La Seyne-sur-Mer

commune française du département du Var

La Seyne-sur-Mer
La Seyne-sur-Mer
Le port de La Seyne-sur-Mer, vu du sommet du pont levant.
Blason de La Seyne-sur-Mer
Blason
La Seyne-sur-Mer
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Métropole Toulon Provence Méditerranée
Maire
Mandat
Nathalie Bicais (LR)
2020-2026
Code postal 83500
Code commune 83126
Démographie
Gentilé Seynois
Population
municipale
62 763 hab. (2021 en diminution de 3,3 % par rapport à 2015)
Densité 2 831 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 06′ 00″ nord, 5° 53′ 00″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 352 m
Superficie 22,17 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Cantons de La Seyne-sur-Mer-1 et de La Seyne-sur-Mer-2
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Seyne-sur-Mer
Liens
Site web www.la-seyne.fr

La Seyne-sur-Mer (prononcé localement [la ˈsɛjnə]) est une commune française située au bord de la Méditerranée dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole Toulon Provence Méditerranée (TPM).

Ses habitants sont appelés les Seynois (les autochtones prononcent traditionnellement « seïnois »).

La commune, qui comptait 62 763 habitants au dernier recensement de 2021, est la deuxième ville la plus peuplée du département (après Toulon) et se trouve au cœur de la métropole toulonnaise qui, avec ses 595 715 hab., est la 3e plus importante de la région.

Donnant sur l'ouest de la rade de Toulon et sur la Méditerranée, la commune possède un port de plaisance et un port de pêche. Elle constitue pour partie une station balnéaire avec son quartier des Sablettes. Les maisons néo-provençales des Sablettes, construites après la guerre, sont de l'architecte Fernand Pouillon[1].

La Seyne-sur-Mer a dû son développement principalement à la construction navale, la ville ayant abrité un des plus grands chantiers navals de France.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte de la commune.
 
Légende

La Seyne-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur dans le sud-est du département du Var sur le littoral méditerranéen, à mi-chemin entre Marseille à l'ouest et Saint-Tropez à l'est, et à 30 km de l'aéroport de Toulon-Hyères.

Distances par rapports aux grandes villes modifier

La Seyne en France Situation
Paris 696 km nord-quart-nord-ouest
Toulouse 363 km ouest-quart-nord-ouest
Bordeaux 552 km ouest-nord-ouest
Grenoble 232 km nord
Montpellier 171 km ouest
Marseille 65 km ouest
Nantes 742 km nord-ouest
Lyon 306 km nord-quart-nord-ouest
Nice 150 km est

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de 3 communes :

Géologie et relief modifier

 
Image satellitaire de Toulon et La Seyne-sur-Mer.

Les territoires de La Seyne-sur-Mer et de Saint-Mandrier occupent la partie est de la presqu’île de Sicié, la partie ouest correspondant à la commune de Six-Fours-les-Plages. L’ensemble s’inscrit dans la « Provence cristalline »[2].

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Un seul fleuve (très modeste) est présent sur la commune : l'Oïde[3],[4]. Il prend naissance sur le bassin versant est du massif du Cap-Sicié.

La qualité des eaux souterraines fait l'objet d'une surveillance à partir de quinze stations[5].

La Seyne-sur-Mer dispose de la station d'épuration de Toulon Ouest - Cap-Sicié d'une capacité de 500 000 équivalent-habitants[6].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulon », sur la commune de Toulon à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 16,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Statistiques 1991-2020 et records TOULON (83) - alt : 3m, lat : 43°06'56"N, lon : 5°54'02"E
Records établis sur la période du 01-04-1936 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 6,6 6,3 8,4 10,5 13,9 17,5 19,9 20,2 17,1 14,1 10,1 7,5 12,7
Température moyenne (°C) 9,9 10,1 12,4 14,7 18,3 22,2 24,7 25 21,5 17,8 13,5 10,7 16,7
Température maximale moyenne (°C) 13,2 13,8 16,4 18,8 22,6 26,8 29,5 29,8 25,9 21,4 16,8 13,9 20,7
Record de froid (°C)
date du record
−7,2
12.01.1987
−9
02.02.1956
−4,3
06.03.1971
0,3
03.04.22
4,6
01.05.1960
9
04.06.1984
12,8
17.07.00
12,3
31.08.1986
8,4
27.09.1972
3,2
30.10.1950
−0,9
27.11.1945
−4,5
29.12.1944
−9
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
20,9
19.01.07
23,2
17.02.22
26,4
02.03.08
28,1
23.04.09
34,7
27.05.22
36
27.06.19
40,1
07.07.1982
37
03.08.1975
34,9
05.09.16
29,3
11.10.1985
24,2
03.11.1977
21,9
13.12.1961
40,1
1982
Précipitations (mm) 70,5 46,8 39 55,4 40,2 27 6,2 13,4 69,9 105,8 93,4 65,8 633,4
Source : « Fiche 83137001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
13,2
6,6
70,5
 
 
 
13,8
6,3
46,8
 
 
 
16,4
8,4
39
 
 
 
18,8
10,5
55,4
 
 
 
22,6
13,9
40,2
 
 
 
26,8
17,5
27
 
 
 
29,5
19,9
6,2
 
 
 
29,8
20,2
13,4
 
 
 
25,9
17,1
69,9
 
 
 
21,4
14,1
105,8
 
 
 
16,8
10,1
93,4
 
 
 
13,9
7,5
65,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Seyne-sur-Mer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16].

Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[17] et 595 715 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 60,5 % 1425
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 9,2 % 216
Réseaux routier et ferroviaire et espaces associés 1,4 % 34
Zones portuaires 4,2 % 99
Espaces verts urbains 1,1 % 25
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 1,4 % 32
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,6 % 13
Forêts de conifères 11,1 % 261
Végétation sclérophylle 9,3 % 219
Mers et océans 1,4 % 32
Source : Corine Land Cover[25]

Morphologie urbaine modifier

 
Vue sur la corniche de Tamaris, depuis les Sablettes.
 
Le port de La Seyne-sur-Mer, avant la tombée de la nuit.

La commune comprend plusieurs quartiers et lieux-dits[26].

  • Balaguier

Portion la plus à l'est du territoire seynois, au sud de l'Éguillette, et bordé par les corniches Bonaparte et Michel Pacha. Il est desservi par la ligne 83.

  • Barban

Quartier situé entre le col d'Artaud et le quartier Pignet, au sud du chemin 216 de La Seyne à Six-Fours. On y trouve les terrains de tennis municipaux (chemin d'Artaud à Pignet, chemin du Couchant). Il est desservi par les lignes 84 et 85.

  • Les Barelles

Quartier situé à l'extrémité nord de la forêt de Janas, entre l'ancien quartier Cachou (actuels lotissements du cap Sicié) et la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est desservi par la ligne 81 (terminus du Mai).

  • Bastian

Quartier situé au nord-ouest du quartier Mauvéou et au sud du chemin de Brémond. Il est desservi par les lignes 85 et 87.

Quartier qui s'étend du chemin de La Seyne à Ollioules au chemin de Lagoubran aux Playes, non loin d'une zone commerciale. Une cité a été conçue dans les années 1960 pour donner plus de confort, d’espace, de modernité, de logements, à ses habitants dans un nouveau quartier . Il est desservi par les lignes 8 et 81.

  • Brémond

Quartier d'altitude moyenne 60 mètres, situé entre les quartiers Gavet, Bastian, Pignet et Domergue. Il est desservi par les lignes 84, 85 et 87.

  • Brégaillon

Quartier situé au nord-est de la commune comportant une colline dominant la baie de la Seyne (anse de Brégaillon) et le port de commerce La Seyne-Brégaillon[27]. Il est desservi par les lignes 18, 71 et N8.

  • Camp-Laurent

Quartier situé à l'extrême nord-ouest de la commune, emplacement de la zone industrielle et de l'échangeur entre l'autoroute Marseille-Toulon et la route de La Seyne à Ollioules. Il est desservi par les lignes 12 et 81 (terminus Langevin).

  • Cavaillon

Quartier délimité par la rue Isnard, la place Séverine, la rue Cavaillon et la rue Louis-Blanqui (ex-rue Calade). Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 85, 87 et N8.

  • Centre-ville — Port

Quartier autour du port de La Seyne, abritant l'hôtel de ville et de nombreuses terrasses de café. Le port a été bombardé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et la plupart des immeubles datent des années 1950. L'église Notre-Dame-de-Bon-Voyage (de style néogothique) est située derrière le port, à la jonction des rues d'Alsace, Parmentier et Berny. Il est desservi par les lignes 8, 8M (bateau), 12, 18, 28, 81, 82, 83, 85, 87, N2, N7 et N8.

  • Châteaubanne

Quartier localisé au sud de la route 559 de La Seyne à Toulon, de part et d'autre du chemin du Vieux-Reynier, entre les quartiers Vignelongue et Vallon des Signes. Il est desservi par les lignes 12, 70, 71, 72, 81, 83, 86 et N7.

  • Coste-Chaude

Versant exposé au sud de la colline du Rouquier et s'étendant jusqu'aux quartiers Mauvéou à l'ouest et les Plaines au sud. Il est desservi par les lignes 81 (Le Mai) et 87 (Sablettes).

  • Le Crouton

Ancienne zone marécageuse, domaine des siagnes, roseaux et massettes, autrefois riche en gibier d'eau, située entre Tamaris, le chemin de l'Évescat aux Sablettes, l'avenue Noël-Verlaque et la baie du Lazaret, dont l'assainissement avait été commencé par Michel Pacha. Aujourd'hui, on y trouve les résidences La Croisette, les Loggias des Sablettes, Les Sagnarelles, dont les noms de rues (allée des Scirpes, allée du Sparganier, allée Brin-de-Jonc, allée du Typha) évoquent bien le passé marécageux de ce quartier. Il est desservi par les lignes 81 et 83.

  • Domergue

Quartier situé entre Tortel, la Donicarde et les Quatre-Moulins. Il est desservi par la ligne 85.

  • La Donicarde

Quartier approximativement délimité par les quartiers du col d'Artaud (à l'ouest), Daniel (au nord), Domergue (à l'est) et les Isnards (au sud). Il est desservi par la ligne 85.

  • L'Éguillette

Quartier situé à l'extrémité est de la commune (la pointe de l'Éguillette s'avance dans la rade de Toulon, à environ 650 m au nord de la pointe de Balaguier). Il est desservi par la ligne 83.

  • Fabrégas (toponymie : les forges[28])

Quartier situé entre la mer (plage de Fabrégas), la forêt de Janas (Corniche varoise) et le quartier de la Verne. Il est desservi par la ligne 81 (au départ ou → Fabregas). (toponymie : La baou rouge = la falaise rouge. Les terres gastes = les mauvaises terres. Malpasset = mauvais passage)

  • Les Gabrielles

Quartier situé à l'est de la route de Janas et à l'ouest de la colline du Plan d'Aub, avant d'atteindre la Maison forestière et la clairière de Janas. On y trouve une piscine, un camping, un centre d'équitation, etc.. Il est desservi à proximité par la ligne 81 (au départ ou → Le Mai).

  • Gai-Versant

Quartier du nord de la ville, entre les avenues d'Estienne-d'Orves et Antoine-de-Saint-Exupéry, centré sur la colline dont la crête est-ouest est parcourue par le chemin de Gai-Versant. Il est desservi par les lignes 70, 72 et 82.

  • Gavet

Quartier situé aux environs du point le plus élevé (altitude 65 m.) atteint par le chemin de La Seyne à Bastian, plus précisément à l'intérieur du triangle formé par ce dernier avec le chemin de Fabre à Gavet. Il est desservi par la ligne 85.

  • Les Isnards

Quartier situé au sud du chemin de la Donicarde, sur les pentes ouest de la colline qui culmine à 72 m. (entre les quartiers Donicarde et Domergue). Il est desservi par la ligne 85.

  • Janas

Partie la plus au sud de la commune, qui est couverte par la forêt de Janas, et qui est au contact au nord-est avec les quartiers Fabrégas, les Gabrielles, le Plan d'Aub, et à l'ouest avec la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est desservi par la ligne 81 (au départ ou → Le Mai).

  • Jaumen

Quartier situé au sud du chemin du Vieux-Reynier, qui englobe le versant nord de la colline culminant à 66 m. où est édifiée la résidence La Commandante. Il est desservi par la ligne 86.

  • Léry

Portion le plus à l'ouest de l'ancienne Grande Terre de Saint-Jean, située au sud des quartiers Camp-Laurent et Farlède, à l'est de Berthe et au nord de Vignelongue. On y trouve notamment deux stades et la Z.I. Jean-Monnet. Il est desservi par les lignes 12 (Nord), 71, AB80 (Appel-Bus 80, 83 et 84 (Léry).

  • Mar-Vivo

Quartier du sud-est de la ville entre les quartiers des Sablettes, le Pas-du-Loup, les Plaines et la Verne. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 81, 87 (Sablettes) et N8.

  • Mauvéou

Quartier situé du côté sud du chemin de La Seyne à Bastian, entre le chemin de Mauvéou et le chemin de Paradis, donc entre les quartiers Bastian, Brémond, Coste-Chaude et Croix-de-Palun. Il est desservi par les lignes 84 (Brémond), 85 et 87.

  • Le Pas-du-Loup

Centré sur la partie sud de l'avenue Salvador-Allende et le chemin des Oliviers. Il se situe entre les Plaines (côté ouest) et Mar-Vivo (côté est). Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 81, 87 (Sablettes) et N8.

  • Pignet

Quartier situé à la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages, au niveau des chemins du Couchant et de Selon, entre Barban, Brémond et Bastian. Il est desservi par les lignes 70, 72, 84 et N7.

  • Les Plaines

Quartier dont les limites ne sont pas évidentes à préciser, mais que l'on peut situer entre le Pas-du-Loup (à l'est), Coste-Chaude (au nord), Mauvéou et les Moulières (à l'ouest) et l'Oïde (au sud). Il est desservi par les lignes 81 et 87 (Sablettes).

  • Pont-de-Fabre

Quartier compris entre lavenue[Quoi ?] Jean-Baptiste-Ivaldi (ancienne route des Sablettes), le chemin de Fabre à Gavet et le chemin Jean-Ghibaudo. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28 et N8.

  • Les Quatre-Moulins

Quartier situé sur une colline au sud du quartier Tortel, entre Domergue et Saint-Honorat (cimetière). On y accède, venant du nord, par le chemin Aimé-Genoud, ou, venant du sud, par le chemin des Quatre-Moulins. Ces chemins constituaient la voie des meuniers et des paysans qui exploitaient les moulins. Il est desservi par la ligne 85 et 87.

Portion de territoire constituant l'isthme de la presqu'île de Saint-Mandrier et comprenant la plage des Sablettes, le parc paysager Fernand-Braudel et l'agglomération qui s'est développée de part et d'autre de l'actuelle avenue Charles-de-Gaulle. Ce quartier est limité à l'est par Saint-Elme, au sud par la mer, à l'ouest par Mar-Vivo et au nord par le Crotton. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 18M (bateau), 28 - 83 - 87 (terminus), N4 (bateau) et N8.

  • Saint-Elme

Quartier situé à l'extrémité est de la plage des Sablettes. Il comprend un petit port de pêche et de plaisance, une base nautique municipale et un club nautique. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18 et 28.

  • Tamaris

Quartier délimité, à l'est, par la baie du Lazaret (corniche Georges-Pompidou), au sud par le Crotton, à l'ouest par l'Évescat et au nord par Balaguier. On y trouve notamment, dans sa partie sud, l'Institut Michel-Pacha et les résidences Les Jardins d'Alizarine et Le Ciel Bleu, et, dans sa partie nord, le parc aménagé par Michel Pacha, avec la Villa Tamaris-Pacha et les résidences La pinède, Port Tamaris, Royal Amiral, Villa Eugénie, Les hameaux de Tamaris, Les terrasses de Tamaris, Les balcons de Tamaris, Les collines de Tamaris. Il est desservi par les lignes 18M, 82 et 83.

  • Vignelongue

Quartier situé au sud du quartier Léry, entre le quartier Châteaubanne et la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est maintenant traversé par les avenues de Londres et de Rome et inclut la Z.I. Jean-Monnet. Il est desservi par les lignes 70, 72, 83, 86 et N7.

Rénovations modifier

Le , Arthur Paecht, alors maire de La Seyne-sur-Mer, a lancé les travaux de réaménagement du site des anciens chantiers navals, friche industrielle laissée à l'abandon depuis près de vingt ans. Ces quarante hectares sont aujourd'hui le plus grand projet urbanistique entre Gênes et Marseille[réf. nécessaire]. Ils accueillent le parc de la Navale, dédié à la mémoire des chantiers navals, et plus tard un site d'exposition, un nouveau port de plaisance, etc.[29].

Les premières réalisations ont vu le jour en peu de temps : un grand parc, les places et voiries qui traversent désormais ce site avec le cours Toussaint-Merle. La restauration du pont levant, emblème de la cité, s'est achevée en 2009, comme le site d'exposition baptisé « Esplanade marine ». L'agglomération Toulon Provence Méditerranée, le département, la région, l'État et l'Union européenne soutiennent le vaste et ambitieux projet municipal. Cependant, celui-ci a un coût très élevé pour les finances de la commune, ce qui a conduit Arthur Paecht à faire de la ville l'une des plus imposées et des plus endettées de France. Battu aux élections de , il a laissé la ville au bord de la tutelle.

Depuis ces élections, plusieurs opérations initialement prévues dans le périmètre du site des anciens chantiers navals ont connu des modifications importantes. Ainsi, par exemple, le projet de pôle théâtral a été abandonné. Le nouveau maire, Marc Vuillemot, a en effet choisi de recentrer certains volets du programme vers des aménagements « plus productifs » — du moins à première vue — de ressources pour l'économie locale. Ainsi sont sur les rails, la réfection et l'équipement des quais permettant l'accueil et l'hivernage de yachts de haute plaisance, le changement d'usage et la valorisation d'un vaste bâtiment industriel pour une activité commerciale, de loisirs et de mémoire de la construction navale et de l'activité maritime de la rade de Toulon, ou, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d'Industrie du Var, l'installation d'une gare maritime permettant l'accueil de paquebots de croisière parmi les plus grands du monde.

Voies de communication et transports modifier

Transports routiers modifier

La commune est accessible via l'autoroute A50 en direction de Toulon (à l'est) et Marseille (à l'ouest) : sortie no 13 (Camp-Laurent échangeur de La Seyne quartiers Ouest) - sortie 14 (Châteauvallon - La Seyne Centre) - sortie 15b (La Seyne Centre).

Transports en commun modifier

 
La Seyne-sur-Mer est desservie par les bus du réseau Mistral. Bus de la ligne 8 près du centre-ville.

C'est le réseau Mistral de la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée qui gère les transports en commun de La Seyne-sur-Mer :

  • deux lignes maritimes : 8M, 18M ;
  • quinze lignes terrestres : 8, 12, 18, 28, 70, 71, 72, 81, 82, 83, 84, 87, 120 ;
  • et les appel-bus : AB80 et AB88.

Transports ferroviaires modifier

La gare de La Seyne-Six-Fours est une gare ferroviaire de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière) située sur le territoire de la commune. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains express régionaux TER Provence-Alpes-Côte d'Azur.

La commune est proche de la gare de Toulon desservie par des TGV et des trains grandes lignes Intercités et Intercités de nuit.

Transports aériens modifier

Par la route, la commune est située à 32 kilomètres de l'aéroport de Toulon-Hyères, à 87 kilomètres de l'aéroport Marseille-Provence et à 150 kilomètres de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur.

Risques naturels et technologiques modifier

L'arrêté du préfet du Var du dresse un état des risques sur la commune[30].

Sismicité modifier

La commune est située en zone 2, sismicité faible[31].

Qualité de l'environnement modifier

En application de la Loi littoral du relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral et d'autre part des dispositions de la Loi sur l'eau et les milieux aquatiques du et du schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) qui en découle, une étude diagnostic de la situation environnementale d'accueil de navires de grande plaisance a été réalisée[32].

Un centre de compostage des déchets verts, commun à Toulon et à La Seyne-sur-Mer, a été réalisé à La Seyne-sur-Mer[33].

Toponymie modifier

Le nom de la commune est La Sèino[34] en occitan provençal, norme mistralienne, ou La Seina selon la norme classique de l'occitan, francisé en La Seyne. Le « y » de la graphie française signale la diphtongue de la langue régionale (prononcé « èï »). Ce nom vient d'une plante peuplant autrefois cette zone marécageuse : « la saigne », comme en témoignent les panneaux placés par la commune utilisant une forme étymologique[35], La Sanha de Mar en occitan/provençal et La Sagno de Mar selon la norme mistralienne, signifiant « la roselière de mer ».

Histoire modifier

Le nom de La Seyne provient d'un roseau qui poussait dans cette zone marécageuse, au fond de la baie qui baigne également Toulon. Cette plante était appelée la sagne, d'où le nom de La Seyne. Comme cela est précisé dans le chapitre des maires de la commune, le hameau de la Seyne appartenait autrefois à Six-Fours, commune mère.

Peu avant la Révolution française, l’agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-89 très froid. L’élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de , ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[36].

C’est au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, qu’une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute d’origine frumentaire se produit à La Seyne les 26 et [37]. Elle s’en tient à des menaces contre les possédants, mais avec une certaine mise en scène, puisqu’un cercueil est apporté, au son lugubre du tambour, devant la porte d’une des personnes visées par l’émeute. Il est ensuite prévenu d’avoir à se préparer à mourir[38]. Cette émeute parvient à obtenir la suppression d’un impôt, le piquet[39]. Dans un premier temps, pour calmer la population, on envoie un détachement de l’armée. Puis des poursuites judiciaires sont diligentées, mais les condamnations ne sont pas exécutées, la prise de la Bastille comme les troubles de la Grande peur provoquant, par mesure d’apaisement, une amnistie début août[40].

Les chantiers navals (1835-1986) modifier

Le XIXe siècle modifier

Ces derniers existent depuis plus de deux siècles, l’activité du premier chantier naval seynois est attestée en 1711 ; à l'origine, il s'agissait d'un chantier construisant des bateaux en bois de petite taille. Ils ont ensuite connus une forte expansion au cours de la première moitié du XIXe siècle, et c'est durant cette période que s’est développée l’utilisation de la métallurgie dans la construction des bateaux.

Ainsi, dès le début du XIXe siècle, une activité industrielle potentiellement polluante (utilisation d’hydrocarbures et de métaux) est présente dans le quartier du site. En 1848, les chantiers sont agrandis sur plusieurs milliers de m², emploient 1 300 personnes et assemblent de nombreux navires.

 
L'ancien pont levant des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer en 2006.

À partir de 1855, c’est la société des Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) qui reprend la gestion du site industriel. Cette société connaît alors un essor très important dans la construction des navires, aussi bien civils que militaires[41].

Un rapport des archives de la Marine de 1884 désigne les chantiers de la FCM comme les plus importants de France, par leur surface (14,6 ha) et la longueur de leurs quais (près d'1 km). Ils disposent en effet de 10 cales de construction dont la taille permet aux FCM de construire les plus grands bateaux de l'époque.

Ces grands bateaux sont les paquebots et les cargos transocéaniques qui assurent des liaisons entre l'Europe et le reste du monde, mais aussi de grands navires de marines militaires de puissances étrangères comme le croiseur japonais Matsushima. À cette époque, le rapport nous signale 2308 ouvriers employés dans les chantiers navals.

Le XXe siècle modifier

D’autres grands travaux d'équipements débutent peu avant la Première Guerre mondiale, avec l’installation de deux énormes caissons pour obtenir en 1927 le plus grand bassin du monde. Les FCM conserve ainsi la gestion du site jusqu’à la veille de leur liquidation en 1966.

 
Le pont levant de La Seyne-sur-Mer en 2015 après rénovation.

Les chantiers changent de nom au fur et à mesure de la reprise et prennent alors le nom de Constructions navales et industrielles de la Méditerranée (CNIM). Comme d'autres chantiers français en perte de vitesse, les CNIM tentèrent de recentrer leurs activités en exploitant des niches technologiques moins exposées à la concurrence internationale, notamment la construction de navires spéciaux, méthaniers, frigorifiques, de barges flottantes et d'équipements pour les plates-formes pétrolières.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, un bombardement aérien entraîne le une destruction partielle des chantiers et du site. Le , des mines sous-marines engendrent ensuite une destruction plus importante des chantiers.

Cependant, ils seront reconstruits et agrandis dès 1949 pour atteindre 25 hectares et un front de mer de 1 400 mètres. Le nom CNIM est adopté en 1966. C'est la première entreprise en grève du département lors de Mai 68 en Provence.

En 1973, à la veille du choc pétrolier, les chantiers de La Seyne-sur-Mer employaient plus de 5 000 personnes. Après les grèves à répétition des années 1970, le rapprochement et le naufrage des Chantiers du Nord et de la Méditerranée (la Normed) après l'échec des négociations, il est procédé à la fusion de France-Dunkerque, des Chantiers navals de La Ciotat et des CNIM. Le nom CNIM en tant qu'établissement de La Seyne-sur-Mer réussit à subsister en dehors de la construction navale. De nouvelles activités sont créées pour se diversifier avec la construction de nombreux escaliers mécaniques, en service à Paris et dans plusieurs lignes du métro de Hong Kong, furent construits par les CNIM.

Il est important de mentionner que le pont levant de La Seyne a été inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, par arrêté du [42], et constitue, avec les grands quais, les seuls vestiges de ce chantier naval (un ascenseur, nouvellement intégré, permet d'y admirer la vue de son sommet). Le centenaire de sa construction est célébré en 2017.

Crise et reconversion modifier

On peut estimer que le site a connu à partir de ce moment-là une baisse conséquente de son activité industrielle jusqu'en 1985 avec la construction du dernier bateau et en 1989 avec la fermeture définitive des chantiers navals. La ville souffre dans les années 1990 de la crise économique (taux de chômage de 30 %) et de la corruption de ses responsables politiques (avec deux maires successifs, Charles Scaglia - Parti républicain - et François Hérisson - Rassemblement pour la République -, mis en examen)[43].

La Seyne-sur-Mer, pour faire face à la crise de ses activités industrielles, devait opérer une réelle reconversion et diversifier ses activités dans d'autres secteurs. Ainsi, un vaste programme d'aménagement de la ville fut mis en place, notamment avec l'inauguration du parc Fernand-Braudel[44] en 1999 par l'ancien maire Maurice Paul, avec l'inauguration du parc de la Navale en 2006 par l'ancien maire Arthur Paecht (voir section Rénovations). La ville se tourne alors résolument vers le tourisme balnéaire, déjà amorcé au XIXe siècle[45] avec l'aménagement des Sablettes[46] et de Tamaris[47],[48] par Michel Pacha, et le tourisme culturel grâce à la richesse de son patrimoine historique et à la beauté du cadre naturel provençal (voir sections Patrimoine naturel et Patrimoine culturel et historique).

Liste indicative de quelques réalisations modifier

Liste indicative de quelques réalisations par les chantiers de La Seyne :

Croix de guerre modifier

La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[49],[50].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

Intercommunalité modifier

Elle fait partie de la métropole Toulon Provence Méditerranée.

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Cantons modifier

Le territoire de La Seyne couvre deux cantons :

Politique de développement durable modifier

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2003[51].

La Seyne-sur-Mer a reçu trois fleurs au concours des villes et villages fleuris.

Finances communales modifier

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :

  • total des produits de fonctionnement : 90 594 000 , soit 1 386  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 83 462 000 , soit 1 276  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 20 543 000 , soit 314  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 18 853 000 , soit 288  par habitant ;
  • endettement : 127 977 000 , soit 1 957  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 25,50 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,11 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 76,70 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 020 [53].

Justice et sécurité modifier

La Seyne-sur-Mer dépend des tribunaux suivants :

Jumelages modifier

La commune de La Seyne-sur-Mer est jumelée avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 62 763 habitants[Note 5], en diminution de 3,3 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 9804 8954 8265 6056 7326 3447 0996 4977 401
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8 70911 70011 19210 12310 65512 07213 16614 33216 341
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
21 00219 74722 09323 16824 67826 81727 07326 17226 672
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
33 57043 78351 15557 65959 96860 18856 76862 64064 620
2021 - - - - - - - -
62 763--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Écoles maternelles et élémentaires[57] modifier

Liste des écoles publiques et privées de La Seyne-sur-Mer
Maternelles Élémentaires
École Lucie-Aubrac
École Georges-Brassens École Georges-Brassens
École Collines-de-Tamaris
École Eugénie-Cotton
École relais Jacques-Derrida
École Anatole-France
École Jean-Giono
École Victor-Hugo[58] École Victor-Hugo
École Jean-Jaurès
École Léo-Lagrange École Léo-Lagrange-1
École Léo-Lagrange-2
École Amable-Mabily
École Émile-Malsert-1
École Cédric-de-Pierrepont
École Jean-Baptiste-Martini
École Marie-Mauron
École Toussaint-Merle École Toussaint-Merle
École Marcel-Pagnol
École Ernest-Renan
École Romain-Rolland
École Jean-Jacques-Rousseau École Jean-Jacques-Rousseau
École Antoine-de-Saint-Exupéry École Antoine-de-Saint-Exupéry
Institution Sainte-Thérèse[59] (privée) Institution Sainte-Thérèse[59] (privée)
École Pierre-Semard
École Édouard-Vaillant

Collèges et lycées[60] modifier

Liste des collèges et lycées de La Seyne-sur-Mer
Collèges Lycées
Collège Marie-Curie Lycée général et technologique Beaussier
Collège Jean-L'Herminier Lycée Polyvalent Paul Langevin
Collège Paul-Éluard
Institution Sainte-Marie (privé) Institution Sainte-Marie (privé)[61]
Collège Henri-Wallon

Cultes modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Festival du Cirque contemporain « Janvier dans les étoiles », remplacé en 2016 par la « Saison du Cirque Méditerranée »[67], en janvier à l'Espace Chapiteaux aux Sablettes.
  • Festival de jazz, en été au fort Napoléon.
  • Festival de musique cubaine.
  • Festival « Couleurs Urbaines ».
  • Festival Musiques & Patrimoine en Pays Varois[68], Médiathèque des Sablettes, Le clos Saint-Louis, les 26 et et 1er et .

Santé modifier

La ville dispose d'espaces santé très complets et bénéficie de ceux, proches, situés à Toulon[69].

Aujourd'hui l'hôpital Font-Pré et Chalucet de Toulon, remplacés par l'hôpital Sainte-Musse depuis le , font partie du centre hospitalier intercommunal Toulon la Seyne sur Mer qui regroupe deux autres hôpitaux de l'agglomération toulonnaise : l'Hôpital George Sand à La Seyne-sur-Mer et l'Hôpital Georges-Clemenceau à La Garde.

Sports modifier

  • Union sportive seynoise, club omnisports de la ville réputé pour sa section de rugby à XV qui évolue en Fédérale 1
  • Football Club seynois
  • La Seyne Var Handball
  • Vélo Sport seynois
  • Stade de Berthe
  • Stade Guimier
  • Stade Hubidos
  • Stade Antoine-Scaglia
  • Stade Victor-Marquet
  • Salle Maurice-Baquet
  • Salle Delfino
  • Gymnase Langevin
  • Gymnase Alain-Mimoun
  • Gymnase Sauvat
  • Complexe sportif Léry
  • Salle de boxe Centa
  • Base nautique de Saint-Elme
  • Piscine Aquasud
  • Stade Sebastien-Squillaci
  • la route du Jasmin y prend son départ

Médias modifier

Télévision modifier

En 1967, Robert Dhéry y tourne des plans dans son film Le Petit Baigneur avec Louis de Funès. On y reconnait les Chantiers du Midi et le fort de Balaguier. Le film sortira en 1968.

L'école élémentaire Émile-Malsert a accueilli le tournage d'une série nommée La Cour des grands (France 2).

Pour les besoins du tournage, des petits Seynois et Seynoises ont pu passer une audition et ainsi devenir figurants.

Pour les besoins du film de cape et d'épée Blanche (film, 2002) , troisième long métrage de Bernie Bonvoisin, la dernière scène a été tournée au fort Napoléon.

La scène finale de la saison 2 de Mafiosa (2008) est tournée à la chapelle de Notre-Dame-du-Mai.

Le réalisateur des Vacances de Ducobu, Philippe de Chauveron, a choisi le Var pour le tournage de son dernier long-métrage, qui s’est déroulé en septembre et  : vacances d’été obligent, des décors de plages ensoleillées étaient nécessaires. Sur l’affiche du film, on peut reconnaître la plage des Sablettes de La Seyne-sur-Mer comme le souligne Nice Matin. Heureux hasard, le nouveau garçon qui interprète Ducobu à l’écran, François Viette[70], est seynois. On reconnaît également le fort de Balaguier.

Radio modifier

Les fréquences radio sur La Seyne-sur-Mer : trente radios sont disponibles[71].

Économie modifier

La situation et la desserte de la ville[72] lui confère des possibilités de développement et d'accueils diversifiés.

Entreprises et commerces modifier

Agriculture et pêche modifier

  • La métropole Toulon Provence Méditerranée considère le maintien et le développement de l’agriculture comme un axe privilégié de son action économique d’intérêt communautaire et intervient dans les divers domaines d'activités[73].

Tourisme modifier

La ville dispose de[74] :

  • 12 hôtels ;
  • 2 résidences de tourisme ;
  • 37 chambres d'hôtes ;
  • 5 campings ;
  • 370 locations saisonnières etc ;
  • 46 restaurants ;
  • 1 casino.

Commerces modifier

La ville dispose de 201 magasins[75] de proximité, supermarchés...

La Seyne-sur-Mer comptait 4 065 entreprises du secteur marchand en 2014, et un Pôle Mer Méditerranée comptant 25 entreprises de la commune[76].

Plus de 480 cellules commerciales, représentant 110 activités, sont recensées sur le centre-ville[77].

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine naturel modifier

  • Les Sablettes : c'est la plage la plus connue et la plus prisée de la ville. Elle se trouve sur l'isthme de la presqu'île de Saint-Mandrier. C'est une longue bande de sable fin qui s'étale du petit port de Saint-Elme jusqu'à Mar-Vivo, avec depuis quelques années le parc paysager Fernand-Braudel de 7,5 hectares.
  • À l'ouest des Sablettes, la Verne et ses rochers décorés de bateaux de pêche multicolores remontés à terre sur des rails, ses plages abritées du mistral comme le sont, à la suite, la plage de Fabrégas et son sable noir ainsi que les plages naturistes du Jonquet.
  • Les Deux Frères : deux rochers émergeant à la pointe du cap Sicié visibles depuis la plage des Sablettes et emblématiques de la ville[78].
  • La forêt de Janas : remarquable ensemble boisé par sa diversité et sa conservation. S'étendant de la ville de La Seyne, jusqu'au cap Sicié. Le cap Sicié géologiquement schisteux, est de même origine que la Corse et la Sardaigne. Après l'effondrement du bassin Méditerranéen, ces trois lieux résistèrent en tant qu'îles, ou promontoire.
  • Le parc du Manteau, ancienne propriété de Michel Pacha[79] dans le quartier de Tamaris[80]. Le château du Manteau, construit vers 1880 sur les plans de l'architecte Paul Page et d'inspiration orientale[81], a été détruit mais le parc botanique existe toujours. On y remarque notamment des éléments d'architecture rocaille remarquables comme un moulin ou une barque de pêcheur en ciment armé signée V. Picasse et datant de 1892[82].
Le parc exotique accueille des arbres remarquables à grand développement (araucarias, cocotiers du Chili) ainsi que de nombreux palmiers rares (caryotas, Kentias,) et tropicaux qui sont encore cultivés dans ce jardin devenu le parc d'une résidence privée, lotie en copropriété[83] et fermée au public.
  • Le site historique des anciens chantiers navals[29] : entièrement aménagé en parc paysager. Inauguré en , le site des anciens chantiers navals reste un lieu de mémoire, symbolisé par la rénovation de la Porte des Chantiers et prochainement par la rénovation du pont levant en observatoire. Il témoigne du passé industriel et maritime de la ville.

Patrimoine culturel et historique modifier

Le patrimoine religieux modifier

 
Église Notre-Dame-du-Bon-Voyage.
Un parvis piétonnier (situé devant l’entrée du parking Martini) agrémente la façade néo-gothique de l’église, offerte jadis par Michel Pacha.
Il y a quelques dizaines d'années, le parvis de l'église était entouré d'une grille métallique supprimée depuis pour faciliter la circulation automobile. On raconte que jadis les pécheurs attachaient leurs bateaux aux barreaux de cette grille car la mer peu profonde arrivait près de l'église. Des quartiers ont été depuis construits sur la mer, éloignant le port et les bateaux de pêche.

Le patrimoine industriel et maritime modifier

  • Le pont levant : il fut commandé à la société Daydé en 1913. Il entra en service en 1920 et permit d'assurer l’accès du chemin de fer sur le site des anciens chantiers navals sans traverser le centre-ville. Depuis 1986, le pont levant, emblème de la ville, reste dressé vers le ciel. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, sa restauration et sa mise en lumière ont débuté en 2007 et se sont achevées le . Il est depuis cette restauration doté d'un ascenseur qui permet d'atteindre le belvédère à 40 m de hauteur. Au 1er étage se déroule une exposition des moteurs autrefois utilisés pour permettre au pont de basculer, et qui permettaient de laisser passer les trains de marchandises chargés pour ravitailler les chantiers navals. Il est doté d'un éclairage par leds.
  • Le remorqueur Le Laborieux[108].
  • Le carrousel Jules Verne[109].
 
Le fort Balaguier.

Le patrimoine militaire modifier

Le patrimoine civil modifier

 
Le château de Michel Pacha à Tamaris en 1920.
 
Médaillon représentant George Sand provenant de la bastide où elle demeura en 1861. Déposé au fort de Balaguier après la démolition de l'immeuble.

Équipements culturels modifier

  • La commune, sous l'impulsion de son maire Toussaint Merle, a initié en 1967 une École municipale de musique, sous la direction de Jean Arèse, également chef adjoint de l'Opéra de Toulon. Cette école eut un grand rayonnement par les cours dispensés, de nombreux élèves devenant professionnels, elle est actuellement intégrée au Conservatoire à rayonnement régional de Toulon (Toulon Provence Méditerranée).
  • La Philharmonique La Seynoise est aussi une des plus anciennes sociétés de musique du département (fondée en 1840)[118].
  • La Bibliothèque de théâtre Armand Gatti (16 000 livres de théâtre, de 1740 à nos jours), est une bibliothèque de prêt, de consultation et de conservation, la seule de ce type jusqu'à la frontière italienne. Située place Martel Esprit, c' est également un lieu de résidence spécialisé, accueillant uniquement des auteurs écrivant pour le théâtre ou "la rue"[119].
  • Café théâtre La 7e vague, lieu de convivialité artistique, culturelle et citoyenne depuis 1999 (Graeme Allwright, Pierre Vassiliu, Anthony Joubert...).

Jumelage modifier

Depuis 1973, grâce à l'association locale France-Urss, un jumelage s'est constitué avec la ville de Berdiansk (Ukraine) ville thermale et balnéaire côtière de la mer d'Azov (110 000 hab).

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Blasonnement :

D'azur, à deux poissons d'argent, l'un sur l'autre,
le second contourné, et un chef cousu de gueules,
chargé de cinq pains d'or, posés 3 et 2.
[123]

Lorsqu'il est représenté avec ses ornements extérieurs, le blason est entouré de rameaux de chêne et de laurier, coiffé d'une couronne murale à trois tours et décoré de la Croix de guerre que la ville a reçue le [124]. Cette version des armoiries de La Seyne-sur-Mer, datant de la Révolution française et rétablie en , avait été privée de sa Croix de guerre et les rameaux de chêne et de laurier avaient fait place à des rameaux de sagne, tels que sur la version de 1700, tandis que les actuels cinq pains d'or étaient devenus des brioches.

Les plages modifier

La Seyne-sur-Mer dispose aussi de nombreuses plages.

En partant de la ville et en descendant vers le sud puis l'ouest, on trouve successivement :

Petits points de baignade le long de la corniche modifier

Nombreux coins de baignade plus ou moins confidentiels tout au long de la Corniche jusqu'à Tamaris

Les Sablettes modifier

C'est de loin la plage la plus importante de La Seyne, avec un beau sable doré.

Très grosse affluence pendant les vacances d'été.

Mar Vivo modifier

Elle se situe dans la continuité des Sablettes vers l'Est.

La Verne modifier

C'est une plage de cailloux avec quelques rampes pour hisser des pointus hors de l'eau.

Fabrégas modifier

Plage de sable sombre.

Le Jonquet modifier

Plage de cailloux située sous le Cap Sicié, après une descente relativement abrupte.

La partie Ouest de la plage est réservée aux nudistes.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « station balnéaire des Sablettes », notice no IA83000439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Géologie des territoires de La Seyne-sur-Mer et de Saint-Mandrier
  3. Actions sur les bassins versants de l'Oïde.
  4. L’Oïde dans le Cap Sicié.
  5. L'eau dans la commune.
  6. Description de la station Cap Sicié - Amphitria.
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre La Seyne-sur-Mer et Toulon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Toulon », sur la commune de Toulon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Toulon », sur la commune de Toulon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  26. Origine des quartiers et lieux-dits seynois. Images de la vie seynoise d'antan - Tome VIII (2001)
  27. Les côtes de Provence. Toulon et la rade d'Hyères
  28. « Nom de famille FABREGAS : origine et signification », sur Geneanet (consulté le ).
  29. a et b Au Parc de la Navale, acier corten
  30. Fiche communale d’informations sur les risques naturels, miniers et technologiques
  31. Didacticiel de la règlementation parasismique
  32. Étude diagnostic de la situation environnementale d'accueil de navires de grande plaisance.
  33. [PDF] Mairie de Toulon, Collecte des déchets verts.
  34. Le Trésor du Félibrige, Frédéric Mistral, édition CPM 1979, vol. 2 p. 870
  35. Revue de l'université de Moncton, vol. 36 n°1, 2005, page 267
  36. Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, vol. 36, no 145,‎ , p. 309 (lire en ligne).
  37. Cubells 1986, p. 310 et 312.
  38. Cubells 1986, p. 316-31.
  39. Cubells 1986, p. 320.
  40. Cubells 1986, p. 322.
  41. « atelier de fabrication et de réparation dit atelier des turbines puis de mécanique des chantiers navals », notice no IA83000431, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Pont-levant », notice no PA00081737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Gilbert Rochu & Yasmina Salhi, « Toulon, ville amirale du Front national », sur Le Monde diplomatique, .
  44. Le parc Fernand-Braudel par le groupe local Littoral Ouest Varois
  45. Le tourisme balnéaire à La Seyne-sur-Mer
  46. Sablettes-les-bains sur le site officiel de la ville
  47. « station de villégiature de Tamaris », notice no IA83000437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. L'architecture balnéaire de Tamaris
  49. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 : p. 48 (La Seyne-sur-Mer et page 54 Saint-Mandrier-sur-Mer.
  50. Résistances seynoises.
  51. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Seyne-sur-Mer, consultée le 26 octobre 2017
  52. Les comptes de la commune « Copie archivée », (archivé sur Internet Archive).
  53. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  57. Écoles maternelles et élémentaires publiques de la commune
  58. École maternelle publique Victor Hugo
  59. a et b « Ecole Sainte-Thérèse », sur ecole-saintetherese83.org.
  60. Écoles, collèges et lycées à la Seyne-sur-Mer
  61. Chapelle de l'institution Saint Marie : soutien de la Fondation du patrimoine aux travaux de restauration
  62. Paroisse Saint-Jean Baptiste
  63. Eglise Notre-Dame du Bon Voyage
  64. Chapelle catholique Notre Dame du Mai ou de Bonne Garde
  65. Notre-Dame de la Mer
  66. Centre consistorial israélite de La Seyne-sur-Mer et de l'Ouest varois
  67. Un renouveau pour le Cirque à la Seyne.
  68. Festival Musiques & Patrimoine en Pays Varois.
  69. Espaces santé
  70. Les Vacances de Ducobu, la suite de L'Elève Ducobu dans laquelle le jeune François Viette a pris la relève de Vincent Claude dans la peau du héros créé par Zidrou et Godi
  71. Les fréquences radio sur la commune.
  72. Économie locale
  73. le maintien et le développement de l’agriculture le maraîchage, la viticulture, la Canne de Provence, la production horticole, la pêche artisanale, la culture marine, le Pescatourisme
  74. Hébergements.
  75. Les magasins à La Seyne-sur-Mer.
  76. Mairie de La Seyne-sur-Mer, Panorama de l’économie locale.
  77. Mairie de La Seyne-sur-Mer, Commerce centre-ville.
  78. Les Deux Frères sur le site officiel de la ville
  79. « station de villégiature du Manteau », notice no IA83000438, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  80. Histoire du château du Manteau et de son parc botanique.
  81. Georges Ortolan, « Michel Pacha, enfant de Sanary, créateur de Tamaris », éditions Graichs, 57 p., 1984.
  82. La barque, principal élément d'architecture rocaille du parc de Michel Pacha.
  83. Le parc exotique du Manteau.
  84. « Eglise Notre-Dame-du-Bon-Voyage », notice no PA00081735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  85. L'église Notre-Dame-du-Bon-Voyage
  86. Notice no PM83000556, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l'église Notre-Dame-du-Bon-Voyage
  87. Orgue de Mader (buffet «raccourci» en 1969...)
  88. Notice no PM83001466, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune
  89. Notice no PM83000555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
  90. Notice no PM83000925, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Paul
  91. Notice no PM83000926, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Pierre
  92. Notice no PM83002630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture buste-reliquaire : Saint Éloi
  93. Notice no PM83000554, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture retable, tableau : Saint Pie V et la bataille de Lepante
  94. L'église Notre-Dame-de-la-Mer
  95. L'église évangélique de Pentecôte
  96. Sanary sur Mer, église réformée de Sanary-La Seyne
  97. Monument aux morts, monument commémoratif des victimes des bombardements, plaque commémorative de la gare SNCF, plaque commémorative des chantiers navals, plaque commémorative du commissariat de police, carré militaire allée 22, carré militaire allée 35, carré militaire n° 11 franco-russe, carré de corps restitués aux familles
  98. Le monument aux morts
  99. a et b Le monument aux Justes
  100. Soutien de la Fondation du patrimoine à la restauration de la chapelle : remise aux normes de l'électricité, restauration des peintures murales, restauration de l'orgue
  101. Institution Sainte-Marie. Les Maristes
  102. L'orgue de la chapelle de l'Institution Sainte-Marie, construit par François Mader
  103. Orgue de l'école de musique, chapelle Saint-Vincent
  104. Histoire de Notre-Dame de Bonne-Garde, dite Notre-Dame-du-Mai
  105. Pèlerinage à Notre Dame du Mai ou de Bonne Garde
  106. A la découverte des oratoires de Janas : sur les trâces des Pénitents de Notre-Dame-du-Mai
  107. La chapelle Notre-Dame-de-Balaguier
  108. Caractéristiques du remorqueur Le Laborieux
  109. Le carrousel Jules Verne
  110. « Fort de Balaguier », notice no PA00081736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  111. Le musée Balaguier, informations
  112. Le Fort de l'Éguillette, informations
  113. a et b Le Fort Napoléon, histoire
  114. Le fort Napoléon, activités culturelles
  115. La Batterie de Peyras, informations
  116. L'Institut Michel-Pacha sur le site officiel de la ville.
  117. La fresque Vasarely, façade nord l'hôtel de ville
  118. Site officiel de la Philharmonique La Seynoise (Fondée en 1840).
  119. La Bibliothèque de théâtre Armand Gatti.
  120. Juste parmi les Nations : Roland Huillet
  121. George Sand à Tamaris.
  122. "Tamaris", le roman de George Sand réédité par un jeune Seynois.
  123. Toulon Provence Méditerranée Ouest : La Seyne-sur-Mer, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  124. Le blason

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier