Bonneville (Haute-Savoie)

commune française du département de la Haute-Savoie

Bonneville est une commune française, située dans le département de la Haute-Savoie, dont elle est l'une des trois sous-préfectures, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève.

Bonneville
Bonneville (Haute-Savoie)
Fontaine et hôtel de ville.
Blason de Bonneville
Blason
Bonneville (Haute-Savoie)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
(sous-préfecture)
Arrondissement Bonneville
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes Faucigny-Glières
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Valli (LR)
2020-2026
Code postal 74130
Code commune 74042
Démographie
Gentilé Bonnevillois
Population
municipale
12 895 hab. (2021 en évolution de +2,19 % par rapport à 2015)
Densité 475 hab./km2
Population
agglomération
92 832 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 47″ nord, 6° 24′ 05″ est
Altitude Min. 428 m
Max. 1 877 m
Superficie 27,15 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Cluses
(ville-centre)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonneville
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bonneville
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Bonneville
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Bonneville
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Bonneville
Liens
Site web bonneville.fr

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le Faucigny, au confluent de l'Arve et du Borne, et aux pieds du Môle et de la Pointe d'Andey. Bonneville est située au cœur de la vallée de l'Arve.

Géologie et relief, hydrographie

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La superficie de la commune est de 2 715 hectares ; son altitude varie entre 428 et 1 877 mètres[1].

Le climat y est de type montagnard en raison de la présence du Massif alpin.

Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard
Paris 1 797 h/an 642 mm/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an
Nice 2 694 h/an 767 mm/an 1 j/an 31 j/an 1 j/an
Strasbourg 1 637 h/an 610 mm/an 30 j/an 29 j/an 65 j/an
Bonneville … h/an … mm/an … j/an … j/an … j/an
Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an

Voici un aperçu dans le tableau ci-dessous pour l'année 2012 :

Mois J F M A M J J A S O N D Année
Températures (sous abri, normales) °C 2 4 8 13 17 20 22 21 18 14 9 3 12.5
Précipitations (hauteur moyenne en mm)
Source : Météo France et Météociel[2]

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bonneville est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cluses[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[4],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[5],[6].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), zones urbanisées (14,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), terres arables (5,3 %), prairies (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %), zones humides intérieures (0,4 %)[7].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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Logement

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En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 235, alors qu'il était de 4 183 en 1999[I 2].

Parmi ces logements, 89,7 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 38,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 60,5 % des appartements[I 3].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 45,7 %, en légère hausse par rapport à 1999 (43,2 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était en baisse : 21,7 % contre 26,6 % en 1999[I 4].

Projets d'aménagements

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En 2012, la mairie prévoyait l'ouverture d'une piscine intercommunale en [8] :

  • réaménagement complet de la place de l'Hôtel-de-Ville (début en pour une durée estimée de 15 mois),
  • restructuration des rues du centre-ville,
  • pistes cyclables,
  • crématorium,
  • extension et rénovation de l'école de Pontchy dont les travaux ont débuté en ,
  • requalification du site de l'hôpital,
  • doublement du pont de Borne avec le lancement des travaux à l'automne 2012,
  • pôle multimodal à la gare ferroviaire.
  • en cours de construction ecoquartier des sires du Faucigny, ensemble composé de logements, commerces (magasin fresh biofrais), complexe cinéma 3 salles avec brasserie.

Voies de communication et transports

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Voies routières

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Pistes cyclables

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Une piste cyclable relie Bonneville à Marignier, côté amont de l'Arve et doit rallier Cluses par les bords d'Arve. Côté aval, Bonneville rejoint Nangy, le long de l'Arve. Un nouveau tronçon existe le long des quais du parquet depuis et un autre a été inauguré en 2018 le long du Boulevard des Allobroges, puis du quai du parquet pour aller du centre-ville au centre nautique Guy Châtel.

Depuis , une structure " L'échappée " permet la location de vélos classiques ou électriques à la semaine ou au mois[9].

Transport ferroviaire

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La gare de Bonneville, fait à présent partie du Pôle d'échange multimodal, comprenant une gare routière pour les bus, une consigne à vélo et deux bornes de charge pour les voitures électriques. Ce pôle est situé sur la ligne de La Roche-sur-Foron à Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, est desservie par des trains SNCF TER Rhône-Alpes[10], et depuis par le Léman Express, le plus grand réseau ferroviaire transfrontalier[11].

Transports en commun

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Le réseau Proxim'iTi dessert la commune avec de nombreuses lignes régulières, mais aussi du transport à la demande. Les lignes Cars Région Haute-Savoie sont également présentes dans la commune.

Stationnement

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1 800 places sont disponibles, toutes situées en zone bleue ou payantes (sur le seul parking de l'hôtel de ville). De nouveaux parkings sont disponibles dans les cours de récréation des anciennes écoles du centre-ville. Un parking relais P+R est aussi disponible en périphérie.

Toponymie

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Du francoprovencal bôna + vèla, « bon village ». En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Bonavèla (graphie de Conflans) ou Bônavela (ORB)[12].

Histoire

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Le comte Pierre II de Savoie décide dans la première moitié du XIIIe siècle de construire une fortification sur la colline, Burgum castri[13]. En 1262, il fait construire la ville neuve de Tucinge ou Toisinge[14].

Sa fille Béatrice de Faucigny (1234-1310) en fait sa résidence et dote en 1262 le bourg adjacent de franchises et de privilèges. En 1283[15], elle donne à la ville neuve le nom de Bonneville, Bona Villa. Le , elle lui attribue une charte de franchises[16]. En 1296, elle devient le siège d'une châtellenie[17] et devient progressivement la capitale administrative de la baronnie du Faucigny en 1310, remplaçant la cité de Cluses. Ce changement politique et stratégique entraînera un conflit entre les deux cités, notamment avec une attaque de Cluses en 1355.

En 1401, le bourg de Bonneville est presque entièrement détruit par une inondation extraordinaire de l'Arve, ne subsiste alors que quelques maisons[18]. La ville médiévale est frappée par de violents incendies en 1442, en 1618, le [19], ainsi qu'en 1797, où l'incendie épargne le château[20]. Les deux tours subsistantes du château sont réédifiées en pierre et le château est transformée en prison au XVIIIe siècle. Sous la Révolution française, la commune s'appelait Mont-Molez ou Mont-Mole. Entre 1798 et 1813, elle était située dans le département du Léman.

Le , Bonneville est le cadre d'une bataille entre les armées françaises et autrichiennes (drame des Cents-Jours)[20].

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 5], dont 172 pour Bonneville, 114 pour La Côte-d'Hyot[23],[24]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[25].

Le , la commune de Pontchy est rattachée, puis la commune de La Côte-d'Hyot fusionne avec Bonneville le .

Sur le territoire de la commune, on trouvait également la maison forte des Tours ; son mobilier nous est connu par l'inventaire qui est dressé en 1439 au décès du noble Robert de Montvuagnard[26].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Le maire de Bonneville, Stéphane Valli, succède à Martial Saddier depuis le , celui-ci ayant remis sa démission, qui fut acceptée le mardi par le préfet du département.

Liste des syndics et maires

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Durant la période du duché de Savoie, entre le XVe siècle et 1792, la ville est dirigée par le syndic, élu pour un an par ses pairs. La charge disparaît en , après l'occupation puis l'annexion du duché par les troupes révolutionnaires françaises. La nouvelle organisation mise en place prévoit la création d’une assemblée générale de la municipalité avec un maire nommé.

En 1815, le duché de Savoie retourne au royaume de Sardaigne. Les syndics sont de nouveaux mis en place dans les communes. Ils sont nommés par le roi pour une durée de trois ans.

En juin 1860, le duché de Savoie est réuni à la France. Les maires sont nommés par l’Empereur, pour une durée de quatre ans. Après la chute du Second Empire, les maires sont, comme dans le reste du pays, élus par le conseil municipal, lui-même élu par les citoyens, sauf pendant la période du Régime de Vichy, entre 1940 et 1944, où ils sont nommés.

Maires depuis 1977
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 mars 1983 Robert Servoz[27] PS Instituteur puis Directeur d'un établissement de formation
mars 1983 mars 2001 Michel Meylan UDF puis DLC Agent d'assurances
Député de la 3e circonscription de la Haute-Savoie (1988 → 2002)
Conseiller général du canton de Bonneville (1982 → 1994)
Vice-président du conseil général de la Haute-Savoie (1988 → 1994)
mars 2001 22 décembre 2015[Note 6] Martial Saddier UDF puis UMP-LR Technicien agricole
Député de la 3e circonscription de la Haute-Savoie (2002 → )
Président de la CC Faucigny-Glières (2006 → 2014)
22 décembre 2015[29] En cours Stéphane Valli LR Enseignant
Conseiller régional de Rhône-Alpes (2013 → 2015)
Président de la CC Faucigny-Glières (2014 → )

Instances judiciaires et administratives

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Politique environnementale

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La ville possède un centre de valorisation des déchets (CCFG) situé rue du Busard-des-Roseaux.

De nombreuses actions sont menées chaque année dans le cadre de la semaine nationale du développement durable.

Installation de plusieurs hôtels à insectes sur le territoire de la commune.

La régie municipale gaz-électricité roule avec des véhicules au gaz naturel.

La ville s'est engagée avec de nombreux partenaires dans l'action Arve pure 2012 pour réduire l'impact des pollutions industrielles sur le milieu naturel.

Jumelage et coopération

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La ville de Bonneville est jumelée avec :

Coopération décentralisée :

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30],[Note 7].

En 2021, la commune comptait 12 895 habitants[Note 8], en évolution de +2,19 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
8121 0381 0511 3021 6202 1682 1272 0522 284
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
2 1852 2472 2712 3582 2132 1732 1142 1602 155
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
2 0842 0402 1582 3682 4522 9134 1645 5437 702
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
8 8149 99810 46310 69112 20112 73512 895--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Bonneville et sa banlieue continue la plus immédiate (Ayze, Vougy et Saint-Pierre) totalisent 23 653 habitants en 2020.

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,6 % la même année, alors qu'il est de 22,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 6 461 hommes pour 6 096 femmes, soit un taux de 51,45 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,20 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,8 
3,6 
75-89 ans
6,8 
11,3 
60-74 ans
12,4 
19,3 
45-59 ans
20,0 
23,6 
30-44 ans
20,9 
21,1 
15-29 ans
19,6 
20,6 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de la Haute-Savoie en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,9 
75-89 ans
7,9 
14,2 
60-74 ans
15,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
21,8 
30-44 ans
21,4 
17,4 
15-29 ans
15,6 
19,5 
0-14 ans
18 

Ménages

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Le nombre total de ménages à Bonneville est de 3 751. Ces ménages ne sont pas tous égaux en nombre d'individus. Certains de ces ménages comportent une personne, d'autres deux, trois, quatre, cinq voire plus de six personnes. Voici ci-dessous, les données en pourcentage de la répartition de ces ménages par rapport au nombre total de ménages.

Les ménages
Ménages de : 1 personne 2 pers. 3 pers. 4 pers. 5 pers. 6 pers. ou +
Bonneville 25,6 % 27,8 % 18,3 % 15,8 % 7,3 % 5,2 %
Moyenne Nationale 31 % 31,1 % 16,2 % 13,8 % 5,5 % 2,4 %
Sources des données : INSEE[35]

Enseignement

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Petite enfance :

  • Maison de l'Enfant,
  • Crèche,
  • Halte-garderie,
  • Micro-crèche

Maternelles :

  • Le Bouchet, Bois-Jolivet, Angèle et Jules Nicollet, Thuet, les Îles, Pontchy et Dessy

Primaire :

  • Écoles élémentaires : Dessy, Pontchy, Angèle et Jules Nicollet, le Bois-Jolivet et du Bouchet.
  • Écoles primaires : Thuet, Les Îles.

Collège :

Lycée :

Enseignement supérieur :

  • Écoles supérieures du professorat et de l'enseignement, antenne de Bonneville.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Le Pleins feux festival a lieu chaque année au début de l'été.
  • La foire de Bonneville se déroule le lors de la Saint-Martin.
  • Deux brocantes-braderies se déroulent tous les troisièmes samedis de chaque mois de mars et de septembre dans le centre-ville.
  • Les saltimbanques prennent possession du centre-ville tous les ans en juin.
  • Winterock Fest : manifestation de 2 jours avec une soirée reggea et une soirée métal,
  • Fête du commerce en fin d'année avec des soirées repas sur la place de l'Hôtel-de-Ville.
  • Une saison estivale au château des Sires du Faucigny est en place depuis 2019

Bonneville comptait un centre hospitalier. Aujourd'hui transféré à l'ouest de Contamine-sur-Arve, le Centre hospitalier Alpes Léman (CHAL) regroupe les hôpitaux de Bonneville et d'Ambilly.

Sur le territoire de Bonneville, on trouve également un centre de soins de suite, un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), une maison médicale et plusieurs laboratoires d'analyses médicales, kinésithérapeutes…

La ville compte plusieurs clubs et associations sportives[36], comme le RC Le Môle, club de rugby où ont été formés des joueurs comme l'international à sept Daniel Ikpefan ou le joueur du Stade toulousain Romain Riguet[37],[38].

Plusieurs infrastructures sont ainsi présentes sur la commune[39] :

  • Centre sportif Pierre-Fallion.
  • Piste d'athlétisme,
  • Dojo,
  • Stade de football,
  • Terrain de rugby,
  • Terrains de tennis couverts,
  • Centre sportif Briffod,
  • Boulodrome,
  • Ecostades,
  • Falaise d'escalade,
  • Stand de tir,
  • Skate-Parc,
  • Base nautique sur le lac de Motte-Longue

  • Stand de tir à l'arc,
  • Carrière d'équitation,
  • Pump-track,
  • Piste de modélisme.

Médias

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Radios et télévisions

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La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Rhône-Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune. La commune est également couverte par les radios locales : Radio Mont-Blanc, ODS Radio, Perrine FM...

Presse et magazines

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La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Faucigny, le Courrier savoyard, Le Faucigny.

Internet

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Bonneville a été plusieurs fois récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet » et a obtenu de 2010 à 2016 @@@[Note 9].

Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 980 , ce qui plaçait Bonneville au 12 425e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[41].

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 7 833 personnes, parmi lesquelles on comptait 75,4 % d'actifs dont 65,8 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs[I 5].

On comptait 6 500 emplois dans la zone d'emploi, contre 5 879 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 5 195, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 10] est de 125,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre plus d'un emploi par habitant actif[I 6].

Entreprises et commerces

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Au , Bonneville comptait 885 établissements : 28 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 60 dans l'industrie, 65 dans la construction, 567 dans le commerce-transports-services divers et 165 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].

Parmi les 885 établissements, on peut citer EMT 74 (découpage, emboutissage), SOMFY (entrepôts de distribution), BOSCH (hydraulique et pneumatique) et la SA Perrotton (décolletage).

En 2011, 79 entreprises ont été créées à Bonneville[I 8], dont 47 par des autoentrepreneurs[I 9].

Tourisme

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En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 173 lits touristiques répartis dans 176 structures[Note 11]. Les hébergements marchands se répartissent comme suit : 24 meublés ; 3 hôtels ; une structure d'hôtellerie de plein air et un refuge ou gîte d'étape[42].

En 2017, la commune est labellisée « Station verte »[43].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Période médiévale

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Période contemporaine

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Colonne Charles-Félix de Savoie et pont de l'Europe.
  • Le pont de l'Arve devenu pont de l'Europe.
  • La « colonne de Charles-Félix » sur le pont de l'Europe (44 m), en hommage au roi Charles-Félix de Savoie qui fit endiguer la vallée de l'Arve, classée au registre des monuments historiques.
  • Fontaine baroque de Bonneville, sur la place de l'Hôtel-de-Ville, classée au registre des monuments historiques.
  • La Maison des têtes, de style baroque fut construite en 1738 par Chauplannaz, un maçon sculpteur.
  • La tour de la poudrière, située rue de Pressy, fut construite en 1838 pour servir de réserve de poudre.

Monuments religieux

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Patrimoine culturel

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Espaces verts et fleurissement

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En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[51].

Bonneville et la peinture

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Vue générale de Bonneville
Turner, 1803
Musée d'Art de Dallas

Le peintre Turner (1775-1851) a réalisé en 1803 un tableau représentant une vue générale du village.

Personnalités liées à la commune

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Une catégorie est consacrée à ce sujet : Naissance à Bonneville (Haute-Savoie).
  • René de Lucinge (v.1553-v. 1610), seigneur et un homme de lettres, né à Bonneville.
  • Pierre Monod (1586-1644), jésuite savoyard, né à Bonneville.
  • André de Passier (1702-1784), jésuite, enseignant, écrivain et intendant du duc de Savoie, né à Bonneville.
  • Famille Bastian, notables (syndics, maires)
  • Joseph Jacquier-Châtrier (1811-1876), avocat et homme politique savoyard, né à Bonneville.
  • Nancy Martel (1858-1928), actrice française morte à Bonneville.
  • Émile Favre (1869-1918), homme politique. Né à Bonneville, il en fut élu maire en 1908.
  • Amédée Guy (1882-1957), médecin, un homme politique et un résistant français, né à Bonneville.
  • Émile Delavenay (1905-2003), angliciste et un haut fonctionnaire international ; il fit ses études secondaires à Bonneville.
  • Mikhaïl Mikhaïlovitch Strange dit Strangue, éminent historien soviétique, a accompli ses études secondaires à Bonneville (vivait avec ses parents au château d'Arcine), puis à la Sorbonne ; résistant : reparti en U.R.S.S. en 1947 ; spécialiste de l'histoire française et de l'histoire russe.
  • Paul Guichonnet (1920-2018), géographe et historien, conseiller municipal de Bonneville.
  • Gabriel Cattand (1923-1997), acteur, natif de Bonneville.
  • Annie Ernaux (1940), écrivaine, professeur de lettres ; a enseigné au lycée de Bonneville en 1967.
  • Guy Parayre (1947), général, a commandé la compagnie de gendarmerie de Bonneville (1978-1982).
  • Florent Pagny (1961), chanteur et acteur. A vécu à Bonneville (de 11 à 15 ans). Citoyen d'honneur de la commune le [52].
  • Florence Autret (1970), journaliste, née à Bonneville.
  • Michaël Blanc (1973), emprisonné de 1999 à 2014 en Indonésie pour trafic de drogues, né à Bonneville.
  • Vincent Lecœur (1974), acteur, né à Bonneville.
  • Antoine Dénériaz (1976), skieur alpin, né à Bonneville.
  • Cyril Chauquet (1976), animateur de télévision et pêcheur, né à Bonneville.
  • Karine Ruby (1978-2009), championne olympique et championne du monde de snowboard, née à Bonneville.
  • Thomas Clarion (1982), multi-médaillé international et paralympique en biathlon et en ski de fond, catégorie non-voyant, travaille à Bonneville au centre de soins de suite Martel de Janville.

Héraldique, logotype et devise

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Les armes de Bonneville se blasonnent ainsi : Écartelé au premier et au quatrième de gueules à une croix d'argent ; au deuxième et au troisième palé d'or et de gueules de six pièces.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 33-50 « Bonneville », p.59 « La Côte-d'Hyot », p. 73 « Pontchy », p.74 « Saint-Éteinne »..
  • Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance. Collection L'amateur Averti, , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 152-154.
  • Paul Guichonnet, Notre Bonneville d'hier à aujourd'hui, Samoëns, Éditions Le Tour, , 221 p. (ISBN 978-2-9519581-9-7 et 2-9519581-9-6).
  • Lucien Guy, Bonneville et ses environs, Éditions Res Universis, coll. « Monographies des villes » (réimpr. 1992) (1re éd. 1922), 141 p. (ISBN 978-2-87760-752-0 et 2-87760-752-6).
  • Rémi Mogenet, De Bonneville au Mont-Blanc. Itinéraire littéraire (XVIIè –XIXè siècles), Éditions Le Tour, .
  • Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 81-83.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cluses comprend quatre villes-centres (Bonneville, Cluses, La Roche-sur-Foron, Scionzier) et quatorze communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[21],[22].
  6. Martial Saddier est élu conseiller régional le 14 décembre 2015 et en raison de la loi sur le cumul des mandats, il démissionne de son mandat de maire de Bonneville[28].
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Bonneville[40] :
    • 2007, 2008 « @@ » ;
    • 2010 à 2016 « @@@ ».
  10. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
  11. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[42].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bonneville ».
  2. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  3. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  4. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  6. EMP T5 - Emploi et activité.
  7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au .
  8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres sources

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  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  2. Base de données météo et observations temps réelle par Méteociel et Météo France
  3. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Cluses », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  8. Réalisation d'une piscine intercommunale
  9. « Déplacements et stationnement Solution vélo au quotidien : proxivelo », sur le site bonneville.fr.
  10. « Gare de Bonneville », sur le site ter-sncf.com (consulté le ).
  11. www.lemanexpress.ch/fr/.
  12. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  13. Georges Chapier, Les châteaux Savoyards — Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, collection L'amateur averti, 2005, 410 p., p. 22 (ISBN 9782842653262).
  14. [PDF] André Perret, Les institutions dans l'ancienne Savoie : Du onzième au seizième siècle, Chambéry, Conseil départemental d'animation culturelle, , 87 p. (ASIN B0007AXLD6, lire en ligne), p. 35.
  15. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie - Chablais, Faucigny, Genevois, Cabédita, 1994 (ISBN 9782882951175), p. 37.
  16. Léon Ménabréa, Article « De la marche des études historiques en Savoie et en Piémont, depuis le XIVe siècle jusqu'à nos jours, et des développements dont ces études seraient encore susceptibles », Mémoires (n°1, IX), Académie de Savoie, , p. 354
  17. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 35..
  18. « P.P.R. inondation de l'Arve - Commune de Vétraz-Monthoux » [PDF], sur haute-savoie.gouv.fr.
  19. Jean et Renée Nicolas, La Vie quotidienne en Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècles, Hachette, 1979, p. 168.
  20. a et b Georges Chapier, op. cit., p. 24.
  21. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  22. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235- 2), p. 163.
  23. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 33-35.
  24. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 167.
  25. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  26. Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe siècle, Paris, Éditions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 96.
  27. « Servoz père et fils : 40 ans de politique », Le Messager,‎ (lire en ligne).
  28. Cécilia Sanchez, « Martial Saddier, élu au conseil régional, quitte son mandat de maire de Bonneville (Haute-Savoie) », france3-regions.francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne).
  29. « Stéphane Valli nouveau maire de Bonneville après la démission de Martial Saddier », Le Messager, 23 décembre 2015.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bonneville (74042) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Savoie (74) », (consulté le ).
  35. Données démographiques cités par le l'JDN
  36. « Clubs Sportifs », sur bonneville.fr (consulté le ), p. 1.
  37. « Clubs Sportifs », sur bonneville.fr (consulté le ), p. 2.
  38. « Rugby Club du Môle », (consulté le ).
  39. « Équipements sportifs », sur bonneville.fr (consulté le ).
  40. « Liste des Villes Internet »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ) (année à sélectionner)
  41. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  42. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
  43. « Bonneville », Station, sur site du label Station verte - stationverte.com (consulté en ).
  44. Regat et Aubert 1999, p. 60.
  45. Chapier 2005, p. 47.
  46. Chapier 2005, p. 46.
  47. Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Tours (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 154-156 (lire en ligne).
  48. Raymond Oursel et Pascal Lemaître, Les chemins du sacré : Pèlerinage architectural, vol. 2, La Fontaine de Siloé, coll. « « Les Savoisiennes » », , 267 p. (ISBN 978-2-84206-350-4), p. 102.
  49. a et b Henri Baud, Jean-Yves Mariotte et Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 73.
  50. Faucigny 1980, p. 47-48, « L'église paroissiale ».
  51. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  52. « Florent Pagny devient citoyen d’honneur », sur ledauphine.com (consulté le ).