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Article du jour modifier

 
Theo Angelopoulos en 2009

... le 27 avril 1935, naissait Theo Angelopoulos.

Theódoros Angelópoulos (grec moderne : Θεόδωρος Αγγελόπουλος), plus connu à l’étranger sous le nom de Theo Angelopoulos, est un cinéaste grec, lauréat de la Palme d'or du Festival de Cannes et du Lion d'argent au Festival de Venise, né à Athènes le et mort au Pirée le . Il est resté célèbre pour des films tels que Le Voyage des comédiens, Le Regard d'Ulysse ou L'Éternité et Un Jour.

Après des études de droit à Athènes, Theo Angelopoulos rejoint Paris en 1961 où il entre à l’Institut des hautes études cinématographiques. Il en est renvoyé pour « non-conformisme » dès la fin de sa première année. De retour à Athènes, il devient d'abord critique cinématographique. Après un court métrage (L’Émission), il réalise en 1970 son premier long métrage, La Reconstitution, récompensé par les prix de meilleur film et meilleur réalisateur au festival de Thessalonique.

Ses premiers films, de 1970 à 1980 sont marqués par une dénonciation politique, principalement de la dictature en Grèce (Jours de 36 1972, Le Voyage des comédiens 1975 et Les Chasseurs 1977). Le deuxième cycle cinématographique d'Angelopoulos (Voyage à Cythère 1983, L’Apiculteur 1986 et Paysage dans le brouillard 1988) quitte le récit collectif fondé sur l'histoire de se tourner vers l'expérience individuelle et intérieure, avec cependant encore un discours politique en arrière-plan. Dans un troisième cycle (Le Pas suspendu de la cigogne, Le Regard d’Ulysse et L'Éternité et Un Jour), Theo Angelopoulos ouvre son discours, jusque-là grec, au monde.

Dans l'après-midi du , alors qu'il tourne, dans une rue d'une banlieue du Pirée, le dernier volet de sa dernière trilogie, L'Autre Mer, il est renversé par un motard de la police (pas en service au moment des faits). Il succombe à ses blessures.

Calendrier de l'année modifier

Janvier modifier

Janvier

... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

1er modifier

... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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Nikolaos Gysis.

... le 4 janvier 1901 mourrait à Munich le peintre Nikolaos Gysis.

Né le 1er mars 1842, et issu d'une famille pauvre de Tinos, il étudia à l'École des Beaux Arts d'Athènes de 1854 à 1864 puis, de 1865 à 1872, à l'Académie des beaux-arts de Munich. Après un long voyage en Grèce et en Asie mineure, il s'installa définitivement à Munich où il enseigna à l'Académie des beaux-arts. Il enseigna aussi l'École des Beaux Arts d'Athènes.

Nikolaos Gysis peignit surtout des tableaux de genre, avec pour thèmes principaux la famille et les enfants, le plus souvent dans leur vie quotidienne. Lors de son premier retour en Grèce, qui fut sa période orientalisante, il fit quelques tableaux évoquant la période de la domination ottomane, comme Après la chute de Psara ou L'École secrète qui joua un très grand rôle dans la diffusion du mythe des écoles secrètes, forme de résistance à l'occupation ottomane. Il représenta aussi des thèmes considérés comme typiquement grecs, comme son Carnaval à Athènes ou ses Fiançailles. Il s'essaya aux thèmes antiques, mais il ne put mener à bien que quelques œuvres, et la plupart du temps uniquement sous la forme d'allégories comme son Histoire.

Après 1886, alors pourtant qu'il était professeur aux Beaux-Arts de Munich, ses œuvres se firent de moins en moins réalistes et peu à peu impressionnistes. Sur la fin de sa vie, il se tourna vers des thèmes religieux, ainsi que le montre son Triomphe de la Religion.

Il mourut à Munich d'une leucémie le 4 janvier 1901. Il est enterré dans cette ville.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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Constantin Ier de Grèce

… le 11 janvier 1923 mourait Constantin Ier de Grèce, roi des Hellènes de 1913 à 1917, puis de 1920 à 1922.

Né le , le diadoque Constantin suivit, très jeune, une formation militaire, en Grèce puis en Allemagne, qui le conduisit à exercer d'importantes fonctions dans l'armée hellène. En 1897, il fut ainsi commandant en chef lors de la première guerre gréco-turque et ce fut largement à lui que l’opinion publique hellène imputa la cuisante défaite nationale. Devenu très impopulaire au sein de l’armée, Constantin dut démissionner de ses fonctions à la suite du « coup de Goudi » de 1909 et quitter, durant quelque temps, la Grèce. Malgré tout, son exil fut provisoire et le diadoque retrouva ses fonctions de commandant en chef grâce au Premier ministre Elefthérios Venizélos, en 1911. Après avoir réorganisé l’armée, le prince héritier conduisit, en 1912-1913, les forces de son pays lors des deux guerres balkaniques et participa à la conquête de Thessalonique, de la Macédoine et d’une partie de l’Épire. Le royaume hellène vit sa superficie et sa population multipliées par deux. Son père, le roi Georges Ier, fut assassiné, le 18 mars 1913, à Thessalonique, et Constantin monta sur le trône.

Pendant la Première Guerre mondiale, le désaccord de Constantin avec son Premier ministre Elefthérios Venizélos à propos de l’entrée de la Grèce dans le conflit aux côtés de la Triple-Entente conduisit le royaume hellène au « Schisme national ». En 1915, le roi força Venizélos à démissionner mais ce fut finalement lui qui dut quitter le pouvoir en 1917, après que les forces alliées l’ont menacé de bombarder Athènes. Constantin Ier laissa le trône à son deuxième fils, Alexandre Ier, et s’installa en Suisse. Après la mort du jeune roi, la défaite de Venizélos aux élections législatives de 1920 et un plébiscite en faveur du retour de Constantin, celui-ci reprit la tête de son pays. Cependant, le désastre militaire hellène durant la deuxième guerre gréco-turque (1919-1922) conduisit le souverain à abdiquer définitivement en 1922 et à partir en exil en Italie, où il mourut peu temps après le . Son fils aîné, Georges II, lui succéda alors brièvement avant de renoncer, à son tour, à la couronne.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... le 13 janvier 1932 s'éteignait la reine Sophie de Prusse, veuve du roi Constantin Ier de Grèce.

 
La reine Sophie de Grèce
par Georgios Jakobides (1915).

Sophie de Prusse (en allemand : Sophie von Preußen et grec moderne : Σοφία της Ελλάδας), princesse de Prusse et d'Allemagne puis, par son mariage, reine des Hellènes, est née à Potsdam, en Prusse, le , et est décédée à Francfort-sur-le-Main, le . Elle est reine de Grèce de 1913 à 1917 puis de 1920 à 1922.

Issue de la Maison de Hohenzollern et fille du Kaiser Frédéric III d'Allemagne, Sophie reçoit une éducation libérale et anglophile, sous l’égide de sa mère, Victoria du Royaume-Uni. Moins d’un an après la mort de son père, en 1889, la jeune fille épouse le futur Constantin Ier de Grèce et part s’installer à Athènes. Elle donne naissance à une nombreuse famille et s’investit dans l’aide aux démunis, suivant ainsi les traces de sa belle-mère, la reine Olga. C’est cependant durant les guerres auxquelles la Grèce est confrontée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle que Sophie se montre la plus active : la jeune femme met alors en place des hôpitaux de campagne, supervise la formation des infirmières grecques et soigne elle-même des blessés.

Cependant, Sophie n’est guère récompensée pour ses actions : si sa grand-mère, la reine Victoria du Royaume-Uni, lui confère la Croix rouge royale après la Guerre de Trente Jours, les Grecs lui reprochent ses liens avec l’Allemagne. Son frère, le Kaiser Guillaume II est en effet allié à l’Empire ottoman et s’oppose ouvertement à la réalisation de la Grande Idée. Pendant la Première Guerre mondiale, les liens de parenté unissant Sophie et le Kaiser provoquent en outre la suspicion de l’Entente, qui reproche à Constantin Ier sa neutralité dans le conflit.

Après avoir imposé un blocus à la Grèce et soutenu le gouvernement rebelle d’Elefthérios Venizélos, provoquant ainsi le Schisme national, la France et ses alliés destituent Constantin en juin 1917. Sophie et sa famille partent alors en exil en Suisse tandis que le deuxième fils du couple royal les remplace sur le trône sous le nom d’Alexandre Ier. Dans le même temps, la Grèce entre en guerre aux côtés de l’Entente, ce qui lui permet de s’agrandir considérablement.

Après le déclenchement de la Guerre gréco-turque en 1919 et la disparition prématurée d’Alexandre Ier l’année suivante, les vénizélistes abandonnent le pouvoir et la famille royale revient à Athènes. La défaite de l’armée grecque face aux troupes turques de Mustafa Kemal oblige cependant Constantin à abdiquer en faveur de son fils aîné, le roi Georges II. Sophie et sa famille retrouvent alors le chemin de l’exil et s’installent en Italie. Constantin trouve la mort (1921) et Sophie meurt d’un cancer en Allemagne en 1932.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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Theo Angelopoulos en 2009

... le 24 janvier 2012, mourrait Theo Angelopoulos.

Theódoros Angelópoulos (grec moderne : Θεόδωρος Αγγελόπουλος), plus connu à l’étranger sous le nom de Theo Angelopoulos, est un cinéaste grec, lauréat de la Palme d'or du Festival de Cannes et du Lion d'argent au Festival de Venise, né à Athènes le et mort au Pirée le . Il est resté célèbre pour des films tels que Le Voyage des comédiens, Le Regard d'Ulysse ou L'Éternité et Un Jour.

Après des études de droit à Athènes, Theo Angelopoulos rejoint Paris en 1961 où il entre à l’Institut des hautes études cinématographiques. Il en est renvoyé pour « non-conformisme » dès la fin de sa première année. De retour à Athènes, il devient d'abord critique cinématographique. Après un court métrage (L’Émission), il réalise en 1970 son premier long métrage, La Reconstitution, récompensé par les prix de meilleur film et meilleur réalisateur au festival de Thessalonique.

Ses premiers films, de 1970 à 1980 sont marqués par une dénonciation politique, principalement de la dictature en Grèce (Jours de 36 1972, Le Voyage des comédiens 1975 et Les Chasseurs 1977). Le deuxième cycle cinématographique d'Angelopoulos (Voyage à Cythère 1983, L’Apiculteur 1986 et Paysage dans le brouillard 1988) quitte le récit collectif fondé sur l'histoire de se tourner vers l'expérience individuelle et intérieure, avec cependant encore un discours politique en arrière-plan. Dans un troisième cycle (Le Pas suspendu de la cigogne, Le Regard d’Ulysse et L'Éternité et Un Jour), Theo Angelopoulos ouvre son discours, jusque-là grec, au monde.

Dans l'après-midi du , Theo Angelopoulos tourne, dans une rue d'une banlieue du Pirée, le dernier volet de sa dernière trilogie, L'Autre Mer, consacré à la crise grecque. En la traversant durant le tournage, il est renversé par un motard de la police (pas en service au moment des faits). Le choc provoque de graves blessures crâno-encéphaliques, une hémorragie interne et plusieurs fractures. Il est transporté d'urgence dans un hôpital où il succombe à ses blessures.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.


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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.


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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

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... le 30 janvier 1833, arrivait en Grèce le roi Othon Ier.

 
Le roi Othon avec le décret de création de la Banque nationale de Grèce (1841). Tableau de Nikiforos Lytras, v. 1898.

Othon Ier de Grèce, prince de Bavière puis roi de Grèce, est né au Schloss Mirabell de Salzbourg, en actuelle Autriche, le , et mort à Bamberg, en Bavière, le . Membre de la maison de Wittelsbach, il est choisi par les grandes puissances pour devenir le premier souverain de la Grèce moderne en 1832. Autoritaire et incapable d'assurer la continuité de sa dynastie, il est renversé par les révolutionnaires hellènes en 1862.

Élu roi de Grèce à l'âge de dix-sept ans, Othon Ier prend la tête d'un pays marqué par quatre siècles d'occupation ottomane et ravagé par une guerre d'indépendance qui s'est étalée sur presque dix ans. Le souverain mène une politique autoritaire, censée rendre à la Grèce sa gloire antique. Sous son égide, et sous celle des fonctionnaires bavarois qui l'entourent, d'importants travaux sont réalisés dans le royaume et Athènes prend progressivement les traits d'une capitale moderne.

La politique du monarque est rapidement mise à mal par les graves difficultés financières que connaît la Grèce. Très lourdement endetté, le pays se révèle incapable de rembourser ce qu'il doit à ses créanciers. Othon ne parvient pas à profiter de ces rivalités franco-anglo-russes pour réaliser la « Grande Idée ». La politique maladroite du souverain aboutit au contraire à de nouvelles humiliations, comme lors de l'Incident Don Pacifico (1850) ou durant la guerre de Crimée (1854-1857).

Fragilisé par le contexte financier et international, Othon doit accepter une constitution après la révolution de 1843. Il parvient néanmoins à maintenir son pouvoir personnel grâce au soutien du Premier ministre Ioannis Kolettis. L'incapacité du roi et de sa femme (la princesse Amélie d'Oldenbourg, épousée en 1836) à donner naissance à un héritier orthodoxe cause leur perte. Confrontés à cette impasse dynastique et déçus par l'incapacité du souverain à agrandir son royaume, les Grecs se révoltent en 1862. Destitués, Othon et son épouse s'exilent en Bavière tandis que le pays se lance à la recherche d'un nouveau monarque. Remplacé par le prince Guillaume de Danemark en 1863, Othon meurt à l'âge de 52 ans, en 1867.

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... en janvier 1822

 
La première constitution de la Grèce moderne.

L'Assemblée nationale d'Épidaure proclama l'indépendance de la Grèce le 1er janvier (12 janvier du calendrier grégorien). Elle donna aussi au pays sa première constitution de l'ère moderne.

Le 20 décembre (julien) 1821 (1er janvier 1822 grégorien), cinquante-neuf représentants des régions engagées dans la lutte contre l'occupation ottomane se réunirent à Piada (aujourd'hui Néa Epídavros) près de l'ancienne Épidaure. Ils venaient de toute la Grèce : Morée, « Grèce du Levant », « Grèce de l'Occident » et îles d'armateurs (Hydra, Psara et Spetses). Quelques phanariotes étaient aussi présents. Les représentants étaient divisés en deux partis : celui des « politiques » et celui des « capitaines ». Le parti des politiques dirigé par Aléxandros Mavrokordátos était plutôt libéral, défendant le concept de la souveraineté nationale, à l'occidentale. Le parti des capitaines dominé par Theódoros Kolokotrónis et Dimítrios Ypsilántis penchait pour la mise en place d'un pouvoir autoritaire, voire dictatorial le temps du conflit.

Le 1er janvier, l'indépendance fut proclamée. Le 13 janvier, une constitution inspirée du modèle américain fut mise en place. Le 15 janvier, un Sénat (pouvoir législatif) et un Conseil exécutif furent désignés. Le 30 janvier, les nouvelles instances gouvernementales s'installèrent à Corinthe.

Février modifier

Février

 
Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

1er modifier

 
Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

2 modifier

 
Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

3 modifier

 
Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

4 modifier

 
Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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... en février 1897

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dimítrios Vikélas

... le 15 février 1835 naissait, à Ermoúpoli sur l’île de Syros, Dimítrios Vikélas.

Dimítrios Vikélas (grec moderne : Δημήτριος Βικέλας) (5 février (julien) / 7 juillet (julien) / ) était un homme d'affaires et un écrivain grec ; il fut le premier président du Comité international olympique.

Après une enfance passée en Grèce et à Constantinople, il fit fortune à Londres, où il se maria. Il s'installa ensuite à Paris en raison de l'état de santé de son épouse. Ayant abandonné les affaires, il se consacra à la littérature et à l'histoire et publia de nombreux romans, nouvelles et essais qui lui valurent une réputation certaine. Il fréquenta les milieux littéraires et artistiques. Sa renommée et le fait qu'il habitait Paris, le firent choisir pour représenter la Grèce à un congrès convoqué par Pierre de Coubertin en juin 1894 qui décida de rétablir les Jeux olympiques et de les organiser à Athènes en 1896, désignant Dimítrios Vikélas pour présider le comité d'organisation. Après les Jeux, il se retira à Athènes où il mourut en 1908.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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... en février 1897

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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... le 27 février 1921, la princesse Élisabeth de Roumanie épousait le futur Georges II de Grèce.

 
Georges de Grèce et Élisabeth de Roumanie en 1921.

Élisabeth de Roumanie (en roumain : Elisabeta a României et grec moderne : Ελισάβετ της Ρουμανίας), princesse de Roumanie puis, par son mariage, reine des Hellènes, est née le à Sinaia, en Roumanie, et décédée le à Cannes, en France. Membre de la maison de Hohenzollern-Sigmaringen, elle est l'épouse du roi des Hellènes Georges II, avec lequel elle règne sur la Grèce de 1922 à 1924.

Élevée par son grand-oncle et sa grand-tante, le roi Carol Ier de Roumanie et la reine Élisabeth de Wied, la princesse Élisabeth est mariée à l'héritier du trône de Grèce en 1921. Elle n'éprouve pour lui aucune passion et souffre des turbulences politiques que traverse son pays d'adoption après la Première Guerre mondiale. Propulsée sur le trône de Grèce avec son époux en 1922, la jeune femme s'implique dans l'aide aux réfugiés qui affluent à Athènes du fait de la Grande Catastrophe. Le climat révolutionnaire a cependant raison de sa santé et elle quitte le royaume hellène avec Georges II en décembre 1923. Le couple royal s'installe alors à Bucarest, où il apprend finalement sa déposition le .

Élisabeth et Georges II finissent par divorcer en 1935. La princesse se constitue alors une importante fortune, grâce aux conseils financiers avisés de son amant, le banquier grec Alexandros Scavani. Après la mort de sa mère, la reine Marie de Saxe-Cobourg-Gotha, en 1938, et jusqu'à la déposition de Carol II, en 1940, elle joue le rôle de première dame de Roumanie. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Élisabeth noue des liens étroits avec le parti communiste roumain et complote ouvertement contre son neveu, le jeune Michel Ier, ce qui lui vaut le surnom de « tante rouge ». Elle n'en est pas moins chassée de Roumanie au moment de la proclamation de la république populaire, en 1947. Exilée, la princesse s'installe en Suisse, puis à Cannes, dans le sud de la France. Elle noue alors une relation amoureuse avec Marc Favrat, un jeune homme de trente ans son cadet qu'elle finit par adopter avant de s'éteindre, en 1956.

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Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

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Drapeau de la Crète autonome

... en février 1897

La Crète devint autonome.

Dès février 1895, des représentants des diverses provinces crétoises se réunirent à La Canée. Ils rédigèrent un memorandum à destination de la Grèce et des grandes puissances pour exiger un gouverneur chrétien pour l'île et un contrôle des autorités ottomanes par les grandes puissances.

Le 1er février 1897, après des massacres de Chrétiens par les Musulmans, une flotte et des troupes grecques furent envoyées en Crète avec pour objectif le rattachement de l'île à la Grèce. L'Empire ottoman demanda alors à son tour l'intervention des puissances européennes. La France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Russie, l'Autriche et l'Allemagne envoyèrent des navires de guerre et des contingents à La Canée, Candie, Réthymnon et Sitia. Elles refusèrent de reconnaître le rattachement de la Crète à la Grèce et exigèrent par un ultimatum le retrait des troupes grecques. Elles proposèrent ensuite la solution de l'autonomie pour l'île le 17 février 1897. Georges de Grèce, le second fils du roi de Grèce fut nommé Haut-Commissaire en Crète.

Mars modifier

Mars

 
Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

1er modifier

 
Nikolaos Gysis.

... le 1er mars 1842 naissait le peintre Nikolaos Gysis.

Né le 1er mars 1842, et issu d'une famille pauvre de Tinos, il étudia à l'École des Beaux Arts d'Athènes de 1854 à 1864 puis, de 1865 à 1872, à l'Académie des beaux-arts de Munich. Après un long voyage en Grèce et en Asie mineure, il s'installa définitivement à Munich où il enseigna à l'Académie des beaux-arts. Il enseigna aussi l'École des Beaux Arts d'Athènes.

Nikolaos Gysis peignit surtout des tableaux de genre, avec pour thèmes principaux la famille et les enfants, le plus souvent dans leur vie quotidienne. Lors de son premier retour en Grèce, qui fut sa période orientalisante, il fit quelques tableaux évoquant la période de la domination ottomane, comme Après la chute de Psara ou L'École secrète qui joua un très grand rôle dans la diffusion du mythe des écoles secrètes, forme de résistance à l'occupation ottomane. Il représenta aussi des thèmes considérés comme typiquement grecs, comme son Carnaval à Athènes ou ses Fiançailles. Il s'essaya aux thèmes antiques, mais il ne put mener à bien que quelques œuvres, et la plupart du temps uniquement sous la forme d'allégories comme son Histoire.

Après 1886, alors pourtant qu'il était professeur aux Beaux-Arts de Munich, ses œuvres se firent de moins en moins réalistes et peu à peu impressionnistes. Sur la fin de sa vie, il se tourna vers des thèmes religieux, ainsi que le montre son Triomphe de la Religion.

Il mourut à Munich d'une leucémie le 4 janvier 1901. Il est enterré dans cette ville.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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... le 3 mars 1900 naissait Georges Séféris à Smyrne, l'un des plus grands poètes grecs contemporains et Prix Nobel de littérature en 1963.

Son père, professeur de droit, était aussi poète et traducteur en grec de Lord Byron. Sa famille émigra à Paris en 1918. Georges Séféris y fit des études de droit puis entra dans la carrière diplomatique pour la Grèce. Il commença à publier ses premiers poèmes dans les années 1920. Son recueil Strophe de 1931 lui amena la reconnaissance. Il s'installa à Athènes dans les années 1930 et s'y lia d'amitié avec les cercles littéraires d'avant-garde. Il traduisit aussi de nombreux poètes en grec. Il s'exila pendant la seconde guerre mondiale. Il termina sa carrière diplomatique comme ambassadeur à Londres de 1956 à 1962. Il reçut le Prix Nobel de littérature l'année suivante. Le 28 mars 1969, il critiqua ouvertement sur les ondes de la BBC la dictature des colonels. Il mourut à Athènes le 20 septembre 1971. Ses funérailles furent l'occasion d'une manifestation contre le régime.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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... le 6 mars 1994 mourait Melina Mercouri (grec : Μελίνα Μερκούρη) à Athènes. Actrice, chanteuse et femme politique, elle a joué au théâtre pour Marcel Achard, au cinéma pour Michael Cacoyannis dans Stélla ou pour son mari Jules Dassin dans Jamais le dimanche qui la rendit mondialement célèbre avec un prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes, ainsi que dans Topkapi.

Engagée contre la dictature des colonels, elle dut s'exiler et fut déchue de sa nationalité grecque. À son retour, après la chute des colonels, elle fut élue du PASOK au parlement hellénique et ministre de la culture du gouvernement d'Andréas Papandréou. Elle lutta pour le retour des marbres du Parthénon à Athènes.

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... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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... le 18 mars 1996 Odysséas Elýtis mourait à Athènes. Un des plus grands poètes grecs contemporains, il obtint le prix Nobel de littérature en 1979.

De son vrai nom Odysséas Alepoudhélis, né à naissait à Héraklion en Crète le 2 novembre 1911, il passa une enfance heureuse au sein d'une famille industrielle aisée originaire de Lesbos. Adolescent, il dévora des livres. Il eut une révélation en découvrant la poésie de Constantin Cavafy puis les surréalistes. Il participa au développement de ce courant littéraire dans l'Athènes des années 1930, tout en faisant ses études de droit et de philosophie.

Officier, il prit part à la guerre italo-grecque de 1940. Blessé puis atteint du typhus, il faillit alors mourir. Pendant l'occupation, il participa à la résistance intellectuelle. À la libération, il prit la direction des programmes de la radio publique, mais il cessa d'écrire pendant la guerre civile puis il émigra à Paris en 1948. Il revint en Grèce en 1951. Axion Esti publié en 1960 lui apporta la gloire internationale. Míkis Theodorákis le mit en musique en 1964.

Il s'exila à nouveau à Paris pendant la dictature des colonels. À la chute de la dictature, il prit pendant trois ans la direction de la télévision nationale. Prix Nobel de littérature en 1979, honoré dans son pays et à travers le monde, il ne cessa d'écrire. Il mourut d'un arrêt cardiaque chez lui le 18 mars 1996.

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54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Hermès portant Dionysos enfant (Praxitèle)

... le 24 mars 2004, le musée archéologique d'Olympie, rénové, rouvrait ses portes aux visiteurs.

Le musée archéologique d'Olympie est un des principaux musées de Grèce. Il dépend du ministère grec de la culture (septième éphorat des antiquités préhistoriques et classiques). Il fut le premier musée créé hors de la capitale. Il abrite les découvertes faites sur l'Altis, le site d'Olympie : des objets allant de la préhistoire à l'époque romaine voire jusqu'aux VIe – VIIe siècles. Ses pièces maîtresses sont l’Hermès portant Dionysos enfant de Praxitèle, les frontons du temple de Zeus, la « Victoire de Paionios » ainsi que la coupe ayant appartenu à Phidias. L'ampleur de sa collection de bronzes antiques en fait la plus importante du monde. Le musée est installé dans deux bâtiments : le bâtiment principal avec douze salles d'exposition (organisées de façon thématique et chronologique : époques préhistorique, géométrique et archaïque, céramique archaïque et classique, sculpture monumentale en terre cuite, frontons et métopes du temple de Zeus, « Victoire de Paionios », atelier de Phidias, Hermès de Praxitèle, époque hellénistique, époque romaine, statuaire romaine et dernières années du sanctuaire) et une aile avec les services aux visiteurs. Un autre bâtiment, consacré à la boutique du musée, est un peu à l'écart, à mi-chemin du site archéologique.

25 modifier

 
Le Serment à Aghia Lavra.
Ce tableau de Theodoros P. Vryzakis commémore le soulèvement du 25 mars 1821.

... le 25 mars 1821 est la date officielle du début de la guerre d'indépendance grecque et est à l'origine d'une des deux fêtes nationales de Grèce.

Selon la version traditionnelle, ce jour-l, au monastère d'Aghia Lavra à Kalavryta au nord du Péloponnèse, le métropolite de Patras, Germanós, aurait fait miraculeusement fuir une soixantaine de cavaliers ottomans venus l'arrêter, grâce aux 1 500 paysans grecs présents qui auraient poussé le cri de guerre des Maccabées : « La Victoire de Dieu ». Puis, il célébra un « Te Deum » pour les 5 000 paysans qui s'étaient peu à peu rassemblés. Il prêcha ensuite l'insurrection contre les Turcs, déclarant que les Grecs devraient se battre seuls, sans compter sur l'aide des grandes puissances. Il donna alors une absolution préemptive à la foule, distribua aux divers chefs présents (dont Theódoros Kolokotrónis) les tâches qu'ils avaient à accomplir et envoya tout le monde au combat.

Le principal propagateur de cette version est François Pouqueville qui fut longtemps une des « sources » de l'histoire de la guerre d'indépendance avec son immense ouvrage Histoire de la régénération de la Grèce... Le récit est « trop beau pour être vrai ». Il rattache très fortement les débuts de l'insurrection aux fondamentaux chrétiens. Le 25 mars est en effet la fête de l'Annonciation (Ευαγγελισμός, Evangelismos en grec). Les faits se déroulent dans un monastère. Un miracle rappelant les Maccabées sauve Germanos. La foule atteint les 5 000 personnes, nombre de ceux ayant écouté le Sermon sur la montagne. Dans la construction du récit, insister sur la religion est un moyen d'insister sur la différence avec les Ottomans musulmans. Par ailleurs, Kolokotrónis ne pouvait se trouver à Kalavryta à ce moment. Enfin, le métropolite fait preuve d'une immense capacité d'analyse géostratégique, que seuls des auteurs postérieurs pouvaient avoir. Les faits furent un peu différents.

Cette date du correspond au calendrier julien, par conséquent, il s'agit du dans le calendrier grégorien, mais, en raison de son importance symbolique, c'est le 25 mars qui est conservé de nos jours.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

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Un rabbin dans le cimetière juif de Salonique.

... en mars 1943

La déportation des Juifs de Thessalonique.

54 000 Sépharades de Salonique furent expédiés dans les camps d'extermination nazis. Près de 98 % de la population juive totale de cette ville connut la mort durant la guerre. Seul le judaïsme polonais connut un taux de destruction plus important.

Pour mener à bien cette opération, les autorités nazies dépêchèrent sur place Alois Brunner et Dieter Wisliceny, qui arrivèrent le 6 février 1943. Ils firent appliquer les lois de Nuremberg dans toute leur rigueur, imposant le port de l'étoile jaune et rassemblant les Juifs fin février 1943]dans trois ghettos (Kalamaria, Singrou et Vardar/Agia Paraskevi). Le 15 mars partit le premier convoi. Chaque train emportait de 1 000 à 4 000 Juifs principalement vers Birkenau, mais aussi Treblinka voire Sobibor. La population juive de Salonique était tellement nombreuse que la déportation dura plusieurs mois pour s'achever, le 7 août, avec la déportation du grand-rabbin Tzvi Koretz avec d'autres notables dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. Cette hécatombe contraste avec le cas d'Athènes, où une grande partie des Juifs parvint à échapper à la mort.

Le 7 octobre 1944, les Juifs saloniciens lancèrent avec d'autres Juifs grecs un soulèvement planifié à l'avance, prenant d'assaut les crématoires et tuant une vingtaine de gardes. Une bombe fut lancée dans le fourneau du crématoire III, détruisant le bâtiment. Avant d'être massacrés par les Allemands, les insurgés entonnèrent un chant des partisans grecs et l'hymne national grec.

Avril modifier

Avril

 
La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

1er modifier

 
Georges II de Grèce

... le 1er avril 1947 mourait Georges II de Grèce, roi des Hellènes de 1922 à 1923 puis de 1935 à 1941/1944 et enfin de 1946 à 1947.

Né le 19 juillet 1890, sa jeunesse fut marquée par l’effervescence nationaliste que connut le royaume hellène au tournant des XIXe et XXe siècles. Après la défaite de la Grèce face à l’Empire ottoman en 1897, la famille royale fut accusée d’être responsable de l’échec de la Grande Idée et l’opposition républicaine augmenta jusqu’au coup de Goudi de 1909. Les victoires des Guerres balkaniques (1912-1913) rapprochèrent quelque temps la famille royale de son peuple mais l’éclatement de la Première Guerre mondiale renversa la situation. Après l'implication indirecte du pays dans le conflit mondial en 1915, le Schisme national entraîna une rupture violente le Premier ministre Elefthérios Venizélos et le roi Constantin Ier qui dut s'exiler en 1917.

Jugé tout aussi germanophile que son père parce qu’il avait été formé militairement en Allemagne, le prince Georges dut lui aussi quitter la Grèce tandis que son frère cadet, le jeune Alexandre Ier, montait sur le trône. En février 1921, il épousa l’une de ses cousines éloignées, la princesse Élisabeth de Roumanie. Peu de temps après, son frère mourut à Athènes et une nouvelle crise politique secoua la Grèce, permettant à Constantin Ier de reprendre le pouvoir. La restauration de l’ancien souverain fut toutefois éphémère puisque la défaite de la Grèce face aux forces turques de Mustafa Kemal, l’obligea à abdiquer en faveur de son fils aîné en 1922.

Bien que reconnu roi des Hellènes, Georges II fut écarté de la direction des affaires et il dut composer avec une classe politique de plus en plus radicale. Après la victoire électorale des républicains en décembre 1923, le souverain et sa famille partirent une nouvelle fois en exil. D’abord réfugié dans la patrie de sa femme, Georges s’installa au Royaume-Uni en 1932. Vers la même époque, son couple se désagrégea et son épouse obtint le divorce en 1935. Le retour en force des monarchistes en Grèce et la tenue d’un référendum demandèrent son retour à la tête du pays le 3 novembre. De nouveau roi des Hellènes, Georges II tenta de normaliser la situation politique de son pays mais la montée en force des communistes l'incita finalement à soutenir le coup d’État du général Ioannis Metaxas et la mise en place du Régime du 4-Août (1936).

Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale fut une nouvelle épreuve. Après un important succès contre les forces italiennes en 1940-1941, le pays fut envahi par les armées de l’Axe en avril-mai 1941. De nouveau exilé, Georges II prit la tête des forces grecques libres. Cependant, ses liens avec la dictature de Metaxas affaiblirent son image auprès de la résistance grecque, très marquée à gauche. Devant l’opposition qu’il suscitait, Georges II accepta de ne pas rentrer en Grèce dès la Libération et de confier le pouvoir à une régence en 1944. Les portes de son pays lui étant à nouveau fermées, le souverain envisagea de s’installer définitivement au Royaume-Uni mais le succès des monarchistes au référendum institutionnel du 27 septembre 1946 l’en dissuada finalement.

De retour en Grèce, Georges II trouva un pays ravagé par l’occupation et la guerre civile qui l'avait suivie. Il reprit alors les affaires du pays mais mourut seulement sept mois après la restauration de la monarchie, le .

2 modifier

 
La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Couverture du programme des Jeux olympiques d'été de 1896 à Athènes.

... le 6 avril 1896, le roi Georges Ier de Grèce déclarait ouverts les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne, à Athènes.

Ils se déroulent du 6 au , neuf jours de compétition pendant lesquels 241 sportifs s'affrontent dans neuf sports différents pour un total de 122 médailles.

C'est à l'issue d'un congrès organisé en 1894 à Paris par le Français Pierre de Coubertin qu'est créé le Comité international olympique (CIO) et que la capitale grecque est désignée première ville hôte de l'événement olympique. Ce congrès décide également de l'exclusion des sportifs professionnels et des femmes au profit de l'amateurisme et du genre masculin.

Bien que le nombre de sportifs présents soit assez faible comparé aux chiffres des éditions plus récentes, c'est la première fois qu'une réunion sportive rassemble autant de participants. Et malgré l'absence de quelques-uns des meilleurs athlètes de l'époque, les Jeux connaissent un vif succès auprès du public grec. Pour les Grecs, la victoire de leur compatriote Spyrídon Loúis dans le marathon en est l'un des grands moments. Le sportif le plus titré à l'issue des neuf jours de compétition est le lutteur et gymnaste allemand Carl Schuhmann, sacré champion olympique à quatre reprises.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

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La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

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Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

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La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

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La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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Theo Angelopoulos en 2009

... le 27 avril 1935, naissait Theo Angelopoulos.

Theódoros Angelópoulos (grec moderne : Θεόδωρος Αγγελόπουλος), plus connu à l’étranger sous le nom de Theo Angelopoulos, est un cinéaste grec, lauréat de la Palme d'or du Festival de Cannes et du Lion d'argent au Festival de Venise, né à Athènes le et mort au Pirée le . Il est resté célèbre pour des films tels que Le Voyage des comédiens, Le Regard d'Ulysse ou L'Éternité et Un Jour.

Après des études de droit à Athènes, Theo Angelopoulos rejoint Paris en 1961 où il entre à l’Institut des hautes études cinématographiques. Il en est renvoyé pour « non-conformisme » dès la fin de sa première année. De retour à Athènes, il devient d'abord critique cinématographique. Après un court métrage (L’Émission), il réalise en 1970 son premier long métrage, La Reconstitution, récompensé par les prix de meilleur film et meilleur réalisateur au festival de Thessalonique.

Ses premiers films, de 1970 à 1980 sont marqués par une dénonciation politique, principalement de la dictature en Grèce (Jours de 36 1972, Le Voyage des comédiens 1975 et Les Chasseurs 1977). Le deuxième cycle cinématographique d'Angelopoulos (Voyage à Cythère 1983, L’Apiculteur 1986 et Paysage dans le brouillard 1988) quitte le récit collectif fondé sur l'histoire de se tourner vers l'expérience individuelle et intérieure, avec cependant encore un discours politique en arrière-plan. Dans un troisième cycle (Le Pas suspendu de la cigogne, Le Regard d’Ulysse et L'Éternité et Un Jour), Theo Angelopoulos ouvre son discours, jusque-là grec, au monde.

Dans l'après-midi du , alors qu'il tourne, dans une rue d'une banlieue du Pirée, le dernier volet de sa dernière trilogie, L'Autre Mer, il est renversé par un motard de la police (pas en service au moment des faits). Il succombe à ses blessures.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

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... le 29 avril naissait et disparaissait, à soixante-dix ans d'écart, dans la même ville Constantin Cavafy.

Né à Alexandrie en Égypte en 1863, Constantin Cavafy est un des plus grands poètes grecs contemporains. Fils de commerçants grecs originaires de Constantinople, il quitta Alexandrie pour Liverpool l'année de ses sept ans, après la mort de son père. Après un court séjour à Constantinople dans les années 1880, il revint dans sa ville natale qu'il ne quitta plus. Fonctionnaire du ministère des travaux publics, il écrivit de nombreux poèmes, la plupart après avoir passé la quarantaine, qu'il publia dans des revues ou fit circuler parmi ses amis, mais sans réaliser aucun recueil. Il ne fut pas connu du grand public de son vivant, mais il était admiré dans les cercles littéraires. Il influença la génération des poètes des années 1920-1930.

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La Sortie de Missolonghi, par Theodoros P. Vryzakis

... en avril 1826

La Sortie (Exodos) lors du quatrième siège de Missolonghi

Depuis janvier 1826, la ville était assiégée par Ibrahim Pacha. Début avril, la situation devint désespérée. Ils mourraient de faim s’ils restaient dans Missolonghi. Il risquaient la mort s’ils tentaient une sortie, mais ils avaient une chance de survivre. Sur les 9 000 habitants, environ 7 000 étaient assez forts pour prendre part à la tentative. Ceux qui restaient derrière, blessés trop gravement pour pouvoir se déplacer et quelques derniers défenseurs prêts à se sacrifier, connaissaient leur sort.

Dans la nuit du 22 au 23 avril (10 avril du calendrier julien), trois colonnes furent organisées, avec les hommes en avant et en arrière-garde et au milieu, vieillards, femmes et enfants. Tous étaient armés. Les assiégés chargèrent hors des murs de la ville sous le feu des Turcs. Ils se heurtèrent aux différents ouvrages construits par les Ottomans pour empêcher toute sortie. La cavalerie égyptienne chargea. Des 7 000 personnes environ qui essayèrent de s’enfuir, autour de 1 800 réussirent à le faire sains et saufs.

Le lendemain matin, dimanche des Rameaux, les Turcs et les Égyptiens entrèrent dans la ville. Les Grecs qui étaient restés se firent exploser avec leurs poudrières plutôt que de se rendre. Les survivants furent massacrés ou vendus comme esclaves. Les Turcs placèrent également 3 000 têtes tranchées sur les remparts.

Mai modifier

Mai

 
Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... le 2 mai 1896 naissait la princesse Hélène de Grèce, future reine mère de Roumanie.

 
La princesse Hélène de Grèce, reine mère de Roumanie.

Fille du roi Constantin Ier de Grèce et de son épouse la reine Sophie de Prusse, la princesse Hélène partage son enfance entre la Grèce, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Le déclenchement de la Première Guerre mondiale et le renversement de son père par les Alliés en 1917 marquent durablement la jeune fille, qui se voit par ailleurs séparée de son frère préféré, le jeune Alexandre Ier de Grèce. Exilée en Suisse avec la plupart des membres de la famille royale, Hélène passe alors plusieurs mois à s'occuper de son père, sujet à la maladie et à la dépression. En 1920, cependant, la princesse fait la connaissance de l'héritier du trône de Roumanie, qui ne tarde pas à lui demander sa main. Malgré la réputation sulfureuse du jeune homme, Hélène accepte le mariage et s'installe en Roumanie, où elle donne bientôt naissance à un fils unique, prénommé Michel (1921).

La situation de sa famille continue toutefois à préoccuper Hélène, qui se rend plusieurs fois à l'étranger pour y retrouver ses parents, quand elle n'invite pas simplement ses proches à séjourner auprès d'elle à Bucarest. Ce faisant, elle s'éloigne de son mari, qui multiplie les liaisons avant de tomber sous le charme, en 1924, d'une certaine Hélène Lupescu. Finalement, en 1925, le prince Carol abandonne son épouse et renonce au trône pour vivre sa liaison au grand jour. Désemparée, Hélène tente de persuader son mari de revenir vers elle mais finit par accepter le divorce en 1928. Entre-temps, la jeune femme a été proclamée « princesse mère de Roumanie » (1926) et le petit Michel est monté sur le trône sous la régence de son oncle (1927). Cependant, au fil des années, la situation politique de la Roumanie se complique et Carol profite de l'instabilité qui s'accroît pour rentrer à Bucarest et 1930 et s'y faire acclamer roi. Bientôt, le nouveau souverain contraint son ex-femme à s'exiler et ne l'autorise à voir leur fils que deux mois par an à l'étranger.

Dans ces conditions, Hélène s'installe à la villa Sparta de Fiesole, en Toscane. Toujours aussi proche de sa famille, la princesse héberge auprès d'elle ses sœurs Irène et Catherine ainsi que son frère Paul, qui séjourne chez elle par intermittence jusqu'à la restauration de la monarchie grecque, en 1935. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et la déposition de Carol II, subséquente au dépeçage de la « Grande Roumanie » en 1940, ramènent toutefois Hélène auprès de son fils, à Bucarest. Soumis à la dictature du général Antonescu et à la vigilance de l'Allemagne nazie, le roi et sa mère servent alors de caution au régime fascisant qui se met en place. Ils n'en montrent pas moins leur opposition à la participation de la Roumanie à l'invasion de l'URSS et à la déportation des juifs. Finalement, le roi Michel organise un coup d'État contre Antonescu le et la Roumanie se retourne contre les forces de l'Axe. Le pays n'en est pas moins occupé par l'Armée rouge et traité en vaincu.

Pour Hélène et son fils, l'après-guerre est marqué par l’ingérence des Soviétiques dans la vie politique roumaine. En mars 1945, le roi doit ainsi accepter la mise en place d'un gouvernement communiste sous l'égide de Petru Groza tandis que, l'année suivante, des élections législatives truquées confirment l'hégémonie du PCR sur le pays. Finalement, Michel Ier est contraint d'abdiquer le et la famille royale prend le chemin de l'exil. Hélène retourne alors vivre à la villa Sparta, où elle partage son temps entre sa famille, le jardinage et la découverte de l'art italien. De plus en plus préoccupée par ses finances, Hélène quitte finalement l'Italie pour la Suisse en 1979 et meurt auprès de son fils trois ans plus tard.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Débarquement aux Trois Tours

... le ( julien) se déroulait la bataille de Phalère (parfois bataille d'Analatos).

Cette bataille de la guerre d'indépendance grecque se déroula à Phalère dans le cadre des combats pour Athènes. L'initiative du combat revint aux forces grecques commandées par les philhellènes engagés par l'État grec, Richard Church et Thomas Cochrane, dans le but de contraindre les troupes ottomanes de Mehmet Rechid Pacha (dit Kioutachis) à lever le siège qu'elles imposaient aux troupes grecques réfugiées dans l'Acropole d'Athènes. En effet, si la ville en tant que telle n'avait aucune importance politique, sa forteresse, l'Acropole, était en revanche un enjeu stratégique. Cependant, Thomas Cochrane et Yeóryios Karaïskákis s'opposèrent, jusqu'à la mort de ce dernier, quant à la tactique à adopter.

Les Grecs, qui avaient installé une tête de pont au Pirée, divisèrent leurs troupes en deux colonnes, l'une attaquant depuis le Pirée et l'autre depuis Phalère où elle fut transportée par les navires de Cochrane dans la nuit du 5 au 6 mai. L'opération de débarquement se fit dans le désordre. Le manque de coordination rendit les troupes vulnérables au matin du 6 mai : l'avant-garde atteignit Athènes alors que le débarquement n'était pas fini. Les Grecs furent repoussés par la cavalerie ottomane et subirent de lourdes pertes, principalement quand ils tentèrent, sous le feu ottoman, de fuir vers la mer.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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... le 29 mai 1453, les troupes ottomanes de Mehmed II prenaient Constantinople.

L'Empire byzantin était alors quasiment réduit aux environs de la Ville, avec une domination lâche sur le Péloponnèse. Des canons spéciaux pour détruire les murs de la ville furent fondus. Le siège commença le 5 avril. Une flotte de trois navires réussit à apporter un peu de secours aux assiégés, mais le blocus ottoman se renforça. Les assauts se firent par la terre et par la mer. Au bout de quarante jours, deux brèches avaient été faites dans la muraille. La ville est mise à sac pendant trois jours.

Cette date est une de celles qui servent à marquer le passage entre Moyen Âge et Renaissance.

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... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

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Parachutistes allemands capturant des soldats britanniques

... en mai 1941

Du 20 au 31 mai 1941 se déroula la Bataille de Crète, un affrontement militaire qui opposa les troupes britanniques et néo-zélandaises aux parachutistes allemands pendant dix jours,

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lança une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 Fallschirmjäger (parachutistes) allemands sous les ordres du général Kurt Student értient largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but était de capturer ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui disposait alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy était encore maîtresse des mers et empêchait tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fit rage : 4 000 parachutistes allemands furent tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Freydenberg, qui perdirent 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne fut plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger furent employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

Juin modifier

Juin

... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

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... en juin 1973

La dictature des colonels est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce de 1967 à 1973, qui provoqua en outre l'exil du roi Constantin II monté sur le trône en 1964. Cette dictature est issue de la prise du pouvoir par une junte d'officiers alors dominée par Yeóryos Papadópoulos.

Le 1er juin 1973 la junte militaire grecque abolit la monarchie et proclame une république. Yeóryos Papadópoulos devient président de la république grecque. La dictature des colonels est agonisante. Cependant, il faut attendre l'occupation de l'École Polytechnique (Politechnion), évacuée par les chars en 1974 des militaires pour voir le régime s'écrouler. Et aboutir en 1975 à la Constitution grecque.

Coup du hasard ou non, cette constitution date aussi de juin : plus précisément, du 9 juin 1975. Celle-ci toujours en vigueur est la quatrième de l'histoire du pays.

Juillet modifier

Juillet

 
Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

1er modifier

 
Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Georges II de Grèce

... le 19 juillet 1890 naissait Georges II de Grèce, roi des Hellènes de 1922 à 1923 puis de 1935 à 1941/1944 et enfin de 1946 à 1947.

Sa jeunesse fut marquée par l’effervescence nationaliste que connut le royaume hellène au tournant des XIXe et XXe siècles. Après la défaite de la Grèce face à l’Empire ottoman en 1897, la famille royale fut accusée d’être responsable de l’échec de la Grande Idée et l’opposition républicaine augmenta jusqu’au coup de Goudi de 1909. Les victoires des Guerres balkaniques (1912-1913) rapprochèrent quelque temps la famille royale de son peuple mais l’éclatement de la Première Guerre mondiale renversa la situation. Après l'implication indirecte du pays dans le conflit mondial en 1915, le Schisme national entraîna une rupture violente le Premier ministre Elefthérios Venizélos et le roi Constantin Ier qui dut s'exiler en 1917.

Jugé tout aussi germanophile que son père parce qu’il avait été formé militairement en Allemagne, le prince Georges dut lui aussi quitter la Grèce tandis que son frère cadet, le jeune Alexandre Ier, montait sur le trône. En février 1921, il épousa l’une de ses cousines éloignées, la princesse Élisabeth de Roumanie. Peu de temps après, son frère mourut à Athènes et une nouvelle crise politique secoua la Grèce, permettant à Constantin Ier de reprendre le pouvoir. La restauration de l’ancien souverain fut toutefois éphémère puisque la défaite de la Grèce face aux forces turques de Mustafa Kemal, l’obligea à abdiquer en faveur de son fils aîné en 1922.

Bien que reconnu roi des Hellènes, Georges II fut écarté de la direction des affaires et il dut composer avec une classe politique de plus en plus radicale. Après la victoire électorale des républicains en décembre 1923, le souverain et sa famille partirent une nouvelle fois en exil. D’abord réfugié dans la patrie de sa femme, Georges s’installa au Royaume-Uni en 1932. Vers la même époque, son couple se désagrégea et son épouse obtint le divorce en 1935. Le retour en force des monarchistes en Grèce et la tenue d’un référendum demandèrent son retour à la tête du pays le 3 novembre. De nouveau roi des Hellènes, Georges II tenta de normaliser la situation politique de son pays mais la montée en force des communistes l'incita finalement à soutenir le coup d’État du général Ioannis Metaxas et la mise en place du Régime du 4-Août (1936).

Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale fut une nouvelle épreuve. Après un important succès contre les forces italiennes en 1940-1941, le pays fut envahi par les armées de l’Axe en avril-mai 1941. De nouveau exilé, Georges II prit la tête des forces grecques libres. Cependant, ses liens avec la dictature de Metaxas affaiblirent son image auprès de la résistance grecque, très marquée à gauche. Devant l’opposition qu’il suscitait, Georges II accepta de ne pas rentrer en Grèce dès la Libération et de confier le pouvoir à une régence en 1944. Les portes de son pays lui étant à nouveau fermées, le souverain envisagea de s’installer définitivement au Royaume-Uni mais le succès des monarchistes au référendum institutionnel du 27 septembre 1946 l’en dissuada finalement.

De retour en Grèce, Georges II trouva un pays ravagé par l’occupation et la guerre civile qui l'avait suivie. Il reprit alors les affaires du pays mais mourut seulement sept mois après la restauration de la monarchie, le .

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Dimítrios Vikélas

... le 20 juillet 1908 mourrait Dimítrios Vikélas.

Dimítrios Vikélas (grec moderne : Δημήτριος Βικέλας) (5 février (julien) / 7 juillet (julien) / ) était un homme d'affaires et un écrivain grec ; il fut le premier président du Comité international olympique.

Après une enfance passée en Grèce et à Constantinople, il fit fortune à Londres, où il se maria. Il s'installa ensuite à Paris en raison de l'état de santé de son épouse. Ayant abandonné les affaires, il se consacra à la littérature et à l'histoire et publia de nombreux romans, nouvelles et essais qui lui valurent une réputation certaine. Il fréquenta les milieux littéraires et artistiques. Sa renommée et le fait qu'il habitait Paris, le firent choisir pour représenter la Grèce à un congrès convoqué par Pierre de Coubertin en juin 1894 qui décida de rétablir les Jeux olympiques et de les organiser à Athènes en 1896, désignant Dimítrios Vikélas pour présider le comité d'organisation. Après les Jeux, il se retira à Athènes où il mourut en 1908.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Bataille de Navarin

... en juillet 1827

Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. La Grèce était alors en pleine guerre pour son indépendance contre l'Empire ottoman. Le but de ce traité était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu'il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d'un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l'équilibre européen établi depuis le Congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante.

Ce traité reflétait autant l'intérêt de l'Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d'être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités.

Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l'origine de l'envoi d'une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l'ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l'application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l'application de ce traité, une « force d'interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l'expédition de Morée.

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Août

 
Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques. Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

1er modifier

 
Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Constantin Ier de Grèce

... le naissait Constantin Ier de Grèce, roi des Hellènes de 1913 à 1917, puis de 1920 à 1922.

Le diadoque Constantin suivit, très jeune, une formation militaire, en Grèce puis en Allemagne, qui le conduisit à exercer d'importantes fonctions dans l'armée hellène. En 1897, il fut ainsi commandant en chef lors de la première guerre gréco-turque et ce fut largement à lui que l’opinion publique hellène imputa la cuisante défaite nationale. Devenu très impopulaire au sein de l’armée, Constantin dut démissionner de ses fonctions à la suite du « coup de Goudi » de 1909 et quitter, durant quelque temps, la Grèce. Malgré tout, son exil fut provisoire et le diadoque retrouva ses fonctions de commandant en chef grâce au Premier ministre Elefthérios Venizélos, en 1911. Après avoir réorganisé l’armée, le prince héritier conduisit, en 1912-1913, les forces de son pays lors des deux guerres balkaniques et participa à la conquête de Thessalonique, de la Macédoine et d’une partie de l’Épire. Le royaume hellène vit sa superficie et sa population multipliées par deux. Son père, le roi Georges Ier, fut assassiné, le 18 mars 1913, à Thessalonique, et Constantin monta sur le trône.

Pendant la Première Guerre mondiale, le désaccord de Constantin avec son Premier ministre Elefthérios Venizélos à propos de l’entrée de la Grèce dans le conflit aux côtés de la Triple-Entente conduisit le royaume hellène au « Schisme national ». En 1915, le roi força Venizélos à démissionner mais ce fut finalement lui qui dut quitter le pouvoir en 1917, après que les forces alliées l’ont menacé de bombarder Athènes. Constantin Ier laissa le trône à son deuxième fils, Alexandre Ier, et s’installa en Suisse. Après la mort du jeune roi, la défaite de Venizélos aux élections législatives de 1920 et un plébiscite en faveur du retour de Constantin, celui-ci reprit la tête de son pays. Cependant, le désastre militaire hellène durant la deuxième guerre gréco-turque (1919-1922) conduisit le souverain à abdiquer définitivement en 1922 et à partir en exil en Italie, où il mourut peu temps après le . Son fils aîné, Georges II, lui succéda alors brièvement avant de renoncer, à son tour, à la couronne.

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... le 9 août 1893, le musée national archéologique d'Athènes (en grec moderne : Εθνικό Αρχαιολογικό Μουσείο) ouvrait ses portes. Principal musée archéologique de Grèce, il possède l’une des plus vastes collections d’antiquités grecques au monde. Il abrite plus de 20 000 objets datant de la préhistoire à la fin de l'Antiquité venus de l'ensemble de la Grèce.

Il est aujourd'hui organisé en cinq thèmes plus ou moins chronologiques : la collection préhistorique (du VIe millénaire à 1050 avant J. C.), la collection de sculptures (VIIe au Ve siècles avant J. C.), la collection de céramiques (XIe siècle avant J. C. à l'époque romaine), la collection de bronzes, et les collections égyptienne et proche-orientale.

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Frontispice de l’Expédition scientifique de Morée par Abel Blouet.

... le 29 août 1828 débarquait à Coron, au sud du Péloponnèse, l'expédition française de Morée.

Après la chute de Missolonghi, l’Europe occidentale avait décidé d’intervenir en faveur de la Grèce insurgée. L’attitude de l’allié égyptien de l’Empire ottoman, Ibrahim Pacha étant particulièrement critiquée, le principal objectif était d’obtenir qu’il évacuât les régions occupées, le Péloponnèse en premier lieu. L’intervention débuta par l’envoi d’une flotte franco-russo-britannique qui remporta la bataille de Navarin en octobre 1827. En août 1828, un corps expéditionnaire français débarqua à Coron au sud du Péloponnèse. Les soldats stationnèrent dans la presqu’île jusqu’à l'évacuation, en octobre, des troupes égyptiennes, puis ils prirent le contrôle des principales places-fortes encore tenues par les troupes turques. Bien que l’essentiel des troupes rentrât en France dès la fin de 1828, la présence française se poursuivit jusqu’en 1833.

Comme lors de la campagne d'Égypte de Napoléon Bonaparte, où une Commission des sciences et des arts avait accompagné l’expédition militaire, une Mission scientifique de Morée accompagnait les troupes. Dix-sept savants représentant diverses spécialités : histoire naturelle ou antiquités (archéologie, architecture et sculpture) firent le voyage. Leurs travaux furent d’une importance majeure dans la connaissance du pays. Les cartes topographiques réalisées sont d’une très grande qualité et les relevés, dessins, coupes, plans et propositions de restauration sur les monuments du Péloponnèse, de l’Attique et des Cyclades furent, après James Stuart et Nicholas Revett, une nouvelle tentative d’inventaire systématique et exhaustif des vestiges grecs antiques. L’Expédition de Morée et ses publications offrirent une description presque complète des régions visitées. Elles en firent un inventaire scientifique, esthétique et humain qui resta longtemps l’un des meilleurs moyens, à part le voyage sur place, de les connaître.

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

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Les membres de l'organisation de jeunesse (EON) de la dictature de Metaxás saluent le dictateur.

... en août 1936

De 1936 à 1941, la Grèce connaît un régime autoritaire dirigé par le général Ioannis Metaxas, comparable à ceux de l'Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar, connu sous le nom Régime du 4-Août. Metaxas impose à l'origine son régime pour lutter contre la situation d'instabilité sociale qui prévaut dans la Grèce des années 1930, la démocratie parlementaire ayant dégénéré en querelles de factions politiques.

Le régime de Métaxas se différencie de ceux de Mussolini ou Adolf Hitler sur de nombreux points : il est relativement non-violent et ne poursuit pas de politique expansionniste ni antisémite...

Septembre modifier

Septembre

...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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... le 4 septembre 1896, naissait Aspasía Mános.

 
Alexandre Ier et Aspasía Mános vers 1920.

Aspasía (ou Aspasie) Mános (grec moderne : Ασπασία Μάνου), princesse de Grèce et de Danemark, est née le à Athènes, et décédée le à Venise. Épouse du roi Alexandre Ier de Grèce et mère de la reine Alexandra de Yougoslavie, ses origines relativement modestes l'empêchent d'être titrée reine des Hellènes. Veuve, elle est toutefois intégrée à la famille royale de Grèce à la suite d’un décret daté du , ce qui fait d'elle et de sa fille les deux seuls membres de la dynastie à être de souche hellène.

Fille du colonel Petros Mános, officier d’ordonnance du roi Constantin Ier de Grèce, Aspasía grandit aux côtés de la famille royale de Grèce. L'adolescente étudie en France et en Suisse. Revenue dans son pays en 1915, elle y retrouve le prince Alexandre, qui ne tarde pas à la séduire. Épris mais conscients du refus de la famille royale de reconnaître la relation d'un des siens avec une femme n'appartenant pas au gotha européen, les deux jeunes gens se fiancent secrètement.

En raison de la situation intérieure de la Grèce pendant la Première Guerre mondiale, le roi Constantin Ier est contraint à renoncer au trône en 1917 et Alexandre doit ceindre la couronne. Séparé de sa famille et soumis à son Premier ministre, Elefthérios Venizélos, le nouveau souverain n'a pour seul réconfort qu'Aspasía. En dépit de l'opposition de ses parents (exilés en Suisse) et des vénizélistes (qui veulent le marier à une Windsor), le nouveau monarque épouse secrètement sa maîtresse le . Le mariage provoque un énorme scandale et Aspasía doit à son tour partir à l'étranger. Elle est finalement autorisée à rentrer en Grèce, sans recevoir le titre de reine des Hellènes. Bientôt enceinte d'une fille, Alexandra, la jeune femme perd son époux après à peine un an de mariage, le .

La situation de la jeune femme est précaire, du fait du mépris que lui voue sa belle-sœur et surtout de l'instabilité politique que traverse le pays. Seuls membres de la famille royale à être autorisés à rester en Grèce après la proclamation de la république le , Aspasía et sa fille choisissent malgré tout de s'installer à Florence, auprès de la mère d'Alexandre. Elles y restent jusqu'en 1927 puis partagent leur vie entre le Royaume-Uni et Venise.

Mise à l'écart par sa belle-famille, elle fait de sa villa vénitienne sa résidence principale, jusqu'au déclenchement de la Guerre italo-grecque en 1940. Après un bref retour dans son pays, où elle travaille pour la Croix-Rouge, la princesse passe la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne. En 1944, elle y marie sa fille avec le roi exilé Pierre II de Yougoslavie. Une fois la paix restaurée, Aspasía retourne vivre à Venise. Ses vieux jours sont marqués par les difficultés économiques, la maladie et surtout par la dépression de sa fille, qui fait plusieurs tentatives de suicide. Aspasía meurt en 1972, mais ce n'est qu'en 1993 que sa dépouille est finalement transférée dans la nécropole royale de Tatoï.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Íon Dragoúmis

… le 15 septembre 1878 naissait Íon Dragoúmis

Íon Dragoúmis (grec moderne : Ίων Δραγούμης) était un diplomate, homme politique et écrivain nationaliste grec, né à Athènes le 15 septembre (2 septembre julien) 1878, et décédé le 31 juillet julien) 1920 à Athènes. Disciple littéraire et politique de Maurice Barrès, il fit passer ses idées politiques dans des ouvrages qui connurent un immense succès, comme Le Sang des martyrs et des héros paru en 1907 ou Samothrace paru en 1909. Il écrivait en démotique dont il avait choisi la cause dans la querelle linguistique qui divisa la Grèce pendant presque deux siècles.

Fils du diplomate et Premier ministre Stéphanos Dragoúmis, il fit aussi une carrière diplomatique avant de s'engager en politique. Il occupa divers postes dans les Balkans, dont à Monastir ou Serrès en Macédoine au moment où celle-ci était disputée entre l'Empire ottoman, la Bulgarie et la Grèce. Il s'engagea dans les divers conflits qui virent ces trois pays se disputer la région : indirectement en soutenant les mouvements nationaux grecs ou directement en s'engageant dans l'armée au cours de la guerre gréco-turque de 1897 ou aux côtés du prince héritier Constantin lors de la Première Guerre balkanique. Il termina sa carrière diplomatique comme ambassadeur de Grèce en Russie en 1914.

En 1915, il quitta le service diplomatique et s'engagea en politique. Il s'opposa très violemment à Elefthérios Venizélos ce qui lui valut d'être exilé en Corse à la fin de la Première Guerre mondiale. De retour en Grèce, il fut assassiné par des militants vénizélistes lors d'émeutes. Íon Dragoúmis défendait une forme de nationalisme qui lui était propre, l'« hellénisme » qui influença fortement la pensée nationaliste grecque dans l'Entre-Deux-Guerres.

Une municipalité de Kastoria, fut renommée en son honneur.

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... le 16 septembre 1977 mourait Maria Callas à Paris. Considérée comme l'une des plus grandes cantatrices du XXe siècle, elle transforma l'art lyrique en développant le jeu d'acteur. Elle se produisit sur les plus importantes scènes d'opéra du monde.

Fille de Grecs originaires du Péloponnèse émigrés aux États-Unis, elle naquit à New York le 2 décembre 1923. Elle ne revint en Grèce qu'en 1937. C'est là qu'elle apprit le chant et fit ses débuts. Après la guerre, ce fut en Italie, surtout à la Scala de Milan qu'elle triompha. Elle interpréta Norma ou Tosca lors de tournées à travers le monde. En 1959, elle rencontra Aristote Onassis dont elle devint la maîtresse. Elle divorça pour lui, mais il épousa Jackie Kennedy. Après une dernière apparition sur scène à Londres en 1965, elle dirigea la Juilliard School de New York. Elle décéda à Paris le 16 septembre 1977. Ses cendres furent dispersées en mer Égée.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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... le 20 septembre 1971 mourrait Georges Séféris à Athènes, l'un des plus grands poètes grecs contemporains et Prix Nobel de littérature en 1963.

Georges Séféris naquit à Smyrne le 3 mars 1900. Son père, professeur de droit, était aussi poète et traducteur en grec de Lord Byron. Sa famille émigra à Paris en 1918. Georges Séféris y fit des études de droit puis entra dans la carrière diplomatique pour la Grèce. Il commença à publier ses premiers poèmes dans les années 1920. Son recueil Strophe de 1931 lui amena la reconnaissance. Il s'installa à Athènes dans les années 1930 et s'y lia d'amitié avec les cercles littéraires d'avant-garde. Il traduisit aussi de nombreux poètes en grec. Il s'exila pendant la seconde guerre mondiale. Il termina sa carrière diplomatique comme ambassadeur à Londres de 1956 à 1962. Il reçut le Prix Nobel de littérature l'année suivante. Le 28 mars 1969, il critiqua ouvertement sur les ondes de la BBC la dictature des colonels. Il mourut à Athènes le 20 septembre 1971. Ses funérailles furent l'occasion d'une manifestation contre le régime.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

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...en septembre 1843

 
Les troupes exigent du roi une constitution.

Le coup d'État du 3 septembre 1843 donna au royaume de Grèce sa première constitution. Il est aussi considéré comme la première des nombreuses interventions de l'armée grecque dans la vie politique grecque.

La vie politique grecque était dominée depuis la fin de la guerre d'indépendance par les Bavarois arrivé avec le roi Othon imposé par les Puissances Protectrices. Les hommes politiques grecs ne cessaient de demander que fût mis fin à cette « xenocratie » et qu'une constitution fût octroyée. Les refus répétés du souverain d'accéder à ces demandes entraînèrent une radicalisation. On recourut donc à la conspiration.

Les principaux conspirateurs étaient Andréas Metaxás, André Lóndos, Konstantínos Zográfos, Michaïl Soutsos et Rigas Palamidis. Ils avaient réussi à convaincre des officiers de se joindre à eux, principalement le colonel Dimitrios Kallergis (Commandant de la cavalerie d'Athènes), le colonel Skarvelis (Commandant de l'infanterie d'Athènes) et le colonel Spyromilios (Commandant de l'Académie Militaire). Ainsi, les conspirateurs étaient sûrs du soutien de l'armée. L'idée était d'agir vite pour mettre le Palais devant le fait accompli. Une première date fut choisie : le 25 mars 1844, anniversaire du soulèvement contre les Ottomans. La constitution serait alors apparue comme la conséquence logique et nécessaire de l'indépendance. Mais, la conspiration fut découverte, et elle agit dans l'urgence, le 3 septembre 1843.

Octobre modifier

Octobre

... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

En savoir plus sur le Jour du Non et sur l’invasion de la Grèce par l’Italie.

1er modifier

 
Un phénix.

... le 1er octobre 1829, la Grèce frappait ses premières pièces modernes à Égine où est alors installée la capitale. Elle portait au droit un phénix renaissant de ses cendres et ΕΛΛΗΝΙΚΗ ΠΟΛΙΤΕΙΑ (État grec) et à l'avers une couronne de lauriers et ΚΥΒΕΡΝΗΤΙΣ I. A. KAΠOΔIΣTΡIAΣ (Gouverneur I. A. Kapodistrias).

Les échanges continuaient à se faire en monnaies étrangères cependant. Peu de pièces furent frappées, en raison du manque de métaux précieux. En 1832, le phénix fut remplacé par la drachme moderne grecque.

2 modifier

... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

En savoir plus sur le Jour du Non et sur l’invasion de la Grèce par l’Italie.

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

En savoir plus sur le Jour du Non et sur l’invasion de la Grèce par l’Italie.

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... le 18 octobre 1920 naissait Melina Mercouri (grec : Μελίνα Μερκούρη) à Athènes. Actrice, chanteuse et femme politique, elle a joué au théâtre pour Marcel Achard, au cinéma pour Michael Cacoyannis dans Stélla ou pour son mari Jules Dassin dans Jamais le dimanche qui la rendit mondialement célèbre avec un prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes, ainsi que dans Topkapi.

Engagée contre la dictature des colonels, elle dut s'exiler et fut déchue de sa nationalité grecque. À son retour, après la chute des colonels, elle fut élue du PASOK au parlement hellénique et ministre de la culture du gouvernement d'Andréas Papandréou. Elle lutta pour le retour des marbres du Parthénon à Athènes.

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... le 23 octobre 1862, était déposé le roi Othon Ier de Grèce.

 
Le roi Othon avec le décret de création de la Banque nationale de Grèce (1841). Tableau de Nikiforos Lytras, v. 1898.

Othon Ier de Grèce, prince de Bavière puis roi de Grèce, est né au Schloss Mirabell de Salzbourg, en actuelle Autriche, le , et mort à Bamberg, en Bavière, le . Membre de la maison de Wittelsbach, il est choisi par les grandes puissances pour devenir le premier souverain de la Grèce moderne en 1832. Autoritaire et incapable d'assurer la continuité de sa dynastie, il est renversé par les révolutionnaires hellènes en 1862.

Élu roi de Grèce à l'âge de dix-sept ans, Othon Ier prend la tête d'un pays marqué par quatre siècles d'occupation ottomane et ravagé par une guerre d'indépendance qui s'est étalée sur presque dix ans. Le souverain mène une politique autoritaire, censée rendre à la Grèce sa gloire antique. Sous son égide, et sous celle des fonctionnaires bavarois qui l'entourent, d'importants travaux sont réalisés dans le royaume et Athènes prend progressivement les traits d'une capitale moderne.

La politique du monarque est rapidement mise à mal par les graves difficultés financières que connaît la Grèce. Très lourdement endetté, le pays se révèle incapable de rembourser ce qu'il doit à ses créanciers. Othon ne parvient pas à profiter de ces rivalités franco-anglo-russes pour réaliser la « Grande Idée ». La politique maladroite du souverain aboutit au contraire à de nouvelles humiliations, comme lors de l'Incident Don Pacifico (1850) ou durant la guerre de Crimée (1854-1857).

Fragilisé par le contexte financier et international, Othon doit accepter une constitution après la révolution de 1843. Il parvient néanmoins à maintenir son pouvoir personnel grâce au soutien du Premier ministre Ioannis Kolettis. L'incapacité du roi et de sa femme (la princesse Amélie d'Oldenbourg, épousée en 1836) à donner naissance à un héritier orthodoxe cause leur perte. Confrontés à cette impasse dynastique et déçus par l'incapacité du souverain à agrandir son royaume, les Grecs se révoltent en 1862. Destitués, Othon et son épouse s'exilent en Bavière tandis que le pays se lance à la recherche d'un nouveau monarque. Remplacé par le prince Guillaume de Danemark en 1863, Othon meurt à l'âge de 52 ans, en 1867.

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

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Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... le 27 octobre 1867, la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie épousait le roi Georges Ier de Grèce.

 
Portrait officiel de la reine Olga de Grèce
par Georgios Jakobides, 1915.

Olga Constantinovna de Russie, grande-duchesse de Russie puis, par son mariage, reine des Hellènes et princesse de Danemark, est née le (22 août C.J.) au palais de Pavlovsk, à Saint-Pétersbourg, en Russie, et est morte le à Rome, en Italie. C’est un membre de la dynastie des Romanov, une reine de Grèce (entre 1867 et 1913) et une régente de ce pays (du 18 novembre au ).

Fille du grand-duc Constantin Nikolaïevitch de Russie et de la grande-duchesse Alexandra de Saxe-Altenbourg, elle passe une enfance dorée entre Saint-Pétersbourg, la Pologne et la Crimée. Elle épouse, à l’âge de seize ans, en 1867, le roi Georges Ier de Grèce et l’accompagne dans son nouveau pays. Dans le royaume hellène, Olga s’adapte d’abord difficilement. Très vite, elle s’engage cependant dans le travail social et fonde plusieurs hôpitaux et centres d’aide aux démunis. Elle soutient également son époux, dont le règne est ponctué par différents conflits avec l’Empire ottoman. La souveraine met par ailleurs au monde une nombreuse famille, dont elle passe beaucoup de temps à s’occuper.

En 1913, Georges Ier de Grèce, l'époux d'Olga, est assassiné par un anarchiste. Désormais reine douairière, elle ne tarde pas à retourner en Russie. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, elle met en place un hôpital militaire dans le Palais de Pavlovsk, qui appartient à sa famille. Mais quand la Révolution russe se produit en 1917, elle se retrouve prisonnière dans le château et il faut l’intervention de l’ambassade du Danemark pour que les Bolcheviks l’autorisent enfin à quitter sa terre natale. Une fois à l'abri, Olga ne peut retourner en Grèce où son fils, le roi Constantin Ier, vient d’être déposé. Elle s’installe donc en Suisse, où résident désormais la plupart de ses enfants et petits-enfants, et c’est seulement en 1920 qu’elle peut rentrer à Athènes. Le pays est alors plongé dans la guerre gréco-turque de 1919-1922 et l’instabilité politique causée par la mort sans héritier du roi Alexandre Ier permet à la souveraine d’être nommée régente en attendant le retour de Constantin Ier sur le trône. Cependant, la défaite des Grecs face aux troupes de Mustapha Kemal conduit la famille royale à un nouvel exil et Olga passe les dernières années de son existence entre le Royaume-Uni, la France et l’Italie.

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... en octobre 1940

Le 28 octobre 1940 à 4 heures du matin, l’ambassadeur italien en Grèce pose un ultimatum à Ioánnis Metaxás. Cet ultimatum impose à la Grèce de permettre aux forces de l’Axe de pénétrer sur le territoire grec. La réponse de Metaxás aurait simplement été : « όχι! » (« non ! »). La réponse de Metaxás marque ainsi le début de la participation de la Grèce dans la Seconde Guerre mondiale et le même jour, l’armée italienne pénètre en Grèce depuis l’Albanie.

La date du 28 octobre est désormais fête nationale en Grèce en souvenir du Jour du Non (en grec moderne : Επέτειος του «'Οχι», Epétios tou Óchi, « Anniversaire du “Non” », ou simplement το όχι, to óchi).

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... le 31 octobre 1994, la princesse André de Grèce était nommée, à titre posthume, Juste parmi les nations par l'État d'Israël.

 
La princesse André de Grèce en 1885.

Alice de Battenberg, princesse de Battenberg puis, par son mariage, princesse de Grèce et de Danemark, est née le au château de Windsor, en Angleterre, et morte le au palais de Buckingham, à Londres. Belle-mère de la reine Élisabeth II, elle est membre des familles souveraines de Hesse-Darmstadt, d'Angleterre, de Grèce et du Danemark. Alice de Battenberg est également l'une des deux seules princesses européennes (avec sa nièce la reine Hélène de Roumanie) à avoir reçu le titre israélien de « Juste parmi les nations » et la fondatrice d’un ordre de religieuses orthodoxes qui a rapidement périclité.

Sourde de naissance, la princesse Alice grandit en Allemagne, en Angleterre et à Malte, où son père, membre de la Royal Navy, est fréquemment stationné. Après avoir épousé le prince André de Grèce et de Danemark en 1903, elle vit en Grèce jusqu'au bannissement de la famille royale après la Première Guerre mondiale et l’échec de la guerre gréco-turque de 1919-1922. En 1930, Alice, convertie à la religion orthodoxe et de plus en plus mystique, est reconnue schizophrène puis envoyée dans un sanatorium allemand. Déclarée guérie en 1932, elle vit séparée de son mari et de sa famille jusqu’en 1937, lorsque l’une de ses filles, l'époux de celle-ci et leurs enfants meurent dans un accident d’avion. Alice de Battenberg revient finalement à Athènes en 1938 et y reste pendant toute la Seconde Guerre mondiale. Alors que presque tous les autres membres de la famille royale sont en exil, la princesse travaille pour la Croix-Rouge et abrite chez elle une famille juive, ce qui lui vaut de recevoir, de façon posthume, le titre de « Juste parmi les nations » en 1994. Une fois la guerre terminée, elle reste vivre en Grèce et y fonde un ordre monastique orthodoxe qui ne lui survit pas. Après la chute de la monarchie et la mise en place de la dictature des colonels en 1967, Alice est invitée par son fils, le duc d’Édimbourg, et sa belle-fille, la reine Élisabeth II, à résider au Palais de Buckingham, où elle meurt deux ans plus tard.

Novembre modifier

Novembre

 
Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

Lire les articles : Îles Ioniennes, République des Sept-Îles et Histoire de Corfou

1er modifier

 
Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

Lire les articles : Îles Ioniennes, République des Sept-Îles et Histoire de Corfou

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... le 2 novembre 1911 Odysséas Elýtis naissait à Héraklion en Crète. Un des plus grands poètes grecs contemporains, il obtint le prix Nobel de littérature en 1979.

De son vrai nom Odysséas Alepoudhélis, il passa une enfance heureuse au sein d'une famille industrielle aisée originaire de Lesbos. Adolescent, il dévora des livres. Il eut une révélation en découvrant la poésie de Constantin Cavafy puis les surréalistes. Il participa au développement de ce courant littéraire dans l'Athènes des années 1930, tout en faisant ses études de droit et de philosophie.

Officier, il prit part à la guerre italo-grecque de 1940. Blessé puis atteint du typhus, il faillit alors mourir. Pendant l'occupation, il participa à la résistance intellectuelle. À la libération, il prit la direction des programmes de la radio publique, mais il cessa d'écrire pendant la guerre civile puis il émigra à Paris en 1948. Il revint en Grèce en 1951. Axion Esti publié en 1960 lui apporta la gloire internationale. Míkis Theodorákis le mit en musique en 1964.

Il s'exila à nouveau à Paris pendant la dictature des colonels. À la chute de la dictature, il prit pendant trois ans la direction de la télévision nationale. Prix Nobel de littérature en 1979, honoré dans son pays et à travers le monde, il ne cessa d'écrire. Il mourut d'un arrêt cardiaque chez lui le 18 mars 1996.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

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Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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... le 17 novembre 1973, le soulèvement de l'université polytechnique d'Athènes était écrasé par les chars de la dictature des colonels.


Depuis le 21 avril 1967, la Grèce était gouverné par le gouvernement dictatorial des colonels. Début 1973, le régime avait tenté une libéralisation, avec une diminution de la censure et la libération de certains prisonniers politiques. Déjà en février, les étudiants en droit d'Athènes avaient entamé une grève et s'étaient enfermé dans leur université pour protester contre la conscription obligatoire des étudiants « subversifs ».

Le 14 novembre, les étudiants de Polytechnique se mirent à leur tour en grève et occupèrent leurs bâtiments pour protester contre la dictature. Ils avaient construit un émetteur radio et appelaient la population à la lutte pour la démocratie.

À trois heures du matin le 17 novembre, l'électricité fut coupée dans toute la capitale et un char AMX-30 força le portail de l'université. La loi martiale fut rétablie. Selon la junte, l'opération ne fit aucune victime. Le bilan est encore controversé. Une estimation propose pour l'ensemble de la capitale entre 700 et 1 000 arrestations, entre 180 et 200 blessés et 23 ou 24 morts.

Une semaine plus tard, Dimítrios Ioannídis fit un coup d'État, renversant le chef de l'État Geórgios Papadópoulos. Sa politique chypriote amena à la chute du régime des colonels l'année suivante.

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Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

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Melina Mercouri à Stockholm, en 1982

... le 21 novembre 1955 sortait au cinéma en Grèce Stella, femme libre de Michael Cacoyannis.

Stella est chanteuse de rebetiko dans un cabaret de Pláka, à Athènes, et tous les hommes tombent amoureux d'elle. Elle choisit ses amants et refuse le mariage. Elle préfère finalement mourir plutôt que de perdre sa liberté.

Adapté d'une pièce de théâtre de Iákovos Kambanéllis, Stella, femme libre fut présenté au Festival de Cannes 1955. Premier film de Melina Mercouri, il posa les bases de sa gloire cinématographique. Elle fut même ensuite souvent comparée à son personnage. Stella, femme libre annonce les évolutions du « Nouveau Cinéma grec » des années 1970-1980. Il reçut un très bon accueil de la part du public grec, mais fut détesté par la critique. Ce mélodrame est un hommage à la tragédie grecque antique et à la culture populaire traditionnelle. Le film aborde les contradictions qui déchirent la Grèce au début des années 1950 : le désir de changement et de modernisation face à la peur de l'instabilité et de perte de l'identité nationale. Stella incarne ces contradictions : elle cherche, sans succès, à moderniser son numéro ; elle triomphe sur scène avec des chansons grecques ; elle refuse la domination patriarcale traditionnelle. Cacoyannis a demandé à Manos Hadjidakis une bande son qui exprime ces tiraillements entre culture traditionnelle (bouzouki de Vassílis Tsitsánis) et modernité (jazz). Cependant, comme dans la tragédie antique, Stella est condamnée par le destin mais aussi par une société patriarcale dans laquelle elle ne peut trouver sa place.

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Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

Lire les articles : Îles Ioniennes, République des Sept-Îles et Histoire de Corfou

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Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

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Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

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Le drapeau des Îles ioniennes sous protectorat britannique

... en novembre

Le 13 novembre (1er novembre julien) Antonio Maria Kapodistrias et Nikolaos Sigouros reçurent du grand vizir un drapeau et une constitution reconnaissant l'autonomie de la République des Sept-Îles unies. Le tsar Alexandre Ier devint le protecteur officiel de la jeune république, tandis que le Sultan Selim III en obtint la suzeraineté nominale en échange d’un tribut de 75 000 piastres à verser tous les trois ans.

Dans les faits, les îles furent autonomes. Le 14 novembre 1803, une nouvelle Constitution fut promulguée. Elle réservait tous les pouvoirs à la seule noblesse qui disposait du droit de vote. S'il fallait être noble pour pouvoir voter, il fallait aussi être né sur les îles, d'une union légitime, être chrétien et disposer d'un revenu foncier important (dont la quotité variait selon les îles) ; à défaut d'un revenu foncier, un diplôme universitaire était suffisant. L'exécutif était constitué par un Sénat de douze membres issus de Corfou, Zante et Céphalonie. Il élisait un prince-président. Toute l'administration était aussi aux mains de la noblesse. Le grec devenait langue officielle, après des siècles de domination de l’italien. La religion considérée comme dominante changea aussi : le catholicisme romain fut détrôné par l'orthodoxie grecque. Ioannis Kapodistrias, futur dirigeant de la Grèce indépendante et natif de Corfou, fut un des hommes qui gouvernèrent cette République.

Le , le second Traité de Paris instaurait un protectorat britannique sur les îles Ioniennes.

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Décembre modifier

Décembre

... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... le 2 décembre 1923 naissait Maria Callas à New York. Considérée comme l'une des plus grandes cantatrices du XXe siècle, elle transforma l'art lyrique en développant le jeu d'acteur. Elle se produisit sur les plus importantes scènes d'opéra du monde.

Fille de Grecs originaires du Péloponnèse émigrés aux États-Unis, elle ne revint en Grèce qu'en 1937. C'est là qu'elle apprit le chant et fit ses débuts. Après la guerre, ce fut en Italie, surtout à la Scala de Milan qu'elle triompha. Elle interpréta Norma ou Tosca lors de tournées à travers le monde. En 1959, elle rencontra Aristote Onassis dont elle devint la maîtresse. Elle divorça pour lui, mais il épousa Jackie Kennedy. Après une dernière apparition sur scène à Londres en 1965, elle dirigea la Juilliard School de New York. Elle décéda à Paris le 20 septembre 1977. Ses cendres furent dispersées en mer Égée.

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...le 3 décembre 1908 naissait le prince Pierre de Grèce.

 
Le prince Pierre de Grèce en 1964.

Pierre de Grèce (grec moderne : Πέτρος της Ελλάδας et en danois : Peter af Grækenland og til Danmark), prince de Grèce et de Danemark, est né à Paris, en France, le et décédé à Londres, au Royaume-Uni, le . Membre de la Maison d'Oldenbourg, c'est un prince, un militaire et un anthropologue grec spécialiste du Tibet et de la polyandrie.

Le prince Pierre passe l’essentiel de son enfance dans la région parisienne et ne découvre la Grèce qu’après la restauration de son cousin, le roi Georges II en 1935. Grâce à sa mère, la princesse Marie Bonaparte, il fréquente très jeune de nombreux intellectuels et côtoie notamment Aristide Briand, Rudolph Loewenstein, Sigmund Freud et Bronislaw Malinowski.

Adulte, Pierre étudie le droit, qui ne le passionne guère, à la Sorbonne et obtient son doctorat en 1934. Il part ensuite étudier l’anthropologie avec Malinowski à la London School of Economics, en 1935-1936. Dans le même temps, le prince noue une relation amoureuse avec une roturière divorcée du nom d’Irène Ovtchinnikova. En 1937, ils partent ensemble pour un long voyage en Asie. Pierre passe ainsi plusieurs mois en Inde, où il étudie différentes populations qui pratiquent la polyandrie avant de se marier avec Irène le 9 septembre 1939. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale le conduit cependant à rentrer en Europe avec son épouse et à s’engager dans l’armée hellénique. Officier de liaison, il doit quitter la Grèce après l’invasion de celle-ci par les forces de l’Axe et trouver refuge en Égypte. Il y poursuit le combat principalement en Libye et en Italie mais effectue également plusieurs missions en Méditerranée occidentale, en Afrique noire et même en Chine.

À la Libération, les tensions politiques que connaît la Grèce et le refus de la famille royale d’accepter son mariage l'empêchent de rentrer à Athènes. Pierre et son épouse repartent donc pour l’Asie, où ils participent à la branche tibétaine de la troisième expédition danoise en Asie centrale (1950). Ne pouvant pénétrer au Tibet du fait de l’intervention militaire chinoise, le couple décide de s’installer près de la frontière, à Kalimpong, pour y étudier les réfugiés tibétains. Leur séjour dure jusqu’en 1957, année où le gouvernement indien les expulse à cause de leur soutien aux Tibétains.

Ayant récolté un abondant matériel lors de ses deux expéditions, Pierre décide de reprendre ses études afin de préparer un doctorat en anthropologie. Diplômé en 1959, il publie plusieurs articles et ouvrages consacrés au Tibet, à la polyandrie et à l’héritage hellénistique dans les cultures asiatiques modernes. Sa renommée est telle, en Grèce, que son nom est proposé pour la chaire d’anthropologie de l’Université d’Athènes. Cependant, une intervention du roi Paul Ier fait avorter le projet. Malgré une brève amélioration de ses relations avec la famille royale à la fin des années 1950, Pierre se brouille définitivement avec la couronne à l’avènement de Constantin II. Le prince critique alors ouvertement la politique de son cousin et accuse la reine douairière Frederika d’affaiblir la monarchie. Après la Dictature des Colonels (1967-1974) et la proclamation de la Troisième République hellénique (1974), le prince se retire au Danemark. Il meurt d’une hémorragie cérébrale pendant un séjour au Royaume-Uni, en 1980.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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Georges Ier de Grèce.

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En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

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... le 21 décembre 1898, le prince Georges de Grèce était nommé haut-commissaire de la Crète autonome.

 
Le prince Georges vers 1900.

Georges de Grèce (grec moderne : Γεώργιος της Ελλάδας), prince de Grèce et de Danemark, est né le , au palais de Mon Repos, à Corfou, en Grèce, et décédé le à Saint-Cloud, près de Paris, en France. Amiral de carrière et Haut-commissaire de la Crète autonome entre 1898 et 1906, c'est un membre de la famille royale hellène.

Deuxième fils du roi Georges Ier et de la reine Olga de Grèce, le prince suit, à Copenhague, une formation navale dans la marine. Il y noue une relation amoureuse très étroite avec son oncle, le prince Valdemar de Danemark. En Grèce, Georges participe ensuite activement à l’organisation des Jeux olympiques d’Athènes de 1896, avant d'être nommé Haut-commissaire de la Crète autonome entre 1898 et 1906. Mais, opposé à l’homme politique crétois Elefthérios Venizélos, Georges ne parvient pas à réaliser l’énosis et doit renoncer à son poste de gouverneur.

Libéré de toute obligation politique, le prince s’installe en France, où il épouse la richissime Marie Bonaparte, sans pour autant mettre fin à sa liaison avec Valdemar. Pendant la Première Guerre mondiale, Georges profite de sa présence à Paris pour jouer le rôle d’ambassadeur officieux de la Grèce. Il essaie ainsi d'user de ses liens avec l’Entente pour obtenir de larges compensations territoriales pour son pays en échange d'une entrée en guerre aux côtés des Alliés. Cependant, sa médiation est un échec. En 1917, le roi des Hellènes est déposé par l'Entente, qui part à la recherche d'un nouveau souverain pour la Grèce. Les liens de Georges et de son épouse avec le président du Conseil français Aristide Briand en font alors de sérieux candidats pour ceindre la couronne. Georges refuse catégoriquement de trahir son frère et c’est l’un des fils de Constantin qui remplace finalement son père sur le trône.

À partir de 1925, la vie du prince est largement bouleversée par la rencontre de Marie Bonaparte avec Sigmund Freud. D'abord opposé à la passion de sa femme pour la psychanalyse, Georges apprend progressivement à apprécier le praticien autrichien, sans toutefois accepter ses idées. En 1939, le prince perd son amant, après cinquante-six ans de relation amoureuse. C'est le début d'une période difficile, qui coïncide avec la Seconde Guerre mondiale et un long exil en Afrique du Sud (1941-1944). Revenu en Europe à la fin du conflit, Georges passe ses dernières années aux côtés de sa femme.

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En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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... en décembre 1845

 
Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.

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Georges Ier de Grèce.

Christian Guillaume Ferdinand Adolphe de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, plus connu sous le nom de Georges Ier de Grèce (en grec : Γεώργιος A', Βασιλεύς των Ελλήνων), est né le 24 décembre 1845 à Copenhague et est décédé le 18 mars 1913 à Thessalonique. D’origine germano-danoise, il est le second souverain de la Grèce moderne et le fondateur de la dynastie royale grecque contemporaine.

En 1863, le prince Guillaume de Danemark est élu roi des Hellènes sous le nom de Georges Ier. Désireux de ne pas commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur, le roi Othon Ier de Grèce, le jeune monarque ne tarde pas à s’helléniser et à aller à la rencontre de ses nouveaux sujets. Encore jeune et inexpérimenté, Georges Ier est confronté à une situation intérieure très difficile. À son arrivée au pouvoir, la scène politique grecque est en effet divisée et de graves problèmes financiers secouent le pays. L’agitation nationaliste est par ailleurs très forte et la Grande Idée, autrement dit le désir de réunir tous les Grecs dans un seul et même pays, est au cœur de la politique nationale.

Le règne de Georges Ier est donc largement marqué par les velléités expansionnistes de la population hellène et par l’annexion, tantôt pacifique, tantôt belliqueuse, de plusieurs provinces majoritairement peuplées de Grecs : les îles Ioniennes (1864), la Thessalie (1880) et surtout la Macédoine, l’Épire et la Crète (1913). Malgré tout, la politique de Georges et de ses gouvernements est loin d’être toujours couronnée de succès et des humiliations nationales (comme lorsque les « Puissances protectrices » organisent un blocus contre le pays en 1885) et de graves défaites militaires (comme lors de la Guerre gréco-turque de 1897) ponctuent également son règne.

Sur un plan plus personnel, Georges Ier donne naissance à une importante famille, dont plusieurs membres règnent encore sur des États européens. Le mariage du roi avec la grande-duchesse Olga Constantinovna de Russie donne en effet naissance à plusieurs enfants, avec lesquels le souverain entretient des relations étroites mais parfois orageuses.

Georges Ier meurt assassiné à Thessalonique en 1913 et son fils Constantin Ier lui succède alors sur le trône de Grèce.