Wikipédia:Oracle/semaine 10 2014

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Mobilisation modifier

Bonjour les Pythies. Puis-je vous mobiliser pour me trouver l'âge des hommes mobilisés le 31 juillet 1914 par le Gouvernement belge ? Quel était aussi l'âge des hommes des "classes" 1914-1915-1916 qui étaient demandées par ce gouvernement probablement peu avant le 5 octobre 1914 ? Un jeune homme né en novembre 1897 a-t-il pu ou non être enrôlé durant la Première Guerre mondiale ? Merci déjà, Égoïté (discuter) 3 mars 2014 à 10:15 (CET)[répondre]

Chez nous (en France) la "classe" correspond à l'arrivée à l'âge de 20 ans, je suppose qu'en Belgique c'est pareil. Donc ton "jeune" homme de 1897 est de le classe 1917 et a pu très bien être mobilisé dès 1915 (18 ans) et même avant. Pour info, mon grand-père, né en 1900, a été mobilisé pour la fin de la guerre (mais en Italie, et de plus il a réussi à se faire réformer...). --Serged/ 3 mars 2014 à 12:56 (CET)[répondre]
 
Et la lumière fut...

Bonjour. WP en donne une information non disponible sur notre WP quant à l'utilisation "domestique" de ce type de lampe. J'aimerais savoir si cette installation pouvait exister en Wallonie en 1914 et quelles auraient été les firmes qui la produisaient (Carbine Union - illustration promotionnelle d'une suspension - date de 1917). Mon (désormais célèbre ) manuscrit indique qu'il y avait au château un "local de l'acétylène" qui a été "violé par les soldats" en aout 1914 et, en septembre suivant : "on nous a fait des menaces, rapport à l'acétylène qui ne fonctionnait pas bien ; Augustin a dû recharger 4 fois le carbure. On [les Allemands] voulait une grande clarté." ; ces 4 recharges me laisse penser qu'il s'agissait plutôt de lampes que d'une suspension. Qu'en pensez-vous ?
À défaut, je cherche des illustrations entre 1900 et 1914 de lampes de table et de suspension à carbure pour habitation privée. Commons n'en donne pas... Merci pour votre aide ! Égoïté (discuter) 3 mars 2014 à 13:13 (CET)[répondre]

… une belle page sur L'éclairage à l'acétylène, histoire et principe, avec « Bibliographie et références » :
L'éclairage à l'acétylène de Georges Pellissier - Bibliothèque de la Revue Générale des Sciences 1897
Carbure de calcium et acétylène de Julien Lefèvre - Librairie J.B. Baillière et Fils 1898
L'acétylène. Théorie, applications de Marie-Auguste Morel - Imprimerie Gauthier-Villars Paris 1902
Lampes de mines, lampes d'usines, lampes de chantiers - Catalogues Butin 1913, 1916, 1925, 1939 et 1950
Hautbois [canqueter] 4 mars 2014 à 04:28 (CET)[répondre]
… avec aussi le Catalogue Manufrance 1910 (pages 316, 339, 758, 832, 914). En auras-tu assez ? t'y l'aimes ?  Hautbois [canqueter] 4 mars 2014 à 04:46 (CET)[répondre]
  Pour l'inaltérable aide de Hautbois
Égoïté (discuter) 4 mars 2014 à 07:32 (CET)[répondre]
      Merci    Hautbois [canqueter] 4 mars 2014 à 12:32 (CET)[répondre]
Philippe Deitz a ouvert un Musée de l'Éclairage au Gaz et d'Histoire du Luminaire Ancien à Liège (Google(philippe+deitz+luminaire) où je ne suis jamais allé mais il a aussi écrit un bouquin Histoire des luminaires : Histoire des hommes que j'ai la chance de posséder. Il y parle de l'éclairage à l'acétylène (pp 449-456) et il y a une illustration de lampes de table datant de 14-18. Il y a aussi des illustration de lanternes de rue à Paris au début du XXe siècle. Cela vaudrait sûrement la peine de le contacter. Il parle aussi d'une société Éclairage des mines de Loncin-lez-Liège (ça doit être Liége) qui a fabriqué des lampes à acétylène aussi bien pour l'intérieur que pour l'extérieur.-- Xofc [me contacter] 4 mars 2014 à 17:30 (CET)[répondre]
Merci Xofc ! J'avais oublié cela et vais contacter ce musée dès demain.   Égoïté (discuter) 4 mars 2014 à 18:44 (CET)[répondre]

Javelot modifier

 
… peinture de Raffaello Ducceschi.

Bonjour,

Je ne sais pas si certains ont déjà vu l'épreuve du javelot de l’épisode Les Douze Travaux d'Astérix, mais concernant le lancer d'Obélix, dans la réalité, quelle vitesse devrait être atteinte pour qu'un objet de cette taille fasse le tour du globe sans toucher terre ? Je suppose que cette vitesse doit être différente si on lance sur l’axe d'un pôle ou de l'équateur au vu les distances différentes à parcourir, mais la question se pose-t-elle aussi si on lance d'un pôle vers l’autre (sur l’axe de la longitude et non de la latitude) ? Autre question : en supposant que relief et climat ne puissent dévier la trajectoire d'un tel objet (en gros, pas de montagnes, pas d'arbres, pas de vent), reviendrait-il tout de même exactement sur la même trajectoire de celle sur laquelle il a été lancée (exactement derrière nous en fait) ou d'autres forces pourraient éventuellement la modifier (gravité, champ magnétique, autre) ?

Je vous remercie pour vos réponses, --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 13:23 (CET)[répondre]

Question : le javelot passe-t-il dans l'autre hémisphère ou reste-t-il dans celui-ci ? Pas la même chose de faire 15.000 km que 40.000. >O~M~H< 3 mars 2014 à 13:31 (CET) Plus que 15000, voir ma réponse plus bas. Bertrouf 4 mars 2014 à 10:08 (CET)[répondre]
Et bien j'avais sous-entendu que la question allait se poser. Allez, disons qqu'on en lance un sur l'équateur depuis l’équateur et l'autre sur le méridien de Greenwich depuis un pôle   --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 13:46 (CET)[répondre]
Vitesse de satellisation minimale et Vitesse cosmique : 7,9 km.s-1
Traîner sur xkcd a ses vertus : il est impossible de lancer un objet assez fort pour le mettre en orbite, et même pour lui faire parcourir une distance significative autour de la Terre. Le problème, c'est que les frottements de l'air augmentent avec le carré de la vitesse, si on commence à lancer un objet vraiment très fort, les frottements sont tels qu'il va brûler et se consumer dans l'atmosphère. La seule solution est celle utilisée pour lancer des fusées, des avions, et des missiles : on met un moteur qui propulse l'objet à une vitesse relativement basse (moins de 10 fois la vitesse du son), mais on pousse l'objet en permanence pour maintenir sa vitesse.
Donc, pour répondre à la question, sur Terre, la vitesse minimale de satellisation est de 8km/s, soit Mach 23. Sans atmosphère, Obélix devrait donc lancer son javelot à un petit peu moins de Mach 23 pour qu'il revienne à son point de départ. Avec atmosphère, soit le javelot retombe très vite, soit il brûle. Quelle déception :-) Arnaudus (discuter) 3 mars 2014 à 13:56 (CET)[répondre]
En effet, j'avais songé à l’atmosphère mais je pensais que le phénomène de frottements était moindre à proximité immédiate de la surface que pour un corps qui tombe en piquée depuis l’espace. Merci d'avance pour ces réponses   Donc, si on lance sur l’équateur et qu'il tient le coup, avec une longueur de 40 075 km, à 7,9 km.s-1, il serait de retour en 84,55 mn, soit un peu moins d'1h30, contre 5 secondes dans le dessin animé   --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 14:06 (CET)[répondre]
Tiens, d'ailleurs, si j'ai bonne mémoire, Obélix lance le javelot vers le haut, non? Donc même s'il était dans le vide, ce qui n'est évidemment pas le cas, il ne pourrait pas revoir le javelot, puisque l'orbite elliptique passerait par le sol (le javelot reviendrait par en dessous). Pour réussit à satelliser un objet à partir de la surface, il doit falloir le lancer parfaitement à l'horizontale. Arnaudus (discuter) 3 mars 2014 à 15:33 (CET)[répondre]
Non, il le lance en effet très à l'horizontale (c'est son concurrent qui le lance très haut, mais faute de vitesse suffisante il retombe, en Amérique tout de même ^^) --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 17:13 (CET)[répondre]
Il est évident que le javelot d’Obélix est porté par les vents dominants... non ?   rv 3 mars 2014 à 17:53 (CET)
Pourtant il le lance depuis la Bretagne en direction de l’ouest, en plein contre-vent donc   --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 20:52 (CET)[répondre]
Avec la société de consommation, on a le rasoir jetable, les couches jetables, ... bientôt le javelot jetable. --PascalObistro (discuter) 3 mars 2014 à 20:38 (CET)
… mais le javelot a toujours été jetable, sinon, je ne vois pas à quoi il sert  Hautbois [canqueter] 4 mars 2014 à 05:01 (CET)[répondre]
Je crois que c’était ça, la blague. rv 4 mars 2014 à 10:20 (CET)
… hum, je vois que tu manies le javelot avec un bel entrain. Mais attention, c'est dans le dos que troue le javelot, surtout s'il jette avec puissance… Subreptice
@OMH: Si le javelot reste dans l'hémisphère nord et qu'il suit le parallèle, le calcul pour donner la longueur du parallèle est le suivant : 2*Pi*R*Cos(Latitude). Avec R = Rayon de la terre = 6371km
  • Si les épreuves ont lieu en Bretagne, latitude 48° 23′, le javelot parcourt 26586km.
  • Si les épreuves ont lieu en Grèce, latitude 37° 58′, le javelot parcourt 31559km.
  • Si les épreuves ont lieu à l'équateur, le javelot parcourt 40030km (confirmation des calculs).
Pour que le javelot parcoure 15000km, il faudrait une latitude 68°, soit les Îles Lofoten de la mer de Norvège au nord ou à la limite de la glace de l'antarctique si c'est au sud.
Il pourrait aussi suivre un cercle quelconque autour d'un axe qui n'est pas coïncident avec l'axe de la terre, mais dans ces cas, ce calcul théorique n'est pas compatible avec le fait que le javelot revienne à sa position de départ : il doit avoir le centre de gravité de la terre pour ne pas faire une spirale. D'autre part, il passe devant des indiens (que le premier javelot avait précipités vers la guerre). Il est facile de tracer la ligne droite qui passe par la Bretagne et son antipode, pour voir que les indiens sont d'Amérique centrale. Les miracles du dessin-animé ! Bertrouf 4 mars 2014 à 10:08 (CET)[répondre]
J'ai pas trop compris comment tu pouvais arriver à la bonne conclusion à partir du mauvais point de dépat, mais la trajectoire d'un objet en chute libre est toujours dans un plan qui inclut le centre de gravité de la planète, il est donc strictement impossible de lui faire suivre un parallèle qui n'est pas l'équateur (du coup, je ne vois pas à quoi peuvent bien servir les premières lignes de ton calcul, elles n'ont aucun sens). Le javelot parcourera enviton 40000km dans absolument tous les cas, quelle que soit la latitude et la direction que lui donne Obélix au départ. Arnaudus (discuter) 4 mars 2014 à 10:33 (CET)[répondre]
Je réponds à OMH sur deux points : d'une part le javelot passe forcément par l'autre hémisphère (c'est ta réponse aussi), d'autre part la latitude a moins d'influence que ce qu'il avait imaginé, à cause du cosinus. J'ai répondu dans le désordre. Bertrouf 4 mars 2014 à 11:05 (CET)[répondre]
Faut pas s'énerver Arnaudus, c'est une question pour s'amuser, de toute manière on est dans l'hypothétique complet, même le jet de javelot qui te semble possible est impossible, donc merci à Bertrouf pour son explication. >O~M~H< 4 mars 2014 à 11:33 (CET)[répondre]
Je n'avais pas l'impression de m'énerver, mais on ne doit pas avoir le même seuil d'appréciation des blagues de physique. Un calcul qui n'a aucun sens a tendance à me stresser plus qu'autre chose, j'essaye de devnier pourquoi l'auteur l'a fait, si j'ai loupé quelque chose, etc. Je pense qu'il aurait été beaucoup plus sain de relever l'erreur initiale (un objet en chute libre tombe vers le centre de la terre, et on ne peut pas orbiter autour de l'axe de rotation d'une planète sans être à l'équateur) que de calculer la longueur de pseudo-trajectoires qu'aucun objet ne peut suivre... Arnaudus (discuter) 4 mars 2014 à 13:02 (CET)[répondre]
Hello, je n'avais pas senti d’énervement non plus, mais si ça peut faciliter ton sommeil, je peux reformuler ma réponse :
D'abord, si le javelot tourne autour du centre de la terre, ça nous fait comprendre qu'il croise des indiens en Amérique centrale (incohérence), puis qu'il traverse la Cordillère des Andes et l’Himalaya à l'altitude de la Bretagne (incohérence), et on peut ajouter que Kermes le Perse traverse l'atlantique en courant sur l'eau à 7,9 km.s-1...
Partant de là, l'idée que dans la tête du scénariste le javelot tourne autour d'un parallèle n'est même plus si absurde que le reste car il croiserait effectivement des indiens et moins de montagnes (encore que, les Appalaches et l’Oural...). Mais bref, ce sont des dessins animés, même Obélix le dit à la fin du film <spoiler>juste avant de se téléporter sur l'île du plaisir en emportant la table du banquet.</spoiler> Bertrouf 7 mars 2014 à 07:17 (CET)[répondre]
 
Pour le résumé de l'explication, tellement long, il vaut mieux voir l'article
Et Coriolis, tout le monde s'en fout de la force de Coriolis ? --Doalex (discuter) 4 mars 2014 à 12:21 (CET)[répondre]
C'est connu, la force de Coriolix vient de la potion magique   >O~M~H< 4 mars 2014 à 14:50 (CET)[répondre]
Question annexe, si on jette un javelot hypothétique à partir de la lune, à la vitesse nécessaire pour une mise en orbite. Imaginons qu'on soit en bretagne-lune et qu'on jette cet objet dans la direction du parallèle sur lequel on est, quel orbite prendra l’objet ? Eystein (discuter) 5 mars 2014 à 08:07 (CET)[répondre]
J'ai l'impression que c'est celui ou celle qui lance le javelot qui partira en orbite et en sens inverse. --Doalex (discuter) 5 mars 2014 à 15:11 (CET)[répondre]
La trajectoire centrée sur le centre de la planète, tangente à la surface de la Lune, et dans la direction du lancer :-) Il faudrait un dessin en fait, mais c'est super simple (il faut juste visualiser ça en 3D). Arnaudus (discuter) 5 mars 2014 à 15:15 (CET)[répondre]
Vitesse de satellisation sur la lune, 1.7 km/s ; ça va vite mais beaucoup moins que sur Terre, quand même. Arnaudus (discuter) 5 mars 2014 à 15:18 (CET)[répondre]
Oui en fait une fois mon cerveau branché et la visualisation 3d, c'est simple. J'aimais l'idée de faire tourner quelque chose au niveau d'un parallèle, mais en fait, non ça sera toujours centré sur centre de la planète. Merci :).Eystein (discuter) 5 mars 2014 à 16:01 (CET)[répondre]
Que ce soit sur la lune ou sur terre, le javelot fera toujours le tour complet de l'astre (40000km pour la terre)! Pour s'en convaincre, il suffit de s'imaginer au pole... Le Javelot ne tournera pas sur lui même! Pour ce qui est de l'effet de coriolis il me semble qu'il serait minime en regard de la vitesse du javelot par rapport à la vitesse de rotation de la terre--Pituit (discuter) 9 mars 2014 à 22:36 (CET)[répondre]

Je n'imaginais pas une si longue section au départ, merci pour toutes ces réponses   J'ai notamment appris que parcourir un parallèle était impossible, mais ça m'interroge de nouveau : si l'on considère ce coup-ci que l'on marche en longeant un parallèle autre que l'équateur, cela veut dire que l'on ne va jamais vraiment tout droit ? --Floflo (discuter) 9 mars 2014 à 23:20 (CET)[répondre]

Notation modifier

Bonjour pythies mathématiciennes,

J'aimerais savoir pourquoi on utilise un inverse dans cette formule g = 9,81 m·s−2 au lieu de g = 9,81 m/s2. Merci --192.95.225.50 (discuter) 3 mars 2014 à 15:45 (CET)[répondre]

Bonjour  
Je ne pense pas ce que j'écrive réponde à ta question, mais les deux versions sont identiques, alors peut-être n'est-ce qu'une histoire de convention ? .Anja. (discuter) 3 mars 2014 à 16:44 (CET)[répondre]
Parce que c'est exactement la même chose et que ça évite les confusions quand il y a plusieurs grandeurs à exposant négatif, ou un exposant négatif tout seul : la tension électrique est exprimée en kg.m2/A/s3? La fréquence est exprimée en 1/s? Arnaudus (discuter) 3 mars 2014 à 16:51 (CET)[répondre]
Bonsoir
A priori, c'est normalisé (NF X 02-003, 02-004, 02-006) voir cette page : [1]. Mais il est dit que c'est préférable d'utiliser les exposants négatifs, donc pas obligé   Mitch-Mitch 3 mars 2014 à 17:04 (CET)[répondre]
Parfait, moi qui ai l'habitude d'utiliser l'une ou l’autre des possibilités selon mon humeur du moment, je peux donc continuer ainsi   --Floflo (discuter) 3 mars 2014 à 17:13 (CET)[répondre]
On écrira dans une formule m·s−2, par contre à l'oral on prononcera "mètres par seconde carré" (on remarque également le carré à la place de puissance 2). --Serged/ 4 mars 2014 à 10:39 (CET)[répondre]
Perso, il me semble préférable d'utiliser les exposants systématiquement. Cela évite des notations du type W/m²/s qui prête à confusion. Mitch-Mitch 4 mars 2014 à 16:12 (CET)[répondre]
Pour info, la norme ISO 31 indique que la barre de fraction ne doit être mentionnée qu'une seule fois (ex. : 3 W/m/K n'est pas correct ; 3 W·m-1·K-1 est conforme).--Cjp24 (discuter) 8 mars 2014 à 20:56 (CET)[répondre]

les oeuvres dans le domaine public dans un pays le sont-elles dans tous les pays? modifier

 

Bonjour,

L'auteur de cette photo, Frank Hurley, est mort il y a 52 ans : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Beersheba_Palestine,_a_veiled_Arab_woman.jpg

Cette photo est dans le domaine public en Australie. L'est-elle également dans des pays avec des législations différentes sur le droit d'auteur et le domaine public ? Peut-on par exemple la réutiliser sans problème en France, ou faut-il demander l'autorisation de ses ayant-droits ?

Merci, Pwet-pwet · (discuter) 3 mars 2014 à 21:36 (CET)[répondre]

Ça dépend en grande partie de l'endroit où a été publiée pour la première fois la photo : à préciser. Biem (discuter) 3 mars 2014 à 22:00 (CET)[répondre]
Bonjour, La réponse à la question générale est que l'utilisation, dans un pays donné, d'une œuvre qui y susceptible de droits d'auteur est régie par la loi de ce pays. Par exemple, l'utilisation en France d'une œuvre est régie par le Code de la propriété intellectuelle de la France. Le principe général est donc simple. Mais malheureusement la simplicité s'arrête là. Pour répondre à la question précise si une œuvre particulière est réutilisable librement ou pas en France, il faut donc que tu détermines quel statut le CPI de la France accorde à cette œuvre particulière. L'Oracle ne donne pas d'avis juridique. Il faudrait que tu demandes à un spécialiste du droit d'auteur français. Il pourra probablement évaluer notamment si la photo fait preuve de la créativité permettant de générer un droit d'auteur en France et, si oui, si les droits d'auteur patrimoniaux sur cette photo sont expirés ou pas en France, tenant compte des règles applicables à une photo d'origine extérieure à l'Union européenne et, s'il y a lieu, quel est l'ayant droit en France, compte tenu que Frank Hurley agissait alors comme photographe officiel pour les forces armées australiennes. -- Asclepias (discuter) 4 mars 2014 à 01:51 (CET)[répondre]
Merci pour vos réponses. Entretemps, j'ai découvert ce calculateur de domaine public mis en place par l'UE : http://www.outofcopyright.eu/calculator.html . En prenant France > Literacy or artistic work > Natural person > Not EEA > Berne TRIPS WCT, il indique :
« The Rule of Shorter Term (Comparison of Terms) applies. This means that the term of protection is that established by the legislation of the selected country, unless (barring provisions to the contrary in the legislation of that country) the term fixed in the country of origin of the work is shorter. In such cases, the term of protection is that of the country of origin. »
Je pense donc que les photographies de Frank Hurley, publiées en Australie (qui est signataire de Berne /TRIPS / WCT) et dans le domaine public là-bas, sont également dans le domaine public en France. Pwet-pwet · (discuter) 4 mars 2014 à 13:21 (CET)[répondre]
Oui, sous réserve que la première publication a été faite en Australie, ce qui reste à prouver. S'il a publié ses photos aux USA les règles seront différentes... Cordialement, Biem (discuter) 4 mars 2014 à 16:10 (CET)[répondre]
Mais certainement pas aux USA, voir URAA. Que fait cette image sur Commons ? --79.81.159.166 (discuter) 4 mars 2014 à 19:29 (CET)[répondre]
Il semble que Hurley a pris ces photos entre 1940 et 1945. A priori, sous réserve de vérifier, j'aurais tendance à penser que l'ancienne version de la loi australienne qui régissait les photos en Australie en 1995 prévoyait une durée de droits patrimoniaux de 50 ans après la création de la photographie en question. Ce qui donnerait, dans le pire cas, 1945+50=1995 et, si l'hypothèse est bonne, les droits patrimoniaux sur cette photographie auraient expiré en Australie le 31 décembre 1995, donc avant le 1er janvier 1996, date de l'URAA pour l'Australie, et donc cette photographie n'aurait pas acquis de droits d'auteur aux États-Unis par l'URAA. La politique de Commons serait ainsi respectée. (De toutes façons, ça pourrait devenir sans objet vu la récente déclaration du conseil d'administration de la Fondation Wikimedia, qui a jeté un gros pavé dans la mare wikimédienne en pouvant laisser entendre que le conseil d'administration serait disposé à dorénavant permettre ou peut-être même à encourager l'hébergement sur Commons de medias qui ne sont pas libres, même aux États-Unis. Voir .) -- Asclepias (discuter) 5 mars 2014 à 01:46 (CET)[répondre]
En l’occurrence, la photo ci-dessus, prise en 1946, a bien été publiée en Australie par la bibliothèque nationale d'Australie (elle fait partie d'une collection de négatifs qu'ils avaient en leur possession). Pwet-pwet · (discuter) 5 mars 2014 à 00:54 (CET)[répondre]
Dans ce cas, s'il s'agit d'une première publication posthume (après 1962?), il faut en connaître la date pour savoir s'il y a encore des droits. Cordialement, Biem (discuter) 5 mars 2014 à 14:12 (CET)[répondre]

Bonjour,

Excusez-moi de déranger encore cette page mais il faudrait que je demande à un spécialiste de physique quantique, à partir de l'équation de Schrödinger puis de Klein, comment faire pour avoir la dérivée totale, pour pouvoir faire l'application numérique en simulation ? Je suis désolé pour le dérangement. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.66.73.190 (discuter), le 4 mars 2014 à 00:37

Évaluation des performances du personnel en milieu hospitalier modifier

Mes hommages à l'ensemble du groupe de WIKI je souhaiterais par votre aide louable bénéficier de votre assistance sur le mémoire que je prépare en MasterII et le sujet porte sur l'Evaluation des Performances du personnel en milieu Hospitalier.

Merci pour tout

L'Oracle ne fournit pas ce type d'aide. Il se contente de répondre à des questions (ce qui est déjà pas mal). DocteurCosmos (discuter) 4 mars 2014 à 13:52 (CET)[répondre]
Bonjour,
Je n'y connais pas grand chose, mais en termes de performances sur l'hygiène, un des critères d'évaluation est la consommation de produits hydro-alcoliques ([2] ; [3]) ce qui est complètement biaisé puisque l’hôpital, pour avoir grosse consommation (et donc une "bonne note") offre des cartons entiers de produit à ses employés... Ma réponse est peut être un peu en marge de la question initiale. Mitch-Mitch 4 mars 2014 à 14:21 (CET)[répondre]

Meurtre non résolu … (?) modifier

Merci d'avance aux Pythies détectives et salut à tous et à toutes. Pardon pour mon imprécision. On avait évoqué dans les journaux voilà cinq ou dix ans une affaire étrange. Un brillant étudiant français dans une école supérieure américaine, rentré pour ses vacances, ( du côté de Tours, peut être ou de Dijon … ma mémoire flanche) est retrouvé tué par balle dans son jardin qui jouxte le salon familial. Il était resté chez lui alors que ses amis étaient allés à une fête… À l'époque ni la raison de ce crime, ce meurtre , cet assassinat (?) n'avait trouvée, ni son responsable identifié. Qui se souvient et m'éclaire ??? jbdepradines (discuter) 4 mars 2014 à 14:39 (CET)[répondre]

Il y a peut-être un article? En partant de Tuerie de Chevaline, on trouve des catégories comme Catégorie:Énigme policière ou Catégorie:Affaire criminelle française qui contiennent pas mal d'articles. Il faut sans doute regarder du côté de Aide:Utilitaires#Effectuer des recherches avancées. -- Xofc [me contacter] 6 mars 2014 à 15:45 (CET)[répondre]
Tu as aussi cette émission Non élucidé, tu peux déjà jeter un œil sur la liste chronologique et te payer le culot d'envoyer un mail à la production pour avoir des pistes sur leurs sources, on peut supposer que pour une émission réalisée il y en a 50 qui ne le seront jamais mais qui sont bien répertorieès, et avant de t'adresser (et pourquoi pas ?) à la revue Le Nouveau Détective.--Doalex (discuter) 6 mars 2014 à 17:35 (CET)[répondre]
Je vous suis reconnaissant. Je vais tester ces pistes. Je suis preneur de toutes autres…. Merci. jbdepradines (discuter) 6 mars 2014 à 23:02 (CET)[répondre]
Dans ce cas tu as les sites régionaux de FR3 (Centre et Bourgogne)et pleins d'actualités régionales sur l'INA un peu ardu certes comme cette page [4] mais avec beaucoup de patience ! Et bien entendu toute les rédactions des journaux locaux papiers et web --Doalex (discuter) 7 mars 2014 à 17:34 (CET)[répondre]

Théorie des ensembles modifier

Bonjour savantes pythies,

Si un ensemble est un regroupement d’éléments, est-il logique de dire qu’un élément est un ensemble? Admettons qu’un élément unique est un ensemble, un ensemble sans élément est-il un ensemble? C’est un peut comme une division par zéro, le résultat n’est pas zéro mais indéterminé, non ? --YB 4 mars 2014 à 16:34 (CET)[répondre]

Il existe (mathématiquement) un ensemble vide et ça tombe bien pour toi, on trouve dans notre article une partie « Difficultés de la notion d'ensemble vide » qui devrait t'éclairer sur la question. >O~M~H< 4 mars 2014 à 16:55 (CET)[répondre]
La question n'a pas de sens si on ne précise pas dans quel cadre théorique on se place. En théorie des ensembles classique (Zermelo-Fraenkel), il n'y a que des ensembles, tous les objets sont des ensembles : un élément d’un ensemble donné est lui-même un ensemble. Quant à l’ensemble vide, son existence est assurée par un axiome de la théorie ; et son unicité par l’axiome d'extensionnalité. Dans une autre théorie ensembliste, il pourrait en être autrement ; en particulier on pourrait avoir deux types d’objets, des éléments « atomiques » et des ensembles -- si on veut un axiome d’existence de l’ensemble des parties, il faudra cependant admettre l'existence d'ensembles d'ensembles ; mais il existera bien des éléments qui ne sont pas des ensembles. Par contre je ne vois pas l’intérêt d’une théorie dans laquelle il n’y aurait pas d’ensemble vide, ça me paraît vraiment une source de difficultés conceptuelles infinie. rv 4 mars 2014 à 17:13 (CET)
Un peu comme comme les ensembles infinis.  --YB 4 mars 2014 à 18:06 (CET)[répondre]
Les ensembles infinis sont en effet une source de difficultés conceptuelles infinie. rv1729 4 mars 2014 à 21:35 (CET)[répondre]
En gros, l'ensemble vide est à la théorie des ensembles ce que le 0 est à la théorie des nombres. Quand on ajoute 0, ça ne fait rien, quand on multiplie par 0, le résultat est 0. J'imagine qu'une grande majorité des gens se contente d'une telle défintion. Arnaudus (discuter) 4 mars 2014 à 18:15 (CET)[répondre]
 
… et v'là l'travail !
 
C'est une boite, dans la boite il y a un mouton, et a coté du mouton, il y a un ensemble vide. CQui (discuter), le 5 mars 2014 à 17:01 (CET)[répondre]
L’argument d'autorité est bien pratique pour mettre quelqu'un en boite, malheureusement il n'a jamais servi à l'avancement de l'humanité.--YB 6 mars 2014 à 14:07 (CET)[répondre]
Ce n’est pas un argument d’autorité, c'est une démonstration par l’absurde… que cette réaction complète parfaitement, merci. CQui (discuter), le 10 mars 2014 à 09:16 (CET)[répondre]
Pour moi un ensemble n'est pas un contenant mais une collection de quelque chose. Le vide est l'absence de quelque chose, vide de matière, vide de sens...c'est une qualité, pas un objet. La réalité se moque bien de nos concepts, il fut un temps où les hommes croyaient que la terre était plate. Mais qui suis-je pour avoir une opinion divergente. Un hérétique, vite! allumez le bûcher.--YB 4 mars 2014 à 20:45 (CET)[répondre]
Oui, eh bien un ensemble vide est une collection qui n’a pas d’éléments. Prends l’ensemble Ω des habitants de Paris ; bon, il est non-vide. Les habitants du XXe arrondissement en sont un sous-ensemble, A. Bon. Les habitants du XIIe en sont un autre, B. Bien bien. Dans toute théorie ensembliste raisonnable, on pourra toujours former l’union ou l’intersection de deux sous-ensembles d’un même ensemble ; est-ce d’accord ? L’intersection entre A et B est un ensemble vide. C’est la seule façon de s’en sortir – ou alors il faut renoncer à former l’intersection de sous-ensembles, si elle est vide — c’est une acrobatie inutile et sans intérêt, sans parler du fait que ça nous compliquerait sans doute énormément la vie pour écrire le reste de la théorie.
Je vais terminer en commentant tes... commentaires finaux (et finauds) : tout d’abord, il n’est pas question de réalité ; les ensembles sont des concepts qui n’existent que dans l’esprit humain, pas dans un quelconque monde platonicien. Ensuite, tes deux dernières phrases sont perçues comme agressives et arrogantes ; elles donneraient à d’autres que les robustes pythies, rompues à des cuistres autrement plus redoutables, l’envie de t’envoyer au diable au lieu de te répondre. Tu devrais t’abstenir de telles saillies quand tu viens demander des explications. À moins bien sûr que tu ne cherches pas des explications, mais à prouver ta supériorité intellectuelle sur l’ensemble du monde scientifique, auquel cas tu n’es pas au bon endroit. rv1729 4 mars 2014 à 21:35 (CET)[répondre]
Au final le zéro et l'infini c'est comme Dieu. Tout le monde en parle mais personne ne le verra jamais.   --YB 5 mars 2014 à 00:52 (CET)[répondre]
Pardonnez-leur, car ils ont des yeux et ne voient pas. rv1729 5 mars 2014 à 00:55 (CET)[répondre]
… et, comme disait Saint Chirac, « ils ont des narines, mais ne sentent pas ». — Hautbois [canqueter] 5 mars 2014 à 08:40 (CET)[répondre]
"Voir un concept", c'est amusant :-) Non, sur le fond, si un mathématicien publiait un bouquin qui remettrait en cause le caractère intuitif du 0, de l'infini, ou de l'ensemble vide, on pourrait le lire et en discuter. Quand c'est quelqu'un qui visiblement n'a pas vraiment pris la peine de se renseigner plus de 30 secondes avant de décréter qu'un concept mathématique universel était foireux, ce n'est pas de l'hérésie, ça s'appelle de la fumisterie. Je suis persuadé que vous avez aussi des opinions éclairées sur la géopolitique en Ukraine et sur la stratégie de la BCE, non? Arnaudus (discuter) 5 mars 2014 à 09:12 (CET)[répondre]
Si vraiment ça t’intéresse, pour les problèmes avec l’infini, tu as l’embarras du choix... Poincaré, Brouwer, tous les intuitionnistes... et les constructivistes. rv 5 mars 2014 à 11:33 (CET)
J'ai toujours été bluffé par 1+2+3+4+5+...=-1/12. Ça c'est aussi un chouette concept à travailler.Eystein (discuter) 5 mars 2014 à 12:11 (CET)[répondre]
 
… un spécial rv.
Tu seras alors proprement soufflé par cette note de Terry Tao – ça vaut le coup de faire des efforts pour lire, je pense que même un non spécialiste peut comprendre à peu près tout. rv1729 5 mars 2014 à 15:23 (CET) rv, quelle est ta définition d’un « non spécialiste » ? parce que, je me croyais non-spécialiste, et j’en suis d’un coup si vertigineusement loin… --Morburre (discuter) 6 mars 2014 à 10:10 (CET) Hihi. Un non-spécialiste mais qui aurait quand-même fait une classe prépa, ou une licence de maths ;). Sinon pour les raisonnements paradoxaux qui conduisent à ces résultats (sans leur donner le sens rigoureux que donne Terry Tao), cf [5] (cf aussi la sommation de Cesaro en PS). rv 6 mars 2014 à 12:09 (CET) … attends un peu que je retrouve mes allumettes, j'ai un autre bûcher en double file. — Hautbois [canqueter] 6 mars 2014 à 18:20 (CET) [répondre]

Bonjour. Je découvre avec stupéfaction sur Wikipédia qu'il existe un titre de "baron de Massy (Essonne)", porté par certains Grimaldi (Antoinette de Monaco, Christian Louis de Massy (en), Cécile de Massy [6],...). En sauriez-vous plus sur le pourquoi du comment il existe une baronnie de Massy ? --79.81.159.166 (discuter) 4 mars 2014 à 19:11 (CET)[répondre]

Étonnant en effet, mais moins quand on a lu ceci Louise d'Aumont.--Doalex (discuter) 4 mars 2014 à 19:33 (CET)[répondre]
« Au Xème siècle, la lignée des seigneurs de Massy s'établit, leur titre de noblesse deviendra une baronnie (aujourd'hui famille des Grimaldi-Monaco). » (ville-massy.fr)
« la dernière duchesse de Mazarin, qui porte également les titres de marquise de Longjumeau et de Chilly et baronne de Massy, Louise Félicité Victoire d'Aumont, se marie au prince de Monaco, Honoré Grimaldi. Au moment de la Révolution, la baronnie de Massy est abolie, la famille de Monaco s'exile et ses biens sont saisis, mais la famille Grimaldi n'a jamais abandonné ses titres et, aujourd'hui encore, Rainier III est toujours baron de Massy. » (leparisien.fr)
Hautbois [canqueter] 4 mars 2014 à 19:38 (CET)[répondre]
Super, merci. Voir aussi Titres des Grimaldi de Monaco. --79.81.159.166 (discuter) 5 mars 2014 à 04:46 (CET)[répondre]
… pas trouvé grand chose sur le premier d'entre eux, Vulfradus, nommé par les religieux de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. — Hautbois [canqueter] 6 mars 2014 à 05:22 (CET)[répondre]
« Au Xe siècle s’établit la lignée des seigneurs de Massy, le domaine étant élevé au rang de baronnie », je cite l'article Massy (Essonne) où il est écrit auparavant « Le territoire de Massy fut très tôt divisé en plusieurs seigneuries, dont une dépendait, depuis la donation faite par le roi de Paris Childebert Ier en 555, de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, qui y installa la ferme du premier seigneur, Vulfredus. », seigneur soit, mais baron non. De toutes façons comme tu l'as perçu le questionneur est surtout intéressé par les titres des Grimaldi de Monaco.--Doalex (discuter) 6 mars 2014 à 17:14 (CET)[répondre]
Précisons qu'il est inutile de chercher des titres de "baron de.." au 6e siècle, car même la notion de seigneur (au sens féodal) n'existait pas encore. Il faut attendre le XIe siècle pour qu'on parle des "barons" au sens de "compagnons d'un prince" (duc ou comte) et leurs seigneuries (souvent des châtellenies concédées par ce prince) prendront le nom de baronnie et eux le titre de "sire de". (dominus de + acc.). Les titres de "baron de" sont plus tardifs encore.
Massy était une seigneurie dépendant de la châtellenie de Montlhéry (qui devint terre royale) puis directement du roi. Les familles de Cayeux, de Monchy, de Villiers, de Garancières, de Kermoysan s'y succèdent. Elle entre avec Longjumeau dans la famille des Coeffier dit Ruzé, marquis d'Effiat qui par mariage la fait entrer chez les ducs de Mazarin, et par là chez les Grimaldi (époque Goyon de Matgnon). Marie Ruzé d'Effiat, mariée en 1630, mourrut à l'âge de 20 ans en 1633 !
Il est probable que le titre ne reposait sur aucune lettres patentes mais était entré dans l'usage. La seigneurie a disparu avec la Révolution mais le titre, reconnu aux princes de Monaco (portant plusieurs titres authentiques de ducs français - ce qui n'est plus le cas depuis 1949), a été conservé par accumulation de titulatures...
Néanmoins, c'est aujourd'hui, non plus un titre français mais un titre authentique monégasque, fait d'un prince souverain (Rainier III, en 1951) en faveur de sa soeur Antoinette de Monaco et de ses descendants (qui portent bien à l'état-civil le nom "de Massy" et non ceux de leurs pères). Titre créé pour une femme, il a été transmis en 2011 à la fille aînée de la baronne de Massy (Elisabeth-Anne de Massy née en 1947 avant le mariage de sa mère) ; il sera sans doute transmis, en toute logique, par la suite, au fils aîné de cette dernière, Jean-Léonard Taubert-Natta de Massy né en 1974.
Fitzwarin (discuter) 7 mars 2014 à 01:23 (CET)[répondre]

point de fusion du néon modifier

Bonjour,

Suite à cette petite discussion sur la page de discussion du projet chimie restée sans réponse définitive, je me tourne vers l'Oracle avec l'espoir d'en avoir une claire qui résoudra le mystère que voici : Je m'étonnais que wikipédia ne contienne pas la valeur du point de fusion du néon et nous en sommes rendus à ces deux questions liées:

  • sachant que le point triple du néon est à 24,56 K (-248,60 °C) et P ~ 0.433 bar, peut-on dire qu'à pression ambiante (1 bar) le néon n'aurait pas de phase liquide mais subirait un passage direct solide -> gaz puisque au delà du point triple ???
  • Des dewars de néon liquide, ça n'existe pas sur Terre ? il faudrait aller sur la lune ou sur Mars?

J'ai tjrs eu une sainte horreur de la thermodynamique et bien sûr elle semble indispensable pour répondre à ces questions en part. en considérant le diagramme de phase du néon et qui permettrait, à ne pas en douter, de répondre à la simplissime question n°2: peut-on avoir un dewar plein de néon liquide à CNPT ??

Merci de votre aide, Ô Oracle à qui rien n'échappe   --Titou (d) 5 mars 2014 à 12:56 (CET)[répondre]

Bonjour, le point triple est le point (pression température) où coexistent trois phases. Pour s'en éloigner, il faut qu'une des phases disparaisse, mais celles des trois qui restent sont déterminées par le sens de l'évolution des conditions physiques. Si la pression augmente, la phase la moins dense disparait, si la température augmente, la phase la moins ordonnée disparait, et le solide se transforme en liquide ou en gaz. Il n'y a pas d'obstacle à l'existence d'une phase liquide. Seul l'hélium a un comportement curieux, dû à une phase liquide aux propriétés spéciales (superfluide). Le néon selon en: bout à 27,104 K à la pression normale. La réponse à la question finale est donc oui. 81.248.42.98 (discuter) 5 mars 2014 à 13:52 (CET)[répondre]
Réponse simple : non, c'est l'inverse. Quand la pression est plus grande que celle du point triple, on est comme dans le cas de l'eau (0,01 °C 611,2 Pa) : passage froid solide/liquide, et passage liquide / gaz à température plus élevée. Pour se sublimer il faut être à une pression plus faible que le point triple. D'autre part, si on est à condition normale de température (15 °C) et de pression (1 013,25 hPa), on est très largement au-dessus de la température d'ébullition du néon qui est de -246,053 °C : l'idée d'un néon liquide à CNPT est particulièrement absurde. Cordialement, Biem (discuter) 5 mars 2014 à 17:50 (CET)[répondre]
@ 81.248.42.98 (u · d · b) Merci de ta réponse, je ne doute pas que le néon liquide existe mais la question est de savoir s'il existe à 1 bar (à pression > à Ptriple). Il me semble aussi que la phase gazeuse = la phase la moins dense = la phase la moins ordonnée donc je ne comprends pas... L'article néon donne déjà le point d'ébullition du néon (-246,053°C = 27,107 K) avec une ref en béton mais ce que je cherche est le point de fusion du néon! p-ê n'existe-t-il pas à 1 bar car à cette pression, sublimation... je n'en sais rien, c'est ce que je cherche à savoir  
@ Biem, okay donc si à P=1atm > Ptriple, la sublimation est impossible comme le confirme d'ailleurs diagramme de phase , le néon doit avoir un point de fusion, une température du passage solide -> liquide. D'autant que, je répète, l'article néon donne Énergie de fusion : 0,3317 kJ·mol-1 sans ref malheureusement. Comment un élément pourrait-il avoir une énergie de fusion positive sans point de fusion ?? donc quel est-il ?? (ref indispensable)
Pour le reste, j'essayais d'expliquer que de l'azote liquide (~-193°C) dans un dewar, article d'une lecture conseillée, est tout à fait manipulable à CNPT et peut rester liquide pdt plusieurs jours. Identiquement avec un dewar rempli d'hélium liquide (4,2K) avec toutefois le problème de la superfluidité et de la condensation des gaz de l'atmosphère (azote et dioxygène). C'est très connu parce que tout labo de physico-chimie digne de ce nom a accès à ces deux gaz (azote et hélium) liquides. Mais qu'en est-il du néon ?? peut-on avoir un dewar de néon liquide à 1 atm? une réponse négative à cette dernière question impliquerait d'office l'absence de point de fusion à 1 atm <=> sublimation, ce qui ne semble pourtant pas être le cas  
Donc sachant qu'effectivement il semble possible d'avoir un dewar rempli de néon liquide à 1 atm, le néon a forcément un pont de fusion (je rappelle également que seul l'hélium est connu pour ne pas avoir de phase solide à 1 atm). Quelle est la température du point de fusion du néon à 1atm ? (ref indispensable) le mystère reste entier -- Titou (d) 6 mars 2014 à 10:28 (CET)[répondre]
Est-ce que cette page t’est d’une quelconque utilité ? rv 6 mars 2014 à 12:07 (CET)
D'une manière générale ça ne sert à rien de poser des questions si tu ne comprends ni la question ni la réponse.
  • CNPT veut dire « conditions normales de pression et de température », et l'azote liquide n'est évidemment pas liquide dans les conditions normales de température, c'est à dire à 15 °C.
  • L'article anglais est plus complet que le français : Température de fusion = 24.56 K = -248.59 °C ; température d'évaporation = 27.104 K = -246.046 °C ; le tout à 1 atm.
  • Ceci étant dit, le néon est dans le même cas que l'azote ou n'importe quel autre gaz : s'il est suffisamment froid il est liquide, et s'il est maintenu dans un récipient très isotherme la faible évaporation sous 1 atm (qui n'est possible que parce que de la chaleur arrive au liquide) suffit à le maintenir longtemps liquide.
Cordialement, Biem (discuter) 6 mars 2014 à 14:11 (CET)[répondre]
Merci bcp RV pour la page qui contient effectivement "Le point de fusion du néon solide (néon congelé) est à -249 °C (24,15 K) sous 1 atmosphère, et c'est donc aussi le point approché, de solidification du néon liquide."= Bingo! bonne réponse !!
@Biem l'article anglais est bcp moins correct que le fr car 1/ aucune ref pour ces valeurs donc formellement sans aucun intérêt + 2/ 24,55 K est la température du point triple comme expliqué dans la discuss sur la PDD du projet:chimie dont le lien est au-dessus. et 3/ p.e. = 27,107 K = -246,053°C, valeur issue du CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc, 2009, 90e éd., Relié, 2804 p. (ISBN 978-1-420-09084-0). qui est une très bonne source contrairement à wp:en  
En fait, p.f. néon= -249 °C est aussi ref par Gestis donc gardons cette valeur dont la "rondeur" me faisait douter de sa précision, d'autant que le CDC donne -248.7°C = 24,46 K , valeur qui se rapproche dangereusement de 24,55-24,56 K = -248,61°C ,Ttriple qui est donnée faussement comme p.f. par Greenwood & Earnshaw, Chemistry of the elements, Pregamon Press, (ISBN 0-08-022057-6), p. 1045., bouquin dont le sérieux ne fait aucun doute but nobody is perfect, n'est-ce pas ?
A ce propos pour le p.e. c'est le même b.
  1. Gestis donne -246°C (= 27,16 K)
  2. CDC donne -246.1°C (= 27,06 K)
  3. Greenwood & Earnshaw donne -246,06 = 27,07 K (sic!)
En fait , je ne pense pas qu'on pourra s'en sortir sans retrouver les articles scientifiques (sources primaires) qui ont déterminé les points de fusion et d'ébullition du néon avec marge d'incertitude. En attendant, prenons p.f. = -249°C = 24,15 ou 24,16 K , c'est mieux que rien. -- Titou (d) 6 mars 2014 à 16:03 (CET)[répondre]

Bonjour, Dans sa bibliographie ,pas de mention de " la libération de Paris"sorti en juin 2013 . Merci pour lui

B.Moors

Jean-François Muracciole, La libération de Paris, Collection L'histoire, Editeur Tallandier, 2013, (ISBN 2847347410).
… y a plus qu'à. — Hautbois [canqueter] 5 mars 2014 à 18:47 (CET)[répondre]
… bon,  . Mais, mon cher B.Moors, le mieux eut été que vous le fîtes vous-même. — Hautbois [canqueter] 6 mars 2014 à 05:05 (CET)[répondre]

Ma cousine par alliance, s'étant remariée, reste-t-elle ma cousine ? modifier

Bonjour je fais à nouveau appel à vous cher Oracle .Ma cousine par alliance s'étant remariée avec un étranger à ma famille reste-t-elle ma cousine ou devient-t-elle une étrangère ? Merci. A.D 21 Mercredi 5/3/14 19h54

Tout dépend dans quel cadre tu te places : affectif, sociologique, administratif, ... --Epsilon0 ε0 5 mars 2014 à 20:40 (CET)[répondre]
Ça dépend avec qui elle se remarie. --le sourcier 5 mars 2014 à 20:42 (CET)[répondre]
C’est la première fois que j’entends parler de cousins par alliance... si je comprends bien c’est l’ancienne épouse de votre cousin ? J’ai le sentiment que n’ayant jamais été votre cousine, elle ne peut cesser de l’être. rv1729 5 mars 2014 à 22:07 (CET)[répondre]
Ce n'est pas la première fois que j'entends parler de cousine par alliance et je dirai que ça dépend de la situation, si le couple a eu des enfants, elle demeure par ce biais liée à ta famille et en ce cas reste ta cousine. >O~M~H< 6 mars 2014 à 02:36 (CET)[répondre]
… ah ? j'avais compris, comme le sous-entend rv, que pour être cousin, même à la mode de Bretagne, il fallait avoir un ascendant commun, pas un descendant (… qu'un sang impur abreuve nos sillons, n'de diou !).
Il n'y a pas longtemps, on parlait des « rapportés », dans ce cas, ne sont-ce pas des « exportés » ?  
Hautbois [canqueter] 6 mars 2014 à 04:58 (CET)[répondre]
Ça marche un peu de toutes les manières : aux yeux de la loi l'enfant non consanguin d'un conjoint n'est pas frère ou sœur des enfants déjà nés de l'autre conjoint, aux yeux de la coutume formelle il n'est pas demi-frère ou demi-sœur, ça n'empêche que dans la coutume informelle on les définit bien comme ça. >O~M~H< 6 mars 2014 à 07:16 (CET)[répondre]
… alors, si un fort mêle us et coutumes…  Hautbois [canqueter] 6 mars 2014 à 09:38 (CET)[répondre]
Dans l'article Alliance, il est précisé « qu'en droit français les effets de l'alliance ne survivent pas nécessairement à la dissolution du mariage qui était à sa base » et qu'en droit suisse, « la dissolution du mariage ou du partenariat enregistré ne fait pas cesser l’alliance ». Malheureusement à part des extraits de code civil, il n'y a pas de référence. En tous cas, la réponse à la question n'est pas si évidente. Bertrouf 7 mars 2014 à 08:58 (CET)[répondre]
Ex-cousine par alliance, ça peut le faire ? Maintenant, a savoir si elle est étrangère ou non, c’est a toi de décider je pense. Quitte, selon tes préférences personnelles, à décider que le cousin n'est plus ton cousin. CQui (discuter), le 10 mars 2014 à 09:09 (CET).[répondre]

Équivalence de monnaie modifier

Bonjour. J'ai toujours été nulle dans ce domaine, aussi vous remercié-je de bien vouloir me dire combien fait en euros actuels la somme de 1000 francs belges de 1914. Bonne journée, Égoïté (discuter) 6 mars 2014 à 07:27 (CET)[répondre]

Salut. Sur cette page tu as une correspondance du franc belge 1914 et de sa valeur en euro de 2005. Depuis il y a eu un peu d'inflation mais la valeur doit être assez proche, au doigt mouillé ça doit être de l'ordre de 500 €. >O~M~H< 6 mars 2014 à 07:42 (CET)[répondre]
Grand, grand merci Olivier, je garde l'adresse en marque-pages   Égoïté (discuter) 6 mars 2014 à 12:42 (CET)[répondre]
Euh... Glub ! l'intendante du château vend aux Allemands du vin et autres denrées pour 1500 frs, donc 7500 € : pas mal... mais en juin 1915, un fermier leur vend 2 mulets pour 2000 frs, donc +/- 10000 € ! pour 2 mulets destinés au Tyrol autrichien ? J'ai du mal à y croire ! Égoïté (discuter) 6 mars 2014 à 13:12 (CET)[répondre]
En première approche, le franc belge de 1915 n'est déjà plus celui de 1914, voir ici. Comme tu l'auras remarqué je pense dans la première page en lien, entre 1914 et 1920, le FB a perdu près de 80% de sa valeur et ça commença très tôt dans la guerre. À vue de nez (ce qui change du doigt mouillé) dès 1915 sa valeur a diminué de moitié, ce qui réduit d'autant le prix des mulets. Par ailleurs il y a peut-être une question de rareté et là-dessus il se peut que l'acheteur militaire se soit un peu fichu du prix, genre « c'est l'État qui paie ! ». >O~M~H< 6 mars 2014 à 15:16 (CET)[répondre]
Il faudrait des points de comparaisons (vente avant la guerre, autres ventes en autres lieux pendant la guerre, etc). Un mulet est un animal de trait, il est à la ferme d’une utilité comparable à celle d’un tracteur ; même s’il est d’un élevage facile il n’est pas certain qu’il soit bon marché – comme le dit Olivier c’est une question d’offre et de demande. Et puis, tu n’es pas choqué par les 1500 frs de nourriture ; mais, tout crûment : à combien mange-t-on sur un mulet ? tu peux peut-être comparer au prix de la viande sur pied... rv 6 mars 2014 à 15:54 (CET)
  Sérieusement, elle a été obligée de vendre des vins de prix tant aux officiers qu'aux soldats - et ils étaient nombreux : tout le château - il est grand ! - était occupé (avec même des matelas dans le hall, le fumoir, les salons), plus le manège, les remises, les écuries, etc., pendant 2 bons jours et elle a été payée en partie par des chèques payables... après la guerre ; de plus elle a dû fournir toute la nourriture... Donc je dis "pas mal" pour la récupération de la valeur. Le prix des bêtes m'étonne, c'est vrai, car je suppose qu'elles devaient être plus aisément "trouvables" dans les pays occupés que certains vins de prix. Précision encore : 500 animaux (chevaux, ânes, mulets) furent proposés aux Allemands et ils n'en ont acheté (après examen minutieux) que 20, dont les deux sus-mentionnés... Bisous, Égoïté (discuter) 6 mars 2014 à 18:24 (CET)[répondre]

Evaporation modifier

Bonjour,

Une petite question me tarabusque l'esprit. A température ambiante, si on laisse une surface libre d'eau en contact avec l'atmosphère, l'eau va peu à peu s'évaporer. Si on mettait de l'huile le phénomène serait moins visible. Quelle est la grandeur physique intrinsèque à l'eau (resp. à l'huile) marque ce phénomène? Merci d'avance pour votre aide. Skiff (discuter) 6 mars 2014 à 19:08 (CET)[répondre]

Le taux d'évaporation est lié à la pression de vapeur. Voir cet article, et aussi pression de vapeur saturante. Dhatier discuter 6 mars 2014 à 19:42 (CET)[répondre]
Il y a plein de grandeurs physique en jeu. La principale est la pression de vapeur saturante pour des conditions de température (et de pression) données : c'est la quantité de vapeur d'eau présente dans l'air qui fait équilibre avec l'eau liquide. S'il n'y a pas d'équilibre, le déséquilibre tend à provoquer un transfert ; si l'air est plus sec l'eau s'évapore (transfert du liquide vers le gaz) ; si l'air est plus humide l'eau se condense (transfert du gaz vers le liquide, sous forme de buée) ; dans les deux cas il y a un transfert de matière entre la phase liquide et la phase gazeuse. Mais la vitesse de transfert dépend d'énormément de facteurs : la surface de contact entre les deux phases, la vitesse de diffusion ou de convection de la vapeur d'eau dans l'air, etc. Ajouter de l'huile ne change rien à la pression de vapeur saturante, mais ralentit la vitesse de transfert : l'huile étant hydrophobe l'eau ne peut pas passer à travers une pellicule, donc il n'y a pas d'évaporations même s'il n'y a pas d'équilibre. Cordialement, Biem (discuter) 8 mars 2014 à 08:54 (CET)[répondre]
Mais l'huile aussi possède une pression de vapeur saturante et peut s'évaporer ? Même en absence d'eau, l'huile peut s'évaporer dans l'air. Note qu'à température ambiante le phénomène doit être quasi nul, mais on doit pouvoir comparer les grandeurs physiques avec l'eau. Pour l'eau à 20 degrés, psat = 23.4mbar. Bertrouf 10 mars 2014 à 07:18 (CET)[répondre]
La tension de vapeur saturante [des huiles liquides] à la température ambiante est très faible, de l'ordre de 1,3 10-4 mbar (environ 2000 fois moins que l'eau). Certains fluides synthétiques ont une tension de vapeur saturante encore plus faible. (trouvé dans Wikibooks) Dhatier discuter 10 mars 2014 à 16:32 (CET)[répondre]

Peinture d'un œil avec deux pupilles modifier

Bonjour !

Je voudrais savoir le titre et le peintre de cet œuvre qui se trouve au film La Chinoise de Godard. Mathew5000 (discuter) 6 mars 2014 à 22:09 (CET)[répondre]

Peut-être une œuvre du peintre autrichien Friedensreich Hundertwasser? L'article aurait besoin d'être illustré de sa production picturale et graphique, on y voit surtout ses architectures surprenantes. Voici ce que donne une recherche image sur Google [7] Philippe Nusbaumer (discuter) 7 mars 2014 à 08:30 (CET)[répondre]
Merci beaucoup ; vous avez raison ! Quand j'ai cherché au Google «Hundertwasser "La Chinoise"» je l'ai trouvé: [8]. Il s'appelle «La Guillotine». Mathew5000 (discuter) 7 mars 2014 à 20:06 (CET)[répondre]
De rien, son style est assez typique. Philippe Nusbaumer (discuter) 8 mars 2014 à 08:45 (CET)[répondre]

Suricata suricatta : Question à deux balles de thé modifier

Salut l'Oracle,
En lien avec la frimousse sur la page d'accueil : pourquoi y a-t-il un « t » dans le nom du genre et deux dans celui de l'espèce ? D'après l'article le genre a été défini par un Français en 1804 et l'espèce par un Allemand en 1776, n'y a-t-il pas dans ces cas là une règle de "d'alignement" sur la première orthographe ? J'imagine qu'en 1776 Schreber l'a décrit comme Machin suricatta et qu'en 1804 Desmarest a dit « mais non ce n'est pas du genre Machin mais du genre Suricata ». Mais à ce moment là n'aurait-il pas du l'appeler Suricatta ? Question bonus, il y a une sous-espèce s. s. siricata... encore un zoologiste d'une autre nationalité ?
Merci pour vos éclaircissements. Kartouche (discuter) 7 mars 2014 à 15:53 (CET)[répondre]

Je vous conseille de poser la question ici Discussion:Suricate ou sur le projet Discussion Projet:Zoologie.--Doalex (discuter) 8 mars 2014 à 17:25 (CET)[répondre]
Question recopiée sur Discussion Projet:Zoologie. - Cymbella (discuter chez moi) - 8 mars 2014 à 22:10 (CET)[répondre]
Merci d'avoir pris en charge ma question. Kartouche (discuter) 13 mars 2014 à 13:05 (CET)[répondre]
Il a séparé l'espèce du genre Viverra pour en faire un genre nouveau : il a tous les droits. Louons qui de droit qu'il n'ait pas eu la fantaisie d'écrire Çûrrhykkââtttah, ce serait gravé dans le bronze et on rirait encore de sa blague. On peut d'ailleurs trouver d'autres anomalies orthographiques, comme le ph des scrofulaires (la maladie qui provoque des croûtes -crvsta- s'est appelée écrouelles, et la plante censée la soigner scrofulaire, mais Carl von a choisi un gros ph dans la publication de base Scrophularia. Et là on a propagé l'innovation orthographique aux mots dérivés). Desmarest (il n'avait alors que 20 ans), a-t-il voulu se rapprocher de l'orthographe de Buffon (surikate), ou marquer une différence parce que c'était à un allemand qu'on devait l'suricatta o gué o gué ? Il n'avait pas de compte à rendre. 81.248.47.112 (discuter) 14 mars 2014 à 13:49 (CET)[répondre]

Montres à quartz modifier

Bonjour,

A l'apparition des montres à quartz, la publicité vantait le fait qu'elles n'auraient 1 seconde de différence avec le temps officiel qu'au bout de dizaines d'années. Était-ce vrai ? En 2014, les montres à quartz de qualité courante prennent plusieurs secondes d'avance sur le temps officiel en quelques semaines. Est-ce dû à la baisse de qualité du quartz utilisé ? Ou a celle des montres ?

Merci d'avance.

J'ai connu l'époque de l'apparition des montres à quartz, et je n'ai pas souvenir d'une promesse aussi ambitieuse. Je pense qu'il faut remplacer le mot "années" par "jours" ou par "semaines", et peut-être aussi remplacer le mot "seconde" par le mot "minute". Quoi qu'il en soit, ces montres étaient beaucoup plus fiables que les montres mécaniques d'avant. Ces nouvelles montres à quartz avaient besoin de plus d'énergie que nos montres actuelles. Les premières montres avaient deux grosses piles bouton, si je me souviens bien, et il fallait les changer bien avant "des dizaines d'années", peut-être toutes les dix semaines, surtout pour les modèles à affichage rouge. Ensuite avec les affichages gris à led, la consommation fut un peu réduite nécessitant une seule grosse pile bouton, puis des piles boutons de plus en plus petites. Il n'y a aucune raison de penser que la qualité du quartz ait baissé. L'électronique s'est amélioré. Mais pour avoir une précision constante, des montres contenant un petit récepteur radio ont été créées qui pouvaient s'ajuster sur une horloge externe. Ces montres "radio-pilotées" sont apparues assez tôt, en 1983 selon en:Radio clock. Peut-être que la publicité que vous avez retenue concernerait ce type de montre. Ces montres étaient bien sûr assez chères, mais elles bénéficiaient de beaucoup de publicité, parce qu'elles donnaient une image prestigieuse de la marque et faisaient donc aussi vendre les montres à quartz ordinaires de cette marque. --Rene1596 (discuter) 8 mars 2014 à 03:32 (CET)[répondre]
Voir aussi Quartz (électronique) (qui n'a, curieusement, pas d'équivalent WP:en...; en:Crystal oscillator renvoyant à TCXO!). Les montres et horloges utilisent des quartz à relativement basse fréquence (~32 kHz) et (je pense que) plus la fréquence est élevée, plus le temps est stable. Il y a des variations lors de la fabrication, la fréquence est plus ou moins précise. C'est exprimé en ppm (parties par million), par exemple, 20 ppm ou 50 ppm. Comme il y a (environ) 2,6 millions de secondes dans un mois, on en est déjà à une ou deux minutes de dérive d'une montre à l'autre sur le mois. J'ai travaillé sur un système contenant 16 (?) cartes indépendantes où une LED battait la seconde; au départ, elles sont synchronisées mais cela dérive très vite, après une heure ou deux (même moins?), la désynchronisation est très perceptible; il a fallu les resynchroniser régulièrement. Après les aléas de fabrication, il y a la dérive en température. Pour gagner en précision, on place les cristaux dans des enceintes thermostatées (OCXO) (si la montre est constamment portée, la température est relativement stable (?)). Enfin, le cristal vieillit... (en ppm/an). Pour les montres radio-pilotées, voir, par exemple, en Europe, DCF77. Là, on est dans le domaine des horloges atomiques, c'est beaucoup plus stable et précis. -- Xofc [me contacter] 8 mars 2014 à 08:51 (CET)[répondre]
C'est le cristal qui vieillit, ou plutôt l'électronique derrière qui non seulement vieillit mais aussi souffre de dispersion de ses caractéristiques initiales (la résistance d'une résistance vaut la valeur de référence +/- X%, et la pression sur les prix ne fait pas diminuer le X). Si bien que la fréquence générée par le circuit électronique fluctue au sein d'une ensemble de montre? Skiff (discuter) 8 mars 2014 à 11:52 (CET)[répondre]
C'est un peu plus compliqué que ça.
Un oscillateur à quartz est effectivement quelque chose de très stable, mais la découpe du cristal n'est pas nécessairement très précise. C'est ce que Xofc indique dans son intervention : l'écart à la fabrication peut atteindre quelques dizaines de ppm. Comme il y a 31 557 600 s dans un an, un écart d'une dizaine de ppm donnera « en brut » un décalage de l'ordre de ~ 300s= 5 minutes par an. C'est à dire, si on utilise le quartz sans correction.
En revanche, un cristal donné ne vieillit pas, et sa fréquence de vibration varie très peu en fonction de la température (qui de toute manière est sensiblement celle du poignet). Dire qu'un quartz dérive d'une seconde en dix ans (soit 315 576 000 s) revient à dire que sa stabilité est de l'ordre de 10-9 dans les conditions d'emploi normales, ce qui n'a rien d'aberrant. Le quartz vibre comme un diapason, c'est une oscillation purement physique et l'état de l'électronique n'y changera rien.
Quand on discute d'une mesure scientifique pointue (voir Qualité métrologique des appareils de mesure), il faut classiquement examiner la précision (le nombre de décimales qu'on peut lire), la sensibilité , et la fidélité ; mais on se moque en réalité de son exactitude : un vrai instrument de mesure scientifique est gradué, certes, mais est aussi livré avec sa courbe d’étalonnage qui indique ce qu'il faut comprendre "en réalité" quand l'appareil affiche une valeur brute : il faut toujours faire une conversion. Dire qu'une montre à quartz ne dérive pratiquement pas (à 10e-9) fait avant tout référence à la fidélité de la mesure, mais pas nécessairement à son exactitude, il faut une conversion entre la fréquence du quartz et la mesure exacte du temps. En pratique, quand on veut utiliser un quartz comme pilote de montre, la première opération à faire est de l'étalonner pour savoir à quelle fréquence exacte il vibre ; et on paramètre le compteur de "tics" pour qu'il passe à la seconde suivante après le bon nombre de "tics" - c'est un ajustement logiciel, qui peut être fait avec la précision souhaitée.
Cordialement, Biem (discuter) 8 mars 2014 à 22:44 (CET)[répondre]
...mais sur une montre bon marché, l’ajustement ne doit pas être fait. rv1729 9 mars 2014 à 11:12 (CET)[répondre]
Le vieillissement et l'influence de la température sont peut-être secondaires pour une montre, mais ça existe (Google(crystal aging)) et, en télécommunication (réseaux plésiochrones), ce n'est pas négligeable (à 2 MHz, on compte déjà 2 millions de fois plus vite). Pour corriger le quartz d'une horloge, il faut beaucoup de bits, ce n'est pas avec 32K +/-1 (sur 15-16 bits) que l'on joue mais avec 10e-9 (~30 bits) (...ou quelque chose comme ça). -- Xofc [me contacter] 9 mars 2014 à 17:26 (CET)[répondre]

Photos Photoshopées modifier

Bonjour,

Est-ce qu'on peut reconnaître si une photo a été Photoshopée ? Et plus particulièrement les photos de visage.

Merci.

Salut. Ça dépend des filtres utilisés. Pour ceux qui font de la correction cosmétique (égalisation des couleurs, amélioration du contraste, correction de déformations) le but est précisément de ne pas se faire remarquer, de donner une apparence de photo normale. >O~M~H< 7 mars 2014 à 17:39 (CET)[répondre]
Si la photo possède encore les exifs, ce sera indiqué : Clic droit --> Propriété --> Détails --> Nom du programme. Sinon, il faut avoir l'œil pour reconnaître une photo photoshopée  . --Jackrs le 7 mars 2014 à 18:16 (CET)[répondre]
Toute photographie numérique passe quasi obligatoirement par un logiciel. Même si on n’y touche pas, les réglages par défaut du logiciel sont là. Si on veut obtenir une bonne photo, on est presque toujours amené à tripoter un peu les réglages. Si le logiciel s’appelle Photoshop, on peut faire un peu plus de bidouillages, mais où commence et où finit la retouche acceptable, ou pas, et selon quels critères, je suis incapable de le dire. Quant à la déceler, c’est la course entre la compétence de celui qui retouche et celle de celui qui regarde. --Morburre (discuter) 7 mars 2014 à 22:49 (CET)[répondre]
Y a pas de « quasi », de toutes façons ça passe par le logiciel embarqué dans l’appareil photo... (on pourrait ergoter sur le format « raw », mais au mieux ça ne fait que différer le problème jusqu’au moment où on veut voir la photo à l’écran ou l’imprimer).
Bon, ceci dit, Morburre, une photo argentique dépend aussi d’une optique (un portrait au 15mm ou au 100mm, c’est pas pareil), d’une mise au point (pour le portrait, un petit « soft focus » remplace bien des filtres photoshop), d’un temps de pose et d’une lumière, de la pellicule employée... et, last but not least ! d’un développement. Nil novi sub sole. rv1729 7 mars 2014 à 23:08 (CET)[répondre]
Quelques conseils, trouvés par Google... [9] et [10]... et le site Fotoforensic [11] qui analyse les photos que l'on soumet. --Serged/ 8 mars 2014 à 13:48 (CET)[répondre]
Bon, tu peut chercher, aucune de mes photos n’est photoshopée, les panoramas sont huginé et pratiquement toutes les images sont soit Gimpées soit jpegcroppées… Plus sérieusement, le service marketing d’Adobe est vraiment performant. CQui (discuter), le 9 mars 2014 à 10:14 (CET)[répondre]
Toutes les miennes sont ‘toshoppée, et le service marketing de la daube n’y est pour rien. J’ai utilisé gimp mais j’ai acheté la creative suite (c’est pas moi qui l’ai nommée comme ça) parce que je suis nul, ou bien que je soie nul, en informatique, c’est l’investissement à usage professionnel que j’ai fait, que j’ai amorti, et dont je n’ai pas à me plaindre, ceci étant dit en passant et sans faire de la pub à quiconque, vu que je ne fais de la pub que si je suis payé pour, le meilleur marketing du monde ne sert à rien si le produit est mauvais, alors. Alors quoi ? Alors, rien. --Guingois (discuter) 9 mars 2014 à 23:51 (CET)[répondre]
En quoi ce charabia invalide-t-il la remarque initiale? Le fait que beaucoup de monde remplace une expression existante ("retoucher") par le nom de la marque dominante dans le domaine est un phénomène intéressant, très probablement conditionné par la communication de la marque en question. Ça montre évidemment le pouvoir de la publicité, quand elle est concue de manière précise pour cibler un milieu socioprofessionnel (ici, celui des professionnels de la retouche photo) qui va se créer un jargon passant peu à peu vers le grand public.
En ce qui concerne la vente de logiciels, je trouve assez fascinant de voir que certaines marques arrivent à convaincre très fortement leurs utilisateurs que leurs produits sont à la fois destinés aux professionnels et aux incompétents techniques. Si on prend Apple par exemple, les utilisateurs d'ordinateurs Mac sont convaincus qu'il s'agit d'outils pour les pros, mais aussi très simples à utiliser. Pourtant, ces arguments sont parfaitement contradictoires : les outils les plus complexes et les plus configurables sont en général destinés aux professionnels, alors que les outils qui fonctionnent directement à la sortie de l'emballage sont pour le grand public. Le fait que l'argument "à la fois pro et pour les nuls" fonctionne doit reposer sur une mécanique psychologique très précise : c'est dégradant pour quelqu'un qui prétend être professionnel de ne pas maitriser ses outils. Un Mac ou Photoshop est une sorte d'ami rassurant, qui vous dit en permanence "Tu es un vrai pro, tu arrives à faire ce que tu veux avec moi, je suis simple à utiliser. Les autres outils du marché sont très très complexes et moins bien, ce ne sont pas des vrais pros qui les utilisent". Arnaudus (discuter) 10 mars 2014 à 10:18 (CET)[répondre]
Ce qui est intéressant, c’est de constater que le « jargon » apparaît dans le grand public lorsqu’il n’est plus utilisé par les pros (exemple typique, coquille), lesquels se comprennent parfaitement en utilisant un langage basique (on peut parler d’une « machine » ou d’une « bécane »). C’est comme cette opposition mac-pc, qui a perdu depuis longtemps toute raison d’être, mais qui continue à être brandie comme un étendard de guerre d’un côté ou de l’autre (et je ne dis pas plus d’un côté que de l’autre). --Guingois (discuter) 10 mars 2014 à 13:09 (CET)[répondre]
La bataille Apple - Microsoft a raison d'être pour les deux entreprises, qui se battent un marché important, et utilisant leurs clients comme des commerciaux (surtout chez Apple, mais bon :-) ). On pourrait prétendre que la bataille logiciels libres / logiciels propriétaires est bien plus intéressante en terme de débat citoyen que la guerre commerciale entre marques, surtout que pour le coup, elle met en jeu des acteurs très inégaux. Je pense que c'était l'esprit de la remarque de CQui, il est inutile de faire de la pub gratuite à Adobe quand on connait le déséquilibre des forces de communication entre Photoshop et ses concurrents libres comme The Gimp. La lutte pour la liberté numérique citoyenne est presque perdue d'avance, ce n'est pas non plus la peine de l'achever par méconnaissance des enjeux, et en trouvant "naturel" de reprendre les éléments de communication de la marque : en achetant le logiciel (cher), le client ne s'engage pas auprès d'Adobe à dénigrer ses concurrents pendant plusieurs années. Arnaudus (discuter) 10 mars 2014 à 14:00 (CET)[répondre]
Je ne sais pas, il me semble que quand le libre aura à s’approprier, enfin à acquérir, à gagner, à (quel terme employer ?) un marché, enfin non, un volume d’utilisateurs équivalent, et pourquoi pas supérieur, aux commerciaux, est-ce qu’il ne va pas se retrouver avec les mêmes problèmes ? Petit, militant, citoyen, c’est bien, mais devenu grand ? Moi je veux bien faire du libre aussi, mais quand ma boulangère, mon épicier, mon boucher feront aussi du libre (pour ne parler que de ceux-là). Est-ce qu’on ne véhicule pas, quand même, un petit peu, des clichés ? Quand un vend des machines en faisant cadeau du système d’exploitation, et que l’autre ne vend, que son système d’exploitation, qu’est-ce qui va se passer après ? Je n’en sais rien, ça peut être intéressant à voir. En attendant, j’ai toujours ma bécane achetée en 2007 (qui tourne bien, merci) et ma creative suite également de 2007, le tout étant largement amorti comptablement parlant. Alors cher, pas cher, c’est une notion éminemment relative. Ad*** me rappelle régulièrement que je dois réenregistrer ses produits, je fais celui qui n’entend pas et tout roule. Et pardon à notre questionneur, on est un peu sorti du sujet. --Guingois (discuter) 10 mars 2014 à 19:59 (CET)[répondre]
Tout à fait, je prépare un PowerpointTM pour la réunion de demain. Mais ça n'a rien a voir avec leur publicité, les mots Photoshop et Powerpoint (et d'autres) se sont répandus par l'omniprésence du logiciel. A part ça, pour répondre à la question : sur une photo développée, avec une loupe on peut chercher les défauts de la retouche : taille du grain, éclairage, mauvaise jonction... mais c'est difficile. Bertrouf 11 mars 2014 à 02:32 (CET)[répondre]

Lieu exact du décès de monseigneur Affre modifier

Chères et savantes Pythies,

J’aimerais connaître avec certitude le lieu exact où monseigneur Affre a rendu l’âme.

Dans un souci de précision je voudrais en effet remplacer la catégorie w:fr:Catégorie:Décès à Paris de l’article w:fr:Denys Affre par la catégorie w:fr:Catégorie:Décès dans l'ancien 8e arrondissement de Paris, par la catégorie w:fr:Catégorie:Décès dans l'ancien 9e arrondissement de Paris ou bien encore par l’une des 12 catégories de ce type.

Merci d’avance. Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 18:30 (CET)[répondre]

D'après ceci, il est blessé le 26 juin 1948 rue du Faubourg-Saint-Antoine, et meurt le lendemain au 5 rue Saint-Louis-en-l'Île. Par contre, j'ignore les arrondissements de l'époque... --Jackrs le 7 mars 2014 à 18:44 (CET)[répondre]
Conflit d’édition
Dans w:fr:Journées de Juin#Chronologie des événements on lit : « 25 juin : Mort sur les barricades de Monseigneur Affre, archevêque de Paris. » S’il n’est pas mort sur les barricades ni le 25 juin il faudrait corriger. Si monseigneur Affre est vraiment décédé sur les barricades du faubourg Saint-Antoine, il est mort dans l’ancien 8e arrondissement.
Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 18:46 (CET)[répondre]
  Jack Rabbit Slim's :
S’il est mort rue Saint-Louis-en-l’Île il est mort dans l’ancien 9e arrondissement de Paris.
Et il faudrait savoir s’il a été blessé le 26 ou le 25 (w:fr:Journées de Juin#Chronologie des événements dit le 25).
Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 18:53 (CET)[répondre]
En anticipant un peu sur les conclusions définitives j’ai donc remplacé w:fr:Catégorie:Décès à Paris par w:fr:Catégorie:Décès dans l'ancien 9e arrondissement de Paris dans l’article w:fr:Denys Affre. Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 19:00 (CET)[répondre]
D'après Gallica de la BNF, c'est effectivement le 25 juin qu'il a été blessé. --Jackrs le 7 mars 2014 à 19:02 (CET)[répondre]
Monseigneur Affre est-il mort en l’hôtel de Chenizot ? L’article w:fr:Hôtel de Chenizot situe cet hôtel particulier « aux 51 et 53 rue Saint-Louis-en-l’Île » (ce qui n’est pas forcément incompatible avec le numéro 5 de la même rue mentionné plus haut : la rue a pu être renumérotée depuis) et que monseigneur Affre y logea : s’il y est aussi mort il conviendrait de le préciser. Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 19:11 (CET)[répondre]
Dans w:fr:Denys Affre#Biographie on lit : « Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités. On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain au palais épiscopal, où il mourut le 27 juin, vers 4 h 30 du matin. » Ce « palais épiscopal » est-il bien l’« hôtel de Chenizot » ? Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 19:28 (CET)[répondre]
Dans w:fr:Journées de Juin#Chronologie des événements j’ai remplacé « 25 juin : Mort sur les barricades de Monseigneur Affre, archevêque de Paris. » par « 25 juin : Monseigneur Affre, archevêque de Paris, est mortellement blessé sur les barricades. ». Alphabeta (discuter) 7 mars 2014 à 19:44 (CET)[répondre]
J. Hillairet, L’Île Saint-Louis, rue par rue, maison par maison, Les Éditions de Minuit, 1967, 285 pages, indique page 243 à propos de monseigneur Affre : « On le transporta à la cure de l’église Sainte-Marguerite, où il fut administré, puis à l’hôtel Chenizot, où il expira le 27 juin [1848], à cinquante-cinq ans, après avoir prononcé ces mots « [...] .» Une chapelle ardente fut installée au rez-de-chaussée du bâtiment du fond de la cour et de nombreux Parisiens, entrant par la rue Saint-Louis et sortant par le quai, vinrent lui rendre visite jusqu’à ses obsèques, qui furent célébrées à Notre-Dame le 7 juillet [1848]. » PCC (copie manuelle : il est prudent de se référer à l’original sur papier). Pour J. Hillairet monseigneur Affre a bien rendu l’âme en l’hôtel (de) Chenizot. Alphabeta (discuter) 8 mars 2014 à 14:25 (CET)[répondre]

Neufchâtel-en-Bray modifier

Bonjour, le texte que je vous envoie n'est pas une information supplémentaire mais une question à laquelle j'espère une réponse. Voilà : je m'insurge que depuis quelque temps les gens de Neufchâtel-en-Bray prononcent "Neuchâtel", alors qu'habitante et native dudit lieu j'ai toujours entendu "NeuFchâtel" , ce qui semble se justifier vu l'origine du mot, au XII ème siècle . Or je découvre que Wikipédia commence ses informations sur Neufchâtel-en-Bray en disant que ça se prononce Neuchâtel ??? d'où vient cette information, et pourquoi en serait-il ainsi ? D'autant que du coup, les médias commencent à écrire Neuchâtel, supprimant donc le F d'origine!!! Merci de me renseigner , et de me donner une preuve qu'il devrait en être ainsi . Très cordialement .

Qu’est-ce qui vous fait dire qu’au XIIe siècle on prononçait «NeuFchâtel » ?
De manière générale il me semble que les consonnes « muettes » sont fréquentes dans les prononciations traditionnelles de toponymes. Une chose est sûre c’est qu’avec l’accent suisse... ça se prononce Neuchâtel  . rv1729 9 mars 2014 à 11:08 (CET)[répondre]
Le site de la mairie, rubrique "tourisme", ne dit pas comment ça se prononce, ni comment ça se prononçait au douzième siècle, mais précise que ça s'écrivait New Castle, et que les informations publiées viennent ... de Wikipedia. Les prononciations changent, et plus facilement pour les toponymes repris maintes fois (parce des Neufchâtel et autres, ça foisonne, j'en connais même un qui se prononce - peut-être avec une pointe de malice - Trifouillis). Ceci dit, si la prononciation n'est pas constante, qu'elle est contestée, et non sourcée... D'ailleurs, est-elle indispensable ? 81.248.47.112 (discuter) 9 mars 2014 à 14:00 (CET)[répondre]
Pardon, mais je ne vois pas en quoi la prononciation ne serait pas de quelque importance. Tant que vous n’êtes pas concerné, qu’il s’agit d’un endroit plus ou moins lointain, après tout, qu’est-ce que ça peut faire ? Mais quand il s’agit de chez vous, même la prononciation d’un nom fait partie de sa personnalité et de sa valeur patrimoniale. Une prononciation différente peut être perçue comme une forme d’agression. Et en français, les lettres sont là parce qu’à un moment donné elles se prononçaient : le son peut disparaître et la lettre rester, mais elle peut aussi continuer à se prononcer. Il n’y a pas de loi, pas de règle, il n’y a que la force de l’habitude, qui est tout aussi respectable. Et même deux prononciations peuvent cohabiter sans qu’un estranger du dehors vienne péremptoirement trancher pour l’une et pour l’autre. Genre Renaud Camus qui considère comme snobs ceux qui prononcent Gersss, et qu’on doit dire Ger ; ce à quoi je réponds qu’il n’y a qu’une prononciation, c’est Gers (la majorité faisant entendre le s, et une minorité également respectable, non). --Guingois (discuter) 9 mars 2014 à 23:36 (CET)[répondre]
Les prononciations diffèrent, dans le temps et dans l'espace, je me rappel de discussion de collègues habitant tout deux Bourg-en-Bresse, et totalement pas d’accord sur la prononciation du g… Ce qui est amusant, c'est que les deux n’étaient pas d'accord avec ce qui est sur Wikipédia aujourd’hui. CQui (discuter), le 10 mars 2014 à 08:58 (CET)[répondre]
Pour ce qui est des divergences de prononciations, je repense aux débats sur la prononciation de Metz, ou, plus anecdotiquement, quand les journalistes parlaient du crash de Habsheim en prononçant cela "Ab-chaïm". Or, ce toponyme est germanique, ce qui fait que la succession des consonnes "S + H" ne fait pas un son unique comme dans la langue anglaise, mais il s'agit de l'ajout du suffixe "heim" (équivalent du "ham" anglais de Nottingham, ou du "hem" flamand). Donc «habs-h'aïm» (tout comme «ros-h'aïm» pour Rosheim, etc.) Elsæsser (discuter) 10 mars 2014 à 10:31 (CET)[répondre]
En ce qui concerne les prononciations actuelles des villes, je me réfère à Simone, la voix de la SNCF. Elle ne prononce pas le F. Bertrouf 11 mars 2014 à 03:10 (CET)[répondre]

Journée du 25 Août 1944 à Paris. modifier

Bonjour, Madame ou Monsieur, Lors de la libération de Paris, en 1944, je demeurais à Maisons-Alfort et j'avais 18 ans. Le Jeudi 24 Août à 16/17 h, les cloches se mirent à sonner entraînant une grande liesse. Le Vendredi 25, les troupes américaines étaient stationnées à tous les carrefours. Des journaux étaient parus (Franc-Tireur, Libération etc...) Le Samedi 26, Tous les jeunes de mon quartier sont partis, à pied,pour l'Hôtel de Ville. De chaque coté de la place, les chars de la 2e DB étaient rangés, se faisant face. La voiture décapotée du Général De Gaulle est arrivée de l'ouest, a tourné à droite, et a stoppé face à l'entrée de l'Hôtel de Ville. Dès que la voiture fut en vue , à l'angle de la rue de Rivoli, des coups de feu nombreux se firent entendre. Notre bande s'éparpilla, chacun cherchant un abri. Une chose me chagrine dans les articles traitant de cette journée, car je ne me souviens pas d'avoir entendu dire que des tirs avaient eu lieu à Notre-Dame, d'autant que je crois que la voiture arrivait de l'Arc de Triomphe. Le soir même, il y avait des bals partout, lorsque les premières bombes sont tombées vers 10h30. Depuis trois ans j'étais militant à la "Défense passive"; j'ai gardé le pont de Charenton jusqu'à 6 heures du matin, puis, après un bref repos, de 10 h à midi. J'ai donc des souvenirs très nets de cette période, mais je ne revois pas l'épisode du Général De Gaulle mitraillé sur le Parvis de Notre-Dame. Veuillez m'excuser d'avoir été si long; je vous remercie de bien vouloir me lire. Soyez assurés de mes meilleurs sentiments. Pierre OUSTRIC

Charles de Gaulle, Mémoires de guerre. L'Unité, Édition La Pléiade, 2000, p. 576 : Vers 4 heures et demie, je vais, comme prévu, entrer à Notre-Dame... À l'instant où je descend de voitures des coups de fusil éclatent sur la place... J'entre donc dans la cathédrale ... des coups de feu retentissent à l'intérieur... Qui a tiré les premiers coups? .. Pour ma part , j'ai le sentiment qu'il s'est agi d'une affaire montée par une politique qui voudrait, grâce à l'émoi des foules justifier le maintien d'un pouvoir révolutionnaire... Un note (n° 42) évoque que plus loin dans le texte le général a le sentiment qu'il s'agissait des communistes. Philippe Nusbaumer (discuter) 9 mars 2014 à 16:32 (CET)[répondre]
Il existe des archives vidéos, je me souviens d'un reportage sur Arte où l'on voyait nettement des coups de feu échangés autour de la cathédrale (cf. "le général de gaulle à notre-dame" sur youtube). Kfadelk (discuter) 10 mars 2014 à 09:31 (CET)[répondre]
Et sur le site consacré à de Gaulle . Cordialement -- Doc103 (discuter) 10 mars 2014 à 13:14 (CET)[répondre]
L'épisode est même présent dans Paris brûle-t-il ?. Turb (discuter) 13 mars 2014 à 11:56 (CET)[répondre]