Georges Mirianon

artiste français

Georges Mirianon est un artiste peintre, dessinateur, lithographe et sculpteur français né le à Neuville-lès-Dieppe (Seine Maritime, alors nommée Seine-Inférieure) qui vécut au Mesnil-Esnard (Seine-Maritime) où il est mort le .

Georges Mirianon
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Naissance
Décès
Nom de naissance
Georges Mirianoff
Nationalité
Française
Activités
Autres activités
Architecte
Formation
Lycée Pierre-Corneille, École régionale des beaux-arts et École d'architecture, Rouen ; École nationale supérieure des beaux-arts, Paris
Maître
Mouvement
École de Rouen
Influencé par
Distinction
Président de la Société des artistes normands

Biographie

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Origines familiales

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Alexandre Dumas

Georges Mirianon naît rue Bultel-Bourdon à Neuville-lès-Dieppe où sont domiciliés ses parents Vazili Mirianoff, lui-même né à Neuville-les-Dieppe (descendant d'une famille de Poti, port géorgien de la Mer Noire, il francisera son état civil en Georges, Alexandre, Germain Mirianon), officier de la marine de commerce, capitaine au long cours et professeur à l'École d'hydrographie (on lui doit un Traité des évolutions sous voiles[1]), et de son épouse née Suzanne Loyer[2], fille de Paul Loyer, exploitant une briqueterie locale. Fils unique, on compte parmi ses ascendants maternels Nicolas d'Amerval de Liancourt, de Vignacourt (Somme), qui fut un temps l'époux (mariage annulé en 1594)[3] de Gabrielle d'Estrées, favorite du roi Henri IV[2]. Son grand-père paternel, Vassily Mirianoff, se lia à Alexandre Dumas qui en fit la connaissance à Poti lors de son grand voyage en Russie, accepta de le suivre et en devint le factotum jusqu'aux derniers jours de l'écrivain à Neuville-les-Dieppe, dans le hameau de Puys[4].

Formation

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Rouen, la halle aux Toiles
 
Lucien Simon, Autoportrait

Après le décès de Vazili - mobilisé dans une unité de fusiliers marins en août 1914, il disparaît en novembre 1914 dans les environs de Dixmude - Georges et sa mère sont logés dans un premier temps par Paul Loyer à la villa Mont Désir, située sur la route d'Eu à Neuville-lès-Dieppe, l'enfant entamant sa scolarité en octobre 1916 au collège Jehan-Ango de Dieppe. Leur installation dans un second temps à Rouen fait que Georges entre en classe de sixième au lycée Pierre-Corneille de Rouen. La prédilection de l'enfant pour le dessin, au détriment des autres matières fait que Suzanne le confie à un très jeune précepteur du nom de Joseph (il sera plus tard directeur des services financiers de la ville de Rouen) qu'elle épouse en 1923 pour un emménagement rue Henri-de-la-Pommeraye. Georges compense la froide mésentente avec ce beau-père par de nombreux séjours chez une tante de Londres. Affirmant en 1925 sa vocation d'artiste peintre ou sculpteur, un compromis familial le fait entrer en 1926 en tant que « grouillot » dans un cabinet d'architecte et fréquenter simultanément les cours du soir de l'École des beaux-arts de Rouen, alors située dans la Halle aux Toiles, où il a notamment pour condisciple Roger Tolmer. Il est admis en 1928 à l'École d'architecture où il a pour maîtres Édouard Delabarre et Georges Feray, se consacrant cependant bien davantage à la peinture et au dessin qu'à ces études, s'initiant même à la sculpture dans l'atelier du rouennais Duparc. Il est admis à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 1935 et y est l'élève de Lucien Simon[2].

Sa première exposition, en compagnie du peintre Fernant Guéroult, se tient à la Galerie Legrip, à Rouen, en mars 1937[5].

La Seconde Guerre mondiale, l'Occupation

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Rouen bombardée, juin 1940

Réformé, Georges Mirianon n'est donc pas mobilisé en septembre 1939. Le 9 juin 1940, il emmène sa famille à Vannes où son repliés les services financiers d'une ville de Rouen investie par les blindés et où il est de retour le mois suivant pour en découvrir un centre désastreusement mutilé par les bombardements. À l'instar de Léonard Bordes par la peinture, il apporte son témoignage sur les tragiques démolitions par des aquarelles et des dessins qui lui valent de recevoir, des mains de son ancien maître Édouard Delabarre en décembre 1940, le Prix Georges-Bouctot de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen et il est de la sorte remarqué par les architectes André Guerrier et André Robinne, futurs acteurs de la reconstruction de Rouen aux fins de laquelle, en même temps que son condisciple à l'École des beaux-arts de Rouen Roger Tolmer, il est sollicité en tant que dessinateur. En 1941, il est trésorier du Comité d'entraide aux artistes prisonniers et on le sait auteur d'affiches clandestines exaltant l'esprit de la Résistance, aujourd'hui malheureusement introuvables[2].

D'octobre 1943, avec le projet de l'église Saint-Benoît de Cléville (Seine-Maritime), datent les premiers cartons de vitraux de Georges Mirianon, lesquels, par « des simplifications ou des déformations géométriques », suggèrent l'influence de Jean Souverbie dont on sait qu'il prononce alors fréquemment et admirativement le nom. Il épouse France Lenormand, secrétaire d'André Guerrier, le 2 mai 1944 (deux enfants leur naîtront, Patrice en 1947 et Marie-Claude en 1950) et, dans la ville de Rouen qui connaîtra à nouveau les combats et les bombes jusqu'au 30 août suivant, le couple s'installe au 9, rue Abbé-Cochet[2].

L'après-guerre

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Dès l'immédiat après-guerre, l'artiste mène de pair les travaux de commandes - ils commencent en 1947 avec le remplacement des vitraux de l'église Saint-Martin de Barentin, brisés par l'explosion d'un V1, que suivront en 1951 les importantes céramiques pour le maître-autel de l'église Saint-Pierre de Bacqueville-en-Caux, de même gravement endommagée par une bombe, puis en 1956 le grand Christ sculpté pour le maître-autel de l'église Saint-Pierre d'Yvetot - et les expositions. Il devient artiste permanent de la Galerie Menuisement, à Rouen, en 1946 et l'on relève au Salon des artistes rouennais et de Normandie de 1948 qu'il aborde également le travail de la médaille. Des villégiatures le conduisent en 1948 ou 1949 à Marseille et Nice (d'où il rapporte une suite d'aquarelles sur le thème du Carnaval), à Dublin où une exposition personnelle lui est consacrée en 1952, en Italie (Rome, Florence et Venise en 1956, en cure à La Bourboule de 1965 à 1970, en séjour à La Ciotat à partir de 1970, en Corse en 1973. C'est avec Léon Toublanc, Robert Savary et Roger Tolmer qu'il participe en 1961 à l'exécution des grandes fresque murales de la halle aux Toiles de Rouen. Il s'installe définitivement à la résidence des Maliers, rue Pasteur au Mesnil-Esnard, en 1972[2].

Vaincu par une cruelle maladie, Georges Mirianon meurt le 7 juillet 1986 et ses cendres sont dispersées dans le jardin du Souvenir du cimetière monumental de Rouen. Roger Balavoine rappelle alors que « longtemps président du Salon de Rouen, discret et tranquille, il n'aura méprisé que l'indifférence, la force essentielle de sa vie fut l'amour… Il aimait agir pour le mieux des hommes et rendait la vie plus riche parce qu'il avait le regard profond et la simplicité des cœurs purs »[6],[7].

Œuvre graphique

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L'estimation quantitative de l'œuvre graphique de Georges Mirianon monte à 300 peintures à l'huile, 250 gouaches majoritairement des années 1950 et 1960, 200 à 300 fusains, un nombre sensiblement équivalent de lavis et autant d'aquarelles, 600 à 700 pastels, pour la plupart réalisés à partir de 1965[2].

Contributions bibliophiliques

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  • Fernand Guey (préf.), Rouen et l'exode, album, contributions de vingt artistes dont Georges Mirianon avec la gravure L'atmosphère d'un centre d'accueil, Comité d'entraide aux artistes prisonniers, 1941[2].
  • Hommage à Georges Ruel, dessins de Georges Mirianon, Comité d'entraide aux artistes prisonniers, 1943[2].

Expositions

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Expositions personnelles

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  • Georges Mirianon - Œuvres sur papier et huiles, Galerie Legrip, Rouen octobre 1942[8].
  • Georges Mirianon - Trente-deux aquarelles et dessins, Galerie Prigent, Rouen, février 1945[2].
  • Georges Mirianon - Trente œuvres sur papier, Galerie Poirier, Paris, février 1945[9].
  • Librairie-galerie Menuisement, Rouen, mars 1946[10], avril 1947[11].
  • Georges Mirianon - Huiles et œuvres sur papier, Galerie Waddington, Dublin, janvier 1952[12],[13].
  • Georges Mirianon - Fusains et pastels, Galerie Menuisement, Rouen, avril 1960, novembre 1961[14], octobre 1968, mars 1971, mars 1973, décembre 1974[2], novembre 1975[15],[16], novembre 1977[17],[18].
  • Galerie du Val-de-Seine, Caudebec-en-Caux, décembre 1966[19],[20].
  • Georges Mirianon - Pastels et aquarelles : paysages d'Auvergne, de Normandie, de la Côte d'Azur, fleurs et natures mortes, Galerie Hamon, Le Havre, mars 1970[2].
  • Georges Mirianon - Souvenirs de voyages (Corse, Normandie, Auvergne, Provence), fleurs et natures mortes, Galerie de l'Ailly, Sainte-Marguerite-sur-Mer, juin 1974[21].
  • Lavis et dessins de Mirianon, Galerie Anne Colin, Paris, mars 1978.
  • Chambre française de commerce et d'industrie pour les provinces d'Anvers et du Limbourg, Anvers, septembre 1979[22].
  • Georges Mirianon - La fête du pastel, Galerie Alfa, Le Havre, mai 1983[23],[24].
  • Galerie Rollin, Rouen, janvier 1984[25].
  • Georges Mirianon - Rétrospective, Centre culturel du Mesnil-Esnard, septembre 1984[26].
  • Hommage à Georges Mirianon, hôtel de ville de Sotteville-lès-Rouen.

Expositions collectives

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Musée des Beaux-Arts de Rouen, 1943
 
Musée de la maison d'Ozé, Alençon, 1947
 
Maladrerie Saint-Lazare de Beauvais, 1974
 
Manoir de Briançon, Criel-sur-Mer, 1974, 2006
 
Palais Granvelle, Besançon, 1974
 
Hôtel de ville de Niort, 1975
 
Halle au blé d'Alençon, 1977
 
Chapelle du collège des Jésuites d'Eu, 1979
 
Abbaye Saint-Georges de Boscherville, 2013

Réception critique

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  • « La facture personnelle de Georges Mirianon, qui traduit en quelques traits simples, expressifs, puissants, tout ce que sa sensibilité aiguë ressent de la misère des ruines, de l'exode ; le parti qu'il tire du blanc et du noir dans ses merveilleux dessins à l'encre de Chine ; la justesse de toutes ses valeurs dans toutes ses peintures solides, dans tous les tons qui sen tiennent ; la chaleur de ses coloris dans ses gouaches ; la simplification synthétique retrouvée partout, qui est la marque même de son talent déjà très sûr… » - René Rouault de La Vigne[8]
  • « Les gouaches de Mirianon - quelques fruits, des draperies - ont une vie secrète profonde qui s'exprime par une lumière semblant provenir des objets eux-mêmes. Chacune de ces gouaches où se croisent pourtant mille couleurs garde une coloration générale qui e assure l'unité. Traitées souvent en hachures, elles ont des allures de pastels sans cet amortissement de tons que donnent souvent les craies. » - Marius David[38]
  • « Mirianon a mis l'accent sur le caractère principal de ses recherches actuelles : la poésie, la musique, la magie des lignes et des couleurs, dans une figuration proche de l'abstrait, laquelle ne reste qu'un prétexte pour nous fixer sur l'apparence de la réalité afin de nous permettre d'en atteindre l'esprit à travers leur harmonie et leur rythme, leurs rapports de couleurs et leurs formes. » - Bernard Nebout[39]
  • « Mirianon est une valeur sûre de la peinture normande. De ses œuvres, il se dégage une remarquable impression de spontanéité, de légèreté, d'élégance, nous pourrions dire de suprême distinction, tant la composition est parfaitement équilibrée. La technique est parfaitement au point, l'artiste travaillant par superposition, ce qui lui permet de parvenir à de belles et quasi-irréelles transparences qu'il traduit par des effets de lumière sur des verres et des carafes, des bouquets de fleurs, mais aussi dans des paysages et même des natures mortes. Il faut dire que sa palette est large et riche de mauves, de bleus et de roses, mais aussi de verts et de rouges qu'il maîtrise avec une infinie facilité qui n'est point qu'apparence… Georges Mirianon - pastelliste du XXe siècle comme l'avait pu écrire René Vauclin - est véritablement un grand artiste mais aussi un poète, celui de l'harmonie des couleurs, des formes et des rythmes. » - Pierre Lion[24]
  • « Georges Mirianon faisait sans conteste partie de ces "êtres prédisposés au rêve" qu'évoque le grand poète danois Jens Peter Jacobsen, tant était grand son pouvoir inné d'en restituer l'essence dans ses dessins, ses encres, ses pastels et ses huiles. Nous aimons à nous attarder devant une œuvre de Mirianon comme nous aimons goûter les mots d'un poème, les sons d'une musique. Et si nous ne devons utiliser qu'un mot pour définir sa facture unique, il nous semble que c'est évanescence qui conviendrait le mieux. En effet, si une œuvre de Mirianon atteint bien notre cœur en premier, son pouvoir d'exprimer s pare d'un style identifiable entre tous : un dessin naturel au départ, un trait qui ne s'arrête sur rien, des hachures inspirées qui, au-delà du sujet, suggèrent le non-dit, l'impalpable, la poésie des êtres et des choses, l'atmosphère subtile des paysages. Ce don privilégié, ce pouvoir de nous toucher profondément, inoubliablement, nous fait aimer l'œuvre non seulement avec la tendresse qu'on voue à un ami, mais aussi avec l'admiration qu'on porte au talent d'un artiste qui élève la création au niveau de l'intention. Ce qui est rare… » - Jean Marc[2]
  • « Georges Mirianon était très éclectique. Il disait apprécier la diversité et prit plaisir à réaliser des travaux de commande dont on le chargea pendant plus d'un quart de siècle. Vitrail, modelage, sculpture, décoration, architecture d'intérieur et fresque n'avaient guère de secrets pour lui. Ces travaux lui permirent d'user de toutes les facettes de son art. Ils eurent pour effet de limiter sa production graphique mais en l'aidant à l'assurer… Les influences intervenant dans les débuts de la carrière (Lucien Simon, Jean Souverbie…) s'effacent peu à peu pour laisser la place à un style très personnel quand vient l'époque des pastels. Les critiques en ont décrit les principaux ingrédients : la sûreté du dessin, la tendance à simplifier les formes qui fait parler bien à tort d'abstraction, la luminosité particulière paraissant naître de l'objet représenté lui-même, l'heureuse alchimie des couleurs. Aux teintes vives et contrastées succéderont des amalgames de tons harmonieux, nuancés, comme tissés, d'une grande délicatesse. » - Robert Évreux[2]

Conservation

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Église Saint-Martin de Barentin
 
Église Saint-Benoît de Cléville (Seine-Maritime)
 
Église Saint-Jacques-le-Majeur de La Frénaye

Prix et distinctions

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Hommages

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  • Une rue de Sotteville-les-Rouen, un square du Mesnil-Esnard portent le nom de Georges Mirianon.
  • L'Association des amateurs rouennais d'art (A.R.A.) décerne annuellement à compter de 1993 un Prix Georges-Mirianon qui, au Salon des artistes normands, récompense la meilleure œuvre sur papier[2].

Références

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  1. Vazili Mirianoff, Traité des évolutions sous voiles, G. Lebas éditeur, Dieppe, 1907.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw et ax Robert Évreux (préf. de Roger Balavoine, avant-propos de René Salmon, Jean Marc et André Ruellan), Georges Mirianon - L'attrait de la diversité, Édition de l'Association des amateurs rouennais d'art, 1996.
  3. Jules Berger de Xivrey, « Sur le mariage de Gabrielle d'Estrées avec M. de Liancourt », Bibliothèque de l'École des chartes, no 23, 1862, pp. 461-468
  4. Camille Lahrer, « L'écrivain Alexandre Dumas est venu mourir à Puys, près de Dieppe », Les Informations dieppoises, 28 septembre 2017
  5. a et b « Les expositions (Legrip) - Guéroult et Mirianon », Rouen-Gazette, 27 mars 1937.
  6. Roger Balavoine, « Ceux qui nous quittent : Georges Mirianon », Paris-Normandie, 9 juillet 1986.
  7. Francis-Rémi Parment, « Les cendres de Georges Mirianon, qui laisse une œuvre des plus durables, ont été dispersées au jardin du Souvenir », Liberté-Dimanche, 13 juillet 1986.
  8. a et b René Rouault de La Vigne, « Exposition Georges Mirianon », Le Journal de Rouen, 10 octobre 1942.
  9. « Mirianon », Arts, 19 février 1945.
  10. Georges Gabory, « Exposition Mirianon, Librairie Menuisement, place de la cathédrale », Normandie, mars 1946.
  11. J.D. « Exposition », L'Écho de Normandie, 7 avril 1947.
  12. Noala, « Fashion and Gossip », Dublin Evenin Mail, 8 février 1052.
  13. « French painter's Dublin Show », Sunday Independant, 10 février 1952.
  14. Bernard Nebout, « Les pastels de Mirianon chez Menuisement », Paris-Normandie, 16 novembre 1961.
  15. R. Vauclin, « Georges Mirianon à la Galerie Menuisement », Paris-Normandie, 17 novembre 1975.
  16. André Ruellan, « Rouen », Le peintre, novembre 1975.
  17. André Ruellan, « Georges Mirianon, Galerie Menuisement », Les affiches de Normandie, 2 novembre 1977.
  18. Alexandre Manoury, « Mirianon à la Galerie Menuisement », Le Figaro - Paris-Normandie, novembre 1977.
  19. Bernard Nebout, « À la Galerie du Val-de-Seine : le rouennais Mirianon », Paris-Normandie, 7 décembre 1966.
  20. Bernard Boury, « À la Galerie du Val-de-Seine, le rouennais Mirianon met sa technique de peintre au service d'une synthèse de figuratif et d'abstrait », Le Courrier cauchois, 10 décembre 1966.
  21. André Ruellan, « Georges Mirianon », Tout Rouen, juillet 1974.
  22. Bulletin mensuel de la Chambre française de commerce et d'industrie pour les provinces d'Anvers et du Limbourg, no 825, septembre 1979.
  23. « Le fête du pastel avec Georges Mirianon », Le Havre libre, 5 mai 1983.
  24. a et b Pierre Lion, « Georges Mirianon, pastelliste du XXe siècle », Le Havre libre, mai 1983.
  25. Roger Balavoine, « Mirianon à la Galerie Rollin », Paris-Normandie, 11 janvier 1984.
  26. Francis-Rémi Parment, « Mirianon, une œuvre dans toute l'acceptation du terme », Liberté-Dimanche, septembre 1985.
  27. René Rouault de La Vigne, « Au Salon des provinces françaises », Journal de Rouen, 10 mai 1943.
  28. J.-V. Hélot, « Rouen, Galerie Legrip : œuvres de la jeune École rouennaise », Beaux-Arts, 10 août 1943.
  29. « La Galerie Prigent : les Rouennais », Journal de Rouen, 7 novembre 1943.
  30. J.-V. Hélot, « Rouen, Galerie Prigent : les contemporains », Beaux-Arts, 14 janvier 1944.
  31. P. Leroy, « Les expositions », Liberté normande, 23 mars 1945.
  32. « Rouen », Arts, 22 mars 1946.
  33. L. D., « L'art moderne à Rouen », Le Monde illustré, .
  34. B. Nebout, « Intimité », Paris-Normandie, 12 janvier 1948.
  35. Paul Leroy, « À la Galerie Menuisement : sur le thème du, cirque », Liberté normande, 4 mars 1948.
  36. J. D., « Expositions », L'Écho de Normandie, 7 avril 1948.
  37. N. L. « L'exposition des modernes de Rouen », Havre libre. avril 1948.
  38. a et b Marius David, « Galerie Gaudray : Mirianon et Georges Cyr », Paris Normandie, octobre 1960.
  39. a et b Bernard Nebout, Yankel - Mirianon, éditions de la Galerie Menuisement, Rouen, décembre 1960.
  40. a et b Le Peintre, .
  41. Rémi-Francis Parment, « Salon de Rouen : fidélité du retour au bercail de tous les grands de la peinture rouennaise », Liberté-Dimanche, 12 octobre 1969.
  42. R. Vauclair, « Galerie Menuisement : les peintres rouennais contemporains pour l'exposition d'été », Paris-Normandie, 12 juillet 1973.
  43. Les Informations dieppoises, 21 août 1973.
  44. Roger Balavoine, « Exposition à Saint-Étienne du Rouvray », Paris-Normandie, 14 mars 1974.
  45. Roger Balavoine, « À l'hôtel de ville de Sotteville-lès-Rouen, huit peintres pour un ensemble de haute qualité », Paris-Normandie, janvier 1975.
  46. R. Vauclin, « Pastelliste du XXe siècle, Georges Mirianon va exposer à Saint-Quentin, ville natale de Maurice Quentin de La Tour, pastelliste du XVIIIe siècle », Paris-Normandie, 20 novembre 1974.
  47. « À la Société industrielle, exposition de deux artistes normands, Georges Mirianon et Daniel Revillod », L'Union, 28 mai 1975.
  48. « Deux artistes normands exposent à la S.I.C.A. », La Voix du Nord, 30 mai 1975.
  49. « À la Société industrielle, exposition de deux normands, Georges Mirianon et Daniel Revillod », L'Aisne nouvelle, 31 mai 1975.
  50. R. Vauclin, « Deux peintres aux attaches dieppoises, Georges Mirianon et Daniel Revillod, exposent leurs œuvres à Saint-Quentin », Paris-Normandie, 31 mai 1975.
  51. « À la Société industrielle, Georges Mirianon et Daniel Revillod exposent la beauté sauvage de la Normandie », L'Aisne nouvelle, 3 juin 1975.
  52. « Des pastels et des gouaches au service de la Normandie », L'Union, 5 juin 1975.
  53. J. Beyt, « Prestige de l'École de Rouen à l'hôtel de ville de Niort », Le Courrier de l'Ouest, 25 octobre 1975.
  54. « Mirianon, un rouennais à la conquête des cimes havraises », Liberté-dimancje, 10 décembre 1978.
  55. F. Tardif, « À la Select Gallery, six peintres havrais et rouennais autour de Georges Mirianon », Havre Presse - Paris-Normandie, 12 décembre 1978.
  56. « À la chapelle du collège d'Eu », Paris-Normandie, 26 août 1979.
  57. René Salmon, Panorama de la peinture contemporainr, éditions de la ville de Sotteville-lès-Rouen, 1980.
  58. François Gay, « Un maître de l'École de Rouen : Robert Évreux, Georges Mirianon - L'attrait de la diversité, 1996 », Études normandes, no 46-4, 1997, p. 95
  59. Patrimoine Histoire, L'église Saint-Martin de Barentin
  60. René Rouault de La Vigne, « Des cartons de Mirianon pour les vitraux de Cléville », Journal de Rouen, 22 août 1943.
  61. « Georges Mirianon termine la décoration de l'école maternelle Pagnol », Pais-Normandie, juillet 1976.
  62. « "Verres et dentelles", une œuvre de Georges Mirianon pour la ville de Rouen », Paris-Normandie, 14 janvier 1984.
  63. Francis-Rémi Parment, « "Verres et dentelles", un pastel de Mirianon offert à la ville pars les Amis rouennais de l'art », Liberté-Dimanche, 15 janvier 1984.
  64. Roger Parment, « Rouen a inauguré à la Halle aux Toiles sa nouvelle merveille : la salle des fêtes net des congrès », Paris-Normandie, 16 octobre 1961.
  65. André Ruellan, « Georges Mirianon », Art-Culture-France
  66. Patrimoine Histoire, L'église Saint-Pierre d'Yvetot
  67. Société des artistes normands, présentation de l'association

Annexes

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Bibliographie

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  • Bernard Nebout, Yankel - Mirianon, éditions de la Galerie Menuisement, Rouen, 1960.
  • René Salmon, Panorama de la peinture contemporaine, éditions de la ville de Sotteville-lès-Rouen, 1980.
  • Robert Évreux (préf. de Roger Balavoine, avant-propos de René Salmon, Jean Marc et André Ruellan), Georges Mirianon - L'attrait de la diversité, Édition des Amateurs rouennais d'art, 1996.

Liens externes

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