Wikipédia:Oracle/semaine 16 2016

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Zacharie, le pape, écrit en grec ancien modifier

Chères Pythies magnifiques,

Ce pape est donc d'origine grecque. Auriez-vous une idée de comment on pourrait orthographier son prénom Zacharie en Grec ancien? Merci! 130.104.93.179 (discuter) 18 avril 2016 à 16:42 (CEST)[répondre]

Il y a plein de Zacharie, il suffit d’en trouver un qui est sur Wp en grec, et copier-coller : Ζαχαρίας. Et ouala ! Ah, en grec ancien ? Là je sais pas. --Morburre (discuter) 18 avril 2016 à 18:16 (CEST)[répondre]
C'est pareil apparemment. Comme l'a dit Luc 1,18 : "καὶ εἶπεν Ζαχαρίας πρὸς τὸν ἄγγελον Κατὰ τί γνώσομαι τοῦτο; ἐγὼ γάρ εἰμι πρεσβύτης καὶ ἡ γυνή μου προβεβηκυῖα ἐν ταῖς ἡμέραις αὐτῆς." Ce qui veut dire en gros : "Et Zacharie dit à l'ange : t'es sûr de ça ? je sucre pas mal les fraises, et ma meuf ne vaut guère mieux" (version modernisée). Syrdon (discuter) 19 avril 2016 à 08:15 (CEST)[répondre]

La cité antique de Sparte était-elle fasciste? modifier

Même si la situation n’était pas la même, La constitution politique et sociale de Sparte promouvait l'accomplissement de la puissance plutôt que de la culture ou de la sagesse, faisant ainsi écho au régime italien du début du XXème siècle.

D'ou la question

Merci d'avance pour vos commentaires ! -- Koozedine (discuter) 18 avril 2016 à 21:19 (CEST)[répondre]

Salut Koozedine. En première approche on ne peut guère appliquer une notion valable à une certaine époque et dans un certain contexte à une autre époque et un autre contexte. En seconde approche, le fascisme implique une structure politique et sociale préexistante qui ne peut pas avoir lieu dans l'antiquité grecque.
Un élément fondamental du fascisme et des idéologies apparentées est la notion, implicite quand Mussolini élabore sa doctrine, explicite par après, de totalitarisme. Or, pour qu'il y ait totalitarisme, et surtout pour qu'il y ait « idéologisation » de cette notion, il faut préalablement une situation à la fois matérielle et conceptuelle où elle soit applicable, pour que l'idée apparaisse et pour qu'elle soit réalisable. Sans dire qu'on ne puisse trouver les linéaments de la notion de totalitarisme chez des auteurs plus anciens, notamment chez Platon et sa conception formelle de ce que serait une « bonne » république, ou chez Bacon dans son Utopie, du moins son apparition comme concept nécessite à la fois une structure politique forte, du type État-nation, et donc les moyens matériels de la mettre en œuvre, c'est-à-dire un développement technique et industriel suffisant pour qu'il devienne envisageable de réellement contrôler toute la société et chacun de ses membres. Clairement, tout ça n'existe pas aux temps de la Sparte antique, donc on ne peut pas dire qu'il s'agissait d'un État fasciste. Ce n'est qu'un parmi bien d'autres États qui, au cours des siècles, ont assuré leur stabilité puis, souvent, leur domination sur les États voisins et parfois lointains, en axant leur société sur une organisation militarisée. En gros, l'État conçu comme une immense caserne... >O~M~H< 19 avril 2016 à 04:52 (CEST)[répondre]
En revanche, si j'en crois mes vieux souvenirs de lycée, l'effacement total de l'individu devant les intérêts (présumés) supérieurs de l'État était la règle (voir par exemple Bataille des Thermopyles). Ce qui nous rappelle des choses, aussi bien du côté d'Adolf que des kamikazes islamistes (enfin, là, en principe, c'est au nom de la religion, mais le résultat est le même, sauf qu'il n'y a pas 72 vierges à l'arrivée). La question étant bien entendu : s'agit-il bien réellement des intérêts de la collectivité, ou plutôt des intérêts de quelques gros malins qui tirent les ficelles par derrière à leur profit, et se gardent bien pour leur part de se sacrifier, eux ? Je ramasse les copies dans deux heures. Syrdon (discuter) 19 avril 2016 à 08:44 (CEST)[répondre]
Pour moi, ça ne vaut pas en ce qui concerne les cités-États de la Grèce antique, dont la structure sociale n'a rien à voir avec celle des États-nations d'Europe centrale et occidentale durant l'entre-deux-guerres. Dans les États modernes, sauf quelques minorités (parfois importantes, cela dit) l'ensemble des nationaux a la citoyenneté, dans les États antiques, spécialement les États-cités de Grèce, seule une partie, souvent minoritaire, parfois très restreinte, des habitants forme le corps des citoyens.
Pour reprendre le cas de Sparte, on peut considérer que les citoyens de plein droit sont des égaux ; de ce point de vue, les intérêts de l'État se confondent avec les intérêts de l'ensemble des citoyens et ceux de chacun d'eux. En gros, on peut voir les Spartiates citoyens comme les membres d'une aristocratie qui ont un but commun, défendre les intérêts de leur groupe.
Là-dessus, il y a aussi la question de l'idéologie implicite, voire explicite : même dans les cités plutôt orientées vers le commerce il y a un vieux fonds d'idéologie guerrière, laquelle induit une attitude jusqu'au-boutiste quand il s'agit de défendre la cité les armes à la main. Où ça diffère du totalitarisme, c'est précisément qu'il ne s'agit pas de défendre les intérêts d'un être virtuel et plus ou moins défini, l'État, et par le fait de défendre, qu'on le veuille ou non, les intérêts du seul groupe au pouvoir : les citoyens grecs savent ce qu'ils défendent, leur cité et leur groupe, qui sont des êtres réels (un territoire et un ensemble de personnes) et le font donc dans leur intérêt propre, quitte à en mourir. >O~M~H< 19 avril 2016 à 09:33 (CEST)[répondre]
Rajoutons, qu'aussi démocratique que puisse-t-être les régimes de certaines cités grecques (la Démocratie athénienne est souvent citée en exemple), ils étaient quand même basés sur l'esclavage : Les esclaves n'étaient que des biens sans aucun droit. --Serged/ 19 avril 2016 à 12:56 (CEST)[répondre]

Gag "gouttes dans les oreilles" (probablement BD ou dessin animé) modifier

Salut à toutes et tous. Je viens de me souvenir vaguement d'un gag dans lequel le personnage met des gouttes dans l'oreille d'un autre, puis, lorsqu'il met des gouttes dans l'autre oreille, il voit que celles qu'il avait mises dans l'autre oreille tombent, mais il croit que ce sont celles qu'il est en train de mettre qui traverse la tête de l'autre (je suis clair ?). Impossible de me souvenir où j'ai vu ce gag mais il me semble que c'est dans une BD ou un dessin animé. J'ai beau réfléchir à plusieurs hypothèses crédibles (Gaston Lagaffe, Astérix, Tintin...), je ne parviens pas à retrouver ce dont il s'agit. -- TwøWiñgš Et si on discutait ? 19 avril 2016 à 00:33 (CEST)[répondre]

Je me souviens parfaitement d'une planche de Boule et Bill avec ce pitch. Mais je ne saurai dire dans quel album...--Nouanda81 (discuter) 19 avril 2016 à 04:57 (CEST)[répondre]
+1 — avec un commentaire du genre « les oreilles des cockers sont un mystère insondable »... rv1729 19 avril 2016 à 09:27 (CEST)[répondre]
Ensuite, pour les essuyer il y a le gag de la serviette dans La Folie des Grandeurs.--145.242.20.21 (discuter) 19 avril 2016 à 15:29 (CEST)[répondre]
Ah oui, c'est ça, Boule et Bill ! Merci ! -- TwøWiñgš Et si on discutait ? 20 avril 2016 à 20:37 (CEST)[répondre]

Caillou solitaire modifier

 
… un caillou solitaire qui flotte béatement. — Hautbois [canqueter]

Bonjour Oracle,

Une question me turlupine depuis toujours : admettons que notre univers soit totalement vide.

SAUF ... un caillou, qui flotte béatement au milieu de cette immensité noire et glacée.

Puisqu'il n'existerait alors aucun autre point de référence, comment pourrait-on savoir s'il se déplace ou s'il est immobile ?

Et quand bien-même il croiserait un autre caillou, comment pourrait-on savoir lequel des deux est en mouvement, ou si les deux le sont ?

--Klymandre (discuter) 19 avril 2016 à 02:26 (CEST)[répondre]

Salut Klymandre. Dans le second cas, d'une part si le premier caillou en croise un autre, on peut alors être assuré qu'au moins un des deux est en mouvement, de l'autre, si du moins l'univers dont tu parles connaît les mêmes lois physiques que le nôtre, il existe ce phénomène anciennement nommé attraction universelle, désormais dit gravitation, et la fameuse « loi de l'attraction universelle », dite maintenant « loi universelle de la gravitation », qui explique en gros que les corps s'attirent et, de ce fait, dès lors que tes deux cailloux se croisent, tous deux sont nécessairement en mouvement, l'un attirant l'autre et réciproquement.
Dans ton premier cas, encore une fois dans le cas d'un univers similaire à celui actuel, comme tu le dis, « il n'existerait alors aucun autre point de référence », donc aucun moyen de déterminer si l'objet est en mouvement ou non. En même temps, ta question en introduit une autre : si l'on a connaissance d'un tel univers ça signifie qu'on peut l'observer, si donc il y a un observateur ça implique qu'il y a au moins deux objets dans cet univers, le caillou et son observateur, ergo les deux sont en mouvement, à cause de la loi d'attraction.
Si cependant il n'y a pas d'observateur, d'une part on ne peut rien dire de vérifiable sur cet univers à objet unique, de l'autre on peut quand même faire une conjecture mais invérifiable : même si sa situation par rapport aux limites de son univers est changeante cet objet est immobile puisqu'il n'existe aucun autre objet qui puisse l'attirer, donc le mouvoir.
Cela posé, ta question est d'ordre métaphysique et non pas physique. Comme indiqué, on ne peut avoir que deux situations : ou il y a un observateur, donc il y a au moins deux objets dans cet univers, ce qui change la donne, ou il n'y en a pas et en ce cas, de ce qu'on ne peut observer il n'y a rien à dire de scientifiquement vérifiable. >O~M~H< 19 avril 2016 à 04:07 (CEST)[répondre]
Si il est seul, il n'est ni immobile, ni en mouvement. Un mouvement est défini par rapport à un référentiel. Donc par rapport à des points de repère. Dans le cas d'un caillou seul, il n'y a rien à quoi se comparer, car on ne pourrait pas définir, dans l'univers infini, un système de coordonnées fixes.
Dans le cas de deux cailloux, et bien il faut choisir un référentiel (notre caillou plus si solitaire? son compagnon d'infortune? ou un point totalement arbitraire défini à partir de ces deux galets??) et qui bouge dépendra de ce référentiel. Nouanda81 (discuter) 19 avril 2016 à 05:11 (CEST)[répondre]
Cela me rappelle une autre question : un arbre qui tombe au beau milieu d'une forêt vierge fait-il du bruit ?--145.242.20.21 (discuter) 19 avril 2016 à 07:52 (CEST)[répondre]
Question discutée avec pertinence par des spécialistes ici. Lisez les commentaires, vous ne le regretterez pas. Et comme l'a dit le sage Anaanas (toujours dans les commentaires) il y a 4 ans : « WTF ! Tu es carrément partis [sic] sur wikipédia ? Tu dois vraiment galèrer... :D ». Syrdon (discuter) 19 avril 2016 à 09:10 (CEST)[répondre]

C’est une expérience de pensée d’un genre dont les physiciens sont friands. Elle me rappelle celle du seau de Mach, voir ici. Tout se ramène à cette question : les lois de la physique dans un référentiel lié au caillou sont-elles différentes selon que celui-ci est en mouvement, ou non ? Si oui, on peut déterminer s’il est en mouvement. Si non, on ne le peut pas. rv1729 19 avril 2016 à 09:25 (CEST)[répondre]

  Klymandre : « Puisqu'il n'existerait alors aucun autre point de référence, comment pourrait-on savoir s'il se déplace ou s'il est immobile ? » La réponse est dans la question : s'il n'y a pas d'autre point de référence, la notion même de déplacement n'a pas de sens... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Ariel Provost (discuter), le 19 avril 2016 à 09:48‎
Remarque : si cet univers est issu d'un Big Bang (mais alors il n'est pas strictement vide, il contient de l'énergie), alors le fond diffus cosmologique constitue un référentiel. On sait par exemple que notre système solaire se déplace (par rapport au fond diffus) dans une certaine direction et avec une certaine vitesse (quelques centaines de km/s, si ma mémoire est bonne). — Ariel (discuter) 19 avril 2016 à 09:56 (CEST)[répondre]
Je croyais que le référentiel était la gare de Perpignan. --145.242.20.22 (discuter) 19 avril 2016 à 13:17 (CEST)[répondre]

Effectivement, il semble logique que la notion même de déplacement n'a pas de sens s'il n'existe pas au moins deux objets. Mais si on remplace notre caillou par deux observateurs qui se font face, l'un contre l'autre. L'un des deux repousse l'autre, et les voici s'éloignant dans deux directions opposées. Chacun des deux aura alors l'impression d'être immobile, mais que c'est l'autre qui est en mouvement. Qui a raison ?

À mon avis tu te poses des questions qui n'ont pas de sens. La notion même de déplacement présuppose un référentiel. La question « Qui a raison ? » n'a de sens que si une autorité morale vient nous dire qu'un référentiel est bon et l'autre mauvais ; au nom de quoi, bon sang ? À la rigueur on peut se poser la question de l'existence d'un référentiel absolu, qui ravalerait les autres référentiels au rang de relatifs. Avant Galilée et Newton mais surtout Einstein (Galilée et Newton pratiquaient la relativité galiléenne sans le savoir) la notion de référentiel absolu semblait aller de soi (comme pour toi, on dirait), si bien qu'en fait on ne se posait même pas la question, mais depuis on sait que non. — Ariel (discuter) 19 avril 2016 à 14:16 (CEST)[répondre]

Admettons que les deux aient tort et qu'ils sont tous les deux en mouvement. Mais maintenant, que se passerait-il si l'un des deux observateurs disparaissait instantanément ? celui qui reste serait-il alors à nouveau immobile, ou passerait-il dans un état "indéfinissable" ? --Klymandre (discuter) 19 avril 2016 à 13:39 (CEST)[répondre]

Il faut se méfier des expériences de pensée. Une expérience de pensée est une expérience qu'on n'a pas les moyens de réaliser en pratique, mais qui pourrait se faire en y mettant les moyens, justement (c'est d’ailleurs ce qui s'est effectivement passé pour certaines des expériences de pensée d'Einstein). Imaginer qu'un observateur disparaisse instantanément, sans qu'il y ait d'autre objet que l'autre observateur, n'a pas de sens. Ce n'est pas une expérience de pensée. On ne cherche pas de réponse à une question qui n'a pas de sens. — Ariel (discuter) 19 avril 2016 à 14:16 (CEST)[répondre]
Même question, en remplaçant le caillou par un sandwich aux rillettes. Ça ne change rien au fond, mais ça relativise. Je trouve. --Morburre (discuter) 20 avril 2016 à 13:53 (CEST)[répondre]
C'est vrai que ça désacralise la question d'un seul coup. On peut aussi remplacer le sandwich au rillettes par Dieu, mais là, on se lance dans des trucs... --Klymandre (discuter) 21 avril 2016 à 14:15 (CEST)[répondre]
Vous n'avez pas les mêmes valeurs --145.242.20.21 (discuter) 20 avril 2016 à 13:58 (CEST)[répondre]
Concernant la photo de Hautbois, comme aurait dit Catherine Langeais, elle a une belle pierre, sa bague ! --145.242.20.21 (discuter) 20 avril 2016 à 13:57 (CEST)[répondre]

C’est une vanne pour les vieux, ça. --Morburre (discuter) 20 avril 2016 à 20:02 (CEST) … tu dois en faire partie, si tu l'as comprise !   J'ai mis des liens pour les + jeunes. — Hautbois [canqueter] 21 avril 2016 à 03:40 (CEST)[répondre]

I'm a poor lonesome caillouoy... Syrdon (discuter) 21 avril 2016 à 09:02 (CEST) [répondre]

La salive est-elle un inhibiteur de germination ? modifier

Cher Oracle, je tiens de mon arrière-grand-mère (si mes souvenirs sont bons) qu’on ne peut pas faire germer un noyau de cerise qui a été dans la bouche. J’imagine que si c’est vrai, c’est dû à une action de la salive et non à d’autres facteurs (température, action mécanique ou élimination de composés présents à la surface du noyau et indispensables à la germination). Cette information est-elle correcte et, si oui, applicable à d’autres pépins, noyaux et graines ? Et, à supposer que cela ait été étudié, y a-t-il des explications sur les mécanismes qui interviennent ? Merci d’avance ! Eiku (discuter) 19 avril 2016 à 15:31 (CEST)[répondre]

Bon, déjà il y a des graines qui sont disséminées par l’animal qui a mangé le fruit donc ce n’est pas vrai pour toutes les salives et toutes les graines, il me semble même que certaines plantes ont des graines qui ne se développent que si elle ont été dans un système digestif, bon moyen pour la plante pour s'assurer que ses rejetons ne vont pas lui faire trop de concurrence.
Une solution serait d’acheter 200 cerises, d’en dénoyauter la moitié avant de les manger, l’autre moitié après, les planter et de voir s’il y a plus de succès avec un échantillon que l’autre. --CQui (discuter) 20 avril 2016 à 08:27 (CEST)[répondre]
Il faudrait commencer par donner la composition de la salive. Quelques enzymes (amylase, lipase, lactoperoxydase, maltase) mais qui n'ont d'effet que sur des aliments qui séjournent assez longtemps dans la bouche ou sont capables de s'imbiber. Et aussi de la thiocyanate, qui participe à l'effet anti-microbien. Maintenant, il faudrait savoir si ces microbes de surface sont nécessaires à la croissance du noyau.
Petit clin d’œil pour les anglophones sur la taille du noyau d'avocat, qui, oui, devait lui aussi être dispersé par un système digestif. Celui du mammouth. Heureusement que l'homme maîtrise l'agriculture, sinon on aurait soit perdu ce fruit, soit appris à le digérer  . Bertrouf 20 avril 2016 à 09:01 (CEST)[répondre]
En toute hypothèse, il s'agit là, comme l'on dit faussement, vu qu'il y a au moins autant d'hommes que de femmes pour colporter ce genre d'idées, d'un « conte de bonne femme ». Le noyau de la cerise est là pour protéger la graine, donc même après un long séjour dans la bouche la salive ne pourra guère en imprégner que la partie la plus superficielle, sans dommage pour la graine donc sans risque (ni sans aide) pour sa germination. >O~M~H< 20 avril 2016 à 09:51 (CEST)[répondre]
 
Des mammouth en Amérique centrale ?! Allons, allons. Tu veux dire les gomphothères. On évoque aussi le paresseux terrestre. rv1729 20 avril 2016 à 10:04 (CEST)[répondre]
Quant à la question originale, l’idée que le noyau d’un merisier (dit cerisier des oiseaux) résiste au tube digestif des oiseaux ou des renards, mais que le noyau d’un cerisier cultivé (même espèce, P. avium, cultivars différents) ne supporte pas un passage par votre bouche ne mérite pas à mon avis plus qu’un haussement d’épaules. rv1729 20 avril 2016 à 10:09 (CEST)[répondre]
… moi, "on" me disait que si j'avalais une cerise avec son noyau, c'est un cerisier qui me pousserait dans l'estomac !
Par contre, pour le gui, la graine doit passer par le tube digestif (et ses acides) de certains oiseaux pour éclore, non ? — Hautbois [canqueter] 20 avril 2016 à 10:10 (CEST)[répondre]
Merci pour toutes ces réponses. Je n’avais pas pensé à faire d’analogie avec l’endozoochorie, mais effectivement, à moins que la salive humaine n’ait une particularité improbable, je ne vois aucune raison à ce qu’elle empêche les noyaux de germer alors que les merisiers ne semblent pas très gênés par la salive du renard qui lui sert souvent de transporteur. Mon arrière-grand-mère connaissait énormément de choses sur les plantes, mais il semble que sur cette question-là, elle ait eu tort. Le plus sûr serait évidemment de mettre en place l’expérience suggérée par CQui, mais je n’ai pas assez de pots ni de terre (et puis c’est une expérience à réaliser sur une longue durée : si je ne stimule pas la germination de tous mes noyaux, combien de temps la dormance peut-elle durer ? et si je suis malchanceux, peut-être qu’aucun de mes 200 noyaux ne germera). Je m’en tiendrai donc aux suppositions logiques que vous m’avez présentées. Eiku (discuter) 20 avril 2016 à 16:23 (CEST) … dire que je parlais d'endozoochorie sans le savoir   Merci pour ce… « joli » mot.  Hautbois [canqueter] 21 avril 2016 à 03:47 (CEST) [répondre]

Type de modulation, codage? modifier

 
Phase d'une trame de télécommande de grue dans la bande ISM 430 MHz (captée en RTL-SDR)

Bonjour. Désirant améliorer mes connaissances en radio logicielle, je cherche, avec une 'clé TNT' ((en) rtl-sdr), des ondes radio à analyser dans mon environnement... Et je repère, dans la bande ISM 430 MHz, un joli signal provenant de la télécommande d'une grue sur un chantier juste à côté de chez moi... Il est relativement facile de repérer des trames, de constater qu'il ne s'agit pas de modulation d'amplitude mais qu'il s'agit bien d'une modulation numérique. À 256 000 échantillons par seconde, une structure apparaît clairement. Et si on s'intéresse à la phase (arcs tangentes des Q/I fournis par la clé), on obtient le diagramme ci-joint. Un diagramme de constellation donne quelque chose de plus ou moins circulaire (la phase est modulée mais, globalement, elle croît; ça 'tourne'). Et, je me demandais : quel est donc ce type de modulation? (Éventuellement, quels composants électroniques génèrent/décodent un tel signal?) et quel est le type de codage? Où sont les '0' et les '1' dans ce signal? Et, de manière plus générale, si quelqu'un avait des ouvrages (du genre de celui-ci), sites web ou forums à recommander dans le domaine de la radio logicielle ou du SigInt. Étant novice dans le domaine, il est tout-à-fait possible que mon approche soit mauvaise et qu'il faille effectuer un autre traitement du signal pour faire ressortir l'information. D'avance, merci. -- Xofc [me contacter] 20 avril 2016 à 10:12 (CEST)[répondre]

C'est pour faire du piratage de grue de chantier ?   --CQui (discuter) 20 avril 2016 à 14:32 (CEST)[répondre]
Non, de la simple curiosité  . La clé TNT ne permet que la réception. C'est juste parce que c'est un signal numérique fort, probablement simple et facilement accessible dans mon environnement. ...Un exercice comme un autre. -- Xofc [me contacter] 20 avril 2016 à 15:37 (CEST)[répondre]
...En réfléchissant tout haut : je peux écrire un petit programme qui repère les montées et les descentes. Il y en a des petites et des grandes. Si je 'plote' en X,Y (nombre d'échantillons, différence de phases), j'obtiens 4 nuages de points bien distincts correspondants aux petites/grandes montées/descentes. Maintenant, les séquences ne sont pas quelconques. Je ne peux pas avoir une suite de {petite descente et grande montée} ou de {petite montée et grande descente}; ce n'est pas ce que l'on observe; la pente globale est relativement constante. En fait, si je considère 4 niveaux, je peux avoir les transitions suivantes : 1->(2|4), 2->1, 3->4, 4->(1|3). Il n'y a donc que les départs de 1 et 4 qui codent des bits... Mais cela m'étonnerait que le concepteur de la télécommande soit parti d'une feuille blanche et ait tiré un schéma de modulation hors de son chapeau. Il doit y avoir une théorie quelque part, des circuits qui font ça,... Cela doit faire partie d'une classe de modulations connue. -- Xofc [me contacter] 21 avril 2016 à 12:03 (CEST)[répondre]
La rotation provient d'une (légère) erreur dans le réglage de la fréquence de réception (chercher quelque chose comme (en) 'frequency offset spinning constellation'; voir aussi en:Carrier recovery). -- Xofc [me contacter] 23 mai 2016 à 19:21 (CEST)[répondre]
Probablement du codage Manchester en GFSK (Gaussian (shaped) FSK). -- Xofc [me contacter] 3 juillet 2016 à 19:08 (CEST)[répondre]

Traduction MOT/MLT en anglais dans le cadre de ᴍᴇʀɪꜱᴇ. modifier

Bonjour,

J’ai quelques diagrammes ᴍᴏᴛ de découpages en phases a réaliser. L’utilisation de mspaint/Gimp ne faisant pas parti de mes points forts (je déteste avoir tout à redessiner par ce que j’ai oublié d’ajouter du texte), j’ai pris un logiciel spécialisé dans l’élaboration de diagrammes ᴍᴇʀɪꜱᴇ.

Le problème c’est que le logiciel étant en Anglais, je ne sais pas sous quel terme je peux retrouver l’outil pour le Modèle Organisationnel des traitements (ᴍᴏᴛ).
Merise étant normalisé, je pense que qu’il devrait il y avoir un nombre limité d’appellations reconnus (la traduction littéral ne permet pas de retrouver la fonctionnalité). 2A02:8420:508D:CC00:424:68E2:BDE3:A283 (discuter) 21 avril 2016 à 14:05 (CEST)[répondre]

Félicitations : réussir à trouver un logiciel Merise en anglais, pour une méthode pratiquement pas utilisée hors de France, c'est champion ! Pas testé, mais il existe une suite logicielle proposée par JFreeSoft, avec ce triple avantage d'être portable (développée en Java, donc multiplateforme), gratuite et en français. >O~M~H< 21 avril 2016 à 22:09 (CEST)[répondre]
Merci, ça peut‑être une solution, sauf que JFreeSoft ne gère pas le ᴍʟᴅ (appelé ʀᴅᴍ dans mon cas) et rien sur le niveau physique. J’ai juste tendance à prendre un seul logiciel pour un seul type de problème.
Le souci de ᴍᴇʀɪꜱᴇ, ce n’est pas tellement l’utilisation hors de France. C’est que ça a tendance à devenir obsolète (support retiré dans plein de logiciels, y compris à partir de Office 2003) tout comme les systèmes de fichier à bases d’i‑nœud. 2A02:8420:508D:CC00:424:68E2:BDE3:A283 (discuter) 21 avril 2016 à 23:53 (CEST)[répondre]

Des plattes modifier

Bonjour les Pythies ! J'espère que vous vous portez bien et disposez d'un peu de temps pour me trouver ce que sont des plattes dans le contexte de la description d'une technique de construction dans le pays de Liège en 1650 : on enfonce des pieux de chêne de ± 15 pieds de long que l'on couvre de "grandes plattes" et on entremêle des ornaux "frais coupés et mys". Une idée ? De grandes pierres plates ? Merci déjà et bisous, Égoïté (discuter) 21 avril 2016 à 15:30 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas sûr d'ajouter beaucoup à votre immense savoir mais en faisant des recherches, à part des bateaux plats, j'ai trouvé Plate (armure) qui n'est pas dans le même domaine mais plus ou moins de la bonne époque et ne me surprendrait pas. D'instinct, avant de lire ta supposition, je me suis dit si ces plattes sont là pour protéger le pieu, ils utilisent la même chose que pour les toits, ardoises, tuiles, bardeaux, etc., ils utilisaient quoi pour les toits dans la région à l'époque ? Pas du chaume, ça ne le ferait pas trop. --CQui (discuter) 21 avril 2016 à 16:49 (CEST)[répondre]
… des plattes ? des plattes…  Oui, mais des Panzani !  … bon, ça va, poussez pas, je-> []… pfffff.Hautbois [canqueter] 21 avril 2016 à 17:23 (CEST)Si ce sont des pLâttes, c'est plutôt des PLanzani non? --CQui (discuter) 22 avril 2016 à 08:50 (CEST)[répondre]
Tu peux sortir mon cher Hautbois, parce que si tu restes et continues, tu auras une sérieuse ardoise... au bistro !  
À Cqui : des ardoises... Égoïté (discuter) 21 avril 2016 à 18:23 (CEST)[répondre]
A priori, une construction sur pieux implique que le sol est instable (marécageux ou autre), les pieux sont enfoncés jusqu’à un niveau stable. Les plattes, plates ou plaques, posées dessus constituent une assise horizontale pour la construction. les ormeaux (c’est bien des ormeaux ?) entremêles doivent apporter une cohésion à l’ensemble tout en conservant une certaine souplesse (l’ormeau est très solide et résistant à l’eau). Telle est ma réponse de total ignorant en la matière. Je pense donc que platte, en liégeois moyen, doit signifier à peu près comme en allemand Platte ou le français plate, un quelconque machin, comment dirais-je ? plat. Une plaque. Alors, en quoi, je ne sais pas, pierre, ardoise, fonte, chocolat, selon le matériau local. Si ça se trouve, j’ai tout faux mais j’aurai essayé. --Morburre (discuter) 21 avril 2016 à 20:58 (CEST)[répondre]
… en bon françois, je dirais un dalle (1er sens), lire là aussi… mais je 'n'y connais que… pareil. — Hautbois [canqueter] 21 avril 2016 à 21:05 (CEST)[répondre]
Une chose est sûre, la graphie « platte » est une variante de « plate » (j'ai repéré l'usage fréquent, pour des ouvrages des XVIe et XVIIe siècles, de « platte-bande » et « platte-forme »), donc les suggestions de « dalle » ou « plaque » me semblent assez probables. >O~M~H< 21 avril 2016 à 21:53 (CEST)[répondre]
… des plaques ? des plaques…   Oui, mais des Panzani !  … bon, ça va, repoussez pas, je re-> []… pfffff.Hautbois [canqueter] 21 avril 2016 à 22:03 (CEST)[répondre]
J'ai vu il y a longtemps (avant que je me soucie de garder les sources) que des maisons étaient construites en plantant des pieux, en entrelaçant entre les pieux des branches fraichement coupées et souples, un peu a la manière du tissage, et en enduisant le tout de boue pour une certaine étanchéité. Mais avec peu de détails sur la façon de couvrir le tout. J'ai revu cette technique dans un reportage en Angleterre utilisée par des malin qui utilisent une très vielle loi oubliée qui dirait qu'un bâtiment construit uniquement avec des matériaux trouvés sur le terrain, entre le lever et le couché du soleil d'une même journée n'a pas besoin d'autorisation ni de permis de construire… L'intéressant dans cette information est que dès qu'on a une forêt pas loin, qu'on a le temps ou plein d'amis, c'est fait avec les moyens du bord et peu de connaissance techniques. S'il n'est pas indiqué qu'un plancher surélevé est mis en place je doute que ce soit une habitation dans un marécage. --CQui (discuter) 22 avril 2016 à 08:50 (CEST)[répondre]
Merci à tous ! On me suggère ici que les plattes seraient bêtement des planches... À Morburre, ce sont des ornaux. Qui sont je suppose des Fraxinus ornus. Bisous, Parrain ! Égoïté (discuter) 22 avril 2016 à 14:25 (CEST)[répondre]
Oké d’accord, je ne connaissais pas le fraxinus ornus et j’en ai très honte, mais si ça pousse aux alentours de Liège j’ai des excuses. Bisous. Hautbois, si tu nous dis qu’à Liège c’est le chêne-Liège, t’es grillé ! --Morburre (discuter) 22 avril 2016 à 16:01 (CEST)[répondre]
Il me semble qu'on parle aussi de plattes s'agissant de ces planches qu'on dresse aux bords des canaux pour en renforcer les rives. Mais je ne sais rien de l'origine du mot. — Ariel (discuter) 22 avril 2016 à 14:32 (CEST)[répondre]
En ancien français, "plate" ou "platte" désignait des plaques de métal. Mais ce mot était (entre autres) parfois synonyme de « sablière », une poutre longitudinale à encoches pour supporter une charpente ou une menuiserie. --Mistig (discuter) 22 avril 2016 à 18:18 (CEST)[répondre]

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J’en profite pour vous inviter, quand vous aurez trouvé la solution, à améliorer « platte » sur le Wiktionnaire. Eiku (discuter) 22 avril 2016 à 19:20 (CEST)[répondre]

Bonjour ! modifier

J'our' les Pythies !
Voilà, j'aimerais connaitre le nom d'un guitariste pionnier du rock'n'roll qui mangeait de la merde. Bref, qui était coprophile. Merci et bonne journée. Mike Coppolano (discuter) 22 avril 2016 à 10:01 (CEST)[répondre]

GG Allin… sans autre commentaire. À part ça, tu vas bien ? — Hautbois [canqueter] 22 avril 2016 à 10:41 (CEST)[répondre]
Non, ce n'est pas GG Allin, c'est un pionnier noir du rock'n'roll, genre Chuck Berry ou Richard. Mike Coppolano (discuter) 22 avril 2016 à 10:51 (CEST)[répondre]
S'il mange du caca, il est plus coprophage que coprophile. C08R4 8U88L35Dire et médire 22 avril 2016 à 12:16 (CEST)[répondre]
Midi et quart, bon appétit   C08R4 8U88L35Dire et médire 22 avril 2016 à 12:17 (CEST)[répondre]
Alors, comment qu'il s'appelle, le musicien qui mangeait sa merde ? Mike Coppolano (discuter) 22 avril 2016 à 14:28 (CEST)[répondre]
Et poser la même question sans vulgarité, est-ce possible ? Pour la réponse, sinon, c'est Chuck Berry (une source ici : Pars !: Voyager est un sentiment par François SIMONC08R4 8U88L35Dire et médire 22 avril 2016 à 14:55 (CEST)[répondre]
Remarquez que le titre n'est pas vulgaire. Il est même très poli, à défaut d'être explicite.--145.242.20.21 (discuter) 22 avril 2016 à 15:17 (CEST)[répondre]
Merci Cobra. Aurais-tu un lien ? Mike Coppolano (discuter) 22 avril 2016 à 16:03 (CEST)[répondre]
https://books.google.fr/books?id=SxxwRvKfwisC&pg=PT41&lpg=PT41&dq=chuck+berry+coprophage&source=bl&ots=NsYwYS3-pi&sig=A_80ArXYJ7GZBDfoYDOHLEX_ySc&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjnt47XtaLMAhXH_ywKHbpeA6UQ6AEITzAF#v=onepage&q=chuck%20berry%20coprophage&f=false C08R4 8U88L35Dire et médire 22 avril 2016 à 16:08 (CEST)[répondre]
Je ne trouve pas de traces écrites, comme quoi il est coprophage. Aurais-tu un autre lien, s'il te plait ? Merci. Mike Coppolano (discuter) 22 avril 2016 à 16:17 (CEST)[répondre]
L'histoire est racontée ici, en anglais. C'est trop crade pour que je fasse l'effort de comprendre le contexte. Bertrouf 22 avril 2016 à 18:45 (CEST)[répondre]
Pas évident en fait, on trouve des trucs en anglais avec la recherche "Chuck Berry" coprophagia mais ce qui se rapporte à la coprophagie est de l'ordre de la rumeur, par contre il semble avoir été reconnu coprophile et poursuivi en justice pour ça (enfin, pas tant pour sa possible coprophilie que pour avoir placé des caméras dans les toilettes d'un restaurant qu'il possédait pour satisfaire ses fantasme en la... matière). Pour la coprophagie, la rumeur semble avoir pour source l'article du magazine Spy évoquée dans le lien proposé par Bertrouf. Il se trouve que, pour dire le moins, ladite revue n'était pas réputée pour la fiabilité de ses informations. >O~M~H< 22 avril 2016 à 19:09 (CEST)[répondre]
Par ailleurs, quand vous lisez dans une annonce une mention du genre "Petite copro tranquille", ce n'est pas ce que vous pensez, ça veut dire copropriété. Syrdon (discuter) 23 avril 2016 à 08:35 (CEST)[répondre]
Alors, est-ce que c'est vrai, est-ce qu'il mangeait vraiment sa merde ? Merci de vos retours Mike Coppolano (discuter) 23 avril 2016 à 08:39 (CEST)[répondre]
Parlant de vérité, tu es vraiment lourd sur cette question, Mike Coppolano. La réponse t'a déjà été donnée : c'est faux. Une rumeur invérifiable venant d'un magazine réputé pour diffuser des informations fausses prétend que Chuck Berry aurait pratiqué la coprophagie, mais même si l'on est prêt à croire ce qui vient d'une source non fiable, dans tous les cas cette rumeur prétend qu'il mangeait la merde des autres, et non la sienne. Je t'invite à ne pas revenir sur le sujet, on ne pourra pas aller plus loin que ce que déjà dit et, pour conclure, de toute manière cette rumeur est donc invérifiable, que ce soit pour la valider ou pour l'invalider. >O~M~H< 23 avril 2016 à 17:36 (CEST)[répondre]
Excuse-moi Olivier, je pensais que c'était un fait établi : qu'il mangeait vraiment sa merde. Je voulais en faire un Le Saviez-Vous ? vois-tu ? Mike Coppolano (discuter) 23 avril 2016 à 17:40 (CEST)[répondre]
… ah bah, je te réponds : même si c'était vrai, je n'aurais pas voulu le savoir. Tu vois ? — Hautbois [canqueter] 24 avril 2016 à 09:14 (CEST)[répondre]
Quoi ? Un des plus grands génies ? Mike Coppolano (discuter) 24 avril 2016 à 11:19 (CEST)[répondre]
Un autre de nos plus grands génies (paix à ses restes) le disait bien, c’est une pratique courante, on mange d’la meeeeerde ! Ceci dit, le débat pourrait être clos, il me semble, sous peine d’être un peu lourdingue. --Morburre (discuter) 24 avril 2016 à 15:39 (CEST)[répondre]

Question idiote concernant les ratings des émissions télé américains modifier

Bonjour,

Je travaille actuellement sur une célèbre émission télévisé de catch. J'ai cherché le nombre de téléspectateurs et je suis tombé sur le rating (2.5). Comment avoir une estimation du nombre de téléspectateur (l'émission date de 1993 pour information).--Sismarinho le Blasé et scatophile vu que vous parlez de caca (discuter) 24 avril 2016 à 12:45 (CEST)[répondre]

Salut le Blasé. Dans l'article en:Audience measurement, il est indiqué, partie « Ratings point », que pour la mesure de l'audience des chaînes de télé « One single television ratings point represents 1% of television households in the surveyed area in a given minute » (« Un point de ratings équivaut à 1% des ménages possédant la télévision durant une minute dans la zone observée »). Traduction approximative d'une notion qui l'est autant : aux USA comme en France, l'audience publiée n'est pas découpée minute par minute mais donnée globalement (en gros, nombre moyen de ménages ayant regardé telle émission) sauf cas particuliers (courbe de progression ou régression du nombre de téléspectateurs durant une émission politique, par exemple). En fait, aux États-Unis comme en France, le découpage fin est plutôt réservé à l'évaluation des « parts de marché », où l'audience réelle minute par minute est un élément d'évaluation du coût de la diffusion des pubs. Sans que ça soit rigoureux, le ménage américain moyen compte environ quatre personnes et la quasi-totalité des ménages a la télé. L'idée est donc : 1% de rating représente un peu moins que 4% de la population du pays, reste plus qu'à savoir combien il y avait d’Étasuniens en 1993. >O~M~H< 24 avril 2016 à 13:29 (CEST)[répondre]
  Olivier Hammam : Google est mon ami et dit 259,9 millions. Donc en faisant une Règle de trois je tombe sur 25.99 millions de téléspectateurs, c'est bien cela ?--Sismarinho Blasé et Scatophile (discuter) 24 avril 2016 à 13:42 (CEST)[répondre]
Je pense qu'en effet ça doit être à-peu-près ça, mais à mon avis vaut mieux arrondir vers le bas en adornant la mention de « environ », le TV-rating n'étant pas une science exacte   >O~M~H< 24 avril 2016 à 13:51 (CEST)[répondre]

" être pire que l'Arétin" = ?? modifier

Bonjour ami-e-s lettré-e-s. Je viens de rencontrer dans le film italien "Les monstres" l'expression "être pire que l'Arétin", à la fois en italien et dans les sous-titres français. Que signifie cette expression ? Les dictionnaires du net sur lesquels je suis allé voir sont muet sur le sujet. Elle pourrait faire allusion à Pierre l'Arétin et je trouve des traces de cette expression ici [1]. Et aussi, cette expression a-t-elle une justification historique ? Un Monsieur Arétin aurait-il mené une vie de barreau de chaise (je dis ça du fait du contexte du film) ou bien avait-il parfois trempé sa plume dans du vinaigre ? Je vous remercie pour vos efforts.--Jojodesbatignoles (discuter) 24 avril 2016 à 14:12 (CEST)[répondre]

Salut Jojo le Parigot, la réponse est presque dans la question, du moins derrière un lien que tu donnes. Lisant la biographe de l'Arétin tu aurais pu voir, relativement à la mention qu'en fait Voltaire en parlant de Linguet, qu'ils ont des attitudes et des destins comparables : satiristes tous deux, ayant tous deux le goût de se faire des ennemis, notamment chez les grands, et tous deux ayant été plusieurs fois proscrits. Je ne sais pas en quel sens c'est dit dans Les Monstres mais du moins, pour Voltaire ce n'est pas l'aspect « vie de bâton de chaise » (ça ne semble pas un aspect notable de la vie de l'Arétin), bien plutôt l'aspect « art de se fâcher avec tout le monde ». >O~M~H< 24 avril 2016 à 14:53 (CEST)[répondre]
Merci Olivier ; je me souviens que dans le film, le personnage à qui on disait "tu es pire que l'Arétin", est un écrivain qui se fait des ennemis. Après avoir relu les article sur l'Arétin et Linguet je vois que ça correspond au sens que je donnais "écrire avec une plume enduite de vinaigre" et pas avec l'autre sens.--Jojodesbatignoles (discuter) 24 avril 2016 à 17:22 (CEST)[répondre]
D'après mes souvenirs, j'ai un avis un peu différent. L'Arétin était, certes, un auteur satirique assez débridé (« La Courtisane » par exemple) mais, s'il a écrit des ouvrages plus sérieux, il était plus connu autrefois comme écrivain licencieux à cause de ses « I Ragionamenti » à la limite de la pornographie, comme nous rappelle le site WP italien. Des éditions italiennes furent illustrées "avec précision"... Vie des nonnes, vie des femmes mariées, vie et métier des courtisanes, etc. Il ne semble pas avoir été bien édité en pays francophone mais sa réputation avait passé les frontières. --Mistig (discuter) 24 avril 2016 à 22:18 (CEST)[répondre]

Film et accouchement modifier

Bonjour,

Je me suis toujours posée une question. Dans les vieux westerns, lorsqu'une femme va accoucher, les hommes se font toujours refouler par les femmes avec pour consigne de faire chauffer de l'eau. Mais pour quoi faire? Skiff (discuter) 24 avril 2016 à 17:51 (CEST)[répondre]

Pour prendre le thé ? OK, je sors. Père Igor (discuter) 24 avril 2016 à 18:52 (CEST)[répondre]
Essentiellement pour les occuper, leur donner l'impression de se rendre utile, les évacuer du champ de l'action principal. Accessoirement pour le confort de la toilette, et pourquoi pas le thé ? Petite vengeance dans un monde machiste. Eh ! -- Jean-Rémi l. (discuter) 24 avril 2016 à 19:13 (CEST)[répondre]
Faire bouillir de l'eau pour la stériliser, tout simplement. C'est je pense le moyen le plus simple/efficace pour avoir de quoi nettoyer avec un liquide stérile.Eystein (discuter) 24 avril 2016 à 23:46 (CEST)[répondre]
pour nettoyer le goudron et les plumes ça va peut-être pas suffire ;) mandariine (libérez les sardiines) 25 avril 2016 à 00:22 (CEST)[répondre]

… l'eau chaude sert surtout d'anti-douleur (ou, tout au moins, d'atténuant) et cette « technique calmante » se retrouve bien avant les westerns et dans quasiment toutes les civilisations. Il est précisé dans les « facteurs diminuant ou supprimant la douleur » de l'accouchement que pour neutraliser cette douleur, la chaleur est utilisée pour ses effets relaxants (bain chaud, application d'une bouillotte ou de compresses chaudes sur certaines parties du corps). N'oublions pas que, encore aujourd'hui dans le monde, 90 % des accouchements se font à domicile, et pour beaucoup hélas… sans assistance médicale. — Hautbois [canqueter] 25 avril 2016 à 04:26 (CEST)[répondre]