Discussion:Louise Michel

2021

Yves Murie, le 25/02/21. Je suis désolé de le dire, mais cet article de wikipedia est malhonnête. Ce n’est pas une biographie, c’est un instrument de propagande, chargé de perpétuer la légende de la « Vierge rouge ». Non, Louise Michel n’a pas réussi son examen d’institutrice à Chaumont en 1851, elle a échoué, et s’est représentée avec succès à Versailles en mars 1852. Louise Michel, quand elle a ouvert son école en septembre 1852 à Audeloncourt, ne pouvait pas avoir refusé de prêter serment à Napoléon III, puisque ledit Napoléon III n’existait pas : c’est les 21 et 22 novembre qu’un plébiscite l’a fait empereur ! Louise Michel était-elle à Paris en 1853 ? Elle le dit dans ses Mémoires (où elle affabule beaucoup), mais nul n’en a trouvé trace. J’ai essayé à trois reprises de corriger ces « erreurs », mais mes corrections ont été immédiatement annulées par des « gardiens du temple » qui se cachent derrière des pseudonymes (Kagaoua. et Sijysuis), ce dernier m’ayant même accusé au passage de « détournement de sources » et de « vandalisme ». Les sources que j’indique ont été relevées en 1993, et il est possible que leurs références aient été modifiées depuis, mais il est facile d’aller consulter les documents aux Archives départementales de Haute-Marne (630 W 22410) et des Yvelines (34 T 3). De toute façon, les « erreurs » que j’ai relevées, qui ne sont rien d’autre que des mensonges, ne sont pas « sourcées » dans le texte de wikipedia, et cela ne semble pas gêner mes contradicteurs, qui savent très bien où est la vérité, mais qui agissent en propagandistes éhontés. Et les biographes de Louise se prêtent à cette mystification. C’est consternant.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 92.154.221.217 (discuter), le 25 février 2021 à 09:27

Copyvio ?

j'ai un soupçon de non respect de copyright sur la partie biographie j'ai cru lire ce texte en préface d'un livre sur Louise Michel Je crois que ce texte correspond peu ou prou à l'article "Louise Michel" du "Dictionnaire Biographique du monde Ouvrier" de Jean Maitron. Bertrand L.

Tu te trompes, tu as "cru" lire,mais ce n'est pas possible parce que j'ai fait un mix de textes trouvés sur plusieurs sites, et le texte dont je me suis le plus inspirée pour la rédaction de cet article n'est précisément pas celui que tu cites.--fl0 4 jan 2005 à 21:25 (CET)Fl0

Tant mieux fl0 mais ce serait encore mieux si tu citais tes sources. C'est important pour la crédibilité de l'encyclopédie mais aussi pour la liberté du lecteur, lui permettre d'aller lui-même aux sources, d'en trouver de nouvelles, de vérifier les informations. L'objectif de wikipédia n'est pas de dispenser les visiteurs de la lecture d'ouvrages de référence. Je considère que c'est une invitation à contribuer : si quelqu'un qui lit un article qui l'intéresse regarde les sources et court chez son libraire il y a de bonnes chances que ce soit un futur contributeur. Fred.th 6 jan 2005 à 15:19 (CET)
PS : et si tu t'étais inspiré d'un article qui pompait le Maitron (très cher le Maitron, si quelqu'un... je suis preneur) ?
PS2: J'ai commencé une liste sur Utilisateur:Fred.th/Déportés de la Commune si vous avez des renseignements à ajouter... Je ne fais JAMAIS de copier-coller, ça ne présente pour moi aucun intéret. Ce que peuvent pomper les autres, ça, je n'en sait et n'y peux vraiment rien. Il est vrai que j'ai omis une bibliographie, que je mets toujours au fond de mes autres articles, et je vais y remédier tout de suite.--fl0 7 jan 2005 à 12:18 (CET)Fl0

Après vérification... J'ai retrouvée l'article "Louise michel" dont je parlais en préface de la dernière réédition de : La commune, histoire et souvenirs. Michel, Louise. 1999. Editions la découverte. (Première edition chez Stock en 1898). Après lecture comparative des deux textes il n'y a effectivement pas de problèmes de copyright (dans le sens copier-coller), mais c'est sans doute a mons avis une des sources principales des faits cités. Miniwark 6 jan 2005 à 18:45 (CET)

Il faut tout de meme bien trouver des sources qq.part pour ne pas dire de choses inexactes et, dans un texte bref qu'est un article, surtout une biographie, il n'y a guère tellement de manière différentes pour dire qu'une personne est née ici ou là à telle date, qu'elle a fait ceci ou cela à tel moment. Mais mes textes sont toujours de mon cru.--fl0 7 jan 2005 à 12:18 (CET)Fl0

Je suis vraiment gêné par le ton pas toujours très neutre de certains passages : héritage et œuvres ainsi que par le passage maçonnique qui arrive bizarrement. Je pense qu'un découpage en sous-parties biographiques serait utile de même qu'une fusion des héritages (pas seulement social mais politique littéraire et social) peut-être avec des sous-parties. Il nous reste trois jours avant le centenaire. On peut le faire ! Demain. Fred.th 6 jan 2005 à 22:27 (CET)

La neutralité absolue est une page blanche... Les (brefs) passages qui mentionnent la franc-maçonnerie rapportent des faits dont on a la certitude: Louise Michel, un an avant sa mort (au fait, c'est l'anniversaire de son centenaire ce mois-ci, et mon intention en faisant cet article était précisément de lui rendre hommage)était effectivement rentrée dans l'obédience mentionnée. Le passage "maçonnique" n'arrive donc pas "bizarrement", il arrive à sa place et à son moment. --fl0 7 jan 2005 à 12:18 (CET)Fl0

Je ne critique pas Fl0 au contraire, mon soupçon était erroné. Veuille bien m'excuser de ma remarque hâtive liée à de vagues souvenirs. Pour passer à une autre question il existe un article Louise Michel (métro de Paris) doit on créer une page d'homonymie pour en tenir compte ? Miniwark 19 jan 2005 à 19:09 (CET)

Quelques interrogations

Bonjour, - lorsque vous dites "On assiste alors à d’étonnantes manifestations : femmes, enfants, gardes fédérés entourent les soldats qui fraternisent avec cette foule joyeuse et pacifique. Louise Michel fait alors partie de l’aile révolutionnaire la plus radicale et pense qu’il faut poursuivre l’offensive sur Versailles pour arrêter le gouvernement d'Adolphe Thiers qui n’a alors que peu de troupes, cela ne durera pas et l’occasion est manquée.", on a l'impression que ça se situe avant le déclenchement de la Commune (18 mars 1871, déclarée officiellement le 28 mars 1871)... alors que c'est à mon avis après, - "Partie prenante de Commune de Paris, intervient l’épisode maintes fois mentionné, où, en habit de garde nationale, elle fait le coup de feu Place de l'Hôtel-de-Ville." Les tentatives insurrectionnelles contre l'Hôtel de Ville étaient le 30 octobre 1870 et le 22 janvier 1871, avant la Commune. Louise Michel y a effectivement pris part, mais c'était là AVANT la Commune, - aucun mot sur le rôle de Louise Michel le 18 mars 1871 ? Bien cordialement, JC Sarrot

tu es le bienvenu pour y faire des ajouts ou des corrections, c'est le but et le moyen du wiki, la coopération libre... :) <|-★:Libre-|> 12 novembre 2005 à 14:15 (CET)

Encore beaucoup à faire...

1) l'article dit : "Un rapport de police affirme (en 1878) qu’elle adhère à l’Association internationale des travailleurs." Mais l'AIT s'autodissout en 1876 à New-York ! Donc ce rapport de police (quelle source ?) n'indiquerait au final que l'adhésion de L.Michel à l'anarchisme, à l'"AIT-bis" des anarchistes. CONCLUSION : confirmation de la thèse de Pierre Durand qui va dans le sens d'une non-adhésion de L. Michel à l'AIT à l'époque où cette organisation était opérationnelle. Question bien + importante.

2) C'est cohérent avec son évolution politique qui débute en réalité par un socialisme chrétien quasi-sulpicien pour finir par l'anarchisme assez complaisant avec le terrorisme anarchiste et le nihilisme. En passant par le socialisme "doloriste" et le blanquisme. Le point commun ? Peut-être quelque chose comme "la grande fédération des douleurs" : le désespoir. A 180 degrés du socialisme marxiste qui s'arc-boute vers l'avenir sûr de son fait...

3) l'article dit : "Louise Michel fait alors partie de l’aile révolutionnaire la plus radicale et pense qu’il faut poursuivre l’offensive sur Versailles pour arrêter le gouvernement d'Adolphe Thiers qui n’a alors que peu de troupes." Quelle source ? C'est la thèse de Marx sur les causes de l'échec de la Commune. Alors ?

4) l'article dit : "elle est même volontaire pour se rendre seule à Versailles et tuer Thiers." Puis : "l’épisode maintes fois mentionné, où, en habit de garde nationale, elle fait le coup de feu Place de l'Hôtel-de-Ville." Et pour finr avec : "Sur la barricade de Clignancourt, en janvier 1871, elle participe au combat de rue dans lequel elle tirera au fusil pour la première fois de sa vie." Contradictoire, non ? C'est oublier que d'après Pierre Durand elle se rend à la manifestation des obsèques de Victor Noir, la veille de la "guerre Franco-Prussienne" avec un pistolet dans la poche... dont elle ne se servira pas. Et surtout, c'est oublier que L. Michel (rendons à César...) est une combattante de la première heure : elle fait partie de la « garnison » de Montmartre interdisant la confiscation des canons contre Thiers et sera ainsi citée au Journal Officiel de la Commune !

5) l'article dit : "Il est intéressant de remarquer qu’elle est très en avance sur son temps, préconisant des choses qui aujourd’hui nous paraissent acquises et normales mais qui à l’époque sont des nouveautés..." Là, c'est ne pas réaliser que Louise Michel participe à un mouvement social collectif exaltant pour les communards. Ce sont les décrets de la Commune dans leur ensemble qui formaient un programme bien "en avance sur son temps" : salaire minimal, séparation de l'église/Etat - 1905 aussi- etc.

à suivre donc...

Vous avez dit qualité ?

Il me semble que cet article, sans doute l'un des meilleurs de l'encyclopédie à la date de sa promotion, est maintenant très loin, mais alors très très très loin du standard AdQ. Je pense donc contester dans les jours qui viennent, à moins que quelqu'un ne se sente concerné et ne souhaite s'atteler à la tâche...Fred waldron 9 février 2007 à 18:00 (CET)

Clignancourt

J'ai trouvé sur un site (biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm) cette phrase : "C'est à la barricade de la chaussée Clignancourt, avec quelques dizaines d'hommes de son bataillon, qu'elle tira ses derniers coups de feu." Or l'article disait "elle tirera au fusil pour la première fois de sa vie" (ce qui était d'ailleurs contradictoire avec une autre partie du texte) la source me paraît sûre donc j'ai modifié la phrase.boutquin 28 février 2007 à 18:49 (CET)

Photo de la dame

et quelques autres.--Thesupermat ^{[you want to talking to me ?]} 29 novembre 2007 à 18:53 (CET)

Citation manquante de Louise Michel

http://www.glff.org/internet/fr/celebresphist.htm 31 décembre 2009 à 01:04 (CET)

Engagement féministe

Après avoir lu le tome I de ses Mémoires, il me semble que l'article sur Louise Michel n'évoque pas suffisamment son engagement féministe, qui transparait dans cette œuvre comme aussi importante que son engagement politique.

Des erreurs dès le premier paragraphe !

Le texte dit : "Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne) et morte le 9 janvier 1905 à Marseille, alias « Enjolras », est une militante anarchiste et l’une des figures majeures de la Commune de Paris. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste."
3 fois faux :
- L. Michel n'a pas été d'abord "une militante anarchiste"... Seulement bien après la Commune.
- L. Michel n'a pas été une figure majeure de la Commune de 1871... Pas en tout cas pendant la Commune. n'importe quel historien, voire étudiant en Histoire (si ça existe encore...) le sait pertinemment.
- "première à arborer le drapeau noir" ? Oui... mais même remarque : pas pendant la Commune. Mais bien après. D'ailleurs elle s'en explique elle-même.
A ce sujet : je n'ai pas trop l'impression qu'on cite dans cet article L. Michel elle-même qui a pourtant beaucoup écrit. C'est bien dommage. Enfin peut-être plus bas car je me suis limité à ce paragraphe déjà trop décevant pour avoir envie de poursuivre.
Mes encouragements tout de même. Un bon article sur L. Michel vaut la peine tant elle représente une contradiction et un flou politique. D'un côté, une figure légendaire, voire mythique et en même temps si on gratte... Et au final remontent à la surface ses grands actes dont le premier acte historique de la Commune où elle a pris plus que sa part... Et pas en tant que "militante anarchiste" mais en tant que communarde dévouée à sa cause. Je lui pardonne tout, même le drapeau noir de la division et du désespoir, même l'amitié et la protection de la Duchesse d'Uzès... Et pourtant quel enseignement catastrophique ! Pas en tant qu'enseignante, je veux dire... Au contraire.
--Toveri (d) 21 avril 2012 à 17:17 (CEST)

A peine mieux inspiré est ce paragraphe là où maintenant il indique... "militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris" : on égare littéralement le lecteur quand on met sur le même plan des réalités de grandeur aussi dissemblable que son passé de communarde et son... appartenance à la franc-maçonnerie, qui date de quelques mois avant sa mort. 194.214.29.108 (discuter) 25 avril 2019 à 18:30 (CEST)

Ha oui, comme c'est amusant, la aussi la FM est cause par la meme IP qui se lache de partout contre la franc-maçonnerie... On égare rien du tout, il s'agit d'un RI, qui fait synthèse neutre d’élément qui seront détaillés dans l'article. Mais il est vrai encore une fois qu'il faut parler de franc-maçonnerie et que ça fait vomir certains trolls anarcho-primitif ou facho-complotiste qui lâchent déci delà des insinuations douteuses par antimaçonnisime primaire.--KA^{Pour les intimes ©} 3 mai 2019 à 20:51 (CEST)

Notes et références

Note 1: Ce lien ne fonctionne pas. Pérez (d) 24 février 2011 à 18:45 (CET)

Atelier

Cet article a fait l'objet d'une demande de relecture par l'atelier de relecture.

• état : demande
• demandeur : LD - (discuter)
• date de demande : 26/03/11
• relecteur : - - (discuter)
  • pris en charge le : -
  • terminé le : -
• commentaire : -
• avancement :

Contestation

Bonjour, je souhaite contester le label de cet article parce que :

• les critères d'obtention du label il y a 5 ans sont bien plus restrictifs aujourd'hui. L'article en l’état, pour une personnalité aussi importante, n'est plus au normes.
• le problème également le plus important : il y a très peu de sourcage (dont la moitié ne sont que moyennement acceptables par ailleurs) alors qu'il y a plusieurs biographies de référence non utilisées.

Cordialement, Celette (d) 15 juin 2012 à 02:49 (CEST)

Pas d'opinion sur la contestation, mais je suis étonné de la place que l'on fait de la prétendue liaison entre Victor Hugo et Louise Michel et du fruit de cette liaison! Je ne sais pas quel crédit on peut accorder à Yves Murie, en tout cas le lien en référence est cassé. On possède (au moins) une partie de la correspondance entre ces deux personnalités, et une liaison de ce type devrait y transparaitre, ce qui ne semble pas être le cas. Hugo d'ailleurs avait plutôt propension à ce vanter de ses performances. --Priper (d) 26 juin 2012 à 23:52 (CEST)

Oui, la contestation me paraît s'imposer. Le décalage avec la moyenne des BAs est beaucoup trop prononcé (que ce soit en terme de couverture du sujet encyclopédique ou de la prise en compte du champ de recherche bibliographique…). Alexander Doria (d) 27 juin 2012 à 00:07 (CEST)

La chronologie a au moins une petite faute. Louise Michel est sortie de prison avant novembre 1886. Déjà en octobre, elle était présente dans des réunions d'anarchistes et elle donnait des conférences publiques. Par exemple, l'article "Décadence et Révolution" dans le journal Paris du 22 octobre 1886, page 1. indique qu'elle a donné une conférence la veille.

Franc-maçonnerie

Il semble qu'il y ait encore un litige sur l'appartenance maçonnique de Louise Michel....Dans l'article Grande Loge symbolique écossaise on y lit : Deux loges de l'ancienne GLSE vont se maintenir et refonder la GLSE, en conservant les anciens statuts. Il s'agit des loges "Diderot" et les "Inséparables de l'Arc-en ciel". Deux autres vont rapidement s'y agréger dès 1898 : ce sont « la Jérusalem Écossaise » et « La Philosophie Sociale » (la loge où Louise Michel sera initiée en 1904. Raphodon 13 janvier 2013 à 18:11 (CET)

Bonjour.

Léo Campion dans son livre Le drapeau noir, l'équerre et le compas : les anarchistes dans la franc-maçonnerie, Éditions Alternative Libertaire, 1996 lire en ligne écrit ce qui suit :

C'est à la Loge La Philosophie Sociale, Atelier dissident du rite écossais qui admettait les femmes, que fut initiée Louise Michel. Il y a longtemps que j'aurais été des vôtres, déclara-t-elle, si j'eusse connu l'existence des Loges mixtes, mais je croyais que, pour entrer dans un milieu maçonnique, il fallait être un homme. Selon moi, devant le grand idéal de liberté et de justice, il n'y a point de différence d'hommes et de femmes ; à chacun son œuvre. La Sœur Louise Michel fut une très active propagandiste en faveur de l'admission des femmes dans les loges de toutes obédiences. Tout comme un autre anarchiste, le Frère Charles Malato, apôtre lui aussi de la fraternelle mixité. Ils firent tous deux campagne pour cette idée, particulièrement dans la région parisienne et le Midi de la France. Louise Michel mourut à Marseille le 10 janvier 1905. Elle fut inhumée à Levallois, près de sa mère tendrement aimée et du communard Théophile Ferré. Le faire-part annonçant son décès était ainsi rédigé : Le Vénérable, les Officiers et les Membres de la Loge n°3, La Philosophie Sociale, ont la douleur de faire part à tous les Francs-Maçons de la perte cruelle qu'ils viennent de faire en la personne de leur Sœur Louise Michel.

Peut-être serait-ce utile d'insérer ce paragraphe dans l'article ?

Selon d'autres sources :

Le 13 Septembre 1904, la loge n°3 "La Philosophie sociale" de La Grande Loge Symbolique Ecossaise "maintenue et mixte" (GLSE II) initie trois profanes devant plus de 500 Maçons dans le petit Temple de la rue Rondelet. Il s’agit de Henri Jacob, de Louise Michel et de Charlotte Vauvelle, libertaire, amie et 'compagne' de Louise Michel depuis 1895. Au moment de son initiation, Louise Michel a 74 ans.

Par ailleurs à propos de l'Obédience, j'ai ceci :

En novembre1895 un « Congrès de la fusion écossaise » réunit les Loges bleues du Suprême Conseil De France et la Grande Loge Symbolique Ecossaise.

La réunification aboutira à la création de la Grande Loge de France. Cependant, deux loges de l'ancienne Grande Loge Symbolique Ecossaise refusent cette union : La n°24 "Diderot" et la n°42 "Les Inséparables de l'Arc-en-ciel". Le 23 Juin 1897 se tient une réunion "dans le but de réorganiser l'obédience". Elle débouchera sur la fondation de La Grande Loge Symbolique Ecossaise "maintenue" (GLSE II) qui conserve la Constitution de la première GLSE. Le premier président élu est Raoul Urbain, ancien membre du Conseil de la Commune condamné aux travaux forcés à perpétuité mais libéré par l'amnistie.

La Constitution définitive est votée le 10 Juin 1901. La déclaration de principes, placée en préambule, présente la nouvelle devise de l'obédience "Liberté Egalité Fraternité Solidarité". Elle se réfère explicitement au rationalisme et se veut anti-religieuse. Une obédience originale vient de naître : "La GLSE, maintenue et mixte". Car si comme Le Droit Huamin, La GLSE maintenue est mixte et féministe, elles sont de sensibilité politico-philosophiques différente. La GLSE II est majoritairement libertaire, le Droit Humain est plutôt proche du parti radical. Les membres de la première prônent l'union libre et l'avortement, les adhérents de la seconde défendent une vision plus "bourgeoise" de la famille, des moeurs et de la société. Le 20 décembre 1899, le Vénérable Haas de la Loge "La Philosophie Sociale" déclare dans son allocution de bienvenue que sa loge (je cite) " fondée sur les idées socialistes libertaires, devait arriver forcément à admettre les Soeurs Maçonnes à participer à ses travaux..." C'est dans cette Loge de la GLSE "maintenue et mixte" que sera initiée Louise Michel le 13 Septembre 1904. Dans une lettre, Madeleine Pelletier revendique l'honneur d'avoir conduit Louise Michel jusqu'à la Maçonnerie : Deux mois après mon initiation, je faisais entrer Louise Michel afin de me servir de sa notoriété universelle comme d'un puissant levier pour la propagande de mes idées et j'organisais seule, pendant le Convent de 1904, des tenues exceptionnelles qui eurent, grâce à Louise Michel , un succès sans précédent.

Cordialement --Noelbabar (d) 4 mai 2013 à 11:21 (CEST)

Je signale une source fiable à laquelle je n'ai hélas pas pu accéder : “Louise Michel et la franc‐maçonnerie,” Les cahiers de Clio (1965), pp. 45–47. Cordialement, — Racconish ^D 4 mai 2013 à 14:39 (CEST)

Notice sur le Dictionnaire universel de la Franc-Maçonnerie : lire en ligne]... --Noelbabar (d) 4 mai 2013 à 14:45 (CEST)

Cordialement, — Racconish ^D 4 mai 2013 à 14:47 (CEST)

Source pour la conférence La femme dans la maçonnerie du 14 septembre 1904, devant la loge « Diderot » : Yann Le Gigan, L'admission de Louise Michel en Franc-Maçonnerie, La Voûte étoilée, recherches maçonniques, 4 décembre 2010, avec le texte intégral de la conférence. Cordialement --Noelbabar (d) 4 mai 2013 à 16:27 (CEST)

Disons que c'est un bon début, mais qu'il faudrait croiser cette source auto-publiée avec une source publiée fiable. Cordialement, — Racconish ^D 4 mai 2013 à 16:41 (CEST)

Erreur de date

Il y a erreur sur le lieu et la date de l'examen d'institutrice : Louise Michel a en effet échoué le 1er septembre 1851 à Chaumont, et l'a repassé le 25 mars 1852 à Versailles. Son brevet de capacité lui a été accordé le 29 mars. Quant à sa photo prise en... 1839, c'est un scoop mondial ! La photographie n'existait pas à cette date, ou tout au moins elle n'en était encore qu'aux expérimentations (Daguerre). Yves Murie pense que cette photo d'une enfant endimanchée est celle de Victorine, la fille de Louise et de Victor Hugo, prise le jour de sa communion vers 1864. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.17.56.64 (discuter), le 22 juin 2016 à 23:45‎

Des sources sont nécessaires pour effectuer des modifications, si vous en avez de solides... idem pour la photo vu que la date semble aberrante. Cldt. -- KA^{Pour les intimes ©} 23 juin 2016 à 14:00 (CEST)

Vie privée : amours, compagnons, enfants, lesbianisme ?

Bonjour, sauf erreur, je ne trouve qu’une demi-phrase sur la vie privée de Louise Michel : « (…) elle y rencontre Théophile Ferré, frère de Marie Ferré, dont elle tombe passionnément amoureuse ». Et encore on ne sait rien de cette idylle avec Théophile Ferré : était-elle réciproque ? Ferré l'a-t-il repoussée ? si idylle il y eut, comment et quand s'est-elle terminée ? Pour prendre de la hauteur, je constate qu'il y a plusieurs biographies figurant dans la bibliographie. Il doit bien y avoir dans l'une d'elle des informations sur la vie privée de Louise Michel. A-t-elle été mariée ? Eut-elle des compagnons ? Eut-elle un enfant ? Fut-elle homosexuelle ? On a des tartines sur son activité dans la franc-maçonnerie, mais rien de rien sur sa vie privée. Je trouve cela étrange, comme si on avait peur d'aborder la chose, ou comme si seule son activité de militante valait la peine d'être détaillée avec moultes précisions. Par ailleurs, si on ne sait rien sur le sujet, on peut rajouter une phrase disant qu'on ne sait rien, tout simplement. --Éric Messel ^{(Déposer un message)} 19 août 2017 à 21:33 (CEST)

Bonjour, la peur n'y est pour rien à mon avis... Mais le manque de sources ou l'envie de travailler sur ce passage de bio me semble plus évident pour le manque que vous soulevez. -- KA^{Pour les intimes ©} 19 août 2017 à 22:12 (CEST)

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page protégée ?

Pourquoi avoir protégé la page ? A moins d'être victimes de vandalisme à répétition (mais rien ne l'indique dans l'historique) celà va à l'encontre du principe de Wikipedia.

Toujours est-il que le lien de la note 4 est cassé et qu'il faudrait le remplacer par https://www.britannica.com/biography/Louise-Michel mais je ne peux pas le faire car cette page est protégée (mais pourquoi donc ? WTF?)

Triste époque. 145.224.78.191 (discuter) 21 mars 2022 à 18:23 (CET)

C'est remplacé, merci.

Pour la semi-protection, elle s'arrête demain. Un admin avait protégé en raison d'une vague de vandalismes le 22 février, probablement des collégiens qui s'ennuient. Cet article est de temps à autres ciblé par les scolaires, le thème est un sujet d'histoire de l'enseignement secondaire, déjà vandalisé l'an passé en mai, en tant que patrouilleur régulier la semi-protection ici ne me surprend pas trop.

Bonne soirée. --—d—n—f (discuter) 21 mars 2022 à 21:04 (CET)

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