Dol-de-Bretagne
Dol-de-Bretagne | |||||
![]() La Grand'Rue (en 2005). | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Dol et de la baie du Mont-Saint-Michel (siège) |
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Maire Mandat |
Denis Rapinel 2020-2026 |
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Code postal | 35120 | ||||
Code commune | 35095 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dolois | ||||
Population municipale |
5 714 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 368 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 651 hab. (2016[1]) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 32′ 59″ nord, 1° 45′ 03″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 58 m |
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Superficie | 15,53 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Dol-de-Bretagne (bureau centralisateur) |
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Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.dol-de-bretagne.fr | ||||
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Dol-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Ses habitants, qui étaient 5 714 habitants au recensement de 2018[Note 1], sont appelés les Dolois.
GéographieModifier
Dol-de-Bretagne est situé à mi-distance entre Saint-Malo et Le Mont-Saint-Michel au sud de Cherrueix et du Vivier-sur-Mer, communes en bord de mer. Rennes se trouve au sud à 55 km.
Dol-de-Bretagne est située sur le bord de la falaise, haute d'une vingtaine de mètres, que le flot venait encore battre au Xe siècle avant l'accumulation des dépôts marins qui permirent la construction de la digue du littoral, aujourd'hui tronçon de la route touristique Pontorson-Saint-Malo.
HydrographieModifier
Dol-de-Bretagne est sur un coude du fleuve côtier le Guyoult, avec une ville implantée au nord-est de ce coude. Par ailleurs, cette commune est aussi à la confluence d'un de ces affluents le ruisseau du Tertre Bintin.
Hameaux, écarts, lieux-ditsModifier
- Faubourg de l'Abbaye-sous-Dol. La paroisse de L'Abbaye a été érigée en commune en 1790 avant d'être absorbée par la commune de Dol aux environs de l'an II.
- Carfantain (ou Carfantin) est une ancienne paroisse rattachée à Dol pendant la Révolution française.
Voies de communication et transportsModifier
Dol-de-Bretagne est desservie par la route nationale 176. La commune est labellisée Village étape depuis 2012.
La ville possède une gare rénovée desservie par un TER et par le TGV pour Saint-Malo (15 min), Rennes (30 min) et Paris (2 h 30).
ToponymieModifier
Le nom de la localité est attesté sous les formes Dolum[2] au VIIe siècle, Doli en 1158, Doul au XIIIe siècle.
Dol est un mot gaulois pour indiquer un « méandre »[3], ou du breton Dol « lieu bas, voire inondable et fertile qui peut se situer dans un méandre »[4]. Le noyau primitif de Dol est effectivement situé dans un méandre du Guioult.
Albert Dauzat rapproche Dol-de-Bretagne de Dol (Jura, Dola); Déols (Indre, Dolensis vicus VIe siècle, Dolus [monnaie mérovingienne]); Dolus-le-Sec (Indre-et-Loire, Dolos Ve siècle, vic. Dolensis IXe siècle, Dolum 1107, avec ajout d'une terminaison -us, issue d'un suffixe obscur)[2], car les formes anciennes sont identiques.
HistoireModifier
Préhistoire et AntiquitéModifier
La région de Dol-de-Bretagne a été habitée depuis bien longtemps comme en témoigne le menhir de Champ-Dolent (mesurant 9,30 m, c'est un des plus hauts de Bretagne) qui date du Néolithique et se trouve à la sortie de ville en direction de Combourg.
Moyen ÂgeModifier
Probablement fondée à l'époque celtique, Dol-de-Bretagne devient au VIe siècle l'un des premiers évêchés de Bretagne. Saint Samson de Dol, premier évêque de Dol, est l'un des sept saints fondateurs de Bretagne (mort à Dol vers 565). Il fonde l’abbaye de Dol et il est le patron du diocèse dont celle-ci devint le chef-lieu à l’époque carolingienne. La ville de Dol-de-Bretagne est une étape du pèlerinage médiéval des sept saints de Bretagne continentale appelé Tro Breiz (Tour de Bretagne). Le souverain des Bretons, Nominoë, y est sacré en 848.
La ville est pillée par les Vikings au IXe siècle. En 936, le comte de Dol est obligé de rendre hommage à Guillaume Ier de Normandie. Cependant, les normands sont délogés la même année lorsque Alain Barbetorte, un chef breton, fils de Mathuedoï de Poher, comte de Poher, exilé en Angleterre, débarque à Dol, bat et chasse les normands avant d'être élu duc des Bretons en 937[5]. La menace viking continue néanmoins à peser sur la ville tandis que des Vikings de l'actuelle Normandie, les Normands, menacent également la ville et la prennent en 944. En 996, c'est un roi viking qui s'en empare, Olaf Lagman, un Norvégien qui règne sur les Hébrides et sur une partie de l'Irlande : Dol est une nouvelle fois pillée, saccagée et incendiée. En 1014 Olaf Haraldsson, futur roi de Norvège, débarque à la demande de Richard l'Irascible, duc de Normandie, pour combattre d'autres bandes vikings païennes retranchées dans Dol. Il a été baptisé à Rouen, peu avant ou peu après, par le propre frère du duc de Normandie, Robert le Danois.
La saga de ce roi viking, le Heimskringla, raconte ses exploits dans l'épisode de Dol :
« La troisième année, le roi Ethelred mourut et ses fils Edmund et Edward prirent le pouvoir. Alors le roi Olaf tira au sud par la mer, combattit dans le Hringsfjörðr (nom norrois de la baie du mont Saint-Michel) et prit à Hollar (Dol) un fjord que les Vikings occupaient. Il brûla le fjord. Ainsi dit Sigvat le scalde. Dans le beau Hringsfjörðr le nombre de dix fut atteint par les batailles, l'armée s'y rendit à la voile comme le héros l'ordonna. La haute citadelle de Hol, où se tenaient les Vikings, il la força ; ils ne souhaitèrent pas recommencer un pareil combat à l'arme de jet[6]. »
En 1064[7], Guillaume de Normandie mène une expédition contre la Bretagne à laquelle participe activement Harold Godwinson, qui sera ensuite son adversaire à la bataille d'Hastings. La tapisserie de Bayeux, scène 18 à 20, relate les prises successives des forteresses de Dol-de-Bretagne, Rennes (ou Conan II de Bretagne s'est réfugié après avoir fui Dol-de-Bretagne) et Dinan (où Conan rend les clefs de la ville au bout d'une lance). En 1076, Guillaume lance une nouvelle campagne militaire en Bretagne et investit Dol, dont le siège est levé par l’ost conduit par le roi des Francs Philippe Ier[8].
En 1167 Yseult de Dol, héritière du vaste domaine des seigneurs de Dol et Combourg, épouse le Normand Hasculf de Subligny, arrière-arrière-petit-fils de Hugues d'Avranches. Hasculf fait ainsi tomber la ville de Dol entre les mains de l'une des plus anciennes familles de l'Avranchin. Ces seigneurs normands seront très actifs notamment dans la mise en valeur du marais de Dol et, surtout, ils seront les premiers artisans d'une poldérisation précoce de la baie du mont Saint-Michel à l'ouest du Couesnon, dès la fin du XIIe siècle[9].
La cathédrale de Dol reconstruite au début du XIIIe siècle est un bel exemple d'architecture anglo-normande et un témoignage relativement rare de l'architecture du XIIIe siècle en Bretagne. Avec son chevet plat, notamment, la cathédrale de Dol présente un plan qui se rapproche de plusieurs édifices anglais contemporains[10][réf. non conforme].
Au Moyen Âge, en l'absence d’égouts, des rues étaient destinées à l'évacuation des déchets et eaux usées à l'air libre, les natais. Leurs flux se mêlaient à ceux des ruisseaux et rivières aussi appelés « merderons »[11].
À la fin de la guerre de Cent Ans, la bourgade est très appauvrie : en 1437, un tiers de la population se retrouve sans logis, à la suite d'un incendie provoqué par les Anglais[12].
Temps modernesModifier
L'abbaye Notre-Dame du Tronchet possédait des biens dans la paroisse Notre-Dame de Dol[13]. Dol participe à la révolte du papier timbré survenue en 1675.
La paroisse de Dol faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de Saint-Samson puis de Notre-Dame. En 1772, la paroisse de Dol absorbe la paroisse du Crucifix.
Révolution françaiseModifier
Dol est chef-lieu du district de Dol de 1790 à 1795.
L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l’accueil favorable de la population de Dol aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :
- l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)[14] ;
- l’anniversaire de la fondation de la Première République, le 21 septembre[15] ;
- la fête du 26 messidor (14 juillet) à partir de 1794[16] ;
- les autres fêtes républicaines sont peu suivies, notamment à cause du manque de succès du calendrier républicain, qui fait que les fêtes d’Ancien Régime et les nouvelles ne coïncident pas[17]. On peut néanmoins citer les fêtes de la Jeunesse[18], de la Reconnaissance[19], de l’Agriculture.
La cathédrale de l’évêché de Dol, supprimé en 1790, est vendue comme bien national à un bourgeois qui la transforme en écuries.
La commune de Dol est fondée en 1790. Elle absorbe rapidement la commune éphémère de L'Abbaye, puis le 8 floréal an II (7 mai 1794), celle de Carfantain.
Du 20 au 22 novembre 1793, Dol et ses environs sont le théâtre d'une sanglante bataille entre les Vendéens et l'armée du général Rossignol. Les Vendéens sont restés maîtres du terrain.
XIXe siècleModifier
Le est mise en service la gare ferroviaire.
XXe siècleModifier
Première Guerre mondialeModifier
Le 2 août 1914, la cloche de la cathédrale sonne à un rythme inhabituel, qui désigna l'entrée en guerre[20].
Le monument aux morts de Dol-de-Bretagne porte les noms de 153 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[21].
Entre-deux-guerresModifier
En 1924, Dol prend le nom de Dol-de-Bretagne[22], quelques jours avant le décès de François Duine, son principal historien[pertinence contestée].
Seconde Guerre mondialeModifier
Le monument aux morts de Dol-de-Bretagne porte les noms de dix-huit personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[21]. Un autre monument, situé square des Déportés, porte les noms de dix résistants morts en déportation, dont Francis Charpentier (mort le à Bergen-Belsen), Louis Guelet (mort en janvier 1945 à Ellrich), Alphonse Leparoux (mort le à Mauthausen)[23].
Fernand Derrien, né le à Dol-de-Bretagne, lieutenant FTPF dans le maquis de Vieux-Vy-sur-Couesnon est tué lors d'un combat le à La Selle-en-Coglès[24].
Le vendredi , Dol-de-Bretagne est libérée par le 330e régiment d’infanterie US, de la 83e division d’infanterie.
L'après-guerreModifier
Six soldats originaires de Dol-de-Bretagne sont morts pendant la guerre d'Indochine et deux pendant la guerre d'Algérie[21].
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste non exhaustive des sénéchauxModifier
- 1145 ca - Jourdain ou Jordan
Liste des mairesModifier
Depuis la Libération, six maires se sont succédé à la tête de la commune.
JumelagesModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2018, la commune comptait 5 714 habitants[Note 2], en augmentation de 4,48 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
ÉconomieModifier
Dol de Bretagne vit de l'agriculture, du commerce et du tourisme. L'arrivée du TGV depuis quelques années a contribué à l'essor de la commune, qui se traduit par une hausse de la population[réf. nécessaire][32].
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
La commune compte sept monuments historiques et 426 bâtiments inventoriés[33] :
- le menhir de Champ-Dolent (9,30 m). Il a été classé par liste de 1889[34] ;
- la cathédrale Saint-Samson, bâtiment principal de granite des XIIe et XIIIe siècles, grand porche du XIVe siècle, très beau petit porche du XIIIe siècle, vitrail restauré avec médaillons du XIIIe siècle situé dans le chœur. Tombe de Thomas James du XVIe siècle. Reliques de saint Samson et de saint Magloire. Elle fait partie des 1034 monuments historiques classés dès 1840[35] ;
- la maison de la Croix verte, avec des colombages du XVIe siècle, dont la cave voutée du XIIIe siècle est appelée cave de l’Enfer, inscrite par arrêté du 27 avril 1972[36] ;
- la maison de La Guillotière, construite au XVe siècle, inscrite par arrêté du 5 août 1930[37] ;
- la maison des Petits Palets, ou des Plaids, édifiée au XIIe siècle et remaniée au XVIIe siècle, inscrite par arrêté du 18 mars 1980[38] ;
- le manoir des Beauvais, manoir rural des XIVe et XVe siècles, inscrit par arrêté du 4 février 1963[39] ;
- le manoir de la Belle-Noë, construit au début du XVIIIe siècle, inscrit par arrêté du janvier 2006[40].
À noter également :
- la promenade des Douves, parc public aussi appelé promenade Jules-Revert duquel on a un panorama exceptionnel sur le Mont-Dol et sur les marais ;
- le musée de la Trésorerie, bâtiment du XVIe siècle ;
- des vieilles maisons autour de la cathédrale : dix sont grand'rue des Stuart, douze rue Le Jamptel, six rue Ceinte, dont un manoir ;
- Le Cathédraloscope, musée sur la construction des cathédrales.
Autres édifices religieuxModifier
- Église de l'abbaye actuelle chapelle de l'hospice.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Carfantin.
- Église Protestante Évangélique du Bon Berger.
- Salle du royaume des témoins de Jéhovah.
Personnalités liées à la communeModifier
- Saint Samson de Dol, mort à Dol vers 565. Il fonde l'abbaye de la ville et il est enterré dans la cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne. Il est nommé saint patron du diocèse quand la ville devint son chef-lieu à l’époque carolingienne.
- Baudri de Bourgueil, évêque de Dol-de-Bretagne (1107-1130), né à Meung-sur-Loire en 1046, abbé de Bourgueil en 1089. Il est l'auteur en latin d'une Histoire des Croisades, en prose, la Conquête de l'Angleterre, en vers.
- Thomas James, évêque de Dol-de-Bretagne (1482-1504), tombeau dans la cathédrale de Dol-de-Bretagne, chef-d'œuvre de la Renaissance des frères florentins Betti.
- Vénérable Jean de Saint-Samson (1571-1636), carme, grand mystique, participe à la réforme du Carmel. Il est enterré dans la cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne[41].
- Charles Bonaventure Marie Toullier (1752-1835), jurisconsulte.
- François-René de Chateaubriand (1768-1848), auteur, a été pensionnaire à Dol-de-Bretagne lors de ses études dans ce qui était l'ancienne école Notre-Dame.
- Stendhal, qui évoque Dol dans ses Mémoires d'un touriste (1838).
- Victor Hugo (1802-1885) : y a séjourné à plusieurs reprises avec sa maîtresse de l'époque Juliette Drouet. Une statue représentant Victor Hugo est d'ailleurs visible dans la rue principale de Dol-de-Bretagne.
- Jean-Baptiste Henri Durand-Brager (1814-1879), est un peintre et graveur né à Dol-de-Bretagne.
- François Deminiac, maire de Dol-de-Bretagne de 1848 à 1852, au moment de la Seconde République, puis de 1860 à 1875, sous le Second Empire, à l'époque où Napoléon III régnait sur la France.
- Louis-Alexandre Cabié (1854-1939), peintre français est né.
- François Duine[42], né à Dol en 1870, érudit, historien des premiers siècles de la Bretagne, hagiologue, folkloriste... il passa son enfance à Dol-de-Bretagne et resta attaché à son pays, se qualifiant volontiers de clericus dolensis.
- Renée Prévert (Dol-de-Bretagne 1912 - Rennes 1988), première députée du département (194-1951).
- Louis Rubaud (Dol-de-Bretagne 1917 - Toulon 1990), Premier Maître charpentier, Compagnon de la Libération[43]
- Michel Esneu (né en 1943), ancien maire de Dol-de-Bretagne, sénateur de 1998 à 2008[44].
- Daniel Hamelin (1943-2001) , mort noyé à Saint-Malo, journaliste (d'origine alsacienne) et producteur radio, fils d'un maire de Dol-de-Bretagne y est né.
HéraldiqueModifier
Blasonnement :
D'or à trois losanges d'azur chargés chacun d'une billette d'argent surchargée d'une moucheture d'hermine de sable, au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or. L'ancien blason de la ville ne présentait que des mouchetures d'hermine[45].
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BibliographieModifier
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui, Tome I : « Regard sur son histoire à travers ses rues ». Dinan, P. Amiot, 1984, 319 p.
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui, Tome II : « Regard sur son histoire à travers sa cathédrale », Dinan, P. Amiot, 1986, 342 p.
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui, Tome III : « Regard sur son histoire à travers son évêché », Dinan, P. Amiot, 1990, 311 p. — Importante iconographie, portraits, armoiries, blasons des évêques de Dol.
- Patrick Amiot, Dol-de-Bretagne guide touristique et historique, Dinan, P. Amiot, 1988, 120 p.
- François Duine, Histoire Civile et Politique de Dol jusqu'en 1789, Paris, 1911 ; réédition, Marseille, Laffitte Reprint, 1975.
- François Duine, Choses et gens du XVIe siècle breton, 1911, 18 p. — Notules ou documents relatifs à l'histoire religieuse de Dol.
- J.-P. Letort-Trégaro, Dol de Bretagne, Rennes, Éd. Ouest-France, 1977, 32 p.
- J.-C. Loyant, P. Marion, Dol de Bretagne et le marais dolois, Rennes, A. Sutton, 1994, 128 p.
- Le Rouget (Association François Duine), Revue d'histoire et de folklore du pays de Dol.
- Jean-Pierre Fontaine, Les Chouans de Baguer, Roman.
Liens externesModifier
Voir aussiModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en 2021.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN)
- Insee : évolution et structure de la population de l'aire urbaine de Dol-de-Bretagne.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 243b
- A. Meynier, Noms de lieux et continuité de la langue celtique en Gaule, Norois, Année 1966, Volume 52, Numéro 52, pp. 611-612
- Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, 2000, p. 66.
- André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-9145-4196-1), p. 79.
- Jean-Christophe Cassard, Le siècle des Vikings en Bretagne, Éditions Jean-Paul Gisserot, 1996, p. 100. (ISBN 2877472140)
- Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94, juillet-août-septembre 2015, p. 41 (ISSN 1271-6006).
- Robert Favreau, in Jean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, , 334 p. (ISBN 2-84494-084-6, lire en ligne), p. 138.
- Marie Casset, « Les hommes contre la mer : la poldérisation de la baie du Mont-Saint-Michel au Moyen Âge », Revue de l'Avranchin et du Pays de Granville, 2009, t.86, p. 197-202.
- Anne-Claude Le Boulch, La cathédrale de Dol, Rennes, 1999, 35-Rennes, Impr. de l'Université de Rennes, 2 245 p.
- Jean-Pierre Leguay, Les catastrophes au Moyen Age, Paris, J.-P. Gisserot, coll. « Les classiques Gisserot de l'histoire », , 224 p. (ISBN 978-2-877-47792-5 et 2-877-47792-4, OCLC 420152637)., p. 13.
- Leguay (2005), op. cit., p. 154.
- Déclaration de l'évêque de Dol en 1575;
- Dubreuil, Fêtes..., p. 398-399
- Dubreuil, Fêtes..., p. 401
- , p. 397
- Dubreuil, Fêtes..., p. 397
- Dubreuil, Fêtes..., p. 402
- Dubreuil, Fêtes..., p. 405
- Livre "J'étais médecin dans les tranchées" p 27.
- Memorialgenweb.org - Dol-de-Bretagne : monument aux morts
- Décret du 4 décembre 1924, inséré au Journal Officiel des 15 et 16 décembre 1924.
- Memorialgenweb.org - Dol-de-Bretagne : monument commémoratif des déportés
- http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/fusilles/tues-combat.htm
- Fiche biographique de ROPTIN François
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-11 (ISSN 1285-7688)
- « Résultats municipales 2020 à Dol-de-Bretagne », sur Le Monde.fr (consulté le 7 juin 2020).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Statistiques. Dossier complet, commune de Dol-de-Bretagne », sur INSEE, (consulté le 16 janvier 2019)
- « Liste des notices pour la commune de Dol-de-Bretagne », base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090549, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090544, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090546, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090548, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090547, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090545, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA35000028, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Hacherez GF, « Vénérable Frère Jean de Saint Samson : Carme, réformateur et écrivain aveugle » [PDF], sur nominis.cef.fr, Nominis (consulté le 5 août 2014).
- (fr) François-Marie DUINE.
- Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération[1]
- (fr) « Anciens sénateurs Ve République », sur Sénat (consulté le 22 février 2010).
- Nouveau Larousse Illustré de Claude Augé aux éditions Larousse, 1900 sur Carto-mondo.fr