les chevaux destinés aux armées (remonte de cavalerie, animaux de traits pour l'artillerie et les services), les chantiers navals militaires, les aspects financiers de l'« économie de guerre napoléonienne » et les répercussions sur l'économie française (et européenne) de ces conflits. Top chrono, vous avez cinq minutes pour répondre   Thib Phil (discuter) 17 février 2015 à 12:40 (CET)Répondre

Nettement trop tard. --Morburre (discuter) 17 février 2015 à 20:02 (CET)Répondre
A part vous renvoyer vers des spécialistes... essayez la fondation napoléon, peut-être. En particulier cet article Les finances et le budget de la France napoléonienne. Aussi ce texte Le financement des guerres napoléoniennes et la conjoncture du Premier Empire à partir de la page 548. Ah, et on a un article Cheval durant les guerres napoléoniennes. Bertrouf 19 février 2015 à 11:37 (CET)Répondre

Remplacer des espaces larges par des espaces fines insécables sur Word

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Bonjour les amis. Je suis en train de faire une relecture d'un document MS Word. Outre le fond et l'orthographe, je tente de corriger la typographie. Le lien donné par Serged (d · c · b) la semaine dernière tombe fort à propos, mais je n'arrive pas à remplacer automatiquement les « aaa » par des «‿aaa‿» et les aaa ; aaa par des aaa_; aaa. Existe-il un moyen de le faire ? Quand on tape le point-virgule sur Word, l'espace adéquat est insérée, mais la fonction recherche/remplacer ne gère pas les différentes espaces. Je sais que {{service après-vente}} tout ça, mais ces règles de typographie étant tellement mal appliquées en règle générale, les forums sur lesquels je trouve habituellement mes réponses ne sont pas compétents. Merci d'avance Bertrouf (d · c · b) non logué 17 février 2015 à 14:06 (CET)Répondre

Trouvé ! J'ai réussi à mettre des espaces insécables en utilisant ^s. Remplacer " ;" par "^s;". Et pendant que je suis là, je supprime les espaces en fin de ligne avec ^p. Remplacer ". ^p" par ".^p". Et j'ai bêtement trouvé ça dans l'aide de Word. Il n'existe pas de différence entre les espaces insécables fines et larges, et la recherche d'une espace trouve les espaces insécables aussi. Bertrouf (d · c · b) non logué 17 février 2015 à 17:22 (CET)Répondre
Une astuce supplémentaire pour placer des fines insécables : on peut utiliser un corps réduit.

Et pour les intégrer par un Rechercher/remplacer, on recherche ^s avec la mise en forme standard (genre corps 12) puis au lieu de remplacer par ^s (et le signe de ponctuation concerné), on utilise ^c qui reprend le contenu du Presse-papier, avec la mise en forme voulue (genre corps 6). --AdM (discuter) 12 mars 2015 à 22:20 (CET)Répondre

Louane Emera

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Bonjour, Je suis fou amoureux de Louane Emera (celle qui joue dans "La famille Bélier". Comment puis-je la contacter ? Merci infiniment. Guillaume

  Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.

Sa page FaceBook Thib Phil (discuter) 17 février 2015 à 15:03 (CET)Répondre
Aimé Jacquet te dirait : "Muscle ton jeu Guillaume, sinon tu vas avoir des déconvenues parce que t'es trop gentil..." Cobra BubblesDire et médire 18 février 2015 à 10:49 (CET)Répondre

La taille des haies dans les campagnes françaises

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Dans ce paysage de bocage ancien anglais, certaines des haies naturelles séparant des parcelles agraires, ont été attaquées par les machines agricoles. Elles sont devenues peu denses et discontinues.
North York Moors, Angleterre.

Bonjour à tous.Savez vous pourquoi les haies de nos campagne sont taillées si courtes depuis quelques années, et je suis modéré en parlant de taille car il s'agit parfois d'un véritable massacre. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.214.111.157 (discuter), le 17 février 2015 à 17:20

J'ai trouvé l'image ci-contre ainsi que sa légende dans l'article Bocage. Une partie de la réponse est donc : à cause des machines agricoles. Bertrouf (d · c · b) non logué 18 février 2015 à 09:33 (CET)Répondre
L’usage des machines a permis, ou nécessité, l’augmentation des surfaces agricoles en supprimant leurs limites, les haies. Mais une haie taillée bas reste une limite, donc pas de réponse à la question. --Morburre (discuter) 18 février 2015 à 09:58 (CET)Répondre
N'y a-t-il pas en France un politique de classement de ce genre d'environnement ? Chez nous en Gelbique, je crois que cela se fait dans le cadre de la politique de protection de la nature et de certaines espèces végétales et animales. Thib Phil (discuter) 18 février 2015 à 11:41 (CET)Répondre
… ayant revêtu mon costume de reporter, je n'ai pas hésité à partir loin… chez mon voisin. La réponse fut rapide et frappée au coin du bon sens : « Bah à cause de l'ombre ! » avec un geste montant de la main et un haussement d'épaule. Puis, je résume, entre quelques verres de muscadet : l'ombre portée des haies, particulièrement à la fin de l'hiver et au printemps retarde le réchauffement et le rayonnement du soleil sur une bande plus ou moins large selon l'exposition de la dite haie… ce retard, par rapport à la maturité des zones dégagées, peut être de plusieurs jours voire 2 semaines, ce qui donne un pourcentage non négligeable de végétal non « maturé » (sic) lors de la moisson qui, pour une parcelle à toujours lieu le même jour. Après l'analyse de la récolte, cela fait baisser le prix à la tonne. Il est vrai que les blés et les maïs de bord de champ sont toujours moins hauts que ceux du centre… et c'est pire avec les vignes. CQFD — Hautbois [canqueter] 18 février 2015 à 18:39 (CET)Répondre
(édit)… pour ceux qui comme moi (mais on vient de me mettre les points sur les "i") n'ont pas vraiment saisi l'importance de l'enjeu : sur une parcelle carrée de 100m de côté (1 hectare), la bande autour des derniers 10m (celle à l'ombre devant les fameuses haies) représente… 36% de la superficie totale (3600 m2), soit plus d'1/3 de la production… on comprend mieux que ce n'est pas un détail de l'histoire… — Hautbois [canqueter] 18 février 2015 à 22:33 (CET)Répondre
Ça peut coûter très cher d'arracher une haie en France, la preuve. -- Fu Manchu (d) 18 février 2015 à 21:54 (CET)Répondre
En fait ça dépend des coins. J'ai pu par exemple constater dans certaines zones où l'activité principale est l'élevage, d'une part que le remembrement avec arrachage de haies et constitution de grandes parcelles a été modéré voire nul, et que les haies sont assez élevées, parfois même très hautes et constituées d'arbres (Ardennes, Boischaut, Morvan). >O~M~H< 20 février 2015 à 14:14 (CET)Répondre
… hé ! tu confirmes : en zone d'élevage, là, du coup, les zones d'ombre sont nécessaires et indispensables pour protéger les bêtes du vent et… du soleil parfois écrasant d'été, elles restent dehors nuit et jour… et "siestent" le long des dites haies, protégées par ces paravents/parasols naturels. Pauv's bêt's ! — Hautbois [canqueter] 20 février 2015 à 15:47 (CET) (… si « ça dépend des coins »… faut faire des champs ronds !  )'Répondre

« Teillé (Deux-Sèvres) » à identifier

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Chères Pythies bonsoir,

Dans Lessiveuse#Fonctionnement on lit « L'inventeur de la lessiveuse s'appelait François Proust né au logis de La Payre, à Teillé dans les Deux-Sèvres. »

Or je n’ai pas trouvé de « Teillé (Deux-Sèvres) » dans Teillé  .

Mais les Pythies savent tout et pourront sans doute identifier ce « Teillé (Deux-Sèvres) ».

Cela permettrait de wikifier un peu plus l’article Lessiveuse (je m’adonne encore un peu à cette activité de wikification).

Merci d’avance. Alphabeta (discuter) 17 février 2015 à 18:30 (CET)Répondre

… Teillé 79120 Lezay, au nord au milieu entre Lezay et Chenay, à l'est de Chey. — Hautbois [canqueter] 17 février 2015 à 18:46 (CET)Répondre
Merci. Un hameau donc... Alphabeta (discuter) 17 février 2015 à 19:53 (CET)Répondre

La lessiveuse symbole de l’argent mal gagné

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Bonsoir chères et aimables Pythies,

L’article Lessiveuse ne parle pas de cet ustensile en tant que symbole d’argent mal gagné.

On pense qu’au lendemain de l’Occupation les exploitants agricoles ayant alimenté le marché noir étaient censés avoir tant amassé de billets de banque qu’ils devaient les entreposer dans leurs lessiveuses...

Qui connaît ça ?

Merci d’avance.

Alphabeta (discuter) 17 février 2015 à 19:35 (CET)Répondre

En cherchant un peu on trouve l'échange de billets en juin 1945 L'opération d'échange des billets (juin 1945), le reste c'est certainement une anecdote réelle et amplifiée, et qui perdure mais le blanchiment a changé la donne ! --Doalex (discuter) 17 février 2015 à 20:37 (CET)Répondre
Effectivement on trouve dans la transcription de ce très court métrage d’époque conservé par l’INA : « Et devant ces guichets qui sont bien aujourd'hui des guichets de fortune, on a commencé à voir couler le fleuve multicolore sorti de tous les bas de laine, de tous les tiroirs et peut-être même de certaines lessiveuses. Mais il faut un ticket comme chez l'épicier. » C’est moi qui ai souligné le mot lessiveuse.
Et des témoins m’ont dit que par la suite, les agriculteurs manifestaient en exhibant parfois des lessiveuses accompagnées de pancartes précisant VOYEZ ELLES SONT VIDES !
Alphabeta (discuter) 18 février 2015 à 14:43 (CET)Répondre
… pour le marché noir, la lessiveuse… sert à blanchir l'argent !  Hautbois [canqueter] 18 février 2015 à 15:34 (CET)Répondre
Philippe Collomb, La Mort de l’orme séculaire : Crise agricole et migration dans l’Ouest audois des années cinquante [du vingtième siècle], Institut national d’études démographiques (INED) et Presses universitaires de France (PUF), tome I, 1984, 465 pages (ISBN 2-7332-0105-0), page 248 : « Cette image du paysan français accumulant du papier-monnaie dans des lessiveuses doit être soulignée. Sa persisitance tient, peut-être, aux importantes hausses de prix à la production obtenues par la ”profession” avant le retour à la surproduction. Elle a longtemps transformé dans les consciences urbaines ce travailleur de la terre à la situation économique difficile en un ”profiteur de pénurie”. » PCC ; s’agissant d’une recopie faite à la main il est prudent de se reporter à l’original sur papier ; et un brillant internaute sera peut-être à même de fournir à la communauté un lien vers quelque version en ligne de cet ouvrage. Alphabeta (discuter) 18 février 2015 à 17:28 (CET)Répondre
… c'est ça que tu cherches ? — Le brillant internaute [canqueter] 18 février 2015 à 17:58 (CET)Répondre
Oui c’est bien ça : vous êtes vraiment du bois dont ont fait les hauts et brillants internautes... Tout le monde peut maintenant accéder à la citation complète dont j’avais recopié une partie : si les agriculteurs ont thésaurisé des billets pendant l’Occupation c’est aussi parce qu’ils ne pouvaient guère acheter du matériel durant cette époque... Alphabeta (discuter) 18 février 2015 à 18:21 (CET)Répondre

Vole dans une usine

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Bonjours je voudrait savoir se que risque un ouvrier qui vole du matériel dans l'usine où il travail , je voudrait savoir les conséquence ét tout se qu'il s'en suit merci beaucoup de votre aide .

… ça dépend de quel vole il s'agit. Mais on ne peut pas douter que chez Airbus, Asco Industries ou Eurofighter GmbH c'est très encouragé et considéré comme un exploit ! L'ouvrier qui vole peut recevoir une prime d'encouragement conséquente et substantielle. D'autres pourront subir un préjudice et voir leur avancement retardé, voire même stoppé parce qu'il ne vole pas très haut. Par contre, la secrétaire qui fait 10 fautes d'orthographe par phrase, elle, elle a toutes les chances de se faire virer manu militari et, dans le cas présent, devrait aussi être condamnée à une lourde peine de prison : c'est un vrai vol salarial. — Hautbois [canqueter] 18 février 2015 à 03:29 (CET)Répondre
Pour info :
« Vole dans une usine
Bonjours je voudrait savoir se que risque un ouvrier qui vole du matériel dans l'usine où il travail , je voudrait savoir les conséquence ét tout se qu'il s'en suit merci beaucoup de votre aide. » (et je ne parle pas de la ponctuation… )Hautbois [canqueter] 18 février 2015 à 03:40 (CET)Répondre
Rien, avertissement oral, avertissement écrit, licenciement, licenciement pour faute grave, dépôt de plainte... selon la gravité. Voir expulsion du territoire si l'objet volé est secret. Bertrouf (d · c · b) non logué 18 février 2015 à 09:27 (CET)Répondre
Il y a aussi des pays où on coupe les mains. (Voir Droit pénal musulman#Vol) -- Xofc [me contacter] 18 février 2015 à 10:35 (CET)Répondre
Chez Avions de transport régional, si tu voles dans les ateliers, on te force à prendre un billet pour un vol sur ATR72 ; le vol à l'usine est en chute libre... (bien que la chute libre reste toujours un des atout de l'ATR72...) Cobra BubblesDire et médire 18 février 2015 à 11:02 (CET)Répondre
Ici, au Québec, dans toutes les entreprises avec lesquelles j'ai fait affaire, un flagrant délit de vol = licenciement immédiat. C'est fréquemment inscrit dans les conventions collectives. Dhatier discuter 18 février 2015 à 12:58 (CET)Répondre
  • 75% de tous les employés volent au moins une fois en carrière et la moitié d’entre eux passeraient à l’acte à répétition, selon la Chambre de commerce des États-Unis;
  • 42,2% des cas de fraudes et de vols surviennent dans les entreprises comptant moins de 100 employés dont 38,2% sont dans le secteur privé et 23,6% dans le secteur public;
  • 5% des pertes de revenus des entreprises canadiennes sont attribuables à la fraude en milieu de travail, une perte totale annuelle qui s’élève à 3,2 milliards de dollars.
Une opportunité de création d'emplois ? --YB 19 février 2015 à 15:56 (CET)Répondre

Humanité ayant failli disparaître

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Elle aurait dû, disparaitre.

Bonjour

J'avais lu, je ne sais plus où exactement qu'à un moment l'Humanité avait failli disparaître il y a quelques 10aines de milliers d'années et que c'était une des raisons du manque de variété d'un point de vue génétique entre les humains. Mais je ne me souviens de pas grand chose de plus.

Quelqu'un en saurait plus ? causes possibles, datation...

Merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 31.39.77.27 (discuter), le 18 février 2015 à 11:50

Bonjour. Vous trouverez des éléments de réponse dans ces articles : Théorie de la catastrophe de Toba, Goulet d'étranglement de population, Ève mitochondriale, Plus récent ancêtre patrilinéaire commun. Bien cordialement --En passant (discuter) 18 février 2015 à 11:54 (CET)Répondre
merci ^^
et :D pour l'image.
Salut 31.39.77.27 (d · c). Il ne faut pas déduire d'un fait probable un fait hypothétique parce qu'avec le recul il semble vraisemblable, d'autant si le fait probable n'est pas certain. Comme l'indique l'article sur le goulet (ou goulot) d'étranglement de population dans sa partie « Chez l'homme », 1) ce supposé goulet n'est pas certain, 2) s'il y en eut un, selon les modèles on peut le placer en diverses époques entre -40.000 et -100.000 ans, 3) l'hypothèse du « long goulot d'étranglement » revient à dire que ce n'est pas un goulot d'étranglement mais plutôt une longue période pendant laquelle la population des Homo sapiens stagne à un faible niveau, qui se situerait entre -120.000 et -20.000, à quelques millénaires près. Quel que soit le cas, d'une part cette réduction ou cette non progression de la population Homo sapiens ne permet pas d'en inférer que l'espèce a failli disparaître, de l'autre la possible disparition d'une espèce n'a pas nécessairement comme prémisse un goulet d'étranglement. Pour le premier cas, on a pu voir par le passé, et parfois un passé récent, la population d'une espèce rester stable et faible, et très localisée, pendant un temps assez long, puis à l'occasion d'une migration volontaire ou fortuite, l'espèce prospérer fortement et rapidement dans d'autres environnements, plus propices à son expansion (plus de nourriture disponible, moins de prédateurs...). Pour le second, à l'inverse une population peut très vite disparaître en étant au départ nombreuse, comme ce fut le cas à époque récente du bison d'Amérique (le bison des plaines), qui passa d'au minimum 50 millions d'individus vers 1850 à seulement 750 en 1890, leur survie et leur relative expansion ultérieure étant due à une action humaine volontaire de préservation de l'espèce (action plus ou moins couronnée de succès, puisque quelques 95% des animaux actuels sont issus de croisements avec d'autres bovins domestiques ou sauvages). >O~M~H< 19 février 2015 à 11:07 (CET)Répondre
Bonjour. Le neuf octobre 1582, l'espèce humaine a failli être détruite dans la collision de la terre avec le météorite détecté par l'astromagiste Franciscus Rabanus, mais une manœuvre habile de Grégoire Iksihihi, qui fit passer l'univers par un tunnel spatio-temporel en emprisonnant l'objet dans une bulle (papale) nous menant directement du quatre octobre au quinze, sans passer par le neuf où le météorite est toujours coincé dans sa bulle, sauva la planète. 88.165.212.52 (discuter) 19 février 2015 à 12:09 (CET)Répondre
Il ne sauva cependant pas tout le monde. Grasyop 19 février 2015 à 14:36 (CET)Répondre
En fait ça s'est produit le 11 décembre 1582.   --104.129.124.37 (discuter) 19 février 2015 à 20:36 (CET)Répondre
Et pour revenir au propos de Grasyop, ce jour-là, un astre s'éteint, un autre astre s'élève... >O~M~H< 19 février 2015 à 20:39 (CET)Répondre
Ah oui ? Astre éclipsé, peut-être, mais ce serait quand même intéressant d’ajouter son jour de naissance à l’article, si tu as une source qui le confirme. Grasyop 19 février 2015 à 22:25 (CET)Répondre
En matière de calendriers, la palme du « grand n’importe quoi » est attribuée à Charles XII de Suède, pour l’ensemble de son œuvre. Grasyop 19 février 2015 à 22:33 (CET)Répondre

Doit-on nommer une personne par son ancienne fonction ?

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Bonjour chers oracleurs, j'écoute en ce moment la matinale d'Europe 1. J'entends tout le monde appeler Nicolas Sarkozy « Monsieur le président ». Or, parmi mes clients à la boutique, j'ai l'ancien maire de la ville où je travaille et j'hésite toujours à l'appeler « Monsieur le Maire ». Pas par fayotage mais parce que je respecte la fonction, même s'il n'est pas de mon bord politique. D'un autre côté, je me dis « peut-être vit-il mal le fait de ne plus l'être ». La question ne se limite pas à la politique mais aussi aux présidents de quelque chose (même de clubs de foot). Merci d'avance pour vos réponses, amicalement, --Strologoff (d) 19 février 2015 à 08:58 (CET)Répondre

Le cas de NS est ambigu puisqu'il est président de l'UMP en même temps. L'usage pour VGE en revanche est assez clair, et on l'appelle "Monsieur le Président". Mais je pense que ça se limite aux présidents. On le sait tous, la France est la plus royaliste des républiques, et de la même manière que le roi reste roi, le président reste président. Personne n'aurait l'idée d'appeler Raymond Barre ou Michel Rocard "Monsieur le Premier Ministre". Defunes43 (discuter) 19 février 2015 à 09:04 (CET)Répondre
Surtout Raymond Barre ! --Doalex (discuter) 19 février 2015 à 09:37 (CET)Répondre
En effet, peut-être pas Raymond Barre! Cela dit, si j'en crois les photos, il est indiqué sur sa tombe "Ancien Premier Ministre Raymond Barre", tandis que celle de F. Mitterand indique "Président de la République française", mais celle de Pompidou ou du Général sont plus sobres (Georges Pompidou 1911-1974 et Famille De Gaulle). Bref, dur de conclure! Defunes43 (discuter) 19 février 2015 à 11:14 (CET)Répondre
L'affirmation de Defunes43 dans sa première intervention n'est pas exacte : en France, l'usage formel est de dire « monsieur le ministre » à tout ancien ministre (d'ailleurs on dit ou devrait dire « monsieur le ministre » au premier d'entre eux, même quand il est en fonction), et « monsieur le président » à tout ancien président, qu'il le fut de la République, d'un conseil général ou régional, d'un tribunal, d'une société, ou même d'une petite association locale. >O~M~H< 19 février 2015 à 11:14 (CET)Répondre
En effet. Toutefois l'usage formel et l'usage courant sont, on en sait quelquechose ici, parfois en contradiction. Personne ne donne à Cécile Duflot ou Laurent Wauquiez du Monsieur le Ministre (je cite ces deux-là qui sont à la radio ou à la télé tous les jours, mais c'est assez général...) Defunes43 (discuter) 19 février 2015 à 11:18 (CET)Répondre
On se réclame beaucoup de ces personnalités décédées, mais à ma connaissance pratiquement aucun(e) journaliste ne leur pose de questions, donc peu importe ce que l'on lit sur les tombes  . Pour l'anecdote, dans un village en Espagne j'ai un ami qui s'est présenté, il ya quelques années, aux élections municipales en tête de liste pour devenir monsieur le maire (el alcalde), après son échec lorsque je le rencontre c'est (en français) : « Bonjour monsieur l'ex-futur maire » . --Doalex (discuter) 19 février 2015 à 11:30 (CET)Répondre
… personnellement, au moment où je m'adresse à quelqu'un que je connais personnellement, tout dépend de la circonstance, du lieu de l'intervention :
  • si on prend un verre amical, dans la vie priée… par son prénom,
  • en public, sans autre protocole, si je m'adresse à la personne, c'est « Madame » ou « Monsieur »,
  • dans une cérémonie officielle, une réunion publique, je m'adresse toujours à la fonction (actuelle ou ancienne), « Monsieur le Maire, Monsieur le Député, Mon Général, Monseigneur (à un évêque), Monsieur le Curé… » et toujours par la fonction la plus haute qu'il occupe, ou qu'il a occupé. Il n'y a qu'avec les nobles que je n'ai jamais pu envoyer du « Monsieur le Comte, Monsieur le Marquis… », là je reste à « Monsieur tout court » (… normal, on les a guillotinés)
Je n'ai pas de références protocolaires précises (je vais chercher), mais c'est, je crois, l'usage habituel (républicain). — Hautbois [canqueter] 19 février 2015 à 11:37 (CET) (… pour l'une de mes fonctions, chef d'orchestre, on a mis un terme au « Maître »  ) Ne pas confondre « maître Hautbois » et « bois au mètre »   >O~M~H< 19 février 2015 à 11:59 (CET) bah, traite-moi d'alcoolique, pendant qu't'y es !   Comme tous les joueurs de flutiau, tu bois à tire-l’haricot ! rv _ Ouais ! et hautbois c'est du verlan, je cite « Le boisseau métrique, unité de transition instaurée en 1812, et désormais désuète, valait 10 litres », désuète, mon œil ! pour mesurer des matières sèches ? z'avez vu les photos !. --Doalex (discuter) 19 février 2015 à 18:37 (CET) Répondre
Je pense moi-aussi qu’il existe un protocole républicain accordant pour un nombre limité de fonctions le maintien du titre après cessation de fonction.
On précise que sous les 3e et 4e républiques le « président tout court » était le président du Conseil (le chef du gouvernement) plutôt que le président de la République.
On rappelle que les plaques de rue (ces manières de plaques tombales) comportent parfois le titre de la personne honorée.
Les deux remarques précédentes expliquent cet odonyme : « place du Président-Édouard-Herriot » (c’est à Paris).
Et puis il y a les militaires : ils conservent leur grade après avoir pris leur retraite et on rappelle presque systématiquement ce grade quand il est question d’eux après leur décès.
Les odonymes « avec grade militaire » sont particulièrement fréquents : avenue du Maréchal-Fayolle, rue du Lieutenant-Colonel-Deport, rue du Sergent-Maginot, etc. (toujours à Paris).
Alphabeta (discuter) 19 février 2015 à 16:43 (CET)Répondre
Pour les militaires, en général, on monte en grade quand on part à la retraite. Par exemple un lieutenant-colonel passe colonel. --Serged/ 20 février 2015 à 08:43 (CET)Répondre
Oh là là, que de confusions! En France, le protocole français veut que l'on appelle les anciens présidents et ministres de la république par leur titre, mais c'est surtout dans la correspondance officielle que ça se voit. Sinon, quelqu'un qui a longtemps occupé un poste peut en conserver le titre « honoraire », voir honorariat. Sinon, pour les militaires, la tradition est que le grade correspond à un titre (comme le doctorat pour les universitaires), ils le conservent donc en se retirant du service actif. Il arrive parfois que les militaires soient nommés au grade supérieur juste avant de prendre leur retraite, par faveur, mais c'est en principe illégal (il faut un intervalle d'au moins trois mois pour que ça redevienne légal). Cordialement, Biem (discuter) 20 février 2015 à 10:28 (CET)Répondre
Au passage : on recommande aux édiles d’accorder une promotion fictive et odonymique à ceux qui n’ont été que lieutenants-colonels : « la rue du Lieutenant-Colonel-Dax » (c’est à Paris) devenant ainsi « la rue du Colonel-Dax » (lien rouge pour l’heure). Cela soulagerait les administrés accablés par des odonymes trop longs. Du reste (s’il m’en souvient) on donne du Mon colonel ! à un lieutenant-colonel. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 16:02 (CET) Dans ce cas particulier, on trouve aussi l'usage inverse : il n'y a pas que dans ma ville que le lieutenant-colonel Dreyfus est célébré par une "rue du capitaine Dreyfus". 88.165.212.52 (discuter) 20 février 2015 à 18:43 (CET) Louis Dreyfus a effectivement été pour ainsi dire « saisi » par l’histoire avec le grade qu’il avait au moment du déclenchement de l’Affaire, ce qui fait souvent oublier son grade de lieutenant-colonel obtenu après sa réhabilitation. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 19:45 (CET) Répondre
Pour les préfets : il existe une place du Préfet-Claude-Érignac à Paris, perpétuant le souvenir d’un préfet mort assassiné en fonction. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 19:49 (CET)Répondre
 
Plaque de rue de la place du Préfet-Claude-Érignac. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 19:53 (CET)Répondre
Il est tout à fait possible de continuer à appeler un médecin docteur, même après sa retraite. Le saluer d'un "docteur" peut-être très bien vu par les deux parties, le saluant et le salué. Cordialement Mike Coppolano (discuter) 20 février 2015 à 19:56 (CET)Répondre
Le cas est différent. Docteur signifie 'a soutenu une thèse devant un jury, qui lui a décerné le titre'. Rien à voir avec la profession exercée par la suite. Defunes43 (discuter) 20 février 2015 à 20:19 (CET)Répondre
OUI mais dans l’usage social on ne substitue presque systématiquement Docteur à Monsieur que pour les seuls docteurs en médecine. Et le bon peuple dit « aller au docteur » pour « aller chez le médecin »... Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 20:32 (CET)Répondre
Et comment saluer celui qui n’est plus professeur émérite (cf. Professeur émérite#En France) ? Continuons à lui donner du Monsieur le professeur. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 20:51 (CET)Répondre
Je me souviens d'avoir entendu un interviewer (?) expliquer que le mieux était d'appeler tous les hommes politiques "Monsieur le Président", car ils étaient tous présidents de quelque chose (syndicat intercommunal, association, ...), et surtout que ça leur faisait énormément plaisir !!--Jack in the box (discuter) 25 février 2015 à 10:38 (CET)Répondre

Fontaine de Vaucluse : ses eaux et ses vins ?

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Ces deux vers en latin du XIVe siècle, du temps de Pétrarque, semblent, à la fois célébrer les eaux de la source et les vins du cru. Une pythie latiniste pour une traduction exacte ?

  • Vauclusiae quisquis fontis miracula vidis
  • Laudes aquas virides vina bibenda proba

Merci d'avance et très cordialement --JPS68 (discuter) 19 février 2015 à 09:35 (CET)Répondre

Tu écris du temps de Pétrarque, mais ça semble étrange, on dirait un texte adapté pour la Fontaine de Vaucluse style office du tourisme et pour l'autre vers   ce qu'on lit parfois sur une étiquette de bouteille de vin, compte tenu de l'excellence des vins de la région, tu peux nous en dire plus ? --Doalex (discuter) 19 février 2015 à 10:48 (CET)Répondre
J'avais noté ces deux vers en regard d'un texte parfaitement identifié lui : « Philippe de Cabassolle, évêque Cavaillon, qui, dans son château de Vaucluse, lui (entendre Pétrarque) offrait à boire du Falerne de Bourgogne ». Le rapprochement entre ce vin antique (blanc) et ce vin médiéval (alors uniquement rouge), m'avait semblé amusant. Mais ce petit texte latin n'est pas spécifié dans ma source, j'ai noté donc celui-ci à part sans me soucier de son origine, c'était il y a plus de 10 ans. Pour info, il n'y a plus de vignoble en production sur la commune de Fontaine-de-Vaucluse. Cdlt --JPS68 (discuter) 19 février 2015 à 11:38 (CET)Répondre
Drôle d'appellation ! le Falerne est originaire d'Italie du sud, et la Bourgogne n'est pas à côté ! C'est comme si on disait un Bordeaux de Calabre ! --Serged/ 19 février 2015 à 13:07 (CET)Répondre
@Serged dans le texte rapporté par JPS68 Les goûts des vins antiques il faut considérer le Falerne comme désignant un véritable nectar, et par conséquent le vin de Bourgogne offert ce jour là chez Philippe de Cabassole, évêque de Cavaillon était l'équivalent d'un vin de grande qualité.
@JPS68 je parle de la région du Vaucluse (Vallis Clausa). --Doalex (discuter) 19 février 2015 à 16:31 (CET)_J'ai aussi demandé de l'aide à Aristote2.Répondre
  Merci Doalex --JPS68 (discuter) 19 février 2015 à 18:10 (CET)Répondre
  JPS68 : Voici pour l'instant la réponse de Aristote2 : « Doalex ! Je suis très classique donc le latin médiéval m'est peu familier (vidis = vides) ?. Une question : les vers cités figurent-ils sur une fontaine ? A priori, avec une langue très relâchée, je verrais bien quelque chose du genre : « Qui que tu sois qui vois les miracles de la source (fontaine) du Vaucluse, fais l'éloge de ses eaux vertes en goûtant et buvant ses vins »... Mais aucune certitude... Je consulterai quelqu'un de plus expert que moi en la matière. Cordialement, --Aristote2 (discuter) 20 février 2015 à 16:05 (CET) »Répondre
Évidemment je me doutais que la langue de Cicéron avait été quelque peu malmenée. Ce qui est certain - connaissant un peu le secteur - je peux affirmer que cette allégation ne se retrouve ni sur une bouteille de vin ni sur une des fontaines à Vaucluse. Mais cette traduction me semble assez coller à la réalité tout en me permettant de considérer qu'elle n'est pas de la plume de Pétrarque qui latinisait beaucoup mieux. Merci infiniment --JPS68 (discuter) 21 février 2015 à 01:43 (CET)Répondre
chapitre suivant .... ou comment, on s'écluse des petits coups de rouge, tout en devisant en latin ... et verba ... Caius Julius Hyginus (discuter) 20 février 2015 à 15:31 (CET)Répondre

Repoussoir pour Kosovars

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Bonjour,

Je cherche si ce document publié dans un journal kosovar (ou une version dans une autre langue) est disponible en ligne.

Merci. Apokrif (discuter) 20 février 2015 à 15:26 (CET)Répondre

Jian Feu Cun en idéogrammes

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Voir :

qui saurait transcrire en caractères chinois et en pinyin soigné Jian Feu Cun (« village des poumons en bonne santé ») nom chinois touristique de ce village gallois (Royaume-Uni) ?

Merci d’avance. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 16:25 (CET)Répondre

  1. Version [1] de ce jour, où jai mentionné le nom chinois.


Alors, le village des poumons en bonne santé, cela donne 健肺村 et cela se transcrit en pinyin pour le chinois mandarin par jiàn fèi cūn, ou bien jian4 fei4 cun1. Les trois caractères veulent dire dans l'ordre "en bonne santé", "poumon" et "village". C'est bien fei et pas feu pour signifier "poumon". Sur le fond, je ne suis pas sûr que ce soit le site "Visit Britain" qui soit à l'origine de ce surnom, c'est sans doute à fouiller. C'est plutôt à mes yeux une boutade ou une plaisanterie (et de qui ?) reprise par les journalistes qu'une véritable décision qui prétendrait être officielle. Amicalement Aluminium (discuter) 20 février 2015 à 22:20 (CET)Répondre
Tout ça c'est très bien mais il faut citer le paragraphe de l'article en français : « Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch c’est Jian Feu Cun c’est-à-dire le « village des poumons en bonne santé » car c’est une gageure de prononcer son nom sans reprendre son souffle » la dernière indication vaut le détour car sinon une confusion avec des poumons sains, pourquoi pas et simplement, avoir un bon souffle, pourrait résulter de la qualité vivifiante de l'air puisque nous sommes sur une île, d'ailleurs l'article concernant Anglesey nous dit au passage :
Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, qui a le mérite d’être le village qui a un des noms les plus longs du monde, même s’il s’agit d’un nom inventé au XIXe siècle pour les touristes ; en gallois on dit simplement Llanfairpwll ou Llanfair Pwllgwyngyll. --Doalex (discuter) 21 février 2015 à 12:13 (CET)Répondre
J’ai invoqué comme source dans l’article la version papier du quotifien gratuit Direct Matin n° 1643 du jeudi 19 février 2015, page 5, article « Tourisme en Grande-Bretagne : Des noms chinois pour attirer » dont voici le verbatim de son début : « Visit Britain, l’office de tourisme de Grande-Bretagne, a décidé de donner des noms chinois à plusieurs centres d’intérêt touristiques du pays afin de les rendre plus attractifs pour les touristes chinois, explique le site Quartz. Il a sélectionné 101 sites emblématiques, et a invité, via les réseaux sociaux Weibo et Wechat, la population chinoise à leur choisir des noms explicites. Le village gallois Llanfairpwllgwyngyll (ou Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch) obtient ainsi le nom de « village des poumons en bonne santé » (Jian Feu Cun) puiqu’il est presque impossible de le prononcer d’une traite sans respirer. [...] ». PCC. Et merci à l’internaute de haut niveau à même de fournir (à l’usage des disciples de saint Thomas) un lien vers l’équivalent en ligne de cet article de la version papier de Direct Matin. Il semble que l’ensemble de cette page 5 où se trouve l’article cité soit titrée « L’œil de Slate.fr » et soit placée sous le patronnage de Jean-Marie Colombani. Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 15:01 (CET)Répondre
Voir http://fr.1001mags.com/parution/direct-matin/numero-1643-19-fev-2015/page-4-5-texte-integral reproduisant l’article de Direct Matin y compris en facsimilé. Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 19:23 (CET)Répondre
Voir aussi (en anglais) le site du journal The Guardian : http://www.theguardian.com/uk-news/2015/feb/16/visitbritain-mandarin-names-uk-landmarks-chinese-tourists : Nadia Khomami, « VisitBritain aims to attract Chinese tourists with new names for landmarks », Monday 16 February 2015 00.05 GMT (lundi 16 février 2015 00:05 TU) ; extrait : « Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch - Jian Feu Cun (Healthy lung Village) ». VisitBritain est encore mentionné et l’on retrouve le « Feu » fautif. Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 19:30 (CET)Répondre
Et en chinois, la formulation Lianfeicun indique que le village s'appelle Lianfei (un nom à deux syllabes est la norme habituelle pour les villes et villages) : le son "lianfei" est très proche de Llanfair, c'est donc au fond du bon travail de traduction, même s'il est peut-être un peu trop cocasse. Tout l'art de traduire des noms vers le chinois consiste à approcher le son de la langue d'origine tout en donnant un sens en chinois intéressant, poétique, et ici - pourquoi pas - amusant. Amicalement Aluminium (discuter) 22 février 2015 à 02:25 (CET)Répondre
  Aluminium : Je suppose que vous confirmez la forme Jiànfèi cūn que vous avez initialement donnée et que la forme Lianfeicun est erronée.
Jiànfèi cūn rappelle effectivement Llanfairpwll (forme courte de Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch).
Je suis tout prêt à voir dans Jiànfèi cūn une « adaptation en chinois ayant un sens en chinois » (les ouvrages spécialisés citent souvent l’exemple de l’adaptation du mot vitamine en chinois).
Cord. Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 16:55 (CET)Répondre
A noter que [4] donne bien la graphie « 健肺村 ». Apokrif (discuter) 23 février 2015 à 11:36 (CET)Répondre
Alors il serait bon de renommer zh:兰韦尔普尔古因吉尔戈格里惠尔恩德罗布尔兰蒂西利奥戈戈戈赫 en zh:健肺村, mais je n'ai pas le niveau de Chinois pour retoucher l'article. Bertrouf 24 février 2015 à 11:50 (CET)Répondre

Question d'un mécréant

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Tout le monde connait : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église », sauf que cela ne marche qu'en français et je ne suis pas sur que le « calembour » soit présent dans le texte original araméen... Comment est traduite cette phrase dans les différentes langues ? Et quelle est la traduction littérale de la phrase originale, sans le jeu de mot franco-centré ? Merci à tous les exégètes wikipédiens. Nguyenld (discuter) 20 février 2015 à 16:33 (CET)Répondre

L’article Pierre (apôtre) commence par : « Simon ou Simon Bar-Jona (« fils de Jonas » en hébreu), aussi appelé Kephas (« le roc » en araméen) ou Simon-Pierre, [...] » ; et tout est détaillé dans la section Pierre (apôtre)#Son nom... Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 16:41 (CET)Répondre
Salut Nguyenld. Avec les textes sacrés, il faut partir d'un principe simple : quand ils sont traduits c'est autant que faire se peut le plus proche possible de l'original, du littéral, du pied de la lettre. Raison pourquoi, comme le montre Alphabeta, il est (théo)logique que le texte initial corresponde à la traduction. >O~M~H< 20 février 2015 à 20:31 (CET)Répondre
Il y a un truc d’Alphonse Allais où un saint anglophone s’amuse à embêter saint Pierre en lui disant « You are Peter, and on this stone… » --Morburre (discuter) 20 février 2015 à 22:18 (CET)Répondre
C'est dans le conte « L’apôtre saint Pierre et sa concierge », publié en volume dans le recueil Rose et vert-pomme (Paris, Paul Ollendorff, Éditeur, 1894), une histoire abracadabrante (comme de coutume) qui n'a rien à voir, la plaisanterie vient tout à la fin comme un cheveux sur la soupe, visiblement dans le seul but de placer ce « You are Peter, and on that stone... » prononcé (nous dit l'auteur) par saint Patrick. De l'autre côté, on peut aussi se demander si le conte qui précède, totalement sans intérêt (mais bien tourné, là aussi comme de coutume), n'est pas là pour « faire de la ligne », de manière que sa livraison du jour ne se résuma pas à la seule plaisanterie finale qui tient sur une dizaine de lignes... >O~M~H< 21 février 2015 à 07:35 (CET) (… oh toi, tu n'aimes pas Allais ! (… attention, je n'ai pas dit que tu étais constipé.) Moi, je n'aurais pas dit « un cheveux sur la soupe » mais « cerise sur le gâteau » — Hautbois [canqueter]) Que nenni ! J'adore Allais (d'ailleurs, du coup que j'ai trouvé ce volume en ligne – où il est question.. d'aller dans La flamme éteinte   – lors de ma recherche, je me délecte à le lire) mais de fait, pas mal de ses contes et nouvelles ne valent que par sa manière de raconter, qui est toujours plaisante. >O~M~H< 21 février 2015 à 09:36 (CET) —— je suis fou d’Allais. Je souffre affreusement de l’oubli dans lequel il sombre. On fait un club ? rv1729 21 février 2015 à 18:05 (CET)—— avec un slogan Allais Alphonse, Allais Alphonse !.   --Doalex (discuter) 21 février 2015 à 20:38 (CET) — Allais, lui, ah ! --Morburre (discuter) 24 février 2015 à 07:55 (CET)Répondre
 
« Tu es Pétrus et sur ce Pétrus, je boirai ton Pétrus »Hautbois [canqueter]
Pour apprécier L’Apôtre saint Pierre et sa concierge sur wikisource. --Serged/ 21 février 2015 à 08:43 (CET)Répondre
  Fait : Alphonse Allais est maintenant mentionné dans l’article Tu es Petrus…... Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 17:52 (CET)Répondre
Moi je dis comme un cheveu sur la soupe, cette expression est bien singulière ma foi ! --Doalex (discuter) 21 février 2015 à 09:13 (CET)Répondre
Oups ! Et ben ! C'est pas joli comme erreur de syntaxe ! Mes excuses   >O~M~H< 21 février 2015 à 09:33 (CET) (… classé XHautbois [canqueter])Répondre
Je citais de mémoire, pas la peine non plus de cracher dans la soupe, ni d’en faire un fromage. Ça marche à peu près en latin, Tu es Petrus et super hanc petram… Je ne sais pas si vous avez remarqué, l’article Tu es Petrus… n’existe qu’en français… et en polonais. --Morburre (discuter) 21 février 2015 à 09:41 (CET) (… à boire avec… qui vous voulez. — Hautbois [canqueter])Répondre
Au passage : il serait bon de rajouter dans l’article Tu es Petrus… la version orginale en grec ancien... Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 17:26 (CET)Répondre

Voir Pierre (apôtre) : Simon ou Simon Bar-Jona (« fils de Jonas » en hébreu), aussi appelé Kephas (« le roc » en araméen). Son surnom a été traduit en latin par "petrus" (la pierre), et c'est du latin que vient le prénom français et anglais. Le même mot latin a évidemment donné pierre en français mais pas en anglais, c'est pour ça que le calembour ne marche pas. Cordialement, Biem (discuter) 21 février 2015 à 09:50 (CET)Répondre

On rappelle que la version en latin est une traduction d’un original en grec ancien.
L’original de « Matthieu, chapitre 16, verset 18 » est consultable (avec des explications en anglais) dans http://biblehub.com/text/matthew/16-18.htm .
On y remarque le jeu de mot entre Πέτρος (Petros) et πέτρα (petra, « roc »), terme différent de λίθος (lithos, « pierre »).
Et j’ai une question incidente : cet anthroponyme Πέτρος (Petros) est-il une création des évangélistes ? Ou bien préexistait-il dans le monde grec antérieurement à la rédaction des évangiles ?
Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 16:04 (CET)Répondre
Remarque en passant : la traduction d’André Chouraqui (1917-2007) de « Matyah/Matthieu, chapitre 16, verset 18, début » ( (ISBN 2-220-03083-0), 1998, page 1910) :
    Mais moi-même je te dis : Tu es Petros - Pierre -,
    et sur cette pierre - petra - je bâtirai ma communauté.
semble (Petros) avoir été faite directement d’après l’original en grec ancien... Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 20:29 (CET)Répondre


Barthelemy Charles

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né à paris en 1825 à Paris. Archéologue et historien membre de l'Académie de la religion catholique de Rome. On a de lui divers ouvrages dont : "Histoire de la Bretagne ancienne et moderne" , " Histoire de la Turquie...", " histoire de la Normandie ancienne et moderne" , " Erreurs et mensonges historiques"1862-1883, en 18 volumes , " La guerre de 1870-71"en 1884, " Histoire de la comédie en France des origines à nos jours" en 1886... . En 1850 il a fondé " L'Erudition" revue mensuelle qui a subsisté trois ans .

C F: " dictionnaire international des écrivains" de De Gubernatis consultable sur Gallica

En tout premier, bien sûr le bandeau qu'il faut :
  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Là-dessus, où est la question ? >O~M~H< 20 février 2015 à 20:26 (CET)Répondre
Probablement que le demandeur donne quelques renseignements afin que l'on crée l'article. D'ailleurs, il y a une bonne quinzaine de nos articles qui citent des ouvrages de cet historien en référence Dhatier discuter 20 février 2015 à 20:30 (CET)Répondre
Je me doute bien, mais ça me semblait un peu trop sec pour mériter une réponse   >O~M~H< 20 février 2015 à 20:32 (CET)Répondre
Si j’ai bien suivi, l’article à créer éventuellement devra avoir pour titre Charles Barthélemy (lien rouge pour l’heure) — avec un seul é. Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 20:39 (CET). PS : On signale qu’un article Charles Barthélemy (d · h · j · ) a été supprimé le 7 juin 2012... Alphabeta (discuter) 20 février 2015 à 20:41 (CET)Répondre
Je fais une demande de restauration de page et je la compléterai. Dhatier discuter 20 février 2015 à 21:05 (CET)Répondre

L'Homme qui valait trois milliards

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L'homme quasi-bionique qui valait (au moins) sept Millar en son temps, mais qui s'est trouvé bien dévalué depuis. Comme quoi, le transhumanisme n'est pas encore trop bien reçu dans le sport...
 
Lee Majors

Bonjour, le titre en anglais de la série L'Homme qui valait trois milliards est "The Six Million Dollar Man". Pourquoi et comment est-on passé de 6 millions à 3 milliards ? --78.113.176.126 (discuter) 21 février 2015 à 12:19 (CET)Répondre

… ah ces jeunes et leur euro !   6 millions de dollars multipliés par 5 francs, soit 500 anciens francs (taux d'échange approximatif de l'époque) = 3 milliards de (centimes de) francs. Même si le passage aux nouveaux francs est antérieur (1960/63), beaucoup, comme moi, pensent toujours en anciens francs pour les grosses sommes (1500€ = 1 million = 1 patate = 1 brique…).. — Hautbois [canqueter] 21 février 2015 à 13:01 (CET) _   L'Homme qui rétrécit.Répondre
La série télévisée L’Homme qui valait trois milliards aurait effectivement pu s’appeler L’homme qui valait trois mille briques, ce qui aurait évité tout ambiguïté puisque le terme argotique « brique » n’a pas changé de valeur avec l’arrivée du nouveau franc : une brique valant « un million d’anciens francs » puis « dix mille nouveaux francs ». J’ignore si ce terme argotique est toujours en usage depuis l’arrivée de l’euro, et si oui avec quelle valeur... Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 17:37 (CET). PS : On retrouve ce terme dans le titre d’au moins deux films : Cent briques et des tuiles (1965) et Pour cent briques, t’as plus rien... (1982). Alphabeta (discuter) 21 février 2015 à 17:53 (CET)Répondre
J'adore ! Mais ton explication, si légitime pour la patate et la brique - qui tiennent tant au cœur des Belges comme le rappelle magistralement Stéphane Spoiden -, est par trop franco-centrée, très cher ami Hautbois. As-tu bien vérifié si l'ip est française ?   Bisou, Égoïté (discuter) 22 février 2015 à 00:54 (CET)Répondre
… d'accord, tu peux convertir : une patate, ça fait combien en cornets de frites ?  Hautbois
Ben, ça dépend de l'unité que tu choisis. Pour la patate : la B... (miam) ou la B... (beurk dans ce cas-ci) ? Pour le cornet de frites : le petit, le moyen ou le grand ? Pour ton portefeuille : 1,50, 2 ou 2,50 € (+ frais de sauce !) ?   Égoïté (discuter) 22 février 2015 à 23:34 (CET) [canqueter] 22 février 2015 à 01:15 (CET) Répondre
Ah ! La poésie de l'argot ! Les briques ou sacs, les patates, les ronds, les balles, les thunes, les brèles, les picaillons... >O~M~H< 22 février 2015 à 06:29 (CET)Répondre
… et on en oublie ! Je copie/colle l'article Argot parisien#Exemples de termes d'argot parisien
« * Argent : artiche, as, aspine, aubert, avoine, balles, beurre, biftons, blanquette, blé, boules, braise, bulle, caire, carbure, carme, craisbi, douille, fafiots, fifrelins, flouze, fourrage, fraîche, fric, galette, galtouse, ganot, gen-ar, gen-gen, gibe, graisse, grisbi, japonais, love, maille, mornifle, némo, os, oseille, osier, pépètes, pèse, picaillons, pimpions, plâtre, pognon, radis, ronds, soudure, talbins, trêfle, thune, faf… »
… pépètes ? moi j'aurais mis pépettes, non ? Et pis trêfle plutôt trèfle (pour faire plaisir à Égoïté   )
Enfin, quelle poésie  Hautbois [canqueter] 22 février 2015 à 06:54 (CET) ( )Répondre
Et une refnec qui va bien : Inflation dans les années 70. --Doalex (discuter) 22 février 2015 à 10:48 (CET)Répondre

Préfixes : tirets ou pas ?

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, c'était l'bon temps ! (entre Mélenchon, Fabius et Hamon)… ça laisse rêveur  Hautbois [canqueter]]] Bonjour à tous les oracleurs. En écrivant certains mots (coleader, prématinale, remotiver, etc.), je me demande toujours dans quel cas on utilise ou pas le tiret (ou trait d'union, jamais su faire la différence  ) entre le préfixe et la base du mot. Y a-t-il une règle définitive ? Merci d'avance pour vos réponses et bon dimanche à tous, amicalement, --Strologoff (d) 22 février 2015 à 11:41 (CET)Répondre

Bonjour Strologoff. Selon le Dictionnaire des difficultés de la langue française de chez Larousse, que ça commence par co, pré, re ou ré, aucun exemple de tiret. Particularité : co + mot commençant par i = tréma (coïncidence). Père Igor (discuter) 22 février 2015 à 12:10 (CET)Répondre
Salut Strologoff. Sinon on a ça, localement : emploi du trait d'union pour les préfixes en français. Un bon tour d'horizon des cas possibles, qui montre que ce n'est pas simple... >O~M~H< 22 février 2015 à 13:23 (CET)Répondre
… surtout que ça peut s'unir… pour mieux se désunir. — Hautbois [canqueter] 22 février 2015 à 15:35 (CET) cf. l'illustration --------------------------------->Répondre
Il y a plusieurs tirets, de longueurs différentes et d’usages divers — – -. Le tiret court sert pour le trait d’union. --Morburre (discuter) 22 février 2015 à 20:57 (CET)Répondre

Essai de critique sur la continuation des Actus pontificum Cenomannis in urbe degentium

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Bonjour,

Pourriez vous m'aider ? De quel ouvrage cette page est-elle extraite ?

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1908_num_69_1_461196_t1_0428_0000_2

Merci de votre attention,

Cordialement, Vanoot59 (discuter) 22 février 2015 à 18:00 (CET)Répondre

Salut Vanoot59. Si la question concerne bien la localisation de la page pointée, tout est indiqué juste au-dessus de l'extrait : Bibliothèque de l'École des chartes, Année 1908, Volume 69, Numéro 69, p. 428. >O~M~H< 22 février 2015 à 19:00 (CET)Répondre
Il s’agit bien de Bibliothèque de l’École des chartes, titre de revue pouvant induire en erreur : un titre tel que Revue de l’École des chartes aurait eu l’avantage de ne pas dérouter les profanes. Commme dans les publications savantes la pagination est souvent annuelle, la page 428 est possiblement celle du volume 69 de la revue, correspondant à l’année 1908. Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 19:22 (CET)Répondre
En fait il est toujours précisé sur les pages de garde « Revue d'érudition ». --Doalex (discuter) 22 février 2015 à 20:17 (CET)Répondre
Il faut donc accéder au document lui-même. Et j’ai vérifié (École nationale des chartes#La bibliothèque) : il existe une véritable bibliothèque pareillement nommée (à ceci près qu’un titre de revue doit êttre cité en italique : les règles typographiques ont parfois du bon). Alphabeta (discuter) 22 février 2015 à 20:38 (CET)Répondre
Merci beaucoup, Vanoot59 (discuter) 23 février 2015 à 00:18 (CET)Répondre
Alphabeta, >O~ : Mais à quoi correspond le titre Essai de critique sur la continuation des Actus pontificum Cenomannis in urbe degentium : c'est un chapitre de Moyen-Âge de Laroche ? Vanoot59 (discuter) 23 février 2015 à 13:55 (CET)Répondre
Aucune idée, Vanoot59, dans ce fac simile (en PDF), on trouve la mention « Extrait du Moyen Âge, 2° série, tome XI (septembre/octobre 1907) ». Il semble que ce soit le titre d'une revue, probablement celle dont il est question ici (au passage, sans être un copié/collé le contenu de cet article est très décalqué du descriptif qu'en donne l'éditeur...). >O~M~H< 23 février 2015 à 15:28 (CET)Répondre
Bonsoir Vanoot59. Le titre (Essai de critique...) correspond effectivement au titre de l'article de Robert Latouche, publié dans Le Moyen âge : bulletin mensuel d'histoire et de philologie. Vu que celui-ci fait 50 page, et qu'il avait vocation à compléter l'introduction de l'édition de Busson et Ledru des Actus..., il a bénéficié d'une édition en tiré à part chez H. Champion, éditeur de la revue en question. Louis Halphen en a fait la recension dans le périodique Bibliothèque de l'école des chartes. Piero (discuter) 1 mars 2015 à 20:53 (CET)Répondre