Saint-Béat-Lez

commune nouvelle de la Haute-Garonne

Saint-Béat-Lez
Saint-Béat-Lez
La Garonne et le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
Anna Changeux
2022-2026
Code postal 31440
Code commune 31471
Démographie
Gentilé Saint-Béatais-Léziens
Population
municipale
384 hab. (2021)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 54′ 52″ nord, 0° 41′ 33″ est
Altitude Min. 476 m
Max. 1 763 m
Superficie 9,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Saint-Béat-Lez
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Saint-Béat-Lez

Saint-Béat-Lez (prononcé [sɛ̃ bea lɛz] ; en gascon Sent Biat e Les) est, depuis le , une commune nouvelle située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie, issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-Béat[1].

Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais-Léziens.

Saint-Béat-Lez est une commune rurale qui compte 384 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais ou Saint-Béataises.

Géographie modifier

Localisation modifier

Commune située dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les Pyrénées, dans le sud du département de la Haute-Garonne, sur la Garonne à 33 km au sud-est de Saint-Gaudens.

Communes limitrophes modifier

Saint-Béat-Lez est limitrophe de six autres communes : Les communes limitrophes sont Eup, Boutx, Argut-Dessous, Arlos, Marignac, Chaum et Bezins-Garraux.

Communes limitrophes de Saint-Béat-Lez[2]
Chaum Eup
Marignac   Boutx
Arlos Argut-Dessous

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 996 hectares ; son altitude varie de 476 à 1 763 mètres[3].

La commune est située au pied du pic du Gar.

 
La Garonne traversant Saint-Béat.
Saint-Béat

La commune est arrosée par la Garonne située au centre de la commune.

Lez

Le ruisseau de Lez traverse la commune.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Béat-Lez.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Garonne, un bras de la Garonne et le ruisseau Rieu Sec, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[5],[6].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[7].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bagnères-de-Luchon à 16 km à vol d'oiseau[10], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Béat-Lez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Voies de communication et transports modifier

Transports modifier

Le tunnel de Saint-Béat-Lez modifier

Commencés en 2013, les travaux de construction du tunnel se sont terminés en 2018.

Le tunnel de Saint-Béat-Lez placé sur la N 125 a pour longueur 1 066 mètres, il est entré en service le 3 mai 2018[19].

Il a été inauguré le 30 avril 2018 en présence de Pascal Mailhos (préfet de la région Occitanie), Carole Delga (présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée), et Georges Méric (président du Conseil départemental de la Haute-Garonne)[20].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Béat-Lez est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2013 et 2022[23],[21].

Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Saint-Béat-Lez est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire des massifs des piémonts des Pyrénées et des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24],[25]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Béat-Lez.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 43,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 421 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 383 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 1].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1996[21].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage du Portillon sur la Neste d'Oô. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Béat-Lez est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie modifier

La ville se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.

Saint-Béat serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint très local. Ce saint est aussi connu comme l'évangélisateur de la Beauce où il aurait tué un dragon.

Lez est un hydronyme apparenté au basque leize « torrent ».

Histoire modifier

 
Théodosienne en Marbre de Saint-Béat - Musée Saint-Raymond

La commune nouvelle regroupe les communes des Lez et de Saint-Béat, qui deviennent des communes déléguées, le [31]. Son chef-lieu se situe à Saint-Béat.

 
Vue de Saint Béat par Eugène de Malbos, vers 1840.

Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.

Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».

Depuis, Saint-Béat-Lez est surtout connu pour ses carrières de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que plusieurs sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.

Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrôle le passage de la vallée de la Garonne.

Pendant longtemps, outre ses carrières, la ville était le site d'une foire où s'échangeaient les ânes et mulets destinés à l'Espagne, contre du bois venant des forêts aranaises et charrié par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu à la Saint-Martin.

Une particularité : jusqu'à la Révolution, Saint-Béat (du moins sa partie est, séparée de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocèse appelé « diocèse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocèses civils des États du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « Rivière-Verdun » (formée d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'à la frontière espagnole). Cette jugerie dépendait, elle, de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[32].

 
Vue du Pont de Saint-Béat par Eugène Trutat, fonds Eugène Trutat - Muséum de Toulouse.

Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particulièrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.

 
La gare de Saint-Béat Lagerle.

De 1914 à 1953, le tramway électrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-Béat et ses carrières[33].

L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.

C'est depuis le une commune nouvelle issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-Béat[1].

Politique et administration modifier

Liste des communes historiques
Nom Code
Insee
Code postal Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Modifier
Saint-Béat
(siège)
31471 31440 7,37 345 (2016) 47   
Lez 31298 31440 2,60 59 (2016) 23   

Administration municipale modifier

Jusqu'à son prochain renouvellement, en 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle est composé de l'ensemble des membres en exercice des conseils municipaux des anciennes communes. La mairie est celle de Saint-Béat.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de Bagnères-de-Luchon.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Janvier 2019 mai 2020 Luce Lagacherie    
mai 2020 2021 Thierry Haein   Démission fin 2021
2021 En cours Anna Changeux   Maire par intérim[34].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 384 habitants[Note 2], en diminution de 9,86 % par rapport à 2015 (France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2020 2021
426383384
(Sources : Insee à partir de 2015[35].)

Économie modifier

La commune de Lez est classée en zone montagne et possède une seule exploitation agricole[36], en 2012.

La société Omya y exploite du marbre dit de Saint-Béat[37].

Enseignement modifier

Saint-Béat-Lez fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école élémentaire et le collège François Cazes. Pour le lycée, il faut aller au lycée Edmond Rostand, à Bagnères-de-Luchon[38].

Santé modifier

Activités sportives modifier

Piscine, chasse, randonnée pédestre.

Écologie et recyclage modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Saint-Béat modifier

Lez modifier

  • Monument aux morts.
  • Un manoir.
  • Fontaine et abreuvoir.
  • Lavoir.
  • Sculpture en marbre blanc d'une montagne où un cours d'eau descend et arrose le village (les mains).

À proximité :

Personnalités liées à la commune modifier

 
La statue du maréchal Gallieni à Saint-Béat.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Notes de type "Carte " modifier

  1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. a et b « Arrêté du 30 avril 2018 portant création de la commune nouvelle de Saint-Béat-Lez », sur haute-garonne.gouv.fr, (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  5. « Fiche communale de Saint-Béat-Lez », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  6. « Carte hydrographique de Saint-Béat-Lez » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  7. Sandre, « la Garonne »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Bagnères-de-Luchon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Luchon » (commune de Bagnères-de-Luchon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Luchon » (commune de Bagnères-de-Luchon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vanessa Marguet, « Le tunnel de Saint-Béat ouvre enfin, mais la déviation est loin d'être terminée », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  20. « occitanie.developpement-durabl… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Béat-Lez », sur Géorisques (consulté le )
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque feux de forêts.
  25. « Prévention des incendies de forêt en Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le )
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Béat-Lez », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  29. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  31. « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Haute-Garonne », sur http://www.haute-garonne.gouv.fr/, (consulté le ).
  32. Voir cartes de Cassini, cartes de Gascogne et de Rivière-Verdun.
  33. Site FACS, Les chemins de fer secondaires de France : 31 - département de Haute-Garonne lire (consulté le 19 novembre 2011)
  34. https://www.petiterepublique.com/2021/12/15/saint-beat-un-conseil-municipal-reduit-a-10-des-elections-a-organiser/
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. http://carto.observatoire-des-territoires.gouv.fr/GC_preport.php?lang=fr&s=144&view=map1&id_rep=r01&selId0=12158&nivgeo=com
  37. « Historique et Activités - Omya », sur Omya (consulté le ).
  38. http://www.st-beat.fr/scolarite/
  39. « Église Saint-Benoît-et-Saint-Privat de Saint-Béat | Musée du Patrimoine de France », sur museedupatrimoine.fr (consulté le ).
  40. Notice no PA00094446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 28 juin 2010.
  41. Le Moulin des Arts sur le site de la mairie de Saint-Béat, consulté le 23 avril 2013.