Veyre-Monton

commune française du département du Puy-de-Dôme

Veyre-Monton
Veyre-Monton
Vue générale de la ville au premier plan.
Blason de Veyre-Monton
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Communauté de communes Mond'Arverne Communauté
(siège)
Maire
Mandat
Gilles Pétel
2020-2026
Code postal 63960
Code commune 63455
Démographie
Population
municipale
3 675 hab. (2021 en augmentation de 6,96 % par rapport à 2015)
Densité 303 hab./km2
Population
agglomération
10 656 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 40″ nord, 3° 09′ 30″ est
Altitude Min. 347 m
Max. 621 m
Superficie 12,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Veyre-Monton
(ville-centre)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Martres-de-Veyre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Veyre-Monton
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Veyre-Monton
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Veyre-Monton
Liens
Site web mairie-veyremonton.fr

Veyre-Monton (en occitan : Vaira e Monton[1]) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Canon prussien sur le puy de la Vierge, à Monton.

La ville dispose de nombreux commerces et équipements scolaires et sportifs, dont un supermarché, une boulangerie, une amicale laïque, avec des activités pour enfants (gymnastique, cirque, danse ou hip-hop), une école maternelle et élémentaire, un stade avec un parc, un gymnase, des lieux touristiques (comme les grottes de Monton ou la Vierge de Monton).

La commune se compose de trois parties distinctes :

  • Veyre : en contrebas du puy de Monton, Veyre est surtout composé de lotissements, de maisonnettes et de petits commerces ;
  • Monton : situé sur le puy de Monton, au pied de la Vierge, le centre historique du village se compose d'anciennes maisons, petites impasses et rues. On y trouve la mairie, une bibliothèque, l'école, ainsi que l'église, la Vierge et le cimetière.
  • Soulasse : situé sur le puy de Corent, c'est un ancien village vigneron qui dispose actuellement d'une salle des fêtes et d'une église.

Géographie modifier

Localisation modifier

Veyre-Monton se situe dans l'ancienne région Auvergne (Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2016), dans le Puy-de-Dôme, à 13,5 kilomètres au sud de Clermont-Ferrand[2], à 6,6 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Vic-le-Comte[3] et à deux kilomètres au sud-est du bureau centralisateur du nouveau canton auquel est rattachée la commune, Les Martres-de-Veyre[4].

Six communes sont limitrophes[5] :

Communes limitrophes de Veyre-Monton
Le Crest Orcet Les Martres-de-Veyre
Tallende  
La Sauvetat Corent

La commune est composée de trois villages : Monton (à l'ouest), Soulasse (au sud-est) et Veyre[VMP 1].

Elle a également été le siège de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté jusqu'en 2016, laquelle a fusionné avec les communautés de communes des Cheires et Allier Comté Communauté à la suite de l'adoption du schéma départemental de coopération intercommunale en [6]. Ces trois structures intercommunales du sud de l'agglomération clermontoise, membres du pôle d'équilibre territorial et rural du pays du Grand Clermont, rassemblent une population de plus de 40 000 habitants, dont Veyre-Monton est l'une des villes principales se situant dans l'espace périurbain[VMP 2].

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

La commune est constituée de quatre grandes formations géologiques. Le territoire communal repose en grande partie sur des formations d'argile sableuse et kaolinique[VMP 3].

Le puy de Monton repose sur une formation volcanique particulière ; le neck « correspond à un fragment de coulées boueuses en provenance des Monts Dore » ; le site du puy de Marmant a servi comme carrière pour les constructions, jusqu'en 1985. Le plateau de Corent est issu d'une formation basaltique[VMP 3].

Relief modifier

La commune s'étend sur 1 211 hectares ; son altitude varie entre 347 mètres (selon l'IGN[7]) ou 351 mètres, « au niveau de la vallée de la Veyre[VMP 3] », et 621 mètres, au puy de Corent, au sud-est de la commune, près du village de Soulasse[VMP 3].

Veyre-Monton est entourée de champs et de petites collines. L'esplanade en haut du puy de Monton offre une vue étendue sur le puy de Sancy, la chaîne des Puys, Clermont-Ferrand et la plaine de la Limagne, ainsi que sur les monts du Forez.

Elle se situe dans le val d'Allier, « dans une zone de buttes et plateaux, en rive gauche de l'Allier[VMP 3] ».

Le puy de Monton est « limité au sud par une falaise en arc de cercle ». Celui de Marmant est « une ancienne cheminée volcanique dégagée par l'érosion », tandis que celui de Corent, à cheval avec une commune voisine, est « associé à une coulée basaltique ». Le puy de Tobize prolonge le village de Monton[VMP 3].

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la rivière de la Veyre, affluent rive gauche de l'Allier, « dans une vallée à fond plat, à pente très faible, facilitant ainsi un cours méandreux[VMP 3] ».

La partie nord de la commune est traversée par le bassin versant de l'Auzon, coulant sur la commune limitrophe d'Orcet[VMP 3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat à 6 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Veyre-Monton est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16].

Elle appartient à l'unité urbaine de Veyre-Monton, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 10 656 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), zones urbanisées (20,4 %), cultures permanentes (7,3 %), forêts (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Autour des centres urbains, « de larges plaques urbaines se sont développées en tache d'huile », « dont le développement est contraint par les éléments physiques et naturels présents sur le territoire[VMP 1] ».

Située dans la deuxième couronne de l'agglomération clermontoise, la commune subit « une forte pression urbaine depuis les années 1970[VMP 4] ».

Les bourgs, anciens, présentent un urbanisme groupé, avec des voies étroites et des bâtiments à trois étages. À la fin du XXe siècle, l'urbanisation gagne les pentes, comme à Corent, ou créent un lien avec la commune voisine des Martres-de-Veyre[VMP 4].

Veyre modifier

Traversée par la route de Clermont à Issoire, Veyre s'est « installée au niveau d'un franchissement de la rivière », depuis un pont du XIIIe siècle[VMP 4].

Monton modifier

Le village de Monton, d'origine médiévale, est implanté au sud du puy du même nom. Il « correspond au site de l'ancien village ». Le village évolue au cours du XVIIIe siècle, avec le transfert du cimetière en 1703, le comblement des fossés, l'ouverture du fort du XVe siècle vers l'extérieur, la reconstruction de l'église en 1771, puis la construction du presbytère en 1868. Face à l'accroissement de l'urbanisation, le fort n'était plus visible ; le quartier a été remis en valeur à la suite d'un plan d'aménagement du bourg en 1998. En outre, la démolition de bâtiments a laissé place à des espaces publics, notamment de stationnement[VMP 4].

Soulasse modifier

Au sud-est de la commune, cette ancienne seigneurie a été rattachée à Monton au XIVe siècle. Le village comprend une fontaine ; il s'est « développé de manière concentrique au départ de trois voies »[VMP 4].

Hameaux isolés modifier

La commune compte plusieurs hameaux isolés :

  • Saint-Alyre, où l'existence d'une église est attestée depuis le Xe siècle. Son occupation est très ancienne, aussi le site doit être préservé notamment « pour des raisons historiques »[VMP 4] ;
  • Pont Henry, à proximité d'un échangeur routier, sur l'ancienne route de Clermont à Issoire, existant depuis le XVIIIe siècle[VMP 4].

Logement modifier

Avec l'augmentation de la population (et du nombre de ménages), de nouveaux logements ont été construits sur la commune. Entre 1968 et 1999, le nombre de logements a triplé et concerne en majorité des résidences principales (1 353 contre 443). En revanche, le nombre de résidences secondaires chute[VMP 5].

En 2012, le parc de logements de la commune est déséquilibré : sur les 1 574 logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,9 %, en baisse par rapport à 2007 (89,3 %). La part de logements HLM loués vides était de 1,4 % (contre 0,3 %)[a 2].

Le schéma de cohérence territoriale du Grand Clermont prévoit, pour la communauté de communes Gergovie Val d'Allier, la construction de 1 760 logements, dont 1 031 dans les territoires périurbains, dans le but d'économiser l'espace. Le plan d'occupation des sols de 2011 comptait encore 249 735 m2 d'espaces vides. Le SCOT prescrivant une limite de 700 m2 par construction, la commune peut encore construire jusqu'à 356 logements. Avec une moyenne de 2,3 habitants par logement, la commune pourrait dépasser 4 000 habitants en 2020[VMP 4].

Planification de l'aménagement modifier

Le plan local d'urbanisme a été approuvé par une délibération du conseil municipal du [VM 1]. Il succède au plan d'occupation des sols[VMP 2].

Projets d'aménagement modifier

  • La zone d'aménagement concerté des Chardonnets, à l'est de la D 978[VMP 4].

Voies de communication et transports modifier

La commune bénéficie d'une bonne accessibilité routière et se place en deuxième position de la communauté de communes en termes d'utilisation des transports en commun[VMP 6].

Voies routières modifier

 
La D 978 vers Clermont-Ferrand (à gauche) et la D 8 vers les Martres-de-Veyre (à droite).

La commune de Veyre-Monton est accessible par l'autoroute A75, par les sorties 5 (depuis Clermont-Ferrand) ou 6 (depuis Issoire), à l'ouest de la commune[VMP 6]. Cependant ces deux échangeurs se situent sur une commune limitrophe, respectivement au Crest et à la Sauvetat ; une aire de service porte son nom sur l'autoroute en direction d'Issoire, peu avant la sortie 6[5].

En outre, elle est desservie par la route départementale 978, portion de la route nationale 9 historique, reliant le sud de l'agglomération clermontoise (Pérignat-lès-Sarliève, puis en dehors des limites de la métropole dont Le Cendre en est membre, Orcet), à La Sauvetat et à Champeix. Elle est aussi l'origine de la route départementale 225 menant aux Martres-de-Veyre et à Vic-le-Comte[5].

La commune est également traversée par les routes départementales 8 (liaison des Martres-de-Veyre à Tallende), 74 (vers Saint-Sandoux), 753 (reliant le village de Soulasse aux Martres-de-Veyre), 786 (reliant le Crest à Corent par les villages de Monton et de Soulasse) et 787 (reliant Monton au lieu-dit des Quatre Routes, sur la RD 225)[5].

La commune gère environ 28 kilomètres de voies. Les rues des villages de Monton et de Soulasse, étroites et sinueuses, ne favorisent pas la circulation des véhicules[VMP 6].

Transport ferroviaire modifier

Aucune ligne ferroviaire ne traverse la commune. La gare la plus proche est située aux Martres-de-Veyre (à cinq minutes de Veyre-Monton), sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac, où circulent des TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant les gares de Clermont-Ferrand à Vic-le-Comte, voire Issoire, ou au-delà.

Transports en commun modifier

La ville est desservie par trois lignes du réseau départemental Transdôme[VM 2] :

Risques naturels et technologiques modifier

La commune est soumise à plusieurs risques naturels[VMP 7] :

  • feu de forêt ;
  • inondation : « de type torrentiel, avec une intensité d'aléa forte » ; un plan de prévention du risque inondation concernant les bassins de la Veyre et de la Monne a été approuvé le sur les communes traversées par la rivière Veyre ;
  • mouvement de terrain : la commune a connu plusieurs glissements de terrain ;
  • risque sismique : la commune est classée dans la zone de sismicité modérée (niveau 3). Le dernier séisme ressenti dans la commune s'est déroulé le (épicentre localisé à Randan, au nord-est du département), avec une intensité ressentie de 3 dans la commune ;

ainsi que par deux risques technologiques[VMP 7] :

  • transport de matières dangereuses (autoroute) ;
  • présence d'une canalisation de gaz à haute tension.

La commune a élaboré un DICRIM[VM 3].

Elle a connu plusieurs inondations de la Veyre, en 1755, 1759, 1760, 1943, 1976, 1992, 1994 et 2003. La crue de l'Allier pouvant « empêcher l'écoulement de l'eau », la Veyre peut se retrouver inondée. Le ruissellement peut aussi provoquer des inondations, touchant trois établissements recevant du public[VM 3].

Le secteur de Monton est le plus touché par des glissements de terrain, notamment le long de la route départementale 786. Le site des grottes de Monton est fermé périodiquement pour cette raison et pour les chutes de pierres[VM 3]. En , l'érosion, causée par le détachement de la paroi d'une des grottes, a entraîné sa fermeture dans l'attente d'investigations, par arrêté municipal[VM 4].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Préhistoire modifier

En 2005, des fouilles archéologiques ont permis de confirmer l'occupation du site pendant les périodes Cardial ou Épicardial[26].

En 2019, il a été mis au jour par les services de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) une série de menhirs en basalte (cairn et statue-menhir)[27].

Antiquité modifier

Le territoire communal est habité depuis l'Antiquité, entre les puys de Corent et de Monton[VMP 8].

Moyen Âge modifier

Le village de Monton, situé à l'ouest de la commune, « s'est développé sur une plate-forme naturelle, jusqu'à la falaise sur laquelle viendront butter les remparts du fort villageois » ; de nombreux vestiges témoignent de la vie du village (dont les tours). Il abritait un « centre politique et administratif » « géré par des consuls depuis le XIIe siècle, siège d'une châtellenie, d'une prévôté puis d'un bailliage seigneurial de 1343 à la Révolution ». Elle fut pourvue d'un « important système défensif pendant la guerre de Cent Ans »[VMP 8].

La seigneurie de Monton a appartenu à « six nobles familles du XIe siècle à la Révolution » : les Monton (1020-1314), les rois de France et les dauphins du Viennois (jusqu'en 1343) puis les Roger de Beaufort-Canilhac (jusqu'en 1511)[VMP 8].

Le village de Soulasse est « accroché au plateau de Corent » ; seule la structuration interne témoigne du passé médiéval du village[VMP 8].

Époque moderne modifier

Le village de Veyre « s'est développé de part et d'autre d'un pont datant du XIIIe siècle » (reconstruit au XVIIIe siècle). Traversé par la route de Paris au Languedoc, il se développe au XVIIIe siècle avec des auberges ou des commerces[VMP 8].

Époque contemporaine modifier

Autres événements modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Veyre-Monton est le siège de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé par un arrêté préfectoral du [28] et prenant effet le , regroupant 27 communes en 2021, et membre d'autres groupements intercommunaux[29]. De 2000 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté dont elle était également le siège[30].

Sur le plan administratif, Veyre-Monton dépendait du district de Clermont-Ferrand puis de l'arrondissement de Clermont-Ferrand depuis 1801. Elle était chef-lieu de canton, de 1793 (Monton, puis Veyre et enfin Veyre-Monton en 1801)[31] à  ; à la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton des Martres-de-Veyre[32].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Martres-de-Veyre pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[33], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[34].

Élections municipales et communautaires modifier

Élections de 2020 modifier

Le conseil municipal de Veyre-Monton, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[35], pour un mandat de six ans renouvelable[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 27[37]. Les vingt-sept conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 46,72 %, se répartissant en : vingt-deux sièges issus de la liste de Gilles Pétel et cinq sièges issus de la liste de Michel Fleury[38].

Les cinq sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté se répartissent en : quatre sièges issus de la liste de Gilles Pétel et un siège issu de la liste de Michel Fleury[38].

Chronologie des maires modifier

Liste des maires successifs[39]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1815 Jean-Baptiste Marnat-Courbayre   Notaire
septembre 1815 août 1839
(décès)
Gabriel Tixier   Propriétaire
1839 1847
(démission)
Pierre Luzuy
Neveu du précédent
  Propriétaire
janvier 1848 septembre 1870 Pierre Tixier
Neveu de Gabriel Tixier
  Propriétaire
1870 1874 Bonnet Pommerol    
mars 1874 1879
(démission)
Léon Tixier
Neveu de Pierre Tixier
Droite Propriétaire
Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1870-1880)
1879 Zacharie Valleix    

(démission)
Jean-Baptiste Chaufrut    
Paul Charbonnier    

(décès)
Gabriel Rallier    
[Note 3] Pierre Mandonnet[Note 4]   Cultivateur
André Moulin    

(démission)
Jeannette Terrolle    
Jean Beaulieu    

(démission)
Albert Fath    
Guy Malgat    
Pierre Chabrillat UDF-PR Expert forestier
Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1985-1998)
Yves Fafournoux[40] DVG Technicien PTT
Président de Gergovie Val d'Allier Communauté (2001-2017)[41]
En cours
(au 27 mai 2020)
Gilles Pétel PS Professeur des universités
6e vice-président de Mond'Arverne Communauté (depuis 2020)

Autres élections modifier

Scrutin[42] 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e % 4e %
Régionales 2010 PS 31,05 UMP 26,35 PCF-PG 13,89 LV 13,44 PS-PCF-PG-LV 61,88 UMP 38,12 pas de 3e ni de 4e
Présidentielle 2012 PS 32,23 UMP 24,92 FN 13,91 FG 12,72 PS 56,33 UMP 43,67 pas de 3e ni de 4e
Législatives 2012 PS 49,55 UMP 24,50 FN 9,77 FG 6,70 tour unique
Municipales 2014 PS-PCF 60,35 DVD 39,64 pas de 3e ni de 4e tour unique
Européennes 2014 UMP 21,08 PS 20,20 FN 17,43 UDI-MODEM 14,22 tour unique
Départementales 2015 PS-DVG 35,88 UMP-DVD 33,00 FN 20,72 EÉLV 10,40 PS-DVG 51,35 UMP-DVD 48,65 pas de 3e ni de 4e
Régionales 2015 LR-UDI-MODEM 36,92 PS 27,62 FN 16,75 PCF 8,34 LR-UDI-MODEM 44,46 PS-PCF-EÉLV 41,74 FN 13,80 pas de 4e
Présidentielle 2017 EM 31,66 LFI 19,89 LR 18,90 FN 14,17 EM 76 FN 24 pas de 3e ni de 4e
Législatives 2017 MODEM 39,76 LFI 13,68 LR 11,58 PS 10,11 MODEM 58,28 LR 41,72 pas de 3e ni de 4e
Européennes 2019 LREM-MODEM 25,76 RN 15,96 EÉLV 13,30 LR 11,91 tour unique
Municipales 2020 PS-DVG 63,06 DVD 36,93 pas de 3e ni de 4e tour unique
Départementales 2021 PS-UGE 58,84 DVG 22,17 RN 18,99 pas de 4e PS-UGE 67,22 DVG 32,78 pas de 3e ni de 4e
Régionales 2021 LR-UDI 47,37 PS-PRG 14,78 ÉCO 12,20 MR-LREM-MODEM 9,44 LR-UDI 58,82 ÉCO-PS-PCF-LFI-PRG 33,57 RN 7,61 pas de 4e

Aux élections municipales de 2014, deux listes se sont présentées : « Un choix de vie pour Veyre-Monton », conduite par le maire sortant Yves Fafournoux, et « Alternative citoyenne », menée par Pierre Chabrillat[43]. La première liste remporte l'élection avec 60,35 % des voix. Le taux de participation était de 70,36 %[44].

Équipements et services publics modifier

Politique environnementale modifier

La communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté a élaboré un agenda 21[VM 5].

L'assainissement collectif relève de la compétence du syndicat mixte des vallées de la Veyre et de l'Auzon depuis 2014. Les eaux usées sont recueillies à la station d'épuration des Martres-de-Veyre[VM 6].

Enseignement modifier

Veyre-Monton dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

Les élèves commencent leur scolarité dans l'école maternelle publique ou l'école élémentaire publique Jean-Moulin[45].

Ils poursuivent leur scolarité au collège Jean-Rostand des Martres-de-Veyre[46], puis au lycée René-Descartes de Cournon-d'Auvergne, pour les filières générales et STMG ou au lycée La-Fayette de Clermont-Ferrand, pour la filière STI2D[47].

Le diagnostic du plan local d'urbanisme mentionne aussi une école élémentaire privée, avec dix élèves scolarisés[VMP 9].

Instances judiciaires modifier

Veyre-Monton dépend de la cour d'appel de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[48].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 3 675 habitants[Note 5], en augmentation de 6,96 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 2282 7143 3993 1763 2623 0582 9872 8622 793
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7152 6872 6562 0251 9111 8331 8251 8071 837
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6191 5151 3901 0921 1911 013943765826
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9921 1871 6522 5723 3813 4433 3493 3353 464
2017 2021 - - - - - - -
3 5423 675-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

À la fin du XIXe siècle, la commune comptait 1 825 habitants. Cette population va diminuer de manière importante « en raison de la crise du phylloxéra, des guerres mondiales et du dynamisme industriel de Clermont-Ferrand[VMP 10] ». Elle va augmenter grâce à un solde migratoire positif et élevé entre les années 1968 et 1990 (+ 4,0 % entre 1968 et 1975, + 6,1 % entre 1975 et 1982 puis + 2,9 % entre 1982 et 1990), mais aussi avec un solde naturel positif, où le taux de natalité est supérieur au taux de mortalité entre les périodes 1968-1975 et 2007-2012[a 3].

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 723 hommes pour 1 843 femmes, soit un taux de 51,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,5 
6,9 
75-89 ans
9,2 
24,7 
60-74 ans
24,7 
21,6 
45-59 ans
22,6 
16,4 
30-44 ans
15,8 
13,3 
15-29 ans
10,1 
16,4 
0-14 ans
15,0 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2020 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,7 
60-74 ans
18,4 
20,3 
45-59 ans
19,4 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Caractéristiques de la population modifier

La commune connaît un fort taux de motorisation : presque tous les ménages possèdent une voiture, dont près des deux tiers en possèdent deux, ce qui peut expliquer le faible ratio d'emplois dans la population active[VMP 6].

Par ailleurs, la population des quinze ans ou plus est majoritairement composée de retraités (32,3 %) ; suivent les professions intermédiaires (16,3 %) et les employés (11,9 %)[a 4].

La commune compte 1 476 ménages (pour 3 432 habitants), dont 22,2 % sont des ménages d'une personne, 1,4 % sans famille et 76,4 % de ménages avec famille[a 5].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

La commune possède quatre médecins généralistes, quatre infirmières, un chirurgien-dentiste, une pharmacie et deux kinésithérapeutes[VMP 9].

Sports modifier

Le complexe sportif de la commune comprend une salle de sports, trois terrains de football, deux terrains de tennis, un terrain de boules, ainsi qu'un parcours de santé[VMP 9].

Économie modifier

La commune possède une zone d'activités, celle du Pra de Serre, l'une des sept entretenues et gérées par la communauté de communes Gergovie Val d'Allier. À vocation industrielle, artisanale et commerciale, cette zone, créée en 1988, en bordure de la route départementale 978, s'étend sur 80 700 m2. Il est prévu son agrandissement sur 180 000 m2[VMP 4].

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 40 863 , ce qui plaçait Veyre-Monton au 2 093e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[54].

Emploi modifier

En 2012, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 2 288 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,6 % d'actifs dont 68,9 % ayant un emploi et 3,7 % de chômeurs[a 6].

On comptait 714 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 586, l'indicateur de concentration d'emploi est de 45 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 7]. Ce faible taux est traduit par « des migrations alternantes très importantes, principalement vers l'agglomération de Clermont-Ferrand[VMP 6] ».

1 375 des 1 586 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 86,7 %) sont des salariés[a 8]. 84,5 % des actifs travaillent dans une autre commune du département[a 9].

Entreprises modifier

Au , Veyre-Monton comptait 175 entreprises : 9 dans l'industrie, 37 dans la construction, 105 dans le commerce, les transports et les services divers et 24 dans le secteur administratif[a 10].

En outre, elle comptait 195 établissements[a 11].

Agriculture et viticulture modifier

Le chanvre était cultivé dans la plaine du village de Monton ; « connu pour ses toiles, il a connu jusqu'à 72 métiers à balanciers et à peignes[VMP 8] ».

La vigne se développa sur les coteaux de la Limagne ; elle connut un essor jusqu'à l'épidémie de phylloxéra à la fin du XIXe siècle[VMP 8].

La commune se situe « dans la région agricole de la Limagne viticole », dans trois aires d'appellation d'origine contrôlée : aires géographiques de l'AOC Bleu d'Auvergne (production de lait, transformation et affinage), AOC Cantal et Saint-nectaire, AOC Côtes-d'auvergne, ainsi que dans l'aire de production des IGP Veau du Limousin, Volailles d'Auvergne, Porcs d'Auvergne et l'IGP viticole Puy de Dôme[VMP 9].

Le recensement agricole fait état d'une importante diminution du nombre d'exploitations agricoles : en 2010, il en existait encore dix-neuf, contre 21 en 2000 et 36 en 1988. La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 581 hectares en 2010, dont 562 ha sont allouées aux terres labourables et 5 ha aux cultures permanentes[55].

Commerce et services modifier

La base permanente des équipements de 2014 recensait quatorze commerces : un supermarché, deux épiceries, deux boulangeries, deux boucheries-charcuteries, deux librairies-papeteries ou marchands de journaux, un magasin de vêtements, un magasin de meubles, un fleuriste et deux stations-service[56].

Tourisme modifier

Au , la commune ne comptait aucun hôtel[a 12], camping[a 13] ou autre hébergement collectif[a 14].

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Vierge de Monton.

Veyre-Monton ne compte aucun édifice protégé aux monuments historiques[VMP 11]. En 2019, une équipe de l’Inrap a pu fouiller une série d’alignements de menhirs au voisinage de l'autoroute A75[57].

Patrimoine religieux modifier

  • Église Sainte-Anne de Monton. Un document du cartulaire de Sauxillanges daté entre 1028 et 1049 prescrivait la construction d'une église en 1030. Des travaux d'agrandissement de l'église, réclamés par les habitants de Monton, furent engagés dans la seconde moitié du XVIIIe siècle (début des travaux en 1779, fin en 1789, fermée durant la période révolutionnaire). L'église a été rénovée en 2007[VMP 11].
  • Église de Saint-Alyre, attestée depuis le Xe siècle[VMP 11].
  • Église de Soulasse, du XIe siècle, dédiée à saint Agricol et à saint Vidal ; un autre édifice plus moderne a été construit au XIXe siècle[VMP 11].
  • Église de Veyre, construite en 1859, avec un presbytère en 1871[VMP 11].

Autres monuments modifier

Équipements culturels modifier

La commune possède une salle de concert associative (Le Club 22), une salle des fêtes, une école intercommunale de musique (plus de deux cents élèves)[VMP 9].

Patrimoine naturel modifier

Le Plan Vert du Grand Clermont, élaboré en 2005, offre plusieurs enjeux à Veyre-Monton : préservation des espaces naturels majeurs comme la vallée de la Veyre et le puy de Corent, revitaliser la filière viticole (plusieurs secteurs peuvent accueillir des zones AOVDQS)[VMP 2].

La réserve naturelle régionale du Puy de Marmant a été créée en 1985, comme réserve naturelle volontaire, sur le territoire de la commune. S'étendant sur trois hectares, c'est la seule du pays du Grand Clermont. Elle devient réserve naturelle régionale à la suite de la révision des zones naturels par la DREAL Auvergne en 2009-2010[VMP 12] et a été classée en 2015[VM 7].

La commune compte une zone Natura 2000 (« Vallées et coteaux xérothermiques des Couzes et des Limagnes ») et sept ZNIEFF[VMP 12] :

  • puy de Marmant (type 1, 16 hectares, « haut lieu géologique » du fait, notamment, de « la diversité de son substrat géologique » et du couvert végétal — le périmètre a été modifié afin de tenir compte des constructions) ;
  • puy de Corent (type 1, quatre communes) ;
  • puy de Tobize (deuxième génération, quatre communes, autour d'un secteur urbanisé, avec la présence d'une zone d'activités) ;
  • roselière du Crest (deuxième génération, en grande partie sur la commune du Crest et à proximité de la D 213) ;
  • butte de Jonchère (limitée par l'autoroute, cette butte « très rocheuse » a été identifiée « pour la présence de pelouses à orpins », « valeur écologique forte ») ;
  • Notre Dame de Monton (deuxième génération, présence d'une espèce protégée : la Bufonia paniculata) ;
  • coteaux de Limagne occidentale.

La grotte de Monton est un site inscrit[VMP 12].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Nommé par le préfet.
  4. Président de la délégation spéciale du au .
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Insee modifier

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. POP T2M – Indicateurs démographiques.
  4. POP T5 – Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle.
  5. FAM T1 – Ménages selon leur composition.
  6. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  7. EMP T5 – Emploi et activité.
  8. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
  9. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  10. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
  11. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
  12. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
  13. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
  14. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .

Site de la mairie modifier

  • Rapport de présentation du plan local d'urbanisme, édité par SCP DESCOEUR F et C (tome 1 (diagnostic) [PDF]) :
  1. a et b « Introduction » / « Présentation du territoire », p. 7-9.
  2. a b et c « Introduction » / « Les directives et les textes », p. 15-21.
  3. a b c d e f g et h « Section 1. État initial de l'environnement » / « 1. Les éléments physiques », p. 23-53.
  4. a b c d e f g h i et j « Section 2. Environnement urbain » / « 2. L'organisation du territoire », p. 117-137.
  5. « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « Habitat », p. 169-176.
  6. a b c d et e « Section 2. Environnement urbain » / « 1. Les voies de communication », p. 108-116.
  7. a et b « Section 1. État initial de l'environnement » / « 3. Les risques naturels, technologiques et les nuisances », p. 54-70.
  8. a b c d e f et g « Introduction » / « Présentation du territoire » / « Historique », p. 10-14.
  9. a b c d et e « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « La vocation économique », p. 177.
  10. « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « Démographie », p. 164-168.
  11. a b c d e f g et h « Section 2. Environnement urbain » / « 3. Le patrimoine bâti », p. 138-162.
  12. a b et c « Section 1. État initial de l'environnement » / « 4. Les milieux naturels », p. 71-106.
  • Autres références :
  1. « Urbanisme » (consulté le ).
  2. « Transport et plan » (consulté le ).
  3. a b et c « DICRIM » [PDF], (consulté le ).
  4. « Fermeture des grottes de Monton » (consulté le ).
  5. « Agenda 21 » (consulté le ).
  6. « Assainissement » (consulté le ).
  7. « Réserve régionale du Puy de Marmant » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. (oc) « Vaira e Monton: una descobèrta arqueologica extraordinària : An trobat un trentenat de menirs, una estatua antropomòrfa e una sepultura de l’epòca preïstorica », Jornalet, Barcelone, Associacion entara Difusion d'Occitània en Catalonha (ADÒC),‎ (ISSN 2385-4510, OCLC 1090728591, lire en ligne).
  2. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906 (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Vic-le-Comte », sur Lion 1906 (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Martres-de-Veyre », sur Lion 1906 (consulté le ).
  5. a b c et d Carte de Veyre-Monton sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 29 octobre 2016).
  6. « Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 56 (55 sur PDF).
  7. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Plauzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Veyre-Monton », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Anzat-le-Luguet – Issoire – Clermont-Ferrand » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  24. « Clermont-Ferrand - Veyre-Monton – Authezat » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  25. « Clermont-Ferrand - Saint-Saturnin - Champeix » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  26. Rapport d'activité 2006 de l'Inrap [PDF], p. 112.
  27. « Actualité | Les mégalithes de Veyre-Monton (Puy-de-Dôme) : alignements de menhirs, tombe, cairn et statue », sur Inrap, (consulté le ).
  28. Direction des collectivités territoriales et de l'environnement – Bureau du contrôle de légalité – Intercommunalité, « Arrêté prononçant la fusion des communautés de communes : « Allier Comté Communauté », « Gergovie Val d'Allier Communauté » et « Les Cheires » à compter du  » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-059, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 85-95.
  29. « CC Mond'Arverne Communauté (No SIREN : 200069177) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  30. « CC Gergovie Val d'Allier Communauté (No SIREN : 246300933) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  31. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Décret no 2014-210 du portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  33. « Commune de Veyre-Monton (63455) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  34. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  35. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  36. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  37. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  38. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  39. Historique des conseils municipaux, sur mairie-veyremonton.fr
  40. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme, 9 avril 2014 (consulté le 23 juin 2014).
  41. « Les instances communautaires », Communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté (consulté le ).
  42. « Résultats élections départementales 2021 Veyre-Monton », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  43. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014. Veyre-Monton. Candidatures du 1er tour », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  44. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014. Veyre-Monton. Résultats du 1er tour », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  45. « Puy-de-Dôme (63), Veyre-Monton, écoles », Annuaire, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  46. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « VEYRE-MONTON » dans le formulaire de saisie.
  47. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 17.
  48. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Veyre-Monton (63455) », (consulté le ).
  53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  54. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 », sur insee.fr (consulté le ). Base « Arrondissement municipal, commune pour la France métropolitaine », fichier « RFDM2010COM ».
  55. « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Veyre-Monton commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
  56. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
  57. « LES MÉGALITHES DE VEYRE-MONTON (PUY-DE-DÔME) : ALIGNEMENTS DE MENHIRS, TOMBE, CAIRN ET STATUE », INRAP,‎ (lire en ligne).