Wikipédia:Oracle/semaine 44 2014

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Perception du bruit... modifier

 
Propagation d'ondes sphériques de pression dans un fluide

Bonjour à tous.

La lecture de l'article relatif à l'explosion du volcan Krakatoa en 1883 m'apprend que le bruit de l'explosion a été entendu à une distance de 4800 km. Cela me sidère. C'est comme si les Parisiens entendaient un bruit émis au Québec.

Dés lors, je me demandais s'il existait une formule simple permettant de calculer la décroissance du bruit dans l'air en fonction de la distance. Par exemple, 100 db représentent combien de db à 100 m, 1 km, 10 km....

J'ai bien sûr consulté l'article relatif aux mesures sonores, mais étant nul en maths, je ne comprends rien à toutes les formules qui s'y trouvent. Si quelqu'un connaît une réponse simple à ma question, je lui en serais très reconnaissant. --Lupercus (discuter) 27 octobre 2014 à 17:18 (CET)[répondre]

Et alors ? Un jour un militaire en balade là-bas a lâché un bruit incongru, je sais pas si les québecois en sont devenus sourds, mais ici ça a fait du bruit! 88.165.212.52 (discuter) 31 octobre 2014 à 10:53 (CET)[répondre]
Salut. Je ne comprends pas grand chose à tout ça, mais du moins les notions de puissance acoustique et d'intensité acoustique (ah zut ! Le premier renvoie au second) semblent une bonne piste pour déterminer la chose. À voir aussi, semble-t-il, la notion de pression acoustique. >O~M~H< 27 octobre 2014 à 17:51 (CET)[répondre]
… en théorie acoustique très très simplifiée, on dit en schématisant au maximum que le niveau sonore est diminué de +/- 5 dB pour chaque doublement de distance (bien évidemment, il faudrait tenir compte des facteurs influençant la propagation d'un son : température, degré hygrométrie, pression atmosphérique, vent… mais supposons que les conditions soient optimales).
La perception humaine minimum d'un son est autour de 5 décibels pour une « bonne oreille ».
Si à 4800 km tu perçois ces 5 décibels, à 2400 km ce sera autour de 10 dB…
1200 km ->15 dB, 600 -> 20, 300 -> 25, 150 -> 30, 75 -> 35, 36 ->40 (j'ai arrondi),
18 km -> 45 dB, 9 -> 50, 4 ->55, 2 ->60, 1km -> 65dB …
à 500 m -> 70, 250 -> 75, 125 -> 80, 125 -> 85, 60 -> 90, 30 -> 95,
15 m -> 100 dB … 7 -> 105, 4 -> 110, 2 -> 115, à 1m (et à la louche) -> 120 dB
… bon, ça, c'est dans un monde de Bisounours et le niveau sonore est calculée en utilisant un système logarithmique
R = 20 Log D (R en dB, D en mètres).
Puis il y a l’intensité acoustique, la puissance transportée par l'onde par unité de surface, calculée en watt par mètre carré (W/m²) dépendant de l'énergie d'origine et d'un certain Pascal, qui dans le cas de l'explosion d'un volcan doit être énorme… mais là, c'est en dehors de mon domaine. — Hautbois [canqueter] 27 octobre 2014 à 18:15 (CET)[répondre]

Merci pour ces réponses. La petite formule donnée par Hautbois permet une bonne approximation. Adaptée au cas présent, ça fait une différence de 134 db entre la source et la réception. J'imagine que c'est le bruit le plus fort qu'il y ait jamais eu sur Terre. Encore merci. --Lupercus (discuter) 28 octobre 2014 à 11:58 (CET)[répondre]

… et pour être complémentaire, «  à titre d’exemple, un niveau sonore très élevé de 134 décibels correspond à une pression acoustique de 100 Pascals, soit un millième de la pression atmosphérique » (lire là, mais je ne comprends pas toujours ce que je copie/colle   ) — Hautbois [canqueter] 28 octobre 2014 à 12:52 (CET)[répondre]
À mon avis, tu sous-estimes d'autres événements, Lupercus. Par exemple, la météorite à l'origine du cratère de Chicxulub (et, pense-t-on, de la disparition des dinosaures) a du faire pas mal plus de bruit... >O~M~H< 29 octobre 2014 à 07:59 (CET)[répondre]
… ah mais notre article Éruption du Krakatoa en 1883 précise : « À 10 heures 02 minutes, le 27 août, survient enfin une explosion effroyable ; le bruit le plus fort entendu par des oreilles humaines… » (àmha, pour « les oreilles humaines », ceux qui étaient à côté et qui ne sont pas morts, au minimum, ils sont devenus sourds). Bon, c'est vrai que pour la météorite, on n'était pas encore là.  Hautbois [canqueter] 29 octobre 2014 à 08:58 (CET)[répondre]
Intéressant. J'abonde pour les oreilles humaines proches, à mon avis ce fut le dernier son qu'elles entendirent   Sinon, il y a aussi l'éruption minoenne qui fut aussi ou plus importante, m'est avis que le bruit fut du du même niveau, et il y avait des oreilles humaines à l'écoute... La phrase correcte serait plutôt « le bruit le plus fort entendu par des oreilles humaines à époque historique ». >O~M~H< 29 octobre 2014 à 09:42 (CET)[répondre]

J'ai lu quelque part (mais je ne retrouve plus la source) qu'un petit bateau de pêche se trouvait à 15 km de l'explosion, et que les marins ont tous eu les tympans percés. --Lupercus (discuter) 30 octobre 2014 à 01:04 (CET)[répondre]

Tu trouveras sur cette page qui m'a l'air sérieuse et documentée des informations intéressantes sur l'éruption du Krakatoa, notamment qu'on a enregistré à 160 km de la catastrophe un niveau sonore de 172 dB ; étant indiqué que le maximum possible est de 195 dB (il y a une explication sur cette limite), l'explosion a du en être très près, voire l'excéder. Il y a aussi une anecdote à propos de marins ayant eu les tympans crevés par l'onde de choc à 65 km du sinistre. >O~M~H< 30 octobre 2014 à 02:26 (CET)[répondre]
… bah sans chercher aussi grand qu'un volcan, parlons de la crevette pistolet (lire plutôt en:Alpheidae) : d'un claquement de doigts pince de moins d'une milliseconde, elle crée une bulle d'air qui, en implosant, atteint une vitesses de 97 km/h et libère un son atteignant… 218 décibels (190 dB re 1 μPa à une distance d'un m), pression assez forte pour tuer des petits poissons… qu'elle s'empresse de bouffer. Pas belle la vie ? Comparativement à un "grooooos" volcan… Dans les groooos animaux, il y a aussi le grand cachalot (lire plus précisément Grand cachalot#Prospection) qui, avec son museau de singe, produit des sons de… 230 dB pour assommer des calmars colossaux… et les bouffer ! — Hautbois [canqueter] 30 octobre 2014 à 04:19 (CET)[répondre]

Oui, mais il faut relativiser. On n'a jamais entendu une crevette à 4800 km   --Lupercus (discuter) 30 octobre 2014 à 15:40 (CET)[répondre]

… oooooooh mais tu oublies qu'« Un simple battement d'ailes de papillon peut déclencher une tornade à l'autre bout du monde  » !  Hautbois [canqueter] 31 octobre 2014 à 13:29 (CET)[répondre]
La décroissance du son dans l'air varie selon les circonstances. Il y a plusieurs causes en jeu. Dans un modèle sans pertes dues à la viscosité (sur les surfaces denses), aux échanges thermiques (rapport distance/longueur d'ondes raisonnable), aux changements d'états (brouillards), la décroissance est forte à distance courte, l'énergie se répartissant sur une surface croissant comme le carré de la distance), mais les choses sont bien plus compliquées quand on atteint des distances comparables à l'épaisseur de l'atmosphère, et qu'on s'intéresse à une onde de choc. La vitesse du son n'est pas rigoureusement constante selon la longueur d'onde (amortissement différent), selon l'altitude (température), et les longueurs d'ondes à considérer dépendent de la pression initiale, mais aussi de la durée de l'explosion. Un pétard qui ne libère que quelques centimètres cubes de gaz à haute pression donne un son "sec", mais le lâcher d'une bulle de vapeur de quelques dizaines de kilomètres-cubes donne un son plus lourd, et une énergie infiniment plus grande, même si la pression n'est pas forcément plus élevée. Il est hasardeux de raisonner en terme de pression initiale sur des échelles de distance comparables à la taille de l'explosion initiale, elle même comparable à l'épaisseur de l'atmosphère utile (sous la tropopause, vers dix kilomètres de hauteur au dessus du volcan), celle qui transmet l'énergie susceptible d'atteindre une oreille humaine). Donc la réponse à la question est oui (donnée par Hautbois) pour la propagation dans un milieu tridimensionnel, mais non (ne s'applique guère à l'explosion du Krakatoa). Je n'ai malheureusement pas de réponse positive en remplacement. 88.165.212.52 (discuter) 31 octobre 2014 à 10:53 (CET)[répondre]

En réfléchissant à tout ceci, je me posais une autre question : si l'on produit une vibration de l'air dans l'infra-son ou dans l'ultra-son, aussi importante que celle générée par l'explosion dont nous parlons, aurions nous également les tympans percés à proximité de cette source qui, pour nous, serait silencieuse ? --Lupercus (discuter) 31 octobre 2014 à 16:00 (CET)[répondre]

La réponse est oui, c'est ce que rapporte la page que j'ai mise en lien : les marins à 65 km ont eu les tympans crevés par l'onde de choc alors que l'onde sonore avait une fréquence inférieure à la capacité perceptive des oreilles humaines. C'est logique, ce qui crève les tympans n'est pas la fréquence mais la puissance du son. >O~M~H< 31 octobre 2014 à 19:58 (CET)[répondre]
 
Représentation artistique des arts...

Bonjour, Cette question va vous paraître peut-être idiote mais, à quoi sert l'art, j'ai beau retourner la question dans tous les sens, je ne trouve pas de réponses...

Merci d'avance.

--Souricette-du-13 (discuter) 27 octobre 2014 à 21:21 (CET)[répondre]

Bonsoir [1]donne quelques pistes...Bonne disserte ! Enfin on espère que la copie n'était pas à rendre hier... Bb98 (discuter) 27 octobre 2014 à 23:11 (CET)[répondre]
Salut Souricette. La question est plus large : à quoi sert quoi que ce soit ? À rien. Ou à l'inverse, tout sert. Pour l'art, qui, je suppose, désigne principalement pour toi les arts plastiques et j'imagine d'autres arts de divertissement comme la chanson ou la littérature de fiction, la question commence à se poser récemment, somme toute, ce n'est que vers le XVIe ou XVIIe siècle que ces arts commencent à prendre une certaine autonomie, avant ça les arts plastiques, moindrement mais majoritairement tout de même la chanson et la littérature ou les arts de la scène, sont généralement « utilitaires » : fonction pédagogique ou informative, glorification du commanditaire, trace mémorable d'un événement socialement important, édification du peuple, etc.
En même temps que l'autonomie de l'être humain comme individu se développe, les arts commencent à se dégager de leur tendance principale à l'utilité sociale immédiate. Ce n'est cependant qu'au XIXe siècle qu'un art vraiment « inutile » apparaît, en même temps que se développent des doctrines de « l'Art pour l'Art », une notion inventée par Théophile Gautier et qui fut notamment mise en avant par le mouvement parnassien. Cependant les arts plastiques restent largement tributaires de la commande et d'une certaine « utilité » jusqu'à la fin de ce siècle, et ce n'est véritablement qu'au début du XXe siècle que des formes « inutiles » (non figuratives) se développent pleinement.
Sans dire qu'il fut le seul à pousser la logique à fond, on peut cependant dater le moment de l'« inutilité » radicale des arts plastiques avec l'invention par Marcel Duchamp du ready-made : non seulement ils se libèrent d'une utilité immédiate mais désormais ils se libèrent de la technique, plus besoin de savoir dessiner, peindre ou sculpter, on peut saisir un segment ou un élément de la réalité (une roue de bicyclette, un urinoir, un pan de mur, un tas de sable, un amas de cordes...) et l'exposer en tant qu'objet d'art. Pour des raisons bassement matérielles (coûts de production) les arts de la scène mettront plus de temps à atteindre une telle autonomie, la danse exceptée peut-être, ce n'est qu'après la seconde guerre mondiale qu'un véritable « théâtre pour le théâtre » se développera, jusqu'à des expériences « non figuratives » comme certaines de celles du Living Theatre.
Cela posé, on peut cependant dire qu'aussi « inutile » paraisse-t-il, l'art est toujours utile. Il l'est comme objet de commerce, comme symptôme de l'époque, comme élément perturbateur, donc incitation à s'interroger sur la société, etc. Pour dire les choses, contrairement à ce que l'utilitarisme ou le conséquentialisme de notre époque matérialiste suppose, toute activité sociale a une utilité ou donc, aucune n'en a. Disons qu'il n'y a pas de critère définitif pour déterminer ce qui est utile et ce qui ne l'est pas, dès lors qu'un individu, une institution considère que l'idée apparemment la plus inutile ou la moins signifiante a une valeur, et que cette valeur se rémunère de quelque manière (argent, reconnaissance sociale...), elle est « utile ». >O~M~H< 28 octobre 2014 à 07:38 (CET)[répondre]
L’art est très utile, à partir du moment où on remplace ce mot vague par ce qu’il est exactement : arts ménagers, quincaillerie, habitat, religion, publicité, promotion, propagande, économie, spéculation, et des tas d’autres mots et leurs diverses combinaisons. --Morburre (discuter) 28 octobre 2014 à 09:21 (CET) (… sans oublier « L'art de tuer le cochon »… pour savoir si c'en est. — Hautbois [canqueter] ) Et comme le demandait un certain artiste, « C'est-y de l'amour, de l'art ou du cochon ? ». >O~M~H< 28 octobre 2014 à 11:13 (CET)[répondre]
L'art permet de rédiger des articles pluriels tels que les arts et la classification des arts + les articles connexes, qu'il faut lire, si ensuite vous séchez suivez les conseils de Bb98 ci-avant.--Doalex (discuter) 28 octobre 2014 à 10:53 (CET)[répondre]
Petite appréciation personnelle qui n'engage que moi : l'art ne sert à rien. Se promener ne sert à rien. Jouer au tennis ne sert à rien. Vivre ne sert à rien. Mais tant qu'à faire, puisqu'on est là, autant en profiter et se donner les moyens d'une petite vie rendue agréable par tout ce qui ne sert à rien. --Lupercus (discuter) 28 octobre 2014 à 12:04 (CET)[répondre]
L'Art vous envoie dans un monde artificiel, ou beau, ou troublant, intéressant, incitant, ou mélancholique, ou n'importe quel sentiment, qu'il évoque ou renforce. L'artiste autant que le spectateur, l'auditeur. Images, musique, theatre, ("faire comme si"), langue, poesie, couleurs, .. à chaqu'un le sien. Comme ça, elle sert comme aire de repos, une oase un rideau envers le monde quotidien habituel, normal, envers les besoins, les troubles, les données réales, vrais réaux, le cercle vicieux du tohubowahobu de la mâchinerie. --217.84.91.30 (discuter) 29 octobre 2014 à 00:40 (CET) Aussi l'origine des arts, les premières flûtes en os, les danses et chants autour du feu de camp, les scènes de chasse peintes sur les murs des caves, les ornements des armes en bois ou en pierre, les premiers boucles d'oreilles de coquilles, les tattoues, peuvent donner une impression de quoi c'était "intendu a servir pour", l'art. - peut-être sont mêmes les apparences irrisantes p.ex. des oiseaux de paradis ou les brilliantes couleurs de fourrures une forme d'art naturelle, détachée au delà d'art faite humaine? - Pour ne pas s'en débrouiller de cettes sortes de choses, on les laisse à la discipline en titre, l'esthétique. :o]) --217.84.91.30 (discuter) 29 octobre 2014 à 01:12 (CET)[répondre]
L'Art ? Ça n'existe pas ! D'ailleurs quel pays pourrait-il se targuer d'avoir un ministre de l'Art ?  
Des ministres de la Culture, il y en a eu parfois - mais jamais en Belgique.
Faut vous dire, Madame, « Que chez ces gens-là », on ne vit pas, Madame, « On ne vit pas on triche »… dans ce plat pays qui est le mien.
Les artistes ? « Rêver un impossible rêve, Porter le chagrin des départs, Brûler d'une possible fièvre, Partir où personne ne part, Aimer jusqu'à la déchirure, Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D'atteindre l'inaccessible étoile, Telle est [leur] quête »…
Mais certains « sont arrivés et c'est à coups de bâtons Que la raison d'État a chassé la raison ».
« Salut à toi, Dame Bêtise Mais dis-le moi: "Comment fais-tu Pour avoir tant d'amants, Et tant de fiancés, Tant de représentants Et tant de prisonniers Pour tisser de tes mains Tant de malentendus Et faire croire au crétin Que nous sommes vaincus ? »
Pourvu que nous vienne un homme Avant que les autres hommes Qui vivent dans la cité Humiliés l'espoir meurtri Et lourds de leur colère froide Ne dressent au creux des nuits De nouvelles barricades »...
Bien à vous, Égoïté (discuter) 30 octobre 2014 à 07:09 (CET)[répondre]
Bonjour. Juste un mot à Olivier pour lui dire qu’il insinue et colporte dans son dernier paragraphe une version dévoyée et bêtement obtuse de l’utilitarisme qui n’existe que dans l’esprit de ses détracteurs. Selon l’utilitarisme, est utile tout ce qui contribue à augmenter le bien-être global. Si vous avez plaisir à regarder une œuvre d’art, elle augmente votre bien-être et est donc utile. C’est aussi simple que ça. Et bien sûr, une œuvre déplaisante au regard peut dans certains cas également s’avérer utile, de manière indirecte, par exemple en engendrant une réflexion ayant des effets positifs, c’est-à-dire contribuant à un bien-être, que ce soit celui du spectateur ou celui d’autrui. Grasyop 31 octobre 2014 à 22:45 (CET)[répondre]
En fait non, je n'insinue rien de tel mais bon, ce n'est pas grave, vois les choses à ton aune... >O~M~H< 1 novembre 2014 à 19:29 (CET)[répondre]
Tu ne sous-entends pas que l’utilitarisme n’accorde aucune utilité à l’art ? Dans ce cas, je ne comprends pas ce que tu as voulu dire en écrivant que  : « contrairement à ce que l'utilitarisme ou le conséquentialisme de notre époque matérialiste suppose, toute activité sociale a une utilité ou donc, aucune n'en a ».
(Formellement, c’est vrai : un utilitariste ne considèrera certainement pas toute activité sociale comme utile. Par exemple des activités criminelles, ou alors, pour rester dans le légal et non-directement-violent, l’industrie du tabac, font certainement plus de mal que de bien. Mais en ce qui concerne l’art, un utilitariste n’a aucune raison de ne pas reconnaître son utilité.) Grasyop 1 novembre 2014 à 21:41 (CET)[répondre]
L'art permet d'imaginer qu'il y a autre chose, que le monde peut être autrement, que la réalité, nos vies, peuvent être différentes. C'est pour ça que les systèmes politiques pas sympa n'aiment pas les artistes : ils ne veulent pas que le peuple puisse imaginer qu'il existe autre chose que ce qu'on lui donne.--Soboky [me répondre] 4 novembre 2014 à 19:29 (CET)[répondre]
La criminalité est "utile" en tant qu'elle donne signe qu'il-y-a qc. qui ne va pas comme serait désirable dans la societé, dans la politique, dans léducation. Depuis Sim-City, il faut alors construire ou un poste de police, ou repondre aux manque qui séxprime dans cette crimialité en produisant p.ex. plus de nourriture, donner du travail aux gens, des écoles aux jeunes. --217.84.67.132 (discuter) 4 novembre 2014 à 19:51 (CET)[répondre]
Logique Shadok ?
C’est le propre de la jeunesse, plus précisément d’une jeunesse dorée, de tester la société pour en détecter des failles et de se réjouir d’en avoir trouvé une. Quand on se rend compte qu’il y en a partout, on cesse de les chercher et on se demande plutôt comment les réparer. Grasyop 5 novembre 2014 à 12:31 (CET)[répondre]

Manifestation de Creys-Malville en 1977 modifier

Bonjour chèr Oracle, le 17e régiment du génie aéroporté (RGAP) est-il intervenu lors de la Manifestation à Creys-Malville en 1977 ? Merci par avance, --88.160.13.244 (discuter) 28 octobre 2014 à 15:59 (CET)[répondre]

Pour information, ces recherches,
Renvoient vers une et une seule page, celle-ci. Ce qui fait douter de la présence de ce régiment à la manif. >O~M~H< 29 octobre 2014 à 07:46 (CET)[répondre]
On peut citer cet extrait de l'article concernant les moyens mis en place par le préfet « Le préfet René Jannin a déployé des moyens importants : 5 000 CRS gendarmes et gardes mobiles, hélicoptères, véhicules amphibies, ponts mobiles, un régiment de gendarmes parachutistes et des membres des brigades anti-émeutes. » ce qui vient recouper à peu près un lien externe figurant dans l'article, cependant en lisant attentivement ce lien externe on a des détails étranges comme: « Des policiers ? Rien ne permet de le savoir, leur uniforme entièrement noir ne porte aucun insigne. L’un d’entre eux, le responsable apparent du groupe, se détache. Salut les Bretons ! Dans une ambiance plus détendue il explique qu’il fait partie du groupement des gendarmes parachutistes de Mont-de-Marsan. », en cherchant un peu on retrouve effectivement cette unité (EPGM) dans un article ici Escadron parachutiste d'intervention de la Gendarmerie nationale#Histoire où l'on apprend que la seule intervention citée en métropole est à Plogoff, effectivement le doute est permis quant à l'identité de l'unité présente à la Manifestation à Creys-Malville en 1977 et si la réponse reste absente, la question est, j'espère, plus documentée. --Doalex (discuter) 29 octobre 2014 à 10:30 (CET)[répondre]
la question m'est venue suite à cette contribution étonnante sur wikipédia par l'utilisateur 17RGAP qui semble être un ancien combattant qui a vécu la manifestation du côté des forces de l'ordre. Et son pseudo me fait croire que le 17RGAP a participé à la répression de la manifestation. Mais j'imagine que ce gendre d'information était classé confidentiel à l'époque. est-ce encore confidentiel aujourd'hui ?--88.160.13.244 (discuter) 29 octobre 2014 à 13:02 (CET)_Oui en effet c'est étonnant j'avais lu l'article sans jeter un coup d'œil sur les modifications récentes dans l'historique hier 28 octobre 2014 à partir de 11:34. --Doalex (discuter) 29 octobre 2014 à 17:34 (CET)[répondre]
Peut-être un ancien para reconverti dans le maintien de l'ordre, comme dans la chanson de Maxime Leforestier : « Mais si t'es vraiment trop gêné d'être payé à ne rien faire, tu peux toujours te recycler chez tes p'tits frères... j'crois qu'on engage dans la police, parachutiste ! »   Kartouche (Ma PdD) 29 octobre 2014 à 16:32 (CET)[répondre]
Le frère de Vital Michalon a vu tourner l'hélico blanc du préfet [Libé] Léah Le dernier salon où l'on cause 3 novembre 2014 à 19:42 (CET)[répondre]

Éventuelle statue du monolithe Mussolini modifier

 
Un monument ithyphallique ?

Bonjour,

Le « monolithe Mussolini » de Rome n’aurait-il pas dû être surmonté d’une statue représentant... Mussolini.

C’est ce que j’ai bien dû lire quelque part, mais l’article Monolithe Mussolini ne dit rien là-dessus.

Et si une statue a bel et bien été projetée, sait-on dans quelle tenue devait être représenté le Duce ?

Merci d’avance pour les sources qui pourront être fournies. Alphabeta (discuter) 28 octobre 2014 à 18:15 (CET)[répondre]

En toute hypothèse ça ne faisait pas partie du projet. Une recherche sur les mots « statue mussolini » et « statua mussolini » amène à ce constat étonnant : il semble qu'il n'y en eut pas. Idem pour « statue hitler ». Selon toute apparence, contrairement à Staline, Mao ou Saddam Hussein par exemple, ces deux figures de dictateurs n'ont pas appuyé leur culte de la personnalité par l'érection de statues à leur effigie. >O~M~H< 28 octobre 2014 à 20:55 (CET)[répondre]
(Une statue equestre de Mussolini est signalée à Tripoli (Libye) : commons:File:Bundesarchiv Bild 183-B11231, Nordafrika, Truppenparade in Tripolis.jpg. Alphabeta (discuter) 29 octobre 2014 à 13:40 (CET))[répondre]
À propos de Mussolini et de la Libye : w:it:Spada dell'Islam reste à traduire. Alphabeta (discuter) 30 octobre 2014 à 18:52 (CET)[répondre]
En fait de statue j’ai toujours trouvé ça  : http:// dormirajamais.org/fascisme-2/ (NB : j’ai dû placer une espace après http:// car le logiciel refuse la mention d’un lien vers cettte page !) « Le fascisme entre chien et loup (2) », par Olivier Favier : « Ce nom de Foro Italico -et non Italiano- est d’ailleurs un remaniement modeste du toponyme original, Foro Mussolini, dont la réalisation s’est étalée de 1927 à 1933, sous la direction d’Enrico del Debbio, l’un des meilleurs architectes du régime. Ce dernier avait projeté d’ériger une « statue du fascisme », haute d’une centaine de mètres, socle compris, qui aurait fait « pâlir le souvenir du légendaire Colosse de Rhodes ». Elle aurait dû dominer une place de cent-vingt mille mètres carrés, capable de contenir trois-cent mille personnes: le nouveau cœur de la propagande fasciste, dans une ville qui comptait alors un million cent-cinquante mille habitants. La guerre mit fin à ces projets comme à ceux du quartier de l’EUR au sud. » Alphabeta (discuter) 29 octobre 2014 à 13:06 (CET)[répondre]
Au passage : il existe déjà un article w:it:Enrico Del Debbio (1891-1973) : l’article Enrico Del Debbio (lien rouge pour l’heure) reste à créer. Alphabeta (discuter) 29 octobre 2014 à 13:22 (CET)[répondre]
Et André Del Debbio (1908-2010) est-il parent avec Enrico ? Alphabeta (discuter) 30 octobre 2014 à 12:39 (CET)[répondre]
Selon cette page qui lui est consacrée, c'est son cousin. >O~M~H< 30 octobre 2014 à 18:00 (CET)[répondre]
Merci. Alphabeta (discuter) 30 octobre 2014 à 18:36 (CET)[répondre]

abréviations courantes modifier

Bonjour pourquoi l'hébrau et l' arabe sont la forme attenuée du couchitique ou de la semitique, enfin je crois??? Zulgor324 (discuter) 29 octobre 2014 à 07:50 (CET)[répondre]

… déjà, lire ou relire langues couchitiques et langues sémitiques qui sont des famille de langues toutes deux branches des langues chamito-sémitiques. Lire aussi les articles hébreu et arabe. — Hautbois [canqueter] 29 octobre 2014 à 08:25 (CET)[répondre]
 
Suggestion pour une police sans-serif de bon goût... Avec un petit coup de WordArt par dessus…

Bonjour,

Je sais qu'il faut prioriser le contenu, mais dans le cadre d'une postulation à un emploi par courriel, faut-il mieux employer une police avec ou sans Serif (note: il ne s'agit pas de discuter de la possibilité effective d'inclure une font au texte d'un courriel).
Dans le cadre de la fonte avec empattement, il s'agirait d'utiliser Exchange SSm 4 disponible via typekit et visible dans n'importe quelle article de Wired. 2A02:8420:508D:CC00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 30 octobre 2014 à 23:40 (CET)[répondre]

Salut 2A02:8420:508D:CC00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d · c · b), la lecture de ton courriel ne dépend pas de ce que tu veux mais de ce que la machine de ton correspondant peut. Pour moi les pages de Wired affichent une très jolie (à mon goût) police Book Antiqua, qui est la police serif par défaut de mon navigateur. Exchange SSm 4r étant une police assez rare, a peu de chances d'être installée sur l'ordinateur de ton destinataire ; les utilisateurs d'ordinateurs songeant rarement à profiter de l'opportunité de choisir une police par défaut de leur choix, afficheront probablement celle par défaut ; conclusion, il y a une chance importante que ton courriel serif s'affiche en Times New roman ou en Helvetica, ou quelque chose d'assez similaire. Et en sans-serif, ça sera Arial, ou équivalent sur machine Apple. La question sera plutôt, de ce fait : vaut-il mieux un courriel en Times New Roman ou en Arial ? Personnellement, je préfère Arial, mais ça ne dit rien des préférences de ton destinataire. Deuxième conclusion : entre Arial et Times, choisis celle qui a ta préférence, et ne t'inquiète pas trop de la préférence de ton correspondant.
J'ai bien noté ta mention en petit « il ne s'agit pas de discuter de la possibilité effective d'inclure une font au texte d'un courriel » mais en fait il s'agit bien de ça : certains serveurs de courriel sécurisés refuseront un message qui intègre la police à afficher, parce que ça se fait par script et que ce genre de serveur refuse l'exécution de scripts. >O~M~H< 31 octobre 2014 à 01:01 (CET)[répondre]
En complément. En revanche, tu peux jouer sur la taille de la police, si tu envoies ton courriel au format HTML, si du moins, là encore, le serveur de ton destinataire ne convertit pas automatiquement, par sécurité, les messages HTML en texte brut. >O~M~H< 31 octobre 2014 à 01:17 (CET)[répondre]
Pour postuler par courriel : Choisir le mode "texte brut". Pas de fioriture, ça fait plus sérieux. Par contre pour ton CV (forcément dans un format "texte enrichi"), tu peux y aller: On préconise "Serif" pour l'impression, et "sans Sérif" pour la lecture à l'écran. La règle d'or est aussi de ne pas multiplier les fontes. Une fonte pour le texte normal, une fonte pour les titres, ça suffit largement. Éviter également la couleur : Ton CV sera probablement imprimé sur une imprimante monochrome et sur-photocopié : Le rendu de la couleur est aléatoire.
Pour un emploi dans l'informatique : CV au format PDF.
Hors informatique : CV au format PDF ou .doc (Word 2003). Éviter le .docx de Word 2007 et suivant et le .odt de LibreOffice.
--Serged/ 31 octobre 2014 à 09:32 (CET)[répondre]
Je dirais : cv au format pdf partout où l’utilisation d’un ordinateur fait partie des compétences utiles. rv 31 octobre 2014 à 13:01 (CET)
Alors, J'ai déjà dis : Ne pas discuter de la possibilité d'inclure la police dans le courriel s'il vous plait. Il est parfaitement possible d'inclure une police en dans un courriel écrit en HTML. Bien sûr la méthode officiel @font-face n'a que 20% de support, mais les courriels on toujours supporté une autre méthode bien avant l'apparition de @font-face (via un un header smtp : je l'utilisait depuis 2004). A cela s'ajoute le traditionnel <link rel=...> ainsi que le plus moderne @import en CSS : Je suis donc certain c'est la font que j'ai choisi qui va s'afficher dans le quasi totalité des cas en combinant les méthodes en fall-back (Je l'ai testé, y compris sur googlemail et Outlook365: il faut un TTF installable).
On me répètera encore une fois que ajouter un ttf, c'est cramer le "Data Plan" de celui qui recevra le message sur son téléphone. Sauf que je n'écrit pas en asiatique pas plus que je vais écrire [censuré pour raisons de sécurité]. et que ce n'est pas un web sanitizer qui m'empêcherait de le faire si je le voulais. Comme vous pouvez le voir la page ce charge toujours... Sachant que je n'utilise pas les 42 graphème de la langue française et que les lettres sont moins consommatrice à dessiner, j'aurais besoin du ¼ du nombre de Ko utilisé ici.
  Olivier Hammam : Effectivement, je reconnais que ton cas est à part. Si tu n'arrive à visualiser la fonte qui est exclusivement utilisé sur les articles de Wired, il y a deux possibilité : soit tu arrive a visualiser les symboles si dessus, soit tu y arrive. Dans le premier cas tu fais parti des 8% des gens qui n'utilise pas un navigateur compatible, et qui 'effectivement' ne lirait pas mes mails. Dans le second cas tu utilise probablement Internet Explorer.
  Serged : Oui mais certain disent que le Serif est plus facile lire. J'ai vu un autre avis (un seul) qui disait que l'utilisation du sans Serif n'avait de sans que lorsque que les tubes cathodiques envahissaient les bureaux (J'aurais aimer avoir plus de détail sur les raisons du pourquoi, du cout je ne sais pas si je dois le croire) et fournissait la résolution (on utilise actuellement VESA) VGA:1024*768*32-50iHz. En tout les cas le message sera pour sûr afficher sous forme électronique uniquement.
@2A02:8420:508D:CC00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d · c · b) : si tu poses des questions pour ne pas accepter les réponses données, pas la peine de les poser. Pour le navigateur, c'est le second le plus utilisé, et censément le plus conforme aux normes W3C, Firefox, et en effet ce que tu as inclus ici et qui forme un énorme pâté inutile apparaît chez moi comme une suite de signes insolites qui ont tous la même tête. Comme je le disais, et comme tu le dis plus ou moins toi-même, il n'y a pas de règle sur la bonne police, donc il n'y a pas de réponse unique et définitive à ta question. C'est ainsi. Je te renouvelle donc ma suggestion, choisis la police qui te convient en sachant qu'il y a en gros une chance sur trois que ce ne soit pas celle qu'apprécie ton destinataire et une chance sur trois qu'il en voie une autre que celle choisie. >O~M~H< 31 octobre 2014 à 19:09 (CET)[répondre]
Ce genre de problème ne me concerne plus guère, et je ne vois pas trop l'intérêt de la chose. Pourtant, je me permets une suggestion : malgré les formidables progrès de la bureautique, visiblement, vos outils ont un peu de mal à corriger les fautes de conjugaison, et la réception, par un vieux croûton de ma trempe, d'un texte, même léché-chiadé, qui en contiendrait tant desservirait l'expéditeur plus que la forme ne saurait l'avantager. 88.165.212.52 (discuter) 31 octobre 2014 à 20:11 (CET)[répondre]
J'ajoute à l'avis de l'honorable IP ci-dessus que la réception, dans mon organisme, d'une lettre ou d'un CV qui comporterait autant de fôtes de conjugaison ET (je ne crie pas, je surligne) autant de fôtes d'ortografe ferait que votre courrier ferait illico l'objet d'un « classement vertical » - expression usuelle en Belgique, synonyme de lancement (j'adore le basketball au bureau)/déplacement (nous utilisons aussi l'informatique) vers la poubelle. Amclt quand même, Égoïté (discuter) 31 octobre 2014 à 23:27 (CET) PS Y aurait-il quelqu'un capable de nettoyer le code source de cette section pour qu'elle soit lisible ? – Ah les problèmes de polices...[répondre]
J’utile Firefox 30.0, soit une version légèrement ancienne mais pas antédiluvienne non plus. Je n’ai pas l’impression d’être dinosauresque... et je ne peux pas lire votre pâté.
En ce qui concerne la question « sérif et sans-sérif » : je trouve les fontes sans-sérifs plus faciles à lire sur des diapos, des posters, des choses aérées dans ce goût là. Ça va aussi pour des titres de grande taille. Mais quand je reçois une thèse où c’est la totalité du texte qui est en sans-sérif, j’ai un haut-le-cœur. Un bloc de texte en sans-sérif, je trouve ça assez moche.
Mais attention, ça c’est pour le texte imprimé. À l’écran, malgré une élégance indéniablement supérieur des fontes sérifiées, le sans-sérif reste plus lisible, même dans des grands blocs de texte. C’est sans doute lié à la résolution, qui a beau avoir progressé depuis l’ère cathodique reste inférieure à celle d’une bonne impression.
Enfin, en ce qui concerne un courriel de candidature, je vous recommande d’éviter tout maniérisme — tel que le choix d’une police de caractère exotique. Gardez un style passe-partout, vous risquez sinon d’indisposer votre lecteur. Soignez simplement le contenu – sans maniérisme, là non plus. rv1729 1 novembre 2014 à 11:22 (CET)[répondre]
Et pour les émoticônes sur le CV, serif ou sans-serif ? Grasyop 1 novembre 2014 à 12:42 (CET)[répondre]
Plus sérieusement : est-ce que la glyphorrhée insérée par notre IP dans le code de cette page ne risque pas de poser un problème de sécurité ? Grasyop 1 novembre 2014 à 12:42 (CET)[répondre]
J'avais pas pensé à ça, du coup je vire... En complément, comme tu peux le constater, ton truc supposé permettre à quiconque de lire n'importe quelle police de caractère ne marche pas si bien, donc en plus des conseils de bon sens sur ce qui est préférable, ne néglige pas les conseils de bon sens sur les limites des ordinateurs de tes correspondants. >O~M~H< 1 novembre 2014 à 12:59 (CET)[répondre]
Il y a aussi une autre question, que tu jugeras peut-être aussi triviale que le risque de ne pas voir afficher la police souhaitée : la limite de taille. De mon expérience, beaucoup de boîtes soucieuses de sécurité informatique limitent la taille des courriels reçus à quelques milliers d'octets, seuls certains postes (dirigeants, comptable en chef, responsable juridique...) en étant parfois affranchis. Or ton ajout faisait près de 85.000 octets. >O~M~H< 1 novembre 2014 à 15:56 (CET)[répondre]
Avec Chrome 38.0 sous Windows 8, les 85ko en question ne donnent rien de lisible non plus (j'ai remonté l'histo de la page pour faire le test). --GaAs (discuter) 2 novembre 2014 à 01:26 (CET)[répondre]
On peut poser le problème autrement. On peut se foutre complètement que la police utilisée (pas la « fonte ») soit sérif ou pas sérif. Les histoires de lisibilité, d’impact, etc., sont complètement oiseuses. Tu utilises donc la police de ton choix, pourvu qu’elle soit courante, classique, pas fantaisie, pas comic sans. Et la lisibilité, l’impact, l’aspect sympathique, sérieux, persuasif, tout ce que tu veux, il sera exclusivement dans ce que tu écris et dans ta façon d’écrire. Clarté dans ta tête, d’abord. Orthographe, syntaxe, à vérifier, revérifier et faire vérifier. Mise en page simple, claire. Espacements entre paragraphes nets, titres et sous-titres bien différenciés (par la taille plutôt que par la fonte). On peut à la rigueur différencier sérif pour les titres et sous-titres, sans sérif pour le texte (ou inversement). Enfin bon, on décide clairement, et on se tient au choix. Si la marchandise est de qualité, elle se vendra sans que l’emballage soit luxueux. La police ne fait pas tout. --Morburre (discuter) 2 novembre 2014 à 20:39 (CET) (… mais qu'est-ce que tu as donc contre cette si belle police Comic Sans ? M'enfin !   Hautbois) Errare humanum est, perseverare diabolicum --Morburre (discuter) 2 novembre 2014 à 22:04 (CET) (… 1 partout, la balle au centre ! ton Hautbois)[répondre]
Ah ! Et aussi, peut-être privilégier le sans-serif, parce qu'il y a des cas où le sérif est en prison... >O~M~H< 2 novembre 2014 à 21:53 (CET)[répondre]

…et que sérif, fais-moi peur. --Morburre (discuter) 3 novembre 2014 à 08:43 (CET) bon ça suffit, maintenant[répondre]

Bonsoir, est-ce que cette prononciation est bizarre ? 199.59.78.19 (discuter) 31 octobre 2014 à 22:18 (CET)[répondre]

Bonsoir. Impossible de vous répondre car vous ne mentionnez pas le lieu où le mot serait prononcé. Pays francophone ou anglophone par exemple ? Et si francophone… lequel ? La prononciation varie si vous considérez celles de la Belgique (à Bruxelles ou en Wallonie), de la France, du Québec, de la Suisse romande, d'autres pays dont la langue officielle est le français… Bien à vous, Égoïté (discuter) 31 octobre 2014 à 23:32 (CET)[répondre]
Est-ce que ça rime avec garçon ? 199.59.78.19 (discuter) 31 octobre 2014 à 23:43 (CET)[répondre]
Bonjour. La prononciation de l'enregistrement est effectivement anormale pour lire "Wilson" en français, on entend plutôt "ouilsaong", et le ton est un peu étrange, comme si le locuteur était très angoissé.
Apparemment le nom du fichier comporte le caractère 送 (sòng) et sa description sur commons est en chinois (中文(香港)‎: 「Wil送」嘅發音,係Wilson嘅玩笑發音), il est probable qu'il a été enregistré par un sinophone. Pour expliquer à un mandarin comment lire "Wilson" dans une communication en Mandarin (langue) c'est probablement ce qu'il entendra le mieux.
Après, s'il s'agit pour un francophone de lire en français Wilson pour un auditoire francophone il y a effectivement deux options : soit on le lit résolument à la française et ça donne "vilson" qui rime avec "dragon" (mais ça sera un peu inhabituel, marquant un locuteur ignorant de l'anglais ou militant francophone), soit on le prononce plutôt à l'anglaise et ça donne "ouilsonne" qui rime avec "dragonne".
Cordialement, Biem (discuter) 1 novembre 2014 à 07:55 (CET)[répondre]
… où il sonne ? mais à la porte, pourquoi ? (b'jour Biem, tu vas bien ?)Hautbois [canqueter]
La prononciation ne me paraît pas bizarre, juste inhabituelle pour une oreille française non accoutumée à cette articulation. >O~M~H< 3 novembre 2014 à 03:38 (CET)[répondre]

La technologie de la psychoacousTique modifier

La TechnoPsychoAcoustique peut-elle être étudier dans ce cadre? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Nabobot9dot (discuter), le 1 novembre 2014 à 02:15 (CET/UTC+0100)

Cette mise en forme n'est pas spirituelle, elle est désagréable au possible; je propose qu'on efface. -- Xofc [me contacter] 1 novembre 2014 à 06:41 (CET)  j'ai juste gardé la question. — Hautbois [canqueter] 1 novembre 2014 à 07:17 (CET)[répondre]
… lire déjà psychoacoustique et ses articles connexes (à ne pas confondre avec psychédélisme) ;
… et google est ton ami.
Hautbois [canqueter] 1 novembre 2014 à 07:17 (CET)[répondre]
Drôle d'arrivée sur Wikipédia, vous êtes de quelle galaxie ? --Doalex (discuter) 1 novembre 2014 à 10:25 (CET)[répondre]
 
Un avion qui a eu des problèmes avec sa stabilité longitudinale.

Question extraite de la page de discussion de la semaine en cours --Doalex (discuter) 1 novembre 2014 à 17:21 (CET)[répondre]

Bonjour,

EDIT : le présent message se base entre autres sur cette page Wikipédia : Stabilité longitudinale (aviation)

C'est pour cela que le titre de cette section est en bleu ce qui signifie qu'il s'agit d'un lien interne se rapportant à l'article de wikipédia, pour plus de détails je vous renvoie ici.--Doalex (discuter) 2 novembre 2014 à 10:46 (CET)[répondre]

A la suite d'une discussion avec deux pilotes, à propos des ailes d'avions qui sont en portance (donc en légère flexion) avec un facteur de charge de 1g en vol stationnaire (horizontal), j'en suis venu à leur demander ce qu'il se passerait, au point de vue des couplages et des rapports des forces 'ailes versus empennage' dans le cas où un pilote décidait soudain (et bizarrement :)) de pousser les moteurs de son avion (un jet commercial) à fond et en même temps de tenter de rester en vol horizontal (cas totalement théorique, qui n'a évidemment aucun intérêt pratique, mais ça peut être intéressant de le discuter au point de vue de la Physique). Les deux pilotes m'ont répondu que tant que l'avion respectait l'enveloppe du domaine de vol, les ailes resteraient en flexion proportionnelle à cette charge de 1g, pas plus, même en cas de vitesse légèrement supérieure à la vitesse de croisière. La résultante des forces de portance entre les ailes et l'empennage étant équilibrées et donnant même un léger moment à piquer, ils ne devraient pas pousser le manche pour équilibrer la force de portance de l'aile qui augmente avec la vitesse.
Mais si les moteurs étaient vraiment poussés à fond, les pilotes pensaient (sans en être sûr, ils n'avaient jamais essayé :)) que l'avion se retrouverait finalement une configuration instable. La vitesse augmentant sans cesse, provoquerait éventuellement sur l'aile elle même un moment à cabrer qui devrait être équilibré (pour rester en vol horizontal) par un moment à piquer de la part de l'empennage. Dans ce cas l'avion ne pouvant plus monter, il se retrouverait comme fixé sur un banc d'essai de soufflerie et les ailes plieraient légèrement plus que durant un vol stationnaire conventionnel, mais quand même dans les limites de la force de portance que peut générer l'empennage.
L'article cité plus haut négligeant la poussée des moteurs, je n'ai pas facile de conclure. En résumé : un avion à vitesse extrême, mais constante, qui veut rester en palier a-t-il les ailes plus en flexion qu'un avion à sa vitesse de croisière constante ? Si oui, quel est le formalisme qui pourrait rendre compte de ça ?
Je me rends compte que pour une première question, ce n'est pas facile et ça peut prendre du temps et de la patience pour bien cerner le problème. Si je n'obtiens pas de réponse, je comprendrais parfaitement. Merci à la communauté. Ynad (discuter) 1 novembre 2014 à 15:37 (CET)[répondre]

Bonjour. Le cas pratique est celui de l'avion de chasse en patrouille de routine à qui on demande de rallier rapidement un point droit devant à la même altitude. Donc on a un avion en vol horizontal stabilisé, on pousse les moteurs à fond donc il accélère et on veut rester en vol horizontal, que se passe-t-il du point de vue des gouvernes ?
Déjà il y a une erreur dans la présentation : les forces de portance entre aile (A) et empennage (E) ne sont pas équilibrées, puisque la portance de l'aile doit en plus supporter le poids de l'avion (P) : l'équilibre des forces veut que A=E+P. La portance variant comme le carré de la vitesse, si (par exemple) on double la vitesse toutes choses égales par ailleurs on se retrouverait avec 4A>>4E+P, donc l'avion serait aspiré vers le haut. L'avion ne peut rester en vol horizontal que si par ailleurs on diminue la portance de l'aile, donc essentiellement on donne un léger piqué pour diminuer l'angle d'attaque. Donc ça agit aussi sur le réglage de l'empennage, et on ne peut plus raisonner « toutes choses égales par ailleurs », ceteris paribus. On peut mieux voir l'effet d'une variation de vitesse si on diminue le régime des moteurs, comme pour se présenter à l’atterrissage : il faut tirer sur le manche pour augmenter l'angle d'attaque et récupérer de la portance, l'avion se cabre, et l'empennage pousse plus vers le bas qu'en régime de croisière. Autrement dit, « La vitesse augmentant sans cesse, provoquerait dès le départ sur l'aile elle même un excès de portance qui devrait être équilibré (pour rester en vol horizontal) par une correction à piquer de la part de l'empennage » - après, ce que deviennent les moments quand l'angle d'attaque varie... A la limite, si la vitesse devient excessive, la portance de l'aile principale doit se réduire et l'angle d'attaque se rapproche de l'angle de portance nulle, l'empennage sert principalement à compenser le moment de portance nulle, et c'est tout.
Une fois que l'angle d'attaque et l'empennage ont été réglés, la nouvelle portance de l'aile équilibre à nouveau le poids de l'appareil plus la nouvelle portance de l'empennage : A'=E'+P. Il n'est pas certain que A'=A, parce que la répartition des forces entre aile et empennage dépend de l'angle d'attaque, qui a été modifié, mais en première approximation la portance est de l'ordre de grandeur du poids et celle de l'empennage est du second ordre, donc du moment que l'avion est en vol horizontal stabilisé le facteur de charge est en gros de 1g dans tous les cas. Ceci étant, comme l'angle d'attaque aura été modifié, ce facteur de charge s'exercera dans une direction légèrement différente.
Cordialement, Biem (discuter) 2 novembre 2014 à 08:14 (CET)[répondre]
Bonjour. La question est quand même un peu ambigüe. Parle-t-on de facteur de charge (d'accélération/force) ou de moment (flexion) ? Les caractéristiques aérodynamiques des aéronefs sont assez variables d'un appareil à un autre (entre le Boeing 707 et l'A350, cinquante cinq ans d'évolution du "jet commercial"), et le déplacement du centre de poussée avec l'incidence (qui varie, comme expliqué ci-dessus : c'est la variation de portance qui s'applique, en première approximation, en un point variant peu autour du quart de la corde) est aussi une cause de variation de rapport entre les efforts sur l'aile et l'empennage. Pour ce qui concerne la flexion, une cause supplémentaire de variation se trouve dans la possibilité de vrillage de l'aile (utilisé sur certains appareils pour se rapprocher d'une répartition de portance elliptique, limiter la brutalité du décrochage et assurer un supplément de manœuvrabilité en roulis quand on s'en approche). Dans ce cas, la vitesse augmentant, l'incidence diminue et la portance se rapproche de l'emplanture, donc le moment de flexion diminue, et la répercussion sur la position longitudinale de la poussée dépend de l'angle de flèche. L'affirmation d'un moment à piquer quand la vitesse augmente est un peu rapide : dans l'article sur la stabilité longitudinale, lire jusqu'au paragraphe concernant l'oscillation phugoïde. 88.165.212.52 (discuter) 2 novembre 2014 à 12:13 (CET)[répondre]
Bonjour. Tout d’abord, merci à tous deux pour vos réponses et vos remarques. Merci aussi à Doalex pour ses conseils pratiques. Biem a écrit: « A la limite, si la vitesse devient excessive, la portance de l'aile principale doit se réduire et l'angle d'attaque se rapproche de l'angle de portance nulle, l'empennage sert principalement à compenser le moment de portance nulle, et c'est tout. » Bien d'accord à la relecture.--Ynad (discuter) 2 novembre 2014 à 17:20 (CET)[répondre]
Si on écrit le bilan des actions sur l'appareil, et qu'on réduit les torseurs au centre de poussée de l'aile, en palier, le moment de la déportance de l'empennage équilibre celui du poids de l'avion. Quand ce n'est plus le cas, l'appareil tourne autour d'un axe transversal, et ne reste pas en palier. Le seul moyen de modifier l'équilibre est d'avancer le centre de gravité. Je ne comprends pas le raisonnement qui suppose qu'on puisse rester hors équilibre : si on tire sur le manche, on ne monte pas, on tourne vers le haut, au début, mais après un demi tour, si on insiste on continue de tourner, vers le bas. Quand on a cabré l'avion la portance augmente, et l'avion monte, avec une contribution faible de la poussée motrice, et conserver la nouvelle assiette suppose une position de l'empennage peu différente de la position de départ, mais du côté de la moindre déportance de l'empennage, puisque la pesanteur agit obliquement : son moment par rapport à l'aile diminue. Mais on n'est plus en palier : l'avion monte. Pour chaque combinaison masse*vitesse*densité de l'air, il n'y a qu'une incidence d'équilibre en palier. 88.165.212.52 (discuter) 2 novembre 2014 à 20:51 (CET)[répondre]
Vous avez raison et Biem a bien complété votre explication. Mon dernier post ne faisait qu'ajouter de la confusion à mon premier, oublions le. J'en étais venu à décrire une figure de voltige complètement absurde. Merci d'avoir pris le temps de répondre.--Ynad (discuter) 3 novembre 2014 à 01:41 (CET)[répondre]

  Ynad :Un autre conseil pratique, il faut éviter d'effacer ce que l'on a écrit auparavant comme ici sur cette différence car ceci rend parfois les réponses intercalées inintelligibles, il suffit de penser qu'ici personne n'écrit pour la postérité  . --Doalex (discuter) 3 novembre 2014 à 08:34 (CET)[répondre]

André Charpentier (1884-1966) modifier

Bonjour

Et tout d'abord merci pour les réponses que l'Oracle m'a apportées sur le papier BFK Rives début octobre ; cela m'a été très utile ; mais j'ai eu diverses contraintes et n'ai pu manifester ma reconnaissance, toutes mes excuses.

Ma question porte sur André Charpentier qui a un article dans Wikipedia où il est présenté comme journaliste et auteur de romans policiers, sans que l'article parle de l'ouvrage Feuilles bleu horizon 1914 - 1918 sur les journaux de tranchées, publié en 1935, dont il semble bien l'auteur : les dates coïncident. Mais j'ai un doute ; en effet, la BnF a 2 entrées : André Charpentier (1884-1966) [2] à laquelle sont rattachées les notices suivantes [3]

et une autre André Charpentier (romancier) à laquelle sont rattachées les notices suivantes [4]

Est-ce le même auteur ? Ou existe-t-il 2 André Charpentier ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 86.204.75.165 (discuter), le 2 novembre 2014 à 12:13 (CET/UTC+0100)

Salut. La recherche suivante,
donne des liens où, dans la liste des ouvrages, Feuilles bleu horizon est associé à des titres présents dans l'article. >O~M~H< 3 novembre 2014 à 03:43 (CET)[répondre]

Compagnies de reconstitution historiques dédiées exclusivement à l'Egypte Antique. modifier

Bonjour à tous, chers oracleurs, c'est pour un ami, s'il y a des passionnés d'Histoire parmi vous... Merci d'avance et bon week-end, cordialement,--Strologoff (d) 2 novembre 2014 à 16:21 (CET)[répondre]