Marie Laforêt

chanteuse et actrice franco-suisse

Marie Laforêt, pseudonyme de Maïtena Douménach, est une actrice, chanteuse et auteure-compositrice française naturalisée suisse, née le à Soulac-sur-Mer (Gironde) et morte le à Genolier (Suisse).

Marie Laforêt
Marie Laforêt à la Mostra de Venise en 1985.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Maïtena Marie Brigitte DouménachVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
Fille aux yeux d'orVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonymes
Françoise They, Marie LaforêtVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Activités
Période d'activité
Conjoints
Jean-Gabriel Albicocco
Alain Kahn-Sriber (d)
Eric de Lavandeyra (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Lisa Azuelos
Debora Kahn-Sriber (d)
Jean-Mahdi Abraham Azuelos (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Thaïs Alessandrin (petite-fille)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Taille
1,67 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Labels
Genres artistiques
Discographie
Discographie de Marie Laforêt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Prononciation

Biographie

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Origines familiales et jeunesse

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De son vrai nom Maïtena Marie Brigitte Douménach, elle naît le à Soulac-sur-Mer (Gironde) de Jean Eugène Douménach (1909-1983)[1], polytechnicien[2], mathématicien et chercheur au CNRS et de Marie Louise Saint Guily (1912-1993)[3], femme au foyer[4].

Son prénom, signifiant « aimée » en basque, est donné parfois par des habitants du Languedoc, surtout des Pyrénées[5]. Son patronyme est une forme catalane de Dominique.

La famille de son père est originaire d'Olette, village des Pyrénées-Orientales[6] et celle de sa mère, de Bordeaux. Ses grands-parents paternels se sont installés à Sainte-Terre, près de Libourne, au début du XXe siècle, dans une maison que son père habite longtemps où Marie Laforêt passe ses vacances d'enfance[7]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la famille Douménach trouve refuge à Cahors et dans la commune de leurs ancêtres, Lavelanet. Alors que son père est prisonnier de guerre en Allemagne, Marie, sa sœur Alexandra et leur mère connaissent beaucoup de privations et vivent difficilement[8].

Après le retour de son père de captivité en , la famille vit à Raismes où Jean Douménach dirige une usine de fabrication de matériel roulant ferroviaire, la Société franco-belge.

Maïtena fait sa scolarité au lycée de filles Watteau, jusqu'à la classe de cinquième. Ensuite, la famille Doumenach s'établit à Paris[9],[10].

Après s'être rapprochée de la religion et avoir envisagé d'entrer au couvent, elle suit des études au lycée Jean-de-La Fontaine où elle commence à éprouver un vif intérêt pour ses premières expériences du jeu dramatique qui ont pour elle un bénéfique effet cathartique[8]. Elle fréquente par la suite le cours Simon avec sa sœur aînée Alexandra.

En 1998, elle révèle que, à l'âge de trois ans, elle a été violée à plusieurs reprises par un voisin, épisode traumatisant dont le souvenir est demeuré refoulé et occulté pendant près de quarante ans avant de refaire surface[11],[12].

Carrière

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Avec Alain Delon, sur le tournage de Plein Soleil en 1959

Sa carrière commence après qu'elle a remporté le concours « Naissance d'une étoile », organisé par Europe no 1 en 1959 en remplacement de sa sœur[13].

Elle décroche un rôle dans le projet de film de Louis Malle, Liberté. Remarquée par Raymond Rouleau, elle fréquente alors les cours de théâtre de celui-ci. Le projet de film de Louis Malle est abandonné et c'est avec Alain Delon et Maurice Ronet dans le film Plein Soleil du metteur en scène René Clément que Marie Laforêt fait sa première apparition remarquée au cinéma.

 
En 1961, avec Jean-Gabriel Albicocco, son futur époux et réalisateur de La Fille aux yeux d'or

Les rôles se suivent. Le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001), alors son mari, la fait tourner dans deux films : La Fille aux yeux d'or d'après le roman homonyme d'Honoré de Balzac et Le Rat d'Amérique, d'après celui de Jacques Lanzmann avec un autre chanteur-comédien, Charles Aznavour. Après la bande son originale du film de Marcel Moussy Saint-Tropez Blues en 1960 qu'elle enregistre avec son ami d'enfance Jacques Higelin, c'est en que sort son deuxième 45 tours, lequel va marquer sa carrière avec Les Vendanges de l'amour, écrite par Danyel Gérard. Déjà, elle aborde le répertoire latino-américain avec La petenera (première apparition télévisée, 1960)[14] et le folklore américain auquel elle consacre les quatre titres de son deuxième 45 tours (1963), tous interprétés en anglais et accompagnés à la guitare par Jacques Higelin[15]. De 1963 à 1970, André Popp signe toutes les orchestrations de ses succès et compose pour elle dix-huit chansons dont Mon amour, mon ami, Manchester et Liverpool et Le Lit de Lola[16].

Chansons originales ou adaptations de titres anglo-saxons, les succès s'enchaînent : Frantz (duo avec Guy Béart), Viens sur la montagne et La Tendresse en 1964, Katy cruelle et La Bague au doigt en 1965, Marie-douceur, Marie-colère, adaptation de Paint It, Black, Manchester et Liverpool et La Voix du silence, version française de The Sound of Silence (1966). En 1967, Ivan, Boris et moi est un succès populaire ainsi que Mon amour, mon ami, puis Que calor la vida à la fin de 1968. En 1969, Le Vin de l'été, version française de Summer Wine de Lee Hazlewood, et D'être à vous, adaptation de I want you de Bob Dylan, témoignent une fois encore de son goût pour le répertoire folk américain.

À partir de l'année 1968, elle souhaite orienter sa carrière vers des titres plus personnels et puisés dans les folklores nord-américain, sud-américain, européen. Dans cet état d'esprit, elle chante à l'Olympia en 1969 (récital gravé sur disque), à Bobino l'année suivante et au théâtre de la Ville en 1971-72. Trois directeurs musicaux l’accompagneront successivement lors de ces récitals et des tournées internationales qui suivront : l'Argentin Jorge Milchberg, le Brésilien Egberto Gismonti, le Français Bernard Wystraete.

Cette période située entre 1968 et 1972 est riche sur un plan artistique, l'amenant sur les scènes du monde entier. C'est également à cette époque qu'elle signe ses textes sous le pseudonyme de Françoise They. Mais cela ne plaît pas à CBS, sa nouvelle maison de disques, qui attend des tubes et des chansons légères. Marie Laforêt, elle, a envie de berceuses yiddish[17], de chansons yougoslaves et de rythmes brésiliens, vénézuéliens et mexicains (La Petenera[18] dès 1966). Elle choisit de se faire accompagner par des formations typiques latino, vénézuéliennes, par exemple, avec contrebasse, guitare et cuatro vénézuelien (ou même un charango andin) sur El cabrestero en 1969, de Simón Díaz, María Laya, El Pastor, Rio Abierto en 1976. Marie Laforêt est accompagnée à cette occasion par Jorge Milchberg (charango), Martín Torres (première guitare), Carlos Belisario Guerra (deuxième guitare/cuatro), Roland Audy (flûtes), et Francis Dunglas (contrebasse). Ces musiciens participent à tous les concerts des années 1968 et 1969 ainsi qu'aux promos sur les plateaux de télévision. Milchberg est le directeur et sera l'arrangeur sur de nombreux morceaux et albums (Récital Olympia 1969, Voyages au long cours). Ce n'est pas moins que le groupe Los Incas...

En 1972, Marie Laforêt interprète régulièrement en concert avec le guitariste argentin Raúl Maldonado Le Tengo rabia al Silencio, titre d'Atahualpa Yupanqui[19]qu'elle avait enregistré en studio en 1968.

La chanteuse signe chez Polydor et après un dernier album très personnel en 1972, elle renonce à ses goûts musicaux pour se laisser guider par ses producteurs et répondre aux attentes d'un public plus large.

Plusieurs grands succès populaires marquent cette période commerciale : Viens, viens, adaptation d'un tube allemand, Mais je t'aime, L'Amour comme à seize ans, Tant qu'il y aura des chevaux (paroles et musique de Nicolas Peyrac), en 1973, Cadeau, en 1974, adaptation du tube country No Charge (en), Maine-Montparnasse, en 1976, Il a neigé sur Yesterday, en 1977, chanson-hommage aux Beatles[20]. En , elle s'installe en Suisse et renonce aux enregistrements, afin d'échapper à la surmédiatisation et pouvoir écrire des livres dans l'anonymat[21]. En 1979, elle revient au cinéma dans Flic ou Voyou aux côtés de Jean-Paul Belmondo et de Michel Galabru.

 
Marie Laforêt à la Mostra de Venise 1985.

Après un détour par la littérature avec la publication de Contes et légendes de ma vie privée chez Stock, Marie Laforêt se concentre sur le cinéma en France et en Italie. Son rôle le plus marquant est dans le film franco-argentin Tangos, l'exil de Gardel de Fernando Solanas qui obtient le Grand prix du jury à la Mostra de Venise 1985. Peu de disques sortent malgré quelques tentatives en 1982 par exemple avec Blanche nuit de satin (reprise de Nights in White Satin du groupe The Moody Blues). En 1984, Marie Laforêt participe a son ultime collaboration avec Jean-Paul Belmondo dans Joyeuses Pâques.

 
Marie Laforêt au Festival du cinéma américain de Deauville, en 1989.

Étienne Daho et Jean-Marie Leau contactent Marie Laforêt en 1988 pour qu'elle sorte de nouvelles chansons. La chanteuse en écrira donc deux avec L'Aviva et Mamie a cent ans mais, très prise par un projet d'achat hôtelier, la chanteuse ne fera que très peu de promotion de ces chansons qui ne connaîtront pas de succès.

C'est en 1993 que Marie Laforêt fait son retour musical, avec la sortie de son album Reconnaissances dont elle signe tous les textes, sans pseudonyme cette fois, dont sont issus deux singles : Genève… ou bien et Richard Toll.

En 1994, la chanteuse publie la compilation en quatre volumes Fragile de A à Z, parcourant ses trente ans de carrière discographique. Une compilation des meilleurs titres sort également sous le titre Éventail 1963-1993. La carrière de Marie Laforêt se poursuit pendant les années 1990 au cinéma avec Tykho Moon d'Enki Bilal.

En 1998, son album Voyages au long cours contient 17 titres inédits enregistrés sur scène lors d'une tournée mondiale (1969-1970). Elle chante en anglais (Barbara Allen), en espagnol (Cabrestero), en italien (Cicerenella), en russe, en roumain et en français (Marleau). Elle chante sur scène des chansons restées inédites comme Mon cœur se balance, composée sur une musique de Mendelssohn.

En 2001, elle publie Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune, un livre de recettes de beauté, puis en 2002, elle commence la rédaction de Panier de crabes : les vrais maîtres du monde, un livre engagé dans lequel elle dénonce les dérives du monde de la finance qu'elle a côtoyé lorsqu'elle était mariée à Éric de Lavandeyra. Cependant, malgré l'annonce d'une couverture de son éditeur, Marie Laforêt ne terminera pas l'écriture du livre qui ne sortira, donc, jamais.

Après avoir joué le rôle de Maria Callas dans Master Class, rôle qui lui vaut d'excellentes critiques (nomination aux Molières 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la pièce de Laurent Ruquier La presse est unanime en 2003.

Elle joue également durant un mois à l'Espace Cardin en 2004 dans Jésus la Caille, pièce adaptée du roman Jésus-la-Caille de Francis Carco. Elle participe chaque semaine sur l'antenne d'Europe 1 à l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner.

Marie Laforêt remonte sur scène du 14 au dans le cadre du festival Juste pour rire de Montréal en avant-première d'une série de spectacles qu'accueille le théâtre des Bouffes-Parisiens[22], à Paris, du 12 au , pour son premier tour de chant depuis 1972. Le public est au rendez-vous : le spectacle se joue à guichets fermés. Après deux ans d'attente, une série de concerts pour , et une tournée d'adieux sont annoncées, puis annulées à la suite de problèmes de santé.

 
Tombe de Marie Laforêt au cimetière du Père-Lachaise (division 49).

Marie Laforêt meurt le , à Genolier (Suisse)[23],[24], d'un cancer des os généralisé[25]. Ses obsèques se déroulent à l'église Saint-Eustache de Paris le 7 novembre suivant[26] ; elles sont suivies de son inhumation dans l'intimité familiale au cimetière du Père-Lachaise (division 49)[27].

Vie privée

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Marie Laforêt a été mariée et a divorcé à cinq reprises.

En 1961, elle épouse le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001) dont elle divorce trois ans plus tard.

De 1965 à 1967, elle est mariée à Judas Azuelos, homme d'affaires d'origine marocaine dont elle a deux enfants : Lisa (née en 1965), réalisatrice, et Jean-Mehdi Abraham (né en 1967). Lisa déplorera dans des interviews l'absence de sa mère dans son enfance, très prise par son travail[28],[29].

En 1971, elle épouse Alain Kahn-Sriber[30],[9],[31], homme d'affaires et collectionneur d'art[32] avec lequel elle a une fille, Ève Marie Deborah, née en 1974.

En 1978, elle s'installe à GenèvePierre Cornette de Saint-Cyr, commissaire-priseur, écrivain et collectionneur d'art, l'initie au marché de l'art.

En 1980, à Genève, elle épouse le chirurgien Pierre Meyer mais divorce peu après.

Elle tient jusqu'en 1981 une galerie d'art pour laquelle elle exerce aussi la profession de commissaire-priseur[6].

Le , elle épouse l'agent de change Éric de Lavandeyra avec lequel elle vit depuis près de huit ans et dont elle a élevé les deux enfants, Isabelle (née en 1972) et Diego (né en 1973), issus d'un premier mariage avec Catherine Hennessy, héritière des cognacs Hennessy[33]. Le couple se sépare quatre ans plus tard.

Dans l'émission télévisée Tout le monde en parle, diffusée le 9 février 2002, elle livre un témoignage à charge visant Éric de Lavandeyra et impliquant l'ancien homme politique Didier Schuller[34]. Elle se dit persécutée par « une organisation criminelle disposant d'un budget d'environ deux cent cinquante fois supérieur à celui de la France » et liée à l'ordre du Temple solaire, accusant également son ex-mari d'en vouloir à sa vie[35]. Jugée pour diffamation devant la justice suisse, elle maintient ses accusations[36] et demande la revalorisation de la pension alimentaire qui lui a été accordée au moment du divorce, sans prendre en compte les années de concubinage[33]. Elle obtient finalement gain de cause en 2006, jugement dont Lavandeyra fait appel pour « chantage et extorsion »[33].

En 2012, elle est condamnée a 500 euros d'amende avec sursis pour « discrimination » après avoir publié une offre d'emploi pour un service de ménage demandant aux « musulmans orthodoxes [de] s'abstenir ». L'annonce précisait « petit chien (chihuahua) ; allergique ou musulman orthodoxe s'abstenir ». Son avocat la défendra en clamant le respect de Marie Laforêt pour l'islam en connaissant le statut impur du chien dans cette religion[37].

Théâtre

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Filmographie

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Cinéma

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Télévision

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Téléfilms

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Séries télévisées

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Émissions de variétés

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En tant que chanteuse, Marie Laforêt a participé à des dizaines d'émissions de variétés à la télévision française. Parmi celles qui l'ont mise au premier plan, on peut citer :

  • 1959 : lauréate du concours Naissance d'une étoile organisé par Europe no 1.
  • 1973 : animatrice durant l'été de l'émission Cause toujours, tu m'intéresses sur RTL.
  • 1973 : actrice de radio dans Sheherazade, feuilleton de la RTB, elle incarne Shéhérazade.
  • 2004 : participante régulière à l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner sur Europe 1.

Discographie

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Albums studio

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Albums en public

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Albums en espagnol

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Album en italien

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Album en portugais

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EP édités en France

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Singles hors album

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Singles en italien

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Singles en allemand

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Intégrale Fragile de A à Z (4CD, Une Musique, 1994)

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Intégrale Festival 1960/1970 (7 CD, disques Festival, 1998)

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Intégrale 18 CD (2020)

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Chansons inédites ou faces B de 45 tours

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  • Tumbleweed et Saint-Tropez blues, sur la BO du film Saint-Tropez Blues (1961)
  • Johnny Guitar (Victor Young), sur la BO du film homonyme (1963)
  • Banks of the Ohio (traditionnel) titre hors album extrait du EP Blowin' In the Wind (1963)
  • Sur le chemin des Andes (Marie Laforêt ; Michel Jourdan ; traditionnel) - titre hors album extrait du EP Volume XII et autre version de La Flûte magique (1966)
  • L'Amour de Moy (traditionnel) chanté à la télévision dans Un portrait de Marie Laforêt (1967)
  • Simone (traditionnel) chanté une fois à la télévision dans Un portrait de Marie Laforêt (1967)
  • Belle qui tiens ma vie (traditionnel) chanté lors des récitals de 1968
  • Marie, douce Marie (Franck Thomas ; Jean-Michel Rivat ; Philippe Monnet), face B de Choux, cailloux, genoux, époux (1970)
  • Dis à Mathieu (Gérard Layani), face B de Choux, cailloux, genoux, époux (1970)
  • Esclave et Reine (Marie Laforêt ; Egberto Gismonti), inédit (1970)[40]
  • Il faut savoir pardonner (Marie Laforêt ; Egberto Gismonti) inédit chanté lors de récitals et une seule fois à la télévision (1969-70)
  • Mon cœur se balance (Marie Laforêt ; Mendelssohn), inédit chanté lors de récitals et dans quelques émissionsde télévision (1971)
  • L’automne rêve aux lilas (Marie Laforêt ; Bernard Wistraete) inédit édité en 2003 (1971)
  • Aussi loin que l’amour (Denise Glaser ; Sébastien Marotto), BO du film du même nom, inédit (1972)
  • Daniel (Marie Laforêt ; Elton John ; Bernie Taupin), face B de Cadeau (1974)
  • Un jour (Pierre Bachelet), face B de Roman d’amour (1979)
  • Moi Marie (Gilbert Montagné) inédit d’un album jamais édité, chanté une seule fois à la télévision dans La Grande Roue (1980)
  • L'Homme de l'Espace (Pascal Arroyo - Pierre Grosz) inédit d’un album jamais édité, chanté une seule fois le 23 décembre 1980 Grand Plateau TSR (1980)
  • La Frontière ou La Californie (Gilbert Montagné) inédit d’un album jamais édité, chanté une seule fois à la télévision dans Stars 80 (1980)
  • Mon amour où es tu passé (Gilbert Montagné - Daniel Boublil) inédit d’un album jamais édité, chanté à la télévision dans La Grande Roue et dans Stars 80 (1980)
  • Quand les lilas refleuriront (Guy Béart) reprise inédite chantée une seule fois à la télévision (1983)

Vidéographie

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  • 2021 : Marie Laforêt : Chansons en images, DVD, Rétrospective de 2h40 d’images de télévisions où Marie Laforêt chante ses titres incontournables et quelques raretés.

Écrits

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  • 1981 : Contes et légendes de ma vie privée (ISBN 978-2-234-01349-0)
  • 2001 : Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune (ISBN 978-2-84098-648-5)
  • 2002 : Panier de crabes : les vrais maîtres du monde (ISBN 978-2-84098-829-8)[41]
  • 2008 : Sous le pseudonyme d'Erna Huili-Collins (ouvrage collectif), Correspondances intempestives : à la folie... pas du tout, Triartis
  • 2020 : Nous n'avons pas d'autre choix que de croire

Distinctions

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Récompenses

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Nominations

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Hommages et reprises

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  • 1989 : durant sa première tournée Tour 89, Mylène Farmer reprend Je voudrais tant que tu comprennes, chantée par Marie Laforêt en 1966.
  • 2002 : François Ozon fait reprendre le titre Mon amour, mon ami par Virginie Ledoyen dans le film Huit femmes.
  • 2005 : sur son quatrième album Six pieds sous terre, RoBERT (auteur-compositeur de la scène alternative française) reprend la Prière pour aller au paradis, écrite par Marie Laforêt en 1973.
  • 2009 en musique : dans son deuxième album Au féminin, Najoua Belyzel reprend la chanson Viens, viens.
  • 2018 : Mon amour, mon ami est repris dans le troisième album Summer Spleen de Michaël Roy (auteur-compositeur de la scène alternative française).
  • 2021 : Najoua Belyzel reprend dix titres dans Eternelle : Hommage à Marie Laforêt.

Notes et références

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  1. « Jean Eugène Denis Douménach », sur Base collaborative Pierfit.
  2. « Douménach, Jean Eugène Denis (X 1929 ; 1909-1983) », sur École polytechnique (promotion X 1929).
  3. « Marie Louise Saint Guily », sur Base collaborative Pierfit.
  4. « Marie Laforêt, la « Fille aux yeux d'or », est morte », sur lepoint.fr, .
  5. « Une statistique du prénom Maïtena », sur aufeminin.com..
  6. a et b « Généalogie de M. Laforêt », sur genealogiemagazine.com.
  7. « Les vacances sainte-terroises de Marie Laforêt », Le Résistant,‎ , p. 13 (ISSN 1260-8238).
  8. a et b « Biographie de Marie Laforêt ».
  9. a et b interview dans l'émission Famille je vous aime
  10. interview dans VSD
  11. « Viol Marie Laforêt : Mémoire différée », sur ina.fr, Institut national de l'audiovisuel, (consulté le ).
  12. Hélène Lisle, « Marie Laforêt : la terrible phrase de sa mère lorsqu’elle lui a confié avoir été victime d’un viol à l’âge de 3 ans », sur femmeactuelle.fr, (consulté le ).
  13. Julia Avellaneda, « Marie Laforêt, icône des années 60, est morte à l'âge de 80 ans », Gala,‎ (lire en ligne).
  14. « Marie Laforêt - La Petenera (1960) Première interprétation inédit! » (consulté le ).
  15. PiotrAakoun, « Jacques Higelin - discographie complète », Sens Critique,‎ (lire en ligne).
  16. « André Popp, 90 ans « Musicien par plaisir » Brillante carrière d’arrangeur, Chef d’orchestre et de Compositeur : Piccolo, Saxo et Compagnie ! », sur France Musique (consulté le ).
  17. Marie Laforêt - La Berceuse
  18. (fr-fr) Marie Laforêt - "Ma mère", "La Petenera", "V'la l'bon vent", "Barb'ra Allen" - 1966, consulté le
  19. « Marie Laforêt - Le tengo rabia al silencio » (consulté le )
  20. « Décès de Marie Laforêt : réécoutez les tubes de la chanteuse », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  21. Jacques Pessis (dir.), Chronique de la chanson française, Trélissac, Chronique/Dargaud, , 240 p. (ISBN 2-205-05521-6).
  22. AFP, « Décès à 80 ans en Suisse de la chanteuse et actrice Marie Laforêt », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  23. « L’actrice et chanteuse Marie Laforêt est morte », sur lemonde.fr, .
  24. « Décès en Suisse de la chanteuse et actrice Marie Laforêt », sur letemps.ch, (consulté le ).
  25. Marc Arlin, « Marie Laforêt : les raisons exactes de son décès révélées », sur programme.tv, (consulté le ).
  26. « À Paris, le dernier hommage à Marie Laforêt », Paris-Match,‎ (lire en ligne).
  27. « Marie Laforêt (Maïtena Douménach - 1939-2019) », sur landrucimetieres.fr (consulté le ).
  28. Karelle Fitoussi, « Lisa Azuelos : l’audace au féminin »
  29. Alexis Patri, « Lisa Azuelos : «Ma mère n'était pas une vraie maman, mais on s'adorait» »
  30. « Marie Laforêt : “Je déteste m'entendre chanter” », sur femme.wanadoo.fr (consulté le ).
  31. « Influenceuse beauté avant l'heure, maîtresse supposée de Giscard, auteur d'un livre sur la finance... Cinq infos méconnues sur Marie Laforêt », sur cnews.fr, (consulté le ).
  32. Nouvelle dans le journal espagnol ABC.
  33. a b et c « Marie Laforêt : quand son ex-mari l'accusait de « chantage » après un divorce houleux », sur gala.fr,
  34. David Dufresne, « Madame de Lavandeyra », sur liberation.fr, (consulté le ).
  35. « Mort de Marie Laforêt : ces accusations délirantes lors de son passage dans une émission de Thierry Ardisson », sur telestar.fr, (consulté le ).
  36. Denis Masmejan, « Marie Laforêt maintient tout contre son ex-mari », sur letemps.ch, (consulté le ).
  37. « Marie Laforêt condamnée pour une annonce discriminatoire », sur Libération (consulté le ).
  38. a b et c Musicalement, Marie douceur, Marie colère est une reprises de Paint It, Black des Rolling Stones.
  39. Uniquement en vinyle.
  40. La version studio a filtré sur internet en 2012.
  41. Bien qu’en vente sur le web, le livre semble n’avoir jamais été publié.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Pierre Fageolle & Egon Kragel, Marie Laforêt , Éd. ... Car rien n'a d'importance, 1994.
  • Alain Wodrascka, Marie Laforêt - La femme aux cent visages, Éd. L'Étoile du Sud, 1999.
  • Alain Wodrascka, Marie Laforêt - Portrait d'une star libre, Éd. Didier Carpentier, 2009 (ISBN 978-2-84167-612-5).
  • Alain Wodrascka, Marie Laforêt - long courrier vers l'aurore, Mustang éditions, préface de Nilda Fernández, 2014.

Liens externes

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