Wikipédia:Oracle/semaine 26 2015

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Citation modifier

 
… tête vituline à la langue bien pendue (Gustave Caillebotte). — Hautbois [canqueter]
 
Une figure vituline.

Bonjour je voudrais savoir d'où vient la citation "Il était la risée de tous à cause de la vitulinité de sa tête." ?

Récidive d'un IP dont l'historique sur l'Oracle est lourd (intervention finalement supprimée). >O~M~H< 22 juin 2015 à 18:45 (CEST)[répondre]
Il a au moins le mérite de m'avoir fait connaître un mot nouveau : vitulin Dhatier discuter 22 juin 2015 à 18:57 (CEST)[répondre]
Il n'y a pas de hasard, il suffit d'ouvrir la page d'accueil du Wiktionnaire qui est la même depuis août 2012, je crois que je pourrais réciter de mémoire cet « article en lumière » et qui est illustré (photo ici à gauche), chose assez rare sur le wiktionnaire.   --Doalex (discuter) 22 juin 2015 à 19:41 (CEST)[répondre]
J'ai trouvé une référence, Luc Rovançon "De l'inutilité d'être grenu" publié en 1898, mais on ne peut vraiment pas dire que vous faites dans la simplicité, ce livre est quasi introuvable. Bitronc65 (discuter) 22 juin 2015 à 20:13 (CEST)[répondre]
Et comme dit le proverbe, « Vitulin ? L'autre verrat ». >O~M~H< 22 juin 2015 à 20:18 (CEST)[répondre]
  Bitronc65 : vis-tu l'un des livres de ce Luc Rovançon ? Actuellement vis-tu l'un de ses romans ? Peut-être qu'un vit tue l'un des protagonistes ?  Hautbois [canqueter] 23 juin 2015 à 06:34 (CEST)[répondre]
Sa tête était telle, qu'un cocaïnomane, même repenti, se disait « Vite une ligne ». --Serged/ 23 juin 2015 à 07:42 (CEST)[répondre]
À voir également, l’histoire de Fanchon Vituline. rv1729 23 juin 2015 à 11:15 (CEST)[répondre]
Juste parce que l'ironie est plus difficile à l'écrit qu'à l'oral, vous me confirmez que Luc Rovançon n'existe pas, ni le livre cité ? Bertrouf 3 juillet 2015 à 08:33 (CEST) [répondre]
… je n'ai trouvé aucune trace même infime de ce monsieur et de son livre… visiblement, il n'existe que dans l'imaginaire de Bitronc65. — Hautbois [canqueter] 3 juillet 2015 à 09:05 (CEST) [répondre]

Question of grammaire (française entre autres) posée au Reference Desk de WP English. modifier

 
- Tu vas réviser ta grammaire, Petit Chapereon rouge  ?
- Mais non, monsieur le loup ! Je vais visiter ma grand-mère !
 
Où l'on voit que le loup, quant à lui, a décidé de « réviser » la grand-mère...

Quelqu'un a posé ici la question suivante:

Most Indo-European languages have either three genders (masculine, feminine, neuter) or two genders (masculine and feminine). English has three genders in pronouns but no grammatical gender for common nouns. My question has to do with usage in other Indo-European languages (Romance, non-English Germanic, other) when the antecedent or referent is an animal. Animals have biological gender that sometimes is the same as their grammatical gender but not always. The question is whether, if the biological gender of the animal is known, as it normally is when referring to specific horses, dogs, and cats, and some other farm animals, the pronoun used is the one that matches with the referent noun as opposed to the one that corresponds to the actual animal or the proper noun by which the animal is known. (In English, where the common noun is essentially genderless, either an animate pronoun or a neuter pronoun may be used, and the speaker who uses a neuter pronoun may be corrected.)

En ce qui concerne le français j'ai répondu:

In French, if I'm not mistaken, it is the grammatical gender that matters if that is the feminine but not if that is the masculine. For example "a whale", "a mouse", "a tortoise" ("une baleine", "une souris", "une tortue") and many other animals are grammatically fem. irrespective of the actual sex and will always be referred to as "elle". That would be the case even if you append a word to make it clear you're talking about a male individual, e.g. "Ils virent une baleine male. Elle s'est approchée..." On the other hand if the word is grammatically masculine and the sex is known then it is the sex that counts, e.g. "Ils virent un requin femelle. Elle s'est approchée..." However I'm not 100% sure.
(en français) Si le genre grammatical de l'animal est féminin alors on utilise le genre grammatical, par ex. "Ils virent une baleine mâle. Elle s'est approchée..." mais si le genre grammatical de l'animal est masculin alors on utilise le sexe biologique, par ex. "Ils virent un requin femelle. Elle s'est approchée..." Ou pour dire les choses autrement (mais de façon équivalente) si le sexe biologique de l'animal est mâle on utilise le genre grammatical, si le sexe biologique de l'animal est femelle alors on utilise le sexe biologique. Je ne suis pas 100% sûr de ma réponse.

Mais je voudrais vérifier ma réponse avec d'autres francophones. Êtes-vous d'accord avec ma réponse (en général) et avec mes deux exemples (en particulier)?

Vous pouvez aussi, si vous voulez, répondre directement sur le Reference Desk anglais (voir lien ci-dessus).

Merci,

Contacter Basemetal ici 23 juin 2015 à 14:03 (CEST)[répondre]

À rajouter (tu traduiras...) :
  • Si le sexe est important on le précise : "Une baleine femelle"
  • Pour certaines espèces, il existe des masculins / féminins (un lion / une lionne, un tigre / une tigresse)
  • Pour certaines espèces (surtout domestiques) il existe un terme générique et un terme pour le mâle et la femelle (des moutons : un bélier, une brebis; des chevaux: un étalon, une jument).
--Serged/ 23 juin 2015 à 17:22 (CEST)[répondre]
Et pour les chevaux, on a aussi le neutre : le hongre. [>] >O~M~H< 23 juin 2015 à 17:38 (CEST)[répondre]
Faut-il dire "un requin femelle" ou "une femelle requin" ? - Cymbella (discuter chez moi) - 23 juin 2015 à 23:33 (CEST)[répondre]
Il me semble que l'un ou l'autre se dit, ou se disent. — Ariel (discuter) 23 juin 2015 à 23:41 (CEST)[répondre]
Non : Un requin femelle. Mais d'autre part, l'accord se fait normalement avec "requin", pas avec "femelle" : « un requin femelle s'est approché ». On ne peut dire « Ils virent un requin femelle. Elle s'est approchée... » qu'en faisant l'accord avec le sens et non l'accord grammatical (c'est possible, mais ça relève d'une exception). Cordialement, Biem (discuter) 24 juin 2015 à 08:08 (CEST)[répondre]
Si, d'ailleurs j'ai des sources ! « Record : une femelle requin a stocké du sperme pendant 45 mois. »Ariel (discuter) 24 juin 2015 à 08:56 (CEST)[répondre]
foutre ! 4 ans… — Hautbois [canqueter]
Petite joueuse, cette rouquine « requine », les reines des fourmis, peuvent vivre quinze ans et plus, ne s'accouplent qu'une fois (mais avec plusieurs prétendants) dans leur prime jeunesse et restent prolifiques jusqu'à la fin. >O~M~H< 25 juin 2015 à 09:50 (CEST)[répondre]
La position normale du qualificatif en français est (généralement) après le nom qu'il qualifie (un cheval gris, une porte ouverte,...). Ici on a "requin", un substantif pouvant servir de qualificatif, et "femelle" un qualificatif pouvant servir de substantif, donc les deux ordres sont théoriquement envisageables, certes. Mais la forme normale est bien "requin femelle", le qualificatif suivant le substantif. On peut certes rencontrer une "femelle requin", mais ça suppose une inversion des catégories grammaticales, signifiant que l'objet désigné est avant tout "une femelle" (adjectif substantivé), et que le fait que ce soit un requin (en fonction ici de qualificatif) est secondaire - c'est le cas ici dans ton exemple, le stockage de sperme étant évidemment et spécifiquement le fait d'une femelle, le record étant tenu par un requin, qui vient alors qualifier ce qu'est cette femelle. Mais ça n'arrive pas souvent. Cordialement, Biem (discuter) 24 juin 2015 à 10:20 (CEST)[répondre]
Entièrement d'accord. Je dirai par exemple « je trouve les femelles babouins plus mignonnes que les femelles chimpanzés » (ou « les mâles girafes plus altiers que les mâles baleines »), non ? — Ariel (discuter) 24 juin 2015 à 11:04 (CEST)[répondre]
C'est tout à fait ça. À partir du moment où la comparaison porte entre deux types de femelles, c'est "femelle" qui peut prendre le rôle du substantif et "babouin" celui du qualificatif, contrairement à leur nature de base. Quand on parle de "femelles babouins", l'ordre substatif-qualificatif est bien préservé, ce sont les mots qui ont changé de nature. Mais là où je ne peux pas être d'accord, c'est pour préférer des babouins à des chimpanzés ^_^ Cordialement, Biem (discuter) 24 juin 2015 à 11:23 (CEST)[répondre]
Ou dans le même ordre d'idée, on aura par exemple le "tertiaire calcaire" pour l'opposer au tertiaire marneux, mais le "calcaire tertiaire" s'opposant au calcaire secondaire. La frontière entre substantifs et qualificatifs est généralement assez perméable. Cordialement, Biem (discuter) 24 juin 2015 à 11:29 (CEST)[répondre]
Oui, et pour distinguer les terrains primitifs des terrains remaniés je dirai "le tertiaire primaire" et le "tertiaire secondaire". J'ai bon ? — Ariel (discuter) 24 juin 2015 à 15:20 (CEST)[répondre]
Certes, mais c'est le genre de jeu sur les mots à réserver à des géologues avertis (et d'abord c'est sémantiquement ambigu ... « remaniés » à quelle époque? ce n'est pas le terrain tertiaire qui est remanié après coup (e.g. un remaniement quaternaire), donc l'opposition "primitif / remanié" ne qualifie pas un terrain tertiaire, mais plutôt sa « pétrogénèse » si j'ose dire (pour être homogène en grec il faudrait parler de lithogénèse mais c'est déjà pris par le médical). Il s'agit plutôt dans ce cas de différencier la formation tertiaire de terrains, donc du remaniement tertiaire d'un dépôt d'une ère antérieure restant perceptible dans ses fragments, genre Brèche ou poudingue). Mais les élèves risquent de ne pas goûter la chose à sa juste valeur. Cordialement, Biem (discuter) 25 juin 2015 à 00:20 (CEST)[répondre]

Pour gracieusement vous aidez dans votre recherche, le wiktionnaire dispose de ressources insoupçonnée sur le sujet : dans cette magnifique annexe. Bonne lecture !   --Lyokoï (discuter) 25 juin 2015 à 18:45 (CEST)[répondre]

un code abrasif modifier

Bonjour c'est quoi la substance qui distend dissocie le ténia à cause des poumons?????

Oui, mais pas que ; en effet, dès lors, il se peut mais rarement. Cobra BubblesDire et médire 30 juin 2015 à 11:10 (CEST)[répondre]
!!!!! --Morburre (discuter) 30 juin 2015 à 12:56 (CEST)[répondre]
Quoique... --109.219.244.173 (discuter) 30 juin 2015 à 13:20 (CEST)[répondre]
Ouais c'est pas faux... 193.54.167.180 (discuter) 30 juin 2015 à 13:35 (CEST)[répondre]
Je sais pas pour vous, moi ce qui aurait tendance à me gonfler, ce serait ce genre de blague [[1]], mais je n'ai pas de murier. 88.165.212.52 (discuter) 30 juin 2015 à 14:13 (CEST)[répondre]

Nom du "Principe" ou de l' "axiome" des théorèmes mal crédités ? modifier

Bonne journée à toutes et à tous. J'ai lu sur ce wiki que des théorèmes (au sens large) portaient le nom d'une personne qui n'était pas le bon. Ex :

Mais les exemples cités étaient nombreux et particulièrement plus intéressants. Je cherche le nom de ce principe du genre : "Les inventeurs donnent rarement leur nom à leur inventions". Je vous remercie pour votre attention.--Jojodesbatignoles (discuter) 23 juin 2015 à 23:12 (CEST)[répondre]

C’est la loi de Stigler. Il existe d’autres noms, par exemple « théorème de Boyer ». rv1729 23 juin 2015 à 23:41 (CEST)[répondre]
Amusant de constater que Stigler attribue la paternité de sa « loi » à un autre   >O~M~H< 24 juin 2015 à 00:11 (CEST)[répondre]
Pas qu'en math : par exemple, la guillotine n'a pas été inventée par le docteur Guillotin... --Serged/ 24 juin 2015 à 08:05 (CEST)[répondre]
… et ce n'est pas Albinoni qui a composé son célèbre Adagio… — Hautbois [canqueter] 24 juin 2015 à 09:25 (CEST)[répondre]
Ni n'est Mozart l'auteur de Ah ! vous dirai-je, maman, il a jusque mis un © dessus... >O~M~H< 24 juin 2015 à 09:38 (CEST)[répondre]
« Tiens, il était tellement précoce, Mozart, qu'à six ans et demi, il avait déjà composé le Boléro de Ravel. » rv1729 24 juin 2015 à 09:46 (CEST)[répondre]
Pour revenir à la question, c'est plus complexe : si la « relation de Chasles » est connue avant son travail, c'est à lui qu'on doit sa formalisation et sa généralisation ; de même, si Einstein n'est pas l'unique inventeur des éléments à la base de la relativité restreinte (l'histoire de la relativité restreinte explique qu'il y ait eu une (pseudo-)controverse sur la paternité de la relativité, l'idée étant alors dans l'air du temps) il est le premier à avoir poussé au bout l'hypothèse, devenue théorie, de la relativité dite restreinte.
Pour des inventions techniques à potentiel industriel telles que la photographie, le phonographe, le téléphone et le cinématographe, on a à chaque fois ce processus : plusieurs inventeurs conçoivent des procédés similaires, voire identiques, indépendamment les uns des autres ; les mêmes ou d'autres améliorent ces procédés, ou en inventent d'autres pour pallier aux insuffisances des premiers, ou conçoivent un nouveau procédé en réunissant plusieurs inventions disparates. La question « Qui est l'inventeur ? » ne repose donc pas sur une paternité réelle, toujours discutable, mais sur l'antériorité de dépôt d'un brevet.
Sans dire qu'ils soient si rares, les cas du genre de Bell, dont il apparut par après qu'il ne fut pas pour grand chose, probablement même pour rien, dans le processus d'invention du téléphone, hormis d'avoir été le premier à la breveter, ne sont pas principaux, et si les premiers détenteurs de patentes ne sont souvent pas les uniques inventeurs, du moins y sont-ils en général pour quelque chose. >O~M~H< 24 juin 2015 à 10:50 (CEST)[répondre]
Thomas Edison a la réputation d'avoir inventé beaucoup de choses, mais surtout d'avoir breveté à tour de bras --145.242.20.22 (discuter) 25 juin 2015 à 12:07 (CEST)[répondre]
C'est juste. Edison a tout de même inventé, participé à l'invention ou à l'amélioration d'inventions de plusieurs des procédés qu'il a brevetés mais de fait, à partir de 1874 c'est d'abord un patron d'industrie et un chef de laboratoire plus qu'un inventeur. Finalement, la seule de ses inventions qu'il n'a pas brevetée est celle des laboratoires de recherche-développement   >O~M~H< 25 juin 2015 à 13:34 (CEST)[répondre]

Chanteurs et pianistes avec oreillettes ? modifier

Bonne journée à toutes et à tous. Presque tout est dans le titre : nombre de chanteurs et de pianistes se produisent avec des oreillettes reliées à un fil donc à un matériel (électronique ?) porté sur eux. Dans quel but ?

  • Se synchroniser ? Nous nous perdons en conjectures !
  • Nous avons remarqué que certains membres de l'orchestre (tous ?) n'en ont pas. Pourquoi ?

Je vous remercie pour votre attention.--Jojodesbatignoles (discuter) 25 juin 2015 à 21:24 (CEST)[répondre]

Explication qui m'avait été fournie il y a quelques temps, les chanteurs et musiciens ont besoin de s'entendre et d'entendre les autres pour pouvoir chanter et avec les scènes fortement sonorisées, cela peut être difficile, d’où l'oreillette. Les oreillettes servent également de protection antibruit. Enfin, il y a ceux qui ont besoin de savoir ce qui passe pour bouger les lèvres en rythme. --CQui (discuter) 25 juin 2015 à 23:28 (CEST)[répondre]
Salut, Jojo. Les oreillettes sont des retours (avant-dernière acception de la page d'homonymie) et ont la même fonction que ce qui servait anciennement à cela, ou qui y sert encore pour les artistes qui n'aiment pas le système des oreillettes (ou n'ont pas les moyens financiers de s'en procurer), des petites enceintes aux pieds des musiciens : une fonction de contrôle, de la voix pour les chanteurs, de la concordance rythmique pour les musiciens.
Même si certains en ont, les oreillettes et autres retours sont de peu d'intérêt pour les batteurs puisque c'est censément eux qui donnent le tempo (cela dit, John Bonham entre autres était connu dans ses débuts pour sa tendance à accélérer le rythme, et Art Blakey n'était pas d'une justesse rythmique irréprochable, mais pas sûr qu'un retour puisse corriger ces défauts) ; de même les bassistes peuvent se caler sur la batterie pour le rythme.
L'article sur la sonorisation explique l'intérêt d'un retour par oreillettes : cela « minimise les risques de larsen et permet à l’artiste d’avoir un son constant lors de ses déplacements sur scène ». >O~M~H< 25 juin 2015 à 23:37 (CEST)[répondre]
… le batteur est aussi (parfois ? souvent ?) relié à un ordinateur portable avec une appli lui garantissant un tempo exact et sans fluctuation. Un chanteur peut également être relié pour assurer la justesse de sa prestation (… et certains programmes très sophistiqués corrigent aussi en live la hauteur de la voix). — Hautbois [canqueter] 26 juin 2015 à 00:48 (CEST)[répondre]
J'ai eu l'occasion un jour de voir la table de mixage utilisée par Michel Sardou pour son oreillette, elle est impressionnante ! En effet, il réclame certains ajustements spécifiques, comme par exemple mettre le piano plus fort, les choristes moins forts... que dans les enceintes pour le public. Les progrès technologiques ont un coût, alors oui, les musiciens rêvent tous de transmetteurs sans fil pour leur guitare électrique et d'oreillette sans fil pour leur retour, comme ça ils ont une liberté totale de déplacement sur scène, mais ce n'est pas toujours possible. Alors on câble. PS : les enceinte de retour n'ont pas la même forme que les enceintes de diffusion. Bertrouf 26 juin 2015 à 08:46 (CEST)[répondre]
Souvenirs, souvenirs... Où est le bon vieux temps où les chanteurs, tels Gilbert Bécaud ou Gilles Vigneault (me semble-t-il) ou Môrice Bénin, se fabriquaient un retour voix express en plaçant leur main en conque entre bouche et oreille ? >O~M~H< 26 juin 2015 à 14:53 (CEST)[répondre]
Certe, mais ça m'étonnerait que John Bonham et Art Blakey utilisaient un ordi portable... --Serged/ 26 juin 2015 à 08:56 (CEST)[répondre]

Filière du réacteur EL3 modifier

Bonjour chèr(e)s Pythies, dans quelle filière de réacteur à eau lourde classez vous le réacteur EL3 ?

Je me pose la même question pour le réacteur nucléaire d'Arak. Merci pour vos lumières, --Déminheure (discuter) 25 juin 2015 à 23:35 (CEST)[répondre]

EL3 est une pile piscine vu la photo. Plus qu'à créer l'article... Le réacteur d'Arak est à l'eau lourde, apparemment dérivé du modèle RBMK. Cordialement, Biem (discuter) 26 juin 2015 à 14:07 (CEST)[répondre]
Merci! Pour créer l'article pile-piscine, je vais y réfléchir. Bizarre quand même un réacteur à eau lourde dérivé du modèle au graphite RBMK... existe-t-il des sources à ce sujet? cordialement, --Déminheure (discuter) 26 juin 2015 à 15:26 (CEST)[répondre]
Pas trouvé de références publiques, désolée. L'AIEA doit avoir plus d'informations, mais elles ne sont pas publiquement accessibles. Les seules références (facilement accessibles par une recherche sur le net) sont celles qui disent que le réacteur aurait été aidé par les russes d'après le modèle RBMK, et que l'élément combustible du réacteur ressemble effectivement beaucoup à ceux des RBMK. Techniquement ce n'est pas délirant, juste imprécis : à quel point un réacteur inspiré des RBMK mais à l'eau lourde s'éloigne-t-il du design initial, et en quoi ? Va savoir... L'eau lourde aussi bien que le graphite servent de modérateur, donc il va être sur-modéré (ce qui est un plus pour la stabilité) et accepter d'autant plus volontiers de l'uranium naturel. Après, dans le détail, il faut avoir les caractéristiques du réacteur, et elles ne sont pas publiques. Cordialement, Biem (discuter) 26 juin 2015 à 19:18 (CEST)[répondre]

Commissions parlementaires permanentes en France modifier

Bonjour Oracle.

La récente démission du député français Philippe Noguès, à la fois du Parti socialiste et du groupe parlementaire Socialiste, républicain et citoyen (SRC) à l'Assemblée nationale, met en lumière un détail qu'il ne serait pas inutile d'éclaircir.

Dans un entretien accordé par Philippe Noguès à Emmanuel Berretta, après l'annonce publique de cette double démission, et publié sur le site Lepoint.fr, Philippe Noguès indique que son passage en cours de mandat (en septembre 2014) de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire à celle de la Défense nationale et des Forces armées, aurait été décidé par Bruno Le Roux, président du groupe SRC.

Je trouve a priori un peu curieux que cette répartition des députés entre commissions parlementaires permanentes puisse être du ressort exclusif d'un président de groupe politique, même si je ne méconnais pas le fait que lesdites commissions permanentes sont justement « composées en proportion de l’importance numérique des groupes », comme le dit le site de l'Assemblée nationale, ce qui pourrait alors légitimer la compétence des présidents de groupes politiques en matière de composition des commissions permanentes.

J'aurais donc aimé — j'ai pourtant cherché, mais pas suffisamment longtemps — retrouver, pour ma simple gouverne personnelle, le texte législatif ou réglementaire qui légitimerait le propos de Philippe Noguès sur son basculement autoritaire et non sollicité de commission permanente. L'Oracle ou un(e) de ses assistant(e)s pourrait-il(elle) m'apporter une réponse en cxe sens ? — Hégésippe (discuter) [opérateur] 26 juin 2015 à 09:33 (CEST)[répondre]

Salut Hégésippe, la réponse gît dans le Règlement de l'Assemblée nationale, article 37 , alinéa 1, on lit : « Les membres des commissions permanentes sont nommés [...] suivant la procédure fixée à l’article 25 »; article 25, alinéa 1, on lit : « Lorsque le texte constitutif impose la nomination à la représentation proportionnelle des groupes, le Président de l’Assemblée fixe le délai dans lequel les présidents des groupes doivent lui faire connaître les noms des candidats qu’ils proposent » (souligné par moi). Bref, Noguès l'indépendant semble découvrir ce que savait probablement Noguès l'encarté. >O~M~H< 26 juin 2015 à 12:03 (CEST)[répondre]
Merci Olivier Hammam : lien externe intéressant vers ce document PDF, même si on peut regretter que l'Assemblée nationale mêle dans un seul et copieux document des textes de nature assez différente dans leur forme et dans leur objet. — Hégésippe (discuter) [opérateur] 26 juin 2015 à 12:30 (CEST)[répondre]