Wikipédia:Oracle/semaine 37 2011

Dernier commentaire : il y a 6 ans par Heurtelions dans le sujet Mariages forcés dans les monarchies européennes

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Promis, juré, craché

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Bonjour à tous en ce début de semaine laborieux et studieux. D'où peut donc venir cette expression, parfois accompagné du geste en conséquence ? La réponse n'est pas forcément vitale mais devenir moins bête n'est pas désagréable. Nguyenld (d) 12 septembre 2011 à 10:51 (CEST)Répondre

L’expression vient de la coutume de cracher pour prêter serment. Celle-ci, d’où vient-elle, je ne sais. 194.254.71.2 (d) 12 septembre 2011 à 11:02 (CEST)Répondre
La parole est symbolisée par le don d'une partie de soi-même, la salive, plus facile à extraire qu'une goutte de sang, ne pas oublier de dire promis, juré car ce serait très mal pris, on évite de cracher sur le visage de la personne mais on peut le faire dans sa propre main et serrer celle de la personne, c'est très fort, mais attendez un peu avant de vous essuyer sur vos vêtements.À noter, les personnages politiques promettent et jurent mais ne crachent pas, ils postillonnent donc cela ne compte pas.--Doalex (d) 12 septembre 2011 à 13:43 (CEST)Répondre
Peut-être aussi à mettre en relation avec l'expression « Cracher contre le ciel. Blasphémer » : en ce cas on crache contre le sol, une manière de se mettre entre les mains du Diable en cas de manquement à la parole donnée. -O.--M.--H.- 12 septembre 2011 à 14:26 (CEST)Répondre

Le mercure d'un étang

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Bonjour Oracle.

Je ne parviens pas à saisir le sens du mot « mercure » dans cet extrait du livre Degrés de Michel Butor :

« [...] la cabane presque achevée, sauf le toit qu'il fallait recouvrir de fougères. Les murs étaient bien calfeutrés déjà, et l'on s'y sentait en sécurité, nous avions ménagé une fenêtre qui donnait sur une belle échappée, avec le mercure d'un étang au travers des bouleaux. » (Michel Butor, Degrés, L'Imaginaire/Gallimard, p. 161)

... ?

Merci.--Glützenbaum (d) 12 septembre 2011 à 13:59 (CEST)Répondre

Bonjour. C'est une image poétique (qui a d'ailleurs été utilisée par d'autres) ; le mercure est un métal d'aspect brillant et argenté comme celui de l'eau de l'étang vue à travers les bouleaux. Bien à vous, --Égoïté (d) 12 septembre 2011 à 14:08 (CEST)Répondre
Merci pour cette réponse brillante (et argentée) :) --Glützenbaum (d) 12 septembre 2011 à 14:17 (CEST)Répondre
De plus, vue sa densité, la surface du mercure est plate (pas de vague). Donc sans aucune ride. --Serged/ 12 septembre 2011 à 14:25 (CEST)Répondre
C'est drôle que tu répondes à cette question, car ton pseudonyme est le titre du livre en question à l'envers. Un rien m'amuse. Bref, merci de l'éclaircissement.--Glützenbaum (d) 12 septembre 2011 à 14:36 (CEST)Répondre
Je n'avais pas remarqué ! En fait mon pseudo est mon prénom (Serge) + la première lettre de mon nom de famille... --Serged/ 12 septembre 2011 à 17:58 (CEST)Répondre

Variable aléatoire

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Bonjour Oracle, un petit problème de mathématique posé par un collègue de ma femme : je considère deux variables aléatoires de loi exponentielle (modélisant la durée de vie de deux systèmes indépendant). Je considère un intervalle de temps T. Comment caractériser l'événement suivant : les deux systèmes meurent tous les deux dans l'intervalle de temps T?

Sinon, d'après la définition de la loi exponentielle, la proba de mourir dans l'intervalle [t ; t+T] est exp(-t/E(X))-exp((-t-T) / E(X))
Donc si on a 2 VA indépendantes il faut multiplier les probas :
P( X dans [t ; t+T] ET Y dans [t ; t+T] ) = (exp(-t/E(X))-exp((-t-T) / E(X)))*(exp(-t/E(Y))-exp((-t-T) / E(Y)))
non ?
Oui, c’est l’idée, sans les E(X) et E(Y) au dénominateur (ne confondez pas densité et fonction de répartition).
En général, pour simplifier, on note E(X) = 1/λ1 et E(Y) = 1/λ2.
La question est ambiguë. Je suppose qu’il y a un conditionnement implicite : on cherche cette probabilité conditionnellement à l’événement : les deux systèmes sont « vivants » au début de l’intervalle de temps considéré. La probabilité pour le premier système (respectivement le second) de « mourir » en un temps T est alors 1-e1T (respectivement 1-e2T), et la probabilité recherchée est le produit de ces deux quantités.
Sans ce conditionnement, la probabilité pour que le premier système soit vivant à l’instant t est e1t, et la probabilité qu’il meure entre t et t+T est e1t ( 1-e1T ) ; je vous laisse conclure. 194.254.71.2 (d)

En fait on a un premier système (par exemple le système de refroidissement d'un réacteur nucléaire) et un deuxième système qui contrôle que le premier système n'est pas en panne. Les 2 évènements exceptionnels considérés sont : les 2 systèmes tombent en panne.

Je suppose donc qu’ils ne sont pas en panne au début de l’action...
Je ne suis pas certain de très bien saisir le but de votre calcul. Est-ce que T est l’intervalle de temps entre deux contrôles manuels du second système ? Si oui, vous vous intéressez sans doute à la probabilité que le second puis le premier système tombent en panne entre deux contrôles manuels. C’est ça ? rv1729 14 septembre 2011 à 09:37 (CEST) C’est une bonne idée d’exercice, tiens, vous allez être très bientôt responsable de la souffrance d’une grosse centaine d’étudiants.Répondre
Exactement, c'est ça.
Bon, puisque personne n’a l’air de bien vouloir s’en charger... je vous ferai ça ce soir quand l’enfant dormira :) rv1729 16 septembre 2011 à 16:10 (CEST)Répondre
Bon, il s’agit de la quantité P(X2 ≤ X1 ≤ t) avec X1 et X2 qui suivent des lois exponentielles de paramètres respectifs λ1 et λ2. Un petit calcul intégral nous donne :
( λ1e1t(e2t-1)+λ2(1-e1t) ) / (λ12).
Hum, ça c’est la proba p que ça arrive entre deux contrôles manuels donnés, après, sur une période de n contrôles manuels, la proba que ça arrive une fois est 1-(1-p)n.
Si quelqu’un peut fournir des chiffres réalistes pour le temps de panne de ce type de système, j’achète...
rv1729 16 septembre 2011 à 22:30 (CEST)Répondre

latin

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bonjour pouviez-vous m'aider a trouver la signification de nikola en latin et les origine

Ce nom ne provient pas du latin, mais du grec ancien Nikólaos (Νικόλαος), et signifie "peuple victorieux" Dhatier jasons-z-en 12 septembre 2011 à 20:06 (CEST)Répondre
Niké-Laos, le peuple victorieux ... bof bof, quelle mauvais jeu de mots... Une pensée pour ces pauvres laotiens :-[ Biem (d) 13 septembre 2011 à 20:47 (CEST)Répondre

Dépollution MEA (Monoéthanolamine)

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Déplacé de la semaine 19 (Mitch)2 12 septembre 2011 à 21:04 (CEST)Répondre

Bonjour,

S'il vous plaît, je suis confronté à un problème de coloration jaune de ma solution de MEA, utilisée comme absorbant de CO2 émanant de fumées de combustion de Gaz naturel. Comment pourrais-je rendre sa clarté à ma MEA ? Merci infiniment de votre réponse... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 41.201.70.252 (discuter)

Éthanolamine
Mais en quoi c'est grave, que ça soit jaune ? vous avez peur que ça l'empêche de remplir la fonction que vous en attendez (capture du CO2, si j'ai bien compris ) ?
gem (d) 13 septembre 2011 à 11:13 (CEST)Répondre

La Guerre des gosses

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Bonsoir.

La Guerre des gosses (1937) est la première adaptation cinématographique du roman de Louis Pergaud (on rappelle que deux nouvelles adaptations de La Guerre des boutons sont sur le point de sortir). J’avais entendu parler de ce film (sans l’avoir javoir jamais vu) parce que Marcel Mouloudji (ainsi que son son frère je crois) a joué dedans. Seulement je ne me souviens pas que ce film ait été projeté récemment dans une cinémathèque (ou soit sorti en DVD). La pellicule de ce film aurait-elle été perdue ? Merci de puiser dans vos souvenir... Alphabeta (d) 12 septembre 2011 à 21:21 (CEST)Répondre

Salut. Apparemment, il n'est pas sorti en K7 ou DVD, par contre il en existe au moins une copie à la Cinémathèque française puisqu'il y a été projeté le 21 avril de cette année. -O.--M.--H.- 12 septembre 2011 à 21:45 (CEST)Répondre
Merci me voilà rassuré... Alphabeta (d) 12 septembre 2011 à 21:51 (CEST)Répondre

Federzeichnung

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Hans Baldung, Trois sorcières

Coucou les pythies. J'ai une question : qu'est-ce que veut dire Federzeichnung ? J'ai traduit, sur la page de description de l'image, probablement un peu vite, par « dessin à la craie ».

Mais je suis sûr qu'il y a des spécialistes ici qui sont moins nuls que moi.

Merci d'avance (enfin, ce merci est conditionné à votre capacité à me faire une réponse utile. ) --79.81.159.36 (d) 12 septembre 2011 à 21:35 (CEST)Répondre

Bonjour. Tout en étant pratiquement aussi nul que vous en allemand, j'ai consulté Google traduction, qui donne "dessin à la plume"; comme Google traduction est aussi parfois terriblement nul, je me suis conforté dans la réponse en voyant que «feder» ressemble beaucoup à l'anglais «feather» Dhatier jasons-z-en 12 septembre 2011 à 21:44 (CEST)Répondre
Oui, c'est sûr, c'est bien la bonne traduction : [1] (Mitch)2 12 septembre 2011 à 21:48 (CEST)Répondre
Super, merci. --GaAs 13 septembre 2011 à 10:35 (CEST)Répondre
  « Mein Ding mit Federn, Vogelfedern » !  Zizi Jeanmaire [canqueter] 13 septembre 2011 à 12:22 (CEST)Répondre
Ce ne serait pas en fait craie + encre de Chine ? --GaAs 14 septembre 2011 à 00:53 (CEST)Répondre
Le catalogue établit par Bodo Brinkmann, publié dans Baldung Grien, Hexenlust und Südenfall (Michael Imhof Verlag), porte les mentions suivantes : en allemand : Federzeichnung, weiß gehöht, auf braune grundiertem Papier, et en anglais : Pen drawing heightened with white body colour on brown prepared paper.
rv1729 14 septembre 2011 à 09:11 (CEST)Répondre

Orage et baignoire

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Bonjour Oracle,

N'ayant pas pu me rendre à Delphes pour consulter la Pythie sur le sujet, je m'en remets à toi: est-il dangereux de prendre une douche ou un bain chez soi pendant un orage? Merci de me tenir au courant.--Slotty (d) 12 septembre 2011 à 22:17 (CEST)Répondre

Euh … tu risques d'être mouillé. le sourcier [on cause ?] 12 septembre 2011 à 22:33 (CEST)Répondre
« Au « courant » » est parfois une expression à éviter - par temps d'orage par exemple;  
Et comme j'ai vécu/utilisé/entendu x fois le mot courant ce soir, je vous offre l'anecdote :
Or donc, il était une fois, le 12 septembre vers 19:00 et quelques, une brave femme qui bossait encore sur ses ordis, cherchant des infos pour un site courant : WP, quand tout à trac : panne totale de courant ! S'en suit une bordée de jurons digne du Capitaine Haddock car si la soirée offre encore un peu de luminosité naturelle dans un habitat éclairé par le nord, les ordis, le serveur, le NAS, tout s'est éteint d'une façon peu courante et non recommandée par les manuels. Courant vers le tableau des fusibles pour vérification, la femme téléphone à sa voisine par GSM (ben oui : la centrale téléphonique locale fonctionnant à l'électricité, sans courant, ne fonctionne évidemment plus !) « T'as du courant toi ? » « Ben non, j'allais te téléphoner pour savoir si tu en avais. » Téléphone à quelqu'un au bout du village : oui il y a du courant. Bon donc c'est limité, faut que ça tombe sur ce secteur-ci ! rebordée de vocabulaire marin. La femme pioche dans les factures courantes pour trouver celle où se trouve le n° de téléphone pour les pannes de courant du distributeur d'électricité dont plus personne ne se souvient du nom vu que ça a changé x fois en quelques années et que les annuaires téléphoniques ne sont toujours pas au courant, et forme enfin le numéro avec son GSM, se tape les « Pour le secteur courant électricité, tapez 1 ; pour...». Ok 1. « Pour un déménagement, tapez 1, pour... tapez 2, pour... tapez 3 », etc. jusqu'à 7 qui concerne - enfin - le signalement d'une panne de courant. « Bonjour monsieur, je vous signale une panne de courant. J'habite à..., rue .... » « Où ça ? » « À... rue ... » « Ah oui, ben, on est au courant vous savez. »
Pour la petite histoire, le soir était tombé mais la brave femme savait où se trouvait le stock de bougies, et comme elle fume, elle avait un briquet à gaz des plus courants. La lumière est revenue après 20 minutes et il en a fallu près de 20 autres pour que la Bbox donnant accès à internet et à la télédistribution des programmes télévisés veuille bien se remettre au courant à jour. 20 minutes, c'était ce qu'il fallait pour éplucher les canadas et lancer la cuisson du repas. Ouf ! on n'allait pas rater le Clint Eastwood du jour ! Déjà qu'on n'avait pu être au courant des nouvelles du JT - c’est quoi ce truc, un « bulletin de nouvelles »???? - censé tenir les citoyens au courant... Oui, mais non ! c'est alors que le courant s'est à nouveau éclipsé ! Évidemment, les bougies étaient toujours sur la table, mais le briquet avait été déposé n'importe où (les vêtements féminins ont rarement l'avantage des masculins : il n’est pas courant qu’ils aient des poches)... comme le GSM, qui s'est mis à résonner dans le schwarz total, un courant (d'air) ayant eu l'ingéniosité d'éteindre la flamme de la gazinière... il a bien fallu « remonter le courant » (rétablir une situation devenue critique)- : refaire passer un courant (accord,sympathie) qui était en panne au niveau familial étant donné le retard du repas et l’absence de dérivatif TV, re-déconnecter/connecter le modem, la bbox, etc. Après le film, déjà vu mais fort couramment apprécié, la femme a remis le courant pour un ordi et elle a lu quoi sur son site préféré ? Une demande de mise au courant...
Amclt, --Égoïté (d) 13 septembre 2011 à 00:41 (CEST)Répondre
« Celui qui rame dans le sens du courant fait rire les crocodiles. (Proverbe africain) »Hautbois [canqueter] 13 septembre 2011 à 04:49 (CEST)Répondre
Plus sérieusement, j'ai appris en lisant le télétexte et en écoutant les nouvelles à la télévision, qu'il ne fallait pas prendre de bain ou couler de l'eau du robinet sur son corps si le bâtiment dans lequel on se trouve n'est pas équipé contre les orages, c'est-à-dire vétuste et non conforme aux standards actuels. Bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 16 septembre 2011 à 11:56 (CEST)Répondre
Et je reviens vite pour t'indiquer quelques liens ==> ici, , encore ici et là aussi. Bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 16 septembre 2011 à 12:01 (CEST)Répondre

Sic dixit Clemenceau ?

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Bonsoir pythies ! En étudiant l'histoire de la première guerre mondiale (en anglais) je suis souvent tombé sur une "citation bien connue" attribuée à Clemenceau pendant la Conférence de la paix de Paris ; quand un ambassadeur allemand spécule : « I wonder what history will make of all of this ? » (Je me demande comment va l'histoire percevoir tout cela) Clemenceau dit (censément) :  « History will not say that Belgium invaded Germany ! » (L'histoire ne dira pas que la Belgique envahit l'Allemagne !) Mais quelles étaient ses vraies paroles en français (hormis mon essai de (re)traduction maladroit), s'il l'a vraiment dit ? Bien que j'aie trouvé beaucoup de citations en anglais, je n'arrive pas à en trouver aucune en français. Merci d'avance :) 24.92.85.35 (d) 13 septembre 2011 à 03:57 (CEST)Répondre

« A votre avis, qu'est-ce que les historiens futurs penseront de ce problème embarrassant ? » Il répondit : « Ça je n'en sais rien, mais ce dont je suis sûr, c'est qu'ils ne diront pas que la Belgique a envahi l'Allemagne ».Hautbois [canqueter] 13 septembre 2011 à 04:23 (CEST)Répondre
Petite blague: Un soir les troupes belges sont réunies pour une annonce du commandant en chef, celui-ci très grave prend la parole - « Demain matin à l'aube nous envahissons la France ». Silence total et le commandant reprend - « Quelqu'un a-t-il une question ? » Et parmi les soldats on entend une voix: « Et l'après-midi ? » --Doalex (d) 13 septembre 2011 à 10:19 (CEST)Répondre

Code à barres pixelisé

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Chers Wikipédiens technophiles,
Depuis quelque temps, je vois se multiplier les publicités (dans des magazines ou sur des affiches 4x3) comportant une sorte de code à barres constitué de points dans un carré blanc bordé de noir. Si j’ai bien compris le principe, en « flashant » ce code on accède à la page du marchand sur Twitteure ou Fesse-bouc pour apprendre comment acheter ses produits. Mes questions sont les suivantes : comment s’appelle donc ce cryptogramme ; et avec quel appareil peut-on lire ceux qui font 20 cm de côté en taille réelle sur les affiches ? -- Mister BV (d) 13 septembre 2011 à 10:27 (CEST)Répondre

Bonjour ! Je te recommande la lecture de cet article.   Goodshort (d) 13 septembre 2011 à 10:42 (CEST)Répondre
Merci, j’ai la réponse à ma première question : il s’agit d’un QR Code, reconnaissable aux petits carrés dans trois coins. Je reste quand même perplexe sur la lisibilité par un objectif 20 fois plus étroit (donc 400 fois plus petit) que la surface à lire. -- Mister BV (d)
Euh, c’est un appareil photo numérique, et on analyse l’image. On peut prendre en photo Monument Valley avec, c’est encore plus grand qu’un code QR ! 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 11:27 (CEST)Répondre
Prendre en photo certes, mais analyser ? Si je ne dispose que d’un lecteur de code, il faut le passer sur l’intégralité de la surface. Ça répond à ma deuxième question : le code 2D sur les affiches n’est décryptable que si la prise de vue est associée à un système de vision industrielle. -- Mister BV (d)
Oui, on n’a pas un capteur conçu pour lire le code de façon optimale, mais on sait compenser par le matériel souple. 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 12:20 (CEST) PS: Remarque bien que le code QR semble conçu pour faciliter ça, les trois carrés facilitant le calage de la portion d’image à analyser.Répondre

Baguettes mérovingiennes

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Bonjour les pythies, et bonne rentrée éventuellement,

Actuellement plongé dans Voyager au Moyen Âge de Jean Verdon (c'était simplement pour une recherche documentaire à l'origine, mais le bouquin est très intéressant et fourmille d'exemples, une lecture très instructive), je suis tombé sur la mention suivante : « À la même époque, Gondovald, un usurpateur, envoie au roi Gontran deux légats avec des baguettes consacrées selon le rituel des Francs [...] ». Mon imagination s'est aussitôt mise en branle : que sont exactement ces baguettes, à quoi ressemblent-elles ? En a-t-on retrouvé ? Qu'est-ce que ce rituel qui les consacre ? – Swa cwæð Ælfgar (d) 13 septembre 2011 à 12:04 (CEST)Répondre

Une recherche google renvoie ça parmi les premiers résultats : http://books.google.fr/books?id=PbMaAAAAYAAJ&pg=PA115&lpg=PA115 (lire le texte et la note de bas de page). 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 12:23 (CEST)Répondre
Ça serait pas plutôt un vieux rituel d'avant l'euro, les francs consacrés aux baguettes ? (je sors...) -O.--M.--H.- 13 septembre 2011 à 19:17 (CEST)Répondre

Si l'amour de Marie en ton coeur est gravé, en passant ne t'oublie de lui dire un avé...

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A Valognes.

Hommage à tous. Savez-vous d'ou provient cette dédicace que l'on retrouve assez souvent a priori dans les églises ? Si l'amour de Marie / Est en ton cœur gravé / En passant ne t'oublie / De lui dire un ave. à Granville et à ND Du Bon secours de Montréal, « Si l'amour de Marie / En ton coeur est gravé, / En passant ne l'oublie pas / Viens lui dire un Ave » à Carcassonne, et quelques variantes notamment en Bourgogne. J'avais été étonné de retrouve la même phrase à Granville et à Montréal, mais le nombre de récurrence sur Google me fait penser qu'il y a peut-être une origine précise, mais je ne la trouve pas. Des idées ? Cordialement. HaguardDuNord (d) 13 septembre 2011 à 18:08 (CEST)Répondre

Et à Toulouse, tympan de N.-D. de la Dalbade : ne diffère en passant de lui (me ?) dire un ave. Mais pas d’idée. Salut quand même. Morburre (d) 13 septembre 2011 à 18:42 (CEST)Répondre
Certaines références catholiques donnent un quatrain de Louis-Marie Grignion de Montfort. Références : [2]; [3]; mais d'autres font référence à un texte très similaire présent sur des monuments antérieurs. Dhatier jasons-z-en 13 septembre 2011 à 18:53 (CEST)Répondre
C'est le quatrain de Pibrac. Bertrouf 14 septembre 2011 à 04:03 (CEST)Répondre
Sans doute le même que l'auteur de C'est le mois de Marie / C'est le mois le plus beau / Ouvre ton parapluie / Car y va tomber d'l'eau ? Oblomov2 (d) 15 septembre 2011 à 13:55 (CEST)Répondre
Merci ! HaguardDuNord (d) 16 septembre 2011 à 08:05 (CEST)Répondre

Alu

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bonjour, ma question est peut-être stupide, je viens de constater que le papier d'aluminium avait une surface brillante et une autre mâte et je me demandais, comment se fait-il que les deux côtés soient si différents et si c'est utile dans l'emballage des aliments : doit-on les emballer de façon à ce que le côté mât touche les aliments ou le contraire ? --Le ciel est par dessus le toit (d) 13 septembre 2011 à 18:33 (CEST)Répondre

Bonsoir. À moi on m'a toujours dit de mettre l'aliment dans le côté mât, car de l'autre côté c'était cancérigène, mais bon, je suis toujours vivant et en bonne santé...sinon voilà quelques liens ==> ici, , là aussi et ici sur les différents films alimentaires. Bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 13 septembre 2011 à 18:45 (CEST)Répondre
Mat, mat, mat, scrogneugneu. rv1729 13 septembre 2011 à 20:29 (CEST)Répondre
CQui (d) Pas de difference entre les deux cotés, juste un resultat du processus de fabrication, etrange, deux lien donnent une explicaiton completement differente. Coté cuisson, <mode TI>si c'est fait avec une lampe ou un truc similaire, le coté brillant reflechi une partie de la lumiere et cela cuit moins vite s'il est a l'exterieur.</mode> --14 septembre 2011 à 10:58 (CEST)Répondre
Merci pour vos réponses --Le ciel est par dessus le toit (d) 14 septembre 2011 à 12:04 (CEST)Répondre
On m’a toujours dit la même chose que ce que dit CQui. Pour garder chaud, côté brillant à l’intérieur. rv1729 14 septembre 2011 à 12:33 (CEST)Répondre

Bonjour à tous, un amis cuisinier m'avait donné ce "truc", coté brillant cela renvoi la chaleur et permet par exemple de cuire les ingrédients d'une tarte sans faire trop durcir la pâte (en la positionnant sur le coté mat)...Touxx (d) 20 septembre 2011 à 17:31 (CEST)Répondre

Exode vers de meilleures planètes

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Bonjour . J'ai appris à la télévision la découverte d'au moins 150 nouvelles exoplanètes (dont HD 85512 b). Vu la situation de pollution sur notre planète et notre (bientôt) surpopulation, je me posais ces question:

  1. Combien cela coûterait-il au total de mettre en marche une expédition vers ces planètes?
  2. Combien de temps faudrait-il pour coloniser ces planètes et les rendre plus habitables?
  3. Pourrait-on rencontrer d'autres formes de vies humanoïdes sur ces planètes (poucentage de chance demandé)?

Merci d'avance pour vos réponses, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 13 septembre 2011 à 18:37 (CEST)Répondre

Réponses 1 et 2 : Dans l'état actuel de la technologie, c'est impossible à évaluer et à planifier. On parle depuis 30 ans d'une expédition sur Mars, la porte juste à côté, qui est envisageable à un coût ... astronomique, mais sa planification est toujours retardée. Dhatier jasons-z-en 13 septembre 2011 à 19:04 (CEST)Répondre
  • Pour la 3, aucune, les exoplanètes découvertes jusqu'ici ne sont ni du type, ni de la situation qui permettrait l'apparition d'une forme de vie approchant de celle existant ici ;
  • Pour la 2, notre incapacité à corriger les petites perturbations que nous avons causées sur cette planète et qui la rend un peu moins agréable à vivre laisse douter de notre capacité à rendre habitable une planète qui ne le serait pas ;
  • Pour la 1, c'est comme dit Dhatier. -O.--M.--H.- 13 septembre 2011 à 19:28 (CEST)Répondre
Bonjour,
  • 1/ C'est au-delà de notre capacité technique actuelle. Vu les distances (astronomiques), je dirais que celà relève même de l'utopie (et de la SF). Comme signalé plus haut, on n'arrive déjà pas à planifier un voyage sur Mars alors que c'est juste à côté.
  • 2/Dépends de la catégorie de la planète. Si c'est une "jupiter chaude" c'est peine perdue. Si c'est une super-terre, il n'y aura peut-être pas trop de boulot à faire. Je me rappelle avoir lu pour Mars qu'une terraformation pourrait prendre 4 millénaires (pas de réf pour ce chiffre).
  • 3/Voir 2: Dépends de l'habitabilité de la planète. Pour l'instant seuls quelques unes ont été détectées dans la zone habitable de leur étoile (et encore certains cas sont douteaux). Les extrapolations suite aux premiers résultats de Kepler certains astronomes ont suggéré un taux de 1% de planètes habitables sur le nombre total (estimés à 50 milliards); le nombre de planètes habitables se chiffrerait alors par millions pour notre galaxie... ce qui ne garanti pas forcément qu'une civilisation intelligente s'y développe. --130.207.37.76 (d) 13 septembre 2011 à 21:07 (CEST)Répondre
Bonjour. La première chose à avoir en tête à ce sujet, c'est la distance. L'étoile la plus proche de nous étant à quatre années-lumières, ces exoplanètes sont au moins à la même distance. L'objet humain le plus rapide (par rapport à nous) jamais construit est, sauf erreur, Voyager 1, et sa vitesse est de 17 km/s. À cette vitesse, il faudrait donc plus de 75 000 ans (penser à emmener un casse-croûte) pour atteindre l'étoile ou la planète la plus proche. Et cette vitesse étant acquise essentiellement par fronde gravitationnelle, je ne suis pas sûr que les progrès technologiques y changent grand chose avant longtemps.
Conclusion : c'est pas parce qu'on a découvert des exoplanètes qu'on peut négliger la nôtre (j'ai toujours peur que ce soit l'effet réel de ce genre de nouvelles), on y est lié pour longtemps. Grasyop 13 septembre 2011 à 21:21 (CEST)Répondre
Sympa, cette question  . Pas grand chose à rajouter aux réponses précédentes. Concernant la question 2, il est encore difficile de détecter des exoplanètes en zone habitable telles que HD 85512 b. Trop petites et trop éloignées de leurs étoiles pour perturber significativement la position de ces dernières. C'est pourtant ce type de planète qui est la moins difficile à terraformer. À propos, je crois me souvenir d'un Science & Vie parlant de 900 ans pour terraformer Mars. Mais entre ma mémoire et le sérieux de cette étude, il faut prendre d'énormes pincettes.
Un autre Science & Vie mentionnait (si je me souviens bien, désolé de ne pas pouvoir indiquer les numéros précis) l'existence d'une "zone habitable" dans la galaxie : pas trop près du centre (perturbations gravitationnelles, rayonnement du trou noir central), pas trop loin du centre (manque de métaux)... et éviter d'avoir une supergéante dans le voisinage (une supernova, même à plusieurs a.l., ça peut poser problème). Donc pas facile de trouver une "bonne" exoplanète, et elle sera hors de portée pendant bien longtemps.
En accord avec la conclusion précédente. --Vierlio (d) 13 septembre 2011 à 21:51 (CEST)Répondre
L'article terraformation contient quelques informations. L'équation de Drake répondra aussi partiellement aux questions de probabilité de rencontrer une vie intelligente : le calcul est impossible à réaliser dans l'état actuel des choses, à cause du trop grand nombre d'inconnues. Pour finir, le déplacement interstellaire est rigoureusement impossible aujourd'hui (comme déjà répété plusieurs fois avant moi) ; néanmoins, il existe quelques faibles espoirs (plus proches de la science-fiction qu'autre chose, mais sait-on jamais) du côté des trous de ver et du transhumanisme (lequel pourrait mener à une forme d'immortalité et permettrait donc les voyages de plusieurs milliers d'années, mais pose d'autres problèmes, éthiques notamment). Pour finir, notons que les impossibilités physiques telles que celle à atteindre la vitesse de la lumière pourraient un jour être dépassées, de même que l'héliocentrisme de Ptolémée a été dépassé par Copernic ; mais les conséquences des révolutions scientifiques à venir sont évidemment imprévisibles. --Grelot-de-Bois (d) 13 septembre 2011 à 22:57 (CEST)Répondre

 + Gné ? Bon ce n'est pas pour demain alors, je me rendors. --Epsilon0 ε0 13 septembre 2011 à 21:53 (CEST)  +Répondre

A vue de nez, comme ça, on habitera dans des stations entièrement construites (ISS) avant d'être capables de rendre une planète habitable. Inutile de scruter les exoplanètes, à part pour aller y exploiter le minerai de la prochaine station spatiale. Bertrouf 14 septembre 2011 à 03:20 (CEST)Répondre
Même, hors des questions trop précises concernant un sujet si vaste, le simple projet Gaia (satellite) basé sur l'observation des exoplanètes, entre autres, est chiffré à 450 millions d'euros (moins de 3 fois le gain de l'Euro millions de ce jour), nous pouvons aussi attendre la rencontre prédite, mais encore incertaine, avec la Galaxie d'Andromède mais là aussi patience, on parle de milliards d'années, pour voir se rapprocher peut-être des planètes d'une autre galaxie, la nouvelle question est: Serons-nous toujours là, le soleil ne vieilit-il pas ? On cherchera peut-être à installer des immenses superstructures, des artefacts autour du soleil pour commencer ? --Doalex (d) 14 septembre 2011 à 09:53 (CEST)Répondre
CQui (d) Je me limiterais a la premiere question, le cout, notre planete a-t-elle les resources pour faire faire le voyage a une partie de l'humanité? L'energie, les differents materiaux neccessaires sont-ils disponible ? --14 septembre 2011 à 10:51 (CEST)Répondre
Si on n’est pas pressés, il suffit de peu d’énergie pour le déplacement : pas de frottements dans l’espace interstellaire, on n’a pas besoin d’entretenir le mouvement. Il reste qu’il faut fournir de l’énergie pour les êtres vivants qui seraient du voyage pendant des centaines de milliers d’années, et à concevoir un écosystème embarqué (très) stable... je pense qu’il est très prématuré d’avancer des chiffres, il faut laisser la science avancer : reparlons-en dans 10 000 ans si vous le voulez bien (et si il y a encore quelqu’un pour en parler). rv1729 14 septembre 2011 à 12:42 (CEST)Répondre
Sans tenir compte des contraintes circonstancielles (telles que le coût d'une telle opération ou les problèmes d'avancée technique), il est certain que la Terre contient les ressources nécessaires au voyage intersidéral. Simplement, un tel voyage durerait des millions d'années, ce qui diminue grandement son intérêt. Notons que l'être humain n'existe que depuis 300 000 ans, et la civilisation depuis 10 000 ans... --Grelot-de-Bois (d) 14 septembre 2011 à 14:25 (CEST)Répondre
Le mode d'emploi est dans Destination vide : créer un Dieu qui trouve la solution pour nous.  --GaAs 14 septembre 2011 à 17:37 (CEST)Répondre
CQui (d) @ rv le deplacement dans le vide est certe une chose de peu d'energie, y ariver en est une autre, et y survivre encore une autre. Je viens de lire de la terre a la lune, cela parrait tellement simple.   --22 septembre 2011 à 12:54 (CEST)

Origine de la coutume consistant à baptiser les armes

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Pythies, qui détenez le savoir des anciens temps, salut !

Après quelques recherches infructueuses, je me tourne vers vous afin d'infirmer ou confirmer une idée qui m'est venue sur la fameuse coutume consistant à baptiser les armes. On peut trouver de nombreux exemples de telles armes dotées de noms propres, tant dans l'Histoire réelle de notre monde que dans les mythes et légendes des plus diverses civilisations. Ici, c'est à l'Occident que je m'intéresse, particulièrement dans sa période médiévale ; mais il nous faudra certainement remonter plus loin dans le temps pour obtenir une réponse.

Voici mon idée : constatant avec un certain étonnement - mais je fais peut-être erreur - qu'aucune arme ne porte de nom propre dans l'Histoire et la mythologie gréco-romaines (si ce n'est l'Égide ; mais son cas est à part, car il ne s'agit pas d'une arme connue sur Terre, et qu'elle n'existe donc qu'en un seul exemplaire, expliquant la majuscule de son nom), et constatant qu'au contraire l'Histoire et la mythologie des peuples celtes et scandinaves regorgent de tels exemples (Gae Bolga, la lance de Cuchulainn, Caladbolg, épée de Fergus Mac Roeg, la célèbre Excalibur qui en est issue, Orna, l'épée de Tethra, roi des Fomoires, Mjöllnir, le marteau d'Odin, Balmung, l'épée de Siegfried, etc...), j'en suis venu à croire que l'habitude de baptiser les armes au Moyen-Âge (Joyeuse, Durandal, Flamberge, Azoth - l'épée de Paracelse...) est un héritage des mondes celtiques et scandinaves.

Est-ce bien le cas ? Et dans le cas contraire, comment expliquer le cas des grecs ?

Merci !--Grelot-de-Bois (d) 13 septembre 2011 à 22:38 (CEST)Répondre

Très simplement psychologique : On donne instinctivement un nom à un objet personnel qui nous est vital. Qui n'a jamais baptisé sa voiture, sa maison ou son ordinateur ? --Serged/ 14 septembre 2011 à 08:07 (CEST)Répondre
Euh ? L’ordinateur on est obligé sous linux, sinon ça ne me serait jamais venu à l’idée. Sa bagnole ? Baptiser sa bagnole ? Non mais faut consulter ! rv1729 14 septembre 2011 à 08:57 (CEST)Répondre
CQui (d) Si « tas d'boue » est un nom propre, alors oui, j'ai batisé certaines de mes voitures. Et je n'ai pas eu besoin de consulter pour trouver ce nom, juste de negliger l'entretien. Note, les ordinateurs sous Windows ont egalement un nom propre et un nom de famille. --14 septembre 2011 à 10:12 (CEST) Je n’ai jamais eu d’ordinateur sous windows, mon ignorance est pardonnable :) rv1729Répondre
(Explication à la va comme je te pousse) Les civilisations grecques et romaines avaient des dieux à profusion mais consacrés aux matières premières dans certains cas, un romain invoquait Vulcain pour l'efficacité de son arme métallique l'idée de s'approprier une création des dieux ou de ses délégués était saugrenue, on vénérait l'artisan pas l'objet, peut-être que l'approche du monothéisme a modifié les mentalités et permis un anthropomorphisme de compensation. --Doalex (d) 14 septembre 2011 à 10:54 (CEST)Répondre
Il y a aussi une explication anthropologique plus générale : les artisans, spécialement les compagnons, avaient (et ont encore il me semble) l'habitude de baptiser certains de leurs outils, ceux « les plus nobles » ou d'une particulière utilité, je suppose que les militaires ou les nobles considéraient leurs armes comme leur outil le plus noble ou le plus utile. Plus les aspects propitiatoires déjà évoqués. -O.--M.--H.- 14 septembre 2011 à 12:19 (CEST)Répondre

Pour créer un impact psychologique pour les ennemis, et faire ressortir le coté héroïque de l'histoire, je pense. Le roi Arthur était parti pourfandre les ennemis avec son opinel© ... Bonjour   On fume le calumet     14 septembre 2011 à 10:58 (CEST)Répondre

Y a longtemps que tu as vu Larousse ? rv1729 14 septembre 2011 à 12:32 (CEST)Répondre

Merci pour vos réponses. Je ne suis cependant toujours pas satisfait... L'idée de l'anthropomorphisme de compensation due à l'arrivée du monothéisme est très intéressante, mais on constate que les celtes et les scandinaves nommaient déjà leurs armes durant l'Antiquité (or ils étaient parfaitement polythéistes). Pensez-vous que l'apparition de cette coutume au Moyen-Âge soit totalement indépendante de sa préexistence durant l'Antiquité ? Elle ne vient en tout cas pas de nos racines gréco-romaines, et c'est pourquoi l'origine psychologique (plus ou moins évidente) me semble insuffisante. Connaissez-vous des historiens, ethnologues, anthropologues qui se seraient penchés sur la question ? --Grelot-de-Bois (d) 14 septembre 2011 à 14:18 (CEST)Répondre

Le phénomène semble avant tout mythique et littéraire, rien ne dit que de hauts personnages ou de petits vilains aient dans la vraie vie nommé leurs armes :
 : Dans la sphère littéraire et artistique, comme dans l’histoire, certaines épées ont acquis un statut spécifique outrepassant celui de simple objet. Ce processus, dont le socle initial est le Moyen Âge, se déroule bien au delà. Les épées de personnages importants, héros militaires, rois ou saints, sont parées de multiples vertus. En tant qu’objet, elles connaissent un phénomène unique de personnification, qui commence par l’attribution d’un nom. Durandal, Joyeuse, Excalibur, Flamberge ou Hauteclaire sont autant de noms qui résonnent dans la littérature, l’histoire et l’imaginaire. Ce ne sont plus de simples armes mais des objets chargés d’un potentiel thaumaturgique, capables de voler, de briser le roc, de rendre invincible leur propriétaire. Cette personnification atteint son acmé lorsqu’une épée, au terme d’une longue maturation de formation du nationalisme, finit par incarner un pays.
 : Si en la novela artúrica no suele, en general, mencionarse el nombre de la espada, excepto en el caso de Excalibur, no ocurre así en los cantares de gesta: Durendal es la espada de Roland, Joyeuse la de Carlomagno, Hauteclaire la de Olivier, Courtain la de Ogier, etc. (Cf. Gautier, 1891: 708, n. 18). (On remarque que les épées sont nommées dans les chansons de geste, alors que dans le roman Arturien seule Excalibur a cet honneur)
Bref, il serait intéressant de connaître les ascendants littéraires des troubadours et trouvères, cela pourrait éclairer utilement la question. rv1729 14 septembre 2011 à 15:03 (CEST)Répondre

A titre d'hypothèse, peut-être qu'on a en jeu la position des forgerons dans une société donnée et la valeur qu'on attache à leur production (hephaistos n'est pas spécialement valorisé me semble-t-il). Je demande à connaître le nom d'un forgeron antique quand les Japonais sont capables de citer un Masamune. Pour les Anciens, l'artisanat est un boulot d'esclave donc on ne met pas la même charge symbolique dans ce qu'ils font. --1R2N (d) 15 septembre 2011 à 10:08 (CEST)Répondre

Il est vrai que Tubalcain n’a pas non plus l’ascendance la plus chouette qu’on peut rêver. Cette symbolique négative attachée au forgeron est intéressante, mais je ne vois pas très bien le rapport avec la question : je ne crois pas qu’on sache qui a forgé Joyeuse, Hauteclaire, Courtain... et inversement, je ne trouve rien qui indique que les armes de Masamune soient baptisées. rv1729 16 septembre 2011 à 23:28 (CEST) Sinon, y a Cétautomatix.Répondre
Ce que je voulais dire c'était que les Japonais attachaient une réelle importance à la qualité de leur arme, sans la baptiser, ils avaient du respect pour une lame forgée par Masamune ou d'autres artisan de renom. L'article forgeron montre que ce sont des dieux importants des panthéons celte et nordique comme Brigit ou Thor qui protège ces artisans. Par contre, les Grecs et les Romains dévalorisaient le travail manuel, la forge comme le reste. Ils n'attachaient pas une importance particulière à la qualité de leurs armes (le pilum était même volontairement faussé pour ne pas reservir après avoir été lancé). Par contre, si on regarde l'Occident médiéval, il exporte des lames d'acier reconnues comme de bonne facture, le pape tente même de limiter la vente au pays musulmans. Donc, ce débat m'évoque la vision qu'une société a de sa production métallurgique, dans un cas elle est strictement utilitaire voire dévalorisée car d'origine servile, dans l'autre elle est rattachée au sacré directement (celte, scandinave) ou par héritage (Moyen-Age influencé par la civilisation germanique) et du coup plus soignée. Ajoutons que les guerriers sont une caste (cf Dumézil). Les Francs liaient la possession de l'Angon au pouvoir par exemple. Comme disait rv, faut être atteint pour donner un nom à sa bagnole mais par contre le nombre de maison dotées d'un petit nom ("mon repos", "ker bernadette") m'amène à penser que c'est un comportement normal : peut être faut-il y voir le rapport plus important à notre foyer qu'à notre voiture dans notre société. Pour un ancien, une épée c'est un truc dont on se sert pour péter la gueule du barbare quand il le faut ; pour un chevalier c'est le symbole de sa condition, un objet qu'on porte de telle ou telle manière et que le manant n'a pas le droit de posséder. --1R2N (d) 18 septembre 2011 à 11:34 (CEST)Répondre
Mais un pilum n’est pas un glaive : pour un pilum, se briser est une qualité car l’ennemi ne peut vous le renvoyer ! Il me paraît naturel qu’un soldat se soucie de la solidité et du tranchant de son glaive, et qu’il l’entretienne avec soin, car sa vie peut en dépendre. Bref, j’émets des doutes sur ta théorie, et j’aimerais bien des références :). rv1729 18 septembre 2011 à 14:41 (CEST)Répondre

Hier soir

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Bonsoir savantes pythies,
Quelqu'un connaît-il le nom d'une chanson (Last night ?) et de l'interprète (Phil Collins ?) qui raconte une soirée dédiée aux vétérans de l'armée (US) au cours de laquelle le narrateur semble tomber sous le charme d'une femme qu'il aperçoit et dont on finit par comprendre qu'elle est la veuve d'un qui ne rentra jamais ? C'est très trisse, mais c'est très beau (snif). Merci d'avance. Hop et re-snif. Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 13 septembre 2011 à 23:47 (CEST)Répondre

Philosophes pro et anti transhumanisme

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Bonjour encore chères Pythies,

Je suis à la recherche de philosophes reconnus militant pour le transhumanisme ou encore (et surtout) s'y opposant (ou même, d'ailleurs, s'y intéressant de près sans nécessairement prendre parti, si telle chose est possible). Malheureusement, l'article transhumanisme énumère principalement des penseurs non reconnus dans le domaine de la philosophie, et plutôt dans ceux de la science. Pourriez-vous m'aider ?

Grand merci d'avance ! --Grelot-de-Bois (d) 14 septembre 2011 à 03:25 (CEST)Répondre

Bon sang, si ça c’est pas un article promotionnel écrit par des allumés, y en a aucun sur la ouiquipédie... rv1729 14 septembre 2011 à 08:54 (CEST)Répondre
Ça fait la troisième fois que j'essaie d'ajouter mon grain de sel à cette question mais bon, un problème explique largement pourquoi il n'y a pas de « philosophes reconnus » qui approuvent le, ou s'opposent au transhumanisme : s'ils sont reconnus en tant que philosophes, c'est en général parce qu'ils s'occupent de questions intéressantes, serait-ce pour les remettre en cause... -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 05:26 (CEST)Répondre
Joli taunt, mais est-il juste ? Le transhumanisme, à mon avis, est un sujet intéressant de la philosophie, qui offre un nouveau point de vue sur de nombreuses questions classiques : qu'est-ce que l'homme, quels sont ses droits, etc. C'est plutôt sa récente apparition et sa proximité à la science-fiction qui doivent être responsables du manque de philosophes réfléchissant sur lui.--Grelot-de-Bois (d) 15 septembre 2011 à 16:23 (CEST)Répondre
« Taunt » ? Pour le reste tu as peut-être raison mais je ne crois pas. Les gender studies et la théorie queer, qui s'y rapporte, ou encore les études sur le care, en partie reliées aux gender studies, n'ont pas plus d'ancienneté mais sont beaucoup discutées, en bien ou en mal, par des philosophes reconnus. Le transhumanisme souffre des mêmes défauts que les autre « théories » développées par les « futurologues » : elle part d'une situation donnée et fait des projections sur le devenir de l'humanité « toutes choses égales par ailleurs ». Le problème étant que si l'on fait des projections, non pas sur un segment de la réalité et à court ou moyen terme mais sur l'ensemble de la réalité humaine et à long terme, très vite les choses « par ailleurs » ne sont plus trop égales... Il me semble que dans ce cas comme dans les autres concepts désormais disparus développés par les autoproclamés futurologues, ça intéresse plus les médias que les penseurs et c'est voué à un terme pas si lointain à finir dans les poubelles de l'histoire. -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 17:30 (CEST)Répondre

Élections

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Bonjour les Pythies. Comme le psychodrame a recommencé en Belgique, je me pose une question peut-être bizarre, mais enfin... : a-t-on jamais imaginé et essayé de mettre en pratique un système d’élection (dans un régime démocratique hors Grèce antique-Athènes  ) basé sur la possibilité de votercontre un candidat ? ce qui fait qu’à partir d’un pourcentage x il ne pourrait être élu ? Merci de vos réponses. --Égoïté (d) 14 septembre 2011 à 13:43 (CEST)Répondre

Pour un vote direct je ne sais pas (ou pas encore, vais chercher ça) mais de manière indirecte il y a le système du vote de confiance (ou motion ou question), assez courant dans les démocraties sous diverses formes, qui devient bien un vote de défiance si une majorité des parlementaires se prononce contre le chef de l'État ou du gouvernement. -O.--M.--H.- 14 septembre 2011 à 15:00 (CEST)Répondre
PS. Dans cet article on rappelle une possibilité offerte en France (pour les seules municipalités de moins de 3.500 habitants, actuellement), qui n'est pas pas proprement un vote négatif mais qui s'en approche : la possibilité de rayer des noms dans une liste et même de panacher (voter pour des personnes de plusieurs listes, voire rajouter le nom de personnes qui ne sont pas candidates). Ça n'est pas strictement un vote contre mais ça s'en approche. -O.--M.--H.- 14 septembre 2011 à 15:12 (CEST)Répondre
C’est ce que l'on fait sur toutes les élections sur Wikipédia (pour les admins, les bureaucrates, les arbitres, avec, à chaque fois, des critères numériques spécifiques) ! Mais pour des hommes politiques, cela n’existe pas à ma connaissance (tout ce qui existe est la procèdure de "recall" (article à créer en français !), mais il faut déjà être élu). (Mais pour revenir à un implicite de ta question : ta proposition ne conduirait à rien en Belgique, puisque le système électoral du pays est scindé en deux : il existe deux systèmes partisans juxtaposés. Les électeurs wallons ne peuvent voter que pour des membres d’un parti politique wallon, tout comme les Flamands ne peuvent voter que pour les membres d'un parti politique flamand. Et les hommes politiques qui sont favorables à la fin de la Belgique sont tous flamands, et sont tous extrêmement populaires en Flandre, où leurs partis remportent systématiquement les élections (N-VA, et la C-DV qui partage maintenant quasiment la même ligne). Même avec un vote négatif, ils y gagneraient les élections.) gede (d) 14 septembre 2011 à 15:45 (CEST)Répondre
Accorde-moi de pouvoir être utopiste... de rêver d’un pays qui accepterait légalement un referendum, d’un pays où tous les habitants pourraient voter au niveau fédéral pour tous les candidats de leur choix quelque soit leur régime linguistique, et d’un pays où les électeurs pourraient éliminer par un vote « contre » les empêcheurs de réfléchir sereinement et de trouver des consensus...Accorde-moi, à défaut de pouvoir être utopiste, de m’interroger sur la technique démocratique...
bah, si ton problème c'est la technique démocratique, ne perd pas de vu la base : l'élection N'EST PAS une technique démocratique, c'est une technique aristocratique d'estimation de rapport de force militaire (par le nombre de partisans). Une démocratie fonctionne sans vote : par tirage au sort ou par consensus gem (d) 14 septembre 2011 à 17:10 (CEST)Répondre
Dois-je comprendre que WP est l’endroit le plus démocratique du monde ?   --Égoïté (d) 14 septembre 2011 à 16:07 (CEST)Répondre
La méthode la plus démocratique semble être le vote de Condorcet. Cela évite les extrémismes (un candidat populaire mais détesté par une partie de l'électorat ne sera pas élu) et mène à des solutions consensuelles. Mais seules quelques communautés de logiciels libres semblent l'utiliser... --Serged/ 14 septembre 2011 à 16:15 (CEST)Répondre
voir Système électoral pour une liste de ce qui a été imaginé
note que techniquement, voter pour des candidats (ou faire une autre fantaisie...), c'est voter contre tous les autres, et réciproquement. C'est donc une simple question de présentation, peut-être pas totalement neutre sur la psychologie, mais théoriquement d'intérêt très douteux. gem (d) 14 septembre 2011 à 17:10 (CEST)Répondre
Oui d’accord nous ne vivons pas dans une démocratie, ni toi ni moi ! J’ai d’ailleurs apprécié récemment cette vidéo d’Étienne Chouard (que je ne connaissais pas : en belgique la population n’a pas eu droit de débattre directement du traité institutionnel européen) que m’a dégottée mon fils. Mais je ne pense pas que voter pour quelqu’un, lorsque plusieurs candidats se présentent à la même élection, signifie voter contre un autre. Par contre l’article amené dans cette discussion par Olivier (merci !) m’intéresse : Vote pondéré donne aussi un lien vers Vote par valeurs; il y a donc d’autres possibilités que celles utilisées traditionnellement mais elles semblent ne pas être mises en pratique dans le cadre d’élections politiques nationales ou régionales. --Égoïté (d) 14 septembre 2011 à 17:25 (CEST)Répondre
CQui (d) La derniere election en Irlande, dans chaque canton, les electeurs donnaient un rang a chaque candidats, en marquant 1 acoté du preferé, 2 pour le second et ainsi de suite. pendant le vote, ceux qui n'avaient pas assez étés au rang 1 pour etre elus pouvaient se retirer et donc le 2 de chaque buletin correspondant prend le vote... les buletin supplementaires de ceux qui ont plus que le nombre minimum de vote au rang 1 sont versés au prorata pour ceux qui sont au rang 2, et ainsi de suite. cela permet d'indiquer que si le candidat preferé n'a pas besoin de ton vote, qui aurra le buletin, donc de penaliser un gars d'un parti tout en votant pour un autre du meme parti ou donner une chance aux cadidat independant tout en votant pour le candidat d'un parti principal. --15 septembre 2011 à 18:28 (CEST)Répondre
Soit ceci Scrutin à vote unique transférable plus ou moins ? --Doalex (d) 15 septembre 2011 à 18:52 (CEST)C'est ça, en mieux ecrit. --CQui (d) 17 septembre 2011 à 13:40 (CEST)Répondre

Le résultat de tout cela est que j'ai découvert beaucoup de choses, merci à vous. Mais que je me sens incapable de me décider pour l'un ou l'autre système de vote... …  … et que je me demande ce qui a amené/pourrait amener des élus à modifier le système en vigueur dans leur pays. --Égoïté (d) 17 septembre 2011 à 08:53 (CEST)Répondre

Les modes électoraux actuels répondent à une certaine forme d'organisation sociale, hiérarchique et délégataire (mot à usage substantif seulement jusque-là mais qui vaut comme adjectif). La logique implicite est qu'une fonction politique délégative doit être assurée en permanence sinon c'est l'anarchie, la gabegie et plus rien ne fonctionne. La situation Belge pourrait contribuer à démontrer la très relative validité de cette logique mais on préfère ne pas trop l'analyser et l'aborder sur le mode de la déploration inquiète. Tant pis. Avec une telle logique il devient impossible sinon d'imaginer, du moins de mettre en œuvre un mode d'élection où il se pourrait qu'un certain nombre de candidats, voire tous, ne réunissent pas assez de suffrages pour que tous les mandats mis au vote soient pourvus.
Les États qui organisent des élections réelles (je veux dire, pas les simulacres qu'organisent les régimes autoritaires) ont une philosophie implicite axée sur le quantitatif, et des modes électoraux comme la méthode Condorcet, où prime le qualitatif, leurs posent problème. Pourtant, la méthode simpliste du candidat ou de la liste qui recueille le plus de voix n'est franchement pas optimale. Et le principal obstacle évoqué pour des modes d'élection qualitatifs, la complexité de leur mise en œuvre, est levé dans une société où les traitements automatiques complexes sont à la portée même d'un téléphone portable.
Pour que les politiciens modifient les systèmes électoraux en place, il faudrait que les sociétés changent profondément, car ils sont le reflet d'un fonctionnement général de ces sociétés. J'entendais cette semaine d'intéressants entretiens de Charles Piaget sur France Culture, où il retraçait son propre parcours et son aventure au sein de la société Lip. Cette histoire est l'illustration exemplaire de la difficulté à faire évoluer les mentalités, à tous les niveaux, et aussi l'illustration du fait que les personnes qui sont du côté du manche savent mobiliser beaucoup de moyens pour faire que rien ne change. La question est donc moins tant « ce qui pourrait amener des élus à modifier le système en vigueur dans leur pays » que ce qui pourrait amener les citoyens à faire usage de leur pouvoir plutôt que de le confier à des élus peu fiables. -O.--M.--H.- 17 septembre 2011 à 10:11 (CEST)Répondre
Tu as raison et pose plus correctement ma question. Mais que faire ? Les Belges se mobilisent rarement, c'est le moins qu'on puisse dire depuis plus de 500 jours. Je doute qu'une infime fraction de la population qui interpellerait ses députés avec ce problème aurait un impact sur les élus. Or c'est bien ceux-ci qui, in fine, choisissent le mode d'élection. Donc : auriez-vous des exemples concrets d'actions citoyennes qui ont mené des pouvoirs politiques à modifier leur mode de scrutin ? Merci déjà, --Égoïté (d) 17 septembre 2011 à 12:57 (CEST)Répondre
Que faire ? Mais rien ! Le système électoral n'a aucune importance, à preuve le peu de différence politique entre les pays pratiquant des scrutins fort différents. Le cœur de la démocratie, le vrai, le seul point commun entre les pays dits "démocratique", c'est un marché qui fonctionne sans "trop" d’intervention du pouvoir gem (d) 18 septembre 2011 à 22:33 (CEST)Répondre
Le seul point commun entre les pays démocratiques est une régulation sociale par l'impôt pour une politique redistributrice. Il y a plus d'une dictature ou d'un État autoritaire (Chili de Pinochet, Chine d'aujourd'hui, Nigéria depuis son indépendance, etc.) où l'on trouve « un marché qui fonctionne sans "trop" d’intervention du pouvoir » et sans du tout de démocratie, il n'y a pas de dictature ou d'État autoritaire où l'on constate l'égalité entre citoyens. -O.--M.--H.- 19 septembre 2011 à 05:05 (CEST)Répondre
D'où il faut conclure que Bismark, Pétain et les autres tuteurs des politiques redistributrices (Cuba, etc.) sont des grands démocrates, que la chute du mur a été une terrible défaite de la démocratie puisqu'elle s'est accompagnée par un recul sans précédent de ce genre de politique, que la transition sans heurts des régimes Pinochet ou Franco à la "démocratie" est un pur miracle ... Quant à l'égalité, elle n'est jamais plus parfaite que quand chacun vaut zéro, et mettre chacun à zéro c'est la façon la plus simple de l'atteindre : l'égalité entre sujets (pas citoyens évidemment !) ne s'oppose pas à dictature/ autoritaire, au contraire. Bon on va pas transformer le fil de l'Oracle en forum, je crois que tu as saisi gem (d) 19 septembre 2011 à 12:19 (CEST)Répondre

Contourner un proxy

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Bonjour

Dans notre école pour se connecter à Internet, il faut passer par le proxy de l'école. Le problème qu’il nous autorise pas à entrer à divers sites et même de télécharger des AVI, RAR, ZIP ...etc (on peut pas entrer à chaque site dont le nom contient un mot non autorisé, par exemple je ne peut pas voir les articles de Wikipédia qui ont le mot film dans leur titre). J'ai entendu qu'il y a des moyens (logiciels) pour contourner ces limitations, alors quelqu'un sait des noms d'un logiciel qui me permettra de connecter librement.

Merci

Salut. Désolé, l'Oracle ne répond qu'à des questions d'ordre encyclopédique et en tous les cas, ne donne jamais de conseils de ce genre. Il y a une manière plus intelligente de résoudre un tel problème, en discuter dans les instances de l'école où les élèves peuvent exprimer des doléances. -O.--M.--H.- 14 septembre 2011 à 17:27 (CEST)Répondre
sinon en gogolisant "comment+contourner+un+proxi" ... Cobra Bubbles°°° Dire et médire 14 septembre 2011 à 17:48 (CEST)Répondre
Vérifiez quand même la charte informatique que vous avez dû signer en contrepartie de l'accès Internet... S'ils s'aperçoivent de quelque chose vous perdrez complètement votre connexion. Arnaudus (d) 14 septembre 2011 à 18:13 (CEST)Répondre
Dans le sens d’Olivier : demandez de « whitelister » le contenu de wikipédia.
À part ça, apprenez à programmer en php, et créez votre propre service de contournement à l’aide d’un hébergeur de pages persos. C’est faisable, avec un poil d’astuce et un poil de technique, bref c’est un objectif réaliste. Voilà une bonne motivation pour apprendre des tas de choses ! :P rv1729 14 septembre 2011 à 23:30 (CEST)Répondre
Enfin, n'oubliez pas que Wikipédia bloque les accès par ces logiciels, sauf autorisation spéciale. Vous risquez de créer plus de problème que de solution. Bertrouf 15 septembre 2011 à 02:48 (CEST)Répondre

ad lapid.del.

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Bonsoir les pythies, dans l'ouvrage de j.B. de Férussac, d'A. E. de Férussac, et d' Alcide d’Orbigny : Histoire naturelle, générale et particulière des céphalopodes acétabulifères etc., le peintre et graveur Antoine Chazal utilise l'abréviation ad. lapid. del. je traduit: dessiné sur la pierre, certes lith. del, est incongru, on mélange le grec et le latin, mais j'ai rarement vu cette abréviation; Auriez-vous d'autres exemples ? (Acétabulifère signifie pourvu de ventouses). Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (d) 14 septembre 2011 à 17:46 (CEST)Répondre

Non, nada. --Epsilon0 ε0 14 septembre 2011 à 18:01 (CEST)Répondre
"Ad Lapidarius Delectorum" ? inconnu au bataillon, mais où est le grec? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 88.189.78.26 (discuter), le 18 septembre 2011 à 00:50

Homonyme de Blaise Diagne

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Bonjours Messieurs, je suis a la recherche d'une information relative au premier députe noir Blaise Diagne. En effet il me semble avoir note lors de la soutenance de thèse du Professeur Iba Der Thiam a la Sorbonne en 1983 sur l'histoire syndicale du Senegal que Blaise Diagne, de son véritable nom Galaye Diagne, tenait son prénom d'un ami de son père qui s'appelait Galaye Thiam qui était bijoutier a goree. Merci m'éclairer sur ce point. Mon adresse email est xxxyyyzzz @ Yahoo.fr. Merci de votre prompte reponse car information contenue dans un ouvrage a publier. Bien a vous

  L'insertion d'adresses de courriel est fortement déconseillée sur Wikipédia, pour éviter le risque d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses. Votre adresse a donc été effacée de cette page.
En savoir plus sur l'utilisation des courriels sur Wikipédia.
Lire aussi Aide:Discussion (il n'est cependant pas sûr que la page de discussion d'un article soit très réactive; vous pouvez aussi essayer du côté de Projet:Sénégal / Discussion Projet:Sénégal). -- Xofc [me contacter] 15 septembre 2011 à 07:15 (CEST)Répondre

Si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille

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Bonsoir,

Molière, l’École des femmes : « Elle était fort en peine, et me vint demander, Avec une innocence à nulle autre pareille, Si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille. »

Désolé de ne pas maîtriser les outils de recherche sur Wikisource mais je n’arrive pas à retrouver l’acte et la scène de cette citation.

Merci d’avance à ceux qui pourront m’aider : c’est pour l’article Ferdinand Oreille de Carrière . Alphabeta (d) 14 septembre 2011 à 21:33 (CEST)Répondre

Ceci peut-il aider? (Mitch)2 14 septembre 2011 à 21:42 (CEST)Répondre
Exact; de plus Wikisource sera toujours ton ami pour ce genre de question : Acte 1, scène 1. Une fois dans le texte sur Wikisource, il faut utiliser la fonction de recherche (édition - rechercher) de ton navigateur (Firefox ou internet explorer) Dhatier jasons-z-en 14 septembre 2011 à 21:46 (CEST)Répondre

N’étant point un ingrat, j’ai tenu à remercier les pythies ici :

Alphabeta (d) 26 septembre 2011 à 20:40 (CEST)Répondre

Mariages forcés dans les monarchies européennes

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Bonjour,

Je recherche des exemples (ou mieux une liste) de reines ayant été mariées de force pour des raisons de pouvoir.

Pour compliquer les choses, je cible mes recherches dans ces limites :

Epoque : du 15e au 19e sciecle

Zone : Europe de l'Ouest (France, Espagne, Angleterre, Allemagne, Autriche, Italie ..... etc )


Cette pratique était surement très répendue Je suis en train de lire l'historique de toutes les reines des pays Européens dans l'espoir de trouver mon bonheur, mais je n'ai trouvé aucun article précisant comment tel ou tel mariage a été décidé. J'ai recherché longuement sur wikipedia et sur le net, mais je ne trouve pas ma réponse.


Je connais les raisons de ces mariages (pouvoir, argent) J'aimerais analyser un cas concret qui a poussé les dirigeants des pays à ses extremités. Cela me permettreais de répondre à plusieur questions (conséquences, réactions de l'entourage, vengeances...)


Je vous remercie d'avance de votre aide

Communication non signée ; l’histo indique : 15 septembre 2011 à 13:35 Kironie (discuter | contributions) (64 403 octets) (→Mariages forcés dans les monarchies européennes : nouvelle section) (défaire). Bienvenue à Kironie (d · c · b) : c’est sa première communication. Alphabeta (d) 15 septembre 2011 à 13:50 (CEST)Répondre
La réponse est aisée : si tu trouves une liste de toutes les reines d'Europe entre les débuts officiels du Moyen Âge et le milieu du XXe siècle tu auras ta liste, pour la simple raison que jusqu'à date récente, si parfois les hommes nobles pouvaient choisir leur compagne légitime, les femmes nobles n'avaient rien à dire là-dessus et leurs mariages étaient nécessairement des mariages arrangés. Mais la notion de « mariage forcé » n'a pas grand sens dans le cadre d'une société où le mariage arrangé est la norme, le mariage libre l'exception – dans les sociétés d'Ancien Régime le mariage libre était beaucoup plus exceptionnel que l'union libre. -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 14:09 (CEST)Répondre
Un mariage conforme au principe ne peut être un mariage forcé. Aujourd'hui la norme est le mariage d'amour, hier c'était la légitimité et le mariage arrangé - l'amour se situant toujours au Moyen-äge en-dehors du mariage, du moins chez les riches. Néanmoins on pourrait parler de mariages forcés dans certains cas comme celui de Anne de Bretagne où on a manifestement forcé le cours des choses pour déloger un prince étranger. Apollon (d) 15 septembre 2011 à 15:01 (CEST)Répondre
+1 et +1. "de force" ça n'a guère de sens dans le contexte. L'expression sous-entend un mariage contre la volonté ou le droit de la mariée, mais encore faut-il qu'il existe une norme sociale reconnaissant l'existence et l'expression de cette volonté, de ce droit d'opposition de la mariée au mariage. D'autre part on a jamais vu une mariée royale chargée de chaine ou menacée d'une arme devant l'autel (sauf erreur, mais alors : qui ?) : même en cas d'union "forcée", la force n'est pas utilisée, Union de la Bretagne à la France#Unions matrimoniales donne une idée du pire cas possible : un mariage suite à une guerre. gem (d) 15 septembre 2011 à 15:31 (CEST)Répondre
Un exemple fort connu est celui de Marie-Thérèse d'Autriche (1638-1683) dont le mariage est le résultat d'une des conditions du Traité des Pyrénées ceci n'est qu'un exemple pour la France (voir aussi Liste des reines de France) , pour le reste des pays européens il faut éplucher le Portail:Monarchie/Index thématique .--Doalex (d) 15 septembre 2011 à 15:43 (CEST)Répondre
Celui-ci semble bien arrangé mais non forcé. Apollon (d) 15 septembre 2011 à 15:51 (CEST)Répondre
De toute manière ces arrangements sont réciproques, même si l'on parle de mariage forcé ça concerne autant les rois que les reines : quand le mariage est décidé, Louis XIV n'a pas plus le choix que Marie-Thérèse. Comme le rappelle notre article, « adolescent, [Louis] fait la rencontre d'une nièce de Mazarin, Marie Mancini. S'ensuivra entre eux une grande passion, contrariée par le cardinal qui, conscient des intérêts de la France et des siens, préfère lui faire épouser l'infante d'Espagne ». De même pour ces nombreux dauphins « fiancés » (en fait, éléments d'un traité de concorde ou d'alliance) dès leur plus jeune âge, voire dont le sort matrimonial était décidé avant même leur naissance.
Dans la société d'Ancien Régime l'individu, qu'il soit homme ou femme, serf ou roi, ne s'appartient pas et n'est pas libre de son destin, sauf à rompre avec tous les liens qui font d'une personne un être social. -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 16:54 (CEST)Répondre
Je suis évidemment d'accord avec tout ce qui a été dit plus haut sur la notion même de mariage forcé... J'ajoute tout de même qu'on connaît quelques exemples, tantôt masculins, tantôt féminins, tantôt les deux, ou le mariage aboutit à un (semi) désastre justement parce qu'il n'existe aucun atome crochu entre les mariés : Isabelle II d'Espagne et François d'Assise de Bourbon (en réaction à l'homosexualité de son mari, celle-ci va entretenir de nombreuses liaisons) ; George IV du Royaume-Uni qui finit par répudier et chasser Caroline de Brunswick ; Rodolphe d'Autriche qui se suicide (Peut-être) peu de temps après son mariage avec Stéphanie de Belgique ; Ernest Ier de Saxe-Cobourg et Gotha qui répudie Louise de Saxe-Gotha-Altenbourg et lui interdit de voir leurs enfants... Il existe également des variantes chez des princes et princesses, dont la très médiatique histoire de la princesse Louise de Belgique, épouse malheureuse de Philippe de Saxe-Cobourg-Kohary... Pour moi, on aurait là le scenario le plus approchant pour ce que tu recherches : mariage lié à une dot importante, tromperies mutuelles, internement de l'épouse, fuite rocambolesque avec l'amant, scandale médiatique, chantage sur la famille de la princesse, interdiction de voir ses enfants, etc. ! Konstantinos (d) 15 septembre 2011 à 20:13 (CEST)Répondre
Et que penser du mariage (en 1859) de Marie-Clotilde de Savoie (née en 1843) avec le Prince Napoléon (né en 1822) : on réalisait l’unité italienne voilà tout. Alphabeta (d) 15 septembre 2011 à 20:29 (CEST)Répondre
Je pense que la formulation de cette question repose sur un anachronisme, le mariage forcé dont vous parlez se définit par rapport à la conception romantique du mariage qui correspond à des sociétés individualistes postérieures à celle des royautés qui sont des sociétés communautaires.
Il ne s'agit pas de mariages mais d'alliances entre des familles qui sont régies par les règles qui s'appliquaient aussi bien chez les familles possédantes de paysans, d'artisans ou de nobles. Cette alliance rétablissait un lien de parenté entre deux branches d'une famille qui commençaient à devenir étrangères, donc à ne plus être solidaires mais rivales et hostiles. Les familles avaient une stratégie matrimoniales, les enfants étaient tout autant intéressés à faire un mariage important pour la famille puisque cela leur ouvrait des perspectives de vie où ils auront plus d'importance.
L'alliance étaient souvent décidée par les familles avant l'âge adulte, parfois avant la naissance, mais le mariage effectif nécessitait le consentement des futurs époux, manifesté publiquement et sans contrainte, sous peine de nullité.
Le mariage, appelé couramment établissement, était l'équivallent actuel d'être reçu dans une formation et de trouver un emploi. En principe le choix du métier et de l'employeur est purement une question de goût et d' affectio societatis, c'est un choix libre, mais dans les faits c'est un choix souvent contraint par les possibilités et par la nécessité, à la limite du travail forcé pour un employeur qu'on déteste.
" on connaît quelques exemples, tantôt masculins, tantôt féminins, tantôt les deux, ou le mariage aboutit à un (semi) désastre justement parce qu'il n'existe aucun atome crochu entre les mariés ". Des exemples ne prouvent rien. On connaît encore plus de cas de mariages dits d'amour, mais en réalité de narcissisme, qui tournent au vinaigre, en particulier chez les stars de cinéma et de la chanson. On dit même que les mariages arrabgés étaient plus solides et plus heureux que les mariages de caprice.
Le mariage d'amour où aucune question d'intérêt ne serait déterminante est un mythe, le fait par exemple que le futur mari soit assuré d'avoir une bonne situation, un bon revenu, et une carrière intéressante, est très largement pris en compte dans le mariage d'amour, et dans le fait de tomber amoureux. Du reste, la phase d'amour passion possessive ne dure physiologiquement qu'un temps de deux ou trois années, ensuite le mariage d'amour devient mariage de convenance, avec une autre forme d'amour.
Pour en revenir à la question, les mariages reconnus forcés done lieu à des procédures d'annulation pour vice de consentement ou d'affinité, dont il y a pas mal d'exemples, et qui sont documentés. Le cas de la reine Margot montre à quel point la question n'est pas simple, il y avait aussi des démariages forcés par la famille, tout aussi mal vécus. -- Heurtelions (discuter) 23 juillet 2018 à 15:16 (CEST)Répondre

comment mettre les accents majuscules avec le clavier français?

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Selon cette article: [4],

« On ne peut que déplorer que l'usage des accents sur les majuscules soit flottant. On observe dans les textes manuscrits une tendance certaine à l'omission des accents. En typographie, parfois, certains suppriment tous les accents sur les capitales sous prétexte de modernisme, en fait pour réduire les frais de composition.

Il convient cependant d'observer qu'en français, l'accent a pleine valeur orthographique. Son absence ralentit la lecture, fait hésiter sur la prononciation, et peut même induire en erreur. Il en va de même pour le tréma et la cédille.

On veille donc, en bonne typographie, à utiliser systématiquement les capitales accentuées, y compris la préposition À, comme le font bien sûr tous les dictionnaires, à commencer par le Dictionnaire de l'Académie française, ou les grammaires, comme Le Bon Usage de Grevisse, mais aussi l'Imprimerie nationale, la Bibliothèque de la Pléiade, etc. Quant aux textes manuscrits ou dactylographiés, il est évident que leurs auteurs, dans un souci de clarté et de correction, auraient tout intérêt à suivre également cette règle. »

Alors, comment est-ce qu'il faut mettre les accents sur les majiscules? Les lettres ainsi que é et à deviennent des numéros (2 et 0) avec le "shift key"... alors comment faire? Que font les membres de l'académie, qui utilisent des ordinateurs comme le reste du monde?

Bonjour. Premièrement, avec certains claviers (pas de base sous Windows en effet) notamment sous Linux, avec un Verr. Maj + 2 on obtient un É par exemple. Pour Mac je sais pas. Après, des dispositions claviers alternatives existent, le Bépo propose toutes les majuscules accentuées. Et enfin, avec un pavé numérique et la touche Alt, on peut tout écrire : voir ce tableau. Par exemple, avec Alt+0192 on obtient À. Et Alt+0199 donne Ç. C'est juste quelques pistes bien sur. Pkthib Discuter 15 septembre 2011 à 19:08 (CEST)Répondre
Sous Windows, pour les majuscules (ou les minuscules non prévues, comme ò) on peut placer un accent grave en combinant AltGr+è puis la lettre (marche pour certaines consonnes). La méthode Alt+nombre sur le pavé numérique marche bien mais il faut avoir sa table ASCII sous la main. Jusqu'à Windows XP il y avait parmi les composants supplémentaires le programme « table de caractère », qui existe probablement dans les version plus récentes. Enfin, il existe des pilotes de claviers alternatifs qui ajoutent des caractères non prévus, comme le É, le œ, le Œ, celui que j'utilise est KBDFRAC, fonctionnant sous toutes les versions de Windows depuis 95 jusqu'à XP, pour les versions ultérieures, non testé. -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 19:41 (CEST)Répondre
Sous Word 2010 Insertion caractères spéciaux. Sinon on va sur Wikipédia et il y a déjà sept majuscules accentuées É È Ê Ë À Â Ä proposées, quand on modifie une page, on fait un copier-coller, voir aussi l'aide sur les caractères spéciaux toujours en bas, le logiciel de reconnaissance vocale que j'utilise met d'office certains accents : Édouard, et les correcteurs d'orthographes proposent Élisabeth à la place d'Elisabeth, comme c'est le cas actuellement avec Mozilla comme navigateur. Philippe Nusbaumer (d) 15 septembre 2011 à 20:58 (CEST)Répondre
Ah oui, il y a ça aussi, pas mal de programmes, notamment les traitements de textes et les suites logicielles de bureautique, ont prévu l'insertion de caractères spéciaux (non disponibles sur le clavier). -O.--M.--H.- 15 septembre 2011 à 21:10 (CEST)Répondre
Avec un Mac, caps lock + lettre accentuée : À, É, Ù ; ou touche accent + lettre + maj : Ù, Û, et hop. Morburre (d) 15 septembre 2011 à 21:17 (CEST)Répondre
Les trois principaux codes ASCII à mémoriser sont :
É = alt144 ; À = alt0192 et Ç = alt0199 (NB le zéro est indispensable pour ces deux derniers).
Une autre possibilité est d'introduire d'abord l'accent en appuyant simultanément sur « Alt Gr » et sur la touche « ù/%/´ » (accent aigu) ou la touche « µ/£/` » (accent grave), puis la lettre majuscule.
Les accents circonflexes et les trémas se placent sur les capitales de la même manière que sur les bas de casse.
- Cymbella (répondre) - 15 septembre 2011 à 22:38 (CEST)Répondre
Ç'ÉST PŠ ÐÍFFÏČİLƏ PÖÜRTAÑT ? --GaAs 15 septembre 2011 à 23:10 (CEST)Répondre
« É = Alt144 » Super, moi je fais toujours Alt0201 (et Alt0200 pour È) Comme quoi, ce ne sont pas les moyens qui manquent... --Floflo (d) 15 septembre 2011 à 23:34 (CEST)Répondre
Le 0 en début de nombre indique au système « caractère unicode » (ou UFT, je ne suis plus sûr) ; sans lui, ça indique « caractère ASCII » ou en tout cas la page de code utilisée sur la machine. Alt128 donne Ç, Alt0128 donne €. -O.--M.--H.- 17 septembre 2011 à 08:02 (CEST)Répondre
Pour Mac ça marche comme pour Linux : VerrMaj permet de taper les majuscules accentuées. Pour Windows, on peut installer un clavier alternatif comme le clavier Denis Liégeois. Sinon, avec Windows AltGr-7 + la lettre donne l'accent grave. Sous Word Ctrl-4 + Lettre donne une lettre avec accent aigu. --Serged/ 16 septembre 2011 à 08:21 (CEST)Répondre

Tutoiement au Danemark

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Entendu hier aux infos d'Arte un (court) extrait d'un débat télévisé entre les deux principaux candidats aux élections danoises. Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre les deux candidats se tutoyer. C'est une habitude danoise ou une facétie du traducteur ? --Serged/ 16 septembre 2011 à 08:51 (CEST)Répondre

La deuxième hypothèse est improbable. Une petite recherche Google ramène que le tutoiement est général et spontané dans ce pays, l'élève tutoie son prof et réciproquement, les personnes qui ne se connaissent pas utilisent plus volontiers le tutoiement que le voussoiement, etc. Conclusion, tes deux candidats, même opposés et peut-être même ne se fréquentant pas, ont probablement du se tutoyer en VO. -O.--M.--H.- 16 septembre 2011 à 09:49 (CEST)Répondre
Le traducteur aurait peut-être du transformer ça en vouvoiement, si il y a une facétie ça peut être de ne l'avoir pas fait ... gem (d) 16 septembre 2011 à 10:01 (CEST)Répondre
Merci de ces précisions... Je me coucherai moins bête ce soir... --Serged/ 16 septembre 2011 à 10:10 (CEST)Répondre
D'accord avec gem : dans une langue comme l'anglais, où le « you » est systématique sauf pour Dieu et chez les archaïsants qui usent encore du « thou », il y a tout de même moyen de différencier, par divers autres marqueurs, le « you » d'habitude qui peut se traduire (en littérature ou dans les films) par « tu » et le « you » de politesse, traduit par « vous ». Je suppose que c'est possible aussi, dans l'autre sens, pour le danois. -O.--M.--H.- 16 septembre 2011 à 15:08 (CEST)Répondre
voussoiement ? Je n'ai jamais entendu ce mot, ça vient du Québec ? --Guil2027 (d) 17 septembre 2011 à 00:57 (CEST)Répondre
Non, c'est le terme naturel, construit sur la racine vous. On trouve aussi, anciennement, « vousoiement ». « Vouvoiement » est construit par analogie avec tutoiement. -O.--M.--H.- 17 septembre 2011 à 02:58 (CEST)Répondre
Dans les langues les plus courantes, le « tu » désigne normalement une personne au singulier. Le pluriel de politesse ou de majesté est propre à une culture. La traduction française aurait pu avec raison en tenir compte. Peut-être que les candidats danois ne se « tutoyaient » pas, mais suivaient simplement la syntaxe de leur langue. --Mistig (d) 17 septembre 2011 à 11:46 (CEST)Répondre
Voir Tutoiement et vouvoiement. Pour le danois, c'est similaire au norvégien. Oblomov2 (d) 17 septembre 2011 à 18:32 (CEST)Répondre

Chiquito à Mankono

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Bonjour,

Connaît-on le vrai nom du surnommé Chiquito, mentionné ici ?

Merci. Apokrif (d) 16 septembre 2011 à 21:43 (CEST)Répondre

Capi Bakayogo d'après l'article Mankono, mais pas trouvé de source. Bertrouf 20 septembre 2011 à 08:15 (CEST)Répondre
Une source du 14 juin 2011 indique Commandant Zoumana Ouattara actuellement, mais son surnom est "Lieutenant Zoua" (repris sur l'article FNCI). Par ailleurs Capi Bayayogo ne serait en place que depuis 2006, or l'article cité date de 2004. Bertrouf 20 septembre 2011 à 08:29 (CEST)Répondre

L'identité féminine

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En ce moment, à la télé, on voit un groupe de femmes yéménites qui portent toutes exactement le même vêtement noir qui ne laisse voir que leurs yeux. Comment on fait pour les reconnaître ? Pourquoi elles ne portent pas un badge avec leur nom, comme les militaires ? Apokrif (d) 18 septembre 2011 à 14:38 (CEST)Répondre

On les reconnait par leurs yeux. le sourcier [on cause ?] 18 septembre 2011 à 15:11 (CEST)Répondre
Et par leur voix, et par la pointe de leurs chaussures, et par le motif brodé du niqab qui manifeste leur choix personnel quand elles ont l'occasion de l'acheter elle-mêmes (la plupart du temps, ce sont les hommes qui font les courses et l'aspect esthétique leur importe moins qu'aux dames). Amclt, --Égoïté (d) 18 septembre 2011 à 16:15 (CEST)Répondre
Et par la grâce de leur port et de leur geste et parce qu'elles te reconnaissent et te permettent de les identifier par un regard direct un peu insistant, et parce que l’âme apparait même sur le dessus de l'ongle et pourquoi pas dans d’habiles œillades ? Et, si l'on veut les reconnaitre. le sourcier [on cause ?] 18 septembre 2011 à 16:52 (CEST)Répondre
Hormis le fait que, au moins dans le cadre du village, de la ville ou du quartier, ça ne marche pas terrible, entre autres pour les raison énumérées ci-dessus, le but de ces vêtements étant de rendre leurs porteuses anonymes, si on ne les identifiait pas ça serait une réussite. -O.--M.--H.- 18 septembre 2011 à 17:56 (CEST)Répondre
On pourrait dire la même chose des réunions du Ku Klux Klan... --Serged/ 19 septembre 2011 à 07:35 (CEST)Répondre

CG Jung, la pierre et l'action narcotique

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Bonjour,

Je viens ici puisqu'après avoir cherché et cherché (j'ai fait 3 fois le tour de google, c'est pour dire), je ne trouve pas, et qu'il n'y a plus que les pythies pour me répondre.

J'ai lu le livre de Chuck Palahniuk "le festival de la couille (et autres histoires vraies)". Toutes les histoires sont sensées être vraies, mais il y a deux choses que je ne parviens pas à retrouver:

1- Chuck Palahniuk parle de la Tour de Bollingen que Carl Gustav Jung avait construite et indique que Jung en en parlant disait une profession de foi inscrite dans la pierre. Pourtant, cette histoire de profession de foi est introuvable par google. S'agit-il d'une erreur de traduction ou bien Chuck Palahniuk a-t-il inventé cette citation ? (ou alors s'agit-il du passage en grec de l'article Tour de Bollingen qui n'est pas traduit ?)

2- Chuck Palahniuk évoque l'action narcotique qui est l'incapacité d'entreprendre quoi que ce soit parce que le désastre semble inévitable. Là aussi, impossible de trouver quoi que ce soit. S'agit-il d'une erreur de traduction ou d'une invention ?

Merci d'avances pour vos lumières

--Marcellus55 (d) 18 septembre 2011 à 16:06 (CEST)Répondre

Salut. J'ai trouvé une référence à la « profession de foi » sur cette page (sans pouvoir certifier que la source de Lethier n'est pas la tienne), avec une analyse sur la fonction de cette tour pour Jung, et sur cette autre page il y a une traduction des inscriptions. Il semble que Lethier se base sur l'ouvrage autobiographique de Jung Ma Vie, où il parle de la symbolique de cette tour.
Pour « l'action narcotique », probablement une traduction approximative. -O.--M.--H.- 19 septembre 2011 à 07:54 (CEST)Répondre

Physique-Chimie : La régle des segments ?

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Bonjour, qu'est-ce que la régle des segments en Physique ? Bien amicalement.

Aucune idée, et pourtant la physique je connais un peu ...
google trouve une "règle des segments inverses" ( [5] )
Sinon, plus simple, je pense à Moment de force (mécanique) et Couple (physique) ( dans une Balance (instrument) par exemple)
gem (d) 18 septembre 2011 à 22:46 (CEST)Répondre

Wiki Proba

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Salut les pythies. Deux questions idiotes.

  • Quelle est à votre avis la probabilité qu'une commune sans particularité de 841 habitants comporte au moins un contributeur à Wikipédia ? (généralisation bienvenue)
  • Combien d'articles sur les communes de France n'ont ni photo, ni catégorie sur Commons ?

Merci d'avance à ceux qui oseront une réponse. --GaAs 18 septembre 2011 à 18:39 (CEST)Répondre

pour la première question : 99 % (pour ne pas dire 100 %); pour que l'article existe il faut qu'un habitant y ait contribuer
pour la seconde, c'est une question pour un bot... gem (d) 18 septembre 2011 à 22:57 (CEST)Répondre
Il existe des articles qui sont sur format standardisés, juste à remplir les cases: un contributeur peut créer le squelette d'un article sur une commune sans y avoir jamais mis les pieds ou même en avoir connaissance avant d'en tirer le nom dans une base de données. Un contributeur consciencieux fera des recherches et étoffera, un contributeur local y ajoutera une touche perso: photo, personnages, événements, histoire locale... Plus simple de faire le rapport NbrContribFr/PopFrance et reporter sur 841. Environ 5000 contributeurs et 70 000 000 de population, soit 1 personne sur 14 000, donc 0,06 personnes pour ta commune. A pondérer par le TurnOver.
Pour la première question, assez bonne : si on considère les utilisateurs inscrits et qu'on fait l'hypothèse vraisemblable que 70% sont Français, ça fait une chance sur 11. Cela dit, l'existence de la photo ne démontre pas le fait pour la « commune sans particularité de 841 habitants » en question, j'ai déjà fait quelques photos de bâtiments remarquables dans des communes où je ne réside pas ni n'ai jamais résidé. Pour la seconde question, je dis comme gem, cependant il est probable que pas mal de communes françaises n'ont pas de documents sur Commons. -O.--M.--H.- 19 septembre 2011 à 00:55 (CEST)Répondre
Il faut surtout distinguer les deux questions : J'ai contribué à des articles sur les villages autour du mien, puis des villages autour des endroits où j'ai habité, et également où ma famille ou belle famille habite, et j'ai surtout montré à ces personnes comment contribuer (éventuellement sous IP). Et on fait tous la même chose. Bref, pas besoin d'habiter un village pour le connaître. @Gem, les créations d'articles sur les villages ne suivent pas la même logique que les autres articles car beaucoup ont été créés par des bots, à partir des bases de données de l'INSEE. Bertrouf 19 septembre 2011 à 04:22 (CEST)Répondre
Ah zut, j'ignorais cette histoire de bot, j'ai donc donné une réponse mal fondée. Mais quand même, l'article n'est pas "pur bot", il a eu des contributeurs humains dont un qui a pris la peine de rajouter une référence au site internet de la mairie. gem (d) 19 septembre 2011 à 10:58 (CEST)Répondre
Pour le site internet de la mairie, il est aussi possible que ce soit le webmestre (ou autre responsable) du site (de la mairie) qui l'ai ajouté... --Serged/ 19 septembre 2011 à 13:21 (CEST)Répondre
Tiens ben, au fait, j'ai ma petite question aussi :
J'ai ma petite idée là-dessus... Et même depuis un moment   -O.--M.--H.- 19 septembre 2011 à 13:25 (CEST)Répondre
Vu le côté folichon du bled, je dirais que la probabilité est bien plus forte : manifestement, les habitants n'ont le choix qu'entre la messe, le bistrot, la chasse (ouverture le 25 septembre, faites gaffe) ou Wikipédia. Oblomov2 (d) 19 septembre 2011 à 13:41 (CEST)Répondre
Ben oui, les photos sont de moi, mais je ne fais pas partie des 841, donc je ne compte pas. Et j'ai fait mieux : Saint-Ange-le-Viel, 227 habitants.  Mais vous n'avez pas répondu à la deuxième question (p-ê qu'avec AWB et un dump ?). --GaAs 20 septembre 2011 à 17:20 (CEST)Répondre

Rédiger un article Lumière sur l'accueil de Wikipédia

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Bonjour,

Je voudrais savoir comment on rédige un article Lumière sur, pour qu'il apparaisse sur la page d'accueil de Wikipédia?

Merci encore, répondez-moi vite  ! --Soument (Lui parler) 18 septembre 2011 à 19:09 (CEST)Répondre

Salut. Ce n'est pas une question pour l'Oracle mais on fera comme si   On ne rédige pas ces articles, on les choisit. Comment, aucune idée, mais d'autres pythies vont t'expliquer ça au mieux ou te donner les liens idoines. -O.--M.--H.- 18 septembre 2011 à 20:56 (CEST)Répondre
Facile, on l'amène au niveau d'un article de qualité (ou au moins au niveau bon article) et il est ajouté à la fin du vote dans la liste des articles à paraître en page d'accueil. Voir Wikipédia:article de qualité. Comme on dit : y'a plus qu'à... Bertrouf 19 septembre 2011 à 04:12 (CEST)Répondre
Là encore, on a beaucoup plus de chances que son article passe en première page s'il parle d'un jeu vidéo (rien qu'aujourd'hui, il y en a deux, c'est dire si la culture est la préoccupation première des wikipédiens, je cite : "Mario doit sauver la princesse Peach en combattant les sbires de Bowser. Il a pour cela accès à différents power-ups, comme le Méga Champi, la Fleur de feu ou l’étoile d’invincibilité, chacun d’entre eux lui donnant des capacités différentes". Ouèèèèh ! Trop mortel !). Ou sinon, un pokémon, une star du porno, un catcheur, une série télé de fond de tiroir, c'est bien vu aussi. Oblomov2 (d) 19 septembre 2011 à 13:46 (CEST)Répondre
En fait, vu que ce sont des bénévoles qui écrivent les articles sur Wikipedia, ils choisissent souvent d'écrire sur des sujets qui les intéressent, voire qui les passionnent. Lorsqu'ils ont bien écrit leur article, en bon français, bien présenté, bien sourcé, ils décident parfois de le proposer à un label. Si l'article obtient ce label, il passe en page d'accueil, d'où de beaux articles traitant parfois de jeu vidéo, de pokémon, de série télé... (une star du porno, un catcheur, j'ai jamais vu encore...). Et si parfois on trouve deux articles traitant de jeu vidéo en page d'accueil, c'est pour les présenter sous forme de thématique. Quant à si la remarque sur la culture... Cobra Bubbles°°° Dire et médire 19 septembre 2011 à 20:20 (CEST)Répondre
Ne soyez pas si pessimistes à propos de la place réservée à la culture : aujourd'hui le château d’Angers est en seconde place après Mario Kart DS ! C'est mieux que rien… - Cymbella (répondre) - 22 septembre 2011 à 14:41 (CEST)Répondre

Les animaux

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Bonjour ou bonsoir , Jaimerais savoir a combien de km/h court une biche

Je vous remercie =D
Bonjour ou bonsoir,
Je n’ai pas votre réponse, mais en attendant si ce n’est déjà fait, je peux vous recommander la lecture de l’article Cervidae.
Cordialement, --Floflo (d) 18 septembre 2011 à 22:48 (CEST)Répondre
  Désolé, l'Oracle ne divulgue pas les réponses des concours. Bonne chance dans votre recherche.
pour info : Vikidia donne 80 km/h pour le chevreuil, mais ne mentionne pas la biche. - Cymbella (répondre) - 18 septembre 2011 à 23:05 (CEST)Répondre