* son petit-fils Claude de Hangest, seigneur d'Arzillières (depuis 1422), tué par un boulet de canon en 1441 au siège de Pontoise, près de Paris, défendu par les Anglais, commandant les troupes du roi Charles VII ; (284)
Camille Soudant : résistant, mort pour la France durant la Seconde Guerre mondiale. Il fut fusillé à Châlons-sur-Marne, et est enterré à Athis, sa ville natale. La rue devant la mairie porte son nom en hommage. (259)
Francis Latreille (né en 1948 dans le Loiret), photographe et peintre. Il couvre la guerre des Six-Jours (1967). Il reste longtemps grand reporter à France-Soir qu'il quitte en 1995 pour sillonner, en compagnie de Jean-Louis Étienne, les terres australes et boréales. Depuis 1998, il publie ses reportages et ses photos à la une des plus grands journaux internationaux. (article manquant)
Il est l'auteur de nombreux ouvrages : Mammouth, Mission banquise, Dolgans, Les Derniers Nomades des glaces, Le Grand Nord sibérien. Il a reçu de nombreux prix : Premier prix au festival international du scoop à Angers et en 1998, il obtient le World-Press Photo. Il expose ses photos au Musée de la marine, au palais de la Découverte et ses toiles dans des Galeries à Paris et dans les grandes villes dans le monde. depuis 2004, il participe à l'expédition du voilier polaire « Tara » sur la côte-Est du Groënland et en Antarctique. (565)
* Jules François Dupuis-Delcourt : aéronaute, physicien, astronome, né à Berru le 24 mars 1802, mort à Ivry le 2 avril 1864. En 1821 première utilisation du gaz d’éclairage pour gonfler les ballons. Premiers essais d’application en météorologie. (article manquant)
* David Petit est natif du village de Bethon. Il représente son village aux championnats du monde des Sapeurs Pompiers en 2004 à Sheffield (G.B). Il gagne en athlétisme le relais 4*400 m avec l'équipe de France et remporte la médaille de bronze sur 800 m. En 2006 il termine à Hong-Kong (Chine) 2e et 3e du 400 m et 800 m.[1]<br> (382)
* Une plaque rappelle la mémoire du résistant Georges Sand qui fut tué par l'occupant. Cette homophonie avec la célèbre femme de lettres sert souvent de question pour des rallyes automobiles. (196)
*Germond de Châtillon, seigneur de Bussy-le-Château, décédé vers 1142, époux de Clémence de Roucy (né vers 1125, décédée avant 1170) (143)
*Léon Mangean (né le 4 mars 1880 à Paris. Soldat de 2e classe au 233e régiment d’infanterie. Mort pour la France le 27 octobre 1915 à Bussy-le-Château (Marne), des suites de blessures de guerre) (210)
*Jules Cleret (Jules-Emile-François Cleret). Né le 12 octobre 1884 à Méricourt. Sergent au 233e régiment d’infanterie. Matricule 1418, recrutement d’Arras. Mort pour la France le 9 octobre 1915 à Bussy-le-Château (Marne), des suites de blessures de guerre) (271)
*Paul Henri Charles Cardon né le 20/03/1897 à Albert (80). Matricule 36486/78 - Classe 1914. Recrutement Péronne - caporal - 1er R.Z. Décédé suites blessures de guerre le 19/10/1918 à l'ambulance 10/13 de Bussy le Château (51) (239)
*Père Jean Colmart (né le 27 juin 1920 à Suippes, décédé le 3 novembre 2003) : il succède à Bussy-le-Château à l'abbé Laire. C'est là qu'il vivra la totalité de son ministère. Il fut conseiller municipal de Bussy-le-Château. (239)
Clovis, dont le baptême à Reims en 496 ou 498 a été célébré puis fêté en faisant venir un tonneau du vin de Cernay. Une sculpture sur le transept nord de la cathédrale de Reims a immortalisé cette scène et le tonneau. (230)
Colbert et Drouet d'Erlon ; durant leur prime jeunesse, ces rémois devenus célèbres étaient en nourrice à Cernay les Reims, "parce que l'air y était bon" selon Ch. Bosteaux. (191)
Jean Pérard , premier Maire de Cernay, de 1790 à 1793. (56)
Pierre Charles Bosteaux , Maire de Cernay en 1876, membre de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences et auteur d'une histoire de Cernay les Reims publiée en 1889. (179)
Paul Pérard, Maire du village après la seconde guerre mondiale, de 1946 à 1965. (82)
*Le peintre Nicolas Perseval : né en 1745 à Chamery, fit une carrière d'artiste-peintre régional et notamment à Reims où il meurt en 1837. Sa fille Marguerite Perseval, artiste-peintre elle aussi, se marie avec un notaire, maître Doyen, d’où naît le docteur Octave Doyen, maire de Reims de 1881 à 1884. Ce dernier est le père du docteur Eugène Doyen, médecin français qui a introduit le cinématographe dans la médecine. Marguerite Perseval épouse en secondes noces Jean Hubert Réve, artiste-peintre, dont Chamery possède l’une des œuvres. Une rue de Reims porte le nom du peintre. (608)
*Le docteur Jean-Baptiste Duguet : né en 1837 à Chamery, il commença ses études de médecine à Reims, puis se fit admettre comme externe des hôpitaux de Paris. Après une brillante carrière, membre de l’Académie de médecine en 1890, il devint son vice-président. Il meurt à 76 ans en 1914. Chevalier de la Légion d'honneur. (350)
*Le général Georges Perseval (1920-2009) : né en 1920 à Chamery, Saint Cyrien, pilote de chasse pendant la Seconde Guerre mondiale aux côtés des Alliés. Commandant des forces aériennes françaises de l’Océan Indien en 1968. Le général de division aérienne Georges Perseval est commandeur dans la Légion d'honneur et grand officier dans l’ordre national du Mérite. (401)
* Jacques de La Fournière (1892-7 août 1943), commandant, résistant connu pour être le premier chef des résistants vitryats, le Groupe Yes. Il est décédé à Paris, au siège de la Gestapo, sous la torture, sans jamais avoir parlé. (239)
* Le grammairien César-Pierre Richelet qui naquit à Cheminon en 1626 et dont le souvenir est perpétué par une statue érigée sur la place de la mairie. César-Pierre Richelet devait devenir un des plus illustres écrivains du siècle de Louis XIV par ses ouvrages sur la langue française. (298)
* Philippe Valade, entraîneur du Club Activ'Danse d'Esternay (CADE), a été champion de France et vice-champion d'Europe du Nord de danse sportive (DanceSport). (162)
Jean-Baptiste-Léon Morillot, député né le 19 juillet 1838 à Étrepy. Maire d'Étrepy et conseiller général de la Marne pour le canton de Thiéblemont puis se porta comme candidat conservateur libéral, aux élections de 1889 dans l'arrondissement de Vitry-le-François et y fut élu contre le candidat républicain). Il suivit les cours de droit et y fut reçu docteur. Il entra au Conseil d'État comme auditeur, remplit les fonctions de sous-chef des sections étrangères à l'exposition universelle de 1867 et celles de secrétaire de la commission d'enquête sur le régime économique de la France. Chef adjoint au cabinet du ministère de l'instruction publique au moment de la guerre franco-prussienne, il donna sa démission, s'engagea dans les mobiles et à la paix rentra dans ses propriétés et s'occupa d'agriculture. (article manquant)
Entre autres travaux, il a publié un ouvrage sur la Condition des enfants nés hors mariage en Europe et spécialement en France dans l'Antiquité, au Moyen-âge et de nos jours. (183)
* John Curnow : au cours de la nuit du 9 au 10 mars 1943, la RAF procédait au bombardement de la ville de Munich. Le Bomber Command se composait alors de 264 Lancaster, Halifax et Stirling. De retour de cette opération, le Lancaster B. Mk I, PM-D du 103e squadron, fut victime du tir d'une batterie de Flak implantée dans les environs de Reims. Le bombardier en flammes explosa peu après, ne laissant à aucun des 7 membres d'équipage le temps d'évacuer. John Currow eut le réflexe de saisir et boucler son parachute. Ayant le grade de sergent, âgé de 19 ans, il occupait alors la fonction de navigateur. Il fut projeté hors de l’appareil lors de l’explosion. Malgré la faible altitude, il se posa sans encombre à proximité de Lavannes. (768)
Dix aviateurs du Bomber Command reposent sur le territoire de la commune de Lavannes, tous ayant perdu la vie au retour de ce raid sur Munich. Six d'entre eux étaient membres du 103e squadron. Quatre autres provenaient du 207e squadron, qui perdit, elle aussi, un Lancaster sur le secteur entre Lavannes et Rethel. (323)
* Edmond Forboteaux, né le 18 octobre 1904 à Ludes, fils d'Henri Louis Forboteaux (1876-?) et de Julie Clément (1881-?). (123)
:Marié à Carmen Gabrielle Regard le 7 avril 1928, avec qui il a eu 3 enfants s'appelant Henri (1934-1979), Jacky (1936-2000) et Serge né en 1939. (148)
:Agent d’assurances, secrétaire du personnel des hospices de Reims, sous-chef de service du Trésor, membre de la SFIO, et militant syndical et membre de la Commission exécutive de l'Union des syndicats ouvriers de la Marne, il devient membre de la Résistance. En octobre 1941, il est membre de l’état-major de Libération-Nord, responsable des cartes d’identité et d’alimentation pour les réfractaires du STO. En février 1944, il fait partie du premier Comité départemental de libération (CDLN) au titre de Libération-Nord avec Robert Duterque. (699)
:Il est également un des résistants qui procéda à la création du journal alors clandestin L'Union. Il est arrêté le 13 juin 1944 à Reims. Interné à Compiègne, il est déporté comme résistant le 15 juillet 1944 en camp de concentration. (278)
:Il fait partie des déportés, comme son camarade Robert Duterque, qui ont disparu dans le naufrage des bateaux coulés par erreur par l’aviation britannique en baie de Lübeck le 3 mai 1945. (194)
:Une plaque commémorative est apposée en 1947 par la municipalité de Reims, à son domicile 14 rue Machet. Une allée de Reims dans le quartier des Épinettes porte son nom depuis 1973. Son nom figure également sur le monument aux martyrs de la résistance de Reims, sur la stèle élevée au cimetière du Nord à Reims par la SFIO « à ses héros de la résistance 1941-1945 » avec l’orthographe Forboteau, sur la plaque apposée à la Bourse du Travail de Reims (aujourd’hui maison régionale des syndicats) « à la mémoire de nos camarades tombés dans la lutte pour la liberté victimes de la barbarie (allemande a été effacée) nazie », et à Ludes, sur une tombe familiale se trouve une plaque à son nom, très effacée. (748)
Auguste Brachet, dit Parrain Gus (+ 1916) fils du fondateur du hameau de Beauséjour (François-Etienne Brachet). Sa célébrité vient de son rucher et de l'hydromel. (167)
* Napoléon III, empereur des Français de 1852 à 1870, qui, par décret impérial, institua la création d'un camp militaire sur le territoire de la commune. (165)
Le Capitaine Antoine de Saint Exupery (1900- 1944) a séjourné dans la commune durant l'hiver 1939, avec le Groupe de Grande Reconnaissance 2/33 ; il évoque cette période et la ferme (en face de l'église) où il habita dans "Pilote de Guerre". (258)
Aujourd'hui, le terrain d'où il décollait est redevenu un champ, mitoyen entre les 2 communes avoisinantes. La place du village porte son nom. (144)
: Artiste "libre", quelques-unes de ses réalisations dont notamment l'œuvre prémonitoire "La chute du mur de Berlin", ont été maintes fois primées. Ses sculptures sur œufs d'autruches, véritables petits joyaux, attirent également de nombreux visiteurs. Il réalise une exposition annuelle "Le printemps" en avril. (423)
* Roland Leclere, maire de la ville depuis mars 2008<ref>/ref>. (190)
* Léon Leroy, ancien maire et principal bienfaiteur de la commune. Une rue porte d'ailleurs son nom. (101)
* Charles IV duc de Lorraine : Il vient guerroyer en Champagne avec le duc de Witteberg et 3000 hommes de troupe . Après avoir brulé presque entièrement Condé sur Marne le 21 aout 1652, ses soldats dévastent tous les villages de la Marne jusqu'à Plivot et Oiry (entre le 21 et le 25 aout). (320)
* Louis-Philippe roi des Français accompagné de ses fils les ducs d'Orléans et de Nemours : Traversent la commune le 7 juin1831 salués par tous ses habitants. (198)
* Hubert Alexandre Nouvion, né à Bétheniville, le 7 avril 1810, décédé à Pontfaverger le 7 janvier 1876, fut manufacturier à Pontfaverger et administrateur du chemin de fer local de la vallée de la Suippe. Il a également participé durant 25 ans à la vie municipale de Pontfaverger comme conseiller, adjoint puis maire. (352)
Olga Sciou (née Thierry) a fêté ses 100 ans le 27 avril2006 et est ainsi devenue la 1re centenaire de ce village.<br /> (141)
3 enfants , 6 petits enfants (garçons), x arrières petits enfant, plusieurs arrières arrières petits enfants, dont la première va sur ses 8 ans en 2007.<br /> (169)
Né le 27 septembre 1757 et décédé le 22 août 1834 à Sainte Marie à Py, avocat et administrateur de la Marne, il fut élu député à la Convention Nationale. (164)
C'est à Navarin, le 28 septembre 1915, qu'une balle de mitrailleuse atteint le caporal Cendrars à la main droite. Il est en train de courir, sa main est coupée, retenue seulement par un lambeau de chair [...]. Blaise Cendrars est expédié à Châlons-sur-Marne. (269)
On l'y ampute du bras droit, au-dessus du coude. Le 27 novembre, il est cité à l'Ordre de l'Armée et transféré à Bourg-la-Reine, et le 16 janvier 1916 il acquiert la nationalité française [...] (205)
:La main de Cendrars, où est-elle ? (36)
:Dans le ciel de ses yeux ? Dans la terre des morts ? (53)
:Dans quelles pages de ses livres ? (35)
TEXTE > Gisèle BIENNE, (26)
" Le Théâtre de la main. (31)
La blessure de Cendrars à la ferme de Navarin " (53)
Otto Dix est un des plus célèbres peintres allemands du 20e siècle , du courant de la "Nouvelle Objectivité " . (135)
Engagé volontaire dans l' armée allemande durant la grande guerre , il est de passage à Sainte Marie a Py . (110)
Il sera au cours de la seconde guerre mondiale opposé au nazisme , un certain nombre de ses tableaux seront détruits , jugés en opposition avec l' idéologie Hitlérienne . (175)
Une de ses œuvres se nomme : THE MAD WOMAN OF SAINTE MARIE A PY .(1924). (73)
* Clémence de Pibrac, reine de Paris à la Belle Époque, y est née. (article manquant)
* Sainte Ménehould, née à Perthes aux temps mérovingiens, elle vit avec ses sœurs dans de petites communautés de vie évangélique, se consacrant à la prière et au service des malades. Elle meurt à Bienville (Haute-Marne) où elle est inhumée (490). Grâce à sa réputation de sainteté, elle devient patronne de plusieurs églises et donna son nom à la capitale de l’Argonne où fut transférée une importante relique de la sainte en 1379. (512)
* Docteur Henry Claude Robert Napias, né à Sézanne le , directeur de l'Assistance Publique à Paris. (127)
Artistes: (9)
* Le lithographe Émile Gastebois né le 12 janvier 1853 à Sézanne. Formé à Chalons-en-Champagne, il réalisera une lithographie de l'église Saint-Denis (bien connue des Sézannais), et d'autres représentations d'églises de la Marne. Son décès à l'âge de 30 ans nous fait regretter la petitesse de son œuvre. (324)
* Le lithographe et illustrateur Dieudonné Auguste Lancelot, né à Sézanne en 1822, mort à Paris en 1894. (133)
* On signalera l'existence du peintre et architecte italien Augusto Sezanne né le à Florence, mort le à Venise. Ce personnage ou ses ancêtres étaient-ils originaires de Sézanne ? (227)
* Souvent, mal orthographié, le nom de Paul Cézanne, revient lors de recherches sur Internet. Le restaurant de l' hôtel de France (jadis dirigée par Monsieur Charles<ref>Le restaurant était alors étoilé au Guide Michelin, et Sézanne était une étape gastronomique reconnue.</ref>) s'appelle de nos jours le Cézanne. (345)
Après la Seconde Guerre mondiale, André L'Huillier (né à Sommepy-Tahure) traversa l'Atlantique pour rejoindre les États-Unis dans le but de réaliser des conférences en faveur des villages détruits. (205)
À Washington, un fond d'aide est créé pour la recréation des villages et Sommepy fut le premier village choisi. (115)
* Volker Eckert : Il est confirmé que le corps découvert le 8 novembre 2006 à Suippes est bien celui d’Agnieszka Bos, disparue le 2 octobre précédent, le long de la RN 44 au sud de Laon (02 -Aisne - France). Volker Eckert, présumé tueur en série, arrêté en Allemagne, avait indiqué avoir sequestré et tué une personne dans ce département, à Laon, et avoir jeté son corps à Suippes après l’avoir étranglée. (article manquant)
* François Henry, époux de Nicole Petit, vu dans mariage de son fils Jean Henry, marchand de Longeville en Barrois avec Nicole Pelier (Pellier) d'une ancienne famille de Trois-Fontaines-l'Abbaye le , est le frère du 46e abbé de l'Abbaye de Clairvaux dans l'Aube au XVIIe siècle Pierre Henry (Henri), alias dans l'abbaye, Pierre III Henry (1654-1676), champenois, d'abord maître des novices à Clairvaux, puis prieur des abbayes de Larrivour, de Boulancourt et de Clairvaux. (520)
* Dans cette famille originaire de Le Chêne (jadis Le Chesne), Aube, il y a également, première moitié du XVIIIe siècle, le prieur, pendant près de 40 ans, de l'Abbaye de la Crête (Haute-Marne), Claude 2e Duchesne, puis de l'échevin, capitaine major de la bourgeoisie, maire perpétuel de Bar-sur-Aube, Pierre 2e Henry Duchesne. (353)
* Un autre frère de François Henry ci-dessus, Claude 1er Henry du Chesne, fut capitaine et gouverneur du château du Cornet (près de Colombé-le-Sec) dans l'Aube au XVIIe siècle. (192)
* Un autre Henry Duchesne, Benoit 1er Henry du Chesne, prieur de Froidmont le , titulaire de Belleau, vicaire général de Citeaux en champagne. (172)
* Cette famille Henry, distincte de l'autre famille homonyme Henry de Trois-Fontaines-l'Abbaye, s'est par la suite appelée en Haute-Marne (à Saint-Dizier) et dans l'Aube (à Bar-sur-Aube), Henry du Chesne, puis Duchesne tout simplement, sur Bar-sur-Aube, Colombé-le-Sec et sur La Crête. (331)
Nota : précision sur internet, Dom Pierre Henry, surnommé Duchesne, 46e abbé de Clairvaux, dans une sienne lettre en date à Clairvaux du , adressé à dom Nicolas Perrin, ... (207)
<small>Source : Communication de Gérard Planson, qui a établi la généalogie de cette famille.</small> (117)
Jean Buvat, bibliothécaire du roi, est probablement né à Virginy (à vérifier), on lui doit d'avoir décelé un complot grâce à son activité de copiste sous la Régence. (176)
On peut y avoir noté la présence d'un brillant cardiologue pendant la premère guerre mondiale ayant soigné 46 Poilus le même jour et ayant empoisonné chaque soldat allemand passé par son cabinet. Pour sa bravoure, il fut décoré du grade de chevalier de l'ordre de la légion d'honneur. (294)