Wikipédia:Oracle/semaine 36 2016

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Traduction hébreu-français modifier

 

Bonjour et bonne semaine ! Pourriez-vous me traduire l'inscription SVP ? Merci déjà, Égoïté (discuter) 6 septembre 2016 à 07:28 (CEST)[répondre]

מאה שנה (mea chana) : cent ans. Bonne journée Alt0160 ♫♪ 6 septembre 2016 à 08:48 (CEST)[répondre]
Grand merci ! Pourrais-tu me dire s'il y a un évènement relatif à la religion juive qui justifierait cette mention sur une tasse de faïence blanche dont le bord est décoré d'une grecque ? Si la tasse pourrait être liée à un repas typique/précis juif ? Amclt, Égoïté (discuter) 6 septembre 2016 à 10:21 (CEST)[répondre]
Je ne vois pas du tout ce que ça pourrait être, mais peut-être que d'autres membres du Projet:Judaïsme auront une idée en voyant ton message sur la page de discussion   Tu as d'autres infos sur cette tasse ? Alt0160 ♫♪ 6 septembre 2016 à 10:36 (CEST)[répondre]
Après une rapide recherche avec le texte hébreu donné par Alt0160 j'ai trouvé pas mal de résultats me laissant penser qu'il doit s'agir de quelque chose de profane, ce qui est somme toute logique : 100 ans sont un temps et une durée courts pour le sacré. Les objets (timbres, livres, plaques, etc.) portant cette mention célèbrent un centenaire, tout bêtement. Une chose vraisemblable, vu l'objet, est qu'un établissement genre café, salon de thé, brasserie ou restaurant a commandé des tasses spéciales pour fêter le centenaire de sa fondation, ou le centenaire de son fondateur. >O~M~H< 6 septembre 2016 à 11:22 (CEST)[répondre]
Non aucune indication sur l'objet... Ceci-dit le format de la tasse est peu compatible avec un stockage en resto, brasserie, etc. Il est plutôt du type des tasses portant un prénom qu'on vendait dans les magasins "touristiques" de Bretagne et autres régions (non empilable). Je pense début XXe s. Bis Égoïté (discuter) 6 septembre 2016 à 22:47 (CEST)[répondre]
Si elle est unique, cela pourrait très bien être un cadeau d'anniversaire pour une personne, bonne chance pour trouver plus d'informations. --CQui (discuter) 7 septembre 2016 à 10:43 (CEST)[répondre]
L’article Sto lat : indique « Sto lat (« Cent ans ») est une chanson polonaise pouvant être rapprochée du Joyeux Anniversaire français. » Y aurait-il un rapport ? Alphabeta (discuter) 9 septembre 2016 à 15:20 (CEST)[répondre]
Cela dit, en Pologne, on chante rarement "sto lat" en buvant du... café ! :) - alice
À Alt0160 (d · c · b) : merci d’éclaircir un point de grammaire qui m’intrigue : wikt:fr:שנה indique que le pluriel de shana (« année ») est shanim (שָׁנִים). Et un quartier de Jérusalem est appelé Méa Shéarim c’est-à-dire les « Cent Portes » (-im est une marque de pluriel). Alors pourquoi ce shana apparemment au singulier dans « מאה שנה (mea chana) : cent ans » ? Alphabeta (discuter) 9 septembre 2016 à 15:01 (CEST)[répondre]
Sur le pluriel de Shana, voir Genèse 23, 1 : “Et ce sont les vies de Sarah : cent ans (SNH, Shanah) et vingt ans (SNH, Shanah) et sept ans (SNYM, Shanim), les années (SNY, Shenéy) des vies de Sarah” ? MLL (discuter) 9 septembre 2016 à 17:20 (CEST)[répondre]
J’ai consulté http://saintebible.com/text/genesis/23-1.htm mais cette trado mot à mot ne comporte pas d’explications grammaticales… Alphabeta (discuter) 9 septembre 2016 à 21:26 (CEST)[répondre]
Lisez donc "Deux ans de réflexion" sur le blog de "Judéopédia" MLL (discuter) 10 septembre 2016 à 11:01 (CEST)[répondre]
«  Lisez donc "Deux ans de réflexion" sur le blog de "Judéopédia" MLL (discuter) 10 septembre 2016 à 11:01 (CEST)  » : désolé je n’ai pas réussi à mettre le nez sur le passage : je ne suis pas opérateur hors de pair ![répondre]
Pour éviter toute ambiguïté : שנה shana « année » ne semble pas pourvoir être considéré comme une forme de pluriel (identique au singulier donc) : c’est מאה mea « 100 » qui peut être accompagné d’un singulier.
J’ai en effet consulté l’ouvrage pédagogique de Mireille Hadas-Lebel, Parlons hébreu (L’Harmattan, 1998, (ISBN 2-7384-6255-3)).
On y lit page 53 : « Le nom de l’objet compté se met toujours au pluriel entre 2 et 10. Au dessus de 10, on rencontre souvent le singulier conformément au vieil usage biblique, mais aujourd’hui plutôt dans des expressions figées. » L’exemple fourni est : « alpaïm shana 2000 ans ».
Mea culpa (sans jeu de mot sur mea, va sans dire  ) donc pour avoir abusé de la patience des uns et des autres alors que je pouvais trouver la solution par moi-même assez facilement… Alphabeta (discuter) 10 septembre 2016 à 20:36 (CEST)[répondre]
Voir aussi http://www.pasajeslibros.com/libros/mea-shanim-shel-bedidut-cien-anos-de-soledad/9980000004356/ : la traduction en hébreu moderne du titre du roman Cent ans de solitude de Gabriel García Márquez (le titre original espagnol est Cien años de soledad) est Mea Shanim shel Bedidut : « cent ans » est traduit par mea shanim et non par le biblique mea shanaAlphabeta (discuter) 11 septembre 2016 à 13:48 (CEST) [répondre]

Pluie acide et émissions de gaz carbonique modifier

J'ai souvent lu que les pluies acides étaient produites par une pollution au dioxyde de soufre ou au dioxyde d'azote rejetés par les moteurs, les usines, etc... et qu'en est-il du gaz carbonique? Pourquoi considére-t-on le plus souvent que son rôle est négligeable, puis que l'acidité naturelle de l'eau de pluie est - d'après pluie acide - due à la solvatation de dioxyde de carbone atmosphérique, qui forme de l'acide carbonique. merci pour vos lumières.--BalaiFaubert (discuter) 6 septembre 2016 à 17:07 (CEST)[répondre]

Salut, BalaiFaubert. En fait, l'article explique à-peu-près la chose : l'acidité par dissolution de gaz carbonique est dite naturelle car ce gaz acide est naturellement présent à dose relativement importante dans l'atmosphère ; mais au-delà de ça, les pluies acides problématiques sont celles chargées en SO2, SO3, NO et NO2 parce que ces gaz « réagissent dans l'atmosphère avec le dioxygène et l'eau pour former respectivement de l'acide sulfureux H2SO3 et de l'acide nitrique HNO3 », le gaz carbonique retournant pour l'essentiel dans l'atmosphère. C'est plutôt dans les océans que le gaz carbonique pose problème, où il est directement dissous, l'augmentation du taux de CO2 ayant entre autres effets problématiques une action corrosive sur les coquilles de mollusques et le corail. >O~M~H< 6 septembre 2016 à 20:33 (CEST)[répondre]

métissage de l'aristocratie et de la noblesse? modifier

Bonjour à tous,

J'ai entendus à plusieurs reprises que l'aristocratie/noblesse en France (et probablement en Europe) était extrêmement métissée dans le sens ou les mariages en nobles de pays différents étaient très fréquent. Les quelques biographies et arbres généalogique que j'ai vu confirme cela.

Je suis curieux de savoir si il existe des statistiques à ce propos et dans quels proportions ces mariages avaient lieu. Si oui entre quels pays étaient ils fréquent et à quel époque?

Merci d'avance. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Matvo9 (discuter), le 6 septembre 2016 à 18:42‎

Salut, Matvo9 (d · c). On ne peut pas vraiment parler de métissage, d'abord parce qu'à l'époque toute la noblesse européenne est, comme dit la typologie classique, caucasienne, ensuite parce que la particularité de la noblesse est justement de ne pas connaître de frontières, elle forme une classe sociale qu'on pourrait dire déterritorialisée.
Sous un certain aspect, un noble est attaché à une terre, celle qui forme son nom d'usage (le duc de Berry, le comte de Poitiers...), sous un autre aspect il fait partie d'une société qui se place au-dessus de celle locale : quand un noble veut marier ses enfants, il ne cherchera pas quelqu'un de géographiquement proche mais quelqu'un de statut équivalent et en outre, en vue de sceller des alliances. Bien sûr, plus on monte dans la hiérarchie, plus les possibilités d'union se restreignent, et plus les nécessités d'alliances « internationales » augmentent, raison pourquoi les ducs, princes et rois concluront souvent des unions hors des frontières de leur nation de base.
En fait, c'est une chose ancienne et qui d'une certaine manière persiste : plus on monte dans la hiérarchie sociale, moins les personnes sont liées à une territoire et plus elles sont liées à leur classe. Bien sûr, il y a aussi de la mobilité parmi les classes les plus basses mais les alliances entre personnes d'origines diverses fonctionnent autrement : parmi les classes les plus aisées on n'est donc souvent pas attaché à une territoire et on privilégie les alliances dans sa propre classe, à l'autre bout la question de la classe intervient aussi mais si l'on épouse un « non local », en fait c'est quand même un local, le plus souvent, immigré ou issu de l'immigration, sinon parfois les marins et les militaires qui épousent des étrangères et les ramènent chez eux. >O~M~H< 6 septembre 2016 à 19:55 (CEST)[répondre]
En fait, ce serait plutôt le contraire, a trop vouloir se marier dans la bonne classe depuis trop lontemps, <mode cliché>il sont tous cousins</mode>… --CQui (discuter) 7 septembre 2016 à 10:38 (CEST)[répondre]

Modification des dessins des molécules en chimie modifier

Question et réponses transférées depuis la semaine 35 2016

Bonjour,

j'ai écrit des articles de chimie dans lesquels je modifie les dessins des molécules chimiques. est-il possible d'ajouter ces dessins dans wikipedia ? Il doit y avoir chez vous un controleur de ces dessins. est-il possible de le contacter ? mes articles sont disponibles sur internet avec la recherche dans Google de Geoffroy Auvert publication

Bonne journée

Geoffroy — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2a01:cb15:8063:8b00:9cc2:b4b0:eae9:bb9e (discuter), le 5 septembre 2016 à 13:15‎

Bonjour,
malheureusement Wikipédia se veut l’écho de ce qui est communément accepté et utilisé, et les idées nouvelles n’y ont pas leur place. De façon générale il est déconseillé d’y présenter ses propres idées originales, même si elles ont fait l’objet d’une publication par ailleurs. Vous pouvez peut-être trouver une place à cette even-odd rule sur wikilivres... rv1729 5 septembre 2016 à 14:27 (CEST)[répondre]
Salut, 2a01:cb15:8063:8b00:9cc2:b4b0:eae9:bb9e (d · c). Soit précisé, ta question concernerait plutôt le Bistro du jour ou les questions techniques. Il y a deux aspects, celui technique et celui indiqué par rv, de contenu.
Pour le premier, pas de problème pour verser des images sur Wikipédia, ou plus précisément sur Wikimedia (la partie banque de données multimédia du projet), sinon qu'il y a des prérequis : 1) disposer d'un compte utilisateur (contrairement à l'encyclopédie, les contributions multimédia ne peuvent être anonymes) ; 2) que l'image originale, si déjà publiée, soit dans le domaine public ou sous une licence libre compatible avec celle de Wikimedia (voir la page Aide:Images pour ces deux questions).
Pour le second, il y a deux réponses, celle concernant le projet en amont Wikimedia et les projets voisins comme les wikilivres et la wikiversité, et celle concernant l'encyclopédie. Pour les autres projets il y a peu de restrictions, sinon celles de bon sens, légales et de raison, de ce fait tu peux librement charger des images sur Wikimedia et, comme le propose rv, publier un wikilivre sur ton travail. Pour l'encyclopédie il y a une règle, celle du travail inédit : ne sont recevables que les textes et les illustrations ayant fait l'objet de publications par des sources considérées fiables indépendantes des auteurs de ces objets. Si ton idée est de placer ces images pour une utilisation comme illustration des articles sur ces molécules, peu de chances que cela arrive. >O~M~H< 5 septembre 2016 à 19:51 (CEST)Merci pour les précisions :) rv [répondre]
Bonjour.
Juste par curiosité, ces dessins représentent-ils une conception moderne de la physique quantique au niveau de l'organisation des liaisons atomiques, selon un article qui aurait pu être publié sur arXiv (et donc soumis à l'approbation de la communauté scientifique) ? --Lupercus (discuter) 7 septembre 2016 à 03:18 (CEST) La publication sur arXiv n’est pas soumise à ... ce que tu dis, même si Cornell a fait des efforts pour virer une grande partie des papiers totalement fantaisistes qui y pullulaient naguère. Par contre, le monsieur a publié dans un journal peer-reviewed mais malheureusement non référencé par les sites du type web of science, donc non reconnu par la communauté scientifique « officielle ». rv1729[répondre]

Calendrier de 13 mois modifier

Bonjour, Un guide péruvien m'a dit que ses ancêtres utilisaient le calendrier lunaire de 28 jours (13 mois). Le 365ième jour était un jour de fête et aux quatre ans il y avait deux jours de fête. Quelqu'un peu confirmer que ce calendrier, qui me semble très logique, a déjà été utilisé. Subsidiairement, sait-on pour quoi beaucoup de calendriers ont 12 mois au lieu de 13 (nombre de lunaisons annuelles), s'agirait-il d'une superstition religieuse ? Merci, --Yanik B 10 septembre 2016 à 17:36 (CEST)[répondre]

Parce que les mois des différents calendriers lunaires (musulman, juif, chinois...) sont des mois lunaires où les mois font une lunaison, soit 29 ou 30 jours (en fait une lunaison fait en moyenne 29,530588 jours). --Serged/ 10 septembre 2016 à 19:16 (CEST)[répondre]
Je lis dans Calendrier fixe#Détail : « [...] Comportant treize mois, ce type de calendrier ne pourrait donc plus être organisé en trimestres ou en semestres [...] ». Le fait que le nombre 13 soit un nombre premier constitue une faiblesse pour les calendriers à treize mois, en dehors de toutes les superstitions pouvant être attachées à ce nombre… Alphabeta (discuter) 10 septembre 2016 à 21:32 (CEST)[répondre]
En revanche, un mois de 28 jours, c’est plus facile à découper en semaines de 7 jours ! Non, la vraie raison est que les patrons ne veulent pas payer un mois de plus. Grasyop 11 septembre 2016 à 15:44 (CEST)[répondre]
Voir aussi Calendrier_solaire_de_364_joursMLL (discuter) 10 septembre 2016 à 23:22 (CEST)[répondre]
Salut, Yanik. Pas envie de chercher mais je me souviens d'une question de ce genre et la réponse était du genre : rien de décisif, un tel calendrier pourrait exister sans qu'on trouve quelque chose de précis. Plus largement, on peut considérer quatre types de calendriers répandus, le calendrier solaire, le calendrier lunaire, le calendrier luni-solaire et le calendrier, disons, d'autre sorte, ni lunaire ni solaire mais qui finit le plus souvent par se caler sur le solaire. Cela dit, il n'existe pas de calendrier logique : les lunaisons ne font pas 28 jours mais environ 29,5 jours, raison pourquoi les calendriers lunaires sont rares, le seul que je connaisse est le calendrier musulman plus court de 11 à 12 jours qu'un calendrier solaire, les autres sont plutôt luni-solaires et procèdent à une compensation, en général une alternance d'années de 12 et 13 mois pour que l'année lunaire corresponde au plus près à une année solaire. Comme calendrier autre il y a le fameux calendrier républicain, solaire à la base, avec 12 mois égaux de 30 jours plus 5 à 6 jours intercalaires « hors mensualité ».
Bien sûr, le calendrier solaire n'est pas si éminemment logique, il a fallu un temps très long (en fait, jusqu'à la révolution du calendrier grégorien en 1582) pour parvenir à établir une méthode simple et régulière permettant de faire correspondre au plus près l'année solaire, composée d'un nombre entier de jours, avec l'année tropique d'environ 365,25 jours, avant ça on rajoutait des jours au petit bonheur la chance.
Sinon, tout dépend de l'usage qu'on veut faire d'un calendrier : compter des périodes longues, de plus ou moins une année solaire, généralement dans le but de chroniquer les grands et petits événements de la société ou civilisation concernée, déterminer le retour d'un événement cosmique régulier (lunaison, saison...), planifier des événements culturels réguliers ? D'évidence, les inventeurs de calendriers vivant dans des zones dites tempérées (entre cercles polaires et tropiques) auront tendance à opter pour les années solaires, le retour des saisons étant un fait notable et important, les inventeurs d'autres zones voire de zones tempérées peu sensibles au saisons, pour le dire, les zones désertiques chaudes ou froides, auront plus de facilité à opter pour des calendriers lunaires non compensés, la régularité des événements culturels et les chroniques n'ayant pas de nécessité à se caler sur la périodicité des saisons.
Cela posé, la grande masse des calendriers est luni-solaire, y compris celui à la base de celui dit (selon qu'on soit ou non politiquement correct) « chrétien » ou « de l'ère commune » (implicitement chrétienne mais bon, passons...) qui, avant les réformes julienne et augustinienne, était à-peu-près lunaire, comptait des mois à-peu-près égaux d'à-peu-près trente jours et prévoyait un système à-peu-près régulier puis de plus en plus irrégulier de compensation pour corriger la dérive entre calendriers lunaire et solaire, je ne sais plus quel édile étant chargé de décider de loin en loin de créer des mois intercalaires. >O~M~H< 11 septembre 2016 à 09:01 (CEST)[répondre]
Notons que le calendrier musulman est issu d'un calendrier luni-solaire, mais pour des raisons théologiques, le mois intercalaire a été supprimé. Ce qui fait que la plupart des musulmans utilisent deux calendriers : Le musulman pour tout ce qui est religion, un autre solaire, pour la pratique (agriculture, climat...) : en général le calendrier grégorien (le nôtre) ou le calendrier persan (en Iran, Afghanistan, Kurdistan...). --Serged/ 11 septembre 2016 à 11:10 (CEST)[répondre]
Ah oui ! Une précision utile et à laquelle j'avais pensé. C'est même encore plus répandu que ça, il suffit d'aller dans une maison de la presse pour voir qu'en France on utilise au moins trois calendriers, celui courant, solaire, un calendrier lunaire généralement un peu plus long (13 lunaisons entières) qui sert d'agenda pour les cultures et offre souvent des rubriques pratiques (recettes de cuisine, entretien du jardin, de la maison...) et le calendrier scolaire, basé sur le solaire mais débutant en septembre et comptant un peu moins de onze mois, les semaines « intercalaires » étant dévolues au culte du soleil   Plus largement, la mondialisation des échanges fait qu'aujourd'hui la plupart des sociétés utilisent deux ou trois calendriers : celui dit de l'ère commune (calendrier grégorien) précisément pour harmoniser les dates dans le cadre des échanges internationaux, un calendrier liturgique pour les religions autres que celles issues de la partie occidentale du schisme chrétien de 1054, et souvent un calendrier séculier plus local, en général issu d'un calendrier anciennement liturgique. >O~M~H< 11 septembre 2016 à 12:57 (CEST)[répondre]
Merci à tous et particulièrement à Olivier qui n'a pas ménagé son clavier. Je sais maintenant qu'il y a 12,36 lunaison par année, ce 0,36 équivaut à 11 jours pour les calendriers de 12 mois (365-354) et -18,5 jours pour les calendriers de 13 mois (365-383,5). Conservons ce calendrier à douze mois car à long terme la Terre aura des années de 354 jours, reste à savoir si la Lune conservera son cycle actuel.   --Yanik B 11 septembre 2016 à 13:11 (CEST)[répondre]
Pour ma part j’apprécie tous les calendriers (avec un faible pour le calendrier julien il est vrai) à l’exception du calendrier des banquiers et son année lombarde de 360 jours permettant de gonfler les agios… (cf. Wikipédia:Le Bistro/22 décembre 2015#Année « bancaire » de 360 jours ?). Alphabeta (discuter) 11 septembre 2016 à 13:59 (CEST) [répondre]
Le double calendrier existe aussi chez les Mayas, avec un calendrier religieux inutilement compliqué, même pas lunaire, et auquel il manque la bagatelle de 105 jours pour boucler l’année, et un calendrier civil bien plus raisonnable (quoique découpé en 18 mois de 20 jours). Grasyop 11 septembre 2016 à 16:02 (CEST)[répondre]
Autre curiosité, le calendrier nilotique : à la base, c'est un calendrier astronomique et administratif, dont le but est de planifier les activités après la crue principale du Nil, fin juillet. Très logiquement, la date de début de l'année était liée à un événement astronomique précédant de peu cette crue, le lever héliaque de Sirius (pas été regarder ce que ça signifie mais peu importe, c'est du moins un événement ayant lieu le 19 juillet). Petite curiosité, à l'instar du calendrier républicain il comptait 12 mois de 30 jours, et avait lui aussi quelques jours hors compte. Mais bon, les humains sont humains, la logique et eux ça fait rarement un, résultat, comme les Égyptiens ne prenaient pas en considération le décalage d'un jour tous les quatre ans, il y avait une période de 1 460 ans (en fait, 1 456 puisque les quatre premières années ça collait) pour que le premier jour de l'année corresponde de nouveau à cet événement. >O~M~H< 12 septembre 2016 à 21:27 (CEST)[répondre]
J’ai trouvé ([1]) ça : Gérard Linden, La Boule de fort par noms et par mots, (ISBN 2844785468) (inconnu dans le catalogue de la BnF, (ISBN 9782844785466), page 129 sub verbo Prusse : « Jour sans pain, misère en Prusse : expression utilisée quand on tire, au loto, le n° 31. Les soldats n’étaient pas payés le 31 des mois ayant ayant ce nombre de jours. » Comme on voit la façon dont on applique un calendrier a aussi son importance. Pauvre soldat prussien donc ! Alphabeta (discuter) 11 septembre 2016 à 19:49 (CEST) — PS : Voir en continuation  : wikt:fr:Wiktionnaire:Questions sur les mots/septembre 2016#«  jour sans pain, misère en Prusse » et nombre 31. Alphabeta (discuter) 12 septembre 2016 à 14:38 (CEST) [répondre]

Toilette des animaux modifier

 
Et v'lan ! passe-moi l'éponge
Et v'lan ! Fais-moi gligli
Et v'lan ! Pass'-moi l'éponge
Et v'lan ! Gouzi gouzi...

Bonjour,
Je me faisais cette réflexion que sur les articles portant sur les animaux, on explique fréquemment comment ils vivent (en groupe, seuls), comment ils chassent ou ce qu'ils mangent, comment ils se reproduisent, comment ils se déplacent, etc. Mais assez rarement comment ils se lavent. Pourtant les animaux sauvages sont propres, en général, non ? Ils doivent donc bien se laver d'une manière ou d'une autre. Par exemple, comment se lavent les loups, ou les girafes ? 188.22.24.164 (discuter) 10 septembre 2016 à 21:43 (CEST)[répondre]

En effet, comment les girafes se lavent-elles derrières les oreilles? Cela m'interroge. Plus sérieusement, je pense que tu as raison. Skiff (discuter) 11 septembre 2016 à 08:35 (CEST)[répondre]
Salut 188.22.24.164 (d · c). Les procédés étant limités, il existe un article traitant de la question, plutôt que d'en parler dans chaque article, celui sur le toilettage, pas très développé mais intéressant. Par observation directe ou indirecte, j'ai pu constater que selon les espèces il pouvait y avoir pas mal de stratégies. Pas si nombreuses sont celles qui, comme les félins ou un bon nombre d'oiseaux, ont la capacité d'atteindre toutes les parties de leurs corps, notamment le dos, chez les espèces sociales on a souvent la possibilité du toilettage mutuel, chez les autres on trouve des trucs, genre se frotter contre des surfaces abrasives (bois, pierre) ou, chez beaucoup d'animaux de grande taille, y compris sociaux, le commensalisme, le toilettage complémentaire (en général, élimination de parasites et de peaux mortes) étant accompli par des oiseaux ou des petits poissons (petits par rapport à leurs hôtes bien sûr, les diverses espèces de poissons-pilotes n'étant pas si petites que ça mais du moins bien moins grandes que les requins qu'elles accompagnent). >O~M~H< 11 septembre 2016 à 09:25 (CEST)[répondre]
Pour la girafe, elle peut se gratter le dos ou les pattes avec son museau (Photo). Elles peuvent également se frotter mutuellement, notamment le cou (photo) et la tête (photo). Pour le visage, sa langue est assez longue pour se curer le nez et même les oreilles. Enfin, dans certains cas particulier comme les poux, elle fait appelle au oxpecker (photo). --Bertrouf 12 septembre 2016 à 12:41 (CEST)[répondre]
Merci pour vos intéressantes réponses, et les trois quatre magnifiques photos (au passage, oxpecker se dit apparemment Piquebœuf, en français). Il est vrai que l'article toilettage est intéressant mais pas très développé. Mais intéressant :-) Merci encore :-) 178.190.143.188 (discuter) 13 septembre 2016 à 00:17 (CEST)[répondre]
 
Here, male Southern giraffes engage in low intensity necking to establish dominance, in Ithala Game Reserve, Kwa-Zulu-Natal, South Africa.
 
The more active kind of necking, engaged with here by Southern giraffes in Namibia.

Annexe : au moins pour la deuxième photo des girafes, ce n'est pas du toilettage mais ce que les anglophones appellent du « necking ». C'est à dire une attitude de défi entre deux mâles pour être le dominant sexuel sur une ou des femelles et qui va être suivi par un combat à mort. Ce combat consiste à donner des coups d'épaule sur l'adversaire pour le déséquilibrer et le faire chuter. Ce qui revient à le tuer car il ne peut se relever. Certaines girafes effectuent une sorte de prise de judo en crochetant les pattes de leur rivale avec leur cou. Il faut lire le paragraphe « necking » de l'article anglophone « girafe ». Et vous pouvez le voir aussi dans des documentaires animaliers.

« Male giraffes use their necks as weapons in combat, a behaviour known as "necking". Necking is used to establish dominance and males that win necking bouts have greater reproductive success.[11] This behaviour occurs at low or high intensity. In low intensity necking, the combatants rub and lean against each other. The male that can hold itself more erect wins the bout.[31] In high intensity necking, the combatants will spread their front legs and swing their necks at each other, attempting to land blows with their ossicones. The contestants will try to dodge each other's blows and then get ready to counter. The power of a blow depends on the weight of the skull and the arc of the swing.[31] A necking duel can last more than half an hour, depending on how well matched the combatants are.[28]:331 Although most fights do not lead to serious injury, there have been records of broken jaws, broken necks, and even deaths.[11] ». (Blue67~frwiki (discuter) 13 septembre 2016 à 03:33 (CEST))[répondre]

Je connaissais ces combats de cou, mais je ne connaissais pas les "low intensity necking". Je prenais ça pour un câlin. Aussi bien, j'ai faux pour la girafe, mais maintiens que des animaux se frottent les uns contre les autres pour se nettoyer. Bertrouf 13 septembre 2016 à 09:34 (CEST)[répondre]
Et , c’est un câlin, ou un nettoyage ? Grasyop 13 septembre 2016 à 17:51 (CEST)[répondre]