Cet article présente la liste des voies de Nice classées par ordre alphabétique. En 2003, Marguerite et Roger Isnard ont dénombré 1 789 voies à Nice[1].
Rue de l'Abbaye (CP : 06300 - vieille ville). Son nom provient de l’abbaye Saint-Pons de Nice ; cette ruelle en constituait le « centre administratif », loin des lieux de prière.
no 5 : maison Natta (à côté du bar des Oiseaux).
Avenue Adolphe-Isnard (CP : 06000 - quartier Magnan-Madeleine). Adolphe Isnard est conseiller municipal de Nice au début du XXe siècle.
no 7 : palais Sainte-Thérèse, à proximité de l'église Sainte-Thérèse.
La rue Alberti à son départ de l'avenue Félix-Faure, direction nord.
Avenue Alexandre-Ansaldi : nom parfois donné à l'avenue Ansaldi. Voir Ansaldi (avenue).
Place Alexandre-Médecin (CP : 06100 - quartier Libération-Saint-Maurice). Anciennement place Saint-Maurice. Alexandre Médecin (1852-1911) est adjoint au maire de Nice de 1886 à 1890 et père de Jean Médecin.
no 1 : palais Les Lilas (à proximité de la rue des Lilas).
no 4 : palais Von der Wies (autres entrées 82 et 84 avenue Borriglione). Le palais porte le nom du Russe Paul von Derwies pour qui est édifié le château de Valrose situé à proximité. Cet ensemble de 40 logements (Didier Roman architecte, M. Baraness assistant) a été réalisé par la municipalité et fut livré en juillet 1999.
no 27-29 : palais L'Escurial (Léonard Varthaliti architecte 1933). Nom dû à la proximité avec l'immeuble L'Escurial datant de 1900 et situé au 15 avenue Georges-Clemenceau.
Avenue Alphonse Karr prise au début, angle de la rue de la Liberté, direction nord.
no 11 : palais B. Aune : voir au 12 avenue Georges-Clemenceau.
Rue d'Angleterre à son début avec ses restaurants, direction sud.
Avenue Ansaldi (CP 06200 - va de la route de Bellet au boulevard de la Madeleine). Marguerite et Roger Isnard indiquent : « C’est une ancienne voie privée dont le nom proviendrait du comptable et lotisseur de la propriété Robiony dans laquelle elle a été tracée vers 1898. »[3]. Ce serait pendant le tournage d’Un tout petit prince de Radovan Tadic (1985) consacré à un mystificateur se faisant appeler « Alexandre Ansaldi » que le prénom Alexandre aurait été ajouté sur la plaque de rue[4].
Avenue des Arènes-de-Cimiez (CP : 06000 - quartier Carabacel et quartier de Cimiez). Le nom de l'avenue des Arènes de Cimiez est couramment abrégé en avenue des Arènes.
no 4 : palais des Arènes (Civalleri et Delserre architectes), édifié en 1908.
Départ de l'avenue des Arènes au niveau du boulevard Carabacel / Acropolis.
Avenue des Arènes, partie inférieure. À droite, carrefour pour descendre vers la vallée du Paillon, quartier de Cimiez, direction nord.
Avenue des Arènes, partie supérieure, près des arènes de Cimiez, quartier de Cimiez, direction nord.
Boulevard de l'Armée-des-Alpes (CP : 06300 - quartier Saint-Roch). Dans la continuité du boulevard de Riquier au-delà du pont de la voie de chemin de fer, il s'appelait auparavant boulevard Bischoffshein sur cette section. Il continue par le boulevard Saint-Roch. Le nom rappelle les unités qui combattirent les troupes italiennes en 1940; des niçois pour une grande partie.
n°20-22-24-26 : Le Grand Palais,« a été inauguré le 15 avril 2003 par Monsieur Jacques Peyrat sénateur maire de la ville de Nice et Monsieur François Bertière président-directeur général de Bouygues Immobilier ».
Place de l'Armée-du-Rhin : anciennement place Risso - 06300, quartier Riquier
n°3 : Palais de L'Esplanade. Autres entrées 1 et 3 rue Thaon de Revel ; autre entrée encore au 3 boulevard Pierre-Sola. Le nom du palais fait allusion à la couverture du Paillon. Dû à Honoré Aubert : 1929-1930. Aussi appelé, semble-t-il, « Palais Risso ».
Arson : voir Arson (place) et Arson (rue). Nom d'une famille niçoise.
Ces terrains agricoles et arborés furent cédés à la ville par la famille Arson qui demanda qu'on mentionne son nom.
Rue Arson : 06300. Axe Nord-Sud, du quartier Saint-Roch au port. Il y a longtemps, coulait un canal sur l'emplacement de la rue où tournaient des moulins...
Guillaume Assalit fut podestat de la ville de Nice en 1108, puis plus tard Consul de la villede Nice. Peu ou pas de renseignement, hélas!
n°1 (coin avenue Desambrois) : Palais Desambrois
Avenue de l'Assomption : 06100, quartier du Ray. Le nom provient de l'ancienne proximité avec le couvent de l'Assomption. Le couvent fut détruit au profit d'un lotissement.
Ce niçois (1806-1883) était négociant en huiles et conseiller municipal. Sa famille offrit des terrains à la ville à condition qu'une rue porte son nom.
Rue Balbi (CP : 06100) : quartier Saint-Maurice/Valrose. Les Balbi sont une famille de musiciens propriétaires de terrains dans le quartier. Louis (à Milan), Antoine Louis (Nice,1889- ???), Julien, compositeur vers Milan, son fils (Berre, 1918 -) et Marie, sa petite-fille.
no 10 : les auteurs (Paul Castellea) parlent du Palais Jacqueline pour ce qui est en fait la Villa Jacqueline.
Banville : voir à Théodore-de-Banville
Avenue Baquis (CP : 06000) : quartier des Musiciens - Riche famille du quartier qui offrit des terrains à la ville. La villa Baquis se trouvait au 10 rue du Temple à Brancolar, louée à l'aristocratie russe (Marie Bashkirtseff y séjourna vers 1870).
no 11 bis : Palais Mozart. À proximité de la place Mozart.
Avenue Baquis, direction Sud Nice, quartier des Musiciens.
Barel : voir à Max-Barel (place) et à Virgile-Barel (boulevard). Max Barel est le fils de Virgile Barel.
Place Max Barel. Prise de vue en arrivant de la moyenne corniche, direction nord-ouest.
n°86 : Palais Saint Charles signalé par l'Annuaire du téléphone 2004
Blacas (rue) : du nom d'un troubadour : 06000, quartier Carabacel
n°8 (coin rue Pastorelli) : lettres M et L en fer entrelacées au-dessus de la porte. Les auteurs parlent du Palais Marie Lévy qui valut à Dalmas d'être primé en 1906.
Palais Marie-Levy, 8 Rue Blacas Vue générale, prise de vue vers NE
Détail de la porte d'entrée du Palais Marie-Levy (traitement pour faire ressortir les détails de l'ombre)
Avenue Alfred-Borriglione : Alfred Borriglione fut maire de Nice : 06100, quartier Saint-Maurice
n°[15] : Palais Michel-Ange : cet immeuble aujourd'hui anonyme figure sous ce nom dans un plan de 1910 avec la mention « propriété Basso ». Proximité avec la rue Michel-Ange.
n°16 : Palais Soledor
n°28 : Palais Golstadt : cet immeuble aujourd'hui anonyme figure sous ce nom dans un plan de 1910. Situé à l'angle de la rue Lippert, aujourd'hui rue Vincent Fossat.
Avenue de la Californie : 06200. Après la ruée de 1849 on a appelé Californie des lieux habités excentrés.
n°4 : entrée anonyme et présence de deux dômes : Palais des Dômes pour l'Annuaire du téléphone 2004
n°11 : Palais Magnan : Magnan est un quartier de Nice
n°19 : Palais Monty : autre entrée 129 bis promenade des Anglais
n°39 B[is] : Palais Doria
n°75 : G. Dikansky arch., 1927 : autre entrée mais anonyme de La Couronne alias Palais La Couronne : voir au 167 promenade des Anglais. En face on remarque un Garage de la Couronne.
Boulevard Carnot : 06300, quartier du Port / quartier Mont-Boron
n°68 : Palais Bel Mare : entrée au 1 avenue Alfred-Leroux
Square Carpeaux : 06100. Ce square est la partie résiduelle de l'ancien parc de Chambrun : quartier Saint-Maurice.
Un Palais de Glace est signalé par les auteurs ; il s'agit d'une patinoire édifiée en 1906 à l'intérieur du parc de Chambrun ; architecte F. Fratacci. Le « palais » a été détruit au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Ce bâtiment a servi d'« hôpital provisoire » pendant la Grande Guerre.
Cassin : voir à René-Cassin. Quartier Arenas.
Boulevard de Cessole : 06100, quartier Saint-Maurice/quartier du Ray ; famille Spitalieri de Cessole.
n°20 : Palais Stella
n°86 : Palais Pacifique
Rue Chantal : 06100, quartier Saint-Maurice, vers "la Dominante"
n°3 : Le Palace : partie du Palais de la Méditerranée reconstruit vendue en copropriété. Architectes Olivier-Clément Cacoub, Maurice Giauffret, 2004.
n°20 (à proximité de la rue Maréchal-Joffre) : Palais Maréchal-Joffre
Rue Constantin-Bergondi : 06000 : voie portant le nom de Constantin Bergondi
Rue Cotta : aujourd'hui rue Maréchal-Joffre. Quartier des Musiciens.
Rue de Cronstadt : 06000, quartier des Musiciens-Sud: le nom fut attribué en 1898 dans un contexte d'alliance franco-russe. Ce nom rappelle aussi que la flotte russe venait mouiller près de Nice bien avant 1860.
rue Von-Derwies : voir à Von Derwies (rue) ; anciennement rue Valrose.
Avenue Desambrois : 06000, quartier Carabacel ; nom simplifié de l'intendant sarde Louis des Ambrois de Nevache (Luigi des Ambrois de Névache) (1807-1875) ; on trouve aussi écrit Désambrois.
n°4 : Palais de Cimiez, H. Aubert architecte. L'immeuble possède une autre entrée au 1 montée Desambrois portant le nom de Castel de Cimiez. L'immeuble est situé à l'entrée de la montée vers la colline de Cimiez. Images : Vue générale et Entrée nominative.
n°89 : Palais des États-Unis : la date 1883 est peinte au-dessus de la porte, mais le quai du Midi n'est devenu le quai des États-Unis qu'en 1917, à l'entrée en guerre de ce pays et l'on trouve la mention « H. Aubert architectecte » au bas de l'escalier extérieur
n°7 : le surnom de Palais de Marbre l'a emporté, dû à la façade de 1874 dessinée par S. M. Biasini. Affecté depuis 1965 aux Archives municipales. Ce « palais » est l'élément central d'un ensemble appelé en réalité Les Grands Cèdres.
Rue Falicon : devenue la rue des Combattants-en-Afrique-du-Nord. L'ancien nom de la rue honorait la famille Renaud de Falicon qui possédait le fief de Falicon.
Rue Foncet : quartier Carabacel d'après Jean-Joseph Foncet, baron de Montailleur (1707-1783)
n°4 (?) : Victoria Palace : la reine Victoria du Royaume-Uni séjourna plusieurs fois à Nice au soir de sa vie.
Avenue Fragonard : anciennement rue Thérésa - quartier Saint-Maurice/Valrose
n°2-4-6-8 : Palais Joffre. Inauguré en 1932 ; architecte L. Audisio. Sans doute destiné à d'anciens combattants.
n°10 : Palais Thérèsa : ancien nom de la rue. Figure sous le nom de Villa Thérèse dans un plan de 1910 qui précise que le propriétaire, comme pour nombre de parcelles du secteur, est la Veuve Vicario.
n°14 : Palais Windsor. Un plan de 1910 précise : Propriété Schirrer.
n°16 : Palais Valrose : Ch. Bernard architecte D.P.L.G. 1908. Le nom du palais est dû à la proximité du château de Valrose aujourd'hui affecté à des établissements scientifiques de l'université de Nice.
n°53 : une plaque indique Palais Étoile du Nord et une autre plaque rappelle que Gaston Leroux y est mort. Autres entrées mais « anonymes » au 1 rue Depoilly et au 3 place Franklin. Des auteurs parlent du palais Formitcheff dû à Dalmas (1909-1913).
n°5 : Savoy Palace : entrée principale 3 promenade des Anglais
Boulevard Henri-Sappia : porte le nom de l’érudit niçois Henri Sappia (1833-1906) : va du boulevard Paul-Rémond au boulevard de Las Planas ; code postal 06001
Boulevard de l'Impératrice-de-Russie : anciennement (changement induit par le rattachement à l'Empire... Français) boulevard de l'Impératrice en l'honneur de la veuve de Nicolas Ier née Charlotte de Prusse : devenu le boulevard Stalingrad (en souvenir de la bataille de Stalingrad) après la Seconde Guerre mondiale. Cette impératrice de Russie avait emprunté cette route menant à Villefranche-sur-Mer, lieu d'embarquement pour la Russie.
Vers 1900, une partie du boulevard Impératrice de Russie a pris le nom de boulevard Franck-Pilatte.
n°2 : Palais Pauline (inscription sur le balcon du 2e étage donnant sur la place Sasserno), une plaque indique aussi : Propriété Jques Cauvin. Les auteurs précisent : construit par Bellon entre 1906 et 1911. Voir :Photo.
Leroux : voir à Alfred-Leroux - Quartier du port/Mont-Boron.
Avenue Liserb : nom dû à un propriétaire : Brésil à l'envers : quartier valrose/cimiez
n°1 : Palais "Tony Pin"
n°2 bis : Palais Nemausa (Annuaire du téléphone 2004)
Rue Longchamp : à l'emplacement de Longchamp ancienne plaine agricole de Nice - quartier des Musiciens.
n°2 : Palais Longchamp
Louis-Delfino : voir à Général-Louis-Delfino - Quartier Riquier
Rue Louis-Garneray : quartier Saint-Roch, vers le Mont-Boron
Place Max-Barel - quartier Riquier : anciennement place Saluzzo. Fils de Virgile Barel, Max fut un martyr de la Résistance et habita le Palais Saluzzo.
n°[1] : Palais Saluzzo B : H. Aubert architecte : autres entrées au 39 rue Barla et 1 boulevard Riquier. Daté de 1930.
Médecin : voir à Alexandre-Médecin et à Jean-Médecin (Alexandre : père de Jean, maire de Nice)
n°4 : Palais Mazarin, Propriété F. Guidotti. Nom du palais en rapport avec celui de la rue : le cardinal de Mazarin apparaît souvent dans Les Trois Mousquetaires.
Étymologiquement "la rue des chaudronniers". Cette rue et son bastion (il fut détruit sous Louis XIV) constituait la partie septentrionale de la ville. Rue très animée depuis le Moyen Âge, elle a gardé sa vocation commerciale.
cette allée était proche du Palais Carabacel démoli vers 1960 et qui appartenait à Émile Bieckert (une rue porte son nom et se trouve à proximité). Carabacel est le nom d'un quartier et d'un boulevard.
Place du Palais : tient son nom du palais de justice : 06300, quartier de la Vieille-Ville (Vieux-Nice)
Le Palais de Justice
La place et le palais Rusca
n°3 : Palais Rusca : ancienne caserne Rusca devenue annexe du Palais de Justice ; la caserne portait le nom d'un général de Napoléon, enfant du pays
n°4-10 : Palais du Parc Fleuri, Hugonnard & Jude constructeurs, F. Fratacci & H. Malgaud architectes. Les auteurs indiquent : vers 1924, Malgaud et Fratacci architectes. Parfois appelé « Parc Fleuri ». Le nom du palais est peut-être une réminiscence du Vallon des Fleurs et du parc de Chambrun (square Carpeaux) situés à proximimité.
n°32 : Palais Saint-Maurice : Saint-Maurice est le nom du quartier
n°13: Arman y tient un atelier dans le sous-sol de la maison de son père
n°35 ex 29 : Palais Isis : H. Aubert architecte : même immeuble qu'au 37
n°37 ex 31 : Palais Osiris : H. Aubert Architecte : même immeuble qu'au 35
Rue Paul-Reboux : quartier de Riquier
n°10 : Palais Gilletta
Avenue Pauliani
Rue des Ponchettes : tire son nom des « Pounchetta » signifiant « petite pointe » en langue niçoise, et désignant les pointes rocheuses de Rauba Capéu ; quartier de la Vieille-Ville (Vieux-Nice)
Quartier Carabacel - Paillon
Élevée au rang d'une avenue pour des raisons fiscales, cette rue permet de rejoindre la partie amont de la vallée du Paillon et le quartier Pasteur.
Rue Père-Auguste-Valensin : entre quartier des baumettes et Musiciens
n°6 (coin de la rue Frédéric-Passy) : Palais New York, architectes : Milon de Peillon, Le Monnier DPLG ; entrepreneur A. Furia. Autre entrée au 4 rue Père Auguste Valensin.
n°13 bis (au coin de l'avenue Eden-Park) : Palais des Deux Avenues
L'avenue débute du boulevard Gambetta, au niveau du passage à niveau et se prolonge par la route du même nom jusqu’à Saint Pancrace. Le quartier du Piol accueille (décembre 1883-mai 1884)
L’Exposition International de Nice: On y trouvait des pavillons et stands internationaux consacrés aux beaux-arts, à l’agriculture et à l’industrie, des cafés restaurants, kiosque à musique…, et toute la colline était éclairée par plus de 1500 lampes à incandescence.
Avenue des Phocéens : quartier de la vieille-ville
Rue Poincaré : anciennement rue Rosa-Bonheur : quartier des Baumettes, bord de mer
n°4 : Palais Rosa Bonheur : entrée de service au 163 rue de France ; H. Aubert architecte. Le nom du palais correspond à l'ancien nom de la rue. De plus la femme-peintre Rosa Bonheur a possédé un atelier à l'emplacement où a été construit le palais. Il existe en outre une école Rosa Bonheur à proximité du Palais (au 14 rue Louis de Coppet).
n°24 : Palais Reine-Jeanne : rénovation en préparation (été 2005). Nom de la rue.
Avenue de la République : antérieurement République (rue de la) : quartier de Riquier
n°7 : Palais Victor : la rue de la République a porté du vivant du monarque le nom de rue Victor en l'honneur du roi (1773) de SardaigneVictor-Amédée III qui fit aménager ce qui était alors une porte de Nice
n°2 (coin rue Alphonse-Karr) : Palais Alphonse-Karr : G. Messiah architecte DPLG, A. Rossi entr., 1936
n°4 : Palais Haydée : H. Aubert architecte
n°6 : Palais Ermione : H. Aubert architecte
n°8 : Palais Armida : H. Aubert architecte : Armida est un opéra de Rossini
n°15 bis : Palais Minerva : Gandolfo & Fils entrepreneurs, L. J. R. Barron - M. Bardi architectes
n°18 : Le Médicis indiqué sur une plaque. Pour les auteurs, c'est le Palais Médicis attribué à Dalmas et qui s'inspire fidèlement de la Renaissance italienne à son début.
n°19 (au coin de la rue des Phocéeens) : Palais Albert Premier signalé par les auteurs : 1931, Guilgot et Marcel Dalmas architectes. Un jardin Albert Ier est situé de l'autre côté de l'avenue des Phocéens. Ce jardin Albert Ier honore le roi Albert Ier de Belgique. Il existe aussi un hôtel Albert 1er au 4 avenue des Phocéens.
Rue Saint-Honoré : quartier Magnan inférieur/ Bd Carlone
n°24 : immeuble où est né Jean Médecin (plaque commémorative)
A l'angle avec la rue Alfred-Mortier: Église Notre-Dame-des-Grâces de Nice, aussi appelée Église Saint-Jean-Baptiste en raison de sa position, ou Église du Vœu
Avenue Saint-Lambert : une partie de la rue a été renommée avenue Raymond-Comboul
Ruelle Saint-Martin - Vieille ville
Place Saint-Maurice : aujourd’hui : place Alexandre-Médecin
Rue Saint-Philippe : quartier des Baumettes, près de Gambetta
n°2 : Palais Pertinax : entrée « principale » au 26 rue Pertinax
Rue Santa-Fior : quartier Saint-Maurice
n°2 : Palais Santa Fior
Boulevard Sainte-Agathe : ancien nom du boulevard Général-Louis-Delfino jusqu'en 1969, du nom de la famille Guiglionda de Sainte-Agathe qui possédait le fief de Borgo Sant'Agata près d’Oneille en Ligurie
Avenue Shakespeare : quartier des Baumettes, entre St-Philippe et Gambetta
n°13 : Palais Ophelia (Ophélie est un personnage de la pièce de Shakespeare Hamlet). Dernier domicile de l'ancien maire de Courbevoie Honoré Victor (1863-1942)
n°15 : Palais Floralies
n°16 : Palais du Logis
n°18 : Palais du Home
Rue Spitalieri : famille Spitalieri de Cessole : quartier Carabacel près Nice-Etoile
n°2 : Palais Graziella
n°2 ter : Le Palais Jocelyn
Boulevard Stalingrad : 06300, quartier du Port. Le boulevard de l'Impératrice de Russie a pris le nom de boulevard Stalingrad pour célébrer la bataille de Stalingrad lorsque Virgile Barel était à la tête de la municipalité de Nice. Le boulevard de l'Impératrice de Russie honorait l'impératrice douairière Alexandra Feodorovna (née Charlotte de Prusse et veuve du tsar Nicolas Ier de Russie) qui séjourna à Nice et empruntait cette voie menant à Villefranche-sur-Mer, lieu d'embarquement pour la Russie. Après la chute du mur de Berlin, la municipalité de Nice voulut renommer le boulevard de Stalingrad en lui substituant le nom de Lech Wałęsa (Lech Wałęsa) mais devant l'opposition de certaines associations d'anciens combattants on aboutit à un « jugement de Salomon » : une moitié du boulevard Stalingrad devint la rue Lech-Walesa tandis que l'autre moitié de la voie garda le nom de boulevard Stalingrad.
n°2 : les auteurs (Hervé Barelli) parlent du Palais Audibert de Saint-Étienne ou Palais Renaud de Falicon. Palais construit en 1844-1847 par la famille Audibert possédant le fief de Saint-Étienne-de-Tinée et passé par mariage à la famille Renaud de Falicon (fief à Falicon). Le mode de désignation du bâtiment est semblable à celui des palais du Vieux-Nice.
Rue Torrini : quartier libération / vernier
n°1 : Palais Torrini
Chemin Tour-de-Bellet : quartier de Saint-Romans de Bellet
domaine de Clerverland : Palais Saint Alban (Annuaire du téléphone 2004).
Rue Trachel : du nom d'une famille de peintres niçois : quartier Saint-Etienne
n°8 (angle rue de Dijon) : Palais Galatée
n°14 : Palais Bellecour : 1930 : à proximité du square Bellecour
n°34 et 36 : Palais Saint-Étienne : à proximité de l'église Saint-Étienne, le quartier portant le nom de Saint-Étienne. Plus particulièrement le Palais Saint-Étienne fait approximativement face au square Colonel Jeanpierre qui a porté le nom de square Saint-Étienne.
n°15 : Palais Alexandra. Le nom du palais est peut-être en rapport avec l'impératrice Alexandra Feodorovna (épouse du tsarNicolas Ier) qui séjourna à Nice
n°19 : Palais Victoria.
n°25, n°27 et n°29 : Palais Tzarevitch : nom de la voie
n°35 : Palais Florine
n°33 : Palais Aurore : entrée principale au 113 boulevard François Grosso. Il existe une rue de l'Aurore à proximité.
n°43 : Imperial Palace. Le qualificatif d' Imperial est en accord avec le nom de la voie.
n°21 : Palais Yolande : la plaque indique aussi : Maison Gaiermo
n°24 et 26 : Palais Mireille
n°28-30 : Palace Verdi
n°31 : les auteurs signalent un palais Jean Hugues, 1925, dû à Jean-Baptiste Bonifassi ; Jean est le fils de Jacques (voir au n°33 de la rue). Lettres J et H entrelacées sur la façade où une plaque indique simplement : Jean Hugues entrepreneur Nice.
n°33 : angle du 12 rue Guiglia : les auteurs signalent un palais Jacques Hugues, 1908, dû à Jean-Baptiste Bonifassi.
n°40 : Sémiramis sur la façade mais Palais Sémiramis pour l'Annuaire du téléphone 2004. Semiramide est un opéra (non de Verdi mais) de Rossini dont la rue est proche. Des auteurs (Michel Stève) parlent de l’immeuble Sémiramis.
n°42 (coin rue Louise Ackermann) : Civalleri & Delserre architectes, 1910. Pas de nom sur la façade mais les auteurs parlent du palais Paschetta.
n°5 : Palais Donadei B : Dalmas architecte : autres entrées au n°7, au n°2 rue Raynardi et aux n° 8 et 10 rue du Maréchal-Joffre. Le pâté rue Eugène-Emanuel, boulevard Victor-Hugo, rue Raynardi et rue du Maréchal-Joffre présente une unité architecturale mais chacun des palais Donadei garde son individualité.
n°7 : Palais Donadei A : entrée principale au n°5
n°20 : Palais d'Azurie : H. Aubert architecte
n°27 : Palais Marie : Georges Dikansky architecte DESA
n°56 (autre entrée au 1 rue des Orangers) : Palais Noradinett, lettres A et D entrelacées sur les portes
Vogade : voir à Pierre-Vogade
Rue Von-Derwies (rue) : anciennement rue Valrose. Porte le nom de Paul von Derwies (1826-1881) pour qui fut construit le château de Valrose. Va de l’avenue Borriglione 40 à l’avenue Saint-Lambert 111. Code postal : 06100.
↑Marguerite et Roger Isnard, Per Carriera : dictionnaire historique et anecdotique des rues de Nice, 1983, 3e édition 2003, 359 pages, Serre éditeur, Nice, (ISBN2-86410-388-5), page 24 : notice « Ansaldi (avenue) ».
↑Nice-Matin du dimanche 8 avril 2012, page 26, Patrice Maggio, « Ansaldi, un prince niçois de pacotille ».
↑André Bonet, Yves Klein: le peintre de l'infini, Monaco, Éditions du Rocher, , 170 p. (ISBN9 782268 060279), p. 13, 14 et 29
Marguerite Isnard et Roger Isnard, Per Carriera : Dictionnaire anecdotique et historique des rues de Nice, Nice, Serre éditeur, , 1re éd., 305 p. (ISBN2-86410-037-1 et 978-2-86410-037-9).
Marguerite Isnard et Roger Isnard, Per Carriera : Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Nice, Nice, Serre éditeur, , 2e éd. (1re éd. 1983), 319 p. (ISBN2-86410-227-7 et 978-2-86410-227-4).
Marguerite Isnard et Roger Isnard, Per Carriera : Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Nice, Nice, Serre éditeur, , 3e éd. (1re éd. 1983), 359 p. (ISBN2-86410-388-5 et 978-2-86410-388-2).