Wikipédia:Oracle/semaine 18 2014

Dernier commentaire : il y a 10 ans par Jbdepradines dans le sujet Le mot "pilon"

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Question de droit - récidive

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Je m'en balance mais suis tranchante

Y a-t-il dans le droit français (ou dans d'autres systèmes juridiques) une "règle" (un concept juridique) qui fait que, si on a déjà été condamné pour un délit, la seconde fois la condamnation est plus lourde, et ainsi de suite. Par exemple, untel commet un cambriolage pour lequel il est condamné à X années de réclusion, il est relâché, il récidive et sa condamnation y relative sera de toute façon supérieure à la première. Si cela existe dans le droit français, est-ce que cela existe dans toutes ses branches (administratif, pénal, etc.). Merci d'avance.

En fait, je vois dans Récidive (droit français) "En droit pénal français, la récidive légale est la réitération d'une infraction proche ou équivalente d'une infraction précédemment et définitivement condamnée. C'est une circonstance aggravante qui permet le prononcer d'une peine plus lourde, jusqu'au doublement de la peine." Question: pourquoi un journal people genre Voici peut continuer son mode de faire sans être condamné plus fortement chaque fois. D'où ma question ci-dessus "dans toutes ses branches"? 83.228.181.0 (discuter) 28 avril 2014 à 11:00 (CEST)Répondre

Sur WP, tu fais preuve de mauvaise foi, tu agresses, tu tu violes la propriété d'autrui avec une certaine tolérance, un samaritain répare derrière toi, jusqu'à lassitude, puis tu finis (plus ou moins vite, ça dépend de la gravité des faits et de ton zèle, entre autres) par être sanctionné. Une martingale administrative peut s'enclencher : doublement de la sanction à chaque récidive, sachant que la sanction ultime sera non la prison à vie, mais le bannissement de ton pseudo. En droit français, c'est un peu différent, il n'y a pas de consensus préalable entre les juges, chaque jugement est indépendant des autres, et chaque fois on peut considérer que l'état de récidive est une circonstance aggravante, avec une peine majorée, ou pas, plus la révocation d'un éventuel sursit à l'occasion, ou pas. Maintenant, tant avec les forces répressives de WP qu'avec les magistrats, sur le long terme, jouer au Kh*n est rarement fructueux. Enfin ce n'est que mon avis. Le cas particulier de la presse pipole, je ne connais pas plus que ça, je la lis trop peu, je pense que quatre vingt pour cent (au moins) de ses "révélations", sont bidon, que les "victimes" organisent elles-mêmes les fuites les concernant, et que le partenariat entre "vedettes" et "journalistes" enrichit les deux camps. Mais sans avoir en rien lu, alors mon avis, tu en fais ce que tu veux, ça ne me vexera pas. 88.165.212.52 (discuter) 28 avril 2014 à 12:36 (CEST)Répondre
La récidive est une notion qui s'applique aux crimes et aux contraventions les plus graves, la diffamation, l'injure, l'atteinte à l'image sont des contraventions de première classe donc l'on ne peut retenir la récidive. Sinon, pendant une période ont été théoriquement instaurées les peines plancher en France pour la récidive mais ça a été abrogé en 2013. >O~M~H< 28 avril 2014 à 13:06 (CEST)Répondre

les conquetes d'Alexandre le grand

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Quelles sont les réalisation d'Alexandre le grand ?

Comment se présente une cité hellénistique comme Alexandrie ?

  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Salut. Comme on dit ici, suivre les liens bleus. >O~M~H< 28 avril 2014 à 21:08 (CEST)Répondre

8 Foot Sativa : comment traduire ?

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Cannabis sativa

Bonsoir,

8 Foot Sativa est le nom d’un groupe de metal néo-zélandais formé en 1998.

Que signifie ce nom ?

Pourrait-on comprendre « cannabis de deux mètres cinquante » ?

Merci d’avance. Alphabeta (discuter) 28 avril 2014 à 21:27 (CEST)Répondre

Oui, ou Cannabis sativa de 8 pieds de haut. Le groupe tire en effet sans ambiguïté son nom de la plante [1]. -- Amicalement, Salix [Converser] 28 avril 2014 à 22:07 (CEST)Répondre
Mais Sativa de 8 pieds se dirait 8 feet sativa. Alors ?! Je ne sais. rv 29 avril 2014 à 09:40 (CEST)
Je crois me souvenir de ceci de mes cours d’anglais : dans cette langue le terme annexé reste au singulier dans un mot composé : a ten pound note, « un billet de dix livres ». Alphabeta (discuter) 29 avril 2014 à 11:25 (CEST)Répondre
Sur ce point de grammaire il y a encore 8 Mile : on dirait un mot composé dont le terme principal serait sous-entendu. Alphabeta (discuter) 29 avril 2014 à 11:32 (CEST)Répondre
OK, après un petit googlage je me rends compte de la réalité de cette règle qui m’avait totalement échappé jusqu’à ce jour. Merci à toi. rv 29 avril 2014 à 11:39 (CEST)
Merci à tous ceux qui ont répondu : j’ai répercuté les réponses dans Sativa  . Alphabeta (discuter) 29 avril 2014 à 13:02 (CEST)Répondre
C'est plutôt à placer sur l'article concerné. Fait  .-- Amicalement, Salix [Converser] 29 avril 2014 à 13:07 (CEST)Répondre
Les rapports entre les entités énumérées dans un article dit d’homonymie peuvent et doivent être indiqués : e. g. dans un article d’homonymie de patronyme on indique courammant les liens de parenté. Alphabeta (discuter) 29 avril 2014 à 13:35 (CEST)Répondre

En quelle langue sont rédigés Les contes drolatiques de Balzac ?

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Bonjour.

Les Contes drolatiques - I - La Belle Impéria, ça ressemble à du faux ancien français écrit par qqun qui y comprend juste assez pour faire un poisson d'avril (comme moi).

Dites-moi, je me trompe complètement, ou Balzac était un fin plaisantin ? --79.88.33.210 (discuter) 28 avril 2014 à 22:19 (CEST)Répondre

Le tout est expliqué dans notre article : Les Cent Contes drolatiques Dhatier discuter 28 avril 2014 à 22:35 (CEST)Répondre
Merci Dhatier, donc il s'agit effectivement d'un poisson d'avril (de 1832). --79.88.33.210 (discuter) 28 avril 2014 à 23:35 (CEST)Répondre

Changement de la couleur de page (rappel)

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Section de la semaine précédente copiée ici

Salut tout le monde,

Si le changement de couleur de page vous a surpris (en bien ou en mal), on en discute ici. >O~M~H< 21 avril 2014 à 16:17 (CEST)Répondre

J'ai rajouté une demande d'avis (pour, contre et neutre) et bien entendu tous les commentaires sont les bienvenus sur le lien d'Olivier, on ne va pas faire durer la chose plus longtemps.--Doalex (discuter) 23 avril 2014 à 10:15 (CEST)Répondre
Cette demande d'avis pourrait s'arrêter avec la fin de la semaine 18 2014 tant que la section restera visible sur la page principale de l'Oracle, sauf mention contraire.--Doalex (discuter) 24 avril 2014 à 16:22 (CEST)Répondre

Train blanc non marial

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Bonjour gentilles Pythies. Bonjour Olivier  
Dans le manuscrit Les Allemands à Hermalle-sous-Huy (1914-1915) que j'étudie, l'auteure parle beaucoup de passage du train blanc qui transporte les blessés sur la ligne Namur Liège. WP ne dit rien à ce sujet et je m'interroge : était-il peint en blanc (avec croix rouges) comme on le fit pour les bus blancs ?
Des photos sur Gallica montrent un "train blanc" parfaitement noir ! Mais c'est le train pour Lourdes, le train des grands malades. Une autre auteure parle d'un "train blanc" fiché de ses croix rouges, p. 11 : encore Lourdes !
Le "train blanc" des soldats blessés de 1914, parfois composé de 48 wagons..., aurait-il été appelé ainsi par analogie avec le triste train de Lourdes - mais comment la dame aurait-elle pu toujours l'identifier ? par les croix rouges ? - ou était-il vraiment peint en blanc ? J'espère en vous, Égoïté (discuter) 29 avril 2014 à 17:49 (CEST)Répondre

Bonjour gentille pythie. Bonjour Olivier  
Quelques photos, c'est un début.--Doalex (discuter) 29 avril 2014 à 18:21 (CEST)Répondre
Bonjour gentilles pythies, bonjour Olivier (euh non...)
J'ai un peu cherché, rien trouvé de significatif mais ça semble vraisemblable, dans un conflit le blanc est la couleur habituelle pour les non belligérants ou les membres protégés « non combattants » (personnel médical, négociateurs...) chez les belligérants. >O~M~H< 29 avril 2014 à 19:34 (CEST)Répondre
J'y vois aussi une analogie dictée peut-être par la croyance des auteures, car on trouve déjà cette mention de train blanc du pélerinage de Lourdes dans les Les Trois Villes de Zola voir ce passage.--Doalex (discuter) 29 avril 2014 à 20:31 (CEST)Répondre
Dans cette page qui parle des trains sanitaires (c'était apparemment le nom officiel) belges on lit : «Parmi ceux-ci se trouvaient les trois trains sanitaires dits “Notre-Dame de Lourdes” qui avaient été donnés par Mgr De Ploige et qui rendirent d’immenses services. En effet, ces trains étaient munis de leur matériel sanitaire et de leur personnel ». Du coup, c'était peut-être bien des trains blancs selon l'acception courante. >O~M~H< 29 avril 2014 à 22:26 (CEST)Répondre
Bonjour Dom, Bonjour Olivier. La première mention de ce(s) train(s) date du 23 octobre et le train "descend", dit-elle - je comprend donc qu'il va vers l'Allemagne (en aval par rapport à Hermalle). Le 5 novembre, elle écrit : "Les trains blancs et autres sont passés nombreux. On évalue à 2.500 le nombre moyen de blessés qui repassent chaque jour sur la ligne Nord-Belge. Les trains blancs sont destinés aux militaires les plus atteints ; les lits sont superposés, trois de chaque côté. On voit les médecins circulant auprès des malades. Hier, à l’arrivée d’un train blanc à Liége, il y avait 170 morts.— Le canon se fait entendre d’une façon effroyable. Passage d’un corbillard et de 4 cercueils, dont l’un, avec des poignées d’argent, était d’un luxe inouï, mais le Crucifix ne s’y trouvait pas cloué." Il me semble qu'il doit s'agir de blessés allemands (pourquoi des blessés belges seraient-ils transportés en Allemagne ?) Les Allemands avaient-il "leurs" trains blancs ? Y aurait-il parmi vous une personne compétente pour le Nord-Belge ? Je formule peut-être mal mes questions, mais là, épuisée... Bisous à tous, Égoïté (discuter) 1 mai 2014 à 23:40 (CEST)Répondre
J'ai l'impression que dans ce texte l'auteure utilise l'expression «train blanc» comme synonyme de «train-hôpital». Les trains-hôpitaux n'étaient pas peints en blanc (certains l'étaient peut-être) mais ils étaient identifiés pour être reconnaissables en tant que trains-hôpitaux. Dans la collection Bain de la Bibliothèque du Congrès des États-Unis, on trouve les images suivantes relatives à des trains-hôpitaux allemands vers l'époque de la Première Guerre mondiale : [2] [3] [4] [5] [6] [7]. Ces photos ne comportent pas de bonnes vues globales de l'extérieur des trains, mais en donnent une idée. Un autre site web mentionne que durant la Première Guerre mondiale [traduction] «Les Allemands avaient environ 150 trains-hôpitaux. Certains étaient administrés par la Croix-Rouge (...) alors que d'autres étaient sous juridiction militaire». -- Asclepias (discuter) 2 mai 2014 à 19:18 (CEST)Répondre
J'ai la même impression, je pense qu'elle utilise « train blanc » parce qu'à son époque c'est une expression courante, un synonyme habituel de train sanitaire, et non parce que les trains seraient effectivement peints, serait-ce en partie, en blanc. >O~M~H< 2 mai 2014 à 21:31 (CEST)Répondre
Superbe image que celle de ton dernier lien , Asclepias ! Merci ! Ce commentaire n'évitant évidemment pas le regret de tant de douleurs, mais superbe image... Ceci dit, vu mon mauvais caractère, je m'entête : tu écris "ils étaient identifiés pour être reconnaissables en tant que trains-hôpitaux". Quels étaient ces signes de reconnaissance STP ? Avec sources...   et   Égoïté (discuter) 3 mai 2014 à 02:00 (CEST)Répondre
Je dirais au minimum la croix rouge sur fond blanc. La croix rouge sur fond blanc étant le symbole conventionnel admis tant pour l'organisation de la Croix-Rouge que pour les installations et véhicules médicaux des armées, il est logique de le retrouver sur les trains médicaux. L'idée étant notamment d'éviter autant que possible que les installations et véhicules spécifiquement médicaux se fassent tirer dessus. On trouve sur le web plusieurs images de trains-hôpitaux (et de wagons-ambulances) de la Première Guerre mondiale, notamment britanniques, français et russes, identifiés de cette façon [8], [9], [10], [11] et en général le site du Musée des chemins de fer du Royaume-Uni [12] pour d'autres photos britanniques). On y trouve aussi des images de véhicules médicaux routiers allemands de la Première Guerre mondiale identifiés de cette façon. Et on trouve des images de trains-hôpitaux (ou de wagons-ambulances ou de projets de trains-hôpitaux) allemands d'époques autres que la Première Guerre mondiale identifiés de cette façon (ex. 1, ex. 2). Je n'ai pas trouvé spécifiquement une bonne image d'ensemble d'extérieur de train-hôpital allemand de la Première Guerre mondiale. Il y a quand même celle-ci, parmi celles déjà signalées ci-dessus, qui permet de voir le symbole sur un wagon d'un de ces trains. Mais compte tenu de tout le reste et que c'est l'idée d'avoir une convention internationale, je ne vois pas de raison de douter que ces trains étaient identifiés de façon semblable aux autres véhicules comparables de la Première Guerre mondiale, c'est-à-dire aux trains-hôpitaux des autres pays et aux autres véhicules médicaux allemands. Si l'objectif est de tenter, entre nous ici, de se faire une idée de la situation de l'époque, alors étant donné l'ensemble des images disponibles concordantes, je dirais que ça me semble une conclusion presque inévitable que les trains-hôpitaux en général étaient identifiés de cette façon. Évidemment, ça ne te donne pas une source qui dit exactement cela, si l'objectif est plutôt de mentionner exactement ce point précis dans un texte que tu voudrais publier avec preuve irréfragable à l'appui. -- Asclepias (discuter) 3 mai 2014 à 22:17 (CEST)Répondre
Grand merci Asclepias ! J'ai eu trop de boulot ces jours-ci pour te répondre directement et pour continuer des recherches sur ce sujet, mais ce que tu écris me semble parfaitement plausible et j'en prends bonne note. Si par hasard, tu tombais un jour sur un élément d'information complémentaire, je te remercie de m'en faire part. Idem de mon côté bien entendu.   Égoïté (discuter) 6 mai 2014 à 12:07 (CEST)Répondre
Insignes d'identification : ici, mention du "fanion de la Convention de Genève" dans un pdf qui ne passe pas (liste noire de WP) Bisous, Égoïté (discuter) 6 mai 2014 à 13:50 (CEST)Répondre

Editeurs disparus

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Bonjour à tous,

Je viens vers vous parce que je ne trouve pas de réponse satisfaisante sur le web, mais il est possible que je sache pas bien chercher, Voilà, je connais la règle pour les droits d'auteur en France, mais je ne connais pas celle concernant les droits des éditeurs.

Supposons un auteur est mort depuis 5 ans, une société à un contrat d'édition avec lui, disons pour 10 ans, la 7eme année la société d'éditions disparaît, l'oeuvre n'est donc plus diffusée, la société bien que disparue garde-t-elle l'exclusivité sur l'oeuvre ou le contrat devient-il caduque ?

Autre question concernant l'édition musicale. Je sais bien que la copie autre que pour un usage privé est interdite, mais voilà, là aussi l'éditeur disparaît, l'oeuvre n'est pas dans le domaine publique, mais elle n'est plus diffusée, un groupe de musicien veut la jouer, et pour leur concert, ils ont besoin de la partition sous les yeux, le groupe fait des photocopies de l'unique exemplaire trouvé de la partition. Ont-ils le droit d'utiliser ces photocopies pour un usage public. L'éditeur disparu a-t-il encore des droits lié à sa partition ou pas ? La Sacem peut-elle infliger une "amende" pour usage frauduleux d'une partition ?

Je ne suis pas sûr d'être très clair, Merci en tous cas à ceux qui sont compétents de me réponde,

Cordialement. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 29 avril 2014 à 19:53 (CEST)Répondre

Question à déplacer sur WP:Legifer (voir le blog de Pierrot). --79.88.33.210 (discuter) 29 avril 2014 à 21:47 (CEST)Répondre
C'est le contraire. Si la question avait été posée sur Legifer, il aurait fallu la déplacer sur l'Oracle. En principe, Legifer est une page de discussion pour des échanges qui concernent Wikipédia (ou, par extension, Wikimedia) et qui ont un aspect juridique. L'Oracle est un lieu pour les questions et réponses sur des sujets variés, sans lien particulier avec Wikipédia, y compris sur des sujets juridiques en général. La question ci-dessus se rattache à la seconde catégorie, donc l'Oracle. (Sauf lorsqu'il s'agit d'une demande flagrante d'avis juridique sur un cas externe, auquel cas elle n'aurait sa place à aucun de ces deux endroits.) -- Asclepias (discuter) 30 avril 2014 à 00:18 (CEST)Répondre
Je savais bien que j'étais au bon endroit. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 30 avril 2014 à 13:57 (CEST)Répondre

… normalement, quand un éditeur disparait, ce sont les auteurs qui reprennent à leur compte ou avec un nouvel éditeur les droits de diffusions. Il n'y a donc pas théoriquement de rupture et les ouvrages (littéraires ou musicaux) restent protégés de la même façon… donc pas de copies. Il me semble que les droits de diffusion d'un éditeur en cas de faillite par exemple peuvent être vendus aux enchères, et c'est généralement un autre éditeur qui les récupère (à confirmer). — Hautbois [canqueter] 30 avril 2014 à 01:01 (CEST)Répondre

Parfois aussi, le fonds et la marque d'un éditeur failli sont rachetés en bloc par un autre éditeur. >O~M~H< 30 avril 2014 à 01:49 (CEST)Répondre
Merci pour vos réponses, y-a-t-il un moyen de connaître par quelle nouvelle maison a été racheté un fond ancien ou pas ? --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 30 avril 2014 à 13:57 (CEST)Répondre
J’en profite tant que vous êtes là. Même question : y a-t-il une démarche préférentielle, voire officielle, pour retrouver les ayant-droits d’un auteur pas dans le domaine public, pour réutiliser un bout d’œuvre paru d’abord dans la NRF (donc a priori Gallimard), puis plus tard par un petit éditeur aujourd’hui disparu ? Merci. --Guingois (discuter) 30 avril 2014 à 16:26 (CEST)Répondre
Il n'y a pas de réponse simple, le monde de l'édition est complexe, comme celui de toute industrie ou entreprise commerciale. On a déjà le cas des maisons d'éditions qui ne sont pas indépendantes, en cas de faillite leur fonds revient à la maison-mère ; après, il y a le cas des maison formellement indépendantes mais adossées à un grand groupe, là il y a souvent des clauses de cession préférentielle du fonds, savoir si le groupe fera ou non jouer cette clause ; enfin dans le cas de maisons réellement indépendantes, si elles le sont d'un grand groupe d'édition elles ont souvent des actionnaires ou des détenteurs majoritaires de participations, ou dans le cas de réelle indépendance des créanciers principaux, qui peuvent eux aussi avoir passé un contrat de cession préférentielle ; reste le cas somme toute minoritaire de maisons réellement indépendantes et là on peut avoir les deux cas, vente aux enchères du fond, dans ce cas il sera dispersé, ou vente du fonds à un seul acheteur, en général un autre éditeur. Bref, pas de recette simple pour savoir où sont allés les droits quand une maison cesse son activité. >O~M~H< 30 avril 2014 à 16:57 (CEST)Répondre
… pas mieux. Je me souviens juste d'avoir vu, il y a "quelques années" une liste d'éditeurs de musique avec, quand ceux-ci n'existaient plus, le nom des éditions à contacter. Mais où ? quand ? comment ? Cela doit bien exister encore quelque part……… — Hautbois [canqueter] 1 mai 2014 à 08:29 (CEST)Répondre

salines

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Bonjour, pourquoi dans l'extraction du sel il fallait (arc et senans par exemple dans le juras) injecter de l'eau et ensuite traiter cette saumure :chauffage.... <La possibilité de creuser une cavité et d'extraire ce sel brut n'était pas possible ? Merci d'apporter un éclairage à mon problème après une visite dans cette saline royale d'arc et senans qui n'a pu satisfaire ma curiosité.

Salut. Parce que c'est du sel gemme qui contient tout un tas de trucs pas spécialement digestes, donc le dissoudre puis le dessécher permet de séparer les divers composants et de récupérer du sel alimentaire. >O~M~H< 29 avril 2014 à 21:54 (CEST)Répondre
… la technique d'extraction des saumures minières, particulièrement pour le sel des montagnes, semblait avoir une grande efficacité. Mais la Saline royale d'Arc-et-Senans avec son saumoduc, après un siècle d'exploitation, ne s'est pas relevée de la pollution du puits et de la concurrence du sel marin acheminé par chemin de fer. — Hautbois [canqueter] 30 avril 2014 à 01:36 (CEST)Répondre

Hippolyte Taine

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Bonjour, Je viens de lire l'article sur Taine et j'y ai trouver deux phrase qui me semble contenir des propos contradictoires ou qui demandent à être explicités avec plus de détails pour ne pas paraître tels. Voici les deux phrases de l'article avec l'aspect que j'ai trouvé contradictoire en italique gras : 1) "Taine était parfois injuste sinon hâtif dans ses conclusions. Auteur de grandes synthèses, il lui fallait aller vite et, pour cette raison, le recours aux archives était réduit au minimum. En dépit de leurs insuffisances, ses interprétations, dont on ne peut nier les fulgurances, ont connu et connaissent encore aujourd'hui un grand succès, en France et à l'étranger, notamment en alimentant des doctrines politiques conservatrices ou la « légende noire » de la Révolution de 1789." et : 2)"Taine sait qu'il n'est pas possible de faire des expériences en laboratoire pour l'Histoire, mais il est possible de soumettre les sources à des opérations scientifiques. Il définit quatre étapes : Analyse : repérer les faits historiques dans les documents ; Classement : classer les faits historiques par catégories : œuvres de l'intelligence humaine (art, religion, science) ; œuvres de l'association humaine (structures politiques et sociales) ; œuvres du labeur humain (faits économiques) ; Définition : résumer ces catégories, ces séries de faits similaires par une formule simple, par exemple : système capitaliste pour une série de faits économiques ; Mise en relation : établir des relations logiques entre ces catégories, ces séries de faits pour faire une synthèse : le récit produit est de l'Histoire.

Ce qui est aussi en contradiction avec le fait que vous le présentez comme un des précurseur/fondateur de la méthode scientifique en histoire. Ce que fut aussi son contemporain Fustel de Coulanges que vous ne citez pas.

En espérant que ces remarques sont positives recevez mes sincères salutation. --Semard Pierre (discuter) 30 avril 2014 à 17:10 (CEST)Répondre

Bonjour, le problème ne sont pas vos remarques que je me garderais bien de juger, mais cet article, certainement un des plus anciens de wikipédia en français (environ 70 000 fin 2004) a été rédigé par des personnes difficiles à contacter pour en discuter avec elles et la bonne méthode serait d'y apporter vos améliorations en n'oubliant pas de sourcer si nécessaire. Ici vous comprendrez que nous tentons de répondre à des questions d'ordre encyclopédique mais très rarement nous donnons un avis sur un article et par conséquent, nous ne procédons pas à des modifications suggérées par les contributeurs, ce qui n'empêchera pas un utilisateur qui connait bien le sujet d'y apporter ses connaissances et sans passer par notre permission de faire.--Doalex (discuter) 30 avril 2014 à 18:19 (CEST)Répondre
On ne cite pas non plus Taine dans l'article sur Fustel de Coulanges, qui est donné comme méthodique lui aussi. C'est ainsi, l'article sur Taine n'est pas celui sur Fustel de Coulanges et réciproquement. Sinon, je ne vois pas de réelle contradiction : d'un côté, Taine pose les conditions pour une recherche historique scientifique et affirme qu'elle est possible, de l'autre il ne dispose ni du temps ni des moyens pour mettre réellement en pratique sa méthode. C'est dans l'ordre des choses, il y a souvent une distance entre la théorie et la pratique non parce qu'il y a contradiction mais parce qu'on n'a pas l'opportunité de mettre pleinement en œuvre ses principes. >O~M~H< 30 avril 2014 à 19:00 (CEST)Répondre

Pour sourire; Taine était l'oncle de l'académicien français André Chevrillon et pour s'amuser en famille, on l'appelait Tonton Taine;jbdepradines (discuter) 5 mai 2014 à 23:29 (CEST)_ après correctionRépondre

À part le tonton Taine, pourquoi écris-tu était l'oncle de l'académicien français puisqu'il l'était lui-même, il a occupé le fauteuil 25 en 1878  ? --Doalex (discuter) 6 mai 2014 à 09:52 (CEST)_ question posée avant correction l'ajout du nom du neveuRépondre

Certes. Mais je n'avais pas à évoquer Taine plus que je ne l'ai fait... Son "académicité(?)" n'étant pas en cause… Et cela aurait été hors de propos. Ce qui aurait été à propos, et que je regrette de ne pas avoir mentionné, lapsus, c'est le nom du neveu: André Chevrillon… (J'ai corrigé) Désolé…. Pour tout te dire, l'anecdote m'avait été racontée par Olivier Chevrillon, neveu d'André et donc, petit-neveu de Taine, qui ne m'avait pas pour autant parlé de son "grand-tonton Taine"... jbdepradines (discuter) 6 mai 2014 à 22:29 (CEST)Répondre

Enrico Toselli & Pierre d'Amor

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bonjour, bonsoir,

je ne trouve rien concernant ce compositeur et cet auteur de la 'fameuse' Sérénade chantée par Tino Rossi

Enrico Toselli & Pierre d'Amor

c'est bien dommage

merci

Salut. Pour le premier tu as en:Enrico Toselli ou it:Enrico Toselli si tu lis ces langues. Pour le second, Pierre d'Amor semble avoir écrit plusieurs textes sur des mélodies nouvelles ou existantes mais je n'ai rien trouvé non plus sur sa biographie. >O~M~H< 1 mai 2014 à 01:52 (CEST)Répondre
Pierre d'Amor (1863-1931), auteur de textes, semble surtout être connu comme adaptateur/traducteur de chanson en français comme ce Salut Du Soir sur la Sérénade de Franz Schubert utilisé dans le film La Belle Meunière, mais aussi Petite maison grise (Little grey home in the west) musique de Hermann Löhr ou, le plus connu, Roses de Picardie (Roses of Picardy) succès de Haydn Wood (traduit en 1918) et rendu célèbre dans L'Été meurtrier. — Hautbois [canqueter] 1 mai 2014 à 07:47 (CEST)Répondre
… précision dans l'article sérénade : « La Sérénade (Ständchen) de Franz Schubert, inspirée par un poème de Ludwig Rellstab, est une chanson d’amour extraite du recueil Schwanengesang comportant quatorze lieder ». — Hautbois [canqueter] 1 mai 2014 à 12:28 (CEST)Répondre

Barack Obama, égocentrique ?

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Bonjour, chères et chers pythies, je m'adresse aujourd'hui plus particulièrement à celles et ceux d'entre vous qui, peut-être, suivent la vie politique des États-Unis d'Amérique.

J'ai entendu ces derniers temps, de la part de connaissances de nationalité états-unienne, que des critiques au sujet du président des États-Unis d'Amérique, Barack Obama, laissent entendre qu'il serait égocentrique.

Ce n'est peut-être rien de plus qu'un argument du Parti Républicain, mais de mon œil de petit Français, qui suit l'actualité mondiale comme il le peut, un peu perdu dans tout ce flot d'arguments et de contre-arguments qui jonche les espaces démocratiques, la question me turlupine !

Donc : quels éléments de la vie politique états-unienne ont donné lieu aux critiques selon lesquelles Obama serait égocentrique ?

Merci bien et bonne journée ! — KiwiNeko14 Causettes ? 1 mai 2014 à 14:01 (CEST)Répondre

Dans le cas présent, je ne sais pas mais on a un article Égocentrisme qui le distingue de la mégalomanie et du narcissisme. Quand on pense au déploiement de forces lors de sa visite récente à Bruxelles, on peut se demander si lui et son entourage ne sont pas également atteint de paranoïa. -- Xofc [me contacter] 1 mai 2014 à 14:56 (CEST)Répondre
Je ne comprends pas très bien la critique. Un type qui se prend pour Napoléon est assez souvent pris pour un cinglé, sauf dans un cas, celui du vrai Napoléon. Un type qui se croit le centre du monde, que son avis a plus de poids que celui de quiconque, et que le monde entier s'inquiète de ses actes ou de ses opinions, quand il est président des États Unis, est-il déraisonnable ? Ne serait-ce pas le contraire qui serait inquiétant, au moins pour ceux qui ont voté pour lui ? 88.165.212.52 (discuter) 2 mai 2014 à 13:02 (CEST)Répondre

Objet inconnu

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Parabole de la paille et de la poutre par Domenico Fetti.

Bonjour,

J'ai découvert un arceau métallique au fond de mon jardin. En creusant un peu, j'en ai trouvé plusieurs, qui devaient constituer l'armature d'un tonneau en bois de petit format. Et à côté de ces arceaux, j'ai déterré cet objet cylindrique creux... mais je n'ai aucune idée de ce que ça peut être !

Ma première idée était un canon, mais ce "tube" est ouvert aux 2 extrémités ? Ça fait une soixantaine de centimètres de haut, une dizaine de centimètre de diamètre, et ça pèse son poids.

Quelqu'un aurait-il une idée ?

Merci de votre aide ! --Jg (discuter) 2 mai 2014 à 11:26 (CEST)Répondre

Voir la pub en bas de page ici[13] Boîte d'essieu de charrette. (la partie en fonte fixée au moyeu et qui subit le frottement sur l'axe). Ça devait être un beau char, parce que des moyeux de soixante centimètre de long, ça devait porter lourd ! 88.165.212.52 (discuter) 2 mai 2014 à 12:47 (CEST)Répondre
Merci beaucoup pour cette information ! Du coup, je reconsidère mes arceaux métalliques, qui faisaient peut-être partie de l'essieu ? Et s'il y avait une charrette dans le coin, j'ai une chance de trouver une deuxième boîte d'essieu enterrée un peu plus loin ? --Jg (discuter) 2 mai 2014 à 13:49 (CEST)Répondre
Voir cette page d'images Google. J'aime bien celle-ci Lever de l’essieu pour créer un article nouveau dans la Catégorie:Sport et loisir breton et nous avons un article sur la FALSAB, j'en connais aussi, amateurs de jeux...de mots, qui vont dire on appelle ça lever l'essieu au ciel.   --Doalex (discuter) 2 mai 2014 à 15:43 (CEST)Répondre
… c'est vrai aussi que si c'était andalous plutôt que breton, on l'aurait dit « de velours » (La bielle de Cadix a l'essieu de velours… ) même pas honte, c'est Doalex qui a commencé… (l'essieu dans les cieux, Dominique, ose dire le contraire)  Hautbois [canqueter] 4 mai 2014 à 01:39 (CEST)_ Mesdames et m'essieu j'en suis   = fier et je ne baisserais pas l'essieu.--Doalex (discuter) 4 mai 2014 à 08:48 (CEST)Répondre

┌─────────────────────────────────────────────────┘
Oyez, oyez : je demande un avis sur le fait de mette un s ou non dans mon intervention ci-dessus, perso je considère ma phrase dans le sens de en conséquence et c'est la condition immédiate de ma fierté ? Mais en fait je ne suis pas très doué pour les temps, merci cependant de respecter dans vos réponses le double s du verbe baisser, bien entendu j'implore l'essieu .--Doalex (discuter) 4 mai 2014 à 14:16 (CEST)Répondre

Dans ce contexte un futur simple est bienvenu, le conditionnel requerrait un complément qui l'explique (« sauf si j'y étais forcé », par exemple). Ce n'est pas une faute mais du moins c'est surprenant. >O~M~H< 4 mai 2014 à 14:56 (CEST)Répondre
… « Mesdames et m'essieu il en est   = fier et il ne baisserait pas l'essieu. » et c'est tout. Pfffffff ! Fier peut-être, mais têtu sûrement. — Hautbois [canqueter] 4 mai 2014 à 19:07 (Modèle:Contrepèterie… Dominique ne baisserait-il pas toutes les heures ?   ) hu hu ! rv 5 mai 2014 à 15:52 (CEST) _   --Doalex (discuter) 5 mai 2014 à 20:25 (CEST)Répondre
Oui, oui c'est vrai un peu de surchauffe (cérébrale) en ce moment, au revoir.--Doalex (discuter) 4 mai 2014 à 20:52 (CEST)Répondre

Le mot "pilon"

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… deux pis courts
et deux pilons   -  

Bonjour Pythies spécialistes de l'argot en général ou plus précisément de l'argot lyonnais, de l'argot des gones. Le mot "pilon" a t-il le sens quelque part de "môme", de "gamin'? Référence: la phrase entendue: "Quand j'étais pilon, t'sais"… Merci. jbdepradines (discuter) 3 mai 2014 à 17:11 (CEST)Répondre

Il me semble l’avoir entendu, a moins que c’était belin, qui est je crois plutôt de Villeurbanne je crois. CQui (discuter), le 3 mai 2014 à 22:45 (CEST)Répondre
… pour moi, dans ce contexte, un pilon en argot , c'est un des nombreux synonymes de soldat. — Hautbois [canqueter] 4 mai 2014 à 01:49 (CEST)Répondre
Idem. Je me demandais si ça ne correspondait pas à un grade particulier, et j’attendais d’avoir le courage d’ouvrir mes 4 ou 5 dicos d’argo pour vérifier... rv1729 4 mai 2014 à 10:40 (CEST)Répondre
Ah oui, on approche d'une réponse. Merci. Mais si Hervé 1729 pouvait vérifier, il me ferait plaisir… jbdepradines (discuter) 4 mai 2014 à 11:56 (CEST)Répondre
On le retrouve aussi ici à la fin dans le sens de mendiant, peut-être qu'un gamin exploité comme tel s'appelle un pilon ? --Doalex (discuter) 4 mai 2014 à 13:36 (CEST)Répondre
Non, on appelait ainsi au départ les mendiants avec une jambe de bois – un pilon. >O~M~H< 4 mai 2014 à 15:02 (CEST)Répondre
En effet, c’est un mendiant, et l’étymologie est celle que donne Olivier. On trouve les expressions faire le pilon, la maison pilon.
Un autre sens donné (par le Larousse de l’Argot) est celui d’« individu quelconque », avec cette citation de Céline : C’est la crise dans toute la tôle... tous les pilons viennent aux lucarnes. rv1729 4 mai 2014 à 16:42 (CEST)Répondre

Merci à tous. jbdepradines (discuter) 5 mai 2014 à 14:45 (CEST)Répondre

La réponse est en partie dans le Littré de la Grand'Côte. « Pilon » vient bien de la pièce de poulet. On la donnait traditionnellement aux enfants parce qu'elle était facile à manger. Ainsi celui à qui on donnait habituellement le pilon était le benjamin de la famille et on le présentait d'ailleurs ainsi : voici le pilon de la famille. --Mistig (discuter) 6 mai 2014 à 22:06 (CEST)Répondre

Merci beaucoup pour cette information qui confirme mon intuition. Mais avec Littré de la Grand'Côte, temple du parler lyonnais, c'est plus sûr. Bravo pour votre pugnacité. J'aurais dû aller voir mon Littré. J'avoue ne pas y avoir pensé. Et sans doute n'y aurais-je pas trouvé l'expression. Quant au Littré de la Grand'Côte… je ne l'ai pas... Cordialement.jbdepradines (discuter) 6 mai 2014 à 22:26 (CEST)Répondre

Ici sur Gallica l'édition de 1903 avec une étrange page 9 (censurée ?). --Doalex (discuter) 7 mai 2014 à 10:54 (CEST)Répondre

Merci pour cette communication… jbdepradines (discuter) 8 mai 2014 à 09:52 (CEST)Répondre

Sativa (en Colombie) à situer

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Bonjour,

J’ai passé hier une annonce dans Discussion Projet:Colombie#Sativa (en Colombie) à situer que je recopie ci-après  :

Bonjour,

Dans Chibchas#Muiscas j’ai repéré un lien sur Sativa.

Or Sativa   est une page d’homonymie.

Peut-on situer ce lieu, en s’aidant de Sativa   par exemple.

Sativa#Toponymes   référence les municipalités Sativanorte et Sativasur, autrefois Sátiva.

Merci d’avance pour votre aide. Alphabeta (discuter) 3 mai 2014 à 18:35 (CEST)Répondre

PCC.

Je renouvelle ma demande auprès des si savantes Pythies au motif que le projet Colombie n’est pas forcément particulièrement actif.

Merci d’avance aux Pythies. Alphabeta (discuter) 4 mai 2014 à 16:07 (CEST)Répondre

Salut, je ne sais pas si ca peut aider mais il y a un autre article (qui fait un peu doublon) sur les Muiscas : [14]. Dans la carte de l'article il y a la répartition de ces peuples. Il y a aussi ce lien qui localise Paramo Sativa : [15].Eystein (discuter) 4 mai 2014 à 20:53 (CEST)Répondre
dans l'article espagnol Sativasur, municipalité de Colombie, il est fait référence à «los indios sativas» qui auraient été les fondateurs du village actuel. Mais mon espagnol est très approximatif... Dhatier discuter 5 mai 2014 à 00:12 (CEST)Répondre
Merci pour ces (premières ?) réponses. J’ai appelé BTH (d · c · b) (qui a créé l’article Chibchas en 2009) à la rescousse. Alphabeta (discuter) 5 mai 2014 à 19:14 (CEST)Répondre

J’ai réçu la mise en point suivante dans ma page de discussion personnelle :

Bonsoir Alphabeta,
Je ne suis pas le créateur de cet article qui date de 2006 (il faut remonter à la première page de l'historique). Le créateur en est Utilisateur:Mandeville.
Je me suis contenté de jouer le wikignome en faisant un peu de mise en forme et en traduisant quelques compléments depuis l'article en espagnol.
Je vais cependant voir ce que l'on peut obtenir de notre ami Google et interroger une personne proche qui est allé en Colombie.
A suivre
Bonnes contributions - BTH (discuter) 5 mai 2014 à 20:23 (CEST)Répondre

PCC. Dont acte... Alphabeta (discuter) 5 mai 2014 à 20:32 (CEST)Répondre

Bonsoir à tous,
Recoupements faits sur le web (et résumés dans la page d'homonymie Sativa  ), il semble bien que l'ancienne cité Muisca de Sativa, sous l'autorité du cacique Tundama de Duitama, lui-même vassal du Zaque de Hunza (Tunja), corresponde aux municipios colombiens actuels de Sativanorte et Sativasur.
Pour savoir précisément où se trouvait l'antique cité précolombienne par rapport aux établissements coloniaux espagnols, il faudrait se rapprocher des archéologues locaux ou faire une recherche plus poussée sur la toile...
Bonnes contributions - BTH (discuter) 5 mai 2014 à 23:45 (CEST)Répondre