Luynes (Indre-et-Loire)
Luynes | |||||
![]() Vue sur la ville. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Tours | ||||
Intercommunalité | Tours Métropole Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Ritouret 2020-2026 |
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Code postal | 37230 | ||||
Code commune | 37139 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Luynois | ||||
Population municipale |
5 099 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 150 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 28″ nord, 0° 33′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 105 m |
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Superficie | 34,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Tours (banlieue) |
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Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Cyr-sur-Loire | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.luynes.fr | ||||
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Luynes est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
GéographieModifier
Communes limitrophesModifier
Géologie et reliefModifier
La commune a une superficie de 34,01 km2. Son altitude varie de 39 à 105 m[2].
HydrographieModifier
La commune est traversée par la Loire (4,234 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 38,46 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Bresme (8,469 km), et divers petits cours d'eau pour certains temporaires[3],[4].
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[5], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[6],[7]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[8]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].
La Bresme, d'une longueur totale de 26,9 km, prend sa source sur la commune de Semblançay au lieu-dit le Plessis de la Gagnerie, à 120 m d'altitude[10] et se jette dans la Loire sur la commune de Saint-Étienne-de-Chigny, à 39 m d'altitude[11] à la pointe de l'île Belle Fille, après avoir traversé 7 communes[12]. Sur le plan piscicole, la Bresme est également classée en deuxième catégorie piscicole[9].
Trois zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Bresme de Pernay à la Houssière », « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin » et « la vallée de la Bresme du Bas Launay au Pont de Grenouille »[13],[14].
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Luynes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[18] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
ToponymieModifier
Au haut Moyen Âge, le village s'appelait Maillé. Maillé prit le nom de Luynes au XVIIe siècle[23]. Le premier texte citant le nom du hameau serait issu du testament de l'évêque Perpet de Tours en 475, document religieux d'époque mérovingienne rédigé en langue latine et qui mentionne le site d'Indre-et-Loire sous la forme Malleium ou sous celle de presbyterum de Malleio[24]. Toutefois, l'historien Charles Lelong a démontré de manière irréfutable que le testament de Perpert de Tours se révèle être une contrefaçon littéraire (ou apocryphe) réalisée au XVIIe siècle par Jérôme Vignier, un prêtre de l'oratoire[25]. En raison de ces faits matériels, les termes Malleium et presbyterum de Malleio ne peuvent être considérés comme recevables[25]. Un siècle plus tard, avec Grégoire de Tours, c'est Malliagense. La charte fondant la paroisse Sainte-Geneviève (961) dit Malliace. Puis l'on trouve Malliacensis, Malliaci, Malleum, Malleacum, Malle, Malleyus, Mailé et Maillé, au fil des époques.
HistoireModifier
L'emplacement du prieuré Saint-Venant aurait été occupé dès l'époque gallo-romaine (IIIe siècle ou IVe siècle). Un aqueduc est encore visible sur le territoire de la commune[26].
MailléModifier
La paroisse est démembrée au VIIIe siècle, de celle de Saint-Venant de Luynes pour créer la paroisse de Fondettes.
Toutefois, certains auteurs, tels que l'historien Jean-Mary Couderc, estiment que la paroisse de Fondettes aurait possiblement été séparée de celle de Saint-Venant de Luynes[Note 4], au tournant des Xe et XIe siècle av. J.-C. (vers l'an mil)[28],[29].
Au Xe siècle, le château appartient à Gelduin de Saumur, premier du nom, seigneur d'Usée et de Pontlevoy, dont le fils Gelduin II fut un des fervents partisans de Eudes II, comte de Touraine. Ayant perdu la ville de Saumur tombée entre les mains de Foulque Nerra, Gelduin II reçut en compensation de son suzerain le château de Chaumont-sur-Loire, et il donna alors à son féal Gosbert la seigneurie de Maillé. Gosbert a été le premier chef de la famille de Maillé. Les premiers seigneurs de Maillé apparaissent au début du XIe siècle, ils oscillent entre les comtes d'Anjou, et les comtes de Blois.
En 1084, Hardouin II de Maillé, petit-fils de Gosbert, fit bâtir l'église Saint-Venant qu'il donna à l'abbaye de Marmoutier.
Le château de Maillé est assiégé et pris en 1096, par Foulque le Réchin, à la suite de l'excommunication de Hardouin II de Maillé.
Hardouin IX de Maillé, baron de Maillé, vend la seigneurie du Montils-les-Tours (Plessis) à Louis XI contre l'union des seigneuries de Maillé et Rochecorbon et la vicomté de Tours sous la même foi et hommage en 1463.
Françoise, petite-fille de Hardouin IX, porta par mariage la terre de Maillé à Gilles de Laval. Un de ses descendants Jean de Laval, fait ériger Maillé en comté en 1572.
LuynesModifier
Le duché-pairie de Luynes est érigé en 1619 pour Charles d'Albert, 1er duc de Luynes, à partir du comté de Maillé et de ses dépendances, lui-même constitué à partir de la baronnie de Maillé et de la seigneurie de Rochecorbon.
Sous la Révolution, Luynes devint Roche-sur-Loire[30], alors que le peuple souhaitait « Belle-Varenne »[réf. nécessaire]. En 1800, avec Napoléon, Luynes reprend son nom.
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste des mairesModifier
Politique environnementaleModifier
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[31].
JumelagesModifier
- Buntingford (Royaume-Uni)
- Meßstetten (Allemagne) (de)de:Meßstetten
- Olvega (Espagne) (es)es:Olvega
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2018, la commune comptait 5 099 habitants[Note 5], en diminution de 2,07 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
ÉvénementsModifier
- La commune de Luynes rassemble chaque année de nombreux visiteurs à son Festival de Théâtre en Val de Luynes, sa Fête de la Saint-Jean, son Festival de Court-métrage et le festival Luynes à l'assaut de l'Amérique.
- : premier raid du val de Luynes, épreuves d'endurance équestre de 20 à 90 km.
EnseignementModifier
Luynes se situe dans l'Académie Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Cyr-sur-Loire. La commune compte plusieurs établissements scolaires :
- L'école maternelle Suzanne Herbinière Lebert
- L'école élémentaire Camus
- L'école élémentaire Pasteur
- L'école primaire privée Sainte Geneviève
- Le collège Lucie et Raymon Aubrac.
Le Pôle Européen des Arts du Cirque est basé sur la commune.
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
- Château de Luynes, du XIIe siècle, situé sur les hauteurs de la ville.
- Ruines d'un aqueduc romain du IIe siècle ainsi que plusieurs vestiges gallo-romains, appartenant à la Liste des monuments historiques de 1862.
- Manoir de Malitourne
- Maison à pans de bois sculptés et halle du XVe siècle.
- Maisons à colombages du XVIIe siècle, situées dans la rue de l'Aqueduc.
- Anciens bains publics du XIXe siècle.
- Église Sainte-Geneviève datant de 1874.
- Les habitats troglodytiques.
- Les halles du XVe siècle.
- La grange de l’ancien hôpital ducal (dite grange de l'Hôtel-Dieu) fondé en 1664.
- Prieuré de Saint-Venant du VIe siècle.
Vestiges de l’aqueduc romain.
Patrimoine immatérielModifier
- La confrérie des Rillettes de Touraine (devenues Indication géographique protégée en 2010[36]) a vu le jour en à Luynes sous l'égide du maire de l'époque.
- La commune de Luynes est sur l'aire de production des appellations Touraine (AOC), Crémant de Loire (AOC), et Rosé de Loire (AOC).
- La commune détient deux sociétés anciennes de boule de fort.
- La commune de Luynes est située sur le chemin de pèlerinage de Saint-Martin de Tours.
Patrimoine naturelModifier
La commune est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)[37],[38].
Personnalités liées à la communeModifier
- Charles d'Albert, duc de Luynes
- Charles Honoré d'Albert de Luynes, duc de Chevreuse
- Charles Philippe d'Albert de Luynes
- Honoré d'Albert, duc de Luynes (1868-1924)
- Honoré Théodoric d'Albert de Luynes
- Louis Charles d'Albert de Luynes
- Louis-Joseph-Charles-Amable d'Albert de Luynes
- Marie-Charles-Louis d'Albert de Luynes
- Anne d'Anglure, marquis de Givry
- Pierre Boille (1914-1995), architecte longtemps domicilié à Luynes où il est décédé.
- Marie Brûlart
- Gaston Chevereau a été instituteur à Luynes.
- Paul-Louis Courier a habité à Luynes pendant quelque temps.
- Arnaud le Dangereux
- la dynastie des Hardouin
- Gilles de Laval
- Jean de Laval
- Guy II de Laval-Loué
- René de Laval-La Faigne
- Augustin de Loynes
- Augustin de Luynes
- Duc de Luynes, voir également Grand Fauconnier de France, Liste des chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit, et Fondation Saint-Louis
- François, baron de Maillé
- Hardouin de Maillé et son épouse Béatrice
- Hilduin ou Guilduin, seigneur de Maillé
- Jacques, baron de Maillé
- Jacquelin de Maillé
- Jeanne-Marie de Maillé, religieuse
- Gaston Monmousseau, homme politique
- Jean-Louis Mucchielli, économiste universitaire
- Kilien Stengel, auteur gastronomique et universitaire
- Louis Rimbault (1877-1949), membre de la bande à Bonnot, anarchiste et précurseur du végétalisme et du socialisme utopique
- Saint Solen (ou Solène ou Solenne) évêque de Chartres (483, etc.) décédé en 507 à Maillé.
CinématographieModifier
- Le film La Ferme des sept péchés de Jean Devaivre rappelle des heures historiques de la ville
HéraldiqueModifier
Blasonnement :
Les armes de Luynes se blasonnent ainsi :
Écartelé : au premier et au quatrième d'or au lion de gueules, au deuxième et au troisième à deux louves ravissantes et affrontées d'argent, sur le tout de gueules à la massue d'or, armée de piquetons d'argent et dressée en pal, au chef du même chargé d'un gonfanon de deux pendants de gueules [39].
Commentaires : Armes de Charles d'Albert, duc de Luynes.
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Blasonnement :
D'or, à deux louves rampantes et affrontées d'azur.[40]
Commentaires : Armes de la ville au XVIIe s.
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Notes et référencesModifier
NotesModifier
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Au cours du Xe siècle av. J.-C. la paroisse de Saint-Venant de Luynes était connue sous le nom de Saint-Venant de Maillé ou Vicaria Mallacencis[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Visualiseur InfoTerre », sur le site InfoTerre du Bureau de recherches géologiques et minières (consulté le 9 juillet 2014).
- Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire Géographique des Communes [lire en ligne].
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le 3 février 2019).
- « Carte hydrologique de Luynes », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le 3 février 2019).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le 3 février 2019).
- « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le 3 février 2019).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 3 février 2019).
- « Source de la Bresme » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
- « Confluence de la Bresme avec la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
- « Fiche Sandre - la Bresme », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le 3 février 2019).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le 3 février 2019).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le 3 février 2019).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 27 mars 2021).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 27 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 27 mars 2021).
- « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 27 mars 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 27 mars 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le 27 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le 27 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le 27 mars 2021).
- « Les Seigneurs de Maillé (Luynes) », FranceBalade.
- Julien Havet, « Questions mérovingiennes. : II. Les découvertes de Jérôme Vignier. », Bibliothèque de l'école des chartes, École des chartes, t. 46, , page 219 (DOI 10.3406/bec.1885.447338, lire en ligne, consulté le 22 mars 2017).
- Charles Lelong, « Note sur le prétendu testament de saint Perpet », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XLIV, , pages 399 à 404 (lire en ligne, consulté le 23 mars 2017).
- Promenades pittoresques en Touraine, histoire, légendes, monuments, paysages; Casimir Chevalier, A. Mame, 1869 - 592 pages.
- Carré de Busserolle 1882, p. 124.
- Stéphane Joly et Alain Jacquet (dir.), « Les occupations des Cochardières à Fondettes (Indre-et-Loire) : extractions calcaires antiques, habitats du Haut Moyen Âge et espaces funéraires à recrutements spécifiques du Moyen-Âge. », dans Stéphane Joly Alain Jacquet (directeur d'ouvrage) et al., Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XII, Tours, Société archéologique de Touraine, , 276 p. (lire en ligne), pages 75 à 92.
- Couderc 1987, p. 409.
- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Éditions Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 144..
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Patrick Prieur et Kilien Stengel, La Touraine en Question, éditions Alan Sutton, .
- whc.unesco.org
- www.valdeloire.org
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=3777
- Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 19 / par J.-X. Carré de Busserolle, publié par la "Société archéologique de Touraine", Impr. de Ladevèze (Tours), 1866-1867.
BibliographieModifier
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Jacques-Xavier Carré de Busserolle, « Luynes », dans Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine. : Mémoires de la Société archéologique de Touraine., t. IV, Tours, Société archéologique de Touraine, , 433 p. (lire en ligne), pages 124 à 134.
- Casimir Chevalier (dir.) et al., « Luynes », dans C. Chevalier (directeur d'ouvrage) et al., Annales de la Société d'Agriculture : sciences, arts et belles-lettres du département d'Indre-et-Loire., vol. 47 à 48, Tours, Imprimerie Ladevèze, (lire en ligne), pages 353 à 356.
- Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, C.L.D., , 967 p. (ISBN 2-85443-136-7).
- P. Louis Lainé, « De Maillé », dans P. Louis Lainé, Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France., t. 5, Paris, (lire en ligne), pages 1 à 22.
- . Denis Jeanson. Sites et Monuments du Val de Loire 3. Tours, 1985. Étude consacrée à l'histoire de la formation et de l'architecture de la commune de Luynes.
- Dans le roman Rama II d'Arthur C. Clarke, Nicole, l'héroïne, habite avec sa famille à Luynes, précisément à Beauvois. Sa fille fréquente l'école de Luynes, et Nicole et sa famille fréquentent l'église de Saint-Étienne-de-Chigny.