Wikipédia:Oracle/semaine 24 2015

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Pour débuter la semaine... modifier

 
Café ?
 
… hé, la pie, ti viens en mangeant ? (Rubens Peale 1865) — Hautbois [canqueter]

...en riant un peu  

Salut les pythies !

L'assertion selon laquelle la pythie vient en mangeant est-elle historiquement vérifiée ? (bon, je m'excuse pour cette blague éculée  ). >O~M~H< 8 juin 2015 à 11:43 (CEST)[répondre]

Sachant que je contribue durant ma pause café, je viens en buvant ? Bertrouf 8 juin 2015 à 15:09 (CEST)[répondre]
… heu, j'arrive, j'étais à table… tu peux répéter la question ? — Hautbois [canqueter] 8 juin 2015 à 15:56 (CEST) … comment ça, je sors de table à presque 16h ? bah oui, et alors ? — Et alors, c’est pas poli de sortir de table sans attendre que les copains aient fini de manger ! Petit malappris ! rv1729 8 juin 2015 à 22:04 (CEST) — … ah ! t'as enfin terminé ta sieste ? — Hautbois [canqueter][répondre]
… la pythie est surtout bavarde, certains prétendent même qu'elle serait voleuse… — Hautbois [canqueter] 9 juin 2015 à 02:08 (CEST)[répondre]
... mais quand la pythie va, tout va  --Milena (Parle avec moi) 9 juin 2015 à 15:32 (CEST) A tiens oui ! Bertrouf 12 juin 2015 à 11:16 (CEST)[répondre]

Trop tôt minet modifier

 
Ou l'on peut admirer une belle vue de potron-jacquet, mais la photo n'est pas prise dès potron-minet...
 
Potron-jacquet, potron-jacquet, j'te jure... Et mon potron-minet, tu l'as bien vu là ?

bonjour

que veut dire dès trot tôt minet

Bonjour,
Je connaissais wikt:dès potron-minet et même dès potron-jacquet, mais pas « dès trop tôt minet »... En tout cas il y a effectivement l'idée de « tôt », aux aurores. Cdlt, --Floflo (discuter) 8 juin 2015 à 12:15 (CEST)[répondre]
Je pense aussi que c'est une mauvaise interprétation de l'expression « dès potron-minet » ; pour l'origine de l'expression, aucune idée, pour le sens ça signifie « très tôt le matin », « dès l'aube » voire « avant l'aube ». >O~M~H< 8 juin 2015 à 12:28 (CEST)[répondre]
Mais c’est très joli, « dès trop tôt minet » !
Le potron c’est le derrière du chat si ma mémoire est bonne : potron-minet c’est le moment où il y a assez de lumière pour le distinguer ! rv 8 juin 2015 à 12:34 (CEST) Confirmé en suivant le lien de Floflo. Les étymologies de Littré étant réputées ne pas valoir tripette, je ne crois pas que la mention « étymologie incertaine » soit justifiée...
Oui, presque toutes les explications tournent autour du cul de l'écureuil, le potron du jacquet. Cependant, j'ai trouvé deux variantes : Déformation de paitre jacquet (l'écureuil va manger), ou de potre minet (l'heure des petits chats) avec potre ou poutre (de petit) étant modifié en potron. Bertrouf 8 juin 2015 à 15:00 (CEST)[répondre]
Le dictionnaire de Trévoux, le Littré... les références sont surannées ! :) Je regarderai ce soir dans le Robert des locutions. rv 8 juin 2015 à 15:27 (CEST)
Ma Bible c'est le TLFi, qui donne cette étymologie : «  Loc. issue par substitution de minet* “chat” à jacquet “écureuil” de (dès le) poitron-jacquet «dès l'aube» (1640, Oudin Curiositez) ; poitron (fin XIIe s., Audigier, éd. O. Jodogne, 23) représente le b. lat. posterio «cul». Cette loc. qui signifie proprement «dès que le derrière de l'écureuil se fait voir», s'explique par le fait que l'écureuil dresse souvent sa queue, faisant ainsi voir son derrière ». Les explications qui proscrivent le cul sentent leur XIXe siècle à plein nez, où l'on préférait éluder dans la plupart des dictionnaires les étymologies trop triviales... >O~M~H< 8 juin 2015 à 16:22 (CEST)[répondre]
… à noter que Wp y fait allusion dans Liste de proverbes et expressions sur le chat à Expressions.  Hautbois [canqueter] 8 juin 2015 à 20:01 (CEST)[répondre]
Et le Robert des expressions et locutions confirme l’étymologie du TLFi. rv1729 8 juin 2015 à 21:17 (CEST)[répondre]

transcription de l'arabe modifier

Bonjour c'est quoi la transcription de l'arabe التُغتُغالتُغالتُغالي merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 86.69.154.106 (discuter), le 9 juin 2015 à 19:11‎

Salut 86.69.154.106 (d · c). En consultant la page sur l'alphabet arabe tu peux trouver ta réponse par comparaison des lettres du, euh ? Mot ? J'en doute car quand on le fait on obtient « altghtghaltghalthaly » ou « altgtgaltgaltaly »... Ça sort d'une bulle de BD humoristique ? >O~M~H< 9 juin 2015 à 20:39 (CEST)[répondre]
C'est bizarre, ça me dit quelque chose... -- Xofc [me contacter] 10 juin 2015 à 04:14 (CEST)[répondre]
J'y pensais aussi mais les IP diffèrent, y compris en localisation (l'une à Vanves, l'autre à Villemomble). L'esprit potache est la chose du monde la mieux partagée... >O~M~H< 10 juin 2015 à 08:12 (CEST) Je m’inscris en faux : l’esprit potache a beaucoup perdu en qualité ! Les blagues de Duduche à ses pions et profs étaient infiniment plus drôles ! rv 10 juin 2015 à 08:23 (CEST) [répondre]

Relevé Météorologie modifier

Bonjours, je travail sur la météorologie à saint clair, comment faire pour mettre en place un lien ou un tableau dans cette article?

Merci d'avance.--Mar75 (discuter) 9 juin 2015 16:10

Bonjour. Le plus facile est probablement de regarder comment c'est fait dans un autre article (par exemple Toulon#Climat mais j'ignore si c'est représentatif) et lire la documentation du modèle {{Relevé météo}} (ou {{Météo France}} Catégorie:Modèle météorologie). Remarquez cependant que des données personnelles risquent de ne pas être une source acceptable (voir du côté de WP:Citez vos sources, WP:LE et WP:TI). De quel Saint-Clair s'agit-il? -- Xofc [me contacter] 10 juin 2015 à 04:30 (CEST)[répondre]
  Xofc : toi qui a du flair as-tu des impressions sur les diff. des contributions de cet utilisateur tout frais ? --Doalex (discuter) 10 juin 2015 à 09:48 (CEST)[répondre]
Angoulême est plus représentatif, c'est Saint Clair dans le lot. --Mar75 (discuter)11 juin 2015 09:25

Que pèse 1 kg ? modifier

 
Balance de Roberval maousse à Roberval (Oise).

Bien le bonjour à toutes et à tous.

En fait, tout est dans le titre, mais je vais tout de même préciser un peu le sens de la question.   Si je prends une masse d'un kg, elle ne pèsera un kg qu'aux seuls endroits de la Terre où g vaut 9,81, comme à Paris. Cette valeur est à peu près constante sur la surface terrestre, les variations étant relativement faibles. Toutefois, un autre élément vient perturber cette notion, à savoir la force centrifuge due à la rotation de la Terre, nulle aux pôles et maximum sur l'équateur, ce qui induit une différence d'environ 2 %. Et la question qui me taraude l'esprit n'est pas d'ordre physique mais plutôt d'ordre commercial : comment fait on pour uniformiser tout ça ? Si un pays nordique achète 1000 tonnes de café à un pays équatorien, il recevra 1020 tonnes à l'arrivée. Cette différence de 20 tonnes de café n'est pas négligeable. Les balances qui pèsent la marchandise sont elles adaptées aux conditions locales partout dans le monde ? J'en doute, car ce serait un fameux casse-tête. Alors, comment fait on ? Et que précisent les contrats commerciaux ? S'expriment ils en masse (qui est constante) ou en poids (qui est variable) ? D'avance un grand merci pour toute tentative de réponse. --Lupercus (discuter) 10 juin 2015 à 10:29 (CEST)[répondre]

Officiellement, s’pas, y a des contrôleurs des poids et mesures qui utilisent sans doute des étalons. Un étalon pour une balance, c’est une masse, donc y a pas de problème.
Note que 20 tonnes de café, ça ne fait toujours que 2% de la commande : c’est exactement comme quand tu achètes 250g de café, et que tu n’en trouves que 245 une fois arrivé à la maison, ça n’est ni plus ni moins négligeable. Note qu’il faudrait connaître le biais toléré pour une balance qui est capable de peser 1000 tonnes de café. Note que les variations en humidité du café doivent excéder l’effet que tu décris (mais il y a des marchandises qui sont plus stables). rv 10 juin 2015 à 10:42 (CEST)
No problemo, on ne mesure jamais le poids de rien (qui utilise un peson ?) mais la masse. D'ailleurs les pesons ordinaires ne sont pas assez précis pour repérer les différences de g. Le fait est qu'on parle de poids (une force, en principe) alors qu'il s'agit de masse, et on dit "peser x kg" au lieu de "avoir une masse de x kg" (il faut s'y faire, on ne changera pas la langue usuelle par décret). D'ailleurs l'unité de poids (force) n'est pas le kilogramme (kg) mais le newton (N), et autrefois le kilogramme-force (kgf). — Ariel (discuter) 10 juin 2015 à 11:00 (CEST)[répondre]
Tu as raison d'apporter ces précisions, Ariel, mais je me vois mal demander 5 newton de saucisses à mon boucher.  . Mais qu'entends tu par "peser une masse" et non un poids, dés lors où le poids d'une même masse peut varier selon l'endroit ? --Lupercus (discuter) 10 juin 2015 à 11:14 (CEST)[répondre]
Tu ne vas pas demander 5 N de saucisses, ni même 0,5 kgf (et des poussières), parce que ce qui t'intéresse est la masse (autrement dit, la quantité de matière), donc tu vas dire 500 g ! Et le boucher va t'en donner 500 g (bon, plutôt 700 parce que c'est un boucher, quand même !). Le fait est que « les merguez pèsent 500 g » veut dire, dans la langue courante (on n'y peut rien) et même à l'insu du locuteur, « les merguez ont une masse de 500 g », et non pas « la résultante de la force de gravitation exercée par la Terre sur les merguez, de la force axifuge due à la rotation de la Terre et du terme de marée due à l'influence gravitationnelle de la Lune et du Soleil, a pour intensité 0,5 kgf ». — Ariel (discuter) 10 juin 2015 à 15:45 (CEST)[répondre]
D’après toi Lupercus, une balance Roberval mesure-t-elle une masse ou un poids ? rv 10 juin 2015 à 11:44 (CEST)
Ariel, j’utilise une balance de cuisine et un pèse-personne tous deux « numériques » : il me semble qu’ils reposent tous les deux sur le principe du peson, même si le ressort est remplacé par un capteur de pression piezoélectrique. Mais je doute qu’on puisse utiliser de façon commerciale et contractuelle une balance qui repose sur ce principe sans l’avoir convenablement étalonnée, et l’étalonnage (et le contrôle administratif) ne peuvent se faire que sur les lieux de l’utilisation — donc, on en revient à la même chose qu’avec la balance Roberval, c’est en comparant des poids qu’on mesure une masse.rv 10 juin 2015 à 11:51 (CEST)
On n'utilise pas de balance (de) Roberval pour peser les (euh... mesurer la masse des...) tonnes de café ou de charbon, mais on utilise quelque chose du même genre, une variété de bascule, bascule décimale pour les (relativement) petites quantités, station de pesage ou équivalent portuaire pour les plus grandes quantités. Dans tous les cas on a une tare d'un côté, la matière à mesurer de l'autre, ce qui fait que quel que soit l'endroit de la pesée le résultat sera juste puisque la tare est soumise aux mêmes variations que l'objet mesuré. Là-dessus, pas sûr que les transactions portent sur une masse ou un poids très exacts, les moyens de transport (camions, containers, vraquiers) transportent avant tout des volumes de denrées, le poids ou la masse au mètre-cube doit probablement être assez constant par matière mais dans le cas d'un vraquier de 20 000 tonnes, à mon avis on supportera très bien une variation de quelques dizaines de tonnes... >O~M~H< 10 juin 2015 à 12:45 (CEST)[répondre]
rv et >O~ ont raison : on se sert plus du principe du peson que je n'avais en tête. Mais, comme le dit rv, comparer au même endroit le poids (au vrai sens du terme, c.-à-d. celui d'une force) d'un objet à celui d'un ou plusieurs étalons (de masse) à pour effet d'en mesurer la masse. Désolé, les étalons de masse s'appellent... des poids ! Mais l'emploi d'une bascule ou d'une station de pesage n'a pas pour effet que le résultat de la mesure dépend de l'endroit où on la fait. Ces engins étant étalonnés avec des étalons de masse (en principe équivalents en tout lieu), ils mesurent la masse. Ce qu'il ne faudrait pas, par contre, c'est utiliser à Tromsø une bascule qu'on aurait étalonnée à Belém ! — Ariel (discuter) 10 juin 2015 à 15:45 (CEST)[répondre]
C'est le problème éternel entre usage commun et usage technique ou scientifique. De fait, on dit ordinairement « peser » et « poids » alors que ce qu'on mesure le plus souvent est la masse. M'enfin, si quelqu'un disait « Je vais masser mon café » ça ferait un peu bizarre... >O~M~H< 10 juin 2015 à 16:15 (CEST)[répondre]

OK, j'ai compris le principe. Merci à tous les intervenants, c'est sympa d'avoir répondu aussi rapidement. --Lupercus (discuter) 10 juin 2015 à 13:06 (CEST)[répondre]

Ainsi, dans l'eau, sur la Lune ou dans la SSI un objet a la même masse mais pas le même poids. --Yanik B 12 juin 2015 à 04:45 (CEST)[répondre]
Si tu sous-entends "que sur Terre" tu as raison pour la Lune et la SSI, mais pas pour l'eau. Dans la notion de poids (force) on englobe en effet la gravité terrestre, la force axifuge (on dit aussi centrifuge mais c'est impropre) due à la rotation diurne, et la force de marée qui est elle-même la résultante de l'attraction de la Lune et du Soleil et des forces axifuges dues à la révolution mensuelle autour du centre de gravité Terre-Lune et annuelle autour du centre de gravité Soleil-Terre. Mais pas la poussée d'Archimède ! Quand on l'inclut dans le calcul on obtient ce qu'il est convenu d'appeler le poids apparent. Effectivement le poids apparent dans l'eau n'est pas le même que dans l'air. — Ariel (discuter) 12 juin 2015 à 09:37 (CEST)[répondre]
Deux remarques supplémentaires concernant la Lune et la SSI :
1- Quand on parle du poids sur la Lune ou sur n'importe quel autre corps céleste on transpose, bien sûr : l'attraction gravitationnelle principale devient celle du corps, la force axifuge devient celle de la rotation de ce corps (mensuelle dans le cas de la Lune), etc. (pour les effets de marée).
2- Quand on parle du poids dans la SSI on inclut bien la force axifuge de la rotation terrestre, mais normalement pas celle de la révolution (autour de la Terre) de l'engin spatial. Si on inclut cette dernière on parle encore, comme pour l'eau, de poids apparent : c'est le poids apparent de l'astronaute qui est quasiment nul, pas son poids au sens strict (qui est plus faible que sur Terre à cause de l'altitude mais pas tant que ça). Même chose pour l'équipage d'un avion en vol parabolique. — Ariel (discuter) 12 juin 2015 à 11:29 (CEST)[répondre]
Bonjour, Ariel. Pourquoi préfères tu axifuge à centrifuge ? Ce terme n'existe dans aucun dictionnaire, même si l'on comprend bien que tu préfères dire "fuir l'axe" plutôt que "fuir le centre". --Lupercus (discuter) 12 juin 2015 à 12:43 (CEST)[répondre]
Oh, je n'ai rien inventé. La force qualifiée généralement de centrifuge s'applique à des rotations autour d'un axe[1] (axe de rotation de la Terre pour ce qui concerne cette composante du poids), elle est perpendiculaire à l'axe et dirigée vers l'extérieur (d'où l'appellation correcte de force axifuge), et son intensité est proportionnelle au carré de la distance à l'axe (elle est donc nulle aux pôles géographiques), la distance au centre de la Terre n'intervient pas. L'adjectif centrifuge n'est acceptable (comme cas particulier) que dans les problèmes à deux dimensions (comme celui d'une bille placée sur un tourne-disques, par exemple). Le terme centrifuge est employé dans certains manuels de physique, tant pis si les dictionnaires l'ignorent. — Ariel (discuter) 12 juin 2015 à 13:04 (CEST)[répondre]
1.  Je rappelle en passant que la rotation instantanée d'un solide est toujours autour d'un axe fixe, pas d'un point fixe particulier.
Pour être tout à fait honnête, j'ajouterai que le mouvement diurne d'un point de la surface de la Terre est bien le long d'un cercle (perpendiculaire à l'axe de rotation de la Terre, et avec son centre C sur l'axe). On peut donc dire que c'est une rotation autour d'un point fixe et appeler centrifuge la force d'inertie d'entraînement (dont l'intensité est proportionnelle au carré du rayon du cercle). Mais c'est assez trompeur car le centre de rotation C dépend de la longitude, ce n'est pas le centre O de la Terre. Si l'on parle de force centrifuge on risque de penser que le centre est O. En résumé : quand on parle d'un point en rotation le terme centrifuge est acceptable, comme cas particulier d'axifuge ; mais c'est vraiment à éviter quand on parle d'un solide en rotation comme la Terre. — Ariel (discuter) 12 juin 2015 à 13:42 (CEST)[répondre]
Ouèye, mais c’est un peu comme « poids » et « masse » : faudrait en toute rigueur faire attention à pas confondre, mais dans la VDTL (Vie de tous les jours™) ça fait un peu pédant... rv1729 12 juin 2015 à 13:55 (CEST)[répondre]
Le poids d'un système dépend de la force locale de la gravité, la pression atmosphérique est elle un paramètre négligeable dans l'évaluation d'un poids ? --Yanik B 12 juin 2015 à 14:27 (CEST)[répondre]
Dans le bilan des forces appliquées à un objet, la pression atmosphérique apparaît sous la forme de la poussée d'Archimède, dont l'intensité est égale au poids d'air déplacé. Cette force n'est pas incluse dans le poids, donc lors d'une mesure à pression atmosphérique (c.-à-d. tout le temps, en pratique) il faudrait en tenir compte (= l'ajouter au résultat de la mesure pour passer du poids apparent au poids véritable). En pratique la correction est sans importance pratique pour les corps condensés (= liquides ou solides) dont la masse volumique est de l'ordre du millier de kg/m3 quand celle de l'air est voisine de 1 kg/m3 : la correction est d'un millième (0,1 %) pour l'eau, plus faible encore pour les matériaux plus denses que l'eau (presque 8 fois moins pour le fer, par exemple), et à peine plus pour l'huile et de nombreuses autres matières moins denses que l'eau. Mais la correction devient de l'ordre du % pour des matières peu denses comme le liège (masse volumique = 100 à 200 kg/m3), et bien sûr carrément du même ordre de grandeur que le poids lui-même pour les gaz : on ne peut pas facilement peser un volume d'air en l'enfermant dans un ballon de caoutchouc et en le posant sur le plateau d'une balance ! — Ariel (discuter) 12 juin 2015 à 18:24 (CEST)[répondre]

L'eusses-tu cru modifier

 
L'eusses-tu-cru ?

L'expression « l'eusses-tu cru » est le verbe croire conjugué à la deuxième personne du singulier, mais de quel temps et de quel mode ? Je n'ai aucun Bescherelles sous la main. Merci d'avance. --Éric Messel (Déposer un message) 11 juin 2015 à 12:49 (CEST)[répondre]

subjonctif plus-que-parfait Defunes43 (discuter) 11 juin 2015 à 13:03 (CEST)[répondre]
Sur notre Bescherelle (sans s), enfin sur wikt:Annexe:Conjugaison en français/croire nous avons un subjonctif plus-que-parfait qui marche ! suivi d'un conditionnel passé 2e forme ! --Doalex (discuter) 11 juin 2015 à 13:07 (CEST)[répondre]
Ça alors. En voyant la question un peu plus tôt, je me suis dit, bon ok c'est du subjonctif. Mais ce n’est pas du tout un subjonctif passé. Alors là je me suis dit que ce serait une sorte de subjonctif antérieur ou subjonctif plus-que-parfait. Je suis donc surpris de voir que j'avais en partie raison, alors même que je n'avais jamais entendu parler de ce temps. Merci Defunes43 (d · c). --Floflo (discuter) 11 juin 2015 à 13:10 (CEST)[répondre]
Merci à tous de vos réponses si rapides ! --Éric Messel (Déposer un message) 11 juin 2015 à 13:21 (CEST)[répondre]
Ça serait-y pas plutôt le plus-que-pâtes-fait ? [>] >O~M~H< 11 juin 2015 à 15:19 (CEST)[répondre]
Pas d'accord avec Defunes43 : ce n'est absolument pas un subjonctif (plus-que-parfait) mais clairement un conditionnel (passé). Il se trouve que ce conditionnel passé a deux formes interchangeables, celle qui nous est familière et celle qui calque la conjugaison du subjonctif plus-que-parfait. L'expression « L'eusses-tu cru ? » est donc très exactement synonyme de « L'aurais-tu cru ? », avec peut-être toutefois un zeste d'affectation en plus... — Ariel (discuter) 11 juin 2015 à 18:37 (CEST)[répondre]
P.S. Toute ressemblance proche ou lointaine avec les pâtes alimentaires de la marque L'orée du cru serait parfaitement involontaire...
À propos de « [...] Ariel (discuter) 11 juin 2015 à 18:37 (CEST) P.S. Toute ressemblance proche ou lointaine avec les pâtes alimentaires de la marque L'orée du cru serait parfaitement involontaire... » : voire, à lire wikt:fr:L’eusses-tu-cru et wikt:fr:Lustucru... Alphabeta (discuter) 12 juin 2015 à 21:13 (CEST)[répondre]

Mystérieuses éditions de Léo à Aubagne modifier

Bonjour Oracle et assistants.

Voulant rendre cohérente les mentions relatives aux différentes éditions (imprimée en grand format, imprimée au format de poche, livre audio) du roman L'Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, de Romain Puértolas, je suis tombé, dans le catalogue général de la BnF, sur une notice bibliographique a priori surprenante.

Il me semblait en effet que l'édition parue le 21 août 2013 aux éditions Le Dilettante était l'édition originale.

Or cette notice BnF évoque une édition aux éditions de Léo, à Aubagne, avec un dépôt légal (implicite) en 2012, l'année retenue pour le catalogage étant celle de l'impression notée en fin d'ouvrage.

Recherche infructueuse sur « éditions de Léo », sur l'ISBN « 978-2-35682-115-7 ». On ne peut même pas imaginer que cette mystérieuse édition de 2012 serait une version en gros caractères, avec une erreur dans la saisie de l'année, puisque l'édition en gros caractères se trouve à la fin de l'année 2013, aux éditions de la Loupe.

J'hésite à demander des détails supplémentaires à la responsable du catalogue BnF, puisque je doute qu'elle en sache plus, et puisqu'il est probable qu'elle a autre chose à faire que d'aller consulter un livre dans les collections, pour une simple interrogation (alors que, bien évidement, elle étudie soigneusement toutes les suggestions de rectifications d'erreurs dans les notices du catalogue).

L'Oracle (ou un de ses assistants) aurait-il une piste pour résoudre ce(s) mystère(s) ? — Hégésippe (discuter) [opérateur] 11 juin 2015 à 17:28 (CEST)[répondre]

Note que la même année, il a publié à Aubagne également un volume de 136 pages qui n’a pas été ré-édité, Le jour où Shakespeare...  : cf ceci. La lecture de [1] nous informe que ce volume a été refusé en 2012 par Le Dilettante, et que le Fakir a été écrit pendant l’été de cette même année, et envoyé au même éditeur dans la foulée.
Tout ceci me laisse soupçonner une auto-édition de l’auteur, destinée à une diffusion confidentielle — et, en envoyant les exemples réglementaires à la BNF, à prendre date avant l’envoi à l’éditeur et à se prémunir ainsi contre tout plagiat.
Bien entendu, je n’ai aucune source pour étayer davantage cette explication, qui est plausible, sans plus. rv1729 11 juin 2015 à 18:15 (CEST)[répondre]
Sur le site de l'auteur nous trouvons au moins l'original de la couverture sur laquelle on lit également « Les Éditions de Léo » et le même numéro ISBN « 978-2-35682-115-7 » mais sur une page intitulée : romans non publiés. --Doalex (discuter) 11 juin 2015 à 20:40 (CEST)[répondre]
En tous les cas, l'autre bouquin publié à Aubagne l'a bien été à compte d'auteur (en « autoédition » comme on dit maintenant mais bon, c'est juste le nom qui change...) par le « Groupe CCEE ». >O~M~H< 11 juin 2015 à 20:56 (CEST)[répondre]
Merci à tous : La piste de l'auto-édition, à laquelle je n'avais pas songé un instant, éclaire mieux le fait que je ne trouvais cet ISBN sur aucune librairie en ligne et même sur Google. — Hégésippe (discuter) [opérateur] 11 juin 2015 à 21:39 (CEST)[répondre]
Olivier, je fais une différence entre édition à compte d’auteur et auto-édition : dans le premier cas, un éditeur facture les frais d’édition à l’auteur (plus un bénéfice, bien sûr), dans le second cas l’auteur se débrouille tout seul... rv1729 11 juin 2015 à 22:03 (CEST)[répondre]
J'y avais pensé aussi mais pour avoir vu comment ça marche dans les deux cas, l'auto-édition ne se différencie pas aussi nettement de l'édition à compte d'auteur que l'autoproduction (tiens ? Une simple redirection vers autarcie...) en musique ne diffère de la production musicale par un label (dans un modèle de type « compte d'éditeur » ou « compte d'auteur »), dans le cas de sociétés qui proposent de l'auto-édition il y a quand même une phase de mise en page, même si le gros du travail est le plus souvent laissé à l'auteur, et chez nombre de maisons d'édition à compte d'éditeur la prestation de diffusion est optionnelle voire parfois inexistante. >O~M~H< 12 juin 2015 à 05:38 (CEST)[répondre]
Une société qui propose de l’auto-édition, ce n’est plus de l’auto-édition, c’est une formule alambiquée pour faire du compte d’auteur. De toutes façons il y a une variété infinie de possibilités, qui peuvent être arnaque pour les uns et aubaine pour les autres.. Une grosse maison réputée pour faire beaucoup de compte d’auteur propose du compte d’éditeur pour publier des thèses ; les auteurs ne touchent pas de droits, sauf sur les exemplaires qu’ils auront eux-mêmes achetés et revendus, et ils doivent assurer eux-mêmes les corrections (gros boulot de pro, sans parler de mise en page). Ceci dit, la plupart de ces auteurs, qui ne visent pas le grand public sont satisfaits. --Morburre (discuter) 13 juin 2015 à 00:52 (CEST)[répondre]

roman français de la seconde moitié du XXe s d'un auteur NOBEL de littérature qui cite sa mère malade et de PIOTR modifier

ses mains étaient couvertes de nodosités rhumatismales ? Je vous remercie de vouloir bien m'aider Cordialement MISAMIE

Une piste : Albert Camus a adapté en pièce Les Démons de Dostoïevski, lequel roman comporte un Piotr Stépanovitch, et il y a un personnage de mère au moins dans la pièce, cf. [2]. Turb (discuter) 12 juin 2015 à 15:04 (CEST)[répondre]
Cette question a un aspect qui invite (peut-être à tort) à la pose du bandeau
  Désolé, l'Oracle ne divulgue pas les réponses des concours. Bonne chance dans votre recherche.
>O~M~H< 12 juin 2015 à 17:21 (CEST)[répondre]

Relation Dietrich von Altenburg et Nicolas Brunsereite, Circa 1300+ modifier

Bonjour,

Je cherche dans tous les sens, depuis longtemps, des informations plus précises sur Nicolas Brunsereite (possiblement né 1290 à Modgarben, Prusse de l'Est). Je sais qu'on le rencontre dans plusieurs écrits, pour les avoir consultés, sous le prénom Klaus, Nicolas, Nicholas, Brunsereyte,Brunsereite et Bronsart. Il est à l'origine d'une grande famille allemande connue et les détails me sont connus. Ce qui m'intéresse, c'est de cerner davantage l'individu dans sa quotidienneté, que ce soit comme chamberland, administrateur de l'Ordre Teutonique, propriétaire foncier,...etc. Tout écrit que je ne connaîtrais pas encore, serait grandement apprécié.

Grand merci de votre attention et de vos efforts de m'aider. Gérard.

Emblème de la croix rouge sur des ambulances soviétiques en 1942 modifier

Bonjour dans le film de Jean-Jacques Annaud, Stalingrad on voit à plusieurs reprises des ambulances soviétiques, des infirmiers et des médecins militaires avec l'emblème de la Croix rouge. Est-ce que véritablement la Croix rouge était utilisée dans l'Armée rouge ? Philippe Nusbaumer (discuter) 14 juin 2015 à 12:58 (CEST)[répondre]

Salut Philippe Nusbaumer, une première explication se trouve dans la page sur les emblèmes de la Croix-Rouge, section « Règles d'utilisation » : « En temps de guerre, toute personne ou organisation ne participant pas au conflit et portant assistance aux blessés peut porter le signe de la croix-rouge, sous réserve qu'elle ne soit pas accompagnée d'une inscription faisant référence au Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant Rouge ».
Cela dit, sur cette page on peut lire  : « Après 1921, les tensions [entre CICR et URSS] s’apaisent [...]. Toutes les conditions diplomatiques convergent pour un rétablissement des relations. Un délégué du CICR rejoint Moscou, un représentant soviétique siège à Genève. Mais la guerre aboutit en 1943 à la rupture entre URSS et CICR, puis à un long boycott de presque 50 ans ». La présence de véhicules de secours aux blessés avec croix rouge, voire de la Croix-rouge, à Stalingrad (donc avant mars 1943) n'est pas un contresens historique. >O~M~H< 14 juin 2015 à 13:32 (CEST)[répondre]

Retour à l'anonymat ? modifier

Bonjour. J'ai eu plusieurs débats avec des contributeurs au sujet de Mickaël Vendetta.
Dans cet article, il y a une section qu'on a eu le malheur d'appeler Retour à l'anonymat (poke Zugmoy) ; ce qui était à mon avis juste. Et depuis, soit un contributeur arrive, renomme le titre et engage un long débat sans intérêt dans la neutralité la plus inexistante [3], soit un autre contributeur arrive et supprime direct le titre avec ce commentaire : j'ai supprimer le titre "retour à l'anonymat" qui laisse supposer qu'il est fini, il y a une certaine volonté de rabaisser la personne et je trouve ça pas bien . Il est Dj et il peut revenir sur le devant la scène. (cf ma PDD, une nouvelle fois...).
Bref, est-ce que vous pourriez me dire dans quelle mesure on peut parler de retour à l'anonymat ?
Merci d'avance, Cdlt/Fugitron /Discuter.../ 14 juin 2015 à 13:11 (CEST)[répondre]

Salut Fugitron, ta question aurait plus sa place sur le Bistro mais bon, puisqu'elle est là... On peut en parler dans toutes les mesures (pour dire, en long, en large et en travers  ), dès lors que c'est un fait. D'autant quand la personne concernée agit en ce sens (ici, en devenant « DJ MV », donc en effaçant ou masquant le nom de la transitoire célébrité médiatique). Cela dit, il y a un problème insoluble : dans la société du spectacle et du quart d'heure de célébrité, pour celles et ceux qui aspirent à cette célébrité frelatée le « retour à l'anonymat » n'est pas un constat, c'est un jugement dépréciatif. >O~M~H< 14 juin 2015 à 13:53 (CEST)[répondre]
Salut également. Désolé pour le dérangement, perso je m'y attendais à moitié vu qu'en ce moment je me trompe quinze fois tous les jours avec les procédures, le code etc. Bref, merci de votre réponse. Effectivement, on m'a souvent dit que Retour à l'anonymat était limite péjoratif, mais leur point de vue ou le mien ne m'intéressent pas à la base, je cherche un point de vue encyclopédique. Je vais aller poser la question sur le Bistro, merci  .
Cdlt/Fugitron /Discuter.../ 14 juin 2015 à 14:08 (CEST)[répondre]

François-Auguste Biard modifier

Re-bonjour...
Je suis tombé par hasard sur l'article de François-Auguste Biard, dont une IP a essayé de modifier la date de naissance. J'ai d'abord révoqué, puis je suis quand même allé voir sur les interwikis, qui ne sont même pas d'accord entre eux: certains, comme WP en français et WP en anglais disent qu'il est né en 1799, d'autres comme WP en allemand et WP en portugais disent qu'il est né en 1798. En cherchant sur le net, j'ai vu des sites qui disaient 1798 [4] et d'autres 1799 [5]. Selon Wikidata et Wikimedia, c'est bien 1799 [6], [7]. Comment faire ?
Merci d'avance.
Cdlt/Fugitron /Discuter.../ 14 juin 2015 à 17:15 (CEST)[répondre]

Salut encore, Fugitron, dans le Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord on indique précisément « Né le 8 octobre 1798 à Lyon ». Le site de la BNF est concordant, « Naissance : Lyon, 08-10-1798 » (bien qu'on trouve plus loin sur la page la mention « François-Auguste Biard, né le 15 octobre 1798 à Lyon » mais ça vient d'un site douteux, Wikipédia  . On ne peut jurer de rien mais quand deux sources a priori fiables donnent la même date il y a de bonnes chances que ce soit exact. En cherchant un peu plus on trouve plusieurs années (1798 et 1799 mais aussi 1800), cela dit je suppose que le 8 octobre 1798 et la bonne date. Sinon, pour les Lyonnais il y a un moyen (hum !) « simple » de vérifier, aller voir à l'état-civil. >O~M~H< 15 juin 2015 à 06:17 (CEST)[répondre]
Re-re-bonjour. En attendant qu'une bonne âme habitant à ou pas loin de Lyon ait la gentillesse d'aller à l'état-civil (j'y serais bien allé mais c'est à 500 bornes de chez moi), je vais corriger les articles. Merci encore et bonne continuation. Cdlt/Fugitron /Discuter.../ 15 juin 2015 à 10:41 (CEST)[répondre]
Bon, je suis à Lyon et j'ai du temps, mais ne va-t-on pas me reprocher que c'est une source primaire et qu'il faut chercher des sources secondaires ? Et puis, on fait comment, je n'ai jamais essayé. CQui (discuter) 18 juin 2015 à 16:30 (CEST)[répondre]
Salut CQui. Les sources primaires ne sont pas interdites quand il s'agit de sources neutres et fiables qui viennent en complément de sources secondaires pour les confirmer. En l'occurrence, l'état-civil fonctionne ici comme une sorte de base de données. Pour la consultation, faut voir avec la mairie, selon les cas les registres sont conservés à l'hôtel de ville, ou transférés dans une annexe spéciale, ou transférés aux archives municipales, quand il y en a, ou départementales. L'accès à ces registres est plus ou moins libéral, c'est très variable. Pour Lyon, le plus probable est qu'à tout le moins l'état-civil d'avant 1852, année où la ville a été pour la première fois divisée en arrondissements municipaux, ont été archivés selon l'une des trois méthodes suggérées. >O~M~H< 19 juin 2015 à 10:12 (CEST)[répondre]
Les registres sont scannés , mais si on n'a ni le quartier (ou paroisse) de naissance, ni l'habitude de lire les registres, ça peut prendre un peu de temps...
La mairie de Lyon 04 72 10 30 30. j'espère pour CQUI qu'ils ont entreprit une transcription des documents ci-dessus scannés. Bertrouf 19 juin 2015 à 12:44 (CEST)[répondre]
(Conflit de modification) Ok, merci, plus d’excuses , bon c'est tout en ligne à [8] donc pas besoin d'être dans le coin. Si j'ai tout compris, il y a 3 registres possibles pour Lyon de l'époque plus 3 autres s'il vient d'une commune qui a été ratachée par la suite à Lyon. Les dates sont dans le calendrier républicain...CQui (discuter) 19 juin 2015 à 12:50 (CEST)[répondre]
Je l'ai trouvé dans la table annuelle de la division ouest, [9] avec l'indication 85, surement la page ou le trouver dans le registre, mais quand j'ai voulu accéder au registre ça a planté et je n'arrive plus a m'y connecter. Je verrai plus tard sauf si vous y allez entre temps. CQui (discuter) 19 juin 2015 à 13:07 (CEST)[répondre]
Je ne le trouve pas le 17 vendémiaire An VII du registre de l'ouest (on passe de 15 à 18). Me suis-je trompé de date ? (j'ai effectivement les 3 pdf Ouest, Nord et Midi sous les yeux). Bertrouf 19 juin 2015 à 13:14 (CEST)[répondre]
Tout fermé et rouvert, je l'ai trouvé page 85, [10], L'acte a été fait le treize messidor, l'an Sept de la Republique et indique est accouché avant hier soir..., prénom François ThereseCQui (discuter) 19 juin 2015 à 13:18 (CEST)[répondre]
C'est en essayant d'utiliser le lien fourni par le site que ça plante et ne veut pas se rouvrir. J'ai fait un PDF de l'extrait si cela intéresse quelqu'un. 12 messidor VII, si je lit bien, ça correspond au 30 juin 1799... CQui (discuter) 19 juin 2015 à 13:28 (CEST)[répondre]
Ouh la la ! Je ne sais pas qui leur a pondu ce système de consultation mais pour le moins, ça ne marche pas terrible – patience et longueur de temps... Merci en tout cas, CQui. La conversion républicain / grégorien donne le 1° juillet 1799 pour le 7 messidor an VII, ce qui donne une naissance le 29 juin 1799 (la mention étant « accouchée [...] avant hier soir », la date de naissance est donc deux jours avant l'insertion dans l'état-civil). Ça nous éloigne pas mal d'octobre 1798, finalement. Bon ben, y'a plus qu'à, Fugitron   >O~M~H< 19 juin 2015 à 13:36 (CEST)[répondre]
Oui, en effet, 13-2=11, pas 12. Et maintenant, que fait-on avec des sources contradictoires ? Note que ça n'a pas été si long, j'ai cherché dans les tables annuelles classées par initiale du nom et trouvé a la quatrième page, avec le zoom et un scan de bonne qualité ce n'était pas trop difficile. CQui (discuter) 19 juin 2015 à 13:46 (CEST)[répondre]
Je parlais du temps d'affichage de la page du registre, aléatoire voire infini : lors des deux premières consultations j'ai laissé tomber, tant ça durait, à la troisième ce fut assez rapide. Bon ben,   pour l'article sur François-Thérèse. >O~M~H< 19 juin 2015 à 13:57 (CEST)[répondre]
Voilà, corrigé sur les 7 interwikis ainsi que sur Wikidata. Merci pour avoir trouvé la vraie date de naissance de ce monsieur malgré les sources contradictoires. Désolé pour ne pas avoir participé aux recherches, je suis en période d'exams. Bonne continuation. --Cdlt/Fugitron /Discuter.../ 19 juin 2015 à 21:18 (CEST)[répondre]

SOLVÈS Jean-michel modifier

Bonjour,

Sculpteur, peintre, graveur. Né en 1955 à Paris.

Diplomé des Beaux Arts de Paris en 1983. De nombreux critiques et historiens d'arts suivent mon oeuvre depuis 20 ans. Je travaille actuellement sur le thèmes des "Phythies" ( réellement ).

Je consulte Wikipédia depuis plusieurs année pour y puiser des éléments qui alimentent mon oeuvre directement ou indirectement. Ce que je nommerais un apport d'arborescence sur ce qui occupe mes préoccupations d'artiste et d'être humain au sein de cet univers.

Mon travail est alimenter aussi par des écrits poèmes Koan ou autres trajectoires en interactivité avec des auteurs, films, musiciens qui jalonne l'universalité d'un parcours.

ma question est de savoir si je peux faire parti de l'encyclopédie, l'enrichir et y apposer une empreinte qui serait utile à d'autres et dont la trajectoire y trouverait résonance.

Merci de votre réponse, bien à vous, JM. SOLVÈS

Bonjour. Veuillez consulter : Wikipédia:Notoriété des arts visuels. Cependant, même si vous êtes admissible, il n'est pas recommandé (mais pas formellement interdit) de créer un article sur soi-même. Dhatier discuter 14 juin 2015 à 18:33 (CEST)[répondre]
SOLVESARTS ne dit pas qu'il veut écrire un article sur lui-même mais qu'il veut contribuer (faire partie de l'encyclopédie, pour moi c'est ça). La réponse est 'Oui' (comme pour tout le monde) mais attention aux TI (je me méfie du « apposer une empreinte »). Et bien sûr il est recommandé de se référer d'abord à Aide:Débuter. — Ariel (discuter) 14 juin 2015 à 19:38 (CEST)[répondre]

Pour terminer la semaine modifier

 
P..... déjà 5 ans ! --Doalex (discuter) 14 juin 2015 à 19:39 (CEST)[répondre]


Pour les plus jeunes sur l'Oracle mais qui aiment bien comprendre :


Reviens Félix !

--Doalex (discuter) 15 juin 2015 à 14:01 (CEST)[répondre]

Hélas, il y a si longtemps... mais pour nous consoler, nous pouvons toujours nous dire que le fonctionnement de Wikipédia s’est amélioré depuis   rv1729 15 juin 2015 à 16:25 (CEST)[répondre]