Discussion:Mathématiques

Dernier commentaire : il y a 1 mois par 88.178.252.55 dans le sujet Pourquoi n est il pas mentionne que le nbre premier 13 est un nbre time
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NOTE EPISTEMOLOGIQUE modifier

J'ai relevé 2 problèmes épistémologiques majeurs dans le premier paragraphe définissant les mathématiques :

  • Les mathématiques ne sont pas une science ! La page de Wikipedia consacrée à la définition de la science le dit très justement : la science est un examen raisonné et méthodique du monde et de ses régularités. La science est expérience, les mathématiques, en ce qu'elles procèdent par énoncés analytiques, ne sont pas expérience, donc pas science.
  • Les mathématiques ne s'appuient plus sur des postulats, mais uniquement sur des axiomes. Les mathématiques n'admettent plus que des axiomes depuis l'avènement de la géométrie non-euclidienne.

Tout ce que je viens de dire devrait être repris par des épistémologues afin d'être validé et inséré dans l'article. Matthieu

Bof, il y a beaucoup à dire sur ça ; voir la page d'archive ci-dessous, par exemple. Ce qui est certain, c'est qu'il faut éviter d'asséner des vérités définitives comme les mathématiques ne sont pas une science.Salle 21 décembre 2006 à 21:56 (CET)Répondre
La pensée qui procède des énoncés analytiques n’est elle pas une expérience, c’est à dire une expérience de pensée ? --Psychoslave (d) 12 juin 2012 à 13:53 (CEST)Répondre

La page de discussion à laquelle tu me renvoies est pleine d'erreurs. Tu m'opposes péremptoirement que "j'assène des vérités définitives", je te répondrais sans plus de façons que ce que tu écris dans la discussion en question est faux. J'ajouterais sans vouloir être offensant que tu ne me sembles pas connaître le sujet (l'épistémologie). Dans cette discussion, chacun livre son sentiment, c'est fort intéressant, mais ça n'éclaire pas le débat qui exigerait d'être un peu plus rigoureux. Il est admis depuis le 19ème siècle que les mathématiques ne sont pas une science, ça n'est pas moi qui le dit, c'est un fait... Ceci ne constitue pas pour autant une baisse de standing pour le noble domaine de connaissances que sont les mathématiques, mais il y a un grand frein culturel à l'acceptation de cette idée (en particulier chez les mathématiciens...). Matthieu

Cette phrase (il faut éviter d'asséner des vérités définitives) ne t'était pas au départ destinée, c'était une remarque de caractère générale. A posteriori, elle semble tout de même convenir. Pour le reste je conviens ne pas connaître l'épistémologie. Ce qui m'intéresserait, c'est que tu apportes des éléments probant concernant l'assertion Il est admis depuis le 19ème siècle que les mathématiques ne sont pas une science,[...] c'est un fait, sinon, tu n'élèves pas le débat plus haut que je l'avais fait dans mon ignorance de l'épistémologie, et je me permets même de te signaler que tes arguments ont déjà été contrés sur la page de discussion déjà évoquée.Salle 10 janvier 2007 à 17:41 (CET)Répondre
Je ne veux pas me montrer insultant ou quoi que ce soit ... mais simplement, les mathématiciens se foutent de ce que disent les philosophes ou les épistémologues ! Certains mathématiciens (minoritaires) pensent que les mathématiques ne sont pas une science. Mais pour la plupart, les mathématiques sont une science.
J'ai commencé des premiers changements dans l'article pour bien situer le problème ; mais je n'ai pas eu le temps de terminer. La question de savoir si les mathématiques sont une science ou non concernent la philosophie des sciences. Mais on se doit de la mentionner ici, par respect de la neutralité de point de vue sans donner raison à l'un ou l'autre clan ... et en citant uniquement des gens sérieux (philosophes ou mathématiciens). Il y a effectivement de quoi faire un article. Mais qu'on arrête de sous-estimer les développements des mathématiques. Pour moi, il s'agit d'une polémique qui ne fait qu'alimenter les arguments utilisés par n'importe qui pour dévaloriser les mathématiques aux yeux de la société ... La question est sérieuse et non, elle est indécidable, car le concept science ne peut pas être clairement défini de manière indiscutable, et oui sa médiatisation finit par faire une mauvaise pub pour les maths. Ektoplastor 9 janvier 2007 à 22:38 (CET)Répondre
  • Je n'ai pas compris en quoi les mathématiciens n'étaient pas concernés par les conclusions des épistémologues (d'ailleurs nombre d'entre eux sont des mathématiciens...).
  • Pour beaucoup de mathématiciens, les mathématiques sont une science, je suis bien sûr d'accord avec toi mais... et ??? Ce n'est pas un argument recevable, ça n'a pas valeur de preuve !
  • Ensuite, quand tu me parles de dévalorisation et de sous-estimation des mathématiques... ça n'est pas le sujet.

C'est consternant ! Contrairement à ce qui circule ici, le débat est en réalité tranché. Les mathématiques ne sont pas une science (et alors?!) car il s'agit de jugements analytiques, ou tautologiques, donc vrais indépendamment de l'expérience. La science fonctionne par jugements synthétiques, dont le prédicat n'est pas inclut dans le sujet. Qu'importe vos points de vue sur le sujet ou le mien ! Renseignez-vous un minimum avant de vous emparer d'un débat dont vous ne connaissez rien. Les pages discussion de wikipedia ne doivent pas être du niveau du café du commerce, il faut un peu plus d'exigence... Bref, pour moi le sujet est clos. Matthieu

Je vois que tu clos les sujets bien facilement. Mais je t'invite à lire dans l'article science un peu plus que la phrase d'accroche. Si tu n'es pas d'accord avec les récents ajouts d'EL (AMA fort pertinents) sur ce dernier article, c'est avec lui que tu devrais engager le débat dans la page discussion de science. Car faire un vrai débat avec des termes sur lesquels visiblement on ne s'entend pas... Peps 10 janvier 2007 à 16:16 (CET)Répondre
Il est important de noter la nature particulière des mathématiques par rapport aux autres sciences. En effet les mathématiques, contrairement aux autres domaines scientifiques, appartiennent totalement au monde des idées. Voir par exemple, La Science et l’Hypothèse, Henri Poincaré. --Qwerty12345 (d) 16 décembre 2010 à 19:12 (CET)Répondre
"La possibilité même de la science mathématique semble une contradiction insoluble. Si cette science n'est déductive qu'en apparence, d'où lui vient cette parfaite rigueur que personne ne songe à mettre en doute ? Si, au contraire, toutes les propositions qu'elle énonce peuvent se tirer les unes des autres par les règles de la logique formelle, comment la mathématique ne se réduit-elle pas à une immense tautologie ? Le syllogisme ne peut rien nous apprendre d'essentiellement nouveau et, si tout devait sortir du principe d'identité, tout devrait aussi pouvoir s'y ramener. Admettra-t-on donc que les énoncés de tous ces théorèmes qui remplissent tant de volumes ne soient que des manières détournées de dire que A est A ?" [1]
La math. est une "immense" tautologie - formellement. L'impression contraire que certains peuvent avoir vient essentiellement de la grande complexité. S'y ajoute peut-être le fait qu'on pose comme vrais des axiomes qui (avant ça) ne sont pas des tautologies, mais plutôt une sorte d' <<hypothèse>> que toutefois dans la plupart des cas (sinon tous) on peut considérer (sur un plan moins formel) comme des "définitions implicites" pour les notions non définies - appelées parfois "primitives"--Ulysse (alias UKe-CH) (d) 17 décembre 2010 à 10:26 (CET)Répondre




On peut faire simple et dire: Ça n'est pas une science naturelle, c'est une science formelle.

Mais développons un peu: compter un tas de pierre ou sur ses doigts, ou encore mesurer une table avec une règle seraient peut-être pour certains, des expériences relevant du domaine de la physique ou de la philosophie ? Dénombrer ou déterminer les tailles d'objets réels (cardinaux) ou le fait de pouvoir les étiqueter et les ordonner (ordinaux) n'est pas pour vous, avant tout axiome, l'expérience de l'intelligence sur la nature ? Bien que l'intelligence soit une notion abstraite, elle est pourtant bien un élément du monde réel.

Je ne viens pas faire ici débat sur "est-ce que les mathématiques viennent avant la physique ?" en terme de "Vérité", sur ce point je pense que les mathématiques sont un exercice logique, qui offre des mécanismes et des outils extraordinaires, mais qui se raccrochent toujours à des "tables de vérités" définies par l'Homme, ce qui n'est pas tout à fait le cas de la physique.

Cependant, ces outils, bien qu'abstraits et relevant du monde des idées, sont utiliser dans toutes les sciences, dont la physique: ne peut-on pas parler ici d'outils scientifiques ? La fabrication d'un crayon, d'un compas ou d'un télescope n'est pas un science en soit ?

Un simple exemple: les algorithmes, qui sont de pures idées mathématiques abstraites au départ, sont aujourd'hui, à l’ère numérique, de vraies machines industrielles, de vrais usines produisant de l'information sous la forme de suite binaire. Nous avons même maintenant le Bitcoin, un nombre unique généré par un algorithme et ayant une valeur monétaire dans le monde réel. Plus concrètement encore, les nombres binaires, via interprétation informatique, sont maintenant directement injectés dans le monde réel via imprimantes 3D.

Le monde réel de l'Homme en effet... mais expérimenter, c'est observer, ce qui est un exercice sensoriel. La science reste fondamentalement un exercice sensoriel, qui relève donc de la perception de l'Homme sur le monde. l'Homme (et une partie du monde animal doué d’intelligence) utilise naturellement la logique mathématique pour observer la nature et survivre. Ainsi, depuis notre perception, si l'univers à observer est alors un système de coordonnées, les mathématiques sont notre échelle et la physique notre référentiel.

(Je pense que les mathématiques et la physique - et même la SVT au passage - sont maintenant réconciliés avec cette phrase :) donc voila, maintenant vous faites un bisou sur la joue de votre voisin et tout le monde rentre chez soi avec le sourire :D)

Pour conclure, les mathématiques sont naturellement et historiquement à la base de notre intelligence et de nos argumentaires, une analyse de la logique naturel par la logique abstraite (mais aussi de la logique abstraite par la logique abstraite), ils offrent une base de connaissances théorisées et universelles basé sur des méthodes scientifiques, des méthodes déterminées et vérifiables (la légende de Thalès et la Pyramide par exemple), suivant non pas la nature mais des tables de Vérité se rapprochant, si on le souhaite, au maximum de la nature. C'est donc évidement une science. DestyNova

Une page d'archive modifier

Discuter:Mathématiques/Maths et sciences

adresse modifier

Bonjour voici l'adresse d'un site tres complet sur les maths de base (prepa):http://c.caignaert.free.fr/. l'auteur ne veut pas que l'on recopie ses ecrits mais accepte que l'on place un lien. je ne sais pas si c'est tres dans l'esprit de wikipedia mais en tout cas c'est une bonne base de travail pour des articles manquants. Ju

julien.,piallat@laposte.net

Condorcet (vote) modifier

Pardon mon intrusion. Je travaille beaucoup sur l'emplacement anglais de Wikipedia, spécifiquement avec les systèmes de vote. Je ne parle pas français (vous pouvez dire probablement de la traduction déformée... que j'ai employé babelfish.altavista.com)

Je voudrais suggérer des traductions des pages suivantes:

Mes motifs sont égoïstes. Beaucoup de matériel concernant Condorcet et Borda est en français (pour des raisons évidentes), et de ce fait les francophones vont avoir un temps plus facile recherchant ceci que moi. J'espère employer le matériel produit ici sur le Wikipedia français comme matériel pour le Wikipedia anglais

Merci de votre temps -- RobLa


Je voudrais faire remarquer aussi que beaucoup d'autres grands mathématiciens étaient français, je pense surtout au groupe Bourbaki qui mérite très largement un article.

notices modifier

Pourquoi ne pas inclure un accès aux notices des Mathématiciens célèbres dans le dictionnaire culturel ? Mulot


Ces champs rentrent dans la théorie des jeux (absente de la page) grossièrement non ? Une traduction de l'anglais sur la TdF arrive.


intégrales de Riemann et de Lebesgue modifier

Y a-t-il Une raison quelconque à la présence des intégrales de Riemann et de Lebesgue dans la partie Probabilités et Statistiques. Je veut bien que les intégrales soit utilisés en proba, mais c'est à la base de l'analyse non ?

  • L'intégrale de Lebesgue est aussi à la base d'une présentation rigoureuse des probabilités. Je crois de toutes façons qu'un classement des différents domaines mathématiques doit avoir la forme d'un réseau. Difficile à réprenter ici. Mais est-ce impossible ? Effo 26 mar 2004 à 18:14 (CET)

   * Aire du carré
   * Aire du rectangle
   * Aire du triangle
   * Aire du losange
   * Aire du trapèze
   * Aire du polygone régulier
   * Aire du polygone quelconque
   * Aire du disque

... voilà qui multiplie les bouchons ! Pourquoi pas Carré, Rectangle, etc ? Tout simplement !? Cham 21 jun 2004 à 18:45 (CEST)


introduction modifier

Dans l'introduction, on peut lire : "Ces trois utilités peuvent être rapprochées des trois branches des mathématiques citées plus haut." Il semble que les trois branches aient disparu du texte... Peux-t-on supprimer ?

Mathématiques modifier

Déplacé depuis le bistro

Quelqu'un peut me dire comment remédier à l'affichage pourri des mathématiques que j'ai rédigées sur la page de travail Utilisateur:Lachaume/Théorème d'Al-Kashi ? La taille de la police de caractère a l'air d'être tirée aux dés. Vu que \displaystyle et Cie n'ont pas l'air de fonctionner plus qu'un médicament homéopathique, je demande des conseils à la cantonnade. (PS : c'est qui celle-là ?)


— Régis Lachaume
24 jan 2005 à 00:18 (CET)

D'ailleurs, la loi ci-dessous

 

s'appelle comment en français, loi/formule des sinus ?

Je viens de lancer un débat sur ce sujet sur la page de discussion du projet mathématiques. Je suis content de ne pas être le seul à me plaindre. Cela dit, je connais bien la relation mais je ne sais pas si elle a un petit nom en français. CD 24 jan 2005 à 01:30 (CET)

Cette loi s'appelle loi des sinus d'après le nouvel article de Jean Gomel CD 24 jan 2005 à 11:29 (CET)

Modification de l'article modifier

Je ne suis pas complètement satifait de cette page et voudrais lui apporter des modifs suffisamment importantes pour me sentir obligé d'y aller avec prudence (nous sommes très nombreux sur Wikipédia à nous intéresser à ce sujet). Je vais attendre de mieux connaître l'encyclopédie (je compte aussi modifier Fondation des mathématiques, Logique, Théorie des ensembles, Géométrie, Algèbre, Analyse, ...).

A moi tout seul je ne me sens pas assez compétent pour avoir le dernier mot (mais de toutes façons ici il n'y a jamais de dernier mot) sur ces grandes questions. Mais je profite du système participatif de Wikipedia pour apporter mon point de vue quand il me semble avoir une pertinence encyclopédique. Je ne voudrais surtout pas rompre avec la diversité de styles et de tons très caractéristique (et unique) de Wikipédia lorqu'il s'agit d'articles de base pour lesquels les contributeurs sont très nombreux. C'est pourquoi en général mes modifs consistent plutôt à ajouter qu'à reformuler. Dans certains cas, il me semble que des reformulations sont nécessaires dans l'intérêt du lecteur, parce qu'il faut quand même un minimum de cohérence. Si vous voulez vous faire une idée de ce que je me propose d'incorporer à l'encyclopédie, vous pouvez jeter un coup d'oeil au wikibook sur les [fondements des mathématiques].

Un mot sur ma compétence. Je ne suis pas mathématicien (mais si un jour on me donne ce titre j'en serais très honoré) mais logicien autodidacte (et aussi physicien expérimentateur et théoricien de l'imagination et du langage, c'est moi qui le dis, je ne suis pas (encore) reconnu). J'interviens parce que je me crois capable d'exposer des principes. Je connais souvent mal les développements (en gros je connais les axiomes, les principales définitions, les théorèmes de base, et leurs preuves quand elles ne sont pas trop compliquées) et j'ai un point de vue orienté soit vers les mathématiques appliquées, soit vers les questions de théorie de la connaissance. Les autres participants du Projet:Mathématiques (il y a parmi eux un grand mathématicien CD pour ceux qui ne le connaissent pas, mais il n'a pas toujours le temps de nous aider, ce qui est bien normal, et d'autres contributeurs de qualité) ont des points de vue parfois différents, et c'est très heureux. --TD 10 mar 2005 à 11:55 (CET)

J'ai réalisé des découvertes sur la physique et une critique des mathématiques... Mes découvertes, qui ne sont pas encore parues et qui ne paraitront peut être jamais, sont intitulées : la cinquième dimension... Je ne sais pas où je pourrais exposer mes idées afin que les lecteurs éventuels puissent donner un avis ? Désolé si ça ne fait pas partie de cette discussion, je ne sais pas encore où m'adresser !

Tu as juste à trouver la page dont le contexte est correct pour faire un lien vers une présentation de tes idées. La page Mathématique n'est évidemment pas appropriée. Peut-être sur un autre Wiki ? sur ta page d'utilisateur ? Pfv2 19 août 2005 à 01:40 (CEST)Répondre

Déplacé du Bistro :== lien mathématiques ressources collège == modifier

Note : le texte ci-dessous a été déplacé depuis le Bistro de Wikipédia. --Teofilo @ 23 avr 2005 à 22:56 (CEST)


http://membres.lycos.fr/dvdmaths/

Sur les ajouts de Styx modifier

Je n'adhère pas à tous les ajouts de Styx dans l'introduction. Passe encore de définir les mathématiques de plusieurs autres façons (même si ça fait perdre son sens au développement ultérieur). Mais la partie sur la dualité et le monothéisme me semble une thèse personnelle qui n'a pas sa place dans un article général sur les mathématiques. Remarque: vue   <User:STyx wikipédien HB 3 février 2006 à 22:15 (CET)Répondre

  • la philosophie et l'épistémologie ont leur mot à dire sur la mathématique
  • respecter la neutralité, c'est adopter les autres points de vue.
  • (thèse) personnelle : (c'est absurde). Tout contributeur apporte toujours un propos en accord avec sa personnes.
  • par exemple : tout comme "Henri Poincaré, La Science et l'hypothèse" en était une.
  • ce n'est pas une thèse mais un fait. le fait que tu emploie le mot thèse au lieu de fait est révèlateur.
  • ce qui n'a pas sa place dans une encyclopédie c'est l'hermétisme, le cloisonnement du savoir ... en savoirs.
  • la wikipedia cours à sa perte si elle ne remédie pas à cela rapidement.
  • le paragraphe Le monothéisme est lui fondé .. aurait mieux sa place à la page monothéisme (question de symétrie). mais j'en ai assez de me battre avec ces questions d'acceptations.
  • j'ai remanié pour plus de clarté. Tu peux toujours affiner le propos. Mais sache que l'obstination dans leurs convictions est la faille du scientifique.
  • J'ai tenu compte de ta remarque : le fait qu'une proposition soit vraie ou fausse, cela ne porte pas plutôt le nom de principe du tiers exclu et non celui de principe de véracité.

Mais il me semble qu'il y ait un léger glissement sémantique entre les 2 terminologies.

Merci d'avoir répondu et tenu compte de mes remarques. Une réflexion philosophique et épistémologique a tout-à-fait sa place dans cet article. Ce qui me gène est l'opposition entre mathématique et monothéisme ainsi que la définition donnée du monothéisme (existence d'un tout). Je pense très sincèrement que cela n'a pas sa place ici. Mais attendons d'autres contributeurs pour trancher. D'autre part, pourrais tu être plus clair sur ce que tu entends par «Ce qui (en un sens) réfute l'axiome de véracité

(point de rebroussement).»

De manière plus générale, en relisant l'article je remarque qu'il est fait de bric et de broc avec une introduction hachée (chacun ajoutant sa remarque sous souci d'un plan logique). Il faudrait songer à une refonte (voir plus bas) mais quel boulot !HB 4 février 2006 à 09:23 (CET)Répondre
  • ref a ajouter : Kant, popper, descartes , Ethique de Spinoza, ...

manques modifier

  • il manque les mots fractale et informatique dans cette page
  • il manque également les interactions entre la mathématique et les autres sciences (et les autres domaines).
  • etc.
oui
oui
oui HB 4 février 2006 à 09:41 (CET)Répondre

Refonte modifier

Peut-être est-il temps de songer à la refonte de cet article. La liste des articles de maths est évidemment incomplète et fait double emploi avec le portail de mathématiques. Elle pourrait être supprimée. On pourrait s'inspirer de l'article allemand (je manie très mal cette langue) pour la création de l'article. En en-tête, on pourrait donner l'origine sémantique du mot, l'origine "utilitaire" des premières mathématiques et la difficulté à les définir actuellement clairement. Ensuite on pourrait envisager de mettre

  1. Les définitions des mathématiques. Le chapitre actuel me paraît à peu près correct
  2. Mathématiques et philosophie, dans lequel on pourrait mettre la remarque de Poincaré, les limites des mathématiques , citer les nom de quelques grands philosophes des mathématiques (je signale à ce sujet qu'un spécialiste est attendu dans histoire des mathématiques pour compléter le chapitre sur la crise des fondements)
  3. Mathématiques et autres sciences
  4. Liens. Renvoyer clairement sur le portail pour avoir une vue d'ensemble de tous les articles, renvoyer sur les domaines connexes informatique, probabilité ..., conserver l'annuaire de liens sur sites d'aide, sites d'histoire, sites de cours.

Je ne me sens pas personnellement à la hauteur de la tâche (je manque de recul) mais je promets d'apporter encouragements, remarques et quelques pierres. Il me semble d'autre part que cet article doit naître d'une réflexion collective. HB 4 février 2006 à 09:41 (CET)Répondre

  • je suis d'accord avec les idées de "refonte" et "double emploi" mais contre la suppression de cette page.
  • en premier lieu: une double chainage : Portail:Mathématiques <-> Mathématiques est nécessaire.
  • le contenu de cette page devrait être un second portail résumant la math. (sous l'angle de/vis à vis de/en rapport avec/versus/en interaction avec) : la philosophie, l'épistémologie, l'histoire, les autres sciences, ..
  • donc en gros, nous sommes d'accord
  • concernant histoire et épistémologie : je conseille Histoire des mathématique de Jean-Paul Colette (ed. Vuibert).   <User:STyx

Mathématiques vs Mathématique modifier

l'emploi du pluriel est à la fois, viellot, incongru (en tant que science), inopportun (dans la mesure où cette science est plus homogène que bien d'autre (la physique par exemple)). Cette page est l'occasion de rectifier ce mauvais pli. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par STyx (discuter), le 4 février 2006 à 23:00.

eh bien nous allons avoir du mal à nous entendre... Tous les articles mathématiques (ou presque) comportent la précision (mathématiques) quand il y a risque d'homonymie, le portail s'appelle portail des mathématiques, toute l'argumentation des définitions montre que les mathématiques sont multiples. Il me semble enfin que le terme "la mathématique" est plus vieillot et pédant que le terme "les mathématiques". Un pour , un contre, attendons donc d'autres contributeurs pour changer. HB 5 février 2006 à 11:26
il ne s'agit pas de tout refaire. c'est plutot une recommandation pour le futur... Et puisqu'il est question de remanier cette page... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par STyx (discuter), le 6 février 2006 à 21:04.
(pardonnez si ce n'est pas la bonne syntaxe Wiki...) Bonjour, je suis mathématicien et je passe "par hasard" par cette page de discussion. Personnellement, je n'ai jamais entendu AUCUN mathématicien dire "LA mathématique", aussi bien en anglais qu'en français TOUT le monde dit "les mathématiques" ou "mathematicS". Voilà, bonne continuation à vous. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Globu (discuter), le 7 février 2006 à 17:55.
Enfin ce n'est pas parce qu'on n'a jamais entendu parler de quelque chose que ça n'existe pas ou que ça ne se dit pas. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 83.193.67.225 (discuter), le 23 avril 2006.
D'après mes sources c'est Dieudonné qui aurait introduit ce concept de La Mathématique, concept qui n'est jamais passé dans les moeurs et je pense disparaitra. Après rien n'interdit de mettre les deux. Bien que je préfère les. Noky 30 juillet 2007 à 04:24

Annonce de modifications parce que ça va pas modifier

Bon je réitère qu'il faut enlever les choses suivantes, à moins que la personne qui les a écrites ait des références "classiques", parce qu'une encylopédie n'a pas pour vocation d'être un forum pour des idées naissantes et surtout d'une personne -pas connue- :

- le discours sur maths et monothéisme

- le discours sur les mondes possibles : les mathématiciens ne se reconaissent absolumenet pas dans ce qui est écrit.

- de façon générale, le texte est beaucoup trop restrictif sur l'activité, et général sur les ambitions : les maths ne sont pas du tout une activité de codage, et les maths n'ont aucune prétention à décrire les "mondes possible".

Je suis penaud parce que je n'ai pas le temps de tout réécrire, et que je vais effacer ce qu'a écrit un contributeur. Mais j'attends des encouragements pour le faire. Globu 22 février 2006 à 14:03 (CET)Répondre

Bon, je crois que tu peux y aller : 3 intervenants dans la page de discussion sont opposés aux ajouts de Styx et personne n'a pris son parti. Reste que l'article merite mieux que ce toilettage, rafistolage...HB 22 février 2006 à 14:49 (CET)Répondre
Bon ben j'ai appliqué mes "menaces". C'est vrai qu'il faudrait tout refaire, mais

franchement les articles anglais et allemands ne sont vraiment pas géniaux... Globu 22 février 2006 à 18:25 (CET)Répondre

tu ne repecte pas le principe de neutralité. C'est donc du vandalisme.
«les mathématiciens ne se reconaissent absolumenet pas dans ce qui est écrit.» voila bien le probleme. outre les fait que je trouve les propos bien prétentieux, cela montre l'étroitesse de vue de certains. Il ne s'agit pas de definir les mathematiques pour les mathématiciens, mais de les definir pour tous.

Enfin défaire et contre productif lorsqu'il y a tant à faire ... et me force à entrer dans des querelles stériles.

bon bon ok, j'ai abusé sur la formulation... Mais je répète, il me semble qu'une encyclopédie se doit de donner les interprétations et les théories classiques et repensées un minimum par d'autres, sinon on ne s'en sort pas... Globu 22 février 2006 à 19:34 (CET)Répondre
tout le monde s'accorde, sur la nécessité de remanier en profondeur cet article... alors lancez vous. mais soyez constructif et non destructif. et repectez le principe de neutralité


Au sujet de la neutralité modifier

Styx (si c'est lui) m'a accusé d'attaquer le principe de neutralité. Je me défends par la citation justement de ce principe dans le "manuel Wikipedia", et qui correspond exactement à ce que je disais : je ne suis pas contre les idées personnelles, mais dans une encyclopédie il faut qu'elles soient, disons, décantées historiquement un minimum, sinon on se fait envahir par des théories plus fumeuses que les autres. Bref je cite :Globu 23 février 2006 à 11:55 (CET)Répondre


La neutralité de point de vue requiert l'attribution des points de vue. Présenter tous les points de vue pertinents ne doit pas laisser le lecteur avec une masse de points de vue contradictoires indiquant simplement que « certains » pensent ceci et des « opposants » pensent cela. Les tenants de chaque point de vue doivent être identifiés sans ambiguïté. Il faut non seulement présenter tous les points de vue, mais en plus identifier qui (quel parti politique, quel courant philosophique, etc.) soutient chaque point de vue, de sorte que le lecteur puisse se faire une idée de la représentativité de chaque partie en présence.Cette règle permet notamment d'empêcher de faire passer un point de vue personnel ou gonfler un point de vue minoritaire sous un vague « certains disent », « on peut remarquer », etc., dont la pertinence peut être invérifiable.


Une tentative de refonte modifier

Bon ben voilà, j'ai restructuré un peu l'article.

  • j'ai donné un plan
  • j'ai réécrit l'introduction et commencé la partie "lien avec les autres sciences"
  • recasé là où je pensais qu'ils devaient être les bouts de phrases qui traînaient ici et là.
  • assumé la sécation du monothéisme et de la théorie des mondes possibles.

Globu 22 février 2006 à 20:27 (CET) Je suis par ailleurs pour ne pas laisser tout l'"Index" de noms mathématiques, et de le transfrérer via le "Portail mathématique". A moins que ce soit étoffé, et réduit aussi. Qu'en pensez-vous ?Globu 23 février 2006 à 09:51 (CET)Répondre

Bravo pour ton travail conséquent. Ne penses-tu pas qu'il serait souhaitable de placer l'introduction avant le développement afin qu'elle soit placé en accroche avant le sommaire ?
Sans problèmes, je n'avais pas vu et je suis un peu novice quant à la syntaxe générale de wikipedia...

D'autre part, il me semble nécessaire de présenter l'étymologie du mot en tête d'article.

Pas d'objection ; personnellement je pense qu'une définition est plus importante que l'étymologie, mais ça me va aussi.
Enfin, définir les mathématiques comme la science des structures abstraites est un peu restrictif à mon gout et ne corespond pas à l'entête du portail . Jacques Bouveresse définit les mathématiques comme la science des quantités, du nombre, et de la mesure, 
Je trouve cette définition un peu trop bloquée sur le quantitatif, on a un peu l'impression de trois fois "nombre", non ? Je regarde ailleurs, mais je suis conscient que "structures abstraites" est trop restrictif et un peu flou.

d'autre comme la science de la logique.

Euh là je ne suis pas d'accord, parce que c'est extrêmement réductionniste (logiciste pour être précis), et c'est une des conceptions très particulières de voir les maths.

Ne peut-on pas envisager une présentation plus large du style

Les mathématiques du grec du grec μάθημα (mathêma = science, connaissance, apprentissage) peuvent être qualifiées dans une première approche comme la science des figures et des nombres. Cependant, il faut être conscient que les mathématiques sont multiformes et ne peuvent pas se résumer en deux voire trois mots. Les mathématiques sont donc aussi considérées comme la science des structures abstraites. Un résultat mathématique, appelé théorème, est considéré comme tel lorsque le discours qui est censé convaincre de sa vérité suit une certaine structure appelée démonstration, ou raisonnement déductif. Cette démonstration suit les lois de la logique.
On réfléchit un peu pour faire décanter, sinon on va repartir dans des bourrelets pour ne pas froisser les autres. Propose plutôt quelque chose entièrement de toi, non, sans les phrases "avec des pincettes" ? Cela dit je suis assez partant pour "figures, nombres et structures", parce que ça sonne assez "géométrie, analyse et algèbre".
Je partage ton point de vue sur l'index des articles, forcément incomplet et qui fait double emploi avec le portail. Je suis pour une suppression complète à remplacer par un conseil de navigation (par portail ou par catégorie).
Je sais pas faire, je te laisse faire, mais je suis d'accord.

La liste des liens externes est à conserver et peut-être à ranger entre forum, contenu mathématique, contenu épistémologique.

Ok

Encore bravo d'avoir pris l'article à bras le corps. HB 23 février 2006 à 14:26 (CET)Répondre

Merci Globu 23 février 2006 à 17:09 (CET)Répondre

Je viens de voir ton ajout pour l'Histoire, c'est pas mal du tout (j'aurais quelques réticences sur le dernier paragraphe un peu fourre-tout). N'hésite pas à donner des sous-paragraphes (apparition du calcul diff par exemple), ça permet de compartimenter et surtout de donner une direction éditoriale à l'article ; comme ça les suivants se "casent" naturellement, comme tu viens de le faire, et ça évite les accumulations de phrases sans lien. Globu 23 février 2006 à 17:16 (CET)Répondre

L'infini modifier

je suggère que jnb place son intéressante contribution à l'article infini, parce que cet article mathématiques est plus généraliste. En attendnat que jnb replace son texte (et apprenne un peu le style wikipedia, hem hem...), je l'ai mis dans le fourre-tout actuel qu'est la partie "logique et fondements". Globu 26 février 2006 à 22:37 (CET)Répondre

Hors sujet modifier

Le principe de la mathématisation est le suivant : une science donnée, ou une sous-thématique de la science (par exemple la biologie ou la thermodynamique) sélectionne certains paramètres qu'on suppose être quantifiable (...) ou bien si l'une des espèce va disparaître par exemple. Tout ce paragraphe est totalement hors sujet dans un article "Mathématiques". Il aurait en revanche sa place dans un article Mathématisation ( ou Modélisation mathématique sur lequel pourrait pointer celui-ci. Morus 16 mars 2006 à 23:02 (CET)Répondre

Tant que mathématisation et modélisation mathématique n'existent pas, je ne trouve pas délirant que ce que j'ai écrit soit là, d'autant que ça répond à deux demandes ci-dessus dans la discussion. Il concerne le lien entre les mathématiques et les autres sciences, lien que dont que je pense avoir sa place ici, non ? Vraiment non ? Globu 17 mars 2006 à 15:31 (CET)Répondre

Mathématiques en pratique modifier

J'ai rajouté ce premier paragraphe, dont je n'ai pas trouvé le contenu ailleurs parce qu'il me semble indispensable dans un document grand public de ne pas dire que les mathématiques sont une activité "purement intellectuelle", et "fondée sur la logique", sans y expliciter les bornes évidentes que j'ai indiquées. Le modèle présenté dans l'introduction est joli, mais très éloigné de la réalité... Peut-être les exemples que je donne à la fin sont à retravailler, mais l'économie du texte imposait de faire court et frappant. salle 18 mars 2006 à 01:21 (CET)Répondre

J'ai déplacé ton paragraphe pour l'associer à la réflexion sur la logique et la démonstration. Le plan général de l'article conserve ainsi sa logique. HB 18 mars 2006 à 08:56 (CET)Répondre
Je suis d'accord avec HB ; d'une part c'est bien d'avoir précisé ce que salle a écrit, d'autre part ça prend bien sa place dans les problèmes liés à la polémique sur les liens entre logique et mathématiques : réduire les dernières à la première est une hypothèse (faite par Hilbert) non seulement plus ou moins rendue obsolète par Gödel, mais en plus qui ne correspond pas du tout à la création mathématique. Si quelqu'un veut se coller d'ailleurs à la partie philosophique sur le logicisme, ce serait cool. Globu 18 mars 2006 à 15:10 (CET)Répondre

J'en profite pour soumettre le problème suivant, qui dépasse mes compétences : il existe une page géométrie non euclidienne ; il me semble qu'on gagnerait à choisir comme titre géométries non euclidiennes. Je ne sais pas faire ce genre de chose, si quelqu'un est intéressé...

Ce singulier correspond à une convention de Wikipedia: on évite en général les titres au pluriel. Titre "géométrie non euclidienne" - développement "il existe plusieurs géométries non euclidiennes ...". l'explication est que celui qui recherche un article a plutôt tendance à écrire la notion au singulier. Exception : mathématiques, statistiques, ...HB 18 mars 2006 à 08:56 (CET)Répondre

D'accord, merci pour les précisions. salle 18 mars 2006 19h20

Maths pures et appliquées modifier

Bon, je rajoute encore un bout de truc un peu n'importe où, sans avoir les connaissances pour dire quelque chose d'intéressant dessus. Mais cette distinction, on la vit dans les milieux mathématiques, et il me semble qu'il faut bien en dire un mot. Peut-être faudrait-il en parler dans "La pratique des maths" ? mais ce serait prendre implicitement la position de ceux qui disent que la distinction n'est qu'un produit des points de vue des mathématiciens. Donc, je le mets au début ; le problème est posé, équitablement j'espère, et je laisse à des gens plus compétents le soin de l'étudier. Il faudrait faire un lien vers une page "Structures des organismes de recherche en maths à travers le monde", mais elle n'existera probablement jamais, alors c'est un peu vain... salle 18 mars 2006 20h05

Liens externes modifier

J'ai essayé de mettre un peu d'ordre dans les liens. Il me semble qu'il faudrait être plus vigilant sur le choix des sites qu'on lie : pour le moment, et même avec un début de classification, ça fait vraiment fourre-tout. Je propose qu'on garde les sites qui répertorient les liens, et les sites que j'ai regroupés dans la partie "mathématiques", et peut-être les liens avec les logiciels PARI et MAXIMA, qui sont libres, et utilisés par les mathématiciens. Les autres sont des sites plus ou moins perso, et me semblent ne pas convenir, eu égard aux règles Wikipedia :

Comme ce commentaire n'a pas suscité de réaction, je supprime...Salle 1 avril 2006 à 11:22 (CEST)Répondre

le calculationnisme modifier

Il me semble que cette théorie a plutôt sa place dans l'article philosophie de la physique ou épistémologie, parce que ce n'est pas à proprement parler une philosophie des mathématiques. Par ailleurs je trouve la théorie bien prétentieuse par rapport à ce qu'elle raconte, qui est que tout fonctionne selon des automates. Un automate est une équation différentielle discrétisée. D'une part tout le monde croit depuis bien longtemps que les équa diff régissent le monde physique et dans ce cas les automates sont juste une imprécision supplémentaire et le calculationnisme ne dit rien de plus, sinon la vision classique mais de façon imprécise. D'autre part la possibilité d'écrire les bonnes équa diffs vient justement qu'on a un pensée plutôt continue des choses, et il est très peu naturel de réfléchir en termes discrets, et donc d'écrire des automates. C'est toujorus l'inverse qu'on fait, et ce pour les ordinateurs. Globu 31 mars 2006 à 18:24 (CEST)Répondre

Ah très bien le coup de la "rigidité des structures". Globu 11 avril 2006 à 11:45 (CEST)Répondre

L'index wikipedien modifier

Est-ce que quelqu'un pourrait réorganiser, abréger, voire faire disparaître -pas supprimer- d'une façon ou d'une autre l'index ? Je trouve qu'il est pas très esthétique dans l'article. A l'article physique il y a un joli tableau, ce serait pas mal de l'imiter non ? Globu 12 avril 2006 à 16:24 (CEST)Répondre

Le tableau est déjà dans le portail des mathématiques. Je suis d'avis de tout balancer et de ne laisser que les trois grandes façons de naviguer Portail, Catégorie, Liste. HB 23 avril 2006 à 18:34 (CEST)Répondre

Appel pour la partie "fondations et logique" modifier

Je lance un appel pour que quelqu'un de sérieux remodèle cette partie, qui est totalement bancale actuellement. Personnellement je n'ai qu'une vue très limitée, et en tout cas sans grand recul, du sujet, donc je ne peux pas le faire, sauf au prix d'un gros investissement. Et pis aussi si quelqu'un s'y connaît sur un peu sur musique et maths, ce serait cool (architecture et maths aussi, pendant que j'y pense).Globu 16 mai 2006 à 10:38 (CEST)Répondre

Je connais pas mal la grande controverse des mathématiques du début du siècle sur les fondations des mathématiques mais j'avoue que le temps me manque pour contribuer ces temps-ci. Je ne sais pas si tu as vu l'article Fondation des mathématiques qui remplit peut-être le rôle que tu décris (je viens de suivre en fait ces sections, je n'ai donc pas eu le temps de m'y intéresser vraiment). A voir donc. je viens de rajouter un lien interne vers cet article, qui, manifestement, n'était pas lié (?). 1001nuits 16 mai 2006 à 13:48 (CEST)Répondre

Maths et sciences modifier

On est en train de confondre une page de discussion sur l'article avec un forum. Personnellement, ça m'intéresse, mais ce serait quand même mieux de faire ça ailleurs. Voir la page d'archive pour ceux qui veulent continuer.Salle 16 novembre 2006 à 11:57 (CET)Répondre

Branches des mathématiques modifier

Dans le Petit Panorama de la Culture Mathématique, je propose une classification avec 4 branches (2 anciennes et 2 modernes) :

  • l'arithmétique qui étudie les nombres
  • la géométrie qui étudie les formes (et leurs mesures)
  • la mécanique qui étudie le mouvement (et ses causes)
  • la stochastique (ou probabilités et statistiques) qui étudie le hasard

Ces 4 branches utilisent un corpus commun de méthodes divisé en 2 grands chapitres :

  • l'algèbre
  • l'analyse

En particulier, je ne considère pas l'arithmétique comme une sous-branche de l'algèbre : on a la théorie algébrique des nombres et la théorie analytique des nombres. De même, on a la géométrie algébrique et la géométrie différentielle. Evidemment, on peut dire que l'algèbre étudie les groupes (et autres structures de ce genre) comme l'arithmétique étudie les nombres. Mais ces groupes ne sont pas des objets mathématiques de base : il sont souvent issus de questions arithmétiques ou géométriques.

Evidemment, il y a des domaines importants qui n'entrent pas dans ce cadre :

  • la combinatoire
  • la logique mathématique
  • l'algorithmique mathématique

Doit-on plutôt les considérer comme des branches des mathématiques (au même titre que l'arithmétique ou la géométrie) ou comme des chapitres supplémentaires du corpus (au même titre que l'algèbre et l'analyse) ? Par ailleurs, certains domaines sont délicats à classer : systèmes dynamiques et théorie ergodique, théorie de la mesure, théorie des opérateurs, ...

Avant d'intervenir sur cet article important, j'aimerais avoir des avis.

--Yves.Lafont 5 juillet 2006 à 16:59 (CEST)Répondre

Bonjour, vouloir ranger les mathématiques qui sont multiformes dans des branches est déjà une entreprise difficile et e rangement ne peut pas être univoque. Le rangement que tu proposes est intéressant mais pas plus que celui qui est actuellement donné. De plus, cette classification semble considérer l'algèbre et l'analyse comme des outils pour travailler sur les autres branches, or on peut parler d'arithmétique et de géométrie sans utiliser l'algèbre et l'analyse. De plus, comme tu le dis toi même "on peut dire que l'algèbre étudie les groupes (et autres structures de ce genre)" donc l'algèbre peut paraitre comme une branche à part entière. Bref, aucune classification n'est parfaite. celle mise en place est le résultat d'un consensus. Essaie d'obtenir un nouveau consensus sur ta nouvelle classification.
Il faut aussi prendre conscience que proposer une nouvelle classification veut dire changer complètement le plan de l'article. C'est une entreprise qu'il te faudra mener jusqu'à son terme.
Enfin, je te conseille la lecture de Projet:Mathématiques/Catégories pour voir les difficultés de classement et de lancer un appel sur Projet:Mathématiques/problème sur un article pour rameuter d'autres wikipidiens sur cette page. Bonne continuation. HB 5 juillet 2006 à 17:46 (CEST)Répondre
D'accord avec HB ; je ne pense pas qu'il soit pertinent de tout chambouler pour une classification qui restera de toute manière arbitraire. Par ailleurs, je pense que si on propose ta classification aux gens de mon labo, une bonne moitié n'entreront nulle part ; et ceux du labo d'en face (plus ou moins calcul numérique), seront carrément tous oubliés ; seuls les probabilistes et les statisticiens s'en sortent. D'où l'avantage d'algèbre/analyse/géométrie : les labos de maths applis font tous de l'analyse, et tous les matheux purs font une combinaison d'un, de deux, ou des trois.
Ce qui m'intéresse, en revanche, c'est la méca ; je ne connais pas du tout. Quels sont tes arguments pour en faire une branche des maths à l'heure actuelle?Salle 5 juillet 2006 à 18:27 (CEST)Répondre
D'accord avec HB et Salle... et moi-même, puisque je suis à l'origine de la refonte actuelle. Le tryptique algèbre-géométrie-analyse est à mon avis une assez bonne classification (toujours grossière, partielle et partiale, on est d'accord), mais qui a le mérite de mettre dans un des trois tiroirs relativement équirépartis (bon certes les "analystes" sont sans doute beaucoup plus nombreux que les autres, puisqu'il faut y mettre la pressque totalité des "matheux appli") la presque totalité des activités des mathématiciens, et d'un point de vue qualitatif, qui correspond à natures mathématiques assez différentes, même si tu as remarqué avec justesse que de nombreuses disciplines recoupent plusieurs de ces trois groupes, à commencer par la géométrie qui ne serait quasiment rien sans l'analyse par exemple... Quant à la mécanique comme groupe principal, ça me laisse perplexe, surtout si tu parles "des causes", là ça s'appelle de la physique non ?
D'accord : on peut dire que la mécanique est une branche de la physique, ou encore une discipline à part entière. Mais la mécanique de Newton a eu une telle influence sur le développement des mathématiques qu'il est bien difficile de dissocier la partie physique de la partie mathématique. --Yves.Lafont 17 juillet 2006 à 19:57 (CEST)Répondre
Enfin, l'arithmétique est une activité beaucoup trop particulière pour en faire un groupe. 212.96.79.140 6 juillet 2006 à 17:57 (CEST)Répondre
Au sujet des «sous-disciplines» de la «branche» algèbre, il me parait malvenu d'impliquer les représentations et l'algèbre homologique sans mentionner l'algèbre linéaire et l'algèbre commutative (qui constitue deux pans fondamentaux et bien définis de l'algèbre). Je propose d'ajouter ces deux «sous-disciplines» dans la partie concernée, et d'indiquer bien explicitement qu'il ne s'agit pas de présenter une liste exhaustive (comme c'est fait dans la partie suivante, concernant l'analyse).Rude Wolf

Algebre/geometrie/analyse modifier

Hem, ce classement est <troll> completement nul </troll>. Je relance le <troll>vrai faux débat</troll>. Tout d'abord, cette distinction s'appuie sur l'etat des connaissances actuelles ; elle est sujette a evolution, elle n'etait pas valable il y a un siecle. D'ailleurs, je me demande si elle reste valable geographiquement. En tout cas, elle ne fait pas un consensus sur le Wiki francais. Je lis plus haut qu'on pourrait inclure la mecanique dans les mathematiques : personne n'aurait certainement conteste il y a un siecle ou un peu plus. D'ailleurs, elle fait toujours partie des mathematiques a travers l'analyse des EDP, la mecanaique hamiltonienne (geometrie symplectique), ... La delimitation des mathematiques elles-memes est arbitraire. C'est pourquoi arXiv ne delimite pas des grandes branches de mathematiques. Parce que c'est n'importe quoi.

Rentrons dans le detail. On met en avant des exemples qui n'ont pas lieu de l'etre. D'emblee, on cite Wiles. Bientot, ce texte sera efface par une IP pour citer Perelmann ? Je connais aussi des tas d'autres exemples aussi revelateurs de ponts entre tous ces domaines. Ensuite, on oublie de citer des pans entiers de mathematiques. Des points parmi tant d'autres - j'en ai certainement oublie - :

  • Algebre : il manque la combinatoire, qui est un domaine actif de recherche, meme si elle ne m'interesse pas. On s'egare sur le calcul differentiel et la topologie algébrique sans avoir reussi a dégager une problématique d'ensemble. A bien y reflechir, la recherche actuelle en topologie algebrique se résume plus a de l'algebre dure de dure qu'a de la topologie qui s'efface de plus en plus. La topologie algébrique actuelle fait donc partie de l'algebre. Enfin, on ne cite pas la théorie de Galois, alors qu'on sait pas grand chose sur le groupe de Galois de la cloture algebrique de Q, question qu'on m'a dit importante en théorie algébrique des nombres. La theorie des representations concerne aussi la geometrie.
  • Analyse : on insiste d'emblée sur la théorie analytique des nombres sans vraiment la citer ensuite, on ne comprend pas trop. L'analyse s'appuie sur les nombres reels, ah bon, et les imaginaires alors ? et les espaces a plusieurs dimensions ? Dans la théorie des opérateurs, on cite le probleme de la régularite pour les operateurs differentiels ou pseudo-differentiels, mais on evoque apparemment l'ellipticite sans trop le dire clairement. Et pis, est-ce que l'exemple est convaincant et revalateur de la theorie des operateurs ? Pour ma part, j'aurais prefere une definition claire. On distingue la théorie des singularites, mais je ne comprends pas pourquoi : est-ce vraiment une branche notable des mathématiques ? On ne parle pas de la géometrie différentielle dans ce paragraphe, alors que des questions de recherche sur l'analyse sur les variétés sont encore a ce jour debattues. De plus, on ne parle pas de la géometrie non commutative qui presente des structures algebriques analogues aux algebres d'operateurs. La definition des systemes dynamiques est legere et erronnee, ne prend pas en compte sa multitude de formes. La theorie ergodique par exemple n'est pas citee, l'etude des actions continues completement effacee (trop dur). Les probabilites sont presentees comme faisant partie de l'analyse, mais je doute que la comparaison fasse sens, pour moi, c'est a part. Les statistiques ne sont pas citees, alors qu'il existe une recherche pure en statistiques. Les statistiques font partie des mathematiques. Par contre, elles sont a tort mal considerees.
  • Geometrie : d'emblee, on nous dit que la geometrie algebrique s'effectue sur d'autres corps que le corps des reel ou des nombres complexes. Il existe un pan entier des mathematiques actuelles qui s'appelle la géométrie algebrique complexe, devinez pourquoi. Dire que la topologie ne se preoccupe pas de la notion de distance apres l'episode Perelmann ; disons qu'a priori, les questions lui sont propres. Dire que la geometrie differentielle etudie des espaces sans singularite est faux. Precisons que la geometrie symplectique trouve ses origines dans la formulation hamiltonienne de la mecanique qui a une epoque etait consideree comme partie des mathematiques, pour de bonnes raisons.
  • Mathematiques pures/appliquees : petit franco-centrage, mais passons. Il serait interessant de preciser que ceux qui arrivent a faire la difference (ce qui n'est pas mon cas) reconnaissent que l'une nourrit l'autre.

Comme je l'ai dit plus haut, toute cette architecture evolue. Elle me parait trop inspiree de l'enseignement. On ferait mieux de lister des domaines qui sont des domaines de recherche actuelle, en oubliant la terrible triade Analyse/Geometrie/Algebre qui est loin d'etre neutre et correcte. De plus, il existe de nombreux resultats qui se chevauchent sur plusieurs domaines, des resultats de geometrie pure dont la preuve fait appel a des resultats d'analyse pure ou d'algebre pure, voire des deux a la fois, j'en lis presque toutes les semaines, et je trouve pas ca etonnant. arXiv a choisi cette option, je pense que c'est une bonne solution. Preciser en introduction qu'il existe plusieurs manieres de regrouper ces petits domaines en des grands, mais toute classification plus grossiere est subjective. Il faudrait citer des sources des classifications plus grossieres. En priorite des mathematiciens serieux et reconnus qui ont donne des classifications qui peuvent sembler etranges. Ektoplastor, 3:45 CEST. PS : Pour rassurer, j'aimerais vous dire que le reste de l'article est bien, mais je l'ai lu en diagonale, et <troll>il ne me parait pas neutre du tout</troll>. Dsl.

c'est vrai que la distinction algèbre/analyse/géométrie qui "est réelle, tant dans les résultats, les méthodes, que dans la façon dont se perçoivent les mathématiciens"... c'est un POV. Il faut citer cette classification traditionnelle ainsi que quelques autres qui sont pertinentes. Une autre coupure classique est de démembrer la géométrie entre algèbre et analyse, voire de faire du mot géométrique un "caractère supplémentaire" se superposant à la classif algèbre/analyse. Peps 20 octobre 2006 à 22:02 (CEST)Répondre
Moralement, je suis d'accord avec Ektoplastor. Le problème est qu'en se contentant de lister les domaines de recherche et en abandonnant la structure algèbre/analyse/géométrie, aussi absurde qu'elle soit, j'ai peur qu'on s'aliène le grand public. Mieux vaut, àma, garder cette structure et dire aussi souvent qu'on peut : les équa diff, on vous le met dans analyse pour être gentils, mais la recherche actuelle dans ce domaine, c'est quand même de la théorie de Galois (algèbre). Après, il est clair que l'article reste à faire, qu'on choisisse l'une ou l'autre de ces deux perspectives.
Ceci dit, je suis bien content que le paragraphe sur maths pures/maths appli échappe à ta vindicte :).Salle 20 octobre 2006 à 22:13 (CEST)Répondre
Comme quoi, la meilleure solution est toujours de ne rien dire, comme ca on est sur de dire la verite :). Mort de rire. Si on appliquait trop souvent sur Wikipedia, on risquerait de marcher a l'envers. Pour redevenir serieux, et pour mieux faire comprendre aupres de Peps, je pensais a la decoupe suivante :
  • Analyse complexe
  • Analyse numerique
  • Analyse fonctionnelle
  • Algebre homologique
  • Calcul quantique
  • Combinatoire
  • Etude des EDP
  • Etude des representations
  • Geometrie algebrique
  • Geometrie differentielle
  • Geometrie metrique
  • Geometrie non commutative
  • Geometrie symplectique
  • Logique
  • Physique mathematique dont mecanique
  • Probabilites
  • Statistiques
  • Systemes dynamiques
  • Theorie spectrale
  • Theorie des groupes
  • Theorie des operateurs
  • Theorie algebrique et analytique des nombres
  • Theorie de Galois
  • Topologie pure
  • Topologie algebrique
Cette liste peut etre effrayante, mais c'est ce qui me semble le plus honnete. De plus, elle donne bien un apercu des domaines encore actifs aujourd'hui, et si j'en ai oublie, on peut toujours en ajoutes. Elle reflete d'ailleurs la diversite des mathematiques, aspect sur lequel l'article actuel n'insiste pas suffisamment. Ektoplastor, le 20 octobre 2006, 22;32 CEST.
Il manque équa diff ; je ne connais personne qui étudie la théorie de Galois, mais des gens l'utilent pour les équa diff, d'autres pour la théorie des nombres. Représentations, c'est pas inclus dans théorie des nombres? Ou dans équa diff, peut-être? Et l'approximation diophantienne? la géométrie arithmétique? Et la théorie des champs, tu la mets où? L'étude des feuilletages analytiques? Pourquoi regrouper théorie analytique et théorie analytique des nombres? Théorie spectrale et théorie des opérateurs, il n'y a pas une inclusion? Les maths applis sont juste scindées en EDP, analyse numérique, probas, et stats, on devrait pas faire plus fin ? La théorie des codes, la crypto sont oubliées ? Bon, je m'arrête là, ce que je veux dire, c'est qu'établir une liste telle que celle que tu proposes me paraît inextricable.
Evidemment, je n'ai toujours pas de solution miracle à proposer. Peut-être essayer de partir des distinctions historiques pour la structure générale, et de tracer les chemins vers les conceptions modernes à partir de ça?Salle 20 octobre 2006 à 22:45 (CEST)Répondre
pas la peine que l'article soit un remake du portail. Mieux vaut ne citer que quelques exemples de domaines récents, sans souci d'exhaustivité, et brosser quelques gros traits sur les classifications les plus courantes. D'ailleurs il y a des domaines dont on peut faire sentir l'objectif en deux lignes aux "ignares", et d'autres pour lesquels ce n'est même pas la peine d'essayer. (c'est d'ailleurs pour cela que c'est Wiles qui restera sur cette page plutôt que Perelman) Peps 20 octobre 2006 à 22:55 (CEST)Répondre
Pour Peps : Je suis pour virer Wiles dont l'exemple ne demontre rien, et ne pas mettre Pelman a la place. Avis personnel.
Pour Salle. Oui, j'ai oublie des tas de choses. Sniff. Je mets quand meme l'etude des feuilletages analytiques dans la geometrie differentielle. Mais je pense qu'en ajoutant encore des termes, on arrive a etre complet (theorie des cordes, theorie ergodique, approximation diophantienne, geometrie arithmetique, cryptologie, theorie des cordes, ...). Pourquoi voudrais-tu inclure la theorie des representations dans la theorie des nombres ? Elle a aussi des rapports avec la geo diff, les systemes dynamiques, ... Mais il est certainement possible de donner une liste exhaustive et indiscutable, dans laquelle chaque mathematicien finisse par s'y reconnaitre. Et avec l'excuse apportee par Peps merci, Ektoplastor, le 20 octobre 2006, 23:22 CEST.
Je partage l'avis de Peps. l'article n'a pas pour vocation de remplacer le portail. la liste sèche des différentes branches des mathématiques n'apporte pas grand chose et aurait plutôt tendance à me dégouter dans le lecture (et pourtant je suis plus familiarisée au vocabulaire des mahématiques que la plupart des lecteurs). il vaut mieux parler de la richesse et la vitalité des mathématiques et citer quelques exemples sans chercher à être exhaustif et l'annoncer. Le découpage classique peut être cité comme une simplification utile mais abusive. HB 21 octobre 2006 à 22:38 (CEST)Répondre

En quoi le decoupage classique est-il classique ? A vrai dire, classique recouvre de nombreuses significations :

  • Classique = de la periode classique ? Le decoupage ne l'est certainement pas. De plus, j'aimerais demander : periode classique de quel pays ? Wikipedia n'est pas une encyclopedie de la France.
  • Classique = communement admis ? Eh bien, au vu des discussions ci-dessus ... Mon decoupage personnel serait Algebre/Analyse/Geometrie/Probabilites. D'autres proposeraient de nombreux autres decoupages tout aussi valables.
  • Classique = de l'enseigment ? J'aimerais alors demander : Quel enseignement ? Quelle epoque ? Quel pays ? Quel type d'enseignement ? Wikipedia n'est pas une encyclopedie de la France.
  • Classique = publie dans les ouvrages scolaires de reference ? J'aimerais demande : Quels ouvrages scolaires ? Reference par rapport a quel pays ? Wikipedia n'est pas une encyclopedie de la France.

On voit que l'utilisation du mot classique est dangereuse. J'apprends a philosopher ... A force de philosopher, on finit par ne pas avancer. Desole. Ektoplastor

J'ai employé le premier le terme classique, il est bien clair que c'était un énorme abus de langage. Pour moi, la morale, c'est qu'à vouloir faire un truc sophistiqué, on va se retrouver dans une panade monumentale. Sur ce coup, je préconise la ligne de moindre emmerdement, par exemple Algèbre/analyse/géométrie/proba, comme point de départ, et en sélectionnant ensuite quelques thèmes dans chaque. Comme Peps et HB en somme.Salle 21 octobre 2006 à 23:18 (CEST)Répondre
Je m'étais un peu absenté, mais devant l'emphase quelque peu agressive et parfois intéressante de Expectator, je reviens défendre ma refonte originelle.
  • D'abord, je remarque que cet article est extrêmement stable depuis que je l'ai refondé : en d'autres termes, personne n'a vraiment proposé démocratiquement mieux, et les ajouts ou retraits ont été très peu noombreux, donc les va-t-en-guerre devraient un peu modérer leur propos quand ils traitent de "nul" un classement dans lequel se reconnaissent globalement la plupart des mathématiciens, certes français.
  • Mais internationalement aussi, je suis désolé, ce classement correspond à une réalité. Les géomètres symplectiques russes et américains ne diront jamais qu'ils font de l'algèbre, même si l'homologie de Floer est... une homologie. Utiliser des structures déjà connues d'un "autre domaine" n'est pas la même chose que d'en faire son domaine de recherche. Il y a des grands courants de questions qui correspondent -pendant un temps, certes- à des préoccupations d'un certain champ de réflexion, et qui sont relativement autonomes. La conjecture de Poincaré n'intéresse presque pas les algébristes, mais a passionné un siècle de géomètres. La dualité de Langlands est inconnue pour la plupart des géomètres, et a fortiori des analystes. Enfin, l'existence d'une solution dans R^3 pour tout temps des équations de Navier-Stokes est un problème fondamental en EDP, mais les géomètres tout comme les algébristes s'en tapent le coquillon. On pourrait aussi refuser la classification philosophie-linguistique-sociologie-psychologie par les mêmes arguments.
  • Par ailleurs cet article est partial, c'est vrai : je suis mathématicien, et j'ai une certaine vision des mathématiques, par exemple mon point de vue de ses liens avec la physique n'est pas forcément partagé par tous les mathématiciens. Mais les opinions qui y sont exprimées font partie d'un fond commun connu et pensé depuis des siècles. Rien ne t'empêche par ailleurs d'en modérer la partialité, c'est le jeu de Wikipédia.
  • Sur l'argument "les classifications sont historiques, pourquoi choisir celle-là", je suis entièrement d'accord pour la première partie de la phrase. Mais croire que la connaissance est universelle et anhistorique est quelque peu... ingénu à mon avis. Effectivement, l'analyse n'existait pas vraiment jusqu'à Leibniz, et peut-être que ce qu'on fait actuellement n'aura aucun sens ou sera ridicule dans cent ans, mais que faire ??? Ta classification n'échappe pas à cette critique !
  • Je suis plutôt pour que tu ajoutes quelques membres de ta classification comme sous-cases de la classification actuelle. Encore une fois, le style actuel de l'article semble convenir aux gens, donc essaie d'être "dans le ton".
  • concernant Wiles, je ne comprends pas trop la fatwa contre : l'énoncé de la conjecture est très algébrique, très simple à comprendre, et il est juste dit que sa démonstratoin mêle à peu près tout ce qui se fait en mathématiques depuis un siècle. Ca me semble un bon exemple pour modérer la trichotomie ci-dessus, et ça me paraît attrayant pour le grand public. Mais je ne suis pas contre Perelmann, sauf que là, ça parle uniquement des liens entre géométrie (topologie) et analyse, et l'algèbre est beaucoup moins mise à contribution dans la preuve. Le résultat est quant à lui bien plus difficile à exrimer simplement.
  • En passant : la théorie des cordes n'est pas une théorie proprement mathématique, puisqu'elle utiliser à gogo des intégrales de chemins et des intuitions physique que presque personne en mathématique ne comprend.
  • Les intervenants dans la discussion sont souvent l'expression des mécontents, puis des contents quand les mécontents semblent penser que leur avis est majoritaire, bien sûr si ce n'est pas le cas. En plus, je ne veux pas dire, mais placer la mécanique comme un des trois piliers des mathématiques n'est vraiment pas sérieux. Donc il faut se méfier de la représentativité des intervenants (y compris moi !). Globu 2 novembre 2006 à 22:18 (CET)Répondre

suggestion de reference bibliographique modifier

Texte de sous-titre modifier

Peut-être que le "World of Mathematics" en 4 tomes de James R. Newman irait bien en référence bibliographique de cet article? DanielB 19 juillet 2006 à 20:08 (CEST)Répondre

mathéma et leçon modifier

  • l'emploi de l'expression "leçon de mathématiques" ne ferait il pas un peu "pléonasme" sur les bords ? vu que l'un des tous premiers sens du mot "mathèma" est justement "leçon".. que personne ne change surtout rien aux usages, car l'expression est entrée dans le langage courant (en français en tout cas), depuis belle lurette .. et ne gène personne, et que continuent comme devant les leçons de leçons.. ce qu'on pourrait appeler aussi : science de la ...pédagogie ! (de :païdès, élèves..). ;) ...lamadelama 11 août 2006 à 12:52 (CEST)Répondre

Philosophie des mathématiques modifier

le passage en question est assez imbuvable... et il s'agit d'un copier-coller depuis philosophie des mathématiques. Je propose qu'on gicle ce long laïus sur la philosophie des mathématiques car il est erroné et fait largement double emploi avec philosophie des mathématiques. Je ne fais rien brutalement mais je pense que la plupart seront de mon avis, non? Tryphon Tournesol 21 octobre 2006 à 16:33 (CEST)Répondre

Il semble plutôt que l'article philosophie des mathématiques (abandonné depuis des mois) ait subi un copié-collé non justifié depuis cet article-ci. Je suis bien entendu très favorable à ce qu'on "gicle" cette partie, qu'on la remplace par un résumé et que des philosophes matheux ou des matheux philosophes travaillent en profondeur sur philosophie des mathématiques qui est dans un triste état. HB 21 octobre 2006 à 17:04 (CEST)Répondre
Je suis aussi pour qu'on gicle la partie Philosophie des mathematiques qui, si elle etait serieusement developpee, deviendrait encombrante. Par contre, dans l'article Philosophie des mathématiques, il faudrait supprimer la partie sur la musique et les arts. Je precise qu'il existe un article Art et mathématiques qui est une catastrophe (l'unique responsable aurait du reflechir avant d'ebaucher ce sujet). Sinon, je rappelle qu'on n'a toujours pas resolu le probleme sur la premiere section branches des mathematiques. HB, peux-tu donner ton avis plus haut ? Ektoplastor, 21 octobre 2006, 22:00 CEST.
  • Je suis aussi pour virer la partie "philosophie des maths", que j'avais écrite là pour qu'elle existe. Par contre, je voudrais savoir si d'autres -intéressés par la philo des maths- trouvent le "laïus" introductif incompréhensible. J'avais voulu poser simplement les questions fondatrices de cette réflexion, mais peut-être me suis-je gentimenet viandé. Enfin j'attends comme d'habitude les propositions alternatives.
  • D'accord pour gicler de "philo des maths" les symétries et le lien avec les arts, qui n'est pas problématisé philosophiquement comme tel. Mais pour l'instant, je laisserais ici "art et maths" en attendant.

Globu 2 novembre 2006 à 22:29 (CET)Répondre

ATTENTION modifier

Je commence des corrections dans cet article, mais je n'aurais pas le temps de les terminer d'ici lundi.

Par exemple, affirmer que les mathématiques ont vite fait preuve d'abstraction, c'est niq. Ektoplastor, le 3 nov 2006.

Euh... je suppose que "niq" c'est n'importe quoi ? D'abord c'était écrit où "les maths ont fait vite preuve d'abstraction ?"?

Par ailleurs je ne suis du tout pour commencer l'article par "la recherche mathématique", et les subtilités classificatoires qui indignent tant Ektoplastor. On n'attend pas d'un article généraliste qu'il commence par le problème de la "spécialisation". J'espère que notre nouvel arrivant ne va pas abolir la classification de fait de l'article en algèbre géométrie analyse au nom de la Très Sainte Impossiblité Prouvée de Classifier les Mathématiques ? Le genre de phrase à mon avis très bourbakiste du genre "Un algébriste est un mathématicien intéressé à développer ces méthodes." me semble présager un gonflement inutile de l'article pour des broutilles méthodologiques... Mais je fais sans doute un proçès d'intention.Globu 4 novembre 2006 à 15:10 (CET)Répondre


Enfin j'apprécierais que Ektoplastor, avant d'effacer tranquillement l'énoncé du théorème de Wiles, pour le remplacer par une phrase pas très intéressante sur sa vulgarisation, d'une part réponde à mes arguments pour le garder(cf. plus haut), d'autre par et surtout ne plonge pas dans une abolition de tous les exemples, qui dans toute présentation d'un thème aident considérablement à comprendre. Je sais pour en être que les les mathématiciens raffolent de faire croire qu'ils ont compris une théorie sans les exemples et les calculs, mais je remarque que HB, qui est une modératrice de premier ordre, n'était pas pour non plus.

Bref annonce avant de faire, merci. Par exemple, annonce tes plans dans la discussion si tu comptes tout chambouler. En particulier je mettrais "préjugers" dans "impact culturel", pas besoin d'un nouveau chapitre. "Mathématiciens fictifs" ira sans doute à l'article "mathématiciens", non ? Globu 4 novembre 2006 à 15:13 (CET)Répondre

Proposition 1 modifier

Salut, il me semble que la première chose serait d'être d'accord sur la structure de l'article. Je propose l'organisation suivante :

tu ne dis pas ce que tu comptes faire du fameux tryptique "algèbre analyse géométrie". Encore une fois, modulo les oublis ou les ajouts possibles (mettre probas stats en plus), je pense que non seulement ça a de fortes vertus explicatives, mais ça correspond profondément à quelque chose historiquement et actuellement. Globu
A mon avis, ce rangement pose plein de problèmes : algèbre/analyse, ça correspond pour moi à des méthodes, et il n'y a pas vraiment de domaine où les deux méthodes ne s'enchevêtrent pas ; alors que géométrie, comme théorie des nombres, est plus un domaine, justement. Mais essayer de trouver un autre rangement soulève encore plus de questions, alors, j'aurais tendance à garder, parce que c'est plus lisible pour le grand public, mais en montrant quand il y a lieu l'intrication.Salle 6 novembre 2006 à 09:37 (CET)Répondre
Peps : même avis ; garder pour la lisibilité en soulignant que c'est problématique plutôt qu'en en faisant l'alpha et l'oméga d'une hypothétique classification. L'objectif est d'ailleurs plus de montrer l'interconnexion que de classer.
  • partie histoire conséquente, le but serait de voir d'une part la permanence de l'activité mathématique à travers le temps et les civilisations, et d'autre part les évolutions épistémologiques. La partie actuelle peut être améliorée (j'explique ci-dessous plusieurs choses à rajouter) mais donne une base.
avis de HB : attention, il y a déjà un article histoire des mathématiques qu'il s'agirait de compléter. Il ne faudrait pas que le résumé ici dépasse l'article la-bas.
avis de Globu : pareil.
Je suis d'accord aussi. Mon idée était juste que bien du matériel éparpillé dans l'article serait mieux mis en valeur si on le réorganisait suivant une lecture historique.Salle
  • le point de vue moderne (je ne suis pas sûr que dire La recherche en maths n'est pas réducteur). Là, on va s'amuser sur la classification, les grands domaines, etc. Il faut en tout cas voir que les maths constituent un champ d'étude à la fois vaste et fortement uni, avec de plus de nombreuses et fructueuses applications.
  • Applications qu'on détaille un peu dans une section consacrée. Pourquoi ne parle-t-on pas actuellement d'informatique?
Globu : d'accord, c'est vrai que ça manque.

On insiste trop pour le moment sur la physique. C'est vrai que c'est l'exemple historique, mais dans cette optique, on devrait mettre une bonne part de ces info dans la partie histoire ; aujourd'hui, la physique n'est plus qu'un domaine parmi tant d'autres de lien entre maths et autres sciences.

Globu : pas d'accord. Une grosse partie des maths actuelles et vivantes sont ne relation TRES étroite avec la physique (cf. la liste des dernières médailles fields depuis vingt ans).
S'il est vrai que les autres disciplines commencent ou ont déjà commencé à fournir du grain à moudre aux matheux, la physique a un statut absolument particulier. Aucune autre science, par exemple, n'a dit aux mathématiciens (en 1995, par les théoriciens des cordes) : "bon voilà une formule qu'on est quasiment certains d'êtr vraie pour compter les courbes rationnelles dans une quintique". L'informatique, c'est des mathématiques, c'est pas du tout de nature différente, à part le clavier et l'écran.
D'accord en partie avec la dernière affirmation, mais ne connaissant pas l'info, je me demande si ce n'est pas un point de vue réducteur de matheux.En revanche pour la physique, je continue à trouver qu'on en fait trop : la (immense?) majorité des maths sont actuellement faites sans lien avec la physique, il me semble.Salle
Peps attention même les matheux qui espéraient faire fumeux et glorieusement inutile ont été détrompés, comme Cartan et les spineurs. Les liens avec la physique sont singuliers, à double sens, et parfois déconcertants (liens entre familles de particules élémentaires et représentations de groupes par exemple). C'est donc bien un cas unique parmi les "applications", d'ailleurs même le mot « applications » est discutable dans ce cas.
Globu Il faut distinguer à mon avis deux choses : d'une part le pourcentage de mathématiques qui se font indépendamment de la physique, et d'autre part la nature du lien entre mathématiques et physiques. Certes, une bonne majorité se déclarerait indépendants de la physique, je suis d'accord. Mais le nombre de cas où un concept nouveau physique s'avère profond en mathématiques est totalement déconcertant et troublant, et n'a rien (comme dit Peps) de la nature descendante de l'application. Je rappelle pour mémoire que le théorème de Perelmann utilise de façon totalement fondamentale une équation d'évolution de la courbure de Ricci, équation qui existait chez les relativistes généraux. Actuellement, Witten (physicien médaillé fields...) travaille sur la conjecture de Langlands, conjecture a priori totalement algébrique, mais qui s'est avérée en lien avec les dualités physiques. Je peux aligner exemple sur exemple s'il le faut, mais je défendrai dare-dare la nature particulière du lien physique-maths... 212.96.80.86 6 novembre 2006 à 18:43 (CET)Répondre
OK, je vous crois. S'ils arrivent même à utiliser la correspondance de Langlands, ils méritent quelque honneur.Salle


  • Dans la même idée que pour la physique, on peut couper la partie rigueur, fondement et logique. Une partie des infos est utilisée dans la partie histoire, pour illustrer les évolutions épistémologiques. Le paragraphe rigueur et pratique peut être transféré dans la partie Impact culturel.
  • Impact culturel : ce qu'il y a dans rigueur et pratique, l'enseignement, etc. Musique et art, bof, ça me semble marginal. En revanche, un vrai paragraphe sur la notion de beauté en maths est essentiel. C'est quand même ça la vraie motivation des matheux.
Globu d'accord pour la beauté. Le problème c'est que ça risque de virer gnan-gnan, mais quelqu'un peut s'y frotter...
Peps : à fond pour esthétique et mathématiques ! d'ailleurs c'est aussi une bonne façon d'englober art et musique dans un cadre structuré, évoquant à la fois les mathématiciens et les profanes.

Voilà, voilà, qu'en pensez-vous?Salle 4 novembre 2006 à 15:30 (CET)Répondre

Grrrr modifier

Pour Globu : je te cite : en d'autres termes, personne n'a vraiment proposé démocratiquement mieux, et les ajouts ou retraits ont été très peu noombreux. Je ne sais pas pour les autres, mais pour ma part, je n'avais jamais osé touché cet article parce que c'était trop difficile, tant il demandait de modifications. Tout simplement. Mais l'article me paraissait vraiment moyen. Je suis en train de le restructurer. Pas besoin de faire un vote. Je fais les modifs, et si c'est mauvais, tu les révoqueras pour retourner à ta si divine séparation analyse, algèbre et géométrie, pour parler avec le meme vocabulaire.

A priori, mon plan est le suivant :

  1. Ethymologie
  2. Recherche mathematique (si, si, les maths, c'est une science avant d'etre une matiere scolaire ! Il est normal de commencer par la.)
    1. Domaines des mathematiques (analyse, algebre, geometrie et PROBABILITES, plus une liste de domaines transverses) (si, si les probas et les stats sont des maths, et ne font pas partie de l'analyse)
    2. Mathematiques appliquees ou pures ? (je vais ajouter des sources et neutraliser le peu de ce que dit l'article)
  3. Enseignement des mathematiques (petit topo non sourcé sur les methodes d'enseignement et les inegalites entre les pays)
  4. Rigueur mathematique (je ne vais pas changer grand chose à l'existant)
  5. Histoire des mathematiques (j'ai dejà fait les modifs)
  6. Impact culturel des mathematiques
    1. Prejuges sur les mathematiques (topo source)
    2. Litterature et filmographie (des tas de trucs a dire)
    3. Les mathematiques dans l'art (j'y mettrai p'tet la musique

PEUT-ON ME LAISSER LE TEMPS DE FAIRE LES MODIFICATIONS AVANT DE ME CRITIQUER LACHEMENT ? MERCI. DE PLUS, L'ARGUMENT L'ARTICLE EST EXCELLENT PARCE QUE PERSONNE NE L'A MODIFIE DE MANIERE SIGNIFICATIVE, C'EST COMPLETEMENT NUL. Combien y-a-t-il de contributeurs actifs dans des domaines mathematiques et qui peuvent prétendre avoir non pas un regard général sur les maths mais au moins un regard pas trop restreint ?

Ektoplastor, attention, race de chien agressif ...

être agressif est contre productif...car il faudra beaucoup de self contrôle à Globu pour ne pas répliquer sur le même ton (j'espère qu'il aura ce self contrôle). Il n'existe pas une unique méthode de présenter cet article, ni une seule manière de les classifier. Je vois que tu ranges les probabilités au même rang que les 3 autres catégories : juste revanche envers Bourbaki qui lui avait laissé la portion congrue. Pourquoi pas ne pas tenter ta version mais je regrette un peu avec Globu que cet article ne puisse pas gagner une certaine stabilité indispensable pour l'entrée d'un portail. Attendons et jugeons. Tu aurais pu aussi faire une contre-proposition dans une de tes sous-pages, ce qui aurait évité ce passage en force car nous étions en pleine discussion. HB 7 novembre 2006 à 09:06 (CET)Répondre

Reponse directe a Globu modifier

Je commence des corrections dans cet article, mais je n'aurais pas le temps de les terminer d'ici lundi.

Par exemple, affirmer que les mathématiques ont vite fait preuve d'abstraction, c'est niq. Ektoplastor, le 3 nov 2006.

Euh... je suppose que "niq" c'est n'importe quoi ? D'abord c'était écrit où "les maths ont fait vite preuve d'abstraction ?"?

Par ailleurs je ne suis du tout pour commencer l'article par "la recherche mathématique", et les subtilités classificatoires qui indignent tant Ektoplastor. On n'attend pas d'un article généraliste qu'il commence par le problème de la "spécialisation". J'espère que notre nouvel arrivant ne va pas abolir la classification de fait de l'article en algèbre géométrie analyse au nom de la Très Sainte Impossiblité Prouvée de Classifier les Mathématiques ? Le genre de phrase à mon avis très bourbakiste du genre "Un algébriste est un mathématicien intéressé à développer ces méthodes." me semble présager un gonflement inutile de l'article pour des broutilles méthodologiques... Mais je fais sans doute un proçès d'intention.Globu 4 novembre 2006 à 15:10 (CET)Répondre


Enfin j'apprécierais que Ektoplastor, avant d'effacer tranquillement l'énoncé du théorème de Wiles, pour le remplacer par une phrase pas très intéressante sur sa vulgarisation, d'une part réponde à mes arguments pour le garder(cf. plus haut), d'autre par et surtout ne plonge pas dans une abolition de tous les exemples, qui dans toute présentation d'un thème aident considérablement à comprendre. Je sais pour en être que les les mathématiciens raffolent de faire croire qu'ils ont compris une théorie sans les exemples et les calculs, mais je remarque que HB, qui est une modératrice de premier ordre, n'était pas pour non plus.

Bref annonce avant de faire, merci. Par exemple, annonce tes plans dans la discussion si tu comptes tout chambouler. En particulier je mettrais "préjugers" dans "impact culturel", pas besoin d'un nouveau chapitre. "Mathématiciens fictifs" ira sans doute à l'article "mathématiciens", non ? Globu 4 novembre 2006 à 15:13 (CET)Répondre

  1. Les maths ont fait vite preuve d'abstraction : C'était écrit dans le paragraphe Histoire des mathematiques qui était déplorable. Si tu fais des reverts sur mes modifications, je te demanderais pour autant de faire attention a un revert trop rapide.
  2. je ne suis du tout pour commencer l'article par "la recherche mathématique" : premier désaccord à discuter. Si on définit les mathematiques comme une science (si, si, les maths, c'est une science !), alors c'est par là qu'il faut commencer. Trop souvent, on présente les maths comme des vérités établies, et ensuite on s'étonne du peu de considérations qu'en ont les gens. L'enseignement mathématique en France est complètement naze car les profs sont incapables de donner envie à leurs élèves ... Il faudrait inviter les élèves à réfléchir sur des problèmes appliqués (comment calculer la hauteur d'un immeuble ? la distance de la lune ? la taille du Soleil ? ...)
  3. On n'attend pas d'un article généraliste qu'il commence par le problème de la "spécialisation" : ah bon, et par quoi commencer l'article sinon ? Les mathématiques ne sont pas un sujet facile à vulgariser, mais ce n'est pas une raison pour occulter la moitié des questions intéressantes !
  4. la classification de fait de l'article en algèbre géométrie analyse au nom de la Très Sainte Impossiblité Prouvée de Classifier les Mathématiques : Tres drole. Mettre les probabilités dans l'analyse et les reduire a trois lignes me parait limite acceptable ... ce n'est pas parce que les probas ne sont pas enseignées dans les classes préparatoires françaises qu'ils font faire jouer le petit role. Ce n'est pas tres cher payer de citer des sources qui proposent d'autres classifications, non ? Et au moins, c'est honnete, et preferable a dire que la séparation entre analyse, probabilités et géométrie est irréfutable comme c'était plus ou moins dit ... n'importe quoi. Enfin, lister a part des domaines de recherche qu'il ne serait pas neutre de classifier dans tels ou tels domaines, ça ne me parait pas irrecevable.
  5. Un algébriste est un mathématicien intéressé à développer ces méthodes. : et c'est pourquoi je l'ai effacée : cette phrase que j'ai ajouté n'apportait rien.
  6. Mais je fais sans doute un proçès d'intention : autodénonciation?
  7. ne plonge pas dans une abolition de tous les exemples, qui dans toute présentation d'un thème aident considérablement à comprendre : on n'est pas en train d'écrire un répertoire d'exemples, ni un cours de maths pour eleves en premiere annee. On est en train d'écrire un article encyclopédique sur les mathématiques avec l'avantage de disposer de liens internes vers d'autres articles encyclopédiques. (Lire trou noir pour voir un excellent exemple.) Sinon, pourquoi choisir ces exemples, qui en plus à mes yeux ne relevaient de rien de concret et ne correspondaient à rien ? Je préfère appuyer le discours sur des exemples ayant permis historiquement le développement des mathématiques et de faire sentir aux gens pourquoi et comment, meme s'ils n'ont aucune connaissance en maths, plutot que de recopier des exemples dans un livre dont l'auteur lui-meme a recopié sur ..., plutot que de donner des exemples compréhensibles par les élèves de première année, mais sans dire à quoi ils servent, ou à quoi ils ont servi. Si, si, les maths, ça vit !
  8. Je sais pour en être que les les mathématiciens raffolent de faire croire qu'ils ont compris une théorie sans les exemples et les calculs : Je ne connais aucun mathématicien digne de ce nom qui réponde à cette description un peu facile. La recherche mathématique se développe d'ailleurs par confrontation aux exemples et aux cas particuliers. Les résultats généraux sont souvent formalisés après coup. Et dans tous les excellents articles de recherche, on trouve des applications, on trouve des commentaires peu rigoureux mais qui font sentir l'idee de la demonstration, des exemples sur lesquels les arguments peuvent se comprendre facilement ...
Ektoplastor, le 7 novembre 2006, 1:45 CEST.
Eh les gars, calmez-vous! On est tous très compétents en maths, on aime tous beaucoup ça, et on veut tous améliorer l'article. Commencez pas à vous taper dessus, alors que trouver un consensus sur cet article ne devrait vraiment pas être difficile.
Le début de réorganisation de la partie recherche par Ektoplastor me semble pas mal. A mon avis, il manque quand même une évocation de la théorie des nombres, par exemple : on sent très fortement que ça a été écrit par un analyste géomètre, dans le choix des thèmes d'une part, dans le traitement de ces thèmes d'autre part (la présentation des systèmes dynamiques est fortement POV par exemple).
Pour le reste, je répète ce que j'ai dit : c'est grotesque de vouloir expliquer ce que tu appelles recherche (et la présentation que tu fais ne justifie en aucune manière le choix de titrer cette partie ainsi) avant de faire un tour d'horizon historique. Il ne s'agit évidemment pas de présenter les maths comme une discipline morte, mais, si on s'y prend bien, la partie sur la point de vue moderne sur les divers domaines pourra être nourrie des enjeux épistémologiques qu'on aura mis en avant dans la partie histoire. Si je voulais être un peu provocateur, je dirais Trop souvent, on présente les maths comme des faits sans histoire.Salle 7 novembre 2006 à 09:07 (CET)Répondre
Aie Ektoplastor, ton plan ne recueille pas vraiment l'unanimité : placer en effet la recherche comme point d'entrée de l'article risque de le fermer au lecteur profane. L'idée de Salle de l'ancrer dans une réalité historique me semble plus intéressante car elle en fait une matière vivante en constante évolution. HB 7 novembre 2006 à 09:15 (CET)Répondre
D'accord avec mes deux aimables préopinants : le lecteur qui lit l'article "mathématiques" cherche à connaître d'abord l'objet général de la discipline. En outre, il ne faut pas oublier qu'il y a eu beaucoup de belles maths avant la systématisation de la rigueur, et même avant l'invention de la démonstration. Et que les maths ont toujours eu une composante "populaire", non confisquée par les spécialistes (cf les jeux mathématiques dans les revues par exemple : quoiqu'on en pense, ce sont bien des mathématiques !). Peps 7 novembre 2006 à 10:10 (CET)Répondre
Rapidement, pour HB : j'ai répondu séchement a Globu mais parce qu'il a dit des choses sèches avant ... Pour Salle : je suis d'accord de commencer l'article par l'histoire des mathematiques ... Pour Peps : pourquoi ai-je écrit Impact culturel des mathématiques comme titre de section ? Parfaitement d'accord ... Pour HB : C'est en effet dommage de voir que cet article est instable et impossible en apparence à rédiger ... Pour Salle, s'kuze, j'ai oublié de mentionner la théorie des nombres, faute de temps ... Vraiment pas le temps, desole, Ektoplastor, le 7 novembre 2006, 20:00 CEST

Applications des mathematiques modifier

Une place prédominante à la physique et un second rôle au reste, qui ferait je cite un usage partiel des mathématiques. J'ai ajouté un petit truc sur la biologie et la chimie. Quelqu'un peut-il ajouter des trucs sur les sciences cognitives (développées ou initiées par des mathématiciens, je crois) ? Merci. (euh, et pis, si on veut discuter, faudrait aussi discuter de ce paragraphe : dire dès le début que la mathématisation en général se limite à des équations différentielles est très réducteur je trouve ... et les méthodes probabilistes ? et les méthodes algébriques ? et les méthodes géométriques ?)

Ektoplastor (apres cet article, je fais une pause, moi), le 7 novembre 2006, 21:26 CEST.

Perso, je trouve controverse de dire que le rapport des maths avec les sciences humaines est controversé. J'ai supprimé la phrase correspondante, et mis un truc complètement nul sur les mathématiques financières histoire de combler du vide !!! Ektoplastor, le 7 novembre 2006, 21:38 CEST.
Rien que pour t'embêter et te faire perdre ton temps .. mathématique et informatique? Théorie des graphes ? c'est dans quoi? HB 7 novembre 2006 à 22:01 (CET)Répondre
La théorie des graphes fait évidemment partie des mathématiques, quant à l'informatique, c'est plutot une science connexe, à mettre avec les applications, non ? (je sens que je vais me faire taper dessus, je ne sais pas pourquoi, mais je le sens)Ektoplastor, le 7 novembre 2006, 22:16 CEST.

Lien avec la physique modifier

Il est normal d'y consacrer une sous-section, mais voilà comme je (Ektoplastor) présenterais les choses (pour ou contre ?) (je me suis un peu inspire de l'existant) :

Les mathématiques sont nées d'une volonté de compréhension de l'espace ambiant : la géométrie nait de la modélisation de formes idéalisées, et l'arithmétique des besoins des gestions des quantités. Astronomie et géométrie se sont longtemps confondus, jusque dans les civilisations islamiques. Les mathématiques et la physique après s'être différenciées ont gardé d'étroits liens. Dans l'histoire contemporaine de ces deux sciences, les mathématiques et la physique se sont influencées mutuellement. La physique moderne use à outrance des mathématiques, en faisant une modélisation systématique pour comprendre les résultats de ses expériences :
  • Cette modélisation peut faire appel à des outils mathématiques déjà développés. Ainsi l'usage des métriques en géométrie différentielle est un outil essentiel sur lequel repose notamment la relativité générale, développée par le mathématicien Minkowski puis par le physicien Einstein. Cet usage est aussi utilisé dans les autres théories post-newtoniennes.
  • Cette modélisation encourage les mathématiciens à s'intéresser d'avantage à telle ou telle structure mathématique pour les besoins de la physique.
  • Cette modélisation au contraire nécessite des outils mathématiques non encore développés et ouvre des nouvelles perspectives mathématiques. Ainsi, Isaac newton a-t-il développé le calcul différentiel pour pouvoir écrire les lois (classiques) du mouvement ; s'interessant à la diffusion de la chaleur dans les corps, Joseph Fourier découvre les séries qui portent son nom, porte ouverte sur la théorie de Fourier ; ... Plus récemment, citons les problèmes de quantification géométrique, d'intégrales de [Feynman], de polynômes de Donaldson, ...
Récemment, un domaine de recherche spécifique, la physique mathématique, tend précisément à développer les méthodes mathématiques mises à l'usage de la physique.
Le lien étroit entre mathématiques et physique se reflète dans l'enseignement supérieur des mathématiques. L'enseignement de la physique fait appel à des cours de mathématiques pour physiciens ; et il n'est pas rare que les cursus de mathématiques dans les universités incluent une initiation facultative à la physique.

Ektoplastor

J'ai remplacé. (E)

L'habit mathématique ne fait pas la science modifier

Ouille. Fortement non neutre.

J'ai changé le titre en un titre plus neutre (en apparence), et j'ai fait ce que j'ai pu. Comment récupérer maintenant le dernier paragraphe ? (E)

Ektoplasland modifier

Bon, ben je vous laisse avec le nouveau Duce fantôme wikipédien, Ektoplastor. Un de plus pour qui Wikipédia est une place parfaite pour réaliser quelques rêves de Grandeur (en fait je pense juste qu'il est jeune, et n'a pas encore bien saisi l'esprit du lieu). Ce qui me rassure un peu, c'est qu'il me semble un peu plus compétent que l'inverse, et a amélioré l'article dans plusieurs de ses parties, même si je ne suis pas d'accord avec beaucoup de ses choix. Pour le reste, ça serait un enfer de travailler avec quelqu'un qui s'imagine avoir systématiquement raison et traite de "complètement nul" tout ce qui n'est pas de son auguste main, qui ne lâche rien, qui fonctionne sur le principe de la terre brûlée et du tout ou rien, qui demande l'avis - en s'en contrefoutant joyeusement - des autres contributeurs après coup, qui est paradoxal et qui a un style peu précis et répétitif, mais qui préfère toujours sa prose à celles des autres. L'ambiance de l'article reste néanmoins celle que j'avais souhaitée lors de mon propre "coup d'état" (je m'étais opposé à un cas du même genre, mais celui-là plus incompétent que l'inverse), donc je laisse Diktoplastor continuer à jouer avec son tas de sable. J'ai d'autre chats à fouetter que de calmer des "chiens méchants". Bon courage à vous, Globu 9 novembre 2006 à 18:33 (CET)Répondre

Liens externes modifier

Ici je discute des liens externes de l'article :

  • La plus complète des ressources en Mathématiques : Evidemment, le lien est sérieux, mais cela invite le lecteur à ne pas nous lire (sniiiiffffffff). Pas étonnant de ne pas voir se multiplier le nombre de contributeurs en matheux ... la concurrence est difficile. (E)
  • Latex, Logiciel libre de traitement de texte avec formules mathématiques : Je croyais que Latex n'était pas un traitement de textes ... évidemment, c'est jouer sur les mots, ... (E)
  • C'est quoi le lien entre ce site et les maths ? Sinon, j'aime bien l'appel pour un Mouvement pour la Dissolution de l'Etat, surtout le point 4 :) ; en tout cas, ça n'a toujours pas de rapport avec les maths tout ça. ??? (E)

Qui veut une image ? modifier

Re-Bonjour,

Que pense-t-on de la premiere image ? N'est-elle pas redondante avec l'image d'Euclide dans la partie histoire. Pourtant, l'image d'Euclide dans l'histoire me semble justifiee. J'ai une proposition a faire : remplacer l'image d'intro par une image composee. Mais quelle selection d'image faire ? Ektoplastor, le 9 novembre 2006, 20:28 CEST.


Sur les fondements des mathematiques modifier

Je lis le paragraphe suivant :

la logique utilisée par les mathématiques, ou logique mathématique, peut se ramener à un calcul, donc à une partie des mathématiques; en d'autres termes, les mathématiques reposent sur la logique qui, à son tour, repose sur les mathématiques : cela ressemble fort à un cercle vicieux ! En fait, ce cercle vicieux n'est qu'apparent, car ce qui précède oublie une dimension fondamentale : le temps. En effet, les mathématiques, comme la logique, sont des constructions progressives de l'esprit humain; au départ, les mathématiques étaient plus calcul que raisonnement; les anciens grecs ont élaboré dans le cadre du langage naturel une première forme de logique (dont les fameux syllogismes) qui a permis un essor des mathématiques, qui, à son tour, a permis une amélioration de la logique et ainsi de suite... Nous obtenons ainsi une hélice, où les progrès des mathématiques induisent ceux de la logique, et vice versa.

Il me parait incorrect. La logique mathematique est bien un domaine des mathematiques (certes), même si je ne sais trop comment le présenter dans cet article. Mais beaucoup de mathematiciens n'ont pas étudié la logique (en tant que science) et s'ils l'utilisent, c'est uniquement superficiellement (parfois abusivement, en particulier l'axiome du choix que certains martèlent un peu trop, mais ça, c'est un avis personnel). Toutefois, les mathématiques se construisent sur des raisonnements logiques (certainement depuis les grecs), mais je ne vois pas de spirale infernale apparaitre ... Quelqu'un peut-il développer cette section ? Merci. Ektoplastor, le 9 novembre 2006, 21:15 CEST.

Tout ce paragraphe me paraît à refaire : il y a ici plein de trucs bizarres. On parle vaguement des fondements des mathématiques, de logique, sans vraiment aller au fond des choses sur aucun sujet : et pour cause, ce sont des sujets difficiles, même à traiter en un article entier. Voilà ce que je propose : si on faisait plurôt un paragraphe sur la Pratique des mathématiques. C'est plus facile, et correctement rédigé, ça peut ouvrir sur autre chose. Je tente l'ébauche suivante, qui est pas terrible, mais c'est pour voir si vous seriez d'accord pour qu'on tente un truc comme çaSalle 9 novembre 2006 à 22:15 (CET) :Répondre

Ebauche: Pratique des mathématiques modifier

Fondements modifier

Censément, les mathématiques utilisent la logique comme outil pour démontrer des vérités organisées en théories. Une première analyse laisse espérer qu'une utilisation puissante de cet outil tellement sûr, une réduction toujours plus poussée des bases sur lesquelles s'échafaude l'édifice mathématique, finissent par mener à un corpus de faits incontestables. Plusieurs obstacles se dressent pourtant.

D'une part, en tant qu'activité humaine, pratiquée par des humains, les mathématiques s'éloignent du modèle d'une construction suivant scrupuleusement les lois de la logique et indépendante du réel. Citons un fait et un phénomène pour illustrer ceci. Tout d'abord, aucune démonstration mathématique ne suit réellement, formellement, les lois de la logique, pour la simple raison que la traduction d'énoncés mathématiques complexes en langage purement formalisé est impossible en temps raisonnable. Comme pour n'importe quelle sciences l'acceptation de la véracité d'une démonstration, et donc d'un théorème, repose donc in fine sur un consensus de spécialistes au sujet de la validité de l'approximation de démonstration formelle proposée (voir La structure des révolutions scientifiques). Ainsi la confiance que la communauté mathématique place dans un de ses membres qui propose un résultat nouveau intervient de façon primordiale dans la réception qu'aura ce résultat, et ce d'autant plus s'il est inattendu, ou modifie la façon de voir les choses. On peut prendre pour exemple historique les controverses sur les géométries non euclidiennes au XIXème siècle, durant lequel les travaux de Lobatchevsky ont été largement ignorés ; ou bien, dans un autre ordre d'idée, la difficulté de la réception des travaux du jeune républicain Galois au début du même siècle, notamment par Cauchy (en référence : http://publish.edu.uwo.ca/cmesg/pdf/CMESG2004.pdf Actes du Groupe canadien d'études en didactique des mathématiques] texte de Nicolas Bouleau, page 24).On pourrait envisager de tels exemples adaptés aux diverses discriminations : place des femmes, nationalisme, népotisme, par exemple. Contentons-nous de dire que la sociologie des mathématiques étudie de tels phénomènes (voir sociologie des sciences).

D'autre part, la solidité même des bases est sujette à caution. En effet Gödel a démontré au début du XXe siècle son célèbre théorème d'incomplétude, qui implique grossièrement parlant qu'on ne pourra jamais réduire les bases des mathématiques en un système qui soit sûr, d'une part, et d'autre part, que quelle que soit les bases choisies, certaines propriétés resteront inaccessibles à la démonstration.


Quelques processus typiques en recherche modifier

Les mathématiques se distinguent par leur unité. Ainsi, des domaines a priori éloignés voient souvent des phénomènes analogues se produire (par exemple, la géométrie euclidienne et les équations différentielles linéaires). La recherche mathématique en profite généralement. Une première méthode, quand un des deux domaines est mieux connu que l'autre, est de tenter d'adapter à la main les résultats connus dans le domaine moins connu. Si ceci se révèle fructueux, on pourra alors tenter une axiomatisation d'un objet (dans notre exemple, ce serait la notion d'espace vectoriel) qui regrouperait les deux domaines ; ce nouvel objet devenant alors un objet d'étude par lui-même. Dans certains cas, on en viendra même à vouloir identifier les deux domaines : le langage des catégories permet de faire ce genre de choses.

Vos commentaires modifier

euh pour Galois et Cauchy, d'abord Cauchy était non pas un simple monarchiste bêlant, mais bien un ultra-royaliste forcené. Cependant je lis sur en: "Augustin Louis Cauchy refereed these papers, who, despite many claims to the contrary, appears to have recognized the importance of Galois' work, but refused to accept them for publication for reasons that still remain unclear, though it is speculated that he preferred Galois to combine the two manuscripts into a single, more comprehensive paper (see below)." Un autre exemple ? (je crois qu'il y a eu une phase un peu chaude entre les écoles allemande et française au sujet des valeurs propres par exemple... ou alors ... ?) Peps 9 novembre 2006 à 22:55 (CET)Répondre

C'est clair que j'y suis allé à coup de clichés. A sourcer et vérifier.Salle

De façon moins anecdotique, dans le paragraphe "fondements" tu mentionnes les difficultés de réception des "nouveautés", qui sont réelles. Cependant, le passage du temps vient un peu contredire ce discours, puisque des travaux confidentiels deviennent académiques, se diffusent largement, et sont donc soumis à une scrutation si intense qu'ils peuvent être considérés comme garantis. D'autres en revanche s'évanouissent dans l'oubli ou se retrouvent dépassés. Il y a le "front de la recherche" et le "fonds académique commun". Peps 9 novembre 2006 à 23:03 (CET)Répondre

Effectivement, à préciser.Salle
  • Par définition, toute activité humaine est pratiquée par des humains.
  • Les commentaires sur l'acceptation des résultats est commun à toutes les sciences. On peut préciser des exemples mathématiques comme dans la version que tu proposes, on peut aussi évoquer les comités de relecture, mais l'article sciences discute doit discuter devrait discuter pourrait dans un futur hypothétique discuter de l'idée du progrès. Note qu'on aborde des domaines de la philosophie (tu reprends d'ailleurs la référence de Kuhn), donc à mes yeux, on est sur un terrain glissant. Tu me diras que c'est vrai aussi pour le reste de l'article ...
  • Je renommerais mouvement par méthodes mathématiques ou quelque chose du genre. Mouvement peut avoir d'autres significations, pouvant désigner des tendances scientifiques...
  • Mais dans ce cas, il faudrait élargir la section correspondante ?
  • Sinon, oui. Fais le remplacement par ton texte, qui est plus lisible.

Ektoplastor, le 10 novembre 2006, 18:12 CEST.

J'ai fait quelques modifs dans le sens de tes remarques, qui sont pertinentes. Ca reste une ébauche, mais comme tu le dis, ça me paraît mieux que ce qu'il y a.Salle 10 novembre 2006 à 22:46 (CET)Répondre

liens sur les logiciels modifier

J'ai supprimé les liens externes concernant des logiciels, car c'est le genre de liste qui s'allonge au fil du temps et devient complètement hors-sujet (on est sur l'article principal consacré aux mathématiques, y mentionner tel ou tel logiciel, c'est vraiment un point de détail). C'est plus délicat pour les liens internes : il y a le même problème de liste à rallonge, mais j'hésite à tout effacer. L'idéal serait peut-être un lien vers une page liste des logiciels de mathématiques qui n'existe pas encore (ceux-ci semblent éparpillés en diverses catégories). Bref, j'hésite entre zéro et un lien, mais pas plus, sinon on n'a pas fini… En fait, plus j'y réfléchis, plus je penche pour zéro…

En passant, ajouter l'adjectif libre à côté du nom de chaque logiciel évoqué ne rend pas sa mention plus pertinente : l'article principal consacré aux mathématiques n'a pas vocation à militer en faveur du logiciel libre (ce qui n'interdit pas, sur une page consacrée aux logiciels utilisés en mathématiques, de signaler que les principaux sont libres, bien entendu).

--DSCH (pour m'écrire) 6 février 2007 à 08:54 (CET)Répondre

  • liens extenres:   Pour bien sur. merci de l'avoir fait.
  • Logiciel en liens internes: un article-liste ne serait amha pas forcement la bonne solution. Pourquoi pas, si la liste est trop longue, une boite déroulante? Maloq causer 6 février 2007 à 10:42 (CET)Répondre

Problème de sources modifier

Selon une boutade de Ian Stewart, mathématicien pur, « La différence entre mathématiciens purs et appliqués, c'est que les seconds pensent qu'il n'y a pas de différence, alors que les premiers savent très bien qu'il y en a une »
J'ai cherché sur le net une source à cette citation, et pas moyen d'en trouver la trace. Le fait qu'elle ne soit pas présente sur le net n'est pas non plus une preuve, mais dans ce cas (stewart est quand même pas mal connu), j'émets de forts doutes. Si quelqu'un pouvait trouver une source, ce serait vraiment cool. Dans le cas contraire, amhà, il faudrait retirer cette citation d'ici peu. Maloq causer 19 avril 2007 à 12:32 (CEST)Répondre

Si je me souviens bien, ça doit traîner quelque part dans un de ses bouquins de vulgarisation, titré Les mathématiques, paru chez Belin, et que vous pouvez acheter pas cher [3] (j'espère qu'A. va me payer la pub gratuite). Je n'ai pas le bouquin sous la main, et je ne suis pas bien sûr que même sourcée, une telle boutade, peu informative, doive figurer ; mais bon, d'un autre côté, elle a tenu quelques mois sur un article assez visible, donc peut-être est-elle agréable à lire ? Et l'agrément du lecteur ne compte pas non plus pour rien. Faites-en ce que vous voulez.Salle 21 avril 2007 à 18:11 (CEST)Répondre

Mathématiques, sciences du vrai modifier

Je trouve l'introduction un peu violente et provocatrice. Je suis d'accord avec Circular pour dire que les mathématiques entretiennent des rapports privilégiés avec la notion de vérité et le sens du vrai et du faux, en revanche, je ne pense pas judicieux de définir cette matière comme la science du vrai en première phrase d'introduction. Le plan précédent me semblait plus judicieux : présenter les mathématiques par les objets manipulés me parait plus classique et moins troublant pour un résumé introductif. La remarque sur la science du vrai pourrait être mise dans le résumé introductif mais un un peu plus tard, après la réflexion sur la réalité et les axiomes. Il serait bien aussi que cette défintion des mathématiques comme science du vrai soit sourcée : quel est le philosophe ayant défini les mathématiques sous cette forme ? Qu'en pensez-vous ? HB 28 juin 2007 à 17:02 (CEST)Répondre

D'accord avec toi à ceci près que je ne suis même pas sûr qu'il faille le mettre plus loin dans l'intro, la place naturelle de ces remarques étant dans la partie Maths et philo, où elles figurent d'ailleurs déjà sous une forme qui ressemble moins à de la philo de comptoir.Salle 28 juin 2007 à 17:14 (CEST)Répondre
 . HB 5 juillet 2007 à 17:54 (CEST)Répondre
« Mathématique = science de la formalisation »   <STyx @ (en long break) 8 octobre 2007 à 18:01 (CEST)Répondre

Epistémologie des mathématiques modifier

Je vais parler avec l'expérience d'une mathématicienne professionnelle qui a fait de la recherche depuis 37 ans. Savoir si les mathématiques sont une science ou non est un débat qui a des conclusions différentes suivant les pays, et donc en particulier suivant des points de vue épistémologiques qui y prédominent. Il est généralement admis dans les pays de langue française que les mathématiques sont une science et dans les pays de langue anglaise qu'elles n'en sont pas une. Cela peut se voir en anglais puisqu'on parle de "science and mathematics", d'où il résulte que "mathematics" n'est pas inclus dans "science". On peut aussi noter que la revue "Nature", revue britannique très célèbre, n'accepte pas d'articles essentiellement mathématiques.

La question sous-jacente porte sur la réalité des objets mathématiques. Il y a les platoniciens, comme Alain Connes, à la suite d'une longue lignée de mathématiciens, qui considèrent que les objets mathématiques sont réels à la façon des idées platoniciennes, et il y a les matérialistes, comme Jean-Pierre Changeux, qui considère que les objets mathématiques sont une réalité neuronale, puisque les mathématiques sont objectivement créées dans des cerveaux humains, et donc ont un soubassement matériel qui consiste en un encodage neuronal (par des moyens électrochimiques et biochimiques) de la pensée. On peut se rapporter au livre "Matière à pensée" de ces deux éminents savants, paru chez Odile Jacob.

J'aurais tendance personnellement, puisque je suis mathématicienne appliquée, à voir les choses d'un point de vue différent des deux précédents. Que les objets mathématiques soient représentés par des encodages biochimiques et neurochimiques dans les cerveaux humains, cela tombe sous le sens. Mais ils sont aussi représentés sur du papier par des textes mathématiques, ainsi que sur des supports cinématographiques, magnétiques ou électroniques, puisqu'on ne manque pas de reproduction d'exposés mathématiques sur ces différents supports. Ils sont représentés également par des interactions sociales, puisqu'une bonne part de la transmission mathématique est orale, et qu'une bonne part du travail mathématique se fait par des interactions sociales. Enfin ils sont représentés par des applications au monde matériel, qu'il s'agisse de fabrication d'objets matériels en utilisant des formules mathématiques, de construction d'objets matériels qui appliquent eux-mêmes des règles mathématiques, à commencer par les ordinateurs ou, bien évidemment d'objets du monde réel qu'on comprend mieux avec des règles mathématiques que sans, par exemple en constatant l'efficacité de la physique. Mais d'autres diraient que la physique, c'est la science qui porte sur les phénomènes naturels explicables par les mathématiques (Jean-Marc Lévy-Leblond) ou que les mathématiques, c'est de la physique qui ne coûte pas cher (Vladimir Arnol'd).

J'ai tendance à considérer les objets mathématiques comme des machines, un peu au sens des automates de l'informatique, bien que les objets mathématiques puissent avoir bien d'autres possibilités que les automates, lesquels traitent mal à ma connaissance le continu ou l'infini. Or si ce sont des machines abstraites, ce sont des machines comme toutes les machines, à savoir qu'une fois la machine construite, on n'en connaît pas pour autant l'ensemble des comportements.

Un exemple très simple est celui du train: on met une locomotive avec un train derrière sur une voie ferrée, et on fait circuler. Est-ce que pour autant on peut prévoir complètement l'usure des rails? Non, et cela a été un problème pour les TGV, et a coûté très cher à la SNCF. En d'autres termes, même dans une technologie éprouvée, il y a une vraie difficulté à tout prévoir.

Je crois qu'il en est de même dans la pratique de la recherche en mathématiques. On tombe, presque inévitablement sur des problèmes de complexité. Un exemple historique très fameux est celui de la résolution des équations polynomiales. La fin du 18ème siècle et le début du 19ème siècle ont tourné longuement autour de la résolution de l'équation polynomiale du cinquième degré par radicaux.

Il faut bien distinguer entre la question de trouver les solutions à précision donnée et la résolution par radicaux. On sait trouver les solutions à précision donnée depuis Newton, par des méthodes itératives bien maîtrisées. Mais les trouver par radicaux, c'est à dire par une formule en termes finis ne faisant intervenir que les quatre opérations arithmétiques et la prise de racines n-ème est une question tout à fait différente, et il a fallu les travaux d'Abel et de Galois pour comprendre que, dans le cas général, la réponse ne pouvait être que négative.

Il y a eu un saut qualitatif en ce qui concernait ce problème: si on ne peut pas trouver la solution générale de l'équation du cinquième degré par radicaux, on peut quand même faire quelque chose, et ce quelque chose inventé par Galois, c'est qu'on peut quand même donner des propriétés de l'objet mathématique "les solutions de l'équation du cinquième degré", et si ces propriétés sont particulières, parce que les coefficients de l'équation sont particuliers, alors il y a des cas où la résolution par radicaux est accessible.

Là on peut brancher un débat que je trouve métaphysique: est-ce que les propriétés qu'a mises en évidence Galois existaient avant que celui-ci les ait mises en évidence, et donc il les aurait découvertes, ou est-ce qu'elles n'existaient pas, et il les aurait inventées? je ne suis pas forte en métaphysique, mais pour moi ce débat est creux.

Ce qui compte, à mon avis, c'est l'historicité de la création scientifique. La ressemblance avec la machine me paraît dominante: avant que le TGV n'ait roulé sur ses rails quelques milliers de fois, on ne savait pas que l'usure poserait des problèmes complexes. On a observé une usure très particulière et beaucoup plus importante que prévu, liée à la manière dont se comportaient les bogies dans les courbes. Cette usure était certainement une conséquence de la dynamique du TGV, mais elle n'avait pas été prévue.

De la même façon l'impossibilité de la résolution de l'équation du cinquième degré par radicaux dans le cas général était entièrement incluse dans la formulation du problème, mais tant qu'on ne l'avait pas montrée, on ne savait pas ce qu'il en était. Je pense donc que Matthieu n'a pas raison quand il écrit que les mathématiques sont tautologiques. Après avoir fini une démonstration, on dit volontiers "ah, mais c'est évident!", mais avant de l'avoir terminée, ce n'est pas vrai. Sylvie Martin.

C'est bien la première fois depuis que je maraude sur WP que je vois un commentaire raisonné de très loin supérieur au niveau de l'article (en sa forme actuelle). Il manquerait certes des sources pour que cela n’apparaisse pas comme une simple recherche personnelle, mais un simple regard sur la version anglaise devrait convaincre de la pertinence du propos. Merci à l'auteur pour la contribution, je propose par abstraction de proposer le supra au titre de bonne discussion de WP, et comme cela n'existe même pas, je ne risque pas de lancer un troll velu. 92.137.156.62 (discuter) 2 février 2015 à 20:44 (CET)Répondre

Perception des mathématiques par le grand public modifier

En dehors de la citation (qui n'a pas trop de rapport avec le reste), je trouve hautement spéculatif le contenu de ce paragraphe (le discours sur la vérité), voire complètement faux : rien de plus facile que de produire des énoncés mathématiquement vrais (et sans intérêt) par exemple, et la logique floue à la base du développement des maths ! Ca n'est pas exhaustif. Le plus simple n'est-il pas de supprimer le paragraphe ? Proz (d) 21 mai 2008 à 22:38 (CEST)Répondre

Oulà oui c'est du délire. Aller hop! Poubelle! Valvino (discuter) 22 mai 2008 à 22:07 (CEST)Répondre
Mon premier reflexe à été de reverter (non mais c'est quoi ces méthodes de travail?? on n'aime pas, donc on balance tout à la poubelle sans distinction, et on laisse un laconique à compléter.. pour les suivants?). Mais une lecture plus attentive, et moins en diagonale du texte en question me range complétement de votre avs. Et je rajoutemême : TI, pas de source, essai personnel, bref, en effet poubelle. A l'exception du premier paragraphe qui me semblait plus sérieux, et avait meme une source. Bref, j'ai juste restauré le premier paragrpahe, et mis le modèle adéquat. Maloq causer 23 mai 2008 à 00:08 (CEST)Répondre

Le titre de ce paragraphe semble attirer les contributions hasardeuses (c'est presque une invitation). La citation ne parle pas de la perception par le grand public, elle introduit par exemple un point de vue elles sont tout ce que fait la communauté professionnelle occidentale des mathématiciens (remarquer "occidentale") qui peut être une allusion à des analyses de certains sociologues, mais ça mériterait une mise en perspective, des sources etc. Une citation isolée de cette façon ne veut pas dire grand chose.

Je serais pour déplacer en page de discussion la citation et la référence, pour ne pas la perdre (ça peut encourager quelqu'un à lire le livre et en sortir quelque chose), et faire disparaître le paragraphe dans l'article. Proz (d) 28 juin 2008 à 09:45 (CEST)Répondre

je suis d'accord ! --Axel (d) 30 juin 2008 à 11:19 (CEST)Répondre
moi pas du tout; les ésotériques qui ne savent pas aligner trois phrases logiquement correctes, qui déblatèrent des insanités sans aucun fondement que leurs propres petites idées grandiloquentes, et qui noyautent les articles sont légions, et totalement inutiles. Oublions ce fatras.--Globu (d) 15 juillet 2008 à 19:43 (CEST)Répondre

Retour à un ordre cohérent modifier

Je me suis permis de réorganiser les thèmes. Commencer par "philosophie des maths" puis "pratique des maths", avant même les domaines, ne me paraît pas très pertinent.--Globu (d) 15 juillet 2008 à 19:46 (CEST)Répondre

J'ai éclairci (au sens forestier du terme) la partie "Domaines". Elle était obscurcie par des commentaires que j'ai jugés inappropriés pour cet article général.--Globu (d) 26 juillet 2008 à 11:29 (CEST)Répondre

Philosophie et mathématiques modifier

Par ailleurs je trouve incompréhensible la partie "Mathématiques et philosophie", et totalement restrictive. Avant le coup d'état d'Ektoplastor, disparu pour cause de lèse-majesté, j'avais écrit ce genre de truc :

L'universalité manifeste des mathématiques et leur efficacité sont, au moins depuis l'antiquité grecque, la source de questions philosophiques et métaphysiques. L'Histoire des Idées est intimement liée à la réflexion sur la nature des mathématiques. On peut distinguer trois grandes questions :
  • Quelle est le mode d'existence des objets mathématiques ? Sont-ils réels, le cas échéant de quelle réalité s'agit-il ? N'est-ce qu'une production de la pensée ?
  • Pourquoi les mathématiques semblent-elles universelles ?
  • Pourquoi les mathématiques, création de l'esprit, permettent-elles de comprendre un aspect de l'univers ?

Je ne dis pas que c'est parfait, mais au moins ça pose les questions traditionnelles que se pose la philosophie à l'égard des maths. Ca me semblerait en tous cas beaucoup moins faussement professionnel que ce qu'il y a en ce moment, et plus proche de l'article philosophie des mathématiques, non ? --Globu (d) 26 juillet 2008 à 12:04 (CEST)Répondre

En fait j'ai jeté un oeil à l'article allemand. Grosso modo, ça dit les mêmes questions que j'avais rédigées, donc je me permets de faire un mixte entre ma proposition et ce qui est à l'article "philosophie des maths" allemand.--Globu (d) 29 juillet 2008 à 17:31 (CEST)Répondre
Salut Globu. Si personne ne t'apporte la contradiction et que tu es assez sûr de toi, n'hésite pas à changer cet artile : de nombreux points doivent être améliorés. Bon courage. Cordialement Kelson (d) 10 août 2008 à 13:40 (CEST)Répondre
Sur le propos tenu ici, j'informe que vous trouverez une recherche wikiversitaire ici. La nature des objets mathématiques, leur réalité, leur structure, ... est traité en divers endroits. Cette recherche est ouverte à tous les commentaires, avis, propositions. Merci par avance-- Supreme assis (grain de sel) 13 septembre 2015 à 11:06 (CEST)Répondre

énoncé mathématique modifier

Bonjour, l'hyperlien "Un énoncé mathématique " mène à "enonciation" sans qu'on y voit un rapport: faut-il une autre pages pour définir ce qu'est un énoncé mathématique ?

Bonjour,
Si vous pensez pouvoir faire un développement encyclopédique de énoncé mathématique, n'hésitez pas! Je suis à votre disposition si vous avez des questions. Maloq causer 10 août 2008 à 12:23 (CEST)Répondre

section recopiée modifier

Je copie ici cette section qui suscite régulièrement des interventions "aventureuses". Proz (d) 30 décembre 2008 à 15:35 (CET)Répondre

Perception des mathématiques par le grand public modifier

« Les mathématiques n'ont pas de définition sur quoi l'on s'accorde en général. Pour certains, elles sont ce qu'on leur a enseigné à l'école ou à l'université ; pour d'autres, elles sont tout ce que fait la communauté professionnelle occidentale des mathématiciens. »[1] Marcia Ascher.

  1. Marcia Ascher, Mathématiques d'ailleurs, Nombres, Formes et Jeux dans les sociétés traditionnelles, Éditions du Seuil, 1998, p. 13.

Proposition de définition. modifier

Bonjour.

Ne purrait-on pas concevoir les mathématiques comme étant les outils intellectuels permettant de traîter les quantités, des plus concrètes (pommes, poires, unités de surface ou de volumes, unités monétaires, etc...) aux plus abstraites (moments de forces, calories, watts, etc...)?

Merci pour votre considération.

--83.152.56.240 (d) 28 avril 2009 à 00:04 (CEST)Répondre

Merci de cette suggestion. En fait, nous ne manquons pas d'idée sur ce que pourrait être la définition des mathématiques. Le problème est plutôt que nous avons trop d'idées et que l'article ne peut décemment pas toutes les contenir. il nous faut trouver des définitions qui soient reconnues par des personnes "de références". HB (d) 28 avril 2009 à 10:39 (CEST)Répondre

Portraits de mathématiciens modifier

Choisir les mathématiciens qui méritent de figurer sur cet article est une vaine dispute (ils sont trop nombreux) et ne peut conduire qu'à le désorganiser. Si une illustration vous parait nécessaire et ne détruit pas l'esthétique de l'ensemble, discutez ici d'un ajout. Merci. HB (d) 30 juillet 2009 à 16:22 (CEST)Répondre

+1 Bien qu'ignare en ce domaine, quand j'ai vu passer ce diff j'ai failli révoquer (j'ai essayé, mais HB était déja passée par là ;-) simplement parce que c'était archi moche, cette colonne de portraits (sans même évoquer une éventuelle impression papier de l'article). Alvar 30 juillet 2009 à 16:45 (CEST)Répondre
Je suis d'accord que c'était moche (je ne sais pas comment on fait la mise en page et je comptais sur des contributeurs avertis pour arranger ça...). Cela dit, il me parait invraisemblable de ne pas mettre de portrait de mathématicien datant de moins de 150 ans !!... Cela accrédite l'idée assez répandue dans le grand public que les mathématiques sont une espèce de science "morte"... Quant aux choix... Vous parait-il normal de ne pas faire figurer Wiles ??! Ni un médaillé Fields ? Bon, OK, ce n'est peut être pas le lieu. Mais alors, pourquoi ne pas enlever tous les autres portraits ? La bonne idée ne serait-elle pas un article "mathématiciens" (il n'existe pas à l'heure actuelle) consacré aux portraits et aux bios (auquel cas ce serait sympa d'y remettre ce que je m'étais donné le mal de faire) ? Et aussi de faire figurer les portraits à côté des grands théorèmes (Gauss, Fermat,...) ? Au moins par un lien pour le curieux qui veut voir la tête du gars qui a pondu ça ? Voila quelques idées en vrac... Qu'en pensez-vous ? --Axel (d) 31 juillet 2009 à 11:21 (CEST)Répondre

Tout ceci est un problème de mise en page ... et de droit. Les illustrations dans un article aussi généraliste que celui-ci sont faites pour alléger le texte et n'ont pas vocation à être exhaustives. Il en faut donc un nombre restreint. Oui mais alors lesquelles ? Celles les plus en accord avec le texte qui serait proche d'elles. Ainsi une illustration de la section sur la recherche par un portrait de Wiles pourraitt se concevoir; Encore faudrait-il que le nom soit cité ou qu'au moins une allusion soit faite au fait que ce domaine est toujours vivant pour preuve la résolution du grand théorème de Fermat (et pour ceux qui veulent voir une image de Fermat, il suffit qu'un lien bleu les mènent vers la bio du mathématicien).

De même, la section Philosophie, illustrée par Gauss, cela me parait dommage. La philosophie c'est Karl Popper, Ludwig Wittgenstein, Bertrand Russell , Gottlob Frege... mais il est difficile d'en trouver des portraits potables libres de droit. Et c'est aussi le cas pour tous les mathématiciens récents.

A mon avis, c'est dans cet esprit que cet article doit être illustré. Dans un souci d'esthétique et de cohérence. HB (d) 31 juillet 2009 à 12:07 (CEST)Répondre

Magazine de vulgarisation math. "Tangente" modifier

Peut-être pas une mauvaise idée de donner de la place à la vulgarisation. Mais une IP vient d'introduire Tangente, l'aventure mathématique, qui serait "le principal magazine de vulgarisation mathématique édité en France". J'ai suivi le lien externe donné en référence et ai constaté qu'apparemment ce magazine a cessé de publier en été 2007 alors qu'il était mensuel - à moins qu'on ait seulement renoncé à actualiser son site web. Dans ces conditions, est-ce une bonne référence ? Quelqu'un sait-il plus?--Ulysse (alias UKe-CH) (d) 28 janvier 2010 à 23:03 (CET)Répondre

modeste contribution modifier

Bonjour, étant novice dans la famille des wikipédiens et jeune mathématicien amateur, je doute de pouvoir réellement contribuer à l'avancée de l'article. Néanmoins, je me permettrai tout de même quelques remarques sur cet article : - bien que le terme mathématiques soit de loin le plus courant, je trouve celui de mathématique au singulier plus à propos. A mon sens il n'existe pas "plusieurs" mathématiques (bien que celle-ci soit subdivisée en différentes branches) - la mathématique est une science (je ne voudrais pas relancer un débat illusoire du début de cette page mais les faits sont là). Je trouve surprenant que cela ne soit pas mentionné dès le 1er paragraphe, avec la curieuse impression qu'on tente "d'éviter" le terme de science. - Au sujet des branches mathématiques : conformément à la page du portail mathématique, je suggère un découpage en 5 sections principales : Théorie des nombres/Géométrie/Algèbre/Analyse/Stochastique. On pourrait ajouter la logique à ces divisions. - Enfin, concernant l'organisation générale de l'article, plusieurs questions : pourquoi placer la section "fondements" si bas dans l'article ? a section "exemples de domaines transversaux" est-elle utile et si oui pourquoi n'est-elle pas plus complète ? Et quel est l'intérêt de la section "maths pures et appliquées" (là dessus, on pourrait créer une section "maths appliquées", incluant les applications des mathématiques dans les autres domaines scientifiques puis les dans les domaines non scientifiques, je pense que cela aiderait à la clarification de l'article.) J'espère que ces quelques remarques pourront être utiles.--Western-island (d) 11 juin 2011 à 17:09 (CEST)Répondre

Bonjour et merci pour vos propositions. D'abord, le fait que le pluriel soit plus courant aujourd'hui est un argument fondamental pour le maintien du titre « Mathématiques » sur Wikipédia. Le fait que les mathématiques soient clairement plurielles dans la pratique, tant dans leur subdivision en différentes branches que dans la variété d'approches (calculatoire, constructiviste, catégorique, formelle, axiomatique, heuristique…) au demeurant non mutuellement exclusives, est un argument presque secondaire.
Comme vous l'évoquez très justement, le rangement des mathématiques dans les sciences fait débat. Ce n'est pas un fait, c'est une conséquence d'un choix philosophique sur la définition du mot « science ». Wikipédia doit évidemment éclairer les raisons d'un tel choix mais ne peut nier les autres visions qui écartent cette discipline des sciences expérimentales, par exemple. L'introduction de l'article doit donc éviter l'approche partisane.
En ce qui concerne l'organisation générale de l'article et en particulier la section sur les différentes branches des mathématiques, force est de reconnaitre que l'article est encore bien peu satisfaisant, mais nécessite une telle érudition pour mener à bien sa réécriture que je n'oserais pas m'atteler à la tâche sans une collaboration efficace avec au moins quatre ou cinq autres contributeurs et une bonne centaine d'heures de travail cumulé. Cela ne doit pas vous empêcher d'apporter votre pierre à l'édifice. Cordialement, Ambigraphe, le 12 juin 2011 à 12:05 (CEST)Répondre

Corollaire/Corolaire modifier

Je propose de mettre dans le texte corollaire (avec ce lien) et lui adjoindre en note :

En dépit de la « réforme de 1990 », selon le CNRTL, l'orthographe « corolaire » n'a pas supplanté – loin s'en faut – l'orthographe usuelle « corollaire ».

Surtout que d'après une recherche (avancée et en français) sur Google Livres (mais ça, on peut pas l'écrire, je sais), y a franchement pas photo. Anne Bauval (d) 12 septembre 2011 à 21:34 (CEST)Répondre

Et le google fight donne un rapport de 1/20. Maintenant cette proposition de modif concerne le wiktionnaire et forcément cette question de la réforme de l'orthographe des immortels doit y être développée en moult discussions (vu que déjà sur wp c'est un classique) ; voir selon moi plutôt avec les wiktionariens (si on dit ainsi). Concernant les modifs récentes de ce présent article la règle usuelle est sur wp, à ma connaissance, en gros 1/ on laisse l'orthographe déjà présente 2/ on maintient cette orthographe dans tout l'article. Maintenant il peut y avoir des exceptions en cas, comme ici, où le rapport est clairement dans un sens (on n'est pas là dans la baston "événement/"évènement" où là l'Académie a avalisée une écriture très majoritaire). --Epsilon0 ε0 12 septembre 2011 à 22:09 (CEST)Répondre
D'abord, désolé pour les ennuis que mon changement a provoqués.
Je comprends la décision d'utiliser corollaire du fait que cette orthographe est plus courante. Mais si on s'appuyait seulement sur la popularité, il faudrait également écrire il connaît (au lieu de la graphie rectifiée il connait) ou bien, comme Epsilon0 le disait, événement (au lieu d'évènement). Pourtant, je vois très souvent toutes les orthographes mélangées sans qu'il y ait un consensus prescrivant que soit on n'utilise que les orthographes vieilles soit que les rectifiées. Je pense que c'est là où Wikipédia peut servir de modèle. Wikipédia est déjà omniprésente dans toutes nos vies. Quoi que je cherche sur Google, Wikipédia apparait souvent dans mes résultats. Alors, pourquoi rater cette chance unique d'assumer un rôle pédagogique en établant de la cohérence partout sur Wikipédia ?
J'ai des grands problèmes avec toutes les incohérences. Ce qui me choque le plus, c'est que, même sur les sites « crédibles » tels que la Wikipédia, tout le monde écrit différemment. Chaque fois que je copie-colle des articles complets dans le correcteur de grammaire, il m'indique qu'il y a plein des fautes alors que la plupart de ces « fautes » ne sont que des orthographes rectifiées. Personnellement, je n'ai même pas entendu quelqu'un parler de cette réforme de 1990 quand j'étais encore étudiant. Apparemment, mes professeurs ont toujours opter contre la réforme, mais pourquoi ?
À mon avis, la plupart des propositions sont sensées. Nous avons aussi eu une réforme pareille en 1996 qui est même devenue obligatoire, et aujourd'hui presque tout le monde s'en tient. Pourquoi n'existe-t-il pas un tel accord en France ?
Dans le futur, comment devrais-je réagir quand je trouve les orthographes vieillies dans un article ? Dois-je m'opposer à ce que mon correcteur de grammaire me dit ‽ Les semaines dernières, je les ai corrigées en pensant qu'elles étaient réellement fausses. Epsilon0, tu disais qu'il ne faut pas toucher les orthographes dans les articles. Où peux-je trouver plus de renseignements sur ce sujet ? Autre question : Si j'écrivais un nouvel article, quelles orthographes devrais-je choisir, les vieilles ou les rectifiées ? Merci. --Timn (d) 13 septembre 2011 à 16:16 (CEST)Répondre
Il s'agit d'un débat très classique (voir Wikipédia:Marronniers#Orthographe) qui se conclut presque systématiquement par : il faut laisser le choix du premier rédacteur. Sur événement et évènement, je finis par laisser faire et écrire moi-même tantôt l'un tantôt l'autre, de même sur l'accent circonflexe à connaît. En revanche, l'orthographe Corolaire n'est clairement pas passée dans les mœurs (il faut voir tous les livres scolaires édition 2002 où fleurit le terme corollaire). Laissons donc la réforme (qui prône la tolérance) s'appliquer doucement....HB (d) 13 septembre 2011 à 18:13 (CEST)Répondre
Je cherchais les liens vers les discussions mais HB m'a devancée . Concernant, Je pense que c'est là où Wikipédia peut servir de modèle. Wikipédia est déjà omniprésente dans toutes nos vies. Quoi que je cherche sur Google, Wikipédia apparait souvent dans mes résultats. Alors, pourquoi rater cette chance unique d'assumer un rôle pédagogique en établant de la cohérence partout sur Wikipédia ? je comprends bien l'idée mais elle se heurte à un des principes fondateurs de wikipédia : la neutralité de point de vue. Ainsi, selon ce principe, wikipédia n'a pas à être normative mais à user des normes qui existent ailleurs et qui parfois peuvent être contradictoires. --Epsilon0 ε0 13 septembre 2011 à 18:30 (CEST)Répondre
Merci pour les précisions ! --Timn (d) 13 septembre 2011 à 18:55 (CEST)Répondre

Je me suis permis de "reverter" l'orthographe "simplifiée" tant elle est inusitée (et doit, à mon sens, le rester !). De plus, avec la nouvelle version, on perdait le lien. Il me semble qu'une encyclopédie doit, autant que faire se peut, défendre l'orthographe d'origine, qui renvoie souvent à une racine latine ou grecque facilement identifiable. Je vote donc aussi pour "événement" bien que je comprenne parfaitement qu'on ait avalisé l'autre écriture ;) Axel (d) 13 septembre 2011 à 18:43 (CEST)Répondre

D'accord. Au fait, tu avais supprimé un tas de messages. ☺ --Timn (d) 13 septembre 2011 à 18:55 (CEST)Répondre

Section Mathématiques#Utilisation non scientifique modifier

Il me semble que le titre de la section même est non neutre, quant à son contenu; il serait à revoir

  • il n'est pas neutre de mettre les modélisations économiques dans les utilisations non-scientifiques et dans une section dont le premier paragraphe parle de « postulats de pensée farfelus ».
  • même le paragraphe sur l'astrologie est mal écrit et contient une faute de français entrainant un contre-sens à mon avis: « les théories astrologiques se défendent de suivre des méthodes scientifiques » signifie, du moins je crois, qu'elles affirment ne pas utiliser de méthode scientifique. Je pense que le rédacteur voulait écrire « les théories astrologiques se défendent en affirmant suivre des méthodes scientifiques  »
  • J'ai de plus besoin de caser une intervention qui me semble inadaptée dans l'article mathématicien :
    Les mathématiques sont également utilisées pour mettre les mouvements historiques en formule, comme le fait Nicolaï Kondratiev qui, au début du 20e siècle, discerne un cycle de base pour expliquer les phases d'expansion et de crise en économie politique, ou Nicolas-Remi Brück et Charles Henri Lagrange [1] qui, dès la fin du 19e siècle, ont amplifié leur analyse jusqu'à pénétrer dans le domaine de la géopolitique en voulant établir l'existence, dans l'histoire, de mouvements de vaste amplitudes qui mènent les peuples à leur apogée, puis à leur déclin [2]
  • Académie Royale de Belgique,www.académieroyale.be Annuaire 1992 p. 3 à 7,Bruxelles
  • Dictionnaire en économie et science sociale, Ed.Nathan Paris, dictionnaire Larousse en 3. vol, Paris. Les définitions des cycles sont nombreuses, entre autres, en sciences: évolution de systèmes qui les ramènent à leur état initial ou, en sociologie, mouvement(s) récurent(s) d'activité(s) politique(s) et économique(s).
  • Je propose de supprimer le titre de la section et de tout regrouper dans la section sur mathématiques et sciences humaines en regroupant dans l'ordre de mon pov personnel du plus reconnu au plus farfelu : economie - histoire - astrologie mais le sujet est suffisamment sensible pour que je prenne l'avis de la communauté avant de me lancer. HB (d) 23 octobre 2012 à 09:33 (CEST)Répondre

    (Remord) : il est peut-être judicieux de créer plutôt deux sections mathématique et sciences humaines' et Astrologie et numérologie dans laquelle on pourrait évoquer Pythagore ? HB (d) 23 octobre 2012 à 09:47 (CEST)Répondre

     Devant le silence assourdissant sur cette page et sur celle de discussion:mathématicien , et selon le bon conseil wikipédien wp:NHP, je me suis lancée mais comprendrais tout à fait que l'on annule, supprime élague ou nuance davantage. HB (d) 27 octobre 2012 à 16:29 (CEST)Répondre

    Section mathématiques#mathémtiques et sciences humaines modifier

    Toute cette agitation d'IP sans jamais passer par la page de discussion, cela devient lassant...

    Premier point: il y a eu suppression du seul bémol que j'avais laissé concernant le mauvais usage des mathématiques, neutraliser c'est bien mais lisser à ce point n'est pas une bonne chose. je remets donc le paragraphe en insistant ben sur le caractère général du reproche qui ne vise pas spécialement la section mathématisation de l'histoire.

    Concernant le paragraphe mathématisation de l'histoire, j'ai l'impression d'avoir ouvert la boite de Pandore en acceptant une allusion à ce qui me semble être plus proche d'une recherche mystique que d'une activité mathématique ( Brück croyait à l'influence du magnétisme terrestre sur les cycles des épidémies et Lagrange cherchait une « concordance entre la loi historique de Brück, la chronologie de la Bible et la pyramide de Khéops » c'est tout dire...), Mais voilà que c'est la porte ouverte à l'introduction de noms nouveaux concernant des chercheurs en devenir et qui n'ont pas leur place dans un article aussi généraliste que celui sur les mathématiques à côté de grands noms comme Hilbert, Platon ou Gauss. Wikipédia n'a pas à faire de publicité sur M. Michel. et M. Ferrière n'est pas le seul mathématicien à travailler sur la diversité des espèces. je partage donc l'avis de Dfeldmann et prie instamment l'IP de ne pas s'obstiner à remettre des phrases que plusieurs autres contributeurs ne jugent pas suffisamment pertinentes ici. Et j'avoue que la souris me démange de faire disparaitre aussi le militaire Brück et le mystique Lagrange (pas Joseph-Louis mais l'autre . HB (d) 28 octobre 2012 à 09:45 (CET)Répondre

    Logique mathématique modifier

    Bonjour, j'ai vu que sur l'article c'est écrit que la logique est une partie des mathématiques. Or, c'est plutôt la logique mathématique qui est une partie des mathématiques. La logique tout court est une branche très vaste étudiée par des philosophes, informaticiens et quelques mathématiciens versés en logique philosophique. D'ailleurs il y a déjà un article sur la logique mathématique sur wikipédia... Remarque d'une IP le 26 novembre 2014 à 22:50

    Je suis assez d'accord avec cette modification. Il me semble que Do not follow a peut-être été un peu trop prudent en l'annulant. Je la restaure donc. HB (discuter) 1 décembre 2014 à 17:20 (CET)Répondre
    Je me permets d'intervenir dans ce sujet, car je ne peux pas dissocier la logique et la mathématique. Les deux me paraissent liées, étroitement, par le biais, ne serait-ce que de raisonnement. Voir ici-- Supreme assis (grain de sel) 13 septembre 2015 à 11:23 (CEST)Répondre
    Pourtant, en quoi diable est-ce que des choses comme la différence entre induction, déduction et abduction, pour ne prendre que cet exemple au hasard, peuvent-elles être rattachées aux mathématiques ?--Dfeldmann (discuter) 23 mai 2019 à 09:22 (CEST)Répondre
    Je ne sais pas ce que c'est devenu, mais il y a quelques décennies le DEA de logique de ma fac des sciences préférée recrutait une moitié de matheux et une moitié de philosophes (sans traduction simultanée !). — Ariel (discuter) 23 mai 2019 à 09:29 (CEST)Répondre
    Etant passé par ce DEA (vu qu'il n'y en avait qu'un ;-) ) il y a 20 ans, nous philosophes (venus de la maîtrise de logique sise dans le département de philo de Paris 1) n'étions que 1 à 2 par promos parmi 20 matheux purs jus dont 7-10 normaliens sortant de l'agreg. Sinon sur le fond du sujet en 2 mots, et à la louche, la logique a 2500 ans d'histoire des mégariens à nos jours et est passée de la philo aux maths entre 1850 et 1901-1931. Demeure de nos jours des philosophes entretenant une logique pré-Frege/Russell/Cantor qui quand elle se prend au sérieux donne pas grand chose de bon. --Epsilon0 ε0 23 mai 2019 à 21:38 (CEST)Répondre
    Mais alors, qui s'intéresse à la logique des langages naturels ? A la démonstration automatique ? A la différence (je sais, je radote) entre induction, déduction et abduction ? A la logique quantique ? « Autant de récits, autant de questions » ...--Dfeldmann (discuter) 23 mai 2019 à 21:51 (CEST)Répondre
    Pour la démonstration automatique c'est bien le département de logique de Paris 7 (dont le dea logique et fondement de l'informatique) initié, je crois par Krivine.
    Pour les réflexions diverses des logiciens ou philosophes voir par exemple ce recueil (qui est sur libgen) réunit par Joinet (qui est passé par la philo avant de faire sa thèse avec Girard).
    Après la logique quantique vient en partie de Von Neuman (Les fondements mathématiques de la Mécanique quantique et se retrouve par exemple présenté succinctement chez Michel Bitbol (physicien, médecin et philosophe, excellent prof à l'[www.ihpst.cnrs.fr ihpst] /Paris 1) in Mécanique quantique: une introduction philosophique.
    Pour la logique des langages naturels c'est bien côté philo, voir le livre de Pascal Engel (la norme du vrai, philo de la logique <-- excellent sur la philo de la logique non-mathématique) et une intro chez Rivenc (intro à la logique, Payot) et c'est développé par des gens comme Quine.
    Le point est que tous les philosophes ou ex-philosophes que je mentionne ici ont une formation non élémentaire en logique mathématique.
    En passant la pensée marxiste/marxienne est clairement pré-Frege … et ancrée dans Hegel et des trucs horribles comme la science de la logique. Il y a aussi en philo la tradition phénoménologique qui est aussi pré-mathématique et qui au mieux se base sur les recherches logiques de Husserl, mais qui souvent dérive vers Heidegger voire franchement vers la théologie … --Epsilon0 ε0 23 mai 2019 à 22:17 (CEST)Répondre
    Tout d'abord, merci pour ces liens (j'en avais raté quelques-uns). Mais il me semble qu'il y a là un paralogisme ( ) : ce n'est pas parce que tous ces philosophes ont une formation en logique mathématique que ces différents aspects de la logique (et bien d'autres, comme les logiques non-monotones (dans leur application au raisonnement naturel), l'étude des paradoxes, les raisonnements à utiliser en théorie des jeux, voire le dilemme du tramway et autres problèmes de psychologie (d'éthique ?) expérimentale) doivent être rattachés à la logique mathématique, pas plus que le fait que tous ces philosophes parlent anglais (au moins pour publier leurs thèses) montrerait que l'anglais est la langue de la logique...--Dfeldmann (discuter) 24 mai 2019 à 10:41 (CEST)Répondre
    Oui, je suis d'accord. Clairement, tout ce que produisent des gens initiés en logique mathématique ne relève pas forcément des maths, ni d'ailleurs forcément de la logique.
    Maintenant, parmis les personnes revendiquant de parler de logique, même si ils peuvent dériver en tout sens, il me semble pertinent de distinguer 1/ ceux qui n'ont aucune culture mathématique et qui au mieux connaissent les tables de vérité et les syllogismes de Port Royal, où en gros toutes leurs prétentions de recherche en logique est clairement hors des maths de 2/ ceux qui connaissent a minima les thm de complétude (<-- thm très peu connu des matheux non logiciens lors que c'est souvent présenté comme le thm de base duquel découle ceux de loweiheim-Skolem, compacité, etc) et d'incomplétude et qui quand ils s'égarent dans des voies parfois jugées ésotériques (/philosophiques) le font avec un background permettant éventuellement du bon rattachement au savoir mathématique. Exemples sur le point 2 : 1/ L'intuitionnisme de Brouwer, délire philosophique ? Sauf que axiomatisé par Gentzen cela donne la logique intuitionniste. 2/ la logique paraconsistante n'est actuellement pas mathématisée, au sens de rattachée aux maths mainstream. Elle est motivée par des considérations du genre : "on constate que dans le monde réel les actions et règles humaines sont quasi toujours contradictoires ; pourtant on ne les trivialise pas en jugeant tout propos également vrai-faux. Donc le Principe d'explosion est sans doute à revoir dans la vie de tous les jours". Les production faites en logique paraconsistante relève de la philo et ne semblent pas aboutir. Sauf que si des résultats non triviaux aboutissent, ils relèveront clairement d'intuitions philosophiques à portée mathématique.
    Sinon je vois que cette discussion dérive loin de cet article "mathématique" donc je la clos ici ; mais elle peut être poursuivie voire déportée sur nos pages de discussion. Sinon, merci pour le lien vers l'article dilemme du tramway que je ne connaissais pas --Epsilon0 ε0 26 mai 2019 à 01:55 (CEST)Répondre

    Civilisation islamique ou arabe ? modifier

    Bonjour,
    La mention de "civilisation islamique" apparaît dans deux sections ("Histoire" et "Physique"). J'ai envie de remplacer par civilisation arabe, qui me semble plus usuel, et surtout moins connoté. Qu'en pensez-vous ?
    Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 18 mars 2015 à 16:10 (CET) PS : je poste une copie de ce diff sur le Le Thé des mathématiciens. On poursuit la discussion là-bas.Répondre

    Proposition modifier

    Il n'y a pas de lien pour ce mot en début d'article ! Sans doute que la définition que l'on trouve ici ou est floue. Il me parait impossible de ne pas lier la valeur logique d'une proposition au contexte dans lequel elle s'applique ! (une proposition peut être VRAIE, ou FAUSSE, ... ou (Ni-l'une ; Ni-l'autre)) selon que ...  -- Supreme assis (grain de sel) 13 septembre 2015 à 11:17 (CEST)Répondre

    Suggestions non capitales modifier

    1. On pourrait éventuellement citer Galilée soit en le rapprochant de la première citation soit plus loin dans l'article (rapport au réel ou aux autres sciences) lorsqu'il écrit "la nature est un livre écrit en langage mathématique."

    2. Et dans les liens entre mathématiques et informatique, serait-ce une redite que d'évoquer l'architecture des ordinateurs comme mathématiquement fondée ? 80.12.43.38 (discuter) 8 octobre 2016 à 08:42 (CEST)Répondre

    Infobox discipline modifier

    On connait ma réticence à voir les infobox wikidata envahir les articles. J'exprime donc ma désapprobation sur l’apparition d'une telle infobox sur cet article. Et je mets en doute la pertinence des informations qu'elle contient.

    • Les mathématiques ne sont pas pratiquées que par des mathématiciens (quand on sait les tonnes d'octets qu'a occasionné la définition de mathématiciens on se garde bien de faire apparaitre ce type d'info en résumé d'article).
    • Existe-t-il une classification officielle des disciplines ou bien l'affection des mathématiques dans la sous-classe (?) des sciences formelles et des sciences exactes est-elle faite «au doigt mouillé»?
    • Qu'est-ce qui justifie la liste non exhaustive des champs ?
    • Que signifie la tautologie: «les mathématiques ont pour objet les objets mathématiques ?»
    • Le projet mathématique a-t-il été informé de la création d'une telle boite générique?

    Pour ces multiples raisons, je ne considère pas l'introduction d'une telle infobox comme un progrès. Je laisse wikidata faire leur petite cuisine de classification mais je ne souhaite pas la voir s'établir sur wikipedia. J'attends d'autres avis avant de la supprimer. HB (discuter) 31 janvier 2019 à 09:47 (CET)Répondre

    Je suis plutôt pour l'introduction d'une infobox mais par contre je suis d'accord qu'il y a ici des problèmes. Nombre de sous classes, pourquoi celle-là etc ... Je me suis permis de rajouter Analyse (mathématiques) parmi les sous-classes car cela me semblait manquer au cas où ! La tautologie sur les objets mathématiques n'a pas sa place ici non plus ... Je ne pense pas non plus avoir vu de discussion sur une des pages du Projet:Mathématiques mais j'ai pu louper l'info. Pour moi, on devrait laisser l'infobox mais enlever ou remplacer ce qui ne va pas. Par contre, cela n'a effectivement pas l'air possible avec cette infobox-ci ... --Huguespotter (discuter) 31 janvier 2019 à 10:52 (CET)Répondre
    Conclusion : demander à wikidata de revoir leur copie, et en attendant, suppression ?--Dfeldmann (discuter) 23 mai 2019 à 09:19 (CEST)Répondre
    Pour le moment le résultat n'apporte rien à l'article, je suis entièrement les raisons (y compris celle exprimées sous forme de questions rhétoriques) de HB. Le résultat est même assez ridicule, donc à supprimer d'urgence à mon avis (et surtout se concentrer sur l'aspect rédactionnel, et ne pas s'embarquer dans une controverse wikidata : l'outil utilisé est tout à fait mineur, c'est le résultat qui compte). Proz (discuter) 24 mai 2019 à 16:26 (CEST)Répondre
    Personne n'avait conclut. L'infobox est vraiment problématique en l'état et difficilement amendable : je l'ai retirée. Proz (discuter) 20 juin 2019 à 08:02 (CEST)Répondre

    Théologien orthodoxe dans un article généraliste sur les maths modifier

    je ne suis pas favorable à la mise en valeur d'une pensée particulière dans cet article généraliste. En quoi l'avis très personnel d'un théologien orthodoxe concernant écologie et math peut-il être représentatif de l'état de l'art sur le sujet ?

    Que la seule citation de l'article soit celle très orientée d'un théologien orthodoxe alors que ne sont cités aucun des grands philosophes qui se sont penchés sur les maths (Popper, Frege, Husserl, Bachelarrd, changeux, Wittgenstein, Comte, ... et j'en oublie) ne me semble pas respecter WP: Proportion et je suis d'avis de supprimer cette référence. HB (discuter) 23 mai 2019 à 08:53 (CEST)Répondre

    Bonsoir HB   Je suis parfaitement d’accord avec cette opinion; je regrette un peu de ne pas l’avoir exprimée moi-même. Si cette sous-section a sa place dans l’article, amha, ce serait peut-être dans la section suivante. Je suggérerais donc à son auteur (Pautard (d · c · b) si je ne m’abuse) de la déplacer là, ou de la supprimer. Amicalement, -- GLM (On en parle?) 24 mai 2019 à 18:35 (HAE)
    Bonjour HB et Gaétan Lui Même  Je pense que les philosophes ci-dessus ne se sont pas penchés sur la relation entre les mathématiques et l'écologie (en tout cas pas Comte). « L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie ; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. » Gandhi, Le Jeune Inde. Ce que vous désignez par la section suivante, est-ce la section « Impact culturel » ? Cordialement.Pautard (discuter) 24 mai 2019 à 09:10 (CEST)Répondre
    L'avis emploie "mathématiques" dans un sens "grand public" lié au calcul et au quantifiable. Or on peut faire du qualitatif avec les mathématiques. Il n'y a pas de raison de lier spécialement les mathématiques à une "approche rationnelle et quantitative" (pour le quantitatif, déjà il y a 2300 ans, ça aurait probablement fait bondir Euclide). Les mathématiques ne s'opposent certainement pas par nature au symbolique. C'est le positivisme qui est visé. Le lien avec l'écologie est assez incident. Ça me semble assez hors sujet sur le fond et donner une image trompeuse des math. (outre plus généralement, dans cet article, mais dans ce cas plutôt ailleurs ama, le problème de WP:PROP et le risque de se retrouver avec un liste de citations). Proz (discuter) 24 mai 2019 à 16:43 (CEST)Répondre
    Bonjour Pautard   À dire le vrai, je pensais plutôt à la section précédente. Amicalement, -- GLM (On en parle?) 24 mai 2019 à 15:00 (HAE)
      Gaétan Lui Même :Vous voulez dire la section « Pratique » ? Cordialement.Pautard (discuter) 24 mai 2019 à 21:16 (CEST)Répondre
    Pour ma part, j'ai complété la section sur l'utilisation des mathématiques en écologie par ce que je m'y attends à y trouver. Mais la section reste bancale. En particulier, la réflexion concernant le fameux échec de lecture du livre de la nature, qui ne date pas de la crise écologique mais plutôt de la prise de conscience de la faillite du déterminisme mathématique, aurait plutôt sa place dans une sous-section de «Impact culturel» concernant la réception des mathématiques dans la population, les attentes, les déceptions, éventuellement les rapports avec le religion. Mais je ne vois toujours aucune légitimité à y mettre en valeur Jean-Claude Larchet. HB (discuter) 25 mai 2019 à 14:23 (CEST)Répondre
    PS : après lecture de la présentation du livre de Galilée qui parle non d'écologie mais d'astronomie et de comètes, je pense que Galilée non plus n'a pas à être cité dans cette section sur l'écologie HB (discuter) 26 mai 2019 à 08:21 (CEST) Répondre
    Je partage les avis de HB et Proz, il me semble que cette personne n'a aucune légitimité académique en mathématique et via aucune pertinence à être cité dans un article encyclopédique parlant de mathématique (d'ailleurs, le prétend t-il ?). Aussi des poncifs du genre "la nature et l'écologie c'est bien, le quantitatif (auquel est réduit les maths) c'est mal", avec un fond spiritualiste classique autour du genre "l'homme pervertit dame nature qui est pourtant un don du ciel" on peut s'en passer en général mais aussi en particulier dans cet article parlant d'autre chose. Sauf à ce que Pautard explique en quoi son ajout est pertinent dans l'article, je propose de retirer la mention à Larchet, ceci d'autant plus qu'il ne me semble pas du tout évident que ce monsieur prétende avoir un avis éclairant sur les mathématiques au point qu'une encyclopédie cite un de ses écrits où le mot "mathématique" apparaît. --Epsilon0 ε0 26 mai 2019 à 00:38 (CEST)Répondre

    Bon, je suis pour ma part favorable à la disparition pur et simple de toute allusion à Galilée, à la crise écologique et à Larchet. Si cependant (et je dis bien si), certaine voix s'élevait contre cette censure, je suggère de ne pas avancer masqué, de ne pas présenter Larchet comme un référent sur la question et de présenter clairement le courant à l'origine de cette opinion dans une phrase du genre

    «Par ailleurs, d'autres voix s'élèvent, notamment dans le mouvement pour la Sauvegarde de la Création, contre cette mathématisation à outrance du vivant (ref : voir par exemple le théologien orthodoxe Jean-Claude Larchet dans son ouvrage Les fondements spirituels de la crise écologique, Genève (Suisse, Éditions des Syrtes, 2018, 128 p. (ISBN 978-2-940-52389-4), (OCLC 1053808105), p. 73-74) et évoquent « des catégories qui transcendent le langage des mathématiques ou de la biologie »( ref : Pape François, Encyclique Laudato Si’ sur la sauvegarde de la maison commune, chap. 11)»

    Mais je suis pour ma part plutôt favorable à une suppression complète. HB (discuter) 26 mai 2019 à 09:59 (CEST)Répondre

    Je prends sur moi de porter l'étiquette de censeur.--Dfeldmann (discuter) 26 mai 2019 à 10:10 (CEST)Répondre
    Merci Dfeldmann   Enfin, quelqu’un se décide! Amicalement, -- GLM (On en parle?) 26 mai 2019 à 14:51 (HAE)
    La censure a changé de camp. Cordialement.Pautard (discuter) 28 mai 2019 à 16:00 (CEST)Répondre

    Limites des mathématiques modifier

    En 2006, HB proposait une refonte de l'article en décrivant en particulier dans une section « Mathématiques et philosophie », les limites des mathématiques. Or, depuis cette date, on ne s'est pas penché sur la question. La section « Philosophie » évoque les « limites qu'elle induit », sans plus de détail, et l'article détaillé Philosophie des mathématiques n'indique rien sur ce sujet. Comme l'indique Patrick Juignet dans article, certaines sciences ne se prêtent pas à des déductions logiques, mais relèvent plutôt de tâtonnements empiristes. Certes l'article de Patrick Juignet n'est pas à proprement parler une critique des mathématiques (lesquelles ne sont ni bonnes ni mauvaises, c'est l'usage qu'on en fait qui peut être critiqué), mais une critique du paradigme de la science moderne. On sait pourtant que c'est depuis l'avènement de la science moderne au XVIIe siècle (c'est donc récent dans l'histoire de l'humanité) que les applications des mathématiques en physique se sont largement développées, donc les mathématiques sont très liées au paradigme de la science moderne. Je pense que l'on pourrait inclure dans l'article quelques considérations sur les limites des mathématiques, peut-être dans la section « Philosophie » , et le détailler dans l'article Philosophie des mathématiques. Cordialement.Pautard (discuter) 29 mai 2019 à 10:02 (CEST)Répondre

    Si on souhaite développer la notion de "limite des mathématiques" de manière interne, donc mathématique, sans doute faut-il développer 1/ paradoxe de Russell 2/ les limites liés à l'impossibilité d'explorer tout domaine infini en un nb fini d'étapes : problème de l'arrêt, semi-décidabilité de la cohérence en premier ordre (bicose une démonstration est toujours finie, comme les définition d'ailleurs, donc quand on cause de l'infini à un moment ça coince) et 3/ théorèmes d'incomplétudes. Un ouvrage philosophique classique sur le sujet : Les limitations internes des formalismes. Étude sur la signification du théorème de Gödel et des théorèmes apparentés dans la théorie des fondements des mathématiques de Jean Ladrière, thème qu'il reprend aussi dans le volume de l'encyclopédie de la pléiade, logique et connaissance scientifique. Maintenant pour des développements externes sur les limites des mathématiques, pourquoi pas si c'est fait par des gens qui connaissent les mathématiques et via de quoi ils exposent les limites. Bref, comme le fait Ladrière, qui était par ailleurs théologien mais ne nous assomme pas avec ses croyances théologiques perso quand il parle de mathématique. --Epsilon0 ε0 29 mai 2019 à 11:06 (CEST)Répondre
    Merci.Pautard (discuter) 30 mai 2019 à 18:35 (CEST)Répondre
    Bonsoir Pautard  Avant de poursuivre la discussion, permettez-moi de prendre un peu de temps pour approfondir ma maîtrise du sujet. Je me permets tout de même de vous suggérer la lecture de «Malicorne, Réflexions d'un observateur de la nature», de l’astrophysicien Hubert Reeves, qui traite de ce sujet fort intelligemment amha. Amicalement, -- GLM (On en parle?) 2 juin 2019 à 20:56 (HAE)

    Nom des théorèmes modifier

    A propos de deux modifications récentes : ça n'est aps si évident d'attribuer à Thalès et Pythagore la "formalisation" (qu'est-ce que ça veut dire à l'époque ? Des énoncés plutôt qu'une règle ?) des théorèmes qui portent leur nom (d'ailleurs deux pour Thalès: un en France et un autre en Allemagne). Les noms de ces théorèmes apparaissent au XIXè ou début XXè, ils sont à voir comme une façon de mettre en valeur un théorème (dans un contexte d'enseignement, voir à ce sujet l'article de Patronis et Patsopoulos, dans angle inscrit dans un demi-cercle), en lui donnant le nom d'un personnage jugé important, plutôt qu'une réelle assertion historique (la justification est à chaque fois assez mince). Est-ce que ça a vraiment sa place dans un paragraphe sur les sciences humaines ? (sachant qu'il y a bien d'autres problèmes sur cet article). Proz (discuter) 19 juin 2019 à 22:37 (CEST)Répondre

    Objets théories modifier

    Salut tout le monde ! Je viens nous questionner sur ce qu'on considère comme des théories et objets de base mathématiques qui pourraient être inclus ou non dans notre article sur les mathématiques. Je suis bien intéressé à connaître vos raisonnements et sources d'informations sur le sujet !

    Dans un premier temps, voici ce que je crois bon de noter. Je ne viens pas faire un retour sur ce qui a déjà été écris dans l'article comme objets de base des mathématiques. Je veux plus attirer l'attention sur ce qui n'est pas décrit. Je me rends compte que dans l'article on ne faisait pas mention de deux types d'objets-théories (...) qui m'apparaissent être à la base des mathématiques et des définitions qu'on établit, soit l'ensemble en lien entre autre à la théorie des ensembles et les relations mathématiques. Elles ont été ajoutées à l'article. Je note également l'usage du mot structure lié à une ou plus probablement des notions mathématiques qui me sont moins familières mais qui me semble peut-être renfermer des idées de base en mathématique(s) (?). Voilà ma description plus détaillée de toutes ces dernières notions.

    Le premier objet c'est ce qui est nommé l'ensemble mathématique en lien entre autre à la théorie des ensembles, qui permet entre autre de situer les objets les uns par rapport aux autres en lien à leur relations d'appartenance à des ensembles mathématiques définis. Sources:(https://fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_ensembles)

    Le 2e objet que je vois c'est ce qui est nommé la relation, et les définitions et l'analyse des relations en général d'un point de vue abstrait-mathématique (en combinaison des ensembles mis en relations), avec les caractéristiques qu'on leur attribue ou non selon les relations (ex: de caractéristiques : relation symétrique, relation d'équivalence, relation d'ordre, etc.) ; ainsi que les théories et représentations en graphes qu'on peut leur associer, et les caractéristiques qu'on leur attribue ou non selon les graphes ( ex: reprise de mêmes caractéristiques que les relations en général, graphe complet, etc.) . Voici certaines des sources d'informations auxquelles je pense, dont certaines à titre d'exemples: (https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_(math%C3%A9matiques) ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_sym%C3%A9trique ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_graphes ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Graphe_complet )

    (Je note qu'on mentionne la théorie des graphes dans l'article comme un objet informatique, mais il me semble que c'est aussi quelque chose de général.)

    Pour le 3e «groupe d'objets», il existerait également plus probablement des notions liées au mot structure (plutôt qu'une seule notion), et chacune de celles que je vois dans les sources mentionnées plus loin me semble garder des idées de base mathématiques. (Mais peut-être aussi qu'il n'y a qu'une idée plus générale de structures ?...) Par exemple, ce passage introductif de la structure décrite dans la deuxième source mentionnée plus loin m'apparaît dégagé des idées de base en mathématiques : «En mathématiques, une structure désigne toute théorie « plus forte » que la théorie des ensembles, c'est-à-dire une théorie qui en contient tous les axiomes, signes et règles.C'est donc une théorie « fondée » sur la théorie des ensembles, mais contenant également des contraintes supplémentaires, qui lui sont propres, et qui permettent également de définir de nouvelles structures qu'elle inclut.» Voici des sources que je vois qui décrivent des structures mathématiques : ( : https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_(logique_math%C3%A9matique) ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_(math%C3%A9matiques) ; https://www.youtube.com/watch?v=RaqlxOihGxw ; https://www.youtube.com/watch?v=baLCGbGHHhw ). Je reste prudent par rapport à ces sources, car il me faudrait faire une revue plus poussée des sources externes et démarches liées, ce que je n'ai pas fait.

    Par rapport au contenu de notre article sur les mathématiques, nous parlons d'algèbre. D'après les dernières sources, l’algèbre renferme la notion de structure algébrique en lien à des opérations ajoutés aux ensembles, mais les structures sont aussi de d'autres natures si je me fie à la deuxième source d'information que j'ai mentionnée plus haut dans la section «liste de structures». Il y aurait par exemple la structure d'ordre. Ceci dit, une notion de structure qui serait liée à la logique mathématique est mentionnée brièvement dans l'introduction de notre page sur les mathématiques ( je ne l'ai pas tellement examinée...). Elle fait partie des sources mentionnées ci-haut.

    Il est à noter qu'il existerait aussi d'autres objets ou théories qui semblent plus de base en mathématique et que je ne décris pas ici. Certains remplacent peut-être des objets et théories mentionnés précédemment. Comme exemple de ces autres théories, il y a la théorie des catégories : ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_cat%C3%A9gories ).

    Questions pour tous ces objets précédemment mentionnés : Comment voyez-vous ce genre d'objets ? Je ne me trompe pas en me disant qu'ils sont mathématiques ? Comment on les classe par rapport aux grandes branches mathématiques ? Et les trouvez-vous suffisamment de base pour être inclus sur cette page des mathématiques au moins comme simples mentions très résumées ? Et sinon la discussion reste ouverte et si vous voyez d'autres objets ou théories qui vous semblent de base en mathématiques, ne vous gêner pas pour les mentionner ici ! : )

    Dans tous ces cas, il faut se demander si ces idées et théories de base sont bien articulées, cohérentes et porteuses ; et si bien entendu les articles de wikipédia et externes les rapportent convenablement ; et si d'un autre côté il n'existe pas d'autres idées et théories qui les remplacent partiellement ou totalement. Sur ces points, par exemple, il semblerait peut-être que la théorie des structures de Bourbaki a été remis en question (https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Bourbaki) mais je ne pourrais en dire plus...

    Bonne journée !--Ptit Mic (discuter) 12 janvier 2020 à 08:06 (CET)Répondre

    L'article Liste de publications importantes en mathématiques est proposé à la suppression modifier

      Bonjour,

    L’article « Liste de publications importantes en mathématiques » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Liste de publications importantes en mathématiques/Suppression.

    Le meilleur moyen d’obtenir un consensus pour la conservation de l’article est de fournir des sources secondaires fiables et indépendantes. Si vous ne pouvez trouver de telles sources, c’est que l’article n’est probablement pas admissible. N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia.

    Éric Messel (Déposer un message) 4 octobre 2020 à 10:38 (CEST)Répondre


    Les stats modifier

    Un vandalisme (ici) a attiré mon attention sur la phrase « La compréhension des lois aléatoires rendant compte au mieux des données déjà réalisées forme les statistiques. ». On ne pourrait pas trouver plus clair comme définition de ce domaine fondamental ? — Ariel (discuter) 26 décembre 2020 à 23:04 (CET)Répondre

      Ariel Provost : Oui surtout que la compréhension des lois aléatoires est souvent classé en Probabilité plutôt qu'en Statistique car comme expliqué : Interconnexions entre la théorie des probabilités et la statistique, son étude fait plutôt partie de la Probabilité mais elles sont très utilisé en Statistique ! Sur cette même page la statistique est défini comme le domaine mathématique qui consiste à recueillir, traiter et interpréter un ensemble de données. Ce qui me semble meilleur comme définition. Bonne journée, --Huguespotter (discuter) 27 décembre 2020 à 12:51 (CET)Répondre
    Merci Huguespotter  . J'ai remplacé par « Les statistiques consistent à recueillir, traiter et synthétiser un ensemble de données, généralement nombreuses. » (synthétiser = calcul des moyennes, variances, χ2 et tutti quanti, plutôt qu'interpréter = le boulot des physiciens, épidémiologistes, économistes, etc., qui eux s'intéressent vraiment à la signification de ces données ; j'ai ajouté « généralement nombreuses » parce que c'est ce qui fait l'intérêt des stats). — Ariel (discuter) 1 janvier 2021 à 11:34 (CET)Répondre

    Pourquoi n est il pas mentionne que le nbre premier 13 est un nbre time modifier

    Pourquoi n est il pas mentionne que le nbre premier 13 est un nbre time 88.178.252.55 (discuter) 2 mars 2024 à 16:51 (CET)Répondre

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