Wikipédia:Oracle/semaine 41 2012

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Vocabulaire modifier

comment se perfectionner en vocabulaire

Petit cours express de perfectionnement : la politesse est une belle chose, bonjour en début de message et merci à la fin sont toujours utiles et mettent les personnes à qui on s'adresse en de bonnes dispositions. Sinon, ma méthode personnelle a été de beaucoup lire et chaque fois qu'un mot inconnu m'apparaissait, de chercher sa définition dans mon dictionnaire (le Petit Larousse dans mon cas). Et aussi, faire des jeux à base de mots, spécialement les mots croisés, le Scrabble et un jeu qu'on appelait dans ma famille le baccalauréat, qui consiste à trouver en trois minutes le maximum de mots, différents de ceux donnés par les autres joueurs, commençant par la même initiale dans plusieurs rubriques (animaux, personnes, métiers, objets et choses, etc.). -O.--M.--H.- 8 octobre 2012 à 19:42 (CEST)[répondre]
Bonjour Olivier, Comment vas-tu ? Merci pour ce petit message. Au revoir et au plaisir.   Cobra Bubbles Dire et médire 8 octobre 2012 à 20:49 (CEST)[répondre]
… oui, je profite de l'intervention de Cobra Bubbles pour saluer et (re)dire mon admiration et mes salutations à Olivier, le remercier de ses interventions et ses observations toujours sujettes à réflexions et même introspections (ou méditations ou pensées… ? ). On t'aime. — Hautbois [canqueter] 8 octobre 2012 à 23:04 (CEST)[répondre]

Traduction du tibétain au français modifier

Bonjour,

Ne parlant pas un mot de tibétain, je me tourne vers wikipédia et ses pythies..

J'aimerais savoir quelle est la signification de cette image : http://ad.img.v4.skyrock.net/6941/40416941/pics/2495703237_small_1.jpg!

Salut. En espérant qu'une pythie (bétaine ?) passe par là, mais tu devrais peut-être passer par le Portail:Tibet ou le Projet:Tibet, où il y aura certainement tout un tas de contributeurs compétents pour t'aider dans ta recherche. -O.--M.--H.- 8 octobre 2012 à 23:16 (CEST)[répondre]

Livres écrits dans une langue et traduits par l'auteur ? modifier

Bon matin. Presque tout est dans le titre, je lis en ce moment Le Cheval d'orgueil (livre) écrit en breton (bigouden) par Pierre-Jakez Hélias puis traduit par lui-même en français. Connaissez-vous d'autres exemples de ce genre, toutes langues comprises.Je vous remercie pour vos lumières.--Joël DESHAIES (d) 9 octobre 2012 à 00:15 (CEST)[répondre]

Salut. Tiens ben justement, j'ai entendu sur ma radio (France Culture) hier matin, un auteur qui fait ça, et même plus encore, Vassilis Alexakis, qui a la particularité d'écrire certains de ses romans d'abord en français, certains d'abord en grec, et d'en assurer la traduction dans les deux langues.
Une piste : la majorité des humanistes de la Renaissance ou de l'époque moderne étaient bilingues et souvent tri- ou quadrilingues et au-delà (leur langue native, le latin, plus le grec et pour ceux dont ça n'était pas la langue native, le français), il est probable que plus d'un ait rédigé des textes en latin, pour une diffusion européenne, et les aient traduits dans leur langue native, ou l'inverse (à remarquer que ce n'est pas le cas de René Descartes, qui écrivit en latin et en français, mais n'assura pas les traductions d'une langue à l'autre). -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 06:38 (CEST)[répondre]
Citons (plus récemment) le cas de Raymond Federman, qui écrivait en français et en anglais, et qui a traduit certaines de ses œuvres (pas toutes) dans l'autre langue. --Serged/ 9 octobre 2012 à 07:32 (CEST)[répondre]
Un autre exemple: Nancy Huston, qui a traduit elle-même son roman Plainsong, passé inaperçu dans l'édition originale anglaise, en français en Cantique des plaines, qui fut un grand succès critique et de librairie et qui a lancé sa carrière. --Xuxl (d) 11 octobre 2012 à 19:49 (CEST)[répondre]

Bonjour, c'est aussi le cas d'un grand écrivain contemporain tchèque, Milan Kundera, qui a lui-même retraduit la totalité de son oeuvre, si bien que chacun de ses premiers romans a la même valeur d'authenticité que ses écrits français plus tardifs.

Auteurs ayant écrit dans une autre langue que leur langue première ? modifier

Bonne matinée, suite de la question précédente. Pouvez-vous me donner des auteurs ayant écrit dans une langue seconde pour eux. Je pense à Cioran, roumain ayant beaucoup écrit en français. Le cas de Jonathan Littell auteur des Bienveillantes ne correspond pas car bien qu'américain à l'époque, il avait vécu ses 18 premières années en France (jusqu'au bac) et était donc bilingue. Je vous remercie pour vos cogitations.--Joël DESHAIES (d) 9 octobre 2012 à 00:32 (CEST)[répondre]

Il y en a beaucoup. Une des difficultés est, bien sûr, de savoir à quel point la langue n’est pas première, c’est à dire à partir de quel âge on considère que la langue a été tardivement apprise. Prenons trois cas extrêmement célèbres : Joseph Conrad, qui écrit un anglais d'une puissance assez incroyable, et dans lequel on trouve parfois des gallicismes, le français ayant été sa vraie première langue étrangère, bien qu’il n’ait rien écrit dans cette langue. Conrad a appris l’anglais tard dans sa vie, en dehors de tout cadre formel. D’un autre côté, nous avons Vladimir Nabokov, souvent cité pour la polyglossie de son oeuvre : sa carrière en anglais est la plus importante, et il a écrit en français et en russe. Mais, là, on peut se demander à quel point ces langues étaient pour lui étrangères, puisqu’il fait partie de cette élite russe qui a été éduquée en plusieurs langues, mais en Russie même (de la même génération de Russes, nous avons, pour la littérature française, la géniale Irène Némirovsky). Entre les deux, nous avons Samuel Beckett qui a écrit en français et en anglais son oeuvre, après avoir fait des études de français.
Une autre difficulté est de déterminer l’importance que doivent avoir ces travaux en langue étrangère dans l’oeuvre de leur auteur pour faire d’eux des auteurs qui écrivent dans une langue seconde pour eux. Par exemple, Milan Kundera écrit depuis quelque temps en français, mais son oeuvre importante a entièrement été écrite en tchèque. Autre exemple, peu de gens savent que Karl Marx a écrit Misère de la philosophie en français, ou encore que le plus importante poète de la première moitié du XXe siècle en langue anglaise, T.S. Eliot a écrit ses tous premiers poèmes en français, tout comme le plus important poète italien de la même période, Ungaretti. C’est assez naturel : ces écrits sont anecdotiques dans leur oeuvre. --gede (d) 9 octobre 2012 à 03:12 (CEST)[répondre]
Je dis comme gede, la question est délicate à trancher. Cela dit, la masse des écrivains (de fiction, de poésie ou d'essais, et aussi de chansons, d'articles de journaux, etc.) écrivant dans une langue ou plus qui ne soit pas leur langue native ou première (car les deux ne se confondent pas toujours : Michel de Montaigne, par exemple, a comme langue première le latin, comme langue native le français) est très grande.
Déjà, il y a tous les écrivains d'anciens pays coloniaux qui écrivent dans la langue de l'ancien colon, quand celle-ci n'est pas leur langue première (comme le rappelle aussi gede, parmi les élites la « grande langue » est souvent acquise avant, voire parfois à l'exclusion, de la langue native). Il y a le cas évoqué dans la question précédente des humanistes de l'époque moderne qui lisent, écrivent et souvent parlent le latin et le grec, en plus de leur langue native, une pratique qui perdura jusqu'au tout début du XXe siècle, en France par exemple les universitaires rédigeaient encore leur thèse en latin à la fin du XIXe siècle, comme le firent entre autres Jean Jaurès et Henri Bergson. Et aussi, entre les XVIe et XIXe siècles une part importante des écrivains d'Europe rédigent directement dans une des grandes langues contemporaines (français, allemand, russe) même quand ce n'est pas leur langue native ni première.
Autre cas courant, bien sûr, celui des immigrés. Sans même considérer ceux qui arrivèrent très jeunes dans leur pays d'immigration, dans les bagages de leurs parents ou après adoption, on en trouve beaucoup là encore : Beckett déjà cité, Cioran, Ionesco, Conrad lui aussi cité, Jorge Semprún, etc. Une liste finie mais très longue.
Enfin, il y a ces nombreux cas d'auteurs qui vivent dans des pays multilingues, et qui n'écrivent pas dans leur langue première, soit par nécessité (langue native minoritaire, parfois non écrite, langue d'écriture majoritaire), soit par choix ou par éducation. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 07:16 (CEST)[répondre]
Citons Raymond Federman (voir plus haut) français d'origine, qui a écrit en anglais (mais aussi en français), et bien sûr Albert Cossery, égyptien (arabophone) qui a écrit essentiellement en français. --Serged/ 9 octobre 2012 à 07:36 (CEST)[répondre]
Dai Sijie a écrit Balzac et la Petite Tailleuse chinoise et Le Complexe de Di en français. --MGuf (d) 9 octobre 2012 à 13:07 (CEST)[répondre]
La même Nancy Huston citée dans la question précédente a écrit la majeure partie de ses textes en français (ou plus exactement, les a d'abord publiés dans cette langue), qui n'est pas sa langue première. -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 21:39 (CEST)[répondre]

Un peu de technique, une ampoule d'eclairage qui fait du bruit... modifier

 
Gzzzzzzzzzzzzzz

Bonjour, C'est CQui (d),

Je me suis retrouvé devant un truc que je n'avais pas vu, une ampoule électrique à économie d'énergie du genre fluo compacte qui fait du bruit. Le bruit n'est pas très fort, une sorte de vibration, un peu comme un bruit de transformateur (comme ceux des trains électriques). Pour info, l'ampoule est dans un couloir ou il n'y a pas d'éclairage naturel ou presque pas, chez une personne âgée qui n'y voit presque plus, donc l'ampoule est allumée du matin au soir.

Est-ce un phénomène courant ? Est-ce que cela peut venir de l’installation ou d’un défaut dans l’ampoule ?

Dans l'attente de vos avis éclairés et, j'ai du mal a imaginer des blagues a ce sujet mais n'hesitez pas non plus... Salutations. --9 octobre 2012 à 10:36 (CEST)

Hello,
Les lampes dont tu parles sont souvent des lampes à décharge, qui émettent un certain[Combien ?] rayonnement électromagnétique. C'est très certainement celui-ci qui se trouve capté par un composant, qui se met à vibrer et donc fait du bruit. Pour moi, pas de danger, mais il est possible qu'une lampe de meilleure qualité ait 2 ou 3 éléments qui atténuent ce bruit. Mitch-Mitch 9 octobre 2012 à 11:23 (CEST)[répondre]
Est-ce qu'il n'y aurait pas une bobine d'induction dans le ballast électronique qui est contenu dans le culot de la bête ? Parce qu'en vieillissant, la résine d'imprégnation de la bobine pourait sécher, et le noyau finirait par vibrer, comme dans un transformateur. le sourcier 9 octobre 2012 à 13:34 (CEST)[répondre]
CQui (d) Ce doit etre ce qui s'est passé, apres avoir remplace la lampe par une autre identique achetee en meme temps mais conservee a un endroit mois chauffé et pas utilisee, il n'y a plus de bruit. --16 octobre 2012 à 14:47 (CEST)[répondre]

Création de matière à partir d'énergie modifier

Bonjour,

La production d'énergie à partir de matière se fait tous les jours dans les centrales nucléaires, mais sait-on fait le contraire? Attention, je ne parle pas d'une particule à la noix qui a une durée de vie espsilonesque, mais de matière stable et durable dans le temps. Skiff (d) 9 octobre 2012 à 11:29 (CEST)[répondre]

Créer de la matière n'est pas facile. D'ailleurs, éliminer de la matière non plus (cf lavoisier). Dans une centrale, la matière se décompose en une autre forme de matière, et émet un rayonnement énergétique. La photosynthèse est un peu l'inverse : l'énergie permet de recombiner le carbone, l'oxygène et l'hydrogène pour faire de la cellulose par exemple. La galvanoplastie est un peu du meme genre. Mitch-Mitch 9 octobre 2012 à 11:44 (CEST)[répondre]
Ben, en fait ça se passe sans cesse, sinon que ça porte sur des quantités nettement moins importantes d'énergies que dans les centrales nucléaires. Et d'ailleurs, ça se passe aussi dans les centrales nucléaires. Les processus chimiques sont bien la création (ou la décomposition) de matières nouvelles par des transferts d'énergie, et pour les centrales nucléaires elles ne transforment pas de la matière en énergie, elles transforment de la matière en une autre matière, ce qui produit une dissipation importante d'énergie, plus importante donc que dans les processus chimiques, voilà tout. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 13:10 (CEST)[répondre]
Euh, je pense que vous n'avez pas compris la question. Il faudrait que Skiff précise un peu, mais je pense qu'il fait référence au transfert entre masse et énergie dans E=mc2 : lors d'une réaction de fission ou de fusion, un peu de masse est perdue pour être transformée en énergie. Il demande des exemples du contraire, où l'énergie est convertie en masse. Là, à froid, je citerais bien la synthèse d'antimatière, mais il doit y avoir pas mal d'autres exemples. Arnaudus (d) 9 octobre 2012 à 13:45 (CEST)[répondre]
Je crois que j'ai compris la question et que ma réponse est correcte mais bon, si on veut se limiter aux transferts lourds, il y a la bombe H où l'on fait de la fusion nucléaire. Certes là aussi il y a beaucoup de dispersion d'énergie mais au final on obtient bien une matière nouvelle dans laquelle une partie de l'énergie initiale est transformée en matière. Ça n'est certes pas très économique comme méthode, ni d'ailleurs très souhaitable, mais ça marche. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 14:33 (CEST)[répondre]
Bonjour Olivier. Je crois qu’effectivement vous vous trompez : les centrales nucléaires transforment bien de la matière en énergie.
Les réactions chimiques transforment une matière en une autre, au niveau moléculaire, sans changer la masse globale du système. Les réactions nucléaires transforment une matière en une autre au niveau nucléaire (noyaux), et la masse finale du système est généralement différente de la masse initiale. Dans nos centrales ou bombes nucléaires, on fissionne des noyaux plus lourds que le fer, ou on fusionne des noyaux de manière à obtenir un noyau plus léger que le fer, et la masse finale est plus faible que la masse initiale. La différence devient de l’énergie. À quoi servirait une bombe H si elle n’était pas exothermique !
Le processus inverse se produit dans une supernova, dont l’énergie permet de fusionner des noyaux de manière à obtenir des noyaux plus lourds que le fer. Voir Nucléosynthèse stellaire#Nucléosynthèse explosive.
Grasyop 9 octobre 2012 à 16:23 (CEST)[répondre]
Comme le précise notre article, une réaction nucléaire « est une transformation d'un ou plusieurs noyaux atomiques, elle se distingue d'une réaction chimique qui concerne les électrons ou les liaisons entre les atomes. Dans une réaction nucléaire, deux noyaux atomiques entrent en collision et produisent des produits différents des particules originelles ». Il ne s'agit donc pas de différence de nature mais de différence de niveau : avant comme après une réaction chimique ou une réaction nucléaire, on a toujours autant de matière et d'énergie, et pas de transformation de l'une en l'autre, par contre il y a bien une transformation, celle d'une forme d'énergie en une autre forme d'énergie, simplement, la quantité d'énergie transformée est bien plus importante dans le cas d'une réaction nucléaire, qui agit sur les noyaux, que dans une réaction chimique, qui n'agit que sur les liaisons entre atomes.
Le fait est qu'il y a bien une moindre masse après une réaction nucléaire, mais ça n'est pas du à la transformation de la matière en énergie, c'est du au fait que l'énergie qui permet la cohésion de la matière participe aussi de sa masse. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 17:09 (CEST)[répondre]
Il faut apporter de l’énergie pour séparer deux nucléons, pas le contraire. Ce serait donc l’énergie de séparation de la matière qui fait partie de la masse des particules, si on souhaite l’exprimer ainsi. Dans ce cas, on peut dire que cette énergie immobilisée dans les particules (et qu’on appelle généralement masse) est libérée lors de la réaction (sous une forme qu’on appelle généralement énergie).
En tout cas, soit on identifie la masse à une forme particulière d’énergie, et il n’y a plus de question, soit on fait une distinction entre masse et énergie (sous une autre forme), et la question de Skiff porte sur la possibilité de transformer en masse de l’énergie donnée sous une autre forme. Or la bombe H fait exactement le contraire.
Grasyop 9 octobre 2012 à 20:54 (CEST)[répondre]
Je dois être idiot mais il me semble que la question de Skiff est, « La production d'énergie à partir de matière se fait tous les jours dans les centrales nucléaires, mais sait-on fait le contraire ? ». Or il y a un fait indéniable : on produit de l'énergie avec de l'énergie, celle libérée par la fission ou la fusion, et non avec de la matière. J'essayais, avec mes faibles moyens intellectuels, de rétablir la chose, et disais une autre chose d'évidence : à l'issue d'une réaction nucléaire, que ce soit fission ou fusion, on a bien, d'une part la transformation d'une énergie en une autre forme d'énergie, de l'autre la transformation d'une matière en une autre matière.
Pour préciser, lors de la réaction il y a recombinaison des atomes et dans le cas de la fusion, on part, comme dans l'exemple de notre article, d'atomes de lithium et d'hydrogène pour aboutir à des atomes d'hélium, il y a bien transformation d'une matière en une autre matière. On peut envisager les choses de diverses manières qui se résument en ceci : dans une réaction nucléaire il n'y a pas de transformation de matière en énergie, donc la prémisse de la question est fausse et toute réponse qui accepte cette prémisse comme vraie sera immanquablement fausse. -O.--M.--H.- 11 octobre 2012 à 05:25 (CEST)[répondre]
Bonjour Mitch-Mitch. La photosynthèse ne convertit pas d’énergie en matière : elle transforme une forme d’énergie (lumière) en une autre forme d’énergie (énergie potentielle liée à la rupture d’une liaison chimique) mais conserve la masse totale et l’énergie totale. Grasyop 9 octobre 2012 à 16:32 (CEST)[répondre]
c'est un peu ce que j'avais écrit : on a des atomes C, O et H qui sont captés par la plante (par la respiration entre autres), et grâce à la lumière, la combinaison de cette matière de base est possible pour créer la cellulose. A nouveau matière1 + énergie --> matière2 et rien d'autre   Mitch-Mitch 10 octobre 2012 à 08:48 (CEST)[répondre]

Pour répondre à Arnaudus, je faisais bien allusion à l'équivalence E=mc2. Je me posais la question s'il existait un moyen à partir d'un courant électrique, d'un rayonnement solaire... de produire de la matière (autre qu'un particule éphémère). Skiff (d) 9 octobre 2012 à 16:53 (CEST)[répondre]

En fait non, on ne peut pas créer (ni détruire) de la matière, on peut juste la transformer. Comme pour l'énergie. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 17:11 (CEST)[répondre]
-O.-, il est évident que Skiff assimile matière et masse, et qu'il ne comprend pas vos réponses (que je trouve vaseuses également). Le parallèle entre une réaction nucléaire et la photosynthèse me semble foireux, et une annihilation proton - antiproton me semble tout à fait vulgarisable en parlant de transformation masse -> énergie. Arnaudus (d) 9 octobre 2012 à 18:11 (CEST)[répondre]
Les plasmas sont-ils de bons exemples ? --Doalex (d) 9 octobre 2012 à 22:00 (CEST)[répondre]
Selon certaines théories, le big bang est issu d'une énergie pure, qui au cours de l'explosion se serait transformée en matière (stable). Selon une autre partie de la théorie, au cours de cette même explosion s'est également produit de l'anti-matière, qui est soit dans le même monde que nous, et on le cherche, soit dans un monde symétrique qui nous est inaccessible. C'est une première réponse à ta question.
Actuellement, on peut estimer que si on pèse les cendres et la fumée d'un feu de cheminée, on a un total inférieur au poids des buches avant le feu. C'est une application directe de E=mc². Dans l'autre sens, on n'a pas d'exemple aussi frappant. La branche d'arbre, avant qu'on la coupe pour la brûler, est une somme de matière et d'énergie. Le système n'est pas assez fermé pour qu'on puisse imaginer peser la matière avant et le bois après pour trouver le poids de l'énergie. La photosynthèse n'est qu'une partie du système. Bertrouf 10 octobre 2012 à 08:54 (CEST)[répondre]
« si on pèse les cendres et la fumée [et la vapeur] d'un feu de cheminée, on a un total inférieur au poids des buches avant le feu. »
Ben non. C’est une réaction chimique, pas nucléaire, donc la masse est conservée. Grasyop 10 octobre 2012 à 16:52 (CEST)[répondre]
Le truc, c'est que ça ne l'est pas tout à fait, la variation de masse est infinitésimale. C'est cependant malhonnête de comparer une réaction chimique à une réaction nucléaire, pour laquelle la variation de masse est 5 ou 6 ordres de grandeur supérieure. Arnaudus (d) 10 octobre 2012 à 17:28 (CEST)[répondre]
Bon je continue mon monologue, en général le plasma est considéré comme le « quatrième état de la matière », voir aussi État plasma#Exemples le rayonnement solaire (chaleur concentrée) peut créer une des conditions (ionisation) d'apparition du plasma, le vent solaire (plasma) sur la magnétosphère va révéler la présence de cette matière, la magnétosphère de Jupiter étant la plus remarquable et génére une présence de plasma (matière) continue hors éruption solaire, pour l'anecdote également voir bulle de plasma.--Doalex (d) 10 octobre 2012 à 10:39 (CEST)[répondre]
En fait, je ne vois pas le rapport entre les plasmas (ou n’importe quel autre état possible de la matière), et la transformation de matière en énergie, ou le contraire. Grasyop 10 octobre 2012 à 16:52 (CEST)[répondre]
On continue, le plasma émanant du soleil c'est quoi ? --Doalex (d) 10 octobre 2012 à 17:59 (CEST)[répondre]
Il faut du temps dans les ingrédients, en aucun cas on transformera un courant d'air en caillou si la question reste terre-à-terre  , il faut voir plus grand et plus longtemps.--Doalex (d) 10 octobre 2012 à 20:33 (CEST)[répondre]
retour chariotDésolé, je n'ai aucune connaissance en plasma, je laisse bien volontiers Doalex monologuer  . En revanche, oui j'insiste, l'exemple de la différence infinitésimale de masse après création d'énergie est le cœur de mon exemple de feu de cheminée. Je l'aime bien car il est facilement accessible même pour quelqu'un qui n'a jamais entendu parler de nucléaire. Bertrouf 11 octobre 2012 à 04:10 (CEST)[répondre]
Je vais apporter mon grain de poussière. Pour répondre à ta question non, à part quelques particules on fabrique pas de matière à ma connaissance à l’échelle humaine. Dans la théorie du modèle actuel la quasi totalité de la matière contenue dans l'univers date de big bang. Je ne pense pas que les étoiles qui s'effondrent et transforment deux atomes "léger" en atomes plus lourd réponde à ta question alors.. je dirai non même à l’échelle univers je ne vois pas de réaction qui convertirai directement énergie en matière. Enfin je crois. Cordialement, Eystein (d) 11 octobre 2012 à 08:44 (CEST).[répondre]
Olivier, merci d'éviter, si possible, d'intercaler des commentaires qui auraient mieux leur place en fin de section.--Doalex (d) 11 octobre 2012 à 11:32 (CEST)[répondre]

Droit d'utilisation d'une image modifier

Bonjour,

J'ai bien lu l'article dédié, mais je dois dire que les questions relatives à l'utilisation d'images trouvées sur le net restent pour moi confuses.

Par exemple, je cherche actuellement une image de José Manuel Caballero Bonald. J'ai trouvé une photo ici, or il est bien dit dans les conditions d'utilisation du site, dans le chapitre nº10, que le matériel utilisé sur le site est libre d'utilisation: « La Información al segundo se publie en accord avec la licence "CreativeCommons – Reconnaissance non commerciale 3.0 Espagne-". Selon ladite licence, l'utilisateur est libre de copier, distribuer et communiquer publiquement l’œuvre; faire des œuvres dérivées. »

Est-ce que ça veut dire que je peux utiliser cette image (en l'important dans Commons)? Dois-je faire une quelconque démarche auprès du site? De manière générale, une image qui est utilisée sur différents sites et blogs et dont il semble impossible de savoir qui en détient les droits est-elle exploitable? Comment?

Merci d'avance, --Daehan (d) 9 octobre 2012 à 15:20 (CEST)[répondre]

PS: Bien sûr, si je ne suis pas au bon endroit pour poser la question, je vous prie de m'orienter vers l'endroit approprié ;)

Le "bon endroit" serait le Bistro multimédia, ou mieux, le Bistro de Commons... mais je te réponds ici quand même.
Je vois "Copyright © lainformacion.com. Todos los derechos reservados" en bas de la page : ça commence mal :-(
... suite détaillée plus tard ... mais si la licence c'est CC-By-NC, ce n'est pas accepté sur Commons : pas assez "libre", car "Non Commercial".
--MGuf (d) 9 octobre 2012 à 16:24 (CEST)[répondre]
Effectivement, les Condiciones de uso mentionnent la CC-By-NC, donc râpé pour Commons ; il y a une contradiction avec la mention "Copyright © lainformacion.com. Todos los derechos reservados" en page d'accueil...
De toutes façon, il y a une doute pour la (les) photo(s), qui peuvent avoir des auteurs différents, et des Condiciones de uso différente... mais ce n'est pas précisé, on est dans le flou.
Pour la photo en question, peut-être qu'elle est sous CC-By-NC, mais ce n'est pas précisé, et il n'y a pas d'auteur cité ! On ne peut donc pas faire autrement que considérer qu'elle est "sous copyright".
Le seule voie et de demander au site qui est l'auteur, pour lui demander de mettre cette image sous licence libre compatible.
Pour une image effectivement sous CC-By ou CC-By-SA, pas de formalité, si ce n'est de citer la licence (un lien vers CC-By-SA est bien aussi, et de citer l'auteur. Tu peux jeter un œil à une page perso sur le sujet : Utilisateur:Manuguf/Conseils CC-BY-SA.
"De manière générale, une image qui est utilisée sur différents sites et blogs et dont il semble impossible de savoir qui en détient les droits est-elle exploitable?" : Non. Elle doit être présumée "copyright", il faut l'accord de l'auteur explicite et écrit de la mettre sou licence libre compatible.
--MGuf (d) 9 octobre 2012 à 18:42 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

Salut. C'est le bon endroit, les questions de licence et de droits sont encyclopédiques, tant que ça reste d'ordre général.
En premier, pour toutes les licences non libres, pas de secret, faut demander à l'auteur une autorisation, pour les licences libres telles que Creative Commons( CC), l'auteur en autorise nécessairement la reproduction, avec des limitations ou obligations plus ou moins étendues. Sinon, il y a deux choses à déterminer : vers où c'est importé et quel usage en sera fait.
Si l'image est reprise dans un contexte où elle sera publique, la principale question est celle de la licence du lieu (site internet, livre, périodique...) où elle est reproduite, qui doit être compatible avec celle initiale. C'est pourquoi, par exemple, Wikimedia Commons n'accepte pas toute image CC, comme le précise cette page, « les licences “NC” (Pas d'Utilisation Commerciale) et “ND” (Pas de Modification) ne sont pas acceptées », car la Wikimedia Foundation ne s'interdit pas une utilisation commerciale des contenus de ses projets et que dans lesdits projets la modification des contenus et objets doit être possible. De même, un site qui serait régi par le copyright ne peut pas sans contradiction héberger certaines images CC (les CC-SA).
Bref, c'est au cas par cas, à chaque fois il faut vérifier si la licence de la cible est compatible avec celle de la source. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 16:46 (CEST)[répondre]
Bonjour, et merci beaucoup à vous deux.
Je me rends compte qu'effectivement il s'agit d'une licence CC-By-NC. Je comprends la limitation de Wikipedia, donc effectivement, c'est niet. Il faudrait que je contacte le site pour leur demander l'autorisation, du coup, c'est ça? --Daehan (d) 9 octobre 2012 à 17:14 (CEST)[répondre]
Là ça n'est plus du domaine de l'Oracle, suivre les suggestions de MGuf pour des infos plus précises. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 18:18 (CEST)[répondre]
Oui, quand j'avais répondu, la deuxième partie de son message n'avait pas encore été publiée (je suppose que c'était dû au conflit d'édit)... C'est très clair à présent: merci beaucoup! --Daehan (d) 9 octobre 2012 à 21:56 (CEST)[répondre]
CQui (d) L'un des probleme avec les photos prises sur des sites qui ne sont pas specialises dans la diffusion de photo, en particulier els sites d'information, c'est qu'il ne sont tres souvent pas les auteurs des photos et ils peuvent te dire qu'il n'y a pas de probleme mais le photographe lui peut ne pas etre d'accord. --10 octobre 2012 à 12:59 (CEST)[répondre]

bjr je voudrais savoir comment prouver que ProfA est un artiste confirmé et que différent titre en déja été commercialisé???

Salut. Ici c'est l'Oracle, pour toute discussion portant sur le contenu d'articles, l'adresse est le Bistro. -O.--M.--H.- 9 octobre 2012 à 19:51 (CEST)[répondre]
On peut aussi conseiller à notre questionneur de lire les critères d'admissibilité : Wikipédia:Notoriété de la musique et Wikipédia:Notoriété des personnes. Si ProfA répond aux critères, alors il suffit de l'écrire dans un article ProfA. Sinon, il suffit de laisser ce lien rouge. Après une brève recherche, il semble qu'il n'a écrit qu'un album, "Mo to style / Nouveau Départ", ce qui n'est pas suffisant. Bertrouf 10 octobre 2012 à 09:06 (CEST)[répondre]

Détecteur de mensonges modifier

Bonjour à l'Oracle,

Je me posais la question de savoir si une personne qui pourrait présenter des troubles de type schizophrénie arriverait à tromper un détecteur de mensonges du fait que même si ce qu’elle dit est complètement faux, le fait qu'elle en soit complètement convaincue fasse que ce ne soit au final pas perçu comme tel par la machine (par exemple être persuadé d'avoir rencontré et parlé avec quelqu'un alors que ce n’est jamais arrivé)? Au passage, si des cas et/ou des sources existent, pourquoi ne pas les rajouter dans l’article Détecteur de mensonge, actuellement peu développé et apparemment peu sourcé aussi   Merci d'avance les Pythies, --Floflo (d) 9 octobre 2012 à 22:02 (CEST)[répondre]

Le détecteur de mensonge n'est pas seulement une machine, c'est une méthode pour trouver la vérité. Il y a d'abord la machine, il faut qu'elle soit compliquée, avec plein de voyants, plein de boutons, un grand écran avec des courbes incompréhensibles. On branche le gars un peu partout, il faut qu'il ait l'impression que rien ne peut sortir de lui sans qu'on en soit averti, et qu'il soit mal à l'aise. Et puis, on le cuisine à petit feu, il finira bien par se fatiguer. Si le résultat n'est pas flagrant et qu'après douze heures d'interrogatoire, il n'a pas encore avoué avoir assassiné sa voisine, alors, on lit dans les entrailles, pas celles du gars, pas encore, celles de la machine. C'est de la divination, en fait c'est à mi-chemin entre le « ton nez, il tourne ! » qu'on sert aux marmots et la gégène. Ça marche bien, on trouve toujours un coupable et tout rentre dans l'ordre. L'article gagnerait à être sourcé mais dans le fond il n'est pas si mauvais. le sourcier 9 octobre 2012 à 22:58 (CEST)[répondre]
Comme l'explique notre article, le détecteur de mensonges n'est pas fiable et en fait on peut somme toute assez facilement le tromper, moins tant par une parfaite maîtrise de soi qui donnera des réactions égales qu'on mente ou non, qu'en empêchant un étalonnage des réactions, par exemple en accélérant ou ralentissant sa respiration, en se crispant ou se détendant, etc. Comme dit à sa manière le sourcier, l'efficacité de l'appareil est plus dans la croyance induite de son efficacité, qui fera réagir le sujet interrogé comme on s'y attend par l'appréhension qu'il éprouve. Sinon, les schizophrènes ne sont pas de bons clients pour le détecteur de mensonges, moins tant parce qu'ils sont certains de la vérité de leurs hallucinations, quand ils en ont, que par l'incohérence de leurs réactions émotives, tantôt excessives tantôt insuffisantes, qui ne permettraient pas un bon étalonnage du polygraphe. -O.--M.--H.- 10 octobre 2012 à 00:57 (CEST)[répondre]
CQui (d) Il a l'etalonage, ils demande au client son nom et autres details, on lui offre l'occasion de mentir... et la schizophrénie devrait se reveler de cette facon, mais comme deja dit, le truc sert surtout a envoyer des inocent au casse pipe et permettre aux vrais mechants de les y envoyer... --10 octobre 2012 à 12:53 (CEST)[répondre]
Aie, je suspectais quelques remarques de ce genre, mais pas autant   J'aurais dû alors dire: est-ce qu'un schyzophrène arriverait à ne pas produire les manifestations chimiques/biologiques ou autres censées être détectables par l'appareil, en dehors de toute considération sur l'usage qu'il en est fait, ou même de sa fiabilité d'ailleurs (on peut en effet répondre selon la seule base de sa fiabilité présumée et non démontrée) Euh, j'espère être clair, sinon désolé et merci quand-même pour les réponses ^^'   --Floflo (d) 10 octobre 2012 à 16:20 (CEST)[répondre]
Attention à ne pas confondre Vérité et Véracité. Si la machine peut prouver que le schizophrène ne ment pas ( la véracité de ses propos), elle ne peut évidemment pas savoir si les propos sont Vrais pour autant. Ainsi il peut très bien mentir sans se tromper... et inversement.--Grandissime (d) 10 octobre 2012 à 17:49 (CEST)[répondre]
Ben, on ne peut pas te répondre simplement. Comme je disais dans ma précédente réponse, un schizophrène qui serait, selon ce que je comprend de ta proposition, en pleine psychose, n'a pas de réponses émotionnelles « normales », comme dit notre article sur la schizophrénie, elle « engendre des dysfonctionnements cognitifs, sociaux et comportementaux », de ce fait on ne peut pas prévoir si le schizo évalué par un polygraphe va « tromper » l'appareil en affirmant comme vrai un fait faux, ou faux un fait vrai, en ce sens qu'il aura aléatoirement une réaction émotionnelle déterminée comme « vérité » ou « mensonge » par l'appareil, qu'il soit lui-même persuadé qu'il mente ou dise la vérité, puisqu'il y a chez lui une discordance des états émotionnels, qui sont donc indépendants de la vérité ou fausseté de ses propos, que ce soit les vérités ou faussetés objectives ou celles intimes du sujet.
D'un sens on peut dire que le schizophrène est un bon sujet pour tromper un polygraphe, mais on ne peut pas assurer que l'appareil ne déterminera pas comme mensonge ce qui apparaît pour tout autre comme un mensonge mais vécu par le sujet comme vérité, car il peut avoir un comportement émotionnel « de type mensonge » alors qu'il croit dire la vérité. -O.--M.--H.- 10 octobre 2012 à 20:32 (CEST)[répondre]
Ok, vu ! Alors merci bien à tous   --Floflo (d) 11 octobre 2012 à 14:13 (CEST)[répondre]
Ah oui ! Il y a aussi cette question, qu'on pourrait dire philosophique : est-ce tromper le polygraphe que d'affirmer vraie une chose fausse quand on est persuadé qu'elle est vraie ? Ta personne schizo ou souffrant d'autres pathologies (mythomanie par exemple) qui répond oui quand on lui demande si elle a rencontré des extraterrestres, en étant persuadée qu'elle en a rencontré, ne ment pas, objectivement. Si donc elle a une réaction émotionnelle en concordance avec sa réponse, ça ne prouvera pas que le détecteur de mensonges a été trompé mais bien plutôt que les inventeurs du polygraphe ont une conception limitée de la vérité et du mensonge   -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 00:29 (CEST)[répondre]
Intéressant effectivement comme réflexion, je prends !   Merci ^^ --Floflo (d) 12 octobre 2012 à 00:45 (CEST)[répondre]

factures intermédiaires edf modifier

Bonjour, je ne crois pas que ma question soit d'ordre encyclopédique, mais si une bonne âme avait une réponse à me fournir, j'apprécierai vraiment. voici ma question : Comment Edf calcule-t-il le montant d'une facture intermédiaire ?, y-a-t-il une équation accessible au public pour que ce dernier puisse vérifier ? existe-t-il un texte de loi qui réglemente cette facturation intermédiaire ? Merci déjà pour vos lumières électriques ! --Le ciel est par dessus le toit (d) 10 octobre 2012 à 12:59 (CEST)[répondre]

Salut. Je ne connais pas exactement le système mais il est assez simple, de mon expérience, autant que j'aie pu comprendre ça se base sur la consommation de l'année de contrat précédente, d'ailleurs tu peux vérifier ça s'il s'agit d'un cas concret en voyant combien a été payé au total l'année d'avant. Et pour une première année de contrat, je suppose que ça se base sur une moyenne de consommation pour un logement et un ménage comparables dans le secteur. -O.--M.--H.- 10 octobre 2012 à 14:25 (CEST)[répondre]
Ça doit se baser effectivement sur l'historique de consommation existant ou, pour un nouveau contrat, sur des moyennes tarifaires, avec une modulation saisonnière éventuelle (pour un logement avec chauffage électrique, une estimation en février devrait être nettement plus forte qu'en août). Père Igor (d) 10 octobre 2012 à 18:11 (CEST)[répondre]
+1 Vraisemblablement une petit règle de trois en fonction de la facture précédente à la même période, en tout cas il est beaucoup raisonné de ce genre en calculs prévisionnels. --Floflo (d) 10 octobre 2012 à 18:28 (CEST)[répondre]

Ce que je ne comprends pas, c'est que pour octobre 2012, j"ai selon eux consommer moins de 100kw/h par rapport à 2011 et que ma facture de 2012 est supérieure à celle de 2011. Merci quand même. --Le ciel est par dessus le toit (d) 10 octobre 2012 à 18:45 (CEST)[répondre]

regarde l'évolution du prix du kw/h, et puis pleure...(surtout quand après t'as la même surprise mais pour le gaz) Cobra Bubbles Dire et médire 10 octobre 2012 à 18:59 (CEST)[répondre]
Il peut y avoir plusieurs raisons à cette différence.
Je ne sais quelle est ta consommation mais si c'est de l'ordre de 3.000 kWh/mois et qu'il y a eu une augmentation de 5% du prix du kWh, une réduction de 3,33% de consommation fera tout de même une facture plus importante. Autre cas, si à l'inverse ta consommation est très faible, disons, moins de 400 kWh, et qu'il y a eu une augmentation importante du prix de l'abonnement, la baisse de consommation est annulée par la hausse de l'abonnement. Encore une possibilité, une réduction globale du nombre de kWh mais une augmentation du tarif heure pleines et une forte diminution du tarif heures creuses, donc une hausse du prix moyen du kWh.
Enfin, et pour clarifier la chose, le système de facturation d'EDF est un peu complexe quand on n'opte pas pour la solution simple d'un échéancier mensuel à montants égaux. Dans le cas habituel des six factures « au réel », en fait les compteurs ne sont pas relevés tous les deux mois mais selon les cas, deux à quatre fois par an. De ce fait, deux à quatre factures ne sont pas au réel mais estimées, dans ce cas on a un mixte entre ma première proposition, une évaluation par rapport à la consommation de l'année précédente, et une correction basée sur la consommation constatée en cours d'année. Pour des raisons propres à EDF, les factures estimées entre deux lissages annuels sont souvent un peu et parfois, beaucoup surestimées, la sixième étant la seule réellement au réel. -O.--M.--H.- 10 octobre 2012 à 20:13 (CEST)[répondre]

Merci pour ces réponses qui m'éclaire un peu, je crois que je vais finir à la bougie ce soir.--Le ciel est par dessus le toit (d) 10 octobre 2012 à 20:58 (CEST)[répondre]

CQui (d) Je me demande depuis longtemps s'il n'est pas possible de relever le compteur electroniquement, par le reseau lui meme... Si non, il me semble difficile d'avoir un employé a chaque compteur pour le relever a minuit, a la fin de chaque periode de facturation, donc il y aurra toujours une estimation... --11 octobre 2012 à 13:06 (CEST)[répondre]

si l'estimation vous paraît injuste, appeler le service client et demander une facture rectificative. sinon changer de Fournisseur d'électricité. --88.160.13.244 (d) 11 octobre 2012 à 16:15 (CEST)[répondre]

Du temps où mon fournisseur d'électricité était encore EDF, à chaque fois que j'emménageais dans un logement, et que je souscrivais un nouveau contrat, on me posait plein de questions sur mes appareils électriques, le nombre de personnes au foyer et le logement, pour estimer ma consommation (type de chauffage, congélateur, surface du logement, ...). Les années suivantes, en effet, les factures étaient basées sur ma consommation de l'année précédente (je crois). Depuis quelques années les compteurs électriques peuvent être relevés à distance par ERDF, mais beaucoup de logements ont encore d'anciens compteurs, parce que ça coûterait cher de tous les changer. En 1997 dans un logement neuf j'ai vu un tel compteur électronique. Cependant rien ne prouve que le relevé est fait souvent, même à distance. Je sais que Enercoop n'a pas toujours eu accès facilement aux relevés faits par ERDF. --Tchai 12 octobre 2012 à 21:19 (CEST)[répondre]

en ce qui concerne enercoop, ce n'est pas lui mais le distributeur (Réseau ERDF) qui gère le système des estimations et des relèves réelles. Le distributeur communique ensuite ces données à enercoop qui les utilise à défaut de déclaration du consommateur.--Moulins (d) 12 octobre 2012 à 21:28 (CEST)[répondre]

philo/sociologie modifier

je suis un nouveau étudiant affecté en philo/sociologie et j'aimerais avoir plus d'info le déçu. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Sylla oumar (discuter), le 10 octobre 2012 à 13:17 (CET)[répondre]

C'est un excellent choix et un très bon début. -- Xofc [me contacter] 10 octobre 2012 à 13:35 (CEST)[répondre]

Qu'est-ce que ça veut dire 'écrivain d'art'? modifier

Bonjour,

Je suis en train de traduire un extrait d'Apollinaire et je cherche la signification du terme 'écrivain d'art'. Il dit: "Quelques jeunes gens, écrivains d'art, peintres, poètes, se réunissent pour défendre leur idéal plastique." Mais en fait je ne comprends ce que ça veut dire. Est-ce que c'est qu'un écrivain d'art est quelqu'un qui écrit des livres 'artistiques', c'est à dire littéraires? Je croyais aussi qu'il se peut qu'il veut dire 'ce qui écrivet au sujet de l'art', mais il dit plus tard dans l'extrait : "Il se trouve qu'elle n'est pas celle de la plupart des écrivains d'art populaires de notre temps.", qui me fait penser que ce doit être le premier: un auteur. Est-ce qu'ici c'est le même sens du mot, et est-ce qu'il s'agit des auteurs qui écrivent des livres qui n'ont presque pas une valeur littéraire? Je vois à Cubisme que Léon Gard était un "peintre et écrivain d'art" mais je ne sais pas encore exactement cela veut dire. Si vous pouvez m'aider, je serais très reconnaissant. Merci d'avance!

129.67.144.47 (d) 10 octobre 2012 à 19:08 (CEST)[répondre]

Oh là, je voulais dire 'qu'il se peut qu'il veuille dire'... 129.67.144.47 (d) 10 octobre 2012 à 19:10 (CEST)[répondre]
De ce qu'il en semble, au tournant des XIXe et XXe siècles, écrivain d'art correspondait à critique d'art, critique artistique, avec la connotation d'une certaine qualité de plume et la dénotation du métier habituel de littérateur (p. ex., Baudelaire). Il se peut qu'Apollinaire fasse référence à cet usage (ce que semble confirmer la proximité du terme "peintres") mais aussi, c'est peut-être pour faire une distinction avec les autres sortes d'écrivains, l'écrivain public, l'employé aux écritures et dans la marine, l'équivalent de l'économe-comptable. -O.--M.--H.- 10 octobre 2012 à 20:55 (CEST)[répondre]
Merci Olivier, c'est plus clair maintenant. Quand même, je ne sais pas comment je vais le rendre en anglais... J'y reflécherai... Merci encore! 129.67.144.47 (d) 11 octobre 2012 à 09:25 (CEST)[répondre]

le pied modifier

Dans l'article sur le pied, pied étant une mesure, pouvez -vous me dire à quoi correspond le pied, en millimètres, que les facteurs d'orgue utilisent? On parle ,en facture d'orgue, de jeu de montre de 8 pieds ou de 16 pieds.

On parle d'une flûte de 8 pieds ou 4 pieds ou 2 pieds. Ces pieds ont commencé à être utilisés en France en 1500. Voilà pourquoi,

je me demande à quoi ce pied corrrespond? Les anglais et les américains ont repris la terminologie: 8 foot (feet???) stops.Merci.

Pourriez-vous l'ajouter dans votre article sur le pied?--70.48.136.206 (d) 11 octobre 2012 à 01:55 (CEST)[répondre]

Bonjour, Il est écrit dans le lexique de l'orgue à la lettre P la définition d'un pied acoustique qui fait 324mm. Il ne s'agit pas d'un pied métrique. Hautbois (d · c · b), as-tu d'autres explications ? Bertrouf 11 octobre 2012 à 04:30 (CEST)[répondre]
… pour les facteurs d'orgue, le pied est l'unité de mesure désignant la hauteur théorique du tuyau de base d'un jeu quelle que soit sa vraie longueur. Depuis le début du XVIIe siècle, c'est le do1 (65,41 hertz actuel) qui sert de base. Si le tuyau d'orgue est à bouche (donc ouvert, avec biseau, principe de la flûte à bec), de forme cylindrique et ouvert à l'autre extrémité, pour jouer ce do1, le tuyau doit avoir une longueur de huit pieds (8 * 324mm = 2592mm actuellement): il est appelé « 8 pieds ». Mais si vous bouchez le haut du tuyau, vous obtenez la même note une octave plus bas, donc comme un « 16 pieds » avec l'extrémité ouverte (5184mm). Acoustiquement, le son est moins brillant, plus feutré. Si vous pensez dans l'autre sens, un tuyau moitié plus court de 1296mm fermé à son extrémité jouera le même do1 que celui de 2592mm ouvert et aura donc la même qualification de « 8 pieds » et si vous l'ouvrez, ce sera un « 4 pieds ».
Il y a d'autres formes de tuyau, (coniques, coniques inversés, carrés… ) et d'autres modes de production du son (anches libres, battantes… ) qui changent la donne et les calculs. Pour simplifier, quelque soit sa longueur, un « 8 pieds » doit donner un do1, un « 4 pieds » un do2, un « 2 pieds » un do3 juste en-dessous du la du diapason (440 hertz actuel). Pour info, ces longueurs autrefois étaient données en… pouces. — Hautbois [canqueter] 11 octobre 2012 à 06:37 (CEST)[répondre]
… il faut ajouter que ces calculs dépendent aussi de la pression de l'air envoyer. La pression de référence est, dans un tube en U un déplacement d'une quantité d'eau de 60mm. Les orgues anciens étaient autour de 50mm, certains contemporains vont jusqu'à 500, voire 1250mm. Et bien-sûr en considérant toutes les variations suivant les pays et les époques…
… ma conclusion est qu'il ne doit pas exister une longueur standard théorique et que chaque facteur a ses propres « recettes » suivant son outillage et son expérience pour calculer son pied (entre mode de vibration de la colonne d'air, longueur, forme, diamètre, matière et épaisseur du tuyau). — Hautbois [canqueter] 11 octobre 2012 à 07:11 (CEST)[répondre]
Bonjour. Il faudrait modifier/corriger/améliorer 'Lexique de l'orgue#P' et les bêtises (Oups!  ) que je viens d'ajouter à 'Pied (unité)' (en me basant sur la page précédente). -- Xofc [me contacter] 11 octobre 2012 à 07:14 (CEST)[répondre]
 Hautbois [canqueter] 15 octobre 2012 à 00:36 (CEST)[répondre]
Merci! :-) -- Xofc [me contacter] 15 octobre 2012 à 07:38 (CEST)[répondre]

Carmen Cru modifier

Je suis dans le travail de l'article "Carmen Cru" pour la de:WP. Comment est-ce qu'on appelle "the wooden box" en Français, qu'elle utilise sur son vélo. C'est pour les fruits, n'est-ce pas ? 62.241.105.170 (d) 11 octobre 2012 à 10:02 (CEST)[répondre]

Une corbeille ou un panier. --Rene1596 (d) 11 octobre 2012 à 10:07 (CEST)[répondre]
Un cageot. À remarquer que l'interwiki est fautif, le cageot n'étant pas un « bottle crate », qui correspond à « caisse à bouteilles » (encore un article à créer ^^). Ça n'est pas non plus un « wooden box », ou du moins ça n'en est qu'une partie.-O.--M.--H.- 11 octobre 2012 à 11:09 (CEST)[répondre]
P.S. D'après Google Traduction en anglais cageot correspond à crate, ce qui n'est pas exact non plus mais plus proche comme équivalence. Pour l'allemand, il donne kiste, ce qui n'est pas faux bien que, encore une fois, pas vraiment exact. C'est une sorte de caisse, disons. -O.--M.--H.- 11 octobre 2012 à 11:17 (CEST)[répondre]
Tiens, c'est amusant 'Casier' ne reprend pas son utilisation en Belgique comme dans un casier de bière. (Ni wikt:casier d'ailleurs alors que 'wikt:bac'-> 'bac de bière' (curieusement avec un 's'?!) fait bien référence à casier). Mettez-moi aussi un bac d'Orval, un bac de citronnade et deux de casiers de Spa Reine ;-) -- Xofc [me contacter] 11 octobre 2012 à 11:42 (CEST)[répondre]
La traduction précise de cageot ou cagette est fruit crate(pour le moins aux USA et Canada), mais :en: n'a pas d'article portant ce titre. Dhatier jasons-z-en 11 octobre 2012 à 14:12 (CEST)[répondre]
Cageot - this is IT - faut pas me prendre pour un con, faut pas m'abuser parceque je suis vieux ... "case" closed! ;-) 62.241.105.170 (d) 11 octobre 2012 à 14:10 (CEST)[répondre]
[Réponse de Carmen] : "the wooden bo" ? , faut pas me parler avec des mots bizarres inventés pour abuser de ma faiblesse. Je connais pas, ça m'intéresse pas. Avec tout ça ma chaîne de vélo est toujours cassée et ça m'arrange pas. --Epsilon0 ε0 11 octobre 2012 à 23:09 (CEST)[répondre]

autour de la notion de dipôle modifier

Bonjour, on désigne par le terme dipôle les composants électriques qui possèdent deux pôles.

  • Existe-t-il un terme pour désigner ceux qui possèdent 3 pôles (comme les transistors) ou plus ?
  • Un fil conducteur est-il un dipôle ?
  • une prise électrique relié au réseau électrique peut-elle être considérée comme un dipôle actif (générateur)?

Merci par avance pour vos lumières, --Moulins (d) 11 octobre 2012 à 10:49 (CEST)[répondre]

  • Même le Wiktionnaire, qui est pourtant assez cool, ne connait pas   tripôle.
  • Non : il faut tjs deux fils (aller et retour du courant) ; quoi que, ce n’est pas la réponse, cf Dipôle
  • « actif » ? moi pas comprendre toi.
--GaAs (d) 11 octobre 2012 à 22:31 (CEST)[répondre]
Pour le 2e point, un fil conducteur, s'il est branché aux 2 extrémités est un dipôle (assimilable à une résistance, certes très faible), une prise électrique n'est pas un dipôle mais c'est la prise et l'appareil qui va avec qui sont le dipôle, une prise murale (secteur) est effectivement assimilable à un dipôle actif. Artvill (d) 11 octobre 2012 à 22:41 (CEST)[répondre]
"Un composant électrique ne peut pas posséder moins de deux bornes par contre il existe des composants électriques plus complexes que les dipôles possédant trois, quatre bornes ou plus, on parle alors de tripôles, de quadripôles etc. Les transistors, les transformateurs, ou les amplificateurs opérationnels ne sont par exemple pas des dipôles." ce cours
"Les fils de connexion ont bien deux bornes ce qui devrait les classer parmi les dipôles cependant leur rôle n'étant que de véhiculer le courant électrique sans avoir d'action particulière sur ce dernier on considère souvent que ce ne sont pas des dipôles à part entière."
Même chose pour la prise murale qui n'est qu'un intermédiaire avec le vrai générateur. V

C'était mieux avant modifier

Bonjour,

Pour quelle raison pouvons-nous nous exclamer « C'était mieux avant ! » face à une situation qui, après réflexion, n'est pas pire qu'avant ? (Pas seulement pour les personnes âgées, je me surprends moi-même à le dire alors que j'ai la vingtaine.) J'ai quelques pistes en tête, mais connaîtriez-vous une étude cognitive qui me permettrait de les vérifier : les souvenirs négatifs s'estompent avec le temps, frustration face à une situation qui évolue trop rapidement, réflexe conditionné... Cordialement, 188.194.48.183 (d) 11 octobre 2012 à 14:07 (CEST)[répondre]

Cherchez peut-être du coté de la Nostalgie (sentiment) d'un Âge d'or, par exemple dans ce texte du philosophe Denis Collin.--88.160.13.244 (d) 11 octobre 2012 à 16:12 (CEST)[répondre]
Oui, Nostalgie est le mot-clé dont j'avais besoin. Ça va faciliter mes recherches. Merci ! 188.194.48.183 (d) 11 octobre 2012 à 21:50 (CEST)[répondre]
C’est vrai, l’Oracle était mieux avant, quand on se fendait la gueule sur les Otis. --GaAs (d) 11 octobre 2012 à 22:23 (CEST)[répondre]
En tout cas, comme bien connu, "la nostalgie c'était mieux avant". <-- d'ailleurs chère pythies, peut-on trouver une origine/un auteur à cette expression ? --Epsilon0 ε0 11 octobre 2012 à 23:18 (CEST)[répondre]
L'expression dérive peut-être de l'autobiographie (1976) de Simone Signoret : La nostalgie n'est plus ce qu'elle était. Dhatier jasons-z-en 12 octobre 2012 à 00:21 (CEST)[répondre]
Oui, merci, c'est La nostalgie n'est plus ce qu'elle était que j'avais en tête ; vient-elle donc de Signoret ou est-elle plus ancienne ? En tout cas elle me semble très reprise (sauf par moi qui la déforme ;-) ). --Epsilon0 ε0 15 octobre 2012 à 00:26 (CEST)[répondre]

chanteur italien modifier

(Question transférée de Discussion Projet:Musique#chanteur italien. -- Xofc [me contacter] 11 octobre 2012 à 18:33 (CEST)[répondre]
bonjour, je cherche le nom du chanteur italien et le titre de la chanson que l'on entend dans le téléfilm l'enfant de toscane. Quelqu'un saurait-il qui est-ce ? Merci --80.9.250.31 (d) 11 octobre 2012 à 17:34 (CEST)[répondre]

Meilleure réponse...la même question ici [1] mais avec un lien de contact concernant au moins le compositeur (pour la chanson ce n'est pas certain, il y a souvent des morceaux additionnels pour faire couleur locale) de la musique, tentez votre chance, écrivez-lui.--Doalex (d) 13 octobre 2012 à 20:58 (CEST)- ou plus simple mettez-vous en relation avec M6 puisque la diffusion est récente (le 10/10/2012), - ce téléfilm ne passera pas sur M6 Replay -.[répondre]

Les états de l'eau modifier

 
arbres dans le brouillard
 
Baie de Port Townsend (Washington)
 
Contraste brumeux à Lignières (Cher)

Bonjour,

J'ai un dilemme sur l'état de l'eau dans le cas du brouillard, est-elle liquide ou gazeuse? J'opterai pour gazeuse car si elle était liquide, le brouillard pourrait couler ce qui n'est pas le cas tant qu'il ne condense pas. Néanmoins, mon argument est peut-être réfutable. Qui peut m'aider? Par avance, merci.

Liquide. Elle est sous forme de gouttelettes en suspension dans l'air. Voir brouillard. Topeil (d) 11 octobre 2012 à 21:44 (CEST)[répondre]
L'article indique plutôt qu'il s'agit d'un système biphasique (soit liquide-gaz, soit glace-gaz). Des gouttelettes d'eau introduites dans une enceinte contenant du diazote pur (ou tout autre mélange gazeux) se vaporiseraient immédiatement pour former de la vapeur d'eau jusqu'à saturation (100 % d'humidité) ; les gouttelettes d'eau introduites par après ne subissent pas de vaporisation (théorie de la pression de vapeur). L'inverse est également vrai : si on injecte de la vapeur d'eau dans une enceinte de diazote, le taux d'humidité va grimper jusqu'à 100 % sans condensation ; la vapeur d'eau injectée par après se condensera. Même raisonnement pour le système glace/gaz, si ce n'est qu'on doit travailler en-dessous de 0 °C. Cdlt, 188.194.48.183 (d) 11 octobre 2012 à 22:11 (CEST)[répondre]

Merci pour ces précisions ! L'explication du système biphasique me convient plutot bien car il correspond davantage aux arguments mis en avant sur la nature des liquides et des gaz, sinon, comment expliquer que le brouillard est liquide mais qu'il ne coule pas ! Encore merci aux pythies pour leur aide !

Au temps pour moi, je n'ai pas précisé. Il y a bien équilibre liquide/gaz pour l'eau. Mais le gaz où évoluent les gouttelettes est majoritairement de l'air : la pression de vapeur saturante de l'eau est très faible à température ambiante (23 mbar à 20 °). Il n'y a pas écoulement car les gouttelettes sont assez petites pour que les forces de frottement soient bien plus grandes que le poids. Si elles deviennent trop grosses, elles tombent (c'est ce qui se passe pour la pluie). Topeil (d)
En effet, le frottement et la poussée d'Archimède compensent le poids, mais sans le dépasser en valeur absolue. Ainsi toutes les gouttes finiront par tomber au bout d'un temps très long, même si en pratique le phénomène de coalescence (liquide-gaz) ou le phénomène de Bergeron (glace-gaz) va les rassembler et précipiter leur chute (pluie). Je ne pense pas que la poussée d'Archimède et le frottement soient les seuls responsables de la cohésion du brouillard, je pense que d'autres forces l'empêchent de se disperser et de s'effondrer, par exemple l'interaction coulombienne si les gouttelettes possèdent une charge électrique (accumulation de charges par frottement avec l'air, croissance des gouttes sur des particules de sel en bord de mer, etc.). Cdlt, 188.194.48.183 (d) 11 octobre 2012 à 23:05 (CEST)[répondre]
Aucune idée pour ça. C'est possible ; intuitivement je dirais qu'il n'y a pas de cohésion d'ensemble, mais là je m'aventure au delà de ce que je connais. Topeil (d) 11 octobre 2012 à 23:12 (CEST)[répondre]

Le brouillard est une suspension colloïdale. --MGuf (d) 11 octobre 2012 à 23:25 (CEST)[répondre]

En tous cas, il y a magnifiques photos sur Commons. Très belle catégorie. Bertrouf 12 octobre 2012 à 09:49 (CEST)[répondre]
Tiens ben, ça m'a donné l'idée d'importer une de mes photos. -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 21:50 (CEST)[répondre]

j'aimerai voir la photo du collier que portait GENGIS KHAN modifier

VEUILLEZ ME FAIRE PARVENIR LA PHOTO DU COLLIER QUE PORTAIT GENGIS KHAN L'EMPREUR MONGOLE MON MAIL bbb@w.fr

Impossible : le portable de Gengis Khan n’était pas muni d’un appareil photo, les téléphones étaient analogiques à l’époque (il me semble). --GaAs (d) 11 octobre 2012 à 22:35 (CEST)[répondre]
  Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
Lequel ? Ma grand mère qui a plus de 700 ans, et qui ne crie jamais , lui a dénombré 1561 colliers dont 331 qu'elle a elle-même photographiés (elle est fan de nouvelles technologies au point de les acquérir quelques siècles avant leurs inventions), au péril de sa vie, lors des chevauchées de Gengissssse (comme elle l'appelle). Si vous parlez de celui, particulièrement cra-cra trouvé il y a 130 ans, sous le permafrost par un soldat perdu de Napoléon, je vous en vends une photo d'époque pour ..., enfin, contactez moi via bbb@w.fr (<-- vu qu'on a la même adresse). --Epsilon0 ε0 11 octobre 2012 à 23:43 (CEST)[répondre]
Et plus sérieusement, en lisant l'article Tombe de Gengis Khan, vous verrez qu'elle est toujours activement recherchée par les architectes, ainsi que les trésors qui la composait. Si vous cherchez le légendaire (donc pas de photo) rubis de Gengis Khan, je vous suggère la lecture du livre d'Odile Alleguede La parole perdue des pierres : La face cachée des joyaux les plus mythiques. Bertrouf 12 octobre 2012 à 09:38 (CEST)[répondre]

Porte cochère modifier

Bonjour, l'article Porte cochère a comme interwiki chez WP:en en:Porte-cochère mais les définitions ne correspondent pas du tout :
Reprise du texte de Commons:Category:Portes-cochères in France

(en) A porte-cochere, also called a carriage porch, is the architectural term for a porch or portico-like structure at a main or secondary entrance to a building, through which it is possible for a horse and carriage or motor vehicle to pass, in order for the occupants to alight under cover, protected from the weather.

(fr) Une porte cochère, ou passage cocher, est une baie dans la façade d'un bâtiment par laquelle les véhicules peuvent passer pour accéder à la cour arrière à cause de la proximité ou de la juxtaposition de corps de bâtiment voisins ou par l'absence d'un autre accès à la cour arrière et aux dépendances.

Il s'en suit que sur Commons dans Commons:Category:Portes-cochères by country, la porte française est bien différente des autres pays (d'influence anglaise).
Qu'en pensez-vous ? Cordialement - Drongou (d) 12 octobre 2012 à 01:40 (CEST)[répondre]

Salut. Normalement, on ne discute pas du contenu des articles mais si ça peut t'apporter des éléments pour une discussion dans les pages idoines... Ce que j'en pense ? Que les deux définitions ne diffèrent pas tant que ça : le terme « porte cochère » est certes appliqué, en France, à un élément architectural typique, du genre que tu présentes dans tes deux premières images (il y en a aussi avec la partie supérieure rectangulaire ou triangulaire plutôt que cintrée) mais à la base ça désigne une fonction, celle d'une ouverture large permettant l'accès d'une cour par un coche, ce qui correspond à la définition anglaise.
Pour moi, on est dans un cas assez courant, que j'avais constaté pour d'autres choses, les anglophones culturellement anglo-saxons ont tendance à privilégier la fonction, les Français et pas mal d'Européens continentaux ont tendance à associer forme et fonction et le cas échéant à faire primer la forme sur la fonction, du coup une notion apparemment similaire ne se recoupera qu'en partie dans l'un et l'autre ensemble culturel. Dans ce cas précis, la porte-cochère française est un sous-ensemble de celle anglophone et de ce fait l'interwiki ne me semble pas abusif. -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 03:40 (CEST)[répondre]
Il y a quand même une différence fondamentale, c’est que pour les anglo-saxons la porte-cochère est un porche, ou un portique, mais pas une porte : la porte, c’est bien connu, doit être ouverte ou fermée. La porte a un ou plusieurs vantaux qui permettent le passage, ou pas. Ce qui n’est pas le cas pour un portique. Morburre (d) 13 octobre 2012 à 20:28 (CEST)[répondre]
Sur la version anglophone du Wiktionnaire : en:wikt:porte_cochère, on a une définition qui correspond exactement aux illustrations (anglo-saxonnes) mais qui d'après-moi n'est pas englobante de la définition francophone. En revanche, sur Encyclopedia Britannica de 1911, sur l'article House, on a la définition francophone « is a feature of more importance than the ordinary street doorway » mais avec la future finalité anglo-saxonne : « through which the occupants of the house can in wet weather drive and be landed in a covered hall or vestibule », cependant le portique n'est pas encore compris dans la définition car il est bien précisé : « even when a portico of some kind is added ». J'ai quand même l'impression que le glissement sémantique est tel ainsi que le remarque Morburre que les définitions anglophone et francophone sont maintenant disjointes. Je vais continuer à creuser cette histoire. Cordialement - Drongou (d) 14 octobre 2012 à 02:05 (CEST)[répondre]

Québécois modifier

kung-fu modifier

Bonjour ! Pourquoi les Québécois prononcent /kɔŋfu/ au lieu de /kuŋfu/ pour le mot kung-fu ? Merci ! Fête (d) 12 octobre 2012 à 02:23 (CEST)[répondre]

Bon matin (je suis français et je dis "bonjour" habituellement, mais je suppose que les Québecois disent "bon matin"), Les prononciatons varient selon les régions, c'est normal, surtout pour les voyelles. Pour le "u" dans les mots étrangers, les Français ont tendance à le prononcer "ou" et les Nords-Américains choisiront plutôt "eu", par exemple pour "Colombus" qui sera plutôt prononcé "Colombous" par les Français, et "Colombeus" par les Nords-Américains. La différence semble encore plus frappante pour la voyelle "a", car les Français pensent souvent que les Québecois la prononcent comme un "o", par exemple, "viens-là" deviendrait "viens-lo". --Rene1596 (d) 12 octobre 2012 à 09:16 (CEST)[répondre]
Conflit de modération - : Je ne suis pas français (ça c’est clair j’imagine !) mais j'étudie la phonétique... Moi je dirais que c'est parce que c'est plus proche à l'anglais /kʌŋfu/ - comme les Français disent /ɡɑ̃ɡ/ mais les Québecois disent /gaŋ/. Ils disent, peut-être, même /kʌŋfu/ mais vous les Français l'entendent comme /kɔŋfu/ car vous n'avez pas le son /ʌ/ dans votre langue... Selon la fiche de l'API les deux sont articulés dans le même endroit, c'est une question d'arrondissement. Si tu peux (est-ce qu'on se tutoie ici? Désolé si ce n'est pas le cas.) trouver un lien sur Internet je peux écouter... 129.67.144.45 (d) 12 octobre 2012 à 09:27 (CEST)[répondre]

renne modifier

Bonjour ! Pourquoi les Québécois prononcent /ʁaɛ̯n/ au lieu de /ʁɛn/ pour le mot renne ? Merci. Fête (d) 12 octobre 2012 à 13:08 (CEST)[répondre]

Euh.. on prononce /ka.ʁi.bu/ et non pas /ʁaɛ̯n/ ni /ʁɛn/  Dhatier jasons-z-en 12 octobre 2012 à 14:53 (CEST)[répondre]
  -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 15:01 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

Salut. Parce qu'ils ne pratiquent pas la même langue orale. Les Français ont une langue atone au niveau des mots et des syntagmes, l'accentuation se faisant au niveau de la proposition, les Québécois au contraire, à la fois par conservation de traits anciens et par attraction articulatoire de leur environnement anglophone, ont une langue tonique au niveau des mots et syntagmes. De ce fait, un Québécois aura tendance, dans les mots courts, à allonger la voyelle et parfois à la diphtonguer. Ils ne prononcent pas proprement /ʁaɛ̯n/ mais bien plutôt /ʁɛn/ avec un /ɛ/ long plus fermé en début d'articulation et plus ouvert à la fin, qui pour ceux ayant une particulière tonicité dans leur élocution (donc pas ceux de Radio Canada  ) débouche sur une diphtongue. -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 15:01 (CEST)[répondre]
De plus, de la même façon qu'en France, il y a plusieurs accents au Québec. Une personne originaire du Lac St-Jean, des Îles de la Madeleine ou de la baie des Chaleurs sera rapidement reconnu comme tel par un Montréalais, et vice-versa. Dhatier jasons-z-en 12 octobre 2012 à 17:06 (CEST)[répondre]

Pauline Marois modifier

 
Pauline Marois en septembre 2012

Bonjour ! Pourquoi Pauline Marois n'a pas un accent québécois ? Merci ! Fête (d) 12 octobre 2012 à 15:48 (CEST)[répondre]

Parce qu'elle n'a pas récité assez de chapelets ? Ok je sors - d'ailleurs je ne faisais que passer. --Égoïté (d) 12 octobre 2012 à 16:01 (CEST)[répondre]
Parce que tu as une idée toute faite de l'accent québécois, qui doit se baser sur le parler montréalais ou celui des campagnes profondes, et pas sur celui des classes sociales élevées. C'est comme si tu disais, « Pourquoi Hollande n'a pas l'accent français ? » en te basant sur celui des titis parisiens ou des péquenots morvandiaux (j'en suis, je peux me moquer) et non pas sur celui en usage chez les anciens de l'ENA et de polytechnique "Sciences Po". -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 16:43 (CEST) P.S. C'est ce que j'évoquais un peu plus haut, qu'on appelait il y a quelques temps au Québec, et que probablement on appelle encore, « accent Radio Canada », en gros ce qu'on constate sur les radios et télés françaises et j'imagine, un peu partout, où quelle que soit son origine un présentateur ou un animateur adopte un « non accent », une manière plate de parler qui est censée être la bonne manière de parler. -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 16:51 (CEST)[répondre]
...sauf que c'est pénible lorsqu'un politicien fait une pause toutes les cinq syllabes: cela donne l'impression que les français cherchent leurs mots comme un enfant de trois ans essayant de communiquer un concept trop ardu.
Sans vouloir médire, je crois que c'est ce qu'ils font... -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 00:39 (CEST)[répondre]

hamster modifier

Bonjour ! Pourquoi les Québécois prononcent /am.stɚ/ au lieu de /am.stɛʁ/ pour le mot hamster ? Merci. Fête (d) 12 octobre 2012 à 16:23 (CEST)[répondre]

Voir réponse sur le renne : parce qu'ils sont Québécois et non pas Français. -O.--M.--H.- 12 octobre 2012 à 16:44 (CEST)[répondre]

Nadège modifier

Bonjour ! Est-ce que le nom Nadège peut se prononcer /nadaɛ̯ʒ/ en québécois ? Merci ! Fête (d) 12 octobre 2012 à 17:20 (CEST)[répondre]

Bonsoir ! vous pouvez maintenant consulter le Portail:Linguistique vous y trouverez certainement plus de réponses. --Doalex (d) 12 octobre 2012 à 18:31 (CEST)[répondre]
Je me demande bien comment les Québécois prononcent «Ça commence à être saoulant toutes ces questions». Arnaudus (d) 12 octobre 2012 à 19:15 (CEST)[répondre]
Ah ! Voir l'instructif wikt:Utilisateur:Fête pour ceux que ça intéresse (contributions, logs de blocages, "discussions" etc.), bon courage   Xic[667 ] 12 octobre 2012 à 20:59 (CEST) Vous plaignez pas trop, ici au moins il dit merci...[répondre]
Vu on se rapproche de la semaine  .--Doalex (d) 12 octobre 2012 à 22:41 (CEST)[répondre]
Arnaudus, on dis « tabarnak », mais attention à l'intonation. Iluvalar (d) 13 octobre 2012 à 00:44 (CEST)[répondre]

Pourquoi dans le titre du site RUE89 le nombre 89 est il en rouge?? Cordialement

Posez votre question ici contact Rue89. Merci --Doalex (d) 12 octobre 2012 à 22:35 (CEST)[répondre]
Tiens, je voulais mettre le logo ici mais il est considéré comme Logotype. Curieux, je pensais qu'il faisait parti des logos avec un seuil d'originalité insuffisant pour être protégé. Tant pis. Bertrouf 16 octobre 2012 à 09:13 (CEST)[répondre]
Je pense que ce logo pourrait aller sur Wikimedia Commons car effectivement il n’atteint pas vraiment le seuil d’originalité, c’est simplement « le texte Rue 89 avec le “Rue” en noir et le “89” en rouge (le tout avec une police à déterminer). » Or si on peut décrire un logo en quelques mots, c’est probablement qu’il n’est pas original. Cdlt, Vigneron * discut. 16 octobre 2012 à 10:37 (CEST)[répondre]
Notre article seuil d'originalité renvoie vers ce lien. C'est assez long et trop indigeste pour moi, mais il y a sans doute des choses intéressantes. Mitch-Mitch 16 octobre 2012 à 11:11 (CEST)[répondre]
Intéressant, des choses que je connaissais déjà mais la comparaison avec le droit britannique apporte un vrai plus (notamment la partie finale sur les bases de données mais on sort du sujet). En tout cas, je maintiens que ce logo n’est pas vraiment original et pourrait aller sur commons:Category:Logos of companies of France. Cdlt, Vigneron * discut. 16 octobre 2012 à 13:13 (CEST)[répondre]
Voir aussi CGU sous le chapitre « Droits de propriété intellectuelle ».--Doalex (d) 17 octobre 2012 à 11:09 (CEST)[répondre]
Ah les CGU, je rêve du jour où j’en verrais de bien écrites… Ceci dit, ce ne sont clairement pas les pires que j’ai vues, notamment ils ne prétendent pas que le logo est protégé par le droit d’auteur (ce qui serait très limite au vu du seuil d’originalité). Pour moi, il me semble toujours possible de charger ce logo sur Commons (en le redessinant bien sur). Cdlt, Vigneron * discut. 17 octobre 2012 à 13:42 (CEST)[répondre]
Je suis ton conseil, Nicolas. Bertrouf 18 octobre 2012 à 07:04 (CEST)[répondre]

bonne fête modifier

Bonjour !

Est-ce que les Suisses disent bonne fête au lieu de joyeux anniversaire ? Merci ! Fête (d) 12 octobre 2012 à 23:56 (CEST)[répondre]

Les Suisses sont comme tous les autres êtres humains : divers. -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 00:38 (CEST)[répondre]
Il y a un forum très intéressant pour ceux qui cherchent des informations sur le Quebec et le Canada, [2], et sur d'autres sujets [3] --93.14.128.94 (d) 13 octobre 2012 à 10:51 (CEST)[répondre]

Bonjour !

Pourquoi les Québécois prononcent /ʒy.œ̃/ au lieu de /ʒɥɛ̃/ pour le mot juin ? Merci ! Fête (d) 13 octobre 2012 à 00:54 (CEST)[répondre]

Pour les raisons qui vous ont été exposées ci-dessus.
Ceci étant dit, si l'Oracle est sage, les pythies ne le sont pas forcément et peuvent manifester leur énervement par la suppression de messages intempestifs placés sur cette page.
Veuillez en tenir compte : nous n'apprécions pas les trolls et prenons les mesures nécessaires lorsqu'ils se manifestent à répétition comme vous le faites. --Égoïté (d) 13 octobre 2012 à 07:39 (CEST)[répondre]

Saumure modifier

Bonjour. Dans l'émission On n'est pas que des cobayes ! du 28 septembre dernier, les intervenants avaient pour objectif de produire du froid sans électricité. L'un d'entre eux procède par ajout de chlorure de sodium sur de la glace pour faire une saumure dont la température descend largement en dessous de 0 °C. Un expérimentateur peut-il m'indiquer les proportions idéales car je ne les ai pas noté (l'émission ne semble plus visible en streaming) et le mode opératoire pour avoir la température la plus basse. Il doit y avoir des éléments dans Glace#Mélanges et Eutectique mais je ne suis pas sûr que 23 % (23 g de NaCl pour 100 g de glace) soit la recette donnée dans cette émission. L'objectif est de réaliser une opération de Dégorgement d'un vin mousseux obtenu par « méthode rurale ». Merci. --Yelkrokoyade (d) 13 octobre 2012 à 07:50 (CEST)[répondre]

Salut. À coup sûr, quelqu'un te donnera une réponse circonstanciée, j'interviens juste pour relever ce tour de passe-passe : on te présente ça comme « produire du froid sans électricité » ce qui est doublement faux puisque, d'une part les réactions chimiques sont fondamentalement des réactions électriques, de l'autre il a bien fallu obtenir la glace de l'expérience, et à coup sûr elle n'a pas été grattée à la surface d'un glacier.... -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 08:13 (CEST)[répondre]
Je suis d'accord avec ta remarque. En même temps si on fait quelques recherches historiques, je ne serais pas surpris de voir que ce procédé a été utilisé à une époque où il n'y avait pas de machine frigorifique pour produire de la glace d'eau (pour faire des Crème glacée en particulier). N'oublie pas que l'industrie des Glacière naturelle a été longtemps prospère (Voir aussi Glacières de Paris). --Yelkrokoyade (d) 13 octobre 2012 à 11:02 (CEST)[répondre]
Vous parlez de réaction chimique endothermique pour refroidir un composant tiers ? Bertrouf 13 octobre 2012 à 09:18 (CEST)[répondre]
Voir [4].
Gratte-papier (d) 13 octobre 2012 à 17:26 (CEST)[répondre]
Le Moulin de la Bruère à La Flèche fait de la glace sans électricité. --MGuf (d) 13 octobre 2012 à 12:23 (CEST)[répondre]
--CQui (d) Je me demande comment électricité peut faire de la glace... Il me semble que ce qu'il faut c'est du froid et de l'eau, et le froid n'est pas produit par de l'électricité. --13 octobre 2012 à 13:29 (CEST)[répondre]
T'as jamais eu affaire à un frigo ? --Serged/ 13 octobre 2012 à 15:32 (CEST)[répondre]
Tu gonfle un pneu de camion avec une pompe à bras (ou à pied) et de l'air humide, et puis tu le dégonfle; un glaçon va se former sur la valve. Pour rafraichir ton Ricard, il va te falloir beaucoup d'huile de coude, mais le principe du frigo c'est ça : détendre un gaz comprimé. --le sourcier 13 octobre 2012 à 23:07 (CEST)[répondre]
La réponse est de nature thermodynamique : enthalpie de fusion de la glace. Dans l'équation de l'énergie libre de Gibbs pour de la glace qui se réchauffe, fond, et atteint la température ambiante,
 
Le terme prédominant est   : 80 cal sont absorbées par gramme de glace qui fond. Lorsque la glace se réchauffe d'un degré, elle n'absorbe que 0.5 cal/g ; lorsque l'eau se réchauffe d'un degré, elle n'absorbe que 1 cal/g. Le terme entropique est généralement du même ordre de grandeur. C'est donc la fusion à 0 °C qui importe.
La glace refroidit son environnement lentement au cours du temps car le passage de -10 °C à 0 °C n'est pas rapide. En la saupoudrant d'un sel, sa surface va s'imprégner d'ions et sa température de fusion devient -22 °C au lieu de 0 °C (mais sans changer la température de la glace !). Ainsi, la glace fond d'un seul coup (c'est le but du sablage des routes), ce qui explique pourquoi le thermomètre descend aussi rapidement. Toutefois, le « pouvoir de refroidissement » de la glace salée sera la même que la glace normale, c'est juste la vitesse qui change. Cette expérience permet de rappeler que le thermomètre ne donne qu'une « photo instantanée » de l'état d'un système. Cdlt, 188.194.48.183 (d) 14 octobre 2012 à 19:28 (CEST)[répondre]
CQui (d) Solution pour produire du froid sans electricite, et sans glace, vu que ce serait de la triche...
  1. comprimer de l'air et le laisser se refroidir puis le decomprimer, comme l'exemple ci-dessus avec une chambre a air.
  2. acheter une bouteille de gaz (comprimé) et laisser sortir le gaz, c'est juste la meme chose que 1 mais sans trop se fatiguer...
  3. demonter un frigo, remplacer le moteur electrique par un autre moteur (diesel par exemple, il tourne vraiment sans electricite) ou par une manivelle...
Pour le 2, j'ai fait l'experience, apres deux semaines de camping, il nous restait une bouteille de gaz et on devait prendre l'avion pour rentrer, on a perforé la bouteille et laissé couler le gaz, qui etait encore liquide pour quelques secondes, on a fabriqué de la glace avec la rosee qui etait sur l'herbe autour. Ne pas essayer a la maison.
3 est le meme que 1 mais le compresseur est deja fabriqué, pour bon bricoleur seulement. 16 octobre 2012 à 14:44 (CEST)

Et donc je mets quelle quantité de sel sur mes glaçons ? Vaut-il mieux utiliser des gros glaçons ou quelque chose qui se rapproche de la glace pilée ? --Yelkrokoyade (d) 17 octobre 2012 à 18:49 (CEST)[répondre]

La glace pilée est à préférer, la quantité de sel à verser doit être suffisante pour que, même après malaxage à la cuillère, le sel soit encore visible à la surface des glaçons. Tu devrais entendre un léger bruit de craquement. À ce propos, Jayron32 de l'Oracle en anglais a corrigé mon explication : j'ai oublié de parler du terme d'enthalpie de solution de NaCl dans la glace, de l'ordre de 57 kcal/g (endothermique), qui explique pourquoi la température baisse aussi vite. Merci à lui, 188.194.48.183 (d) 17 octobre 2012 à 22:42 (CEST)[répondre]

Viscosité de la glace modifier

 
Plouf

Bonjour,

Après avoir lu Expérience de la goutte de poix, je me demandais quelle était la viscosité de la glace? Et cette viscosité dépent-elle de la température (en dessous de 0 °C bien entendu) autrement dit est ce que la viscosité de la glace augmente avec la baisse de la température? Skiff (d) 13 octobre 2012 à 08:21 (CEST)[répondre]

Comme indiqué dans ce document, la viscosité de la glace dépend d'une foule de facteurs, dont «très fortement» la température, mais est de l'ordre de 1014 Pa.s près du point de fusion, pour une masse de glace ne subissant que peu de contraintes. Dhatier jasons-z-en 13 octobre 2012 à 19:12 (CEST)[répondre]
Merci. Skiff (d) 14 octobre 2012 à 07:13 (CEST)[répondre]

Principe d'incertitude modifier

Bonjour, excusez-moi, je voudrais savoir si à partir de la constante de planck on pourrait obtenir de l'énergie ? Merci et désolé pour le dérangement.

Salut. Clairement, la réponse est non : comme son nom l'indique, la constante de Planck est une unité de mesure, on ne peut donc pas plus produire d'énergie (ou au moins, concevoir un instrument qui en produise) en partant de cette mesure qu'en partant du mètre ou de la seconde. -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 15:09 (CEST) 'P.S. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne puisse ni ne doive en tenir compte pour concevoir un instrument produisant de l'énergie. -O.--M.--H.-[répondre]
La constante de Planck n'est pas une unité, mais une valeur.
Gratte-papier (d) 13 octobre 2012 à 17:28 (CEST)[répondre]
Les deux. C'est une valeur qui exprime une mesure, ce que veut proprement dire le mot quantum : « Quantité minimale d'une grandeur physique pouvant séparer deux valeurs de cette grandeur ». Et en tout cas pas un instrument pour la production d'énergie. D'ailleurs, toute mesure est une valeur, le mètre vaut (première définition) « la dix-millionième partie de la moitié de méridien », la seconde vaut (première définition) 1/5184000e de la durée d'une journée, etc. -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 19:28 (CEST)[répondre]
C'est bizarre, j'aurais plutôt pensé qu'il y avait (à peu près) 86400 secondes dans une journée terrestre (24*60*60). Ensuite je suis un peu surpris par la typographie des fractions, mais je ne vais pas épiloguer. --Tchai 13 octobre 2012 à 21:25 (CEST)[répondre]
Ah ouais, j'ai fait une division de trop   et je corrige la présentation de la fraction (en laissant l'erreur). -O.--M.--H.- 13 octobre 2012 à 21:55 (CEST)[répondre]

les sciences physiques modifier

Quels sont les intérêts des sciences physiques -- — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.219.54.122 (discuter), le 13 octobre 2012 à 19:22‎ (CET)[répondre]

tout simplement expliquer rationnellement le monde qui nous entoure, notamment pour répondre à des questions telles que "De quoi est constituée la matière ?" ou bien : "L'énergie d'où ça vient ?"
Aussi pour créer, par exemple pour créer une voiture, pour créer un radar, ... --Rene1596 (d) 14 octobre 2012 à 13:33 (CEST)[répondre]
Sans elles, les technologies qui vous permettent de poser cette question n'existeraient pas. Turb (d) 14 octobre 2012 à 21:50 (CEST)[répondre]

Chimie de céramique et verre modifier

 
Une application  

salut, je suis une étudiante en chimie de céramique et verre, quels sont les filières de cette branches? et merci d'avances à votre réponses

Bonsoir. Les filières où les débouchés ? Amclt, --Égoïté (d) 13 octobre 2012 à 23:25 (CEST)[répondre]
Question débouché, en Belgique, nous avons un premier ministre qui aurait fait une thèse de doctorat en 'céramique'... (sur le frittage des oxydes de Zirconium). -- Xofc [me contacter] 14 octobre 2012 à 10:22 (CEST)[répondre]

Histoire de marbre - I modifier

Bonsoir à toutes (les pythies). Connaitriez-vous le moyen de "ressouder" / reconstituer une "pierre tombale" du XIXe siècle en marbnre mais qui est en morceaux : j'ai quasiment (à part sans doute quelques éclats de marbre) la totalité de la pierre d'un cénotaphe - mais en fragments suite à vandalisme, d'où comment la restaurer ? sans avoir beaucoup de cents et aucun subside... Pour la dorure de l'inscription, j'ai la solution : une professionnelle bénévole). Merci pour vos suggestions. --Égoïté (d) 13 octobre 2012 à 23:21 (CEST)[répondre]

La colle epoxy (deux tube à melanger) devrai faire l'affaire sans problème. Mais tu ne retrouvera pas la solidité antérieur. Notamment la résistance aux cisaillement. Mais bon je ne pense pas qu'on pose des livres sur une pierre tombale ? La procédure est assez simple : Dépoussiérer les cassures (en essayant de garder la poussière). Jouer au puzzle 3d et bien identifier quel morceau va avec quel morceau. Composer un ordre de collage si possible parce que parfois tu es obligé de coller trois morceau en même temps; et ça devient compliqué pour la dernière étape. Prépares la colle en mélangeant les deux produits et la poussière (au moins la colle devrai avoir la même couleur plutôt que jaune transparent). Poser une fine couche de colle et assembler en laissant un temps de séchage de quelques heures minimum. Refaire l’opération avec tous les morceaux. Un fois que tu as recollé tous les morceaux, si tu veux atténuer les fissures il faut poncer avec un abrasif fin, puis avec un abrasif a l'eau très fin. Et tu fini par un lustrage avec de la pate. Bon c'est surtout du temps plus que de l'argent, mais je dois avoir une ou deux boite de colle epoxy d'avance avec de l'abrasif fin à l'eau, si tu veux que je t'en fasse don n’hésites pas.Eystein (d) 14 octobre 2012 à 10:42 (CEST)[répondre]
Merci Eystein pour toutes ces précisions bien utiles qui me rassurent quant à la "faisabilité" du travail. Nous avons choisi de présenter cette pierre dans quelques mois, pour les Journées du patrimoine. Mais le travail de restauration se fera au cours du premier semestre,quand le temps sera plus doux. Utilise ta colle sans problème, je dois pouvoir trouver ça par ici.   --Égoïté (d) 15 octobre 2012 à 23:00 (CEST)[répondre]

Histoire de marbre II - Marbre et boucherie modifier

 
Table de boucher

Il était de coutume d'utiliser le marbre pour la table de présentation des viandes comme pour la balance utilisée en boucherie. Traditionnellement, on dit que le marbre était la matière la plus froide utilisable en un temps où le réfrigérateur n'existait pas. Était-ce une "vue de l'esprit" ? J'avoue n'avoir pas compris la notion d'effusivité thermique   - mais il est tard et je suis fatiguée... Merci pour vos réponses, --Égoïté (d) 13 octobre 2012 à 23:21 (CEST)[répondre]

PS Notez qu'après relecture de l'article , j'ai beau chercher je ne pige pas. Et tenant compte que la viande posée sur le marbre de boucherie est morte, donc supposée à température "ambiante" ? Mais moi et la physique... D'accord, sans commentaires me concernant SVP.   --Égoïté (d) 13 octobre 2012 à 23:33 (CEST)[répondre]
Voici ce que j'en ai compris : il ne s'agit pas de température effective mais de température ressentie. Que ce soit un bout de bois, une plaque de marbre ou un morceau de fer, s'ils ne sont pas à proximité d'une source de chaleur ou de froid les trois sont à la même température, celle de la pièce. Par contre, chacun de ces matériaux est plus ou moins conducteur. Du coup, quand on met la main, ou le pied, sur l'un ou l'autre il y aura un transfert de chaleur plus ou moins important. Plus important il sera, plus le matériau sera ressenti froid (température inférieure à celle de la main) ou chaud (température supérieure).
Comme l'expliquait une version antérieure de l'article sur l'effusivité thermique (comme quoi, les reprises d'articles sur d'autres sites ça a parfois du bon), à la même température de 20 °C, un morceau de bois sera ressenti par les terminaisons nerveuses de la main comme ayant une température d'un peu plus de 28 °C, un morceau de fer d'un peu plus de 20 °C. Pas de donnée précise pour le marbre mais son effusivité est probablement assez proche de celle du fer, d'où la sensation d'un matériau froid.
Conclusion, d'un point de vue perceptif, les bouchers n'avaient pas tort, d'un point de vue objectif du marbre ou du bois ça ne change pas grand chose à la température du morceau de barbaque, sinon peut-être un peu pour la surface en contact avec le marbre. -O.--M.--H.- 14 octobre 2012 à 06:06 (CEST)[répondre]
Merci pour cette explication simple et nette Olivier. Elle m'aidera dans la guidage au musée !   --Égoïté (d) 15 octobre 2012 à 23:02 (CEST)[répondre]
L’explication d’Olivier me semble bonne mais incomplète.
La thermique c’est compliqué et j’avoue avoir la flemme de vérifier par le calcul mais je pressens que l’exemple de température ressentie n’est valable que pour un temps de contact court (je pose ma main sur le marbre et je la retire rapidement). Inversement pour un temps très long, on sait que les températures s’équilibreront (à la température de la pièce à peu de choses près). Or la viande reste un certain temps sur le marbre, il doit donc y avoir aussi un phénomène de conduction thermique (on peut négliger la convection et le rayonnement puisqu’ils sont relativement identiques que le support soit en marbre ou non ; peut-être un peu plus de convection via le dessous du support mais cela ne doit pas être très important). Or je pressens (là encore, il faudrait vérifier par le calcul), que la conduction est beaucoup plus rapide pour le marbre. Donc si on pose de la viande « chaude » sur du marbre, elle atteindra plus rapidement la température « froide » que si on on l’avait posé sur du bois. Enfin, l’effusivité est lié à l’inertie, donc la marbre reste plus frais plus longtemps (conservation de la fraîcheur nocturne en journée).
Après, la pièce, le support et la viande sont globalement à la même température donc ce doit en grande partie être une vue de l’esprit. Clairement marbre ou bois, cela ne change sans doute rien au problème de conservation de la viande (sauf à verser de l’acide sur le marbre dans un récipient clos mais là c’est un tout autre problème).
Cdlt, Vigneron * discut. 16 octobre 2012 à 13:28 (CEST)[répondre]
CQui (d) Le marbre etait utilisé, a mon avis, parce qu'il se lave facilement et ne rouille pas, la decoupe etant faite sur du bois pour ne pas abimer les couteaux trop vite, mais le bois devais etre raboté tous les jours pour rester propre. --16 octobre 2012 à 17:16 (CEST)[répondre]

La Marseillaise - marchez, marchons! modifier

Bonjour - as an Austrian not speaking French too well, I prefer to pose this longer question in English - but feel invited to answer in French.

I'm fascinated by La Marseillaise in general, and in special by a specific detail - the different versions with marchez and marchons. La Marseillaise#Paroles perfectly explains where that comes from. However, this still leaves two questions unanswered.

  1. In full length, the refrain is sung twice each time. In the official version, according to the article, it's marchons, marchons in both cases. However, this Youtube video claims the official version to be orchestrated, using precentors, who clearly sing marchez each first time the refrain is sung (only the children at 5:10 seem to be discordant), even though it does not match with the written lyrics. Only the second time of the refrain, when the entire choir joins in (obviously representing the people as a whole), they sing marchons. So, what is really the official version? Twice marchons, marchons or first marchez, marchez, and then marchons, marchons?
  2. One of the most famous film scenes in history is the combative singing of La Marseillaise in Casablanca. They end after the first singing of the refrain, for obvious reasons with marchons. I suppose that also in reality, sometimes people sing La Marseillaise spontaneously, at least the first stanza and the refrain. How exactly will they do that? Refrain sung once or twice, with marchez or marchons, respectively?

--KnightMove (d) 14 octobre 2012 à 13:43 (CEST)[répondre]

I've always sung "marchons", even when sung twice. I never heard it with "marchez", even if historically it existed. Spontaneously, I think people will sing the refrain once, with "marchons". Topeil (d) 14 octobre 2012 à 15:21 (CEST)[répondre]
And "marchez" would no more rhyme with "sillons". Dhatier jasons-z-en 14 octobre 2012 à 17:15 (CEST)[répondre]
As the "bataillons" still do, this is at least no substantial problem. --KnightMove (d) 14 octobre 2012 à 19:04 (CEST)[répondre]
Les paroles officielles sont biens « marchons, marchons ! ». C'est seulement dans l'orchestration pour chœur et orchestre faite par Berlioz à l'occasion de la révolution de 1830 qu'il y a « marchez » la première fois et « marchons » dans le bis.--Eymery (d) 17 octobre 2012 à 21:59 (CEST)[répondre]
Merci. --KnightMove (d) 18 octobre 2012 à 06:13 (CEST)[répondre]
Je lis sur la page wikipédia de la Marseillaise : "Sur la partition originale de Rouget de Lisle, on voit clairement écrit « Marchez, Marchez » au refrain, qui s'accorde avec « Formez vos bataillons », 2e personne du pluriel. La transcription officielle est pourtant « Marchons, marchons », qui tenterait d'établir une rime avec « bataillons » et « sillons21 ». En réalité, Rouget de Lisle était capitaine. Et en qualité d'officier, il commandait ses hommes. D'où la formule impérative. Néanmoins la Marseillaise est une marche et on peut imaginer que les soldats en manœuvre en reprenaient le refrain, en chantant « marchons » et non « marchez ». Cette version se serait imposée par transmission orale." En même temps, c'est tout au conditionel... --Alice

Silex Charentes et Périgord modifier

Vues la présence importante de silex en Charentes au pluriels et Périgords au pluriel, pourrait-on se rapprocher de minéralogues et préhistoriens,

car vue l'importance de ces roches dans les civilisations de l'age de pierre et leur forte présence dans ces deux régions, il pourrait être judicieux de s'approcher des classifications préhistoriques qualitatives de ces roches.

Merci--77.205.211.14 (d) 14 octobre 2012 à 15:35 (CEST)[répondre]

Bonjour, vous pouvez participer à ce projet voir Portail:Minéraux et roches et même apporter vos suggestions Discussion Projet:Minéraux et roches. --Doalex (d) 14 octobre 2012 à 16:50 (CEST)[répondre]

Prunes sans amendes modifier

Bonjour à tous,

Je cherche le nom en français d'un fruit appelé prune (ciruela) en Équateur, mais qui est très différent de notre prune qu'ils nomment là-bas sous le nom de Reine-claude. Le nom de ciruela est visiblement commun à plusieurs pays tropicaux (dont la Colombie). Il s'agit d'un fruit de couleur verte, acide, qui se mange avec du sel et du citron (un peu comme la téquila, mais sans risquer de prune). Merci par avance, v_atekor (d) 14 octobre 2012 à 17:15 (CEST)[répondre]

Quand on reçoit une prune, c'est souvent une amende, mais tu voulais j'imagine parler d'une prune sans amande ... ou ton jeu de mots était volontaire (dans ce cas bien vu !). Sinon j'ai pô la réponse, désolé. --Epsilon0 ε0 14 octobre 2012 à 23:34 (CEST)[répondre]
Le jeu de mot est bien trouvé. N'oublie pas que toutes les variétés de fruits n'ont pas de nom dans toutes les langues. En ce qui concerne la ciruela, je crois qu'il s'agit de la gingerbread plum en anglais, de nom officiel en:parinari. Je n'ai pas trouvé de nom français, peut-être gaulette blanche d'après le nom scientifique, mais à confirmer. Ca fait beaucoup de peut-être.... Bertrouf 15 octobre 2012 à 03:31 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup pour ces pistes  v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 08:41 (CEST)[répondre]
Faut voir, comme on dit, alors voyons ciruela le nom le plus commun est claudia--Doalex (d) 15 octobre 2012 à 11:50 (CEST)[répondre]
Certes oui, mais justement il ne s'agit pas de ce fruit (là c'est le terme espagnol d'Espagne qui désigne bien à la prune française, mais ce n'est pas le fruit désigné sous le même terme en Équateur). Il s'agit de ceci ou celà. v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 12:10 (CEST)[répondre]
J'avais bien compris mais parfois il se glisse des indications dans les séries d'images qui peuvent aider, par exemple j'avais trouvé ceci jobo même si pas de rapport on peut trouver d'autres infos, la preuve c'est que tu envoies 2 liens avec une photo, on avance, on avance...--Doalex (d) 15 octobre 2012 à 12:34 (CEST)[répondre]
Ah oui , pardon. Oui, on avance  v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 12:46 (CEST)[répondre]
Mais oui, par élimination et on trouve parfois, voir Árbol de Ovo et la légende de la photo: Árbol de Ovo – El Ovo es una fruta común en la costa ecuatoriana es tambien llamada “Ciruela” et en grattant un peu je lis ici sous le titre «Termina la cosecha e inicia la comercializacion de los ovos  » Hoy.com.ec "Muchos compraron cajas, de las moradas y rojas, otras las prefieren verdes para degustarlas con limón y sal" . J'ai bon ?  Au fait, c'est bon ? c'est bientôt la récolte, quoique voir [5]. --Doalex (d) 15 octobre 2012 à 17:07 (CEST)[répondre]
Yeiii!!! Super! Merci beaucoup! En remerciement je t'enverrai des prunes d’Équateur ;) v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 17:14 (CEST)[répondre]

Prise de décision spam modifier

Bonjour, je contribue aussi au projet Ekopédia. Si vous avez un peu de temp libre, pour nous aider, donner des propositions : http://fr.ekopedia.org/Ekopedia:Prise_de_d%C3%A9cision. Merci d'avance --Jmalo (d) 14 octobre 2012 à 20:25 (CEST)[répondre]

Vitesse de la lumière modifier

Bonjour noosphère,

Dans le texte http://fr.wikipedia.org/wiki/Vitesse_de_la_lumière#La_vitesse_de_la_lumière_dans_le_vide, il n’est pas spécifié de quel type de vide (étonnant les efforts fournis pour tenter prouver un concept qui n’existe que dans notre tête) il s’agit.

Dans la formule E=mc2, si c est la vitesse maximale que la matière peut atteindre alors la mettre au carré me semble bien illogique.--YanikB (d) 14 octobre 2012 à 20:37 (CEST)[répondre]

Hmmm...
Pour le vide, je ne suis pas sûr qu'il n'existe que dans nos têtes.
Pour la relativité restreinte, si vous voyez un problème de logique dans la conclusion, je présume que vous en trouverez aisément la cause ici. Faites en part à l’académie des sciences qui vous lira avec intérêt si tel est le cas v_atekor (d) 14 octobre 2012 à 21:35 (CEST)[répondre]
Il n'y a aucune preuve scientifique que le vide existe. Tous nos efforts semblent démontrer le contraire.--YanikB (d) 14 octobre 2012 à 22:46 (CEST)[répondre]
Le vide absolu est une limite asymptotique, inatteignable par essence, selon le même concept que le zéro absolu de température. Mais puisqu'on a pu mesurer que l'espace interstellaire contient environ 1 atome par cm3, on est vraiment particulièrement près de cette limite. Dhatier jasons-z-en 14 octobre 2012 à 23:24 (CEST)[répondre]
Ainsi un photon croisera 30 milliard d'atomes en une seconde. C'est loin d'être le vide.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 00:32 (CEST)[répondre]
Refaites vos calculs. Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 08:35 (CEST)[répondre]
Bon, puisqu'apparemment il faut les faire à votre place... Disons que dans le vide, la majorité des atomes sont des atomes d'hydrogène, diamètre d = 1,1.10-10m => à chaque cm de trajet, un photon va donc percuter un atome avec une probabilité de 9,5.10-17 (la surface "visible" d'un atome d'hydrogène par cm2. En une seconde de trajet, un photon a donc une probabilité de 2,9.10-6 de rencontrer un atome, soit une "rencontre" tous les 4 jours. Or, la probabilité pour un photon d'être absorbé par un atome est très faible (en plus, ça dépend de sa longueur d'onde, etc, il faudrait qu'un physicien intervienne), donc le rayon lumineux va pouvoir voyager des milliards d'années dans le vide sans problème. Dans tous les cas, votre estimation était loupée par 16 ordres de grandeur (3.1010 collisions par seconde contre 2,9-6). Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 15:28 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup pour le calcul de probabilité de collisions. Cependant je ne parlait pas de collisions mais bien du passage du photon à une distance de moins d'un centimètre.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 17:53 (CEST)[répondre]
1) ce n'est pas non plus ce que vous avez calculé (1 atome par cm3 ne correspond pas à une distance moyenne d'1cm entre n'importe quel point de l'espace et l'atome le plus proche), et 2) une distance d'1cm est immensément grande à l'échelle de l'atome, ce calcul n'a aucune pertinence en termes d'interactions. Je ne comprends pas votre raisonnement, vous vouliez prouver que le vide intersidéral n'était pas vide parce qu'un photon pouvait rencontrer de la matière et donc voir sa vitesse modifiée par rapport à un vide parfait, mon calcul vous démontre que c'est faux et que les photons ne rencontrent virtuellement jamais de matière à l'échelle dont vous parliez (une seconde de trajet), et votre défense, c'est que votre calcul était juste, mais n'avait aucun sens. Soit, donc votre calcul qui n'a aucun sens est à peu près juste à un facteur 2 près, nous sommes bien avancés. La prochaine étape, c'est de calculer la probabilité que la sonde Voyager passe à moins de 3 années lumières d'une météorite? Parce que dans l'univers observable, je peux vous affirmer sans aucun doute que la probabilité pour un photon de passer à moins de 15 milliards d'années lumière d'un atome de matière est relativement élevée. Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 18:22 (CEST)[répondre]
Pour le second point, il n'y a pas de contradiction à ce qu'une constante, même exprimant un maxima, intervienne dans une formule où elle est transformée en une valeur plus grande ... pour s'appliquer à un autre système d'unité. --Epsilon0 ε0 14 octobre 2012 à 23:29 (CEST)[répondre]
Merci pour cette précision. Savez-vous quelle type de vide est utilisé pour le calcul de la vitesse de la lumière?--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 00:38 (CEST)[répondre]
Pour te répondre, avec une très grande évidence il s'agit du vide interstellaire, celui-là même dont on évalue qu'il contient environ un atome au cm³. Il serait donc miraculeux qu'un photon parcourant 300.000 km rencontre chaque centimètre l'unique atome présent dans ce cm³, en fait il a une chance infinitésimale de croiser cet atome, de cela il découle que la valeur donnée pour la vitesse de la lumière dans le vide est infiniment proche de la vitesse réelle. -O.--M.--H.- 15 octobre 2012 à 09:24 (CEST)[répondre]
Faux, la communauté scientifique entérine la définition de la vitesse de la lumière dans le vide absolu dit vide théorique.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 13:41 (CEST)[répondre]
Sur un million de mesures de la vitesse d'un photon dans le vide intersidéral sur un trajet d'une seconde, seule une interaction photon-atome aura lieu en moyenne. Il me parait évident que la vitesse dans le vide absolu ou dans le vide intersidéral sont empiriquement identiques, cette discussion est absurde. Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 15:33 (CEST)[répondre]
Il s'agit du "vrai" vide : Un endroit (idéal) où il y a absence de matière. Dans la réalité, la lumière (et toutes les ondes électromagnétiques) se déplace toujours à cette vitesse (c), mais est perturbée par la matière et se déplace en zigzag entre atomes. D'où une vitesse apparente moindre. --Serged/ 15 octobre 2012 à 10:21 (CEST)[répondre]
La matière définie l'espace. Pas de matière, pas d'espace. Le vide est donc impossible dans l'univers connu.--YanikB (d)100.43.108.209 (d) 15 octobre 2012 à 13:48 (CEST)[répondre]
Simplement, si les scientifiques parlent bien de vide intersidéral, c'est qu'il existe ; au moins quelque chose s'en approchant de très près. Donc, probablement, c'est que votre définition est erronée. v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 14:24 (CEST)[répondre]
L'Oracle est là pour répondre aux questions, non pour valider l'opinion plus ou moins bien étayée des individus. L'univers se définit essentiellement par une chose : il existe. En aucun lieu de l'univers actuel il n'y a de matière parfaite (sans présence de vide) ni de vide parfait (sans présence de matière). C'est même ce qui permet à une entité de ton genre ou du mien d'en parler. On pourrait à la rigueur dire que le vide se définit par la matière, par les points de l'univers où l'on constate son absence, mais aussi bien que la matière se définit par le vide, par les points de l'univers où l'on constate sa présence, mais en aucun cas que l'univers se définit par la matière et donc l'espace « entre la matière » par la présence de la matière, c'est justement le constat que la matière n'est pas en tous lieux, comme l'affirmait la désormais abandonnée théorie de l'éther, à présent aussi aberrante que celle de la génération spontanée. M'est avis que tu devrais prendre tes informations sur la physique de l'univers, donc de l'espace qui en participe, ailleurs que dans les manuels de physique du XIXe siècle. -O.--M.--H.- 15 octobre 2012 à 14:52 (CEST)[répondre]

Ma source c'est vous. Bravo beau texte. J'adore la pointe d'ironie.Merci de vos précieux conseils.

Dans votre texte vous ne faite pas mention de la matière noire est-ce qu'elle existe, ou n'est-ce que du vide? --YanikB (d) 15 octobre 2012 à 15:31 (CEST)[répondre]
Ca c'est une bonne question, mais pour le moment peu de monde a la réponse. C'est une matière qui est invoquée théoriquement pour expliquer l'écart entre la vitesse mesurée d'éloignement des galaxies et la vitesse théorique calculée sur la base de la matière visible : soit la théorie et les mesures de vitesse d'éloignement sont correctes, et il faut plus de masse pour expliquer cette vitesse (hypothèse de la matière noire) soit la théorie est fausse ou les mesures sont fausses... A priori les chercheurs penchent plus pour l'hypothèse d'une matière non détectée, avec des candidats parmi des particules infiniment petites (et très nombreuses) pour expliquer cette différence. Il y a d'autres candidats (trous noirs, naines brunes ... ) v_atekor (d) 15 octobre 2012 à 16:34 (CEST)[répondre]
« Ainsi un photon croisera 30 milliard d'atomes en une seconde ». Effectivement, c'est loin d'être le vide. Mais entre deux de ces atomes, il y a le vide. --Serged/ 15 octobre 2012 à 17:09 (CEST)[répondre]
Salut Serged, le raccourci « si "on a pu mesurer que l'espace interstellaire contient environ 1 atome par cm^3" alors "ainsi un photon croisera 30 milliard d'atomes en une seconde" » n'est évidemment pas bon, un atome n'occupant qu'une si infime partie de centimètre-cube et non sa globalité. Si le photon croise déjà deux ou trois atomes, cela sera déjà beau ;-) GabrieL (d) 15 octobre 2012 à 17:26 (CEST)[répondre]
J'ai fait le calcul à la demande (insistante et à peine polie) de YanikB, et évidemment, la probabilité de rencontre (on ne parle même pas d'interaction) entre un photon et un atome dans l'espace intersidéral est infime (1 "croisement" tous les millions de secondes). Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 17:52 (CEST)[répondre]
Désolé, ma demande n'était pas insistante et elle était très courtoise.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 19:22 (CEST)[répondre]
Quand les scientifiques nous avouent candidement qu’ils ne connaissent que 5% de ce qui nous entoure, on se rend compte à quel point nous sommes ignorants.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 17:15 (CEST)[répondre]
C'est nettement plus compliqué que ça : quelle que soit la nature de la matière noire, il est peu probable qu'elle change drastiquement notre compréhension de "ce qui nous entoure" : jusqu'à preuve du contraire, on prédit très bien à peu près tout ce qui se passe dans notre environnement immédiat (système solaire, globalement) à l'aide des modèles de physique existants. Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 17:50 (CEST)[répondre]
D'accord. Ils ne savent pas ce qu'est la gravité, mais ils peuvent calculer ses effets.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 18:45 (CEST)[répondre]
Je vous propose d'essayer d'abord de comprendre la relativité générale. Ensuite, vous pourrez nous dire si oui ou non on ne sait pas ce qu'est la gravité. Je trouve assez facile de dire que "les gens ne comprennent pas" à propos de sujets qui sont ardus mais maitrisés depuis des décennies parce que vous ne les comprenez pas. Et, en effet, le but de la physique est de modéliser et prévoir, pas d'expliquer pourquoi c'est comme ça. Topeil (d) 15 octobre 2012 à 21:13 (CEST)[répondre]
Avec un bon professeur on peut tout comprendre. À moins qu'il ne le comprenne pas lui-même. J'ai déjà lu l'article ci-haut mentionné. je vous propose de lire celui-ci Gravité quantique. J'avoue, c'est très hermétique.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 21:32 (CEST)[répondre]
Non. Un étudiant avec la bonne attitude peut tout apprendre. Vous avez une attitude négative, vous n'avez aucune envie d'apprendre, vos assertions sont tendancieuses, et vous justifiez vos erreurs grossières par des excuses vaseuses. Personne ne peut expliquer la relativité en quelques lignes. Achetez des bouquins, lisez, ayez l'humilité de l'ignorant qui cherche à apprendre, et vous comprendrez peut-être. Ceci dit, certains articles de Wikipédia restent médiocres, car ils sont beaucoup trop spécialisés. Arnaudus (d) 15 octobre 2012 à 22:29 (CEST)[répondre]

Si c’est d’être négatif que de s’interroger sur la véracité du savoir humain, on a un gros problème. Voyez-vous, ma principale référence c’est WP et vous me dites que ses sources ne sont pas fiables. Je crois que je ferais mieux de ne plus vous consulter, Ça vous enlèvera une épine du pied. Adieu.--YanikB (d) 15 octobre 2012 à 23:02 (CEST)[répondre]

Une encyclopédie permet de vulgariser ou au contraire d'approfondir un sujet. Pour vraiment comprendre la relativité générale il vous faudrait plusieurs années de travail. Si vous avez quelques bases en physique, par contre, vous pouvez vous attaquer à la restreinte, avec un bon livre et du temps. Par contre, pour remettre en cause de tels sujets, il faut déjà les connaitre : des milliers de scientifiques ont mis ces modèles à l'épreuve. Poser des questions pour les comprendre est normal, mais le moins que l'on puisse faire c'est de rester humble. Topeil (d)

(conflit d'édit)

Même si on n'apprécie pas trop les trolls ici, il nous arrive d'y répondre avec l'espoir, souvent vain, que la personne qui le lance opte pour une attitude plus posée et sérieuse. Le fait que tu ne comprennes pas bien les articles sur certaines matières ne signifie pas pour ça qu'ils sont incompréhensibles, juste que, donc, tu ne les comprend pas. Partant de ton expérience d'incompréhension, que tu en déduises des choses qui ne s'y trouvent pas est un problème pour toi, pas pour les articles en question ni pour ceux qui les comprennent ou au moins, comprennent que certaines notions dépassent leur compréhension sans qu'elles soient en soi incompréhensibles. Que tu puisses conclure de nos réponses que nous mettons en doute la validité de ces articles dépasse ma compréhension, ça c'est sûr. Là-dessus, reste avec ton idée de l'inexistence du vide (mais je te conseille de ne pas vérifier ton idée en sortant sans scaphandre de ton véhicule si un jour tu te trouvais à mi-chemin entre la Terre et la Lune, certaines croyances résistent mal à ce genre de vérifications) et de la méconnaissance de la gravité par les scientifiques, tant que ça t'es confortable grand bien te fasse.
En ce qui concerne la véracité du savoir humain, elle est variable, par exemple croire que l'espace intersidéral est vide (c'est-à-dire sans matière ou presque) est une vérité démontrable, entre autres expérimentalement, comme exposé, croire le contraire est indémontrable et invérifiable en l'état actuel des choses. Bonne chances dans ta poursuite un peu cahotique de la véracité. -O.--M.--H.- 16 octobre 2012 à 00:14 (CEST)[répondre]
Je rajouterais qu’un concept est forcément une abstraction donc dans une moindre mesure une fiction. Y chercher la réalité est donc peine perdue (idem pour la vérité et la véracité d’ailleurs). C’est vrai pour le vide comme pour des notions fondamentales (même les nombres). Cdlt, Vigneron * discut. 16 octobre 2012 à 13:41 (CEST)[répondre]
Enfin, un commentaire sans attaque personnelle, raillerie ou condescendance. Prenez-en de la graine messieurs.--100.43.108.209 (d) 16 octobre 2012 à 15:07 (CEST)[répondre]
Ceci dit, malgré quelques commentaires subjectifs, il n’en reste pas moins que les éléments techniques et scientifiques fournis précédemment restent juste. Cdlt, Vigneron * discut. 16 octobre 2012 à 18:15 (CEST)[répondre]