Université Toulouse-III-Paul-Sabatier

université française, située à Toulouse, créée en 1969
(Redirigé depuis Université Toulouse III)

L’université Toulouse-III-Paul-Sabatier, (nom d’usage : Université Paul-Sabatier ; abréviation : UPS ou UT3) est une université française, située à Toulouse.

Université Toulouse-III-Paul-Sabatier
Logo de l'université-Toulouse-III-Paul-Sabatier.
Histoire
Fondation
1229 (ancienne université)
1969 (UT3)
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique
Président
Odile Rauzy
Devise
« Les sciences au cœur »
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
37 000 (2022-2023)[2]
Enseignants
2 509 (2016)
Budget
465 M€ (2022)[1]
Classement
Rang national
13-16e/85 ARWU (2023)
18e/85 THE (2022)
Rang international
301-400e/1 000 ARWU (2022)
501-600e/1 600 THE (2022)
Localisation
Pays
Campus
Ville
Carte

Elle a été constituée en 1969, à la suite de la loi Faure, par le regroupement des facultés de sciences et les facultés médicales de l'ancienne université de Toulouse, elle-même fondée en 1229[4]. Elle fait partie de la ComUE expérimentale « Université de Toulouse » en tant que membre fondateur[5],[6].

Spécialisée dans les sciences, les technologies, les disciplines de la santé et les sports, c'est la plus grande université de Toulouse avec 30 321 étudiants, à la rentrée 2021.

L'université Toulouse-III a été classée 1re parmi les meilleures universités françaises pour trouver un emploi. Cette étude a été publiée le par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et interprétée par le journal Le Monde[7].

Histoire

modifier
 
Campus de l'Université Paul Sabatier en 1963. Les logements CROUS sont au premier plan.
 
Facultés des sciences, allées Jules-Guesde. Années 1890. Vue d'ensemble en plongée des bâtiments de la faculté. Au premier plan les bâtiments; à droite le jardin des Plantes ; au fond le quartier du port Saint-Sauveur. Archives municipales de Toulouse, photographie d'Eugène Trutat.
 
La faculté de médecine et l'hôpital sur la butte à Rangueil.
 
Facultés des sciences, en avril 1900.

Origines de l'université de Toulouse

modifier

L’ancienne université de Toulouse fut créée en 1229. Elle a été supprimée, comme toutes les autres universités, par la Convention en 1793. L'année suivante, on institue à Toulouse un institut pluridisciplinaire d'enseignement supérieur, nommé Institut Paganel. Cet institut devient en 1795 l’école centrale de Toulouse tandis que l'école de médecine prend son autonomie. Cette école centrale disparaît alors que sont créées une faculté de médecine en 1808, une faculté de théologie catholique ainsi qu'une faculté de lettres en 1809 et une faculté de sciences en 1810. En 1893, l'enseignement supérieur toulousain devient un corps de facultés, puis en 1896, l'université de Toulouse est recréée avec le regroupement des facultés[8].

Historique

modifier

À la fin des années 1950, Émile Durand, le doyen de la faculté des sciences de Toulouse, lance l’idée de la création d’un campus à l’américaine, pour héberger la faculté des sciences ; à la même époque, il est décidé de créer à Toulouse un institut national des sciences appliquées (INSA) rattaché à la faculté des sciences. L’INSA de Toulouse est ouvert en 1963 dans le quartier de Rangueil[9]. Dans les années qui suivent, de nombreux enseignements de la faculté des sciences sont transférés des locaux des allées Jules-Guesde vers les nouvelles installations, grands amphithéâtres, nombreuses salles de cours. Il devient aussi possible de créer des bureaux pour les enseignants et des laboratoires de recherche.

En même temps que le campus de la faculté des sciences, se constitue ce que l’on nomme le complexe scientifique de Rangueil-Lespinet, dans lequel s’installent des écoles comme l’école nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (SupAéro) ou l'école nationale de l'aviation civile (ENAC), mais aussi des laboratoires de recherche, comme le LAAS, le CESR, ainsi que le centre spatial du CNES[10]. Les travaux débutent en [11], et le centre spatial de Toulouse accueille son premier personnel à la fin du mois de [12]. Cette période est marquée par une forte croissance du nombre d'étudiants, et de nombreux logements sont donc construits pour les héberger, notamment des cités universitaires gérées par le CROUS, comme celles de Rangueil et de Ponsan. Trois restaurants universitaires voient aussi le jour.

À la suite de la loi Faure du , l'université de Toulouse se scinde en 1969 en quatre universités : l'université de Toulouse I-Sciences Sociales (devenue l'Université Toulouse-I-Capitole en 2009, puis l'Université Toulouse Capitole en 2023) spécialisée dans les sciences politiques, le droit, l’économie et la gestion, l'université de Toulouse II-Le Mirail (devenue l'Université de Toulouse-II-Jean Jaurès en 2014) spécialisée dans les sciences humaines et sociales, les disciplines artistiques et les disciplines littéraires, l’université de Toulouse-III-Paul-Sabatier, qui regroupe la médecine, la pharmacie, la chirurgie-dentaire et les sciences exactes, et l'institut national polytechnique de Toulouse (INPT) qui regroupe à l'époque quatre écoles nationales supérieures[13],[4]. L'université de Toulouse-III est composée de la faculté des sciences et d’ingénierie, la faculté des sciences pharmaceutiques, la faculté de chirurgie dentaire, la faculté de médecine Toulouse Purpan (la faculté historique de médecine) et la faculté de médecine de Toulouse Rangueil, construite à l’initiative du doyen Guy Lazorthes cette année-là[8].

Le , l'université de Toulouse-III prend le nom d'usage de Paul Sabatier, prix Nobel de chimie en 1912, qui enseigna et fut doyen (de 1905 à 1929) de la faculté des sciences de Toulouse ; l’université comprenant à peu près autant de scientifiques que de médecins, il avait été souhaité de trouver un nom lié simultanément à la science et à la médecine. Le nom du professeur de médecine Ducuing avait été proposé face à celui de Paul Sabatier. En 1970, elle prend le statut d'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPCSCP)[14],[15]. L'institut universitaire de technologie de Toulouse A créé en 1966[16], rejoint alors l'université. Une antenne de cet IUT voit le jour à Tarbes en 1970[17].

Alors que le déplacement des facultés de sciences s'est déroulé dans les années soixante, le déplacement des enseignements médicaux s'est fait plus tardivement puisque le nouvel hôpital qui a le statut de centre hospitalier universitaire (CHU) n’est ouvert qu’en 1975. Il prend le nom de Rangueil, bien que situé sur le sommet de la colline de Pech-David, éloignée du lieu-dit Rangueil[18]. L'hôpital de Purpan, inauguré en 1940 et situé au nord-ouest de Toulouse, sert de CHU depuis 1958 pour la moitié des étudiants en médecine de Toulouse. Les bâtiments des cours théoriques et l'administration de l’UFR médicale de Purpan sont situés dans les locaux de l’ancienne faculté de médecine au 37 allées Jules-Guesde.

En 1991, une antenne de l'IUT A de Toulouse est créé à Auch. L'année suivante, une antenne ouvre à Castres. Un an plus tard, l'antenne tarbaise de cet IUT devient une unité administrativement indépendante : l'institut universitaire de technologie de Tarbes[17].

La loi de programme pour la recherche du permet aux établissements de se regrouper sous la forme d’un pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES). Ainsi le PRES « Université de Toulouse » est créée en 2007 avec le statut d’établissement public de coopération scientifique. Il regroupe au moment de sa création six membres fondateurs : les trois universités toulousaines, l’INPT, l’INSA de Toulouse et l’ISAE-SupAéro[19].

En , l'université accède aux « compétences élargies » (applications de la LRU)[20]. En 2011, une vaste restructuration a été opérée : les UFR MIG (mathématiques, informatique, gestion), PCA (physique, chimie, automatique), SVT (sciences de la vie et de la Terre) et langues vivantes, par leur fusion en une seule UFR, ont laissé la place à la FSI (faculté des sciences et de l'ingénierie). L'UFR STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) a changé de nom pour devenir la F2SMH (faculté des sciences du sport et du mouvement humain). La même année, l'université obtient l'accréditation de la part de la commission des titres d'ingénieur à délivrer des titres d'ingénieur diplômé. Ces titres sont préparés au sein de l'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH). Cette école d'ingénieurs n'a pas le statut d'école interne de l'UPS mais est un département de la FSI[21].

La loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche du supprime les PRES et instaure les communautés d’universités et établissements (COMUE), regroupements d'établissements d'enseignement supérieur et de recherche ainsi que d'organismes de recherche situés sur un même territoire. Ainsi le PRES université de Toulouse, créé en 2007, prend ses nouveaux statuts en 2015 et devient l’ « université fédérale de Toulouse-Midi-Pyrénées » ; ses membres sont les mêmes que ceux du PRES, à la différence de l’ajout du centre national de la recherche scientifique (CNRS)[5]. En 2023, l'établissement évolue en ComUE expérimentale nommée « université de Toulouse »[6].

Au , la faculté de Santé de Toulouse est créée en réunissant la faculté de Médecine de Rangueil, la faculté de Médecine de Purpan, la faculté des sciences pharmaceutiques et la faculté d’Odontologie. Elle est la première faculté en France à réunir les filières d’enseignement de médecine, maïeutique, pharmacie, odontologie et le paramédical. Au , L'IUT de Tarbes quitte l'université Paul Sabatier pour rejoindre la nouvelle université de technologie de Tarbes[22].

Présidents de l'université

modifier

La liste des présidents qui se sont succédé à l'université Paul Sabatier est la suivante :

Présidents 
IdentitéPériodeDurée
DébutFin
Louis Lareng[23]
( - )
6 ans
Jean-Claude Martin (d)[24]
(né en )
5 ans
Daniel Bancel (d)[25]
(né en )

(démission)
2 ans et 7 mois
Jean-Jacques Conte (d)[26]
(né en )
5 ans
Jean-Claude Martin (d)
(né en )
5 ans et 1 mois
Georges Larrouy (d)[27]
( - )

(retraite)
1 an et 6 mois
Raymond Bastide (d)[28]
(né en )
5 ans
Jean-François Sautereau (d)[29]
(né en )
5 ans
Gilles Fourtanier (d)[30]
(né en )
4 ans
Bertrand Monthubert[31]
(né en )

(démission)
3 ans et 5 mois
Jean-Pierre Vinel (d)[32]
(né en )

(limite d'âge (d))
3 ans et 8 mois
Régine André-Obrecht (d)[33]
(née en )
3 mois
Jean-Marc Broto (d)[34]
(né en )
4 ans
Odile Rauzy (d)[35]
(née en )
En cours11 mois

Identité visuelle

modifier

Depuis sa création, l'université a vu se succéder plusieurs logos[36] :

Localisation

modifier
 
Le bâtiment d'administration de l'université Paul Sabatier.

L’essentiel de l'université est situé sur la commune de Toulouse. Le campus se déploie sur une superficie de 124 hectares, essentiellement dans le quartier de Rangueil, dans le Sud de la ville de Toulouse, au bord du canal du Midi. Il est composé de 360 000 m2 de locaux. D'autres locaux sont situés au centre de la ville, allées Jules Guesdes. Certaines filières d'enseignement, IUT notamment, sont situées à Tarbes, Auch, ou Castres et des laboratoires de recherche rattachés à l’université peuvent se trouver à Auzeville-Tolosane, à Castanet-Tolosan, Lannemezan ou au pic du Midi de Bigorre[37]. Le campus s'est également agrandit sur la ZAC de Montaudran Aerospace, située sur l'ancien aérodrome éponyme.

Depuis le , le campus est desservi par la ligne B du métro toulousain, et se trouve à proximité de trois stations : Faculté de Pharmacie, Université Paul-Sabatier et Ramonville. Les allées Jules-Guesde où se trouvent des laboratoires et des enseignements de l'université se situent à proximité de la station Palais de Justice.

Aujourd'hui, l'université Paul-Sabatier est au cœur du pôle de compétitivité Aerospace Valley.

Structure

modifier
 
La faculté de médecine Toulouse-Purpan.
 
L'observatoire Midi-Pyrénées.

Unités de formation et comités de recherche

modifier

L’université Paul Sabatier est structurée en unités de formation et de recherche.

Elle est constituée de 3 Facultés :

  • La faculté des sciences et de l'ingénierie (FSI),
  • La faculté de Santé,
  • La faculté des sciences du sport et du mouvement humain (F2SMH).

Elles ont la charge de la formation des étudiants. L’accession en premier cycle se fait de droit pour tous les titulaires d’un baccalauréat ou d’un titre équivalent.

Au niveau de la recherche, l'université est de également divisée en différents directoires de recherches :

  • Le directoire SdM : sciences de la matière,
  • Le directoire MST2I : mathématiques, sciences et technologies de l'information et de l'ingénierie,
  • Le directoire UPEE : univers, planète, espace, environnement,
  • Le directoire BABS : biologie, agronomie, biotechnologie, santé,
  • Le directoire ACTIHS : activités humaines & sociales.

L'université compte 69 laboratoires et structures fédératives axés sur la recherche.

Instituts et autres structures rattachées

modifier

Les autres composantes de l'université Paul Sabatier sont les suivantes :

L'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH) est une école d'ingénieurs, département de la faculté des sciences et de l'ingénierie[38].

Enseignement et recherche

modifier

Formations

modifier

À la rentrée 2020-2021, l'université Toulouse-III-Paul-Sabatier compte un total de 36 516 étudiants, dont 31% de boursiers et 8% de nationalité étrangère. Cet effectif se répartit à raison de 15 % en DUT, 34 % en Licence et Licence professionnelle, 13 % en Master, 34 % en Santé et 4 % en doctorat. Ces élèves sont encadrés par 2592 enseignants et enseignants-chercheurs (dont 21 membres de l'institut universitaire de France), ainsi que 1674 BIATSS. Plus de 11 000 diplômes sont délivrés chaque année[39],[40]. Géographiquement, les étudiants sont en étude à 85 % sur l’agglomération toulousaine et à 15 % sur les sites délocalisés en région.

Licences et assimilés

modifier

L'UPS propose des formations pour le diplôme d'accès aux études universitaires permettant aux non-bacheliers d’accéder aux études supérieures. Des diplômes universitaires (DU) et des diplômes inter-universitaires (DIU) en santé sont également proposés aux étudiants ; 14 concernent la chirurgie dentaire, 1 concerne la médecine et 12 concernent la pharmacie.

L'institut universitaire de technologie (IUT) propose 17 bachelors universitaires de technologie (BUT) dans les domaines des sciences et de la gestion : chimiegénie biologiquegénie chimique et génie des procédésgénie civil et construction durable – génie électrique et informatique industriellegénie mécanique et productique – gestion des entreprises et administrations – hygiène, sécurité et environnement – informatique – information-communication – mesures physiques – métiers du multimédia et internet – packaging, emballage et environnement – techniques de commercialisation[41],[42].

L'université délivre aussi la licence dans trois domaines qui se déclinent en 13 mentions divisées en parcours[43] :

Les licences mentions mathématiques, physique, chimie et sciences de la vie peuvent être suivies en « parcours spéciaux ». Elles s'adressent aux étudiants désireux d'effectuer des études longues dès leur entrée à l'université, et de s'orienter vers la recherche. Les enseignements en sciences y sont approfondis[47].

Par ailleurs, l'université Paul Sabatier propose 44 licences professionnelles, à partir de ses deux IUT, de la FSI, de la F2SMH, et de la faculté de Santé[39].

Master et assimilés

modifier

De même, l'université délivre le master dans 29 mentions différentes, réparties dans les domaines suivants :

L'université propose aussi le cursus master en ingénierie (CMI) en cinq ans dans 7 mentions : électronique énergie électrique automatique – chimie – génie des procédés – informatique – matériaux – mathématiques – physique. Ces formations sont labellisées par le réseau FIGURE (formation à l'ingénierie par des universités de recherche) et permettent d'accéder au métier d'ingénieur par l'université[52].

Enfin, l'UPS via son école interne l'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH) est l'une des 205 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[53].

Doctorat

modifier

Les doctorats de l'université Paul Sabatier sont préparés dans une école doctorale, au sein d'un laboratoire et d'une équipe de recherche reconnue. Sur les quinze écoles doctorales de Midi-Pyrénées, l'UPS est établissement support de six d'entre-elles[54] :

  • L'école doctorale biologie, santé, biotechnologies - ED BSB 151,
  • L'école doctorale génie électrique, électronique, télécommunications - ED GEET 323,
  • L'école doctorale mathématiques, informatique, télécommunications de Toulouse - ED MITT 475,
  • L'école doctorale sciences de la matière - ED SDM 482,
  • L'école doctorale sciences de l'univers, de l'environnement et de l'espace - ED SDU2E 173,
  • L'école doctorale sciences écologiques, vétérinaires, agronomiques et bioingénieries - ED SEVAB 458.

Ainsi qu'établissement co-accrédité pour cinq autres :

  • L'école doctorale aéronautique, astronautique - ED AA 467,
  • L'école doctorale mécanique, énergétique, génie civil, procédés - ED MEGeP 468,
  • L'école doctorale systèmes - ED Sys 309,
  • L'école doctorale comportement, langages, éducation, socialisation, cognition - ED CLESCO 326,
  • L'école doctorale arts, lettres, langues, philosophie, communication - ED ALLPH@ 328.

L'UPS compte un total de 1758 étudiants en doctorat, avec un flux annuel de 40% de nouveaux doctorants.

Études de santé

modifier

L'université Paul Sabatier propose des études de santé à ses étudiants. La première année commune aux études de santé (PACES) qui permet de préparer les étudiants au concours permettant de choisir entre les formations de médecin, odontologue, pharmacien, sage-femme et masseur-kinésithérapeute. Les étudiants en PACES sont répartis de façon aléatoire dans les départements de la faculté de Santé, mais la plupart des enseignements sont effectués à Rangueil[55].

Des études paramédicales sont également délivrées : orthophoniste, orthoptiste, psychomotricien, audioprothésiste par la faculté de Santé, et masseur-kinésithérapeute par l'institut de formation de masso-kinésithérapie de Toulouse-Purpan.

Préparation aux concours

modifier

L'université Paul Sabatier dispose de classes préparatoires universitaire aux grandes écoles (CUPGE). Il s'agit de formations généralistes de deux ans, enseignant les mathématiques, la physique, la chimie et l'informatique, et permettant d'intégrer des écoles d'ingénieurs sur concours ou sur dossier, ou de continuer en 3e année de licence. L'UPS offre aussi un cursus concours B Agro-Véto qui permet de préparer au concours B d'accès aux écoles d'agronomie et aux écoles vétérinaires[56].

Formation continue

modifier

Les formations de l'université Paul Sabatier peuvent être suivies en formation continue. En 2015, ce cas concerne 6037 stagiaires. Cette même année, 43 personnes ont obtenu leur diplôme par validation des acquis de l'expérience (VAE) et 101 ont validé un niveau de l'enseignement supérieur par VA 85[39].

Recherche

modifier
 
L'institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS) à l'université Paul Sabatier.
 
L'institut de mathématiques de Toulouse à l'UPS, amphithéâtre Laurent Schwartz.

La recherche à l'université Paul Sabatier bénéficie d'un budget de 25,7 millions d'euros en 2017[39]. Un très large spectre de thématiques scientifiques est couvert : de la science des matériaux à l'astronomie, en passant par l'étude des organismes ou de l'activité humaine. Douze axes thématiques prioritaires ont été définis par la commission de la recherche du conseil académique :

  • Recherche translationnelle (de la molécule à la population) : cancérologie, vieillissement et pathologies dégénératives, chroniques ou inflammatoires,
  • Coévolution humains - environnements,
  • Interactions biotiques et abiotiques, biologie intégrative, organismes modèles et analyses multi-échelles,
  • Molécules, matériaux, dispositifs et procédés pour la santé, le vivant et l'environnement,
  • Modélisation, simulation numérique, modèles de calcul, calcul intensif,
  • Des masses de données à la connaissance, dans la société, l'exploration spatiale, la biologie et la santé,
  • Atomes, molécules et nano-objets : du concept à l'expérience,
  • Système Terre, planètes et étoiles : observation et mécanismes,
  • Matériaux, procédés et structures pour l'aéronautique et le spatial,
  • Systèmes embarqués intelligents : vers les systèmes cyberphysiques,
  • Énergie : stockage, conversion, transport, matériaux et optimisation,
  • Instruments et instrumentation extrêmes (de l'infiniment grand à l'infiniment petit).

Laboratoires de recherche

modifier

Les différentes unités de recherche ont été classées selon les cinq comités de recherche de l'université[57] :

Comité sciences de la matière (SdM)
modifier

Sont rassemblés ici les laboratoires de chimie et de physique, dont certains intègrent d'ailleurs de manière étroite ces deux disciplines, ainsi que le secteur de la science des matériaux, qui est généralement rattaché à la chimie, mais concerne aussi le génie des procédés et certains aspects physiques. Dans ce comité, un thème transversal important est celui des nanosciences et nanomatériaux.

Comité SdM – Unités de recherche
Nom Nom Complet Type Centre Domaine Structures partenaires
CEMES Centre d'élaboration de matériaux et d'études structurales UPR Toulouse Nanosciences – Nano-optique et nanomatériaux pour l’optique – Interférométrie, in situ et instrumentation pour la microscopie électronique – Surfaces, interfaces et nano-objets – Matériaux et dispositifs pour l’électronique et le magnétisme – Matériaux multi-échelles multifonctionnels – Physique de la plasticité et métallurgie[58]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, INSA de Toulouse, CNRS
CIRIMAT Centre inter-universitaire de recherche d'ingénierie des matériaux UMR Toulouse Sciences des matériaux – Nanomatériaux – Revêtements et procédés de dépôt – Vieillissement et durabilité des matériaux[59]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, et Faculté des sciences pharmaceutiques, IUT A Paul Sabatier à Toulouse et Castres, INPT (ENSIACET), CNRS
IMRCP Laboratoire des interactions moléculaires et réactivité chimique et photochimique UMR Toulouse Interactions dynamiques et assemblages stimulables – Molécules actives pour l’environnement et la santé – Polymères de précision par procédés radicalaires – Systèmes moléculaires organisés et développement durable[60]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, CNRS
LCAR Laboratoire collisions agrégats réactivité UMR Toulouse >Interaction laser-matière – Structures et dynamiques moléculaires[61]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, CNRS
LCC Laboratoire de chimie de coordination UPR Toulouse, Labège, Castres Conception et caractérisation de molécules ou d’édifices polyatomiques originaux, aux interfaces de la chimie de coordination et de l’hétéro-chimie avec les matériaux ou la biologie[62]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier A Castres, INPT (ENSIACET), CNRS
LCPQ Laboratoire de chimie et physique quantiques UMR Toulouse Méthodes et outils de la chimie quantique – Modélisation, agrégats, dynamique – Photochimie théorique et computationnelle – Systèmes étendus et magnétisme[63]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, CNRS
LHFA Laboratoire d'hétérochimie fondamentale et appliquée UMR Toulouse Chimie organique et inorganique des hétéroéléments – Ligants bifonctionnels et polymères biodégradables – Systèmes de hautes énergies – Systèmes métalliques appliqués en catalyse[64]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, institut de chimie de Toulouse
LNCMI-T Laboratoire national des champs magnétiques intenses de Toulouse UPR Toulouse Nano-objets et nano-structures semiconductrices – Systèmes à fermions lourds – Supraconducteurs à haute température critique – Conducteurs organiques – Systèmes désordonnés – Electronique Quantique - Diffusion des rayons X et des neutrons – Magnéto-optique avancée[65]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, université Grenoble-Alpes, INSA, CNRS
LPCNO Laboratoire de physique et chimie des nano-objets UMR Toulouse Synthèse de nanoparticules et chimie organométallique – Nanoadressage, Magnétisme et transport – Optoélectronique quantique – Modélisation physique et chimique[66]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSA de Toulouse, CNRS
LPT Laboratoire de physique théorique UMR Toulouse Agrégats – Fermions fortement corrélés – Physique statistique des systèmes complexes – Cohérence quantique[67]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
PHARMA-DEV Pharmacochimie et biologie pour le développement UMR Toulouse Pharmacognosie, ethnopharmacologie et pathologies du Sud – Interface chimie-biologie pour le développement – Mécanismes redox et stress oxydant – Macrophages et récepteurs nucléaires dans l'inflammation et l'infection[68]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, et de pharmacie, institut de recherche pour le développement
SPCMIB Laboratoire de Synthèse et PhysicoChimie des Molécules d'Intérêt Biologique UMR Toulouse Produits naturels et analogues : synthèse et mécanismes – Acides nucléiques modifiés, lipides et approches synthétiques innovatrices – Sondes organo-métalliques pour des applications biomédicales et RMN biomédicales[69]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, institut de chimie de Toulouse
Comité mathématiques, sciences et technologies de l'information et de l'ingénierie (MST2I)
modifier

Les disciplines de ce comité entretiennent des relations étroites afin de conduire des recherches pluridisciplinaires, avec la volonté d'introduire de nouveaux concepts issus des mathématiques, de l'informatique et des sciences fondamentales. Ces recherches sont fortement motivées par des contraintes et des verrous conceptuels, méthodologiques ou technologiques et des enjeux sociétaux ; elles sont donc liées aux activités industrielles à travers de nombreuses collaborations et participent très fortement au transfert dans l'esprit des disciplines de l'ingénierie.

Comité MST2I – Unités de recherche
Nom Nom Complet Type Centre Domaine Structures partenaires
CALMIP Laboratoire calcul en Midi-Pyrénées UMS Toulouse Calculs[70]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSA de Toulouse, ISAE-SUPAERO, INPT
CMCRC Centre de micro-caractérisation Raimond Castaing UMS Toulouse Expertises techniques et scientifiques complémentaires en microscopie électroniques et ioniques[71]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSA de Toulouse, INPT, CNRS
ICA Institut Clément Ader UMR Toulouse, Tarbes, Albi Matériaux et structures composites – Surface, usinage, matériaux et outillages – Modélisation des systèmes et microsystèmes mécaniques – Métrologie, identification, contrôle et surveillance[72]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier A Toulouse, IUT Paul Sabatier de Tarbes, INSA de Toulouse, IMT mines d'Albi-Carmaux, ISA-SUPAERO, CNRS
IMFT Institut de mécanique des fluides de Toulouse UMR Toulouse Écoulements monophasiques transitionnels et turbulents – Milieux poreux – Hydrologie écoulements géophysiques et ingénierie de l’environnement – Particules, sprays et combustion[73]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INPT (ENSEEIHT), CNRS
IMT Institut de mathématiques de Toulouse UMR Toulouse Mathématiques fondamentales – Mathématiques pour l'industrie et la physique – Statistiques et probabilités[74]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, université Toulouse-I-Capitole, université Toulouse-Jean-Jaurès, INSA de Toulouse, CNRS
IRIT Institut de recherche en informatique de Toulouse UMR Toulouse Analyse et synthèse de l’information, indexation et recherche d’informations, interaction, coopération, adaptation par l’expérimentation, raisonnement et décision, modélisation, algorithmes et calcul haute performance, architecture, systèmes et réseaux, sûreté de développement du logiciel[75]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier A Castres, INPT (ENSEEIHT), université Toulouse-I-Capitole, université Toulouse-Jean-Jaurès, CNRS
LAAS Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes UPR Toulouse Informatique critique – Réseaux et communications – Robotique, décision et optimisation – Hyperfréquences et optique – Technologie et instrumentation pour le monitoring des systèmes complexes – Micro nano bio technologies – Gestion de l'énergie[76]. UPS – Facultés sciences et ingénierie, et des sciences du sport et du mouvement humain, INPT (ENSEEIHT), INSA de Toulouse, CNRS
Laplace Laboratoire plasma et conversion d'énergie UMR Toulouse Arcs électriques et procédés plasmas thermiques – Commande et diagnostic des systèmes électriques – Convertisseurs statiques – Diélectriques solides et fiabilité – Énergie électrique et systémique – Électromagnétisme, électrodynamique, énergétique, plasmas – Hors équilibre, lumière et matière, matériaux diélectriques dans la conversion d’énergie – Matériaux et procédés plasmas - Plasmas réactifs hors équilibre[77]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INPT (ENSEEIHT), CNRS
LGC Laboratoire de génie chimique UMR Toulouse, Labège, Castanet Tolosan Génie des interfaces et des milieux divisés – Génie des procédés intensifiés – Ingénierie des réacteurs polyphasiques innovants – Procédés électrochimiques – Procédés et systèmes industriels - Bioprocédés et systèmes microbiens[78]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INPT (ENSIACET, ENSAT), CNRS
LMDC Laboratoire matériaux et durabilité des constructions de Toulouse EA Toulouse Matériaux innovants pour le génie civil – Durabilité des matériaux et des ouvrages – Requalification, surveillance et maintenance du patrimoine bâti[79]. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSA de Toulouse, institut Carnot
Comité univers, planète, espace, environnement (UPEE)
modifier

Les thématiques de recherche de ce comité couvrent un champ allant de l'étude des origines et de l'évolution de l'univers et des planètes du système solaire, jusqu'à l'évolution de notre Terre au travers de son fonctionnement actuel, marqué par une pression anthropique croissante. Grâce à des compétences croisées en physique, chimie, astronomie, météorologie, écologie, géologie et biologie, ces études passent par des approches théoriques, des observations, des expériences et des développements instrumentaux, et par la modélisation numérique.

Comité UPEE – Unités de recherche
Nom Nom Complet Type Centre Domaine Structures partenaires
CESBIO Centre d'études spatiales de la biosphère UMR Toulouse, Auch Modélisation du fonctionnement et télédétection des surfaces continentales – « Systèmes d’observation » : vers des stratégies d’observations permettant de rendre compte de la complexité des surfaces. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier A Auch, observatoire Midi-Pyrénées, IRD, CNRS, CNES
EcoLab Laboratoire écologie fonctionnelle et environnement UMR Toulouse Dynamique des milieux – Rôle de la biodiversité dans les fonctions des écosystèmes – Influence des régimes de perturbations sur la biodiversité – Dynamique et effet des polluants – Modélisation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes – Bio-remédiation et restauration des milieux naturels . UPS – Faculté sciences et ingénierie, INPT (ENSAT), CNRS
GET Laboratoire Géosciences environnement Toulouse UMR Toulouse Géoressources – Terre interne/lithosphère – Géophysique et géodésie spatiale – Couplages Lithosphère/océan/atmosphère – Hydro-biogéochimie de la zone critique – Interfaces – (Bio)Géochimie expérimentale et modélisation des interactions fluides-minéraux-organismes vivants – Géochimie des Isotopes Stables – Géomatériaux. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IRD, CNRS, CNES
IMFT Institut de mécanique des fluides de Toulouse UMR Toulouse Écoulements monophasiques transitionnels et turbulents – Milieux poreux – Hydrologie écoulements géophysiques et ingénierie de l’environnement – Particules, sprays et combustion. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INPT (ENSEEIHT), CNRS
IRAP Institut de recherches en astrophysique et planétologie UMR Toulouse Galaxies, astrophysique des hautes énergies et cosmologie – Planète, environnement et plasmas spatiaux – Dynamique des intérieurs planétaires – Milieu interstellaire, cycle de la matière, astro-chimie – Physique du Soleil, des étoiles et des exoplanètes – Signal-images en sciences de l'Univers. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, CNES
LA Laboratoire d'Aérologie UMR Toulouse, Lannemezan, Tarbes (antenne) Analyse des transferts d'énergie et d'espèces en trace – Emissions, dépôts et impacts – Chimie atmosphérique processus tendances – Atmosphère océan et couplages – Systèmes précipitants rayonnements interactions transferts électriques. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier de Tarbes, observatoire Midi-Pyrénées, CNRS
LATT Laboratoire d'astrophysique Toulouse-Tarbes UMR Toulouse, Tarbes Cosmologie – Physique des galaxies – Physique stellaire – Magnétisme solaire et stellaire – Dynamique des fluides astrophysiques – Signal, image et instrumentation. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier de Tarbes, observatoire Midi-Pyrénées, CNRS
LEGOS Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales UMR Toulouse Géophysique, océanographie et hydrologie spatiales – Dynamique physique / biogéochimie marine – Géochimie marine – Cryosphère satellitaire – Echanges côte-large – Océan du large et variabilité climatique. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNES,, IRD, CNRS
Comité biologie, agronomie, biotechnologie, santé (BABS)
modifier

De fortes compétences sont réunies pour étudier la complexité du vivant à tous les niveaux d'organisation : de la molécule à l'écosystème en passant par la cellule, l'organisme et les populations actuelles et anciennes. L'émergence de ce comité facilitera l'intégration des connaissances acquises sur ces différents niveaux d'organisation. Au-delà des enjeux cognitifs, ce comité créera des conditions favorables pour que les biologistes toulousains, fortement engagés dans des programmes de valorisation en santé, agrobioscience et environnement, atteignent leurs objectifs.

Comité BABS – Unités de recherche
Nom Nom Complet Type Centre Domaine Structures partenaires
CAGT Centre d’Anthropobiologie et de Génomique de Toulouse UMR Toulouse, Paris Paléogénomique des populations anciennes humaines et microbiennes – Phylogénie, sélection et macro-évolution du genre Homo – Médecine évolutive – Anthropologie évolutive et anthropologie médico-légale – Biologie-culture-environnement – Variabilité humaine et pratique médicale – Évolution, imagerie, santé et variabilité humaine. UPS – Facultés de médecine de Rangueil, de Purpan et de chirurgie dentaire, CNRS
CBD Centre de biologie du développement UMR Toulouse Identité neuronale chez le poisson zèbre – Contrôle transcriptionnel du destin cellulaire par les sous-unités du complexe Médiateur – Réseaux de régulation génique dans le Drosophila haematopoiesis et la myogenèse – Communication cellule -cellule dans le développement du système nerveux – Haematopoesis and immunité – Organisation des microtubules et du centrosome - Contrôle du remodelage de la forme cellulaire – Contrôle du cycle cellulaire et de la neurogenèse – Morphogènes et spécification glial – Dynamique cellulaire / EMT et migration cellulaire directionnelle. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
CERCO Centre de recherche cerveau et cognition UMR Toulouse Action, apprentissage et plus – Compensation intermodale et plasticité corticale – Espace et contexte 3D – Images et modèles pour l’exploration du cerveau – Mémoire et apprentissage des objets et des scènes – Fluctuations perceptives et attentionnelles. UPS – Faculté des sciences du sport et du mouvement humain, CNRS
CIC 1436 Centre d'investigation clinique de Toulouse CHU CIC Toulouse Pathologies – Métabolisme – Nutrition et obésité – Pathologies cardiovasculaires – Imagerie fonctionnelle – Pédiatrie – Néphrologie – Ophtalmologie – Génétique. UPS – Faculté sciences et ingénierie
CPTP Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan UMR Toulouse Tolérance immunitaire dépendante des lymphocytes T – Dynamique moléculaire des interactions lymphocytaires – Différences liées au sexe dans l’immunité : mécanismes et physiopathologie – Cellules présentatrices de l’antigène et réponses T CD4 – Maladies inflammatoires du système nerveux : mécanismes et traitements – Infections virales : persistance, réponse de l'hôte et physiopathologie – Phatogénèse des infections virales du système nerveux central – Parasites eucaryotes intracellulaires : immunité et physiopathologie – Mécanismes moléculaires de la croissance, de l'ostéogenèse et de l'ostéolyse, biothérapies – Analyse moléculaire et physiologique de la signalisation par les lymphocytes. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, INSERM
CRCA Centre de Recherches sur la Cognition Animale UMR Toulouse Comportement collectif – Plasticité dépendante de l'expérience émergente – Variabilité interindividuelle et plasticité émergente – Mécansimes neurobiologiques de la mémoire – Mitochondries, plasticité neuronale et neurodégénérescence. UPS – Faculté des sciences du sport et du mouvement humain, CNRS
CRCT Centre de recherches en cancérologie de Toulouse UMR Toulouse ARN et cancer – Micro-environnement tumoral et métabolisme – Onco-immunologie. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, INSERM
CREFRE Centre régional d'exploration Fonctionnelle et de Ressources Expérimentales US Toulouse Création, exploration fonctionnelle, caractérisation phénotypique (marqueurs biologiques et histomorphométriques), cryoconservation de modèles animaux – Activité de recherche à caractère méthodologique dans le domaine animal – Promotion de l'éthique animale. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSERM, ENVT
EDB Laboratoire évolution et diversité biologique UMR Toulouse Diversification évolutive et écologique des populations – Processus de l'adaptation – Écologie aquatique. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, IRD
F-CRIN French clinical research infrastructure network (‘’Réseau français d'infrastructures de recherche clinique’’) UMS Toulouse Conception et conduite d'essais cliniques nationaux et internationaux – Ingénierie de projets nationaux et européens. UPS – Faculté sciences et ingénierie, INSERM
GRFH Groupe de recherche en fertilité humaine EA Toulouse Effets d’agents exogènes sur la fonction de reproduction – Reproduction et cancer – Recherche clinique et physiopathologique concernant la reproduction/fertilité. UPS – Faculté sciences et ingénierie
I2MC Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires de Toulouse UMR Toulouse Intestin, tissu adipeux, obésité et diabète – Thrombose, athérosclérose et vaisseaux – Cœur et rein. UPS – Faculté de chirurgie dentaire, INSERM
IPBS Institut de Pharmacologie et de Biologie Structurale UMR Toulouse Biologie du cancer – Biologie structurale et biophysique – Tuberculose & Biologie des infections. UPS – Faculté de pharmacie, CNRS
IRSD Institut de recherche en santé digestive UMR Toulouse Physiopathologie de l'épithélium intestinal – Pathogénie et commensalisme des entérobactéries – Interactions neuro-immunes de l’intestin – Génétique et régulation du métabolisme du fer. UPS – Facultés de médecine de Rangueil et de Purpan, INSERM, INRA, ENVT
ITAV Institut des technologies avancées en sciences du vivant USR Toulouse Innovation pour l'étude de la prolifération des cellules tumorales en 3D – Synthèse organique et diversité moléculaire – Problème inverse pour l'imagerie – Développement de nouveaux biocapteurs pour l'étude du métabolisme de l'ADN dans les cellules de lignage – Modèle neuronal humain dans un plat pour le développement de médicaments – Comprendre les processus régulés par l'ubiquitine impliqués dans le cancer – Simulation 3D de développement de microtumeurs – Échafaudages moléculaires et peptidiques bio-inorganiques et organiques pour étudier les problèmes biologiques liés aux amyloïdes. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
LBAE Laboratoire de biotechnologies agroalimentaires et environnementales EA Auch Systèmes microbiens complexes agro-alimentaires –Systèmes microbiens complexes environnementaux – Biofilms : étude des mécanismes impliqués dans la formation, le maintien et la destruction de biofilms microbiens. UPS – Faculté sciences et ingénierie, IUT Paul Sabatier A Auch
LBCMCP Laboratoire de biologie cellulaire et moléculaire du contrôle de la prolifération UMR Toulouse, Paris Histone déméthylases en développement et en cancer – Rôle des gènes du groupe polycomb / MLL dans le contrôle transcriptionnel des gènes cibles – Chromatine et réparation de l'ADN – Morphogenèse dépendante de l'apoptose – Contrôle spatio-temporel de la division cellulaire – Chromatine et prolifération cellulaire – Migration cellulaire et cancer. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
LBME Laboratoire de biologie moléculaire eucaryote UMR Toulouse MicroARN, ARN C/D et empreinte génomique parentale – Dynamique chromatinienne et prolifération cellulaire – Biogenèse des ribosomes eucaryotes – Petits ARN nucléaires régulateurs – Organisation et dynamique nucléaire chez ‘’Saccharomyces cerevisiae’’ – Chromatine et expression génique - Dynamique et dysfonctionnement de la synthèse des ribosomes
LEASP Laboratoire d'épidémiologie et analyses en santé publique UMR Toulouse Vieillissement et maladie d'Alzheimer : de l'observation à l'intervention – Épidémiologie de l'athérosclérose et des maladies cardiovasculaires : facteurs de prise en charge en population – Étude de la santé périnatale, pédiatrique et adolescente : recherche épidémiologique et évaluation – Trajectoires d'innovations en santé : enjeux bioéthiques et impact en santé publique – Cancer et maladies chroniques : inégalités sociales de santé, accès primaire et secondaire aux soins – Pharmaco-épidémiologie, évaluation de l'utilisation et du risque médicamenteux. UPS – Facultés de médecine de Rangueil, de Purpan, et de chirurgie dentaire, INSERM
LIPM Laboratoire interactions plantes micro-organismes UMR Castanet Tolosan Fonctions symbiotiques, génome et évolution des rhizobia – Réponses aux stress et signaux de l'environnement des rhizobia – Signalisation symbiotique – Infection endosymbiotique et développement nodulaire – Pouvoir pathogène de Ralstonia et adaptation à son environnement – Stratégies infectieuses des Xanthomonas – Immunité quantitative chez les plantes – Génétique et génomique du tournesol – Génomique écologique de l’adaptation dans les communautés végétales –Dynamique de la réponse immunitaire et adaptation au changement climatique – Signalisation, immunité et développement des plantes. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, INRA
LMGM Laboratoire de microbiologie et génétique moléculaire UMR Toulouse Dégradation des ARN et la régulation génique chez ‘’Staphylococcus aureus’’ – Transformation du pneumocoque – Ségrégation active des génomes bactériens : mécanisme et diversité – ARN et ribonucléases – Dégradation constitutive et régulée des ARN messagers – Métabolisme de l'ARN chez les Archées – Eléments génétiques mobiles et dynamique des génomes – Structures et fonctions des chaperons moléculaires – Génomique des systèmes intégrés – Recombinaison génétique et cycle cellulaire – Régulation et transport des protéines à travers les membranes cellulaires. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, fédération de recherche en biologie de Toulouse
LRSV Laboratoire de recherche en sciences végétales UMR Castanet-Tolosan Protéines pariétales et développement – Génomique fonctionnelle de l'eucalyptus – Signalisation calcique – Peptides et petits ARNs – Peroxydases : évolution et expression – Symbiose mycorhizienne et signalisation cellulaire – Immunité végétale et effecteurs. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
SETE Station d'écologie théorique et expérimentale de Moulis UMR Moulis Changements globaux et biodiversité – Plasticité phénotypique – Intercations sociales, variations environneme. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS
STROMALab Laboratoire cellules stromales : homéostasie, plasticité et réparation tissulaire UMR Toulouse Plasticité des tissus adipeux – CSM et ingénierie cellulaire. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, EFS, ENVT, INSERM
TONIC Toulouse Neuro Imaging Center UMR Toulouse Développement et validation de biomarqueurs en IRM et médecine nucléaire – Plasticité neuromotrice, médecine régénérative et médicaments innovants post-AVC. UPS – Faculté des sciences du sport et du mouvement humain, INSERM
TOXALIM Laboratoire Toxicologie alimentaire UMR Toulouse Toxicologie intégrative et métabolisme – Métabolisme des xénobiotiques – Gestation & perturbation endocrinienne – Neuro-gastroentérologie et nutrition – Biosynthèse & toxicologie des mycotoxines – Génotoxicité et signalisation intracellulaire – Prévention et promotion de la cancérogenèse par les aliments – Toxicologie moléculaire et cellulaire des xénobiotiques – Endocrinologie & toxicologie de la barrière intestinale – Contaminants et stress cellulaire. UPS – Faculté de pharmacie, INPT (EI-Purpan), ENVT, INRA
UDEAR Unité différenciation épidermique et auto-immunité rhumatoïde UMR Toulouse Barrière épidermique – Différenciation terminale du kératinocyte – Auto-anticorps anti-protéines citrullinées physiopathologie. UPS – Faculté sciences et ingénierie, CNRS, INSERM
Comité activités humaines & sociales (ACTIHS)
modifier

L'objectif du comité ACTIHS est l’étude des activités humaines et sociales et de leur influence sur les débats sociaux. Il travaille sur des thèmes variés comme l’intelligence du travail, les recherches en didactique des langues pour spécialistes d’autres disciplines (LANSAD), les pratiques corporelles et sportives, ou l’étude des organisations comme productrices et consommatrices de connaissances.

Comité ACTIHS – Unités de recherche
Nom Nom Complet Type Centre Domaine Structures partenaires
CERTOP Centre d'études et de recherche travail organisation pouvoir UMR Toulouse Intelligence du travail – Santé et Alimentation – Transitions écologiques, risques, innovations, tourisme – Public et marchés[80]. UPS – IUT Paul Sabatier A Toulouse, université Toulouse-Jean-Jaurès, CNRS
CRESCO Centre de recherche sciences sociales sport et corps EA Toulouse Socialisations corporelles et rapports sociaux de sexe et de classe – Socialisations et savoirs professionnels dans le champ des formations et métiers du corps, du sport et des loisirs – Dispositifs de santé publique et processus d’incorporation/transformation des habitudes de vie[81]. UPS – Faculté des sciences du sport et du mouvement humain
LAIRDIL Laboratoire inter-universitaire de recherche en didactique des langues EA Toulouse Épistémologie – Dispositifs innovants appuyés sur les TICE – Dynamiques recherche-formation[82]. UPS – IUT Paul Sabatier A Toulouse
LERASS Laboratoire d'études et de recherches appliquées en sciences sociales EA Toulouse, Auch, Castres, Tarbes Information et communication – Communication, pratiques, sens, textualités – Politiques urbaines soutenables – Médiapolis / Grecom – Médiations en information / communication spécialisée – Organicom – Psychologie sociale de la communication[83]. UPS – IUT Paul Sabatier A Toulouse-Auch-Castres, IUT Paul Sabatier de Tarbes, université Toulouse-Jean-Jaurès, université Toulouse-I-Capitole, université Paul-Valéry-Montpellier, INSA de Toulouse, INPT
LGCO Laboratoire gouvernance et contrôle organisationnel EA Toulouse, Auch Sciences de gestion[84]. UPS – IUT Paul Sabatier A Toulouse-Auch-Castres, IUT Paul Sabatier de Tarbes

Scientométrie

modifier

L'université de Toulouse-III est classée dans le groupe 201e-300e au classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai pour l’année 2017[85]. Dans ce classement, elle se situe dans la fourchette 100 meilleures universités européennes et 9 des meilleures universités françaises[86].

Partenariats avec des entreprises

modifier

Relations internationales

modifier

En 2015-2016, l'université accueille 521 étudiants étrangers et envoie 545 de ses étudiants grâce à des programmes d'échange comme Erasmus, Erasmus Mundus, TASSEP, BCI, etc[39]. Elle bénéficie d'accords d'échange avec 92 universités étrangères, situées en Europe, Afrique, Asie, Amérique du Nord et Amérique du Sud[87].

L'Amérique hispanique et le Brésil font partie des axes géographiques privilégiés avec lesquels l'université développe de nombreux liens au niveau de l'enseignement et de la recherche scientifique. Ces activités sont fédérées par le bureau Amérique hispanique et Brésil[88].

La mobilité à l'international des étudiants étant une des priorités de l'UPS, tous les projets de mobilité (semestres d'étude ou stages, même hors programme) sont financés[89].

Dans le domaine de la recherche, l’université a fortement développé le nombre de structures internationales qui est passé, entre 2010 et 2013, de 7 à 27. Par ailleurs, 40% des doctorants de l'établissement sont d'origine étrangère[40].

Vie étudiante

modifier

Associations étudiantes

modifier

La vie étudiante est animée par plus de 50 associations étudiantes présentes sur le site toulousain ainsi que sur les sites périphériques de l'université Paul Sabatier[40]. La division de la vie étudiante (DVE) est l'association servant d'interlocuteur entre les étudiants, les différentes associations et l'université. Les différentes facultés et instituts disposent de leurs propres associations et clubs : par exemple, UPS in space qui est l'association d'astronomie, active dans la médiation scientifique de l'astrophysique et du spatial pour les étudiants et du public, les airs solidaires faisant la promotion d'actions humanitaires, GRUMÖ qui est une association d'arts plastiques, Comput yourself une association d'informatique, Sonosmose qui est une association culturelle et musicale, Oups la radio universitaire, les amicales des différents départements de l'IUT de Tarbes, etc[90][source insuffisante].

Par ailleurs, il a été créé en 2012, un conseil des étudiants, composé d’élus des conseils centraux et d’élus des conseils de composantes. Ce conseil a pour ambition de servir d'espace de débat et de devenir une force de proposition auprès des instances statutaires. La participation des représentants des étudiants à la vie institutionnelle de l'établissement est une volonté de l’université[40].

Évolution démographique

modifier

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
28 184[91]27 946[92]27 674[93]27 790[94]27 588[95]28 056[96]28 254[97]27 865[98]
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
26 378[99]26 912[100]27 432[101]27 653[102]28 397[103]28 766[104]29 485[105]30 562[106]
2016 2018 2019 2020 2021 2022 - -
31 388[107]31 648[108]31 485[109]30 921[110]30 321[111]29 680[112]--

Personnalités liées

modifier

Enseignants et anciens enseignants

modifier

Anciens étudiants

modifier

Notes et références

modifier
  1. « Délibération du CAC », sur Université (consulté le ).
  2. « Accueil Université Toulouse-III Paul Sabatier ».
  3. Liste des membres, consulté sur site www.aerospace-valley.com le 18 février 2016
  4. a et b Arrêté du 24 novembre 1969 CONSTITUTION DES UNIVERSITES DE TOULOUSE I, TOULOUSE II ET TOULOUSE III
  5. a et b Décret n° 2015-663 du 10 juin 2015 portant approbation des statuts de la communauté d'universités et établissements « Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées »
  6. a et b « Décret n° 2022-1537 du 8 décembre 2022 relatif à la communauté d'universités et établissements « Université de Toulouse » », sur Legifrance (consulté le ).
  7. Nathalie Brafman et Isabelle Rey-Lefebvre, L’université française, un tremplin pour l’entreprise, Le Monde, 18 décembre 2013
  8. a et b « Université et facultés de médecine de Toulouse », sur histoire.inserm.fr (consulté le ).
  9. Arrêté du 19 juin 1963 INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES APPLIQUEES DE TOULOUSE
  10. Jérôme Lamy, Grandeur scientifique et politiques de l’espace : la création et le transfert du CNES (1958-1974), LISST – Université Toulouse II. Maison de la recherche 5 Allées A. Machado 31058 Toulouse Cedex 9, , 240 p. (ISBN 978-2-7011-5774-0, lire en ligne)
  11. « Le Centre Spatial de Toulouse en 1967 », sur nospremieresannees.fr (consulté le ).
  12. « Echos du C. S. T. », sur nospremieresannees.fr (consulté le ).
  13. Décret no  69-930 du 14 octobre 1969 portant application aux instituts de facultés ou d’universités préparant à un diplôme d’ingénieur de la loi no  68-978 du 12 novembre 1968
  14. Arrêté du 30 avril 1970 APPROBATION DES STATUTS DE L'UNIVERSITE DE TOULOUSE III
  15. Décret no  70-725 du 5 août 1970 portant érection en établissement public à caractère scientifique et culturel de l’université de Toulouse-III
  16. Arrêté du 13 septembre 1966 DES SPECIALITES ENSEIGNEES DANS LES IUT DE BORDEAUX, GRENOBLE, LILLE, MONTPELLIER, NANCY, NANTES, ORLEANS, PARIS, POITIERS, REIMS, RENNES, ROUEN ET TOULOUSE EN VUE DE L'OBTENTION DU DIPLOME UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE. (DUT)
  17. a et b Arrêté du 10 mai 1993 relatif aux spécialités dispensées par l'institut universitaire de technologie de Tarbes et par l'institut universitaire de technologie Toulouse-III
  18. « Histoire de l’hôpital Rangueil », sur chu-toulouse.fr (consulté le ).
  19. Décret n° 2007-385 du 21 mars 2007 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « Université de Toulouse »
  20. Dossier de presse du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour la rentrée 2009 (lire en ligne)
  21. Avis n° 2011/05-05 relatif à l’habilitation de l'université Toulouse-III à délivrer des titres d’ingénieur diplômé
  22. Décret n° 2023-1094 du 24 novembre 2023 relatif à l'Université de technologie de Tarbes
  23. Jérôme Fenoglio, Le Monde (journal quotidien), Société éditrice du Monde, Paris, consulté le . 
  24. Jérôme Fenoglio, Le Monde (journal quotidien), Société éditrice du Monde, Paris, consulté le . 
  25. Jérôme Fenoglio, Le Monde (journal quotidien), Société éditrice du Monde, Paris, consulté le . 
  26. Jérôme Fenoglio, Le Monde (journal quotidien), Société éditrice du Monde, Paris, consulté le . 
  27. « https://www.ladepeche.fr/article/2015/08/21/2162988-la-disparition-de-georges-larrouy.html »
  28. Jérôme Fenoglio, Le Monde (journal quotidien), Société éditrice du Monde, Paris, consulté le . 
  29. « https://www.ladepeche.fr/article/2013/04/15/1605567-j-francois-sautereau-president.html »
  30. « https://www.ladepeche.fr/article/2008/05/06/452257-universite-gilles-fourtanier-president-de-paul-sabatier.html »
  31. « https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/bertrand-monthubert-pourquoi-je-demissionne-de-toulouse-3.html »
  32. « https://toulouse.latribune.fr/nominations/2019-08-27/jean-pierre-vinel-quitte-la-presidence-de-l-universite-paul-sabatier-826460.html »
  33. « https://www.ladepeche.fr/2019/08/28/regine-andre-obrecht-presidente-de-luniversite-paul-sabatier,8380291.php »
  34. « https://www.ladepeche.fr/2020/01/20/jean-marc-broto-elu-nouveau-president-de-luniversite-paul-sabatier,8674051.php »
  35. « https://www.campusmatin.com/vie-campus/strategies/2024-une-annee-de-renouvellement-pour-les-gouvernances-universitaires.html »
  36. « Une identité visuelle plus claire pour notre université », sur univ-tlse3.fr, (consulté le ).
  37. « Plan de l'université Paul Sabatier », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  38. Avis n° 2017/04-01 relatif à l’accréditation de l’Université Toulouse III à délivrer des titres d’ingénieur diplômé
  39. a b c d et e UPS - Chiffres clés 2017
  40. a b c et d Haut conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCERES), Rapport d'évaluation Université Toulouse-III-Paul-Sabatier, 2014-2015, 37 p.
  41. « Sciences ingénierie, spécialités de DUT 2016 - 2021 », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  42. « Info-com Gestion - Spécialités de DUT », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  43. « UNIVERSITE-TOULOUSE-III-PAUL-SABATIER UPS Evaluation 2014-2015 vague A », sur hceres.fr (consulté le ).
  44. « Sciences ingénierie - Mentions de licences », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  45. « Info-Com et Gestion - Mentions de licences », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  46. « Sciences du sport : Licence mention Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  47. « Sciences ingénierie - Parcours spéciaux des licences mentions : Chimie - Mathématiques - Physique », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  48. « Sciences ingénierie - Mentions de masters », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  49. « Master mention Management des systèmes d'information », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  50. « Master mention Information - Communication », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  51. « Sciences du sport - Mentions de masters », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  52. « Université Paul Sabatier – Toulouse 3 », sur reseau-figure.fr (consulté le ).
  53. Arrêté du 18 janvier 2019 fixant la liste des Écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  54. « Les écoles doctorales », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  55. « Première année commune aux études de santé (PACES) », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  56. « Les parcours et cursus spécifiques en licences scientifiques », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  57. « UPS : Les comités de recherche », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  58. « CEMES », sur cemes.fr (consulté le ).
  59. « CIRIMAT », sur cirimat.cnrs.fr (consulté le ).
  60. « IMRCP », sur imrcp.ups-tlse.fr (consulté le ).
  61. « LCAR », sur lcar.ups-tlse.fr (consulté le ).
  62. « LCC », sur lcc-toulouse.fr (consulté le ).
  63. « LCPQ », sur lcpq.ups-tlse.fr (consulté le ).
  64. « LHFA », sur lhfa.cnrs.fr (consulté le ).
  65. « LNCMI-T », sur toulouse.lncmi.cnrs.fr (consulté le ).
  66. « LPCNO », sur lpcno.insa-toulouse.fr (consulté le ).
  67. « LPT », sur lpt.ups-tlse.fr (consulté le ).
  68. « PHARMA-DEV », sur pharmadev.ird.fr (consulté le ).
  69. « SPCMIB », sur spcmib.univ-tlse3.fr (consulté le ).
  70. « CALMIP », sur calmip.univ-toulouse.fr (consulté le ).
  71. « CMCRC », sur ccarcastaing.cnrs.fr (consulté le ).
  72. « ICA », sur institut-clement-ader.org (consulté le ).
  73. « IMFT », sur imft.fr (consulté le ).
  74. « IMT », sur math.univ-toulouse.fr (consulté le ).
  75. « IRIT », sur irit.fr (consulté le ).
  76. « LAAS », sur laas.fr (consulté le ).
  77. « Laplace », sur laplace.univ-tlse.fr (consulté le ).
  78. « LGC », sur lgc.cnrs.fr (consulté le ).
  79. « LMDC », sur www-lmdc.insa-toulouse.fr (consulté le ).
  80. « CERTOP », sur certop.cnrs.fr (consulté le ).
  81. « CRESCO », sur cresco.univ-tlse3.fr (consulté le ).
  82. « LAIRDIL », sur lairdil.fr (consulté le ).
  83. « LERASS », sur lerass.com (consulté le ).
  84. « LGCO » (consulté le ).
  85. (en) « Academic Ranking of Wolrl Universities ».
  86. « Classement 2017 des meilleures universités ».
  87. Accords de coopération par pays 2017
  88. « Présentation du bureau Amérique hispanique et Brésil », sur math.univ-toulouse.fr (consulté le ).
  89. « Etudier et faire un stage à l'Etranger », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  90. « Vie associative », sur univ-tlse3.fr (consulté le ).
  91. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  92. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  93. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  94. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  95. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  96. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  97. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  98. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  99. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  100. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  101. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  102. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  103. Catherine Moison, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2013, Imprimerie moderne de l’Est, p. 179, (ISBN 978-2-11-099382-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 avril 2018
  104. Catherine Moisan, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2014, Imprimerie moderne de l’Est, p. 179, (ISBN 978-2-11-138622-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 avril 2018
  105. Catherine Moisan, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2015, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-139145-1), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 avril 2018
  106. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2016, Imprimerie moderne de l’Est, p. 165, (ISBN 978-2-11-15135 3-2), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 avril 2018
  107. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2017, Imprimerie moderne de l’Est, p. 163, (ISBN 978-2-11-151752-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 avril 2018
  108. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2019, Imprimerie moderne de l’Est, p. 165, consulté sur www.education.gouv.fr le 14 mars 2020
  109. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2020, Imprimerie moderne de l’Est, p. 161, consulté sur www.education.gouv.fr le 18 janvier 2023
  110. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2021, Imprimerie moderne de l’Est, p. 161, consulté sur www.education.gouv.fr le 18 janvier 2023
  111. Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2022, Imprimerie moderne de l’Est, p. 165, consulté sur www.education.gouv.fr le 18 janvier 2023
  112. « Statistiques sur les effectifs d'étudiants inscrits par établissement public sous tutelle du ministère en charge de l'Enseignement supérieur (hors doubles inscriptions université-CPGE) - data.gouv.fr », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  113. Florence Dinet et Françoise Lepagnot-Leca, Témoins et acteurs des politiques de l'éducation depuis la Libération. Tome 5 : Inventaire de cinquante entretiens. La fonction rectorale, Persée, , 185 p. (ISBN 978-2-7342-1107-5 et 2-7342-1107-6, lire en ligne), p. 23-25
  114. « Braga Jose », sur amis.cnrs.fr (consulté le ).
  115. Pierre-Cyrille Hautcœur, Président de l'EHESS, « Hommage à Daniel Fabre », Site de l'école des hautes études en sciences sociales,‎ (lire en ligne)
  116. « CV Gilles Fourtanier », sur fourtanier.com (consulté le ).
  117. a et b « Jean-Claude Laprie », sur webhost.laas.fr (consulté le ).
  118. « Thierry Magnin, Recteur de l'Université Catholique de Lyon », sur ucly.fr (consulté le ).
  119. a et b « Bio Bertrand Monthubert », sur bertrand.monthubert.net (consulté le ).
  120. « Short Vita Stefanie Petermichl », sur math.univ-toulouse.fr (consulté le ).
  121. « Gwénaël RAPENNE », sur cemes.fr (consulté le ).
  122. « CV du professeur Jean-François Sautereau », sur sport-u.com, .
  123. « Thèses dirigées par Carlos Simpson », sur theses.fr (consulté le ).
  124. Institut de France, académie des sciences, GRANDS PRIX ATTRIBUÉS EN 2015, , 7 p. (lire en ligne), p. 3
  125. « Clément Sire », sur lpt.ups-tlse.fr (consulté le ).
  126. Emmanuelle Rey, « Après l'or olympique, Gaël Touya croque la vie », La Dépêche,‎ (lire en ligne)
  127. a et b « Jean-Pierre VINEL : biographie », sur letudiant.fr (consulté le ).
  128. « Thèse Hélène Bergès », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  129. « Thèse Richard Canal », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  130. « Thèse d'État Anny Cazenave », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  131. « Thèse Merieme Chadid », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  132. « Thèse Corinne Charbonnel », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  133. « Thèse Michel Chassang », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  134. « Pierre Cohen », sur linternaute.com (consulté le ).
  135. Hélène Builly, « Le péril jeûne, La chute du régime Dukan », Vanity Fair,‎ (lire en ligne)
  136. Anne Jouan, « Mediator : Dukan sanctionné par l'Ordre des médecins », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  137. « Écriture Slam », sur Service Culturel (consulté le ).
  138. Jacques Molénat, « Pierre Izard au scanner », L'Express,‎ (lire en ligne)
  139. « Le chef Jean-Rony Leriche », sur lerichedesaveurs.com (consulté le ).
  140. Institut Français des Administrateurs
  141. « Thèse Yannick Mellier », sur sudoc.abes.fr (consulté le ).
  142. Guide de l'équipe de France : Universiade d'été 2015, 122 p. (lire en ligne), p. 25
  143. « Biographie de Abdelkoddous Saâdaoui, secrétaire d'État chargé de la jeunesse », sur businessnews.com.tn (consulté le ).

Annexes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier