Utilisateur:Ruyblas13/Brouillon/Ruma étrusque

« Ruma » étrusque
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Brouillon/Ruma étrusque
Fragments d'un vase étrusque de type ex-voto découvert dans le périmètre de fouilles archéologiques de la Regia à Rome. Artéfact assigné au VIe siècle av. J.-C. (-600 - -550).

Période Fin du VIIIe siècle av. J.-C. au Ier siècle av. J.-C. (1er et 2(nd) âges du fer européen)
Ethnie étrusques
Langue(s) Étrusque et Latin archaïque
Religion Polythéiste, cosmogonite et « De divinatione »[1]
Villes principales Rome ; plus précisément : le quartier se déployant sur le mont Janiculus
Région d'origine Latium
Région actuelle Trastevere, quartier de Rome, rive droite du Tibre
Rois/monarques Dynastie des Tarquins[a] ; Porsenna
Frontière quartiers sabins, latins et falisques de Rome ; frontières avec l'Étrurie

Tout au long de l'âge du fer, la trame historique des étrusques et celle de Rome sont liés de manière inextricable. En définitive, depuis la fondation de la ville capitoline et des premières cités-états d'Étrurie, au cours du VIIIe siècle av. J.-C., jusquà sa conquête et enfin sa totale intégration par Rome, le peuple étrusque apparaît comme étant l'une des données majeures de l'équation historique de la cité tibérienne. De facto, la « koïnè » étrusque a fourni 3 et possiblement 4 des souverains de Rome. En outre, la lecture des œuvres littéraires antiques confrontées et corrélées à un corpus archéologique abondant, mettent en évidence un véritable processus de synœcisme de population étrusques au sein de Rome sur une période débutant au cours du VIIe siècle av. J.-C. et se concluant au long du Ve siècle av. J.-C.. Ces dernières formant ainsi le plus important quartier de la ville capitoline pré-républicaine, voire pré-impériale, le « litus tuscus ». À cet égard, et compte tenu de l'ensemble de ces données littéraires, historiographiques et archéologiques, ces dernières permettent d'appréhender et de singulariser une véritable Rome étrusque, la « Ruma tusci ».

Contexte géographique et historique modifier

Contexte géographique modifier


Au cours du VIIIe siècle av. J.-C. et du VIIe siècle av. J.-C. se développe un ensemble urbain sur la rive droite du Tibre. Ce dernier occupe un espace venant en contact direct avec la légendaire cité du Latium. L'aire géographique proprement dite évolue du Nord au Sud le long d'un vallon dénommé mont Janiculus, en réponse à l'évocation d'un événement à mythologique : selon la tradition antique, ce dernier aurait fondé le site urbain surplombant le Janicule[2],[3],[4]. Au long du VIIIe siècle av. J.-C., jusqu'à la moitié du VIIe siècle av. J.-C., ce lieu constitue simultanément un point de passage essentiel entre l'Étrurie et jeune ville capitoline, et une ligne de démarcation entre ces deux entités politico-culturelles[5],[6],[7],[8]. Le vaste hameau, constitué de bâtisses aspectant des architectures rudimentaires, observe une importante concentration de populations d'origine étrusques. Considéré par de nombreux historiographes comme étant la 8e colline de Rome, le complexe proto-urbanistique est rattaché à la cité tibérienne par le 4e souverain de Rome, le sabin Ancus Marcius[9],[10].


Contexte historique du VIIIe siècle av. J.-C. et du VIIe siècle av. J.-C. modifier

En -753, le cours historique des peuples de la péninsule italienne, dont celui des étrusques, observe l'émergence d'une nouvelle cité, laquelle relève d'une constitutionnalité étatique de type monarchique[11],[12],[13]. L'incidence de la fondation de Rome et la portée par les jumeaux latino-sabins Romulus et Rémus au mileu du VIIIe siècle av. J.-C., se révèlent déterminentes au sein de la trame historique de l'Étrurie[14],[15],[16],[17],[18],[19]. Il ressort de la lecture du cadre événementiel italien, que la cité-état romaine d'une part, et la civilisation étrusque d'autre part, manifestent d'une interaction et d'une influence mutuelle significatives et conséquentes. Ces dernières sont simultanément pourvues d'un caractère politique, culturel et économique[20],[21],[12],[22],[23],[24],[16],[17],[18],[19].


Toutefois, la seconde moitié du VIe siècle av. J.-C., est marquée par une déteriation de ses rapports d'entente internationales et politiques étrusco-romains[25],[26].

Ce constat d'usure diplomatique entre les 2 états semble se concrétiser par une prise de pouvoir institutionnel et militaire des étrusques au sein de Rome aux environs de -620 et ce, jusqu'à la conclusion du VIe siècle[27]. De facto, les périodes de règnes étrusques sur Rome semblent relever de multiples incursions militaires provenant des cités-états de « Tarchna »[b][28],[26], de « Velx »[c],[30], et dans une moindre mesure, Chiusi[32].



En contrepoint, il est difficile de prendre en compte des faits invasifs provenant de « Tarchna » ou de « Velx » via l'axe de communication fluvial tibérien[33],[34]. Dans un cadre purement géostratégique, les 2 métropoles étrusques ne possédant ni frontières communes, ni une tangible proximité spatiale, ce postulat apparaît que peu plausible. En revanche les positions respectives de « Cisra » et de « Veis », font de ces cités étrusques d'excellentes candidates pour une mise sous tutelle de la métropole romaine voisine[33],[35],[36],[37]. Par ailleurs, les occurrences épigraphiques extraites du sous-sol sédimentaire de Rome et attribuées à cette période de troubles et de tensions diplomatiques (première moitié du VIIe siècle av. J.-C.), bien que présentant un cursus alphabétique étrusque, procèdent d'une syntaxe linguistique latine. De surcroît, ces inscriptions témoignent d'un registre instutionnel, soulignant ainsi le caractère d'implication politique et non militaire de la « koinè » étrusque au sein la cité tibérienne[34]. Qui plus est, les nombreux artefacts mis au jour en contexte d'habitat d'une part et funéraire, d'autre part privilégient la thèse d'un mercenariat étrusque, au détriment de l'hypothèse proposant un envahissement étrusque[34],[28],[31],[38]. D'autre part, la cité latine du VIIe siècle av. J.-C. relève d'une démocratie monarchique dite ouverte aux éléments ethniques exogènes[39],[40],[41]. Sous cet angle, il demeure possible d'accréditer ce paradoxe historique d'une éventuelle conquête de Rome par les étrusques sans pour autant qu'il y ait eu des données factuelles et indubitables, voire contradictoires. En l'occurrence, les historiens Thierry Piel et Bernard Mineo nous apportent un élément de réponse. Selon ces derniers, on peut soumettre les événement à un argument plus crédible, voire décisif. Ce dernier se matérialise par l'hypothèse d'un statut spécifique aux hiérarques étrusques, c'est-à-dire : non pas celui de conquérants, mais plutôt celui d'une chefferie composée de soldats et de nobles issus d'un mercenariat exogène à Rome, ce que l'on peut qualifier au moyen d'une terminologie issue de la Renaissance italienne, de condottieri[33],[34],[42].


La lecture des indices archéologiques ; épigraphiques, tels que la tablette dite au lion[d],[34] ; et littéraires antiques, conceptualisent de manière incidente que Rome, au tournant du VIIe siècle av. J.-C. est terre d'accueil des multiples peuples provenant de l'Italie centrale et méridionale[e], mais toutefois présentant une forte majorité ethnique d'origine étrusque[43],[44]. De surcroît , l'ensemble des fouilles effectuées sur le site tibérien, mettent en évidence la présence certaine d'un quartier entier situé sur la rive droite du Tibre, et dont l'architecture et les différents biens domestiques découverts procèdent d'un substrat étrusque : il s'agit du litus tuscus[45],[46], ou encore du « ripa veiens »[f][44]. Dans ce cadre, il est possible de définir une véritable

« gens étrusque, la gens « Ruma » qui aurait ainsi donné son patronyme à la ville »

— Jean-Marc Irollo, Histoire des étrusques, 2010, page 166[44].

,[47],[48]. Par conséquent, dans ce cadre historique, un fait invasif étrusque sur la métropole romaine semble invalidé. En contre-point, la thèse d'une installation étrusque de nature pacifique pourrait être privilégiée[44],[48],[33],[49].


Monarchie de Tarquin l'ancien : l'essor des étrusque à Rome modifier


« Sous le règne d'Ancus Marcius, un personnage entreprenant et puissamment riche, Lucumo, vint s'établir à Rome, poussé surtout par le désir et l'espoir d'y occuper le poste le plus important auquel il ne lui avait pas été permis de prétendre à Tarquinia : car là aussi il n'était qu'un étranger. »

— Tite-Live, Livre I, 34, 1 La valse des condottieres / Thierry Piel, Bernard Mineo Et Rome devint une République... 509 av. J.-C. 2011, page 63.

Au début des années -610, « Lucius Tarquinius Pricus Lucomnies » (dit Tarquin l'Ancien)[50] vient s'installer à Rome afin d'y exercer un rôle politique de premier plan. L'ambitieux descendant d'une riche famille de nobles et commerçants étrusques, évolue promptement au sein de la scène politique romaine, laquelle est représentée par deux assemblées : la comices curiates[51],[52] d'une part, et comices calates, d'autre part[51]. Grâce à ses dons naturel d'orateur et de stratège politique, le noble étrusque parvient à préscrire et apposer son empreinte sur la jeune monarchie démocratique et ce, probablement au détriment du 4e souverain romain d'origine sabine, Ancus Marcius. Ouvrageant pour son accession au siège suprème, Tarquin l'Ancien réunit derrière lui les forces militantes de la plèbe romaine[53],[54] et, tout en éloignant les descendants d'Ancus Marcius, se fait proroger roi de Rome[g][28] par cooptation démocratique des deux comices, en -616[56].


La monarchie de Servius Tullius : l'apogée de la Ruma étrusque modifier

L'arrivée au pouvoir modifier

En -578, Servius Publius Tullius [h], fils du commerçant étrusque Publius et d'une esclave servante de l'épouse de Tarquin l'Ancien et originaire de « Velx »[58],[12], succède à ce dernier pour endosser le plus haut statut hiérarchique de Rome. Celui-ci demeure sur le trône de la grande cité du Latium environ 40 ans, son règne se concluant en -535 avec son assassinat, perpétré par son propre neveu, Tarquin le Superbe[12],[30],[59].


Dans une allocution au sénat de Rome[j], l'empereur Claudius, l'un des tout premiers étruscologue[68],[69], met en relief la probable trame historique ayant donné cours à l'accession au pouvoir de Servius Tullius. Il explique, expose et argumente que ce dernier se serait exilé d'Étrurie en direction de la cité capitoline. Selon le chef d'état romain, Servius Tullius aurait été appuyé par une partie de l'ost de « Caile Vipina » / Cælius Vibenna dont il en aurait pris la tète. Le déroulement des événements se poursuivant, Servius Tullius investit le mont Cælius, l'une des 7 collines de Rome. Par ailleurs, Claudius remarque que postérieurement à ce fait historique, le condottiere étrusque baptise ladite colline romaine, le mont « Vipina » ou « Vibenna ». Enfin, dans son exposé relatant les événements qui ont conduit l'homme d'état natif de « Velx » (une partie de l'inscription portée sur la table dite claudienne l'empereur romain authentifie la réelle filiation familiale et identité de Servius Tullius : il s'agirait d'un personnage dénommé « Macstrna »[70],[71],[72]. Voici un extrait de l'allocution claudienne[73],[74] :

« Fils de l’esclave Ocrésia, si nous en croyons nos historiens, Servius Tullius prit place sur le trône entre ce prince et son fils ou son petit-fils, car les auteurs varient sur ce point. Si nous suivons les Toscans, il fut le compagnon de Cælius Vivenna, dont il partagea toujours le sort. Chassé par les vicissitudes de la fortune avec les restes de l’armée de Cælius, Servius sortit de l’Étrurie et vint occuper le mont Cælius, auquel il donna ce nom en souvenir de son ancien chef ; lui-même changea son nom, car en étrusque, il s’appelait Mastarna et prit le nom que j’ai déjà prononcé, de Servius Tullius, et il obtint la royauté pour le plus grand bien de la République »

— Claude, Table claudienne, première colonne[75].

Les grands travaux modifier

Au cours de la seconde moitié de l'époque monarchique, les étrusques, à présent aux rènes du pouvoir de la ville capitoline, réalisent de vastes travaux d'infrasctructures urbaines, notamment sous l'impulsion de Servius Tullius / « Marcstrna ». De manière incidente, la cité tibérienne observe au cours de cette période un développement urbanistique explicite et significative[76]. De ces chantiers de grande ampleur, on peut tout particulièrement noter la genèse, puis l'assise et enfin le développement du mur d'enceinte dit servien[k]. La mise en œuvre du bâti servien, qui se voit entamée sous le règne romain de Tarquin l'Ancien, se prolonge pendant l'exercice au pouvoir de Servius Tullius / « Marcstrna ». Dès lors, l'édification tarquino-servienne se concrétise au cours VIe siècle av. J.-C. par un agrandissement du périmètre défensif ceignant le Capitole romain (autrement dit l'agger de sauvegarde de la cité romaine[l],[77],[78]). En outre, le plan d'urbanisme du périmètre de protection servien est structuré de telle manière que ce dernier correspond à ligne de démarcation du pomœrium[79][m],[80],[81],[82]. Par ailleurs, concernant la cité monarchique romaine, d'autres faits d'infrastructures urbaines et architecturales seraient également à créditer à la licence des étrusques. En effet, on atteste que ces derniers ont conçu un système de drainage visant à assécher les zones maréchageuses tibériennes situées entre le Capitole et le mont Palatin[83]. Celui-ci est sous-tendu et déterminé par un édifice souterrain, permettant une évacuation des eaux efficace et dont les caractéristiques s'apparentent à une voirie hydraulique. L'infrastructure toujours existante et dénommée Cloaca Maxima est l'une de ses occurrence hydro-urbanistique constituant le réseau étrusco-romain protohistorique[76],[84],[85]. D'autre part, on porte également au crédit des étrusques de Rome, la mise-en-œuvre et l'érection d'édifice monumentaux tels que le Circus Maximus[n],[86], lequel présente une capacité d'environ 25 000 places de spectateurs[87],[88] ; le temple de la Triade capitoline, lequel affiche des mensurations de 53 mètres de long, sur 63 mètres de large[o],[p],[76],[86], et dont le podium est argumenté de 3 cellæ et respectivement dédiées à Jupiter, Junon et Minerve[92],[93],[94]. Enfin, moins étudiés de la littérature antique et de l'archéologie étrusque, et affectant un gabarit plus modeste, on attribue à « Macstrna » l'ordre de mise-en-œuvre des deux sanctuaires surmontant l'aire sacrée de Sant'Ombono. L'un, affichant un état de conservation correct, est dévolu à la divinité du hasard, du destin et de la chance Fortuna[95]. Le second, dont il ne demeure que de rares vestiges d'assise, est consacré à la déesse Mater Matuta[96],[76],[97]. Ces deux dernières occurrences architecturales occupent un emplacement situé au voisinage du port romain de Ostia et, de fait, au cœur d'un petit quartier marchand préexistant. Dès lors, la décision politique du souverain Tarquinien, concoure à créer le développement autour de ces infrastructures religieuses d'une zone majeure d'échanges commerciaux. Ce choix géographique détermine et met en évidence la volonté de « Macstrna » de mener une politique ouverte et favorable aux agents commerciaux romains[98], probablement dans la perspective d'accroître le pouvoir économique de Rome[76],[99],[100],[101].


Les réformes modifier

D'autre part, Servius Tullius / « Marcstrna » engage des réformes politiques, institutionnelles, sociales, militaires et économiques profondes. Ce dernier institue une nouvelle organisation sociale du peuple romain : il fait voter et promulguer des lois visant à répartir la société romaine en 5 classes, les cens[108],[109],[98], lesquelles sont chacune déterminées par leurs richesses propres et subrogeant ainsi différent degrés d'imposition[110] et soumettant la population de la ville capitoline au suffrage censitaire[111],[112],[113].

Le souverain romain originaire de « Velx » réorganise l'administration territoriale de la cité tibérienne : il fait adopter un acte législatif soustrayant l'aire d'occupation romaine en 4 régions distinctes[q][114],[115]. Cette dernière procède d'une chambre législative à caractère populaire et censitaire. Par ailleurs, la comices centuriates est destinée à deux objectifs : d'une part elle a pour dessein de fixer une levée d'impôt, le « tributum », lequel est accordé à la rémunération de chaque corps d'armées ; d'autre part celle-ci a pour but de constituer lesdites troupes militaires romaines[116],[117],[118],[119].

Enfin, sous le biais strico sensu militaire, le monarque étrusque coordonne et hiérarchise l'armée romaine et innove en mettant en place des divisions armées dites lourdes, ou encore cuirassées. L'ost guerrier romain s'articule au travers d'environ 200 centuries, lesquelles sont déterminées selon des caractéristiques de classe d'âge et de richesse censitaire. Chacune de ces troupe romaine se voit composée de 100 citoyens romains[120],[76]. Les centuries constituées de citoyens romains jouissant des conditions physiques et matérielles les plus favorables, se répartissent au sein des corps d'armée de première classe. À cet effet, les juniores[r] les plus aisés, sont affectés aux corps d'infanterie lourde. Ces troupes sont organisées sous la forme de phalanges[121], lesquelles sont équipées d'un ensemble constitué d'éléments de protection[s] et d'éléments offensifs de type hoplitique[t],[76],[123].




Règne de Tarquin le Superbe : Le déclin des étrusques à Rome modifier

En -534, après avoir fomenté l'assassinat de Servius Tullius / « Macstrna », puis un coup d'état au cœur du sénat romain visant à éloigner, voire éliminer les hiérarques partisans de ce dernier, Tarquin le Superbe accède à la magistrature monarchique suprême de Rome[132],[133],[134],[135],[136] ,[137].


Ce personnage de filiation ethnique tarquinienne, de culture étrusque, natif de cité tibérienne et probablement petit-fils de Tarquin l'Ancien[140],[30], se présente comme étant également le beau-fils de Servius Tullius.

Les circonstances exactes illustrant l'avènement du règne de Tarquin le Superbe demeurent parfois floues et portées à controverses. En particulier, le déroulement précis des événements subséquent au décès de Servius Tullius manifestent d'une relative ambiguïté et ne bénéficient pas d'ununicum historiographique et archéolgique global[141]. D'une part la tradition littérature antique semble en proie à de nombreuses contradictions. De fait, l'assassinat auguré par Tarquin le Superbe est auréolé d'une mythologie en rapport avec la personnalité panthéonique de Fortuna et essentiellement développée par Tite-Live. Un vestige d'inscription épigraphique gravée sur une pierre et mis au jour non-loin du Comitium, actuellement conservé au Musée de Fiesole, porte la mention suivante :

« fortuna Servios perit »

— Servius périt par action de la Fortune Tite-Live, Livre I ; Appius Claudius (Table claudienne)[142],[143],[144],[145],[141].

D'autre part, une évocation de Tite-Live, précisée par Denys d'Halicarnasse (-60 - 8), suggère une fuite du vieux roi véien :

« fit fuga regis apparitotum atque comitium »

— Tite-Live, Livre I, 48, 4.

Cette dernière est effectuée en direction du Comitium, au moyen d'un char et s'accompagne d'un petit détachement militaire. L'offensive opérée par Tarquin le Superbe et ses hommes sur le groupement royal a lieu hors du centre sénatorial et législatif romain, probablement aux abords de la colline de l'Aventin[141]. Du schéma circonstantiel retraçant la mort de « Macstrna » et l'ascension au pouvoir de Tarquin le Superbe, on peut souligner 4 faits probables : l'intervention et la complicité de Tullia, fille cadette du 2e souverain étrusque de Rome et seconde épouse de son successeur[146],[147],[148] ; la mise au défi et le paricide de ce dernier envers Servius Tullius ; et enfin le coup d'état mener le futur titulaire du trône romain au sein des chambres législatives et sénatoriale romaines[149],[148],[141]. Dans son œuvre littéraire « Vie des hommes illustres - Publicola », le philosophe et biographe grec Plutarque (46 - 125) illustre l'accession et l'exercice au pouvoir de Tarquin le Superbe par cette remarque :

« Tarquin le Superbe n'avait pas acquis le pouvoir par des voies honorables mais au mépris de la piété et des lois ; il ne l'exerça pas comme doit le faire un roi, mais avec l'insolence d'un tyran »

— Plutarque, Vie des hommes illustres - Publicola, Livre I, 3[150],[151],[11].

Les 25 années de règne de Tarquin le Superbe sont placées sous le signe de la tyrannie et la répression. Ce dernier met sur pied une politique carcérale qui se manifeste par la multiplicité des réclusions de ses opposants au cœur du sénat romain et des assemblées plébéiennes et patriciennes[v]. Son exercice du pouvoir monopolise la globalité de la législation romaine. De fait, le régime institutionnel de Tarquin le Superbe se présente comme un verrouillage de l'ensemble des corporations parlementaires et à la mise en demeure de toute velléité d'opposition[152],[153].


La fondation de la république romaine : la fin de la prééminence des étrusques de Rome modifier

En -509, le 6e roi de Rome se fait proscrire de la magistrature suprème, par une coalition patricienne, laquelle est essentiellement composée de 4 principaux intervenants : Lucius Brutus, son propre neveu et dont on attribue traditionnellement la création et la paternité de l'avènement républicain de Rome ; Lucius Tarquinius Collatinus, dit « Tarquin Collatin », et également membre de la dynastie des Tarquins ; Valerius Publicola[154] ; et enfin Lucrèce Tricipitin. La trame historique retraçant l'expulsion de Tarquin le Superbe, et l'avènement de la République romaine au détriment de ce dernier, nous est notamment fournie au travers des écrits antiques de Tite-Live[155], Denys d'Halicarnasse[156], et Fabius Pictor (-254 - 204)[w],[158],[159],[160],[161],[162],[163],[164]. Néanmoins, on dispose de quelques rares documents archéologiques, tels que le Lapis Satricanus, lesquels viennent appuyés certaines des productions littéraires des anciens. En l'occurrence, le linteau épigraphique dénommé Lapis Satricanus peut être mis en relation avec Publius Valerius Publicola, l'un des fondateurs de la république romaine. Cet artefact scriptural suggère une sortie victorieuse du patricien consulaire sous deux angles possibles : soit lors d'un duel le confrontant au fils de Tarquin l'Ancien ; soit sous la forme d'un succès militaire remporté par ses troupes d'une confrontation les mettant en jeu avec celles du monarque étrusque[165],[161],[166],[167],[168],[154],[169]. Réduits à une minorité face à la ligue république, Tarquin le Superbe et ses derniers alliés au sein du Comitium tentent d'étouffer celle-ci grâce au soutien sans équivoque de « Veis » et de « Tarchna »[170]. Toutefois, les troupes militaires tarquino-véiennes sont matées et la tentative de reprise de la ville capitoline par le monarche déchu, se révèle à tout le moins infructueuse[171],[172]. Celui-ci prend fuite pour atteindre Tusculum, site proche de la ville capitoline. « Larth Porsna », alors souverain de la cité étrusque de « Velx » et membre de la dynastie tarquinienne, mesure la pleine répercussion des événenements et prend acte des incidences engendrées par la nouvelle équation polititique et diplomatique de Rome. Ce dernier, accompagné d'un notable corps d'armée, renverse provisoirement l'alliance patricienne menée par Lucius Brutus. -509 se conclue par la prise de pouvoir à Rome par le hiérarque vulcien pour seulement un an[171],[172].

« Donc Tarquin, après la grande bataille qui lui coûta son fils, tué dans un combat singulier contre Brutus, s'était réfugié à Clusium. Il supplia Larth Porsenna de l'aider ; et ce personnage, le plus puissant des rois de l'Italie qui passait pour bon et généreux, lui promit son appui. »

— Plutarque, Publicola, Livre XVI, 1[173].

. Pour autant, une analyse historiographique plus affinée contribue à faire de ce scénario un tableau qui ne soit pas définitif. Plusieurs historiens contemporains nous éclairent sur ce point ; en particulier Thierry Piel et Bernard Mineo, tempèrent ce discours en suggérant que Porsenna n'a probablement jamais été ce dernier roi transitoire et, postérieurement à un siège militaire remarquablement soutenu de la cité tibérienne, aurait à terme opéré une levée de blocus et joué de sa notoriété afin de résoudre un possible pacte diplomatique entre l'Étrurie et Rome. De surcroît, le roi « Clevsin » se présente comme étant probablement l'un des principaux acteurs du renversement de Tarquin le Superbe. Sous ce biais, l'action de « Larth Porsnna », se révélerait telle celle d'un condottiere et/ou d'un fin stratège : au demeurant, il s'agit de l'implication d'un homme avisé[174],[175],[176],[177],[178],[179],[180],[181],[182],[183],[184]. Toutefois, cet événement-clé[x] de l'histoire étrusque comporte à maints égards, des zones d'ombre non-encore éludées[174],[175],[176],[177],[178],[179]. En revanche, il est à présent tenu pour acquis que ces éléments historiques marquent un tournant au cœur des relations étrusco-romaines et constituent un préalable aux conflits qui ont cours au Ve siècle av. J.-C. entre les cités-états de l'Étrurie et jeune république tibérienne[185],[186],[171],[172],[187].


Après la fondation de la république romaine : la pérènité d'une « koinè » étrusque à Rome modifier

Les années du pouvoir servien : bilan historiographique modifier

Au travers de la politique de grands travaux entamée sous Tarquin l'Ancien et des multiples réformes serviennes conduites a posteriori, dont l'inspiration est un héritage direct de la culture étrusque, la dynastie tarquinienne semble donc avoir marqué de son empreinte la cité tibérienne de manière durable et concrète, effective et visible. Celle-ci participe d'une détermination immanente et sans équivoque des rois étrusques de Rome à faire de cette dernière une métropole au rayonnement politique, économique et militaire conséquent[76]. L'auteur Livien lui-même s'accorde à présenter la stratégie d'état des souverains tarquiniens comme étant positive et avisée en la formulant ainsi :

« œuvre la plus considérable qui puisse être réalisée en temps de paix »

— Tite-Live Ab Urbe condita libri, Livre I[191],[192],[76].

Pour autant, il est nécessaire de nuancer ce constat. D'une part, certains auteurs et historiens, voire d'hommes d'État romains (dont notamment Claudius[57],[69],[68]), objectent que la paternité de ces réformes dites serviennes reviennent pour totalité à son personnage éponyme[193],[194],[195]. On conteste d'autre part, via une ample documentation archéologique, que lesdits grands travaux, bien qu'ils aient débuté sous la dynastie tarquinienne, se sont vus achevés à l'époque républicaine[194],[195],[76],[193]. Enfin, s'il est actuellement fondé et établi que les rois étrusques ont laissé bien plus qu'une trace de leur postérité au sein de la ville capitoline antique, ces derniers demeurent des étrusques de Rome (autrement dit les populations d'origine étrusque vivant sur le sol romain et que l'on désigne de manière globale par « Ruma estruschi »)[aa],[196],[197] et ce, à la différence, voire a contrario des étrusques appartenant à l'une des cités-états dont l'ensemble constitue les 3 dodécapoles d'Étrurie[198],[199],[76],[200].

Rémanence de la Ruma au cours de la république, de l'empire romain et à l'époque moderne modifier




Bibliographie modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Dont Tarquin l'Ancien, Servius Tullius, Tarquin le Superbe.
  2. La dynastie des Tarquins serait issue de cette métropole étrusco-toscane[28].
  3. Cité de naissance Servius Tullius (également appelé « Macstrna » ou « Mastarna »[29],[30],[31]).
  4. Ladite tablette léonine est une occurrence épigraphique mis au jour au niveau des bases de fondations du Capitole romain, et probablement utilisée en réemploi. Il s'agit d'une tessera hospitalis attribuée au VIe siècle av. J.-C., manuscrite en latin invitant les étrangers à la ville Rome à venir s'y implanter. Concrètement, c'est un signe de reconnaissance de la cité tibérienne envers ces derniers[34]
  5. Dont notamment les latins, les sabins, ombriens, greco-chalcidiens.
  6. Il s'agit de l'actuel quartier romain dit Trastevere.
  7. À ce titre, les écrivains antiques tels que Tite-Live et Denys d'Halicarnasse, ne considéraient pas les 3 derniers monarques de Rome comme étant seulement pour part de substrat ethnique étrusque[55],[28].
  8. Dont le patronyme exact devait être « Marcstrna »[29], ou « Macstrana »[55],[57], en étrusque.
  9. De gauche à droite : « Caile Vipina », ; « Macstrna » ; « Larth Ultes » ; « Laris Papathnas Velznach » ; « Pesna Aremsnas Sveamach » ; « Rasce » ; « Venthikau » et « Aule Vipina » ; à droite : « Marce Camitlnas » et « Cnaeve Tarchunies Rumach »[61],[28],[31],[33].
  10. Ce discours fut retranscrit en langue latine sur une tablette d'incription appelée table claudienne. Cette dernière énumère et relate l'ensemble des faits structurant l'histoire de Rome depuis sa fondation jusqu'au prémices de l'empire capitolin. Cet artefact épigraphique gravé sur une plaque de bronze laminé et dont on a mis au jours des fragments au sein de la cité des 3 Gaules, réfracte la perspective que Claudius donne à la trame historique de la cité tibérienne[65],[66],[67].
  11. Occurence architecturale de fortification éponyme de Servius Tullius.
  12. Ce dernier se présente sous la forme d'une levée de terre haute de 6 mètres, laquelle est associée et liée à un fossé. Le témoignage d'un artefact, affectant l'aspect d'un tesson de kylix de type et d'origine attique et mis au jour au sein des fondations de l'agger servien, met en évidence le terme et la conclusion du chantier défensif : cette dernière serait attribuée à la fin du VIe siècle av. J.-C..
  13. Le pomœrium entoure le plateau du Quirinal, du Viminal et de l'Esquilin.
  14. Cette œuvre monumentale, dont la tradition historiographique et antico-littéraire attribuent sa paternité aux rois étrusques de Rome (dynastie des Tarquins), aurait été fondée, puis édifiée sur un sol, légèrement en surplomb du cours d'eau de la Murcia romaine, à mi-chemin de deux des sept collines de Rome : celle de l'Aventin et celle du Palatin. La composition pédologique du site qui était auparavant de type marécageuse, aurait été terraformée, grâce à la mise-en-place d'un système de drainage permettant ainsi de l'assécher. En outre, on peut également noter que ce haut lieu de la Rome antique, fut, sous le règne des Tarquins, doté de simples gradins constitués de bois.
  15. Ce sanctuaire a été identifié et attesté comme étant le plus vaste édifice religieux construit par les étrusques.
  16. Selon Pline l'Ancien, la statue trônant in situ de la cellæ jupiterinne, façonnée en terracotta et incarnant la divinité éponyme, serait l'œuvre d'un artisan-sculpteur étrusque originaire de « Veis ». D'après l'historien antique, ce dernier porte le nom de « Volca »[89],[90],[91]. De surcroît, d'après Plutarque, les deux occurrences sculptées surplombant l'acrotère du sanctuaire capitolin, sont à créditer à un atelier véien. Cette ensemble d'éléments suggèrent, s'il en est, l'impact et l'incidence la culture étrusque au sein de la société romaine du VIe siècle av. J.-C..
  17. Bien que l'on compte tradionnellement 4 régions romaines, les annales antiques déplorent que peu de références par rapport à ce chiffre.
  18. les soldates les plus jeunes.
  19. Dans ce cas, il s'agit d'un ensemble défensif de type armure lourde ou cuirassée.
  20. En l'occurrence, la nouvelle mesure prise par Servius Tullius afin de renforcer la force de frappe de l'armée romaine, est fortement inspirée du matériel défensif et offensif des armées grecques de l'époque archaïque. Ce dernier comporte généralement les éléments suivant : un casque ; une cuirasse ; des cnémides (protège-tibias) ; un Aspis koile ; une lance ; une épée courte. Toutefois, à l'époque monarchique romaine du VIe siècle av. J.-C., ce type d'équipement guerrier évolue avec l'addition d'un autre élément de protection : les ptéryges, sorte de lanières de cuir ou de bronze, faisant office de protège-genou, de protège-clavicule, ou encore de liens entre les différentes plates d'armure[122].
  21. Titre et références de l'œuvre : Tullie faisant passer son char sur le corps de son père, 1765, peinture à l'huile sur toile, Orléans, Musée des Beaux-Arts (inv. 83-3-1) ; seconde occurrence : Tullie faisant passer son char sur le corps de son père, 1765, peinture à l'huile sur toile, 114 × 145,5 cm, Mayence, Landesmuseum mainz (inv. 498).
  22. Autrement dit : l'ensemble du Comitium.
  23. Et dans une moindre mesure, Cicéron[157].
  24. L'avènement de la république romaine.
  25. L'identification et l'analyse épigraphiques de l'inscription gravée sur ce dernier ont permis de mettre en évidence la mention suivante : « IEI STETERAI POPLIOSIO VALESIOSIO SVODALES MAMARTEI »[188],[189],[190].
  26. C'est-à-dire l'expulsion de Tarquin le Superbe, l'avènement de la république romaine et la victoire de Valerius Publicola[165].
  27. C'est-à-dire les populations romaines natives de l'une des cités-états étrusques telles que « Veis », « Velx », ou encore Tarquinia et « Clevsin » et qui ont été adoptées et accueillies par la cité tibérienne. Ces tribus ou familles étrusques comprennent notamment des individus en exil et/ou des condottières (mercenaires).
  28. Lapis niger signifie : pierre noire. Il s'agit d'un cippe funéraire qui est affectée d'une forme volumique parallélépipédique et dont les 4 côtés présentent un cursus scriptural en latin archaïque. On a toutefois attesté que les caractères épigraphiques étaient de type étrusques. La stèle, attribuée au tournant du Ve siècle av. J.-C. et du IVe siècle av. J.-C., a été mise au jour le par Giacomo Boni[201], au cœur du Forum romanurum, à proximité du Comitium et de la Curie de Rome[22]. De fait, le Lapis niger fait référence à un roi ayant vécu aux alentours de la moitié du VIe siècle av. J.-C.. Ce cippe confectionné en tuf volcanique met donc en évidence la pérennité de la culture étrusque au sein de la cité tibérienne, un siècle après l'exil du dernier roi étrusque de Rome, Tarquin le Superbe et la mise en place de la république romaine sous l'égide de la ligue latine[22].
  1. Rome : rione XIII trastevere.

Références modifier

  1. Irollo 2010, p. 110
  2. Amable Audin, « Janus, le génie de l'Argiletum », Bulletin de l'Association Guillaume Budé - Lettres d'humanité, no 10,‎ , pages 52-91 (DOI 10.3406/bude.1951.4509, lire en ligne, consulté le )
  3. Jean Gagé, « Sur les origines du culte de Janus (deuxième article) », Revue de l'histoire des religions, vol. tome 195, no 2,‎ , pages 129-151 (DOI 10.3406/rhr.1979.6852, lire en ligne, consulté le )
  4. Pierre Grimal, « La colline de Janus : commentaire à Virgile, Aenéide VIII, v. 358 », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 87e année, no 4,‎ , pages 460-462 (DOI 10.3406/crai.1943.77673, lire en ligne, consulté le )
  5. Philippe Dain, Mythographe du Vatican I : traduction et commentaires, vol. I, Besançon, Presses Universitaires de Franche-Comté, , 244 p. (lire en ligne), pages 80 à 82
  6. André Piganiol, « Le problème des origines de Rome : Raymond Bloch. Les Origines de Rome », Journal des savants, no 123,‎ , p. 18-27 (http:/?www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1960_num_1_1_974, consulté le )
  7. Dominique Briquel, « Sur un fragment d'Umbricius Melior : l'interprétation par un haruspice de la légende de fondation de Rome ? », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 1,‎ , pages 32-43 (DOI 10.3406/bude.1996.4301, lire en ligne)
  8. Jacques Poucet, « Archeologia laziale. XI : Undicesimo incontro di studio del comitato per l'archeologia laziale, a cura di Stefania Quilici Glgli », L'antiquité classique, vol. Tome 63,‎ , pages 623-624 (lire en ligne, consulté le )
  9. Dominique Briquel, « Le règne d'Ancus Marcius : un problème de comparaison indo-européenne », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 107, no 1,‎ (DOI 10.3406/mefr.1995.1888, lire en ligne, consulté le )
  10. Léon Homo, Rome impériale et l'urbanisme dans l'Antiquité, Albin Michel, coll. « L'évolution de l'humanité », , 665 p.
  11. a et b Piel et Mineo 2011, p. 56
  12. a b c et d Irollo 2010, p. 191
  13. Alexandra Dardenay, « Les héros fondateurs de Rome : entre texte et image à l’époque romaine », Pallas, éditions du Mirail, vol. 93,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. Alfred Merlin, « La civilisation étrusque », Journal des savants,‎ , pages 42-46 (lire en ligne, consulté le )
  15. Dominique Briquel, « À la recherche de la tragédie étrusque », dans sous la direction de Marie-Hélène Garelli-François, Rome et le tragique, vol. 49, éditions du Mirail, coll. « Pallas », (DOI 10.3406/palla.1998.1502, lire en ligne), pages 35-51
  16. a et b Piel et Mineo 2011, p. 53 à 98
  17. a et b Piel et Mineo 2011, p. 105 à 107
  18. a et b Irollo 2010, p. 155 à 189
  19. a et b Irollo 2010, p. 191 à 194
  20. Irollo 2010, p. 64
  21. Irollo 2010, p. 65
  22. a b c d et e Piel et Mineo 2011, p. 57
  23. Françoise-Hélène Massa-Pairault, « Romulus et Remus : réexamen du miroir de l’Antiquarium Communal », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité, Publications de l'École française de Rome, vol. 123, no 2,‎ , pages 505 à 525 (lire en ligne, consulté le )
  24. Françoise-Hélène Massa-Pairault, « Entre Orvieto et Bolsena », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité, Publications de l'École française de Rome, vol. 126, no 2,‎ , pages 505 à 525 (lire en ligne, consulté le )
  25. Piel et Mineo 2011, p. 59 et 60
  26. a et b Irollo 2010, p. 164 et 165
  27. Alain Hus, Les Étrusques et leur destin, Paris, Picard, (ISBN 2-7084-0047-9), pages 249, 250 et 253
  28. a b c d e et f Piel et Mineo 2011, p. 64
  29. a et b Irollo 2010, p. 96
  30. a b c d et e Irollo 2010, p. 168 et 169
  31. a b et c Piel et Mineo 2011, p. 65
  32. Heurgon 1993, p. 240-241
  33. a b c d et e Piel et Mineo 2011, p. 68
  34. a b c d e et f Piel et Mineo 2011, p. 69
  35. Piel et Mineo 2011, p. VI
  36. Piel et Mineo 2011, p. VII
  37. Piel et Mineo 2011, p. I
  38. Piel Mineo, p. 66
  39. Raymond Bloch, Les origines de Rome, Presses Universitaires de France, coll. « Que-sais-je ? »,
  40. André Magdelain, De la royauté et du droit de Romulus à Sabinus, Rome, L'Erma di Bretschneider, coll. « Saggi di storia antica »,
  41. Paul M. Martin, L'idée de royauté à Rome. 1, De la Rome royale au consensus républicain, (ISBN 2-86639-020-2)
  42. Michel Humm, chap. 6 « Servius Tullius et la censure : mythe et histoire du IVe siècle », dans Michel Humm, Appius Claudius Caecus : La République accomplie, Rome, Publications de l'École française de Rome, (ISBN 978-2-728310-26-5, lire en ligne)
  43. Irollo 2011, p. 113
  44. a b c et d Irollo 2010, p. 166 167
  45. (it) Jean-Marc Irollo, Gli etruschi : alla nostra origini civlità, (lire en ligne), page 139 et 140
  46. (it) Ranuccio Bianchi Bandinelli et Mario Torelli, arte de la Antigüedad clásica (volume 2), Ediciones AKAL (lire en ligne), pages 35 et 36
  47. Dominique Briquel, « Rome comme ville étrusque », dans P. Fleury, O. Desbordes (dir.), Roma illustrata, Caen, Presses Universitaires de Caen, (lire en ligne), pages 63 à 84
  48. a et b Eugeen Roegiest, Vers les sources des langues romanes : un itinéraire linguistique à travers la Romania, ACCO, (lire en ligne), pages 42, 43, 44 et 45
  49. Piel et Mineo 2011, p. 70 et 71
  50. Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », dans Dominique Briquel, Rapports sur les conférences de l'année 1990-1992, vol. Livret 7, École pratique des hautes études, coll. « 4e section, sciences historiques et philologiques », (lire en ligne), pages 77-79
  51. a et b Mireille Cébeillac-Gervasoni, Alain Chauvot et Jean-Pierre Martin, Histoire romaine, Paris, Armand Colin, (ISBN 2200265875), pages 27, 28 et 75
  52. Jacques Heurgon, Rome et la Méditerranée occidentale jusqu'aux guerres puniques, Paris, Presses universitaires de France, , 477 p. (ISBN 2-13-045701-0, ISSN 0768-2379, lire en ligne)
  53. Michel Humm, « 3. La lectio senatus d’Appius Claudius Caecus », dans Michel Humm, Appius Claudius Caecus : La République accomplie, Rome, Publications de l'École française de Rome, (ISBN 978-2-728310-26-5, lire en ligne)
  54. Dominique Briquel, « Tarquins de Rome et idéologie indo-européenne. (II) : Les vicissitudes d'une dynastie », Revue de l'histoire des religions, t. 215, no 4,‎ , p. 419 à 450 (DOI 10.3406/rhr.1998.1119, lire en ligne, consulté le Date invalide (25 juillet 2016 = lire en ligne = http://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1998_num_215_4_1119))
  55. a et b Piel et Mineo 2011, p. 63
  56. Francis Hinard, Histoire romaine : Des origines à Auguste, Paris, Fayard, , 1076 p. (ISBN 9782213031941)
  57. a et b Dominique Briquel, « Le témoignage de Claude sur Mastarna/Servius Tullius », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité - Oudheid, t. 68, no 1,‎ , pages 86-108 (DOI 10.3406/rbph.1990.3702, lire en ligne, consulté le )
  58. Massimo Pallotino, « Servius Tullius, à la lumière des nouvelles découvertes archéologiques et épigraphiques », Comptes rendus de l'Académie des inscriptions et belles-lettres,‎ , p. 216 à 235
  59. Irollo 2010, p. 171-172
  60. Peter Bruegel, Frans Huys : catalogue de l'œuvre gravé, Bruxelles, (lire en ligne), page 70
  61. Piel et Mineo 2011, p. II (livret central)
  62. (it) F. Roncalli, La Tomba François di Vulci, Rome, F. Buranelli, , pages 88 et 89
  63. Nicole Blanc, Au royaume des ombres : la peinture funéraire antique : IVe siècle av. J.-C., IVe siècle après J.-C., Réunion des musées nationaux, , page 46
  64. (it) F. Buranelli, « Carlo Ruspi, artiste archéologue », dans F. Boitani, Pittura etrusca. : Disegni e documenti del XIX secolo dall'Archivio del Istituto Archeologico Germanico (catalogue d'exposition, Tarquinia), Rome, , pages 21 à 24
  65. (en) « Édition électronique du texte des tables Claudiennes, rubrique Senatus consulta ; Oratio Claudii, De iure honorum Gallis dando. », sur Roman Law Library, (consulté le )
  66. « Différentes traductions de la Table Claudienne », sur ClioWeb, (consulté le Mois invalide (juilet))
  67. (en) « Texte original de la version de Tacite », sur latin library.com, (consulté le )
  68. a et b Jacques Heurgon, « La vocation étruscologique de l'Empereur Claude », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 97e année, no 1,‎ , pages 92-97 (DOI 10.3406/crai.1953.10069, lire en ligne, consulté le )
  69. a et b Dominique Briquel, « Claude, érudit et empereur », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 132e année,‎ , p. 217-232 (DOI 10.3406/crai.1988.14597, lire en ligne, consulté le Date invalide (= 23 juillet 2016))
  70. collectif, « Table claudienne : concernant l'attribution du Jus Honorum aux gaulois ( 48 apr. J.-C. ) », publications de l'Université de droit romain de Grenoble,‎ (lire en ligne, consulté le )
  71. Nathan Badoud, « La table claudienne de Lyon au XVIe siècle », Cahiers du Centre Gustave Glotz, vol. 13,‎ , pages 169-195 (DOI 10.3406/ccgg.2002.1563, lire en ligne, consulté le )
  72. Dominique Briquel, Le regard des autres : les origines de Rome vues par ses ennemis : début du IVe siècle/début du Ier siècle av. J.-C., Presses Universitaires de Franche-Comté, (lire en ligne), pages 62 à 74
  73. Michel Kaplan, Le monde romain, (lire en ligne), pages 35 à 37
  74. G. De Kleijn et Stéphane Benoist, Integration in Rome and in the Roman World : Proceedings of the Tenth Workshop of the International Network Impact of Empire (Lille, June 23-25, 2011), (lire en ligne), pages 67 à 74
  75. (en) The Beginnings of Rome, Londre, Routledge, , pages 133-134
  76. a b c d e f g h i j et k Irollo 2010, p. 170 à 172
  77. Jacques Poucet, « L'importance du terme collis pour l'étude du développement urbain de la Rome archaïque », L'antiquité classique, vol. Tome 36, no fasc. 1,‎ , pages 99-115 (DOI 10.3406/antiq.1967.2646, lire en ligne, consulté le )
  78. André Balland, Alix Barbet et Pierre Gros, « Fouilles de l'École Française de Rome à Bolsena (Poggio Moscini). II : Les architectures (1962-1967) », Mélanges de l'École française dr Rome, Rome / École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, vol. 6-2,‎ (lire en ligne, consulté le )
  79. Michel Labrousse, « Le pomerium de la Rome impériale : Notes de topographie romaine », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 54,‎ , p. 165-199 (DOI 10.3406/mefr.1937.8704)
  80. (en) Pierre Grimal et Gjerstad Einar, « Early Rome III : Fortifications, domestie architecture, sanctuaries, stratigraphic excavations (Acta Instítuti Romani Regni Sueciae, series in-4°, XVII, 3), 1960 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 64, nos 1-2.,‎ , page 212 (lire en ligne, consulté le )
  81. André Magdelain, « Le pomerium archaïque et le mundus », dans André Magdelain, Jus imperium auctoritas : Études de droit romain, vol. 133, Rome / École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, , pages 155-191
  82. Paula Landart, Sur les traces de Rome : promenades au fil de l'histoire, (lire en ligne), pages 310 à 320
  83. Joël Le Gall, « Le Delta du Tibre à l'époque historique (Variations du niveau de base) », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 21e année, nos 163-166,‎ , pages 80-85 (DOI 10.3406/bagf.1944.7640, lire en ligne, consulté le )
  84. (en) Grimal Pierre et Louise Adams Holland, « Janus and the Bridge (American Academy in Rome, Papers and Monographs, XXI), année 1961 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 64, nos 3-4,‎ , pages 467-469 (lire en ligne, consulté le )
  85. (en) John Hopkins, « The sacred Sewer : tradition and religion in the Cloaca Maxima », dans Max Bradley, Rome, pollution and property, (lire en ligne)
  86. a et b Piel et Mineo 2011, p. XII (livret central)
  87. Jean-Paul Thuillier 1985, p. 60, 61, 62, et 99
  88. Jean-Paul Thuillier, « L'organisation et le financement des ludi circenses au début de la République : modèle grec ou modèle étrusque », dans Jean-Paul Thuillier, Crise et transformation des sociétés archaïques de l'Italie antique au Ve siècle av. JC. Actes de la table ronde de Rome (19-21 novembre 1987), vol. 137, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 357-372
  89. Raymond Bloch, « Le départ des Étrusques de Rome selon l'annalistique et la dédicace du temple de Jupiter Capitolin », Revue de l'histoire des religions,‎ , pages 61 à 72 (lire en ligne, consulté le )
  90. (en) Franz De Ruyt et Timothy Nolan Gantz, « Terracotta Figured Friezes from the Workshop of Vulca », L'antiquité classique, vol. Tome 44, no fasc. 2,‎ , pages 811-812 (lire en ligne, consulté le )
  91. (it) Mario-Attilio Levi, « L'Ercole romano », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 22, no 1,‎ , pages 79-94 (DOI 10.3406/dha.1996.2265, lire en ligne, consulté le )
  92. Raymond Bloch, « Le départ des Étrusques de Rome et la dédicace du Temple de Jupiter capitolin », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 105, no 1,‎ , pages 62-71 (lire en ligne, consulté le )
  93. (en) Myrto Garani, « Propertius' temple of Jupiter Feretrius and the spolia opima (4.10) : a poem not to be read? », L'antiquité classique, t. 76,‎ , pages 99-117 (DOI 10.3406/antiq.2007.2620, lire en ligne, consulté le )
  94. Dominique Briquel, « Jupiter, Saturne et le Capitole : Essai de comparaison indo-européenne », Revue de l'histoire des religions, vol. tome 198,‎ , pages 131-162 (DOI 10.3406/rhr.1981.4889, lire en ligne, consulté le )
  95. Georges Dumezil, Déesses latines et mythes védiques, Latomus XXV, , pages 71-98
  96. (it) Jacques Poucet, « La Rome archaïque. Quelques nouveautés archéologiques : S. Omobono le Comitium la Regia », L'antiquité classique, vol. 49,‎ , p. 286-315 (lire en ligne, consulté le )
  97. Dominique Briquel, « Les figures féminines dans la tradition sur les rois étrusques de Rome », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 142ᵉ année, no 2,‎ , pages 397-414 (DOI 10.3406/crai.1998.15871, lire en ligne, consulté le )
  98. a et b Jean-Marie Thiveaud, chap. 2 « Monnaie, emprunts, marchés, commerce dans l'Euro-Méditerranée antique du VIIe siècle av. J.C. au IVe siècle ap. J.C. », dans sous la direction de André Cartapanis et Amina Lahrèche-Revil, L'euro et le financement de la croissance en Méditerranée, Revue d'économie financière, (DOI 10.3406/ecofi.1999.3542, lire en ligne), pages 253-278
  99. Chemain 2016, p. 73 et 75
  100. Chemain 2016, p. 104
  101. Chemain 2016, p. 111, 112 et 114
  102. Jacqueline Champeaux, « Fortuna : Le culte de la Fortune à Rome et dans le monde romain », dans Jacqueline Champeaux, I - Fortuna dans la religion archaïque, vol. 60, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne)
  103. Jean-Pierre Adam, Le Temple de Portunus au Forum Boarium, vol. 199, Rome : École Française de Rome,, Publications de l'École française de Rome, , 130 p. (lire en ligne)
  104. (en) John W. Stamper, Architecture of Roman Temples : The republic to the middle empire, Cambridge University Press, (lire en ligne), pages 230 à 240
  105. (en) Ted Kaizer, « Leucothea as Mater Matuta at Colonia Berytus : A note on local mythology in the Levant and the Hellenisation of a Phoenician city », Syria, vol. Tome 82,‎ , pages 199-206 (DOI 10.3406/syria.2005.8691, lire en ligne, consulté le )
  106. Alexandre Grandazzi, « Penser les origines de Rome », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 2,‎ , pages 59 et 60 (DOI 10.3406/bude.2007.2260, lire en ligne, consulté le )
  107. (en) Ross R. Holloway, The Archaeology of Early Rome and Latium : History, Routledge, (lire en ligne), pages 10 à 17
  108. Paul Petit et Georges Piéri, « L'histoire du cens jusqu'à la fin de la République romaine », L'antiquité classique, vol. Tome 37, no fasc. 2,‎ , pages 759-760 (lire en ligne)
  109. Georges Hubrecht, « Georges Pieri : L'histoire du cens jusqu'à la fin de la République romaine (vol. XXV des publications de l'Institut de droit romain de l'Université de Paris), 1968 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 70, nos 1-2,‎ , pages 232-233 (lire en ligne, consulté le )
  110. Françoise-Hélène Massa-Pairault, « À propos de la communication de G. Fabre », dans collectif, Parenté et stratégies familiales dans l'Antiquité romaine : Actes de la table ronde des 2-4 octobre 1986 (Paris, Maison des sciences de l'homme), vol. 129, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 643-644
  111. (it) Jean-Claude Richard, « Storia di Roma », dans Arnaldo Momigliano et Aldo Schiavone, Denys d'Halicarnasse historien des origines de Rome : Roma in Italia, vol. 1, Pallas, 39/1993, (lire en ligne), pages 224-229
  112. Janine Cels Saint-Hilaire et Claire Feuvrier-Prevotat, « Guerres, échanges, pouvoir à Rome à l'époque archaïque », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 5,‎ , pages 103-136 (DOI 10.3406/dha.1979.1382, lire en ligne, consulté le )
  113. (it) Alain Meurant et Maria Cristina Martini, « Due studi sulla riscrittura annalistica dell'età monarchica a Roma », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquite - Oudheid, vol. tome 80, no fasc. 1,‎ , p. 298-300
  114. Jean-Marie Pailler, « Rome aux cinq régions ? », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 97, no 2,‎ , pages 785-797 (DOI 10.3406/mefr.1985.1478, lire en ligne, consulté le )
  115. André Magdelain, « Remarques sur la société romaine archaïque », dans collectif, Jus imperium auctoritas. : Études de droit romain, vol. 133, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 429-451
  116. Adalberto Giovannini, « De Niebuhr à Mommsen : Remarques sur la genèse du "Droit public" », Cahiers du Centre Gustave Glotz, vol. 3,‎ , pages 167-176 (DOI 10.3406/ccgg.1992.1356, lire en ligne, consulté le )
  117. Léon Homo, Les institutions politiques romaines : De la cité à l'État, (lire en ligne)
  118. Élisabeth Deniaux, Rome, de la Cité-État à l'Empire, Institutions et vie politique, Hachette, , 256 p. (ISBN 2-01-017028-8)
  119. Virginie Hollard, Le rituel du vote : Les assemblées du peuple romain, CNRS Éditions, , 294 p. (ISBN 978-2-271-06925-2)
  120. André Magdelain, « Les accensi et le total des centuries », dans André Magdelain, Jus imperium auctoritas : Études de droit romain, vol. 133, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 423 à 428
  121. Bernadette Liou-Gille, « Du Minotaure de la Regia aux enseignes romaines : Intégration à date ancienne d'un monstre légendaire exotique à l'armée romaine », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité - Oudheid, vol. tome 85, no fascicule 1,‎ , p. 57-76 (DOI 10.3406/rbph.2007.5072, lire en ligne, consulté le )
  122. Giovanni Brizzi, Le Guerrier de l'Antiquité classique : de l'hoplite au légionnaire, éditions du Rocher, coll. « L'Art de la guerre »,
  123. Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier, « Pierre Cosme : L’armée romaine VIIIe s. av. J.-C. – Ve s. ap. J.-C. Paris, A. Colin, 2007. », L'antiquité classique, vol. Tome 79,‎ , pages 651-652 (lire en ligne)
  124. Stéphane Verger, « Tombe du Guerrier de Tarquinia au Lanuvinium », sur Archéo Enseignement UMR, (consulté le )
  125. Piel et Mineo 2011, p. IX (livret central
  126. Anne-Marie Adam et Agnès Rouveret, « Les cités étrusques et la guerre au Ve siècle avant notre ère. », dans collectif, Crise et transformation des sociétés archaïques de l'Italie antique au Ve siècle av. JC. : Actes de la table ronde de Rome (19-21 novembre 1987), vol. 137, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 327-356
  127. collectif, Sciences historiques et philologiques, Librairie Dalloz, (lire en ligne), pages 40, 41 et 42
  128. Pierre Cosme, « Servius Tullius : Inventeur de l'armée romaine ? », dans Pierre Cosme, L'armée romaine : VIIIe s. av. J.-C.-Ve s. ap. J.-C, Armand Colin, (lire en ligne), introduction chapitre I et 1er sous-chapitre I : "du mythe à la réalité : les guerriers romains archaïques"
  129. Piel et Mineo 2011, p. 58
  130. Massimo Pallottino, « Servius Tullius à la lumière des nouvelles découvertes archéologiques et épigraphiques », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 121, no 1,‎ , pages 224 et 225 (DOI 10.3406/crai.1977.13345, lire en ligne, consulté le )
  131. Charles Guittard, « Mauro Cristofani, La Grande Roma dei Tarquini », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, vol. 47e année,‎ , pages 397-399 (lire en ligne, consulté le )
  132. Irollo 2010, p. 192
  133. Piel et Mineo 2011, p. 15
  134. Piel et Mineo 2011, p. 16
  135. Piel et Mineo 2011, p. 29
  136. Piel et Mineo 2011, p. 30
  137. Piel et Mineo 2011, p. 31
  138. (es) Daniel Devoto, « Sobre algunos libros de Lastanosa », Bulletin Hispanique, vol. tome 66, nos 1 et 2,‎ , page 86 (DOI 10.3406/hispa.1964.3805, lire en ligne, consulté le )
  139. Frédéric Jimén, « Les Sacrements de Jean Bardin (1780-1790) : Le grand genre face à la critique du Salon », dans Christophe Henry, Daniel Rabreau (dir.), Le public et la politique des arts au Siècle des Lumières : Actes du colloque international d’histoire de l’art, Paris, INHA, 17-19 décembre 2009, vol. VIII, Annales du Centre Ledoux, (lire en ligne), pages 397-411
  140. Thierry Camous, Tarquin le Superbe : Roi maudit des Étrusques, Paris, Payot & Rivages, coll. « Biographie Payot », , 320 p. (ISBN 9782228910606, lire en ligne)
  141. a b c et d Jean Gagé, « La mort de Servius Tullius et le char de Tullia », Revue belge de philologie et d'histoire, vol. tome 41, no fascicule 1,‎ , pages 25-62 (DOI 10.3406/rbph.1963.2451, lire en ligne, consulté le )
  142. Michel Humm, Appius Claudius : La république accomplie, (lire en ligne), notes 53, 54 et 55
  143. (it) Margueritha Garducci, Scritti Scelti Sulla Religione Greca E Romana E Sul Cristianesimo, Brill archive, (lire en ligne), pages 131 et 132
  144. (it) Vittorio Emanuele Vernole, Servius Tullius, (lire en ligne), page 22
  145. (it) Filippo Coarelli, Palatium : il Palatino dalle origini all'impero, edizioni Quasar, (lire en ligne), pages 202 et 203
  146. Dominique Briquel, « Les figures féminines dans la tradition sur les rois étrusques de Rome », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 142, no 2,‎ , pages 397-414 (DOI 10.3406/crai.1998.15871)
  147. Valérie Fromentin, « Servius Tullius sans Fortuna ? : ou la figure du roi Servius Tullius chez Denys d'Halicarnasse. », dans Valérie Fromentin, Pouvoir des hommes, signes des Dieux dans le monde antique : Actes des rencontres de Besançon (1999-2000), vol. 852, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « « ISTA » », (lire en ligne), pages 53-78
  148. a et b Paul-Marius Martin, « Temps historique, temps mythique dans le I.I. de Tite-Live : À mon Maître, Raymond Bloch », Vita Latina, vol. 149,‎ , pages 17-33 (DOI 10.3406/vita.1998.1000, lire en ligne, consulté le )
  149. Jacques Heurgon et Paul M. Martin, « L'idée de Royauté à Rome. : I. De la Rome royale au consensus républicain, éd. Adosa, 1982 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 89, nos 1 et 2,‎ , pages 141-143 (lire en ligne, consulté le )
  150. Plutarque (trad. Alexis Pierron), Vies des hommes illustres, t. 1, Paris, Charpentier, (lire sur Wikisource), p. 225-252
  151. Ugo Bratelli, « Plutarque : Vie de Publicola », sur Ugo Bratelli, (consulté le )
  152. Etienne Teixeira, « Démocratie et monarchie chez Plutarque », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 21, no 2,‎ , pages 139-146 (DOI 10.3406/dha.1995.2651, lire en ligne, consulté le )
  153. Nicole Boëls-Janssen, « Les signes de royauté à Rome à l'époque royale : prédestination et confirmation », dans collectif, Pouvoir des hommes, signes des Dieux dans le monde antique : Actes des rencontres de Besançon (1999-2000), vol. 852, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « « ISTA » », (lire en ligne), pages 27-52
  154. a et b Jean-Claude Richard, « À propos du premier triomphe de Publicola », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 106, no 1,‎ , pages 403-422 (DOI 10.3406/mefr.1994.1852, lire en ligne, consulté le )
  155. A Johner, « La fonction royale chez Tite-Live : l'utopie de la royauté régulière et institutionnelle », Vita Latina, vol. 149,‎ , pages 50 à 55 (DOI 10.3406/vita.1998.1002, lire en ligne, consulté le )
  156. Jacques-Hubert Sautel, « L'autorité dans la Rome royale selon Denys d'Halicarnasse : Aperçus sémantiques », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquite - Oudheid, vol. tome 77, no fascicule 1,‎ , pages 77-104 (DOI 10.3406/rbph.1999.4349, lire en ligne, consulté le )
  157. Paul M. Martin, « Discours politique et Histoire dans l’Antiquité : La manipulation rhétorique de l’Histoire dans les Philippiques de Cicéron », Dialogues d'histoire ancienne, no Supplément n°8,‎ , pages 109-142
  158. Jacques Poucet et Jean Gagé, « La chute des Tarquins et les débuts de la république romaine. », L'antiquité classique, vol. Tome 47, no fascicule 1,‎ , p. 329-330 (lire en ligne, consulté le )
  159. Monique Crampon, « Les caractères formels du songe de pouvoir sous la République romaine », dans collectif, Pouvoir des hommes, signes des Dieux dans le monde antique : Actes des rencontres de Besançon (1999-2000), vol. 852, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « « ISTA » », (lire en ligne), pages 97-124
  160. Dominique Briquel, « La naissance de la république romaine comme avènement d'un monde parfait : arrière-plan eschatologique du récit traditionnel », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 2,‎ , pages 71-94 (DOI 10.3406/bude.2007.2261, lire en ligne, consulté le )
  161. a et b Ella Hermon, « Le Lapis Satricanus et la colonisation militaire au début de la République », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, Publications de l'École française de Rome, t. 111, no 2,‎ , pages 847-881 (DOI 10.3406/mefr.1999.2100, lire en ligne, consulté le )
  162. Raskolnikoff Mouza, « Vico : l'histoire romaine et les érudits français des Lumières », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes, vol. tome 96, no 2,‎ , pages 1051-1077 (DOI 10.3406/mefr.1984.2780, lire en ligne, consulté le )
  163. Mouza Raskolnikoff, Histoire romaine et critique historique dans l'Europe des Lumières : La naissance de l'hypercritique dans l'historiographie de la Rome antique, vol. 163, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, , 902 p. (lire en ligne)
  164. Jean-Claude Richard, « Sur trois problèmes du premier âge républicain », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 97,‎ , pages 751-784 (DOI 10.3406/mefr.1985.1477, lire en ligne, consulté le )
  165. a et b Piel et Mineo 2011, p. IX (livret central)
  166. (en) Jacques Heurgon, « Lapis Satricanus : Archaeological, epigraphical, linguistic and historical aspects of the new inscription from Satricum : by M. Stibbe, G. Colonna, C. de Simone and H. S. Versnel, with an introduction by M. Pallottino, 1980 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 85, nos 3 et 4,‎ , pages 344-346 (lire en ligne, consulté le )
  167. Jacques Poucet, « Enrico Flores, La camena, l'epos e la storia : Studi sulla cultura latina arcaica », L'antiquité classique, vol. Tome 69,‎ , pages 345-346 (lire en ligne, consulté le )
  168. Jacques Heurgon, « Italy Before the Romans : The Iron Age. Orientalizing and Etruscan periods. Edited by David and Francesca R. Ridgway, 1979 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 82, nos 3 et 4,‎ , pages 351-354 (lire en ligne, consulté le )
  169. (it) Alessandro Morandi, « L'ara inscritta di Corcolle : Aspetti monumentali ed epigrafici », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité - Oudheid, vol. tome 65, no fascicule 1,‎ , p. 97-112 (DOI 10.3406/rbph.1987.3574, lire en ligne, consulté le )
  170. Bernadette Choppin, « L'Âge du fer à Veies », École pratique des hautes études. 4e section, Sciences historiques et philologiques, vol. Annuaire 1977-1978,‎ , pages 1241-1248 (lire en ligne, consulté le )
  171. a b et c Irollo 2010, p. 173 à 176
  172. a b et c Piel et Mineo 2011, p. 70 à 80
  173. Piel et Mineo 2011, p. citation de Plutarque, page 73
  174. a et b Piel et Mineo 2011, p. 75
  175. a et b Piel et Mineo 2011, p. 77
  176. a et b Piel et Mineo 2011, p. 79
  177. a et b Piel et Mineo 2011, p. 83
  178. a et b Piel et Mineo 2011, p. 85
  179. a et b (it) Armando Chierici, « Porsenna e Olta : riflessioni su un mito etrusco », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 106, no 1,‎ , pages 353-402 (DOI 10.3406/mefr.1994.1851, lire en ligne, consulté le )
  180. (it) Claire De Ruyt, « La civiltà di Chiusi e del suo territorio : Atti del XVII Convegno di Studi etruschi et italici. Chianciano Terme 28 maggio - Io giugno 1989. », L'antiquité classique, vol. Tome 65,‎ , pages 588-590 (lire en ligne, consulté le )
  181. (it) Giuseppe Ramires, « Un’eroina nel racconto di Servio : Lucrezia », dans collectif, Jeux et enjeux de la mise en forme de l'histoire : Recherches sur le genre historique en Grèce et à Rome éditeur = Dialogues d'histoire ancienne, vol. Supplément n°4-1, (DOI 10.3406/dha.2010.3342, lire en ligne), page 61-75
  182. (it) Franz De Ruyt, « Giovanni Cipriani, Il mito etrusco nel rinascimento florentino », L'antiquité classique, vol. Tome 51,‎ , p. 537-538 (lire en ligne, consulté le )
  183. Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques, vol. Livret-Annuaire 19. 2003-2004,‎ , pages 138-140 (lire en ligne, consulté le Date invalide (27juillet 2016))
  184. Jean-René Jannot, « L'Étrurie intérieure de Lars Porsenna à Arruns le jeune », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, t. 10, no 2,‎ , p. 601-614 (DOI 10.3406/mefr.1988.1601, lire en ligne, consulté le )
  185. Bernard Combet-Farnoux, « Cumes, l'Étrurie et Rome à la fin du VIe siècle et au début du Ve siècle : Un aspect des premiers contacts de Rome avec l'hellénisme », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 69,‎ , p. 7-44 (DOI 10.3406/mefr.1957.7409, lire en ligne, consulté le )
  186. (en) Jacques Heurgon, « Italy Before the Romans : The Iron Age. Orientalizing and Etruscan periods. Edited by David and Francesca R. Ridgway, 1979 », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 82, nos 3-4,‎ , pages 351-354 (lire en ligne, consulté le )
  187. Anne-Marie Adam et Agnès Rouveret, « Les cités étrusques et la guerre au Ve siècle avant notre ère », dans collectif, Crise et transformation des sociétés archaïques de l'Italie antique au Ve siècle av. JC. : Actes de la table ronde de Rome (19-21 novembre 1987), vol. 137, Rome : École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), pages 327-356
  188. (en) Ross R. Holloway, The Archaeology of Early Rome and Latium, Routledge, (lire en ligne), page 194
  189. (en) « Lapis Satricanus », sur Livius, (consulté le )
  190. (en) « Latin - 7th/6th century BC - Current era : Examples of writing ; paragraphe Lapis Statricanus », sur Mnamon : Antiche scritture del Mediterraneo - Scuola Normale Superiore Laboratorio di Storia, Archeologia, Epigrafia, Tradizione dell'antico, (consulté le )
  191. collectif, Tite-Live : Histoire naturelle, (lire en ligne)
  192. Danielle De Clerc, « Histoire de Rome depuis sa fondation : Livre I », sur Biblioteca Classica, (consulté le )
  193. a et b Jacques Poucet (traduction) et Rudi Thomsen, « King Servius Tullius : A Historical Synthesis », L'antiquité classique, vol. Tome 52,‎ , pages 482 à 484 (lire en ligne, consulté le )
  194. a et b Massimo Pallottino, « Servius Tullius à la lumière des nouvelles découvertes archéologiques et épigraphiques », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 121e année, no 1,‎ , pages 216-235 (DOI 10.3406/crai.1977.13345, lire en ligne, consulté le )
  195. a et b Piel et Mineo 2011, p. 71, 72, 73 et 74
  196. Dominique Briquel, « Rome comme ville étrusque », Publications de l'Université de Caen,‎ (lire en ligne, consulté le )
  197. Marie Arnaud, Histoire et politique à Rome, (lire en ligne), page 88
  198. Janine Cels Saint-Hilaire et Feuvrier-Prevotat Claire, « Guerres, échanges, pouvoir à Rome à l'époque archaïque », Dialogues d'histoire ancienne, no 5,‎ , pages 103-136 (DOI 10.3406/dha.1979.1382, lire en ligne, consulté le )
  199. De Cazanove Olivier, « La chronologie des Bacchiades et celle des rois étrusques de Rome », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité,, vol. tome 100, no 2,‎ , pages 615-648 (DOI 10.3406/mefr.1988.1602)
  200. Irollo 2010, p. 173
  201. Ève Gran-Aymerich, Les chercheurs de passé : 1798 - 1945, Éditions du CNRS, (lire en ligne), pages 619 et 620
  202. Jacques Poucet, « La Rome archaïque. Quelques nouveautés archéologiques : S. Omobono le Comitium la Regia », L'antiquité classique, vol. Tome 49,‎ , pages 300, 304, 310, 311, et 312 (DOI 10.3406/antiq.1980.1983, lire en ligne, consulté le )
  203. Michel Humm, « Le Comitium du forum romain et la réforme des tribus d'Appius Claudius Caecus », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 111, no 2,‎ , pages 625-694 (DOI 10.3406/mefr.1999.2095, lire en ligne, consulté le )
  204. Michel Lejeune, « 11. Savelli (Angelo) : Nuovissime interpretazioni etrusche », Revue des Études Grecques, vol. tome 84, no fascicule 399-400,‎ , pages 169-170 (lire en ligne, consulté le )
  205. Alexandre Grandazzi, Les origines de Rome, vol. 216, Presses universitaires de France, coll. « Que-sais-je ? », (lire en ligne), pages d'introduction
  206. Jean-Pierre Martin, Alain Chauvot et Mireille Cébeillac-Gervasoni, « Archéologie : apports et interprétation », dans Jean-Pierre Martin, Alain Chauvot, Mireille Cébeillac-Gervasoni, Histoire romaine, Armand Colin, , 4e éd. (lire en ligne), paragraphe : un siècle de fouilles
  207. « Lapis niger », sur Bibliothèque universitaire des arts et des belles lettres, (consulté le )
  208. Raymond Chevallier, « Dumézil (Georges) : La religion romaine archaïque, avec un appendice sur la religion des Étrusques », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité - Oudheid, vol. tome 45, no fascicule 1,‎ , pages 136 à 138 (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Autres projets modifier

{{DEFAULTSORT:Étrusques}} [[Catégorie:Civilisation]] [[Catégorie:Civilisation étrusque| ]] [[Catégorie:Étrusques| ]] [[Catégorie:Monarchie romaine]] [[Catégorie:Période historique romaine]]