Achun

commune française du département de la Nièvre

Achun est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Achun
Achun
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Château-Chinon (Ville)
Intercommunalité Communauté de communes Bazois Loire Morvan
Maire
Mandat
Dominique Joyeux
2020-2026
Code postal 58110
Code commune 58001
Démographie
Gentilé Achunois, Achunoise
Population
municipale
159 hab. (2021 en évolution de +2,58 % par rapport à 2015)
Densité 6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 30″ nord, 3° 40′ 52″ est
Altitude Min. 243 m
Max. 317 m
Superficie 24,51 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Château-Chinon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Achun

Géographie

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Achun est une commune située dans le département de la Nièvre, dans l’arrondissement de Château-Chinon. La superficie de la commune est de 2 451 hectares. Son altitude varie entre 243 et 317 mètres[1]. Elle compte 159 habitants en 2020, appelés les Achunois.

Le village est implanté dans le quart nord-est de la Nièvre, à environ 50 km de Nevers (par la route). Il est situé à 32 km de Prémery et à 25 km au nord-ouest de Château-Chinon, son chef-lieu d'arrondissement.

Lieux-dits et écarts

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Outre le bourg, Achun regroupe quelques hameaux et habitations isolés : Bussy, Chavance, le Coudray, Fusilly, Pain, Roche et Varigny.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 252,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Achun est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,4 %), terres arables (30,2 %), forêts (24,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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  • Achun dériverait du gaulois dunum, forteresse[14].
  • Au fil des siècles, on relève les formes suivantes du nom de la commune : Scaduno (1130), Eschaum (1266), Eschadunum (1270), Escadunum (1287), Aschung (1547), Aschuin (1614), Achain (1767), Achun (1793)[15].

Histoire

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La première mention du nom de la commune remonte à 1130 : Scaduno.

Sous l'Ancien Régime, Achun relevait de la province du Nivernais, du diocèse de Nevers, du parlement de Paris, de l'intendance de Moulins, de l'élection de Nevers pour 57 feux et de celle de Château-Chinon pour 18 feux[16].

En 1687, Noël de Rambault, seigneur, prieur de Saint-Honoré, official et vicaire de l’évêque de Nevers garde la possession et la jouissance de la chapelle de Notre-Dame de Coudray, fondée en l’église paroissiale d’Achun.

Le 14 août 1808, l’ancien seigneur d’Achun, Louis-François de Bréchard, lègue par testament une somme de 21 600 F pour la construction d’un hospice de quatre lits destiné aux pauvres malades d’Achun et 500 F de rente pour l’entretien d’une femme employée au service de cet hospice mais ce testament est contesté, quelque temps plus tard, par ses héritiers[17].

En 1891, dans la nuit du 22 au 23 février, un incendie volontaire provoque la destruction de quatre maisons, deux granges et trois écuries au hameau de Fusilly ; l'incendiaire, une veuve de 60 ans, journalière, est arrêtée quelques jours plus tard[18].

En 1904, la région connaît une grève de bûcherons à peu près générale ; ici ou là, des bagarres éclatent entre grévistes et non-grévistes, comme à Achun, dans la forêt Blin, où quatre grévistes sont blessés à coups de cognée, entraînant l’intervention de la gendarmerie[19].

En 1906[20], le nombre d'habitants d’Achun, qui compte 146 maisons, s'élève à 470 individus. La commune compte un instituteur, trois cantonniers et trois gardes particuliers. Les commerçants sont moins d’une dizaine : quatre aubergistes, une épicière et un agent d’assurances. Les artisans sont plus nombreux : sept couturières, cinq jardiniers, cinq basse-couriers, deux éclusiers, deux blanchisseuses, deux huilières, deux charrons, deux maçons, deux maréchaux-ferrants, deux tailleurs de pierre, un carrossier, un tailleur, un sabotier... La profession la plus représentée est celle de cultivateur (53), suivie par les bûcherons (26), les domestiques - de maison ou de ferme - (22), les ouvriers agricoles (21), les fermiers (19) et les journaliers (17). L’hospice emploie une directrice, deux infirmières et un jardinier. À Chavance, on note la présence d’un cocher, un valet d’écurie, une fille de peine, un valet de chambre, une femme de chambre et un jardinier. Au total, on relève à Achun trente-quatre professions différentes. Il n’y a, selon le recensement de 1906, ni curé ni médecin ni notaire ni sage-femme dans la commune. Enfin, treize enfants de l’assistance sont placés dans des familles d’accueil du village.

Pendant la Première Guerre mondiale, on trouve à Achun une « ambulance », c’est-à-dire un hôpital militaire provisoire[21].

  • 1636 : Guy Perrot, prêtre, prieur d’Achun.
  • 1666 : Sébastien Gaudot.
  • 1721 : Jean Faulquier, prêtre, curé et prieur d’Achun.

Seigneurs

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  • 1636 : Charles de Tespes, seigneur de Varigny[22].
  • 1673 : Jean de Tespes, écuyer, seigneur de Varigny.
  • 1700 : Gaspard de Champs, écuyer, seigneur de Bussy, paroisse d’Achun.
  • 1755 : Jean-François de Bréchard, chevalier, seigneur de Bussy, Achun, Pouilly, Champcourt et autres lieux[23].
  • 1793 : Louis-François de Bréchard[24].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Albéric Larue    
mars 2008 En cours Dominique Joyeux DVG Retraitée de l'enseignement,
Réélue en 2014[25]
présidente de la communauté de communes

Tendances politiques et résultats

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Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[26] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Eva Joly (EÉLV) 0 0,00
Marine Le Pen (FN) 26 29,89
Nicolas Sarkozy (UMP) 28 32,18 35 40,23
Jean-Luc Mélenchon (FG) 8 9,20
Philippe Poutou (NPA) 0 0,00
Nathalie Arthaud (LO) 1 1,15
Jacques Cheminade (SP) 0 0,00
François Bayrou (MoDem) 3 3,45
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 0 0,00
François Hollande (PS) 21 24,14 52 59,77
Inscrits 111 100,00 111 100,00
Abstentions 22 19,82 16 14,41
Votants 89 80,18 95 85,59
Blancs et nuls 2 2,25 8 8,42
Exprimés 87 97,75 87 91,58

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[27] :

Candidat Premier tour Deuxième tour
% Voix % Voix
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) 2,17 2
Marine Le Pen (FN) 26,09 24 38,10 32
Emmanuel Macron (EM) 21,74 20 61,90 52
Benoît Hamon (PS) 9,78 9
Nathalie Arthaud (LO) 1,09 1
Philippe Poutou (NPA) 3,26 3
Jacques Cheminade (SP) 0,00 0
Jean Lassalle (RES) 1,09 1
Jean-Luc Mélenchon (LFI) 11,96 11
François Asselineau (UPR) 1,09 1
François Fillon (LR) 21,74 20
Inscrits 108 100,00 108 100,00
Abstentions 10 9,26 12 11,11
Votants 98 90,74 96 88,89
Blancs 1 1,02 9 9,38
Nuls 5 5,10 3 3,13
Exprimés 92 93,88 84 87,50

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 159 habitants[Note 2], en évolution de +2,58 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
600602616655611585700629668
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
650631626619602575592541525
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
492472461386366354304321263
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
278279201177174170152151142
2015 2020 2021 - - - - - -
155159159------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31]. |recens-prem=2005 |nombre=43.)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Le lavoir.

Lieux et monuments

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  • Il n'y a plus d'église à Achun mais il existe un croquis de ses ruines, daté de 1836, œuvre de Jean-Claude Barat. L’église d’Achun était dédiée à saint Georges[32].
  • Château d'Achun, bâtisse du XVIIIe siècle.
  • Hospice des Sœurs de la Charité, au sud-est du bourg, fondé en 1808 par Louis-François de Bréchard. Les sœurs de la Charité de Nevers s'en occupèrent par la suite. Il s'agit d'une construction en pierre de taille. Elle conserve le chœur d'une chapelle, faisant partie de la fondation de l'hospice.
  • Escalier de trois écluses de Chavance.
  • Lavoir typiquement régional, recouvert en tuile bourguignonne sur une charpente rustique.
  • En 2015, une réplique du tableau Labourage nivernais de Rosa Bonheur (1849), dont l’original se trouve à Paris au musée d'Orsay, est installée dans la salle de réception de la mairie[33].

Personnalités liées à la commune

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  • Louis-François de Bréchard (1764-1809).
  • Théodore Tenaille de Saligny qui vécut au château d'Achun.
  • La famille Chougny donna plusieurs champions cyclistes à la Nièvre : Ernest, né à Achun le  ; Bernard, né le et Robert, né le .

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Achun et Château-Chinon (Ville) », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, 1963.
  15. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique de la Nièvre, Paris, 1865.
  16. Louis-Alexandre Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Paris, 1761, p. 14.
  17. J.-B. Sirey, Recueil général des lois et des arrêts, Paris, 1832.
  18. Le XIXe siècle, 1er mars 1891, sur gallica.bnf.fr.
  19. Le Petit Courrier de Bar-sur-Seine, 14 mars 1904, sur retronews.fr.
  20. Archives départementales de la Nièvre, Recensement de 1906, 6 M 001/1.
  21. François Olier et Jean-Luc Quénec’hdu, Hôpitaux militaires dans la guerre 1914-1918, Tome 2, Ysec Éditions, 2010.
  22. Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, 1880, sur gallica.bnf.fr.
  23. Henri de Flamare, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Nevers, 1891.
  24. G. Lenotre, « Le mariage de Monsieur de Bréchard », Le Temps, 20 décembre 1911, sur gallica.bnf.fr.
  25. « Résultats de l'élection municipale de 2014 à Achun », sur cg58.fr (consulté le ).
  26. Ministère de l'Intérieur - Nièvre (Bourgogne), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achun » (consulté le ).
  27. Ministère de l'Intérieur - Nièvre (Bourgogne-Franche-Comté), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Achun » (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Notes sur Commagny », Mémoires de la Société académique du Nivernais, 1902, sur gallica.bnf.fr.
  33. Jean-Louis Rambert, « Une réplique du tableau Le labourage nivernais est visible à la mairie », Le Journal du Centre, lejdc.fr, 24 octobre 2015.