Utilisateur:SarmentFurtif/Brouillon

ChatGPT est disponible en ligne en deux versions, l'une construite sur GPT-3.5 et l'autre sur GPT-4, toutes deux font partie de la série propriétaire GPT (Generative Pre-trained Transformer) d'OpenAI, basée sur l'architecture transformer développée par Google

GPT-3.5, la version disponible gratuitement de ChatGPT, a connaissance des événements survenus jusqu'en janvier 2022, et GPT-4, disponible avec ChatGPT Plus, jusqu'en avril 2023.

On attribue au ChatGPT le démarrage du boom de l'IA, qui a conduit à des investissements rapides et sans précédent dans le domaine de l'intelligence artificielle et à l'attention portée par le public à ce domaine.

Langues= modifier

C’est en langue anglaise que ChatGPT fonctionne le mieux, mais il peut répondre à des requêtes formulées dans la plupart des autres langues, avec un degré de précision variable[1].

En mars 2024, une recherche menée par Patronus AI comparant les performances des LLM sur un test de 100 questions leur demandait de compléter des phrases tirées de livres soumis à des droits d'auteur aux États-Unis ; l’étude a révélé que GPT-4, et d’autres outils d’IA générative n'ont pas refusé de le faire, GPT-4 a fournit des phrases correspondant mot pour mot au livre dans 44 % des cas[2].

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)Ceci est un extrait de la page « Wikipédia:Notoriété des associations »

Les associations et organisations de tous types (non-gouvernementales, professionnelles, académiques, caritatives, etc.) peuvent faire l'objet d'articles sur Wikipédia, si :

  • l'association est déjà mentionnée dans une encyclopédie généraliste de référence (Britannica, Larousse, Universalis, etc.)
  • ou si l'association a été l'objet principal d'au moins trois articles, sur trois années différentes, dans des publications d'envergure nationale (publications de presses universitaires ou de grands éditeurs, journaux tels que Le Monde, le Times, le Herald Tribune, etc.). Les articles de presse à l'initiative de l'association ne comptent pas.

Pour certains types d'associations, des critères plus précis ont été mis au point. On les trouvera plus bas dans cette page.
Dans les cas limites, une fusion dans l'article principal, s'il existe, doit être envisagée en priorité.
On veillera à argumenter scrupuleusement les dérogations éventuelles, afin que les motifs d'un éventuel changement de la « jurisprudence » de la communauté puissent être par la suite appliqués aux associations similaires.

Modèle:Addiction glossary Exercise addiction is a state characterized by a compulsive engagement in any form of physical exercise, despite negative consequences. While regular exercise is generally a healthy activity, exercise addiction generally involves performing excessive amounts of exercise to the detriment of physical health, spending too much time exercising to the detriment of personal and professional life, and exercising regardless of physical injury.[3][4][5] It may also involve a state of dependence upon regular exercise which involves the occurrence of severe withdrawal symptoms when the individual is unable to exercise.[3] Differentiating between addictive and healthy exercise behaviors is difficult but there are key factors in determining which category a person may fall into.[6] Exercise addiction shows a high comorbidity with eating disorders.[4]

blabla bla bla sur ce plan, je suis tombé sur un tableau très éclairant sur la page

qui donne différentes définitions : pratique problématique, dépendance, addiction... symptôme de manque...


La bigorexie, dépendance à l'exercice physique, ou encore addiction à l'exercice est une dépendance à l'activité physique résultant d'une pratique excessive du sport. Identifiée dès le milieu des années 1970 par le docteur William Glasser, elle touche principalement les adeptes des sports d'endurance ou de culturisme.

Une recension de 2023 mentionne 6500 articles scientifiques en français ou en anglais consacrés au sujet entre 1971 et 2017[7], les auteurs notent que le corps médical est moins consensuel pour considérer qu’il s’agit effectivement d’un trouble mental que les psychologues, et que les réticences à le qualifier comme tel augmentent depuis 2010.

Définition modifier

La dépendance à l'exercice physique se définit par un ensemble de symptômes cognitifs, comportementaux et physiologiques similaires à ceux observés dans les dépendances aux substances. Selon Hausenblas et Downs, elle implique une pratique compulsive, excessive et incontrôlable d'un exercice physique de modéré à vigoureux. Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiologiques (comme des blessures récurrentes) et psychologiques (avec des sentiments négatifs en cas d'incapacité à s'exercer). Elle se caractérise par une pratique extrême en termes de fréquence et de durée, accompagnée d'une impulsion irrésistible à poursuivre malgré les blessures, la maladie, la fatigue ou d'autres obligations personnelles.

Symptômes modifier

Les personnes souffrant de bigorexie organisent leurs journées autour de l'activité sportive et sont souvent obsédées par leurs performances ou par leur poids.

Des signes de manque peuvent apparaître en cas de sevrage du sport, en particulier l'anxiété et l'irritabilité. Une personne touchée par la bigorexie insiste pour pratiquer son sport malgré une blessure et accepte pour se faire de s'éloigner de ses proches . La bigorexie peut causer des problèmes psychologiques, mais également avoir un effet sur la santé en conduisant à un épuisement général, à des déchirures musculaires, à des atteintes tendineuses, à des fractures ou même à un infarctus.

Une évaluation récente (2019) montre que les personnes les plus touchées sont d'abord les athlètes d'endurance (14,2%), suivis par les adeptes de sports de balle (10,4%), puis les personnes fréquentant les centres de fitness (8,2%) et les pratiquant de disciplines de force (6,4%).

Causes modifier

Les chercheurs convergent à considérer que les mécanismes impliqués dans le développement d'une dépendance à l'exercice, pas plus que ceux qui font évoluer d'une pratique d'exercice saine et engagée à une pratique compulsif, sont inconnus.

La dépendance à l'exercice commence généralement par le désir de maintenir une condition physique. Les troubles alimentaires tels que l'anorexie mentale ou la boulimie soutiennent une obsession malsaine pour l'exercice. Un trouble de l'image corporelle peut également contribuer à une dépendance à l'exercice. L'un des mécanismes principaux jouant un rôle repose sur les activités exposant les individus aux effets de modification de l'humeur de cette pratique, pouvant libérer de la dopamine directement dans la circulation sanguine.

Le fonctionnement chimique du cerveau pourrait également jouer un rôle essentiel dans les changements d'humeur potentiels liés à l'exercice. Griffiths a rapporté une étude de cas approfondie sur la dépendance à l'exercice, identifiant trois mécanismes biologiques plausibles associant une amélioration de l'humeur à l'exercice. Des facteurs de personnalité sont également en cause, mais les chercheurs admettent qu'on ne comprend pas comment et à quels stades de développement et comment ils jouent. Les personnalités perfectionnistes et narcissiques sont en tout cas plus sujettes à évoluer vers ce syndrôme.

Diagnostic modifier

Plusieurs questionnaires permettent d'évaluer la pratique excessive, le plus récent, l'Exercise Addiction Inventory (EAI) évalue principalement les éléments suivants :

  1. Je me sens anxieux(se) lorsque je suis incapable de faire de l'exercice.
  2. J'ai tendance à planifier ma journée autour de mes séances d'entraînement.
  3. Je me sens mal à l'aise si je manque une séance d'exercice.
  4. Je continue à faire de l'exercice même si je suis blessé(e) ou fatigué(e).
  5. Mes relations sociales sont parfois compromises à cause de mon engagement dans l'exercice physique.
  6. J'éprouve un sentiment de culpabilité si je saute une séance d'entraînement prévue.
  7. Je ressens le besoin de prolonger mes séances d'exercice pour obtenir le même niveau de satisfaction

Kern note que l'échelle permet de distinguer trois catégories d'individus :

  • ceux présentant un risque d’être dépendants ;
  • ceux présentant des symptômes de dépendance ;
  • ceux sans symptôme de dépendance.

Traitement modifier

Cette addiction « sans substance » peut être traitée avec une thérapie en psychologie du sport. Le risque principal du traitement est de remplacer cette addiction par une autre.

Reconnaissance modifier

En 2008, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale estime qu'environ 4 % des Français sont atteints de bigorexie ; cette addiction touche principalement des hommes.

En 2011, l'Organisation mondiale de la santé reconnaît la dépendance au sport comme une maladie.

Personnalités atteintes de bigorexie modifier

En octobre 2015, Tibo InShape affirme avoir souffert de bigorexie.

En avril 2018, Bixente Lizarazu affirme souffrir de bigorexie.


Glossolalia is classified as a non-neurogenic language disorder.[8] Glossolalia amongst pencotists should be considered as a culturally embedded religious activity, and its possible connection with psychopathology should take this characteristic into consideration.

Amongst pencotists, the common understanding of the phenomenon is that individuals speak in what could be perceived as a «heavenly language», connected to spirituals gifts. Those who engage in glossolalia often describe it in first person as a surrender of their will, either voluntarily or spontaneously, believing they convey messages and prophecies from a divine source. They tend to believe in an external control over their lives, attributing it to forces beyond themselves[9]. These experiences are linked to intrinsic religiosity, which involves a deep religious commitment and motivation, encompassing personal encounters with a higher power, holistic religious beliefs, and integrating religion into various aspects of life.

Three maim hypotheses attempt to explain the origin and causes of glossolalia, emphasizing its relationship with psychopathology (i.e., disorganized thinking and speech in psychotic disorders) [10], altered states of consciousness[11], and social learning[12]. Despite initial research linking glossolalia to schizophrenia, mood disorders, and dissociative disorders [13] [14] [15], there is scarce and inconsistent evidence that socially embedded glossolalia is an abnormal phenomenon. Glossolalists exhibit generally enhanced mentalization compared to people with similar culture[9], and most people exhibiting glossolalia do not have a neuropsychiatric disorder.[16]

Neuroimaging of brain activity during glossolalia does not show activity in the language areas of the brain.[16][17] In other words, it may be characterized by a specific brain activity[18][19] and it can be a learned behaviour.[20][18]


Le journalisme de préfecture[21],[22] désigne des pratiques médiatiques qui conduisent à diffuser sans recul, par complaisance, par complicité, par parti pris politique ou rédactionnel, les éléments de langage des autorités politiques et de leurs relais institutionnels (préfectures, police, justice...). L'intérêt des autorités politiques est d'assurer une cohérence entre les différents discours qui émanent des cercles du pouvoir, au-delà de son porte-parole officiel.

Le terme est notamment employé en France par Acrimed[23],[24], Le Média [25], Arrêt sur images[22], Blast[26] ou encore Basta ![27]

Pauline Perrenot[28] estime qu'en France, ce type de journalisme s'est répandu à partir de l'élection d'Emmanuel Macron en 2017[29],[30].

Traitement des violences policières en France modifier

Réaction de sociétés de journalistes modifier

Certaines sociétés de journalistes publient des communiqués pour dénoncer le « soin tout particulier des consignes de leurs directions[31] pour éviter d'évoquer les violences policières » (SDJ de France 3, rédaction nationale)[32] ou « la publication très marginale dans le journal papier d’articles consacrés aux violences des forces de l’ordre à l’égard des manifestants et des journalistes »(syndicat SGJ-FO du journal Le Parisien)[33].

Registre lexical et éléments de langages policiers dans le traitement journalistique modifier

Dans la rédaction de BFMTV[25], des consignes officielles interdisent aux journalistes le terme violences policières[34], « politiquement connoté », et préconisent des éléments de langage du type dérapages (utilisée notamment au sujet de la Brigade de répression de l'action violente motorisée, brigade de policiers à moto accablée notamment par un enregistrement[35]) ou accusations de violences policières .

Le matraquage de manifestants plaqués au sol peut être rebaptisé intervention musclée, Lorsqu’ils chargent, les policiers ne font qu’aller au contact pour disperser. Le sur-déploiement anxiogène est baptisé maintien de l’ordre mieux maîtrisé (Le parisien) [36]. On remarque que les tirs de LBD, de grenades lacrymogènes, de désencerclement, l’usage de camion avec des lances à eau très haute pression ne sont jamais décrits comme des actes de violence , mais présentés ostensiblement et avec insistance comme des répliques. La reprise du lexique policier est un des marqueur du journalisme de Préfecture. On le retrouve en force au moment de la manifestation de Sainte Soline en mars 2023 [37]. Le registre lexical du maintien de l’ordre journalistique est déployé pour légitimer la répression des manifestants.

Notes et références modifier

  1. (en) « ChatGPT: What is the new free AI chatbot? - explainer », sur The Jerusalem Post | JPost.com, (consulté le )
  2. (en) Hayden Field, « Researchers tested leading AI models for copyright infringement using popular books, and GPT-4 performed worst », sur CNBC, (consulté le )
  3. a et b « Exercise addiction », Sports Med, vol. 43, no 2,‎ , p. 111–9 (PMID 23329605, DOI 10.1007/s40279-012-0013-x, S2CID 35726964)
  4. a et b (hu) « [Exercise addiction: a literature review] », Psychiatr Hung, vol. 23, no 2,‎ , p. 129–41 (PMID 18956613)
  5. « Prevalence of the addictions: a problem of the majority or the minority? », Eval Health Prof, vol. 34, no 1,‎ , p. 3–56 (PMID 20876085, PMCID 3134413, DOI 10.1177/0163278710380124)
  6. (ru) « [Psychophysiology of sports addiction (exercises addiction)] », Fiziol Cheloveka, vol. 37, no 4,‎ , p. 135–40 (PMID 21950095, DOI 10.1134/S0362119711030030, S2CID 20543670)
  7. (en) Emmanuelle Larocque et Nicolas Moreau, « When sport is taken to extremes: A sociohistorical analysis of sport addiction », International Review for the Sociology of Sport, vol. 58, no 2,‎ , p. 368–391 (ISSN 1012-6902 et 1461-7218, DOI 10.1177/10126902221104956, lire en ligne, consulté le )
  8. Mario F. Mendez, « Non-Neurogenic Language Disorders: A Preliminary Classification », Psychosomatics, vol. 59, no 1,‎ , p. 28–35 (ISSN 0033-3182, PMID 28911819, PMCID 5748000, DOI 10.1016/j.psym.2017.08.006)
  9. a et b Szabolcs Kéri, Imre Kállai et Katalin Csigó, « Attribution of Mental States in Glossolalia: A Direct Comparison With Schizophrenia », Frontiers in Psychology, vol. 11,‎ (ISSN 1664-1078, PMID 32351424, PMCID PMC7174730, DOI 10.3389/fpsyg.2020.00638, lire en ligne)
  10. (en) Roy R. Reeves, Samet Kose et Abuhuziefa Abubakr, « Temporal lobe discharges and glossolalia », Neurocase, vol. 20, no 2,‎ , p. 236–240 (ISSN 1355-4794, DOI 10.1080/13554794.2013.770874, lire en ligne)
  11. (en) Heather Kavan, « Glossolalia and altered states of consciousness in two New Zealand religious movements », Journal of Contemporary Religion, vol. 19, no 2,‎ , p. 171–184 (ISSN 1353-7903, DOI 10.1080/1353790042000207692, lire en ligne)
  12. (en) Kyle D. Johnson, « A Neuropastoral Care and Counseling Assessment of Glossolalia: A Theosocial Cognitive Study », Journal of Health Care Chaplaincy, vol. 16, nos 3-4,‎ , p. 161–171 (ISSN 0885-4726, DOI 10.1080/08854726.2010.492698, lire en ligne)
  13. Hempel, A. G., Meloy, J. R., Stern, R., Ozone, S. J., and Gray, B. T. (2002). Fiery tongues and mystical motivations: glossolalia in a forensic population is associated with mania and sexual/religious delusions. J. Forensic Sci. 47, 305–312.
  14. Francis, R. J., and Robbins, M. (2003). Personality and glossolalia: a study among male Evangelical clergy. Pastoral Psychol. 51, 391–396.
  15. (en) Roy R. Reeves, Samet Kose et Abuhuziefa Abubakr, « Temporal lobe discharges and glossolalia », Neurocase, vol. 20, no 2,‎ , p. 236–240 (ISSN 1355-4794, DOI 10.1080/13554794.2013.770874, lire en ligne)
  16. a et b Andrew B. Newberg, Nancy A. Wintering, Donna Morgan et Mark R. Waldman, « The measurement of regional cerebral blood flow during glossolalia: A preliminary SPECT study », Psychiatry Research: Neuroimaging, vol. 148, no 1,‎ , p. 67–71 (ISSN 0925-4927, PMID 17046214, DOI 10.1016/j.pscychresns.2006.07.001, S2CID 17079826)
  17. « Language Center of the Brain Is Not Under the Control of Subjects Who "Speak in Tongues" – PR News », sur www.pennmedicine.org (consulté le )
  18. a et b Ray D. Kent, « Nonspeech Oral Movements and Oral Motor Disorders: A Narrative Review », Am J Speech Lang Pathol, vol. 24, no 4,‎ , p. 763–789 (ISSN 1058-0360, OCLC 8146899752, PMID 26126128, PMCID 4698470, DOI 10.1044/2015_AJSLP-14-0179) (at Appendix A)
  19. (en) David Sachs Cave et Rebecca Norris, Religion and the Body. Modern Science and the Construction of Religious Meaning, Brill, (ISBN 9789004225343, OCLC 1238010307, DOI 10.1163/9789004225343, lire en ligne)
  20. Spanos, N. P., Cross, W. P., Lepage, M. et Coristine, M, « Glossolalia as learned behavior: An experimental demonstration », Journal of Abnormal Psychology, vol. 95, no 1,‎ , p. 21–23 (ISSN 0021-843X, OCLC 4644067946, PMID 3700843, DOI 10.1037/0021-843X.95.1.21, lire en ligne)
  21. Frédéric Lemaire, Pauline Perrenot, « Médias et violences policières : aux sources du « journalisme de préfecture » », Acrimed,
  22. a et b Pauline Bock, « Passagère tuée par la police : le "journalisme de préfecture " à l'oeuvre », Arrêt sur images,
  23. Acrimed, « Des mots médiatiques qui parlent de la justice », Délibérée, no 9,‎ , p. 28-34 (DOI 10.3917/delib.009.0028, lire en ligne)
  24. Mathieu Burgalassi, « L’impossible vérité. Repenser les Fake News à partir du terrain survivaliste », Études de communication. langages, information, médiations, no 53,‎ , p. 121–136 (ISSN 1270-6841, DOI 10.4000/edc.9409, lire en ligne, consulté le )
  25. a et b Théophile Kouamouo, « BFM, RTL, France Info: dernières nouvelles du journalisme de préfecture », Le Média,
  26. Soumaya Benaissa, « concentration des media, journalismes de cour, de classe, de préfecture », blast-info.fr,
  27. « Journalisme de préfecture : quand les médias légitiment la répression », basta.media,
  28. « Pauline Perrenot sur Le Monde diplomatique », Le Monde diplomatique,
  29. « Les médias dominants à la botte du pouvoir », BLAST, Le souffle de l'info,
  30. Pauline Perrenot, Les médias contre la gauche, Agone, (ISBN 978-2-7489-0518-2, lire en ligne)
  31. Sarah Brethes, Marine Turchi, « Mouvement social et violences policières : des journalistes s’indignent des consignes de leur directions », mediapart,
  32. « Retraites : ces journalistes de France 3 dénoncent le « mauvais traitement » de la réforme dans leurs JT », www.huffingtonpost.fr,
  33. Maxime Friot, « Réforme des retraites : quand la critique des médias vient des rédactions », Acrimed,
  34. Sarah Brethes, Marine Turchi, « Chez BFMTV, le terme violences policières est officiellement proscrit par la direction car « politiquement connoté », », mediapart,
  35. Agence France-Presse, « Enregistrement sonore: les policiers mis en cause formellement identifiés comme membres de la BRAV-M », mediapart,
  36. Benoît Hasse et Nicolas Jacquard, « Acte 19 des Gilets jaunes : un maintien de l’ordre mieux maîtrisé », leparisien.fr,
  37. Pauline Perrenot, « Sainte-Soline et méga-bassines : sur BFM-TV, la police fait l’information »,

Articles connexes modifier

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Several scholarly works have been published to rebut the antisemitic canard of Jewish domination of the slave trade in Africa and the Americas in the later centuries,[6][1][2].

Une définition de la matérialité (qui sera par la suite qualifiés de «simple») a été précisée en octobre 2018 par l'International Accounting Standards Board (l’organisme international des normes comptables, reconnu par les autorités internationales de régulation des marchés financiers.). La définition de la matérialité proposée par cette instance internationale est devenue effective à partir du 1er janvier 2020 :

« Une information est matérielle si son omission, son inexactitude ou son occultation est raisonnablement susceptible d'influencer les décisions que les principaux utilisateurs des états financiers à usage général prennent sur la base de ces états financiers, lesquels fournissent des informations financières sur une entité déclarante. »

En d’autres termes, pour reprendre les termes de Faber, la matérialité précise «ce qui compte, en comptabilité d’entreprise, est ce qui est matériel : une information dont l’omission pourrait influencer la décision d’acheter ou de vendre des actions d’une entreprise, ou de lui prêter ou pas des capitaux.»[7]

C’est dans ce contexte qu’apparaît, en 2022, une directive européenne prévoyant l’obligation pour les entreprises de publier des information extra-financières (obligation de reporting socio-environnemental). C’est ce texte européen qui consacre la notion de double matérialité.


En relative opposition à cette notion de matérialité préexistente, l’Europe cherche à promouvoir un choix normatif plus ambitieux, en ce qu’il cherche à étendre la matérialité au-delà du domaine économique. Pour rendre compte de cette approche, elle met en avant le terme de « double matérialité » dans sa directive sur la publication d’informations extra-financières[7].


Laurence Sialcom considère que ce sont là deux conceptions de ce que doit être «une finance durable» qui s’affrontent. D’un côté, celle de l’investisseur qui veut que son investissement serve la préservation de la planète, et qui veut être renseigné sur l’impact sur l’environnement des entreprises dans lesquelles il souhaite investir. «Il cherchera donc à investir dans des entreprises attentives à ne pas dégrader les écosystèmes.»[8] D’un autre côté, il y aurait des financiers et des entreprises, qui veulent d’abord être renseignés sur les conséquences financières des dégradations écologiques sur leurs comptes et sur leur valorisation boursière.

La double matérialité reconnaît que les entreprises et les institutions financières doivent gérer et assumer la responsabilité des impacts négatifs réels et potentiels de leurs décisions sur les personnes, la société et l’environnement. Il s’agit d’un changement de paradigme comptable qui réencastre l’entreprise dans son environnement naturel et social.

Pour Sialcom, la proposition européenne serait une réponse à ce que Polanyi a qualifier de «désencastrement de l’économie», pour qualifier «l’autonomisation des marchés vis-à-vis de toutes les lois sociales, morales, éthiques des sociétés traditionnelles, [qui] affaiblit la cohésion sociale, provoquant une défiance généralisée envers les institutions»[9][10].

« La double matérialité reconnaît que les entreprises et les institutions financières doivent également gérer et assumer la responsabilité des impacts négatifs réels et potentiels de leurs décisions sur les personnes, la société et l’environnement. Il s’agit d’un changement de paradigme comptable qui réencastre l’entreprise dans son environnement naturel et social. L’UE promeut cette conception comme une étape essentielle pour la réalisation du Pacte vert, alors que les États-Unis soutiennent l’approche développée par l’International Sustainability Standards Board (présidé par Emmanuel Faber), qui a publié en juin ses premières normes extrafinancières climatiques selon le principe de simple matérialité. »Le Monde, Tribune, 27 Octobre 2023

— Laurence Scialom

Institutionnalisation en Europe modifier

En juillet 2023, l’Europe contraint les plus grandes entreprises a évaluer leurs performance extra-financière selon le principe de la double matérialité[11]. Elle donne la liste des information relatives à leurs impacts RSE que de l’ordre de 50 000 entreprises devront publier régulièrement à partir de 2025. Dans Le Monde, Dominique Meda rejoint Colasse et Déjean pour souligner combien «l’Europe s’inscrit, avec ce choix, en complète opposition avec la conception anglo-saxonne de l’entreprise et des normes comptables»[12] . La double matérialité devient le choix de l’Europe, tournant un peu plus le dos aux conceptions de Friedman sur les droits et devoirs de l’entreprise au regard de ses propriétaires et de la société[13].

Pour Baumuller et Sopp, le passage de l’Europe à la double matérialité implique de comprendre différemment à la fois les objectifs des reportings des entreprises sur les questions de développement durable et les objectifs de la réalisation de ces reportings. Pour ces auteurs, ce changement a été motivé par la nécessité et le désir d'interpréter correctement le principe de matérialité énoncé dans la directive européenne[14][15]. Le fait que ceci soit maintenant imposé par les instances européennes a pour conséquence qu’on passe d’une démarche volontaire, initiée par des entreprises qui y voient un intérêt, à une démarche qui visent simplement à répondre à une obligation légale. Cela devrait permettre de répondre à certaines des critiques relatives à la situation antérieure, notamment le fait que les informations non financières publiées n’étaient pas suffisamment comparables ou fiables; que les entreprises ne communiquaient pas toutes les informations non financières que les utilisateurs jugeaient nécessaires, et nombre d'entre elles communiquaient des informations que les utilisateurs ne jugeaient pas pertinentes; que certaines entreprises dont les investisseurs et autres utilisateurs souhaitaient obtenir des informations non financières ne communiquaient aucune de ces informations.


France modifier

Obligation modifier

C’est l'article 26 du texte de la loi Grenelle II qui a rendu obligatoire et cadre un première fois les obligations légales en matière de bilan carbone, ce dès 2010. Le code de l’environnement rend actuellement obligatoire l’établissement d’un BEGES (bilan des gaz à effet de serre) tous les trois ans pour :

  • les services de l’État ;
  • les collectivités territoriales de plus de 50 000 habitants ;
  • les établissements publics et autres personnes morales de droit public de plus 250 agents[16].

Pour ce qui concerne les entreprises, ce sont les personnes morales de droit privé employant plus de 500 personnes en métropole et 250 personnes en outre-mer qui sont astreinte à cette obligation, avec une périodicité de quatre ans.

En 2023, c’est toujours la méthodologie du bilan carbone de l’ADEME de 2004 qui s’applique. Les structures contraintes à réaliser ces bilans sont en outre astreintes à une obligation de publication de leur bilan, ceci en vue de rendre possible une politique de réduction.

La France propose en outre un label Bas Carbone depuis 2018[17].

Particuliers modifier

L’ADEME propose en outre à destination des particulier une méthodologie pour évaluer le bilan carbone individuel[18]. Les paramètres pris en compte sont l’ alimentation, les transports, le logement, mais aussi l’usage des services publics et l’empreinte liée au numérique.

Illustrations concrètes modifier

Grande distribution et stations de ski modifier

Le dernier accord signé entre le MEEDDM fin et la grande distribution[19] développe l'idée d'un étiquetage écologique qui sera source de bilans « carbone » pour 300 produits dans un premier temps à l'horizon 2010 ainsi que pour les magasins de commerce et de distribution dont l'« audit carbone permet en moyenne d’identifier des gains d’émissions compris entre 20 % et 40 % ».

Les premiers Bilan Carbone de dix stations de montagne françaises menés par l’Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSM) en partenariat avec l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) présentés au Sénat le , montrent le poids prépondérant du transport (57 % du total) et de l’habitat (27 % du total) dans leurs émissions de gaz à effet de serre (GES), soit 800 000 tonnes équivalent CO2 au total. La pratique du ski (remontées mécaniques, dameuses, neige de culture) ne représente que 2 % des émissions de GES[réf. nécessaire].

Installations les plus polluantes modifier

L'approche de Grenelle est désormais relayée par les administrations à l'exemple d'une circulaire du relative au programme 2008 de l'inspection des installations classées

« Diagnostics énergétiques et bilans carbone des installations (action expérimentale)

La généralisation des meilleures techniques disponibles dans les plus grosses installations industrielles et agricoles devra aussi avoir un impact favorable sur la consommation d’énergie. Un document de référence européen sur l’efficacité énergétique (BREF) sera finalisé au premier semestre 2008 et sera adapté en France sous la forme d’un guide de bonnes pratiques qui sera mis à la disposition des exploitants et commenté par l’inspection des installations classées.

Au-delà des seules installations relevant de la directive IPPC, l’inspection des installations classées proposera au préfet de prescrire des diagnostics de performance énergétique de certaines installations portant notamment sur le choix des combustibles et l’efficacité des systèmes auxiliaires (utilities) et des process, et préconisant des voies de progrès.

Pour certaines installations, les marges de réduction de la consommation d’énergie résident plus dans les activités qu’elles induisent (transport de marchandises notamment) que dans l’amélioration de l’efficacité énergétique sur le site industriel. Dans ce cas l’inspection des installations classées incitera l’exploitant à procéder à un bilan carbone de ses activités, conformément aux conclusions du Grenelle de l’environnement.

Les conditions réglementaires et méthodologiques de cette action seront précisées dans le courant de l’année 2008. »

Administration publique française modifier

Le gouvernement français s'est engagé dès le à ce que l'ensemble des ministères en tant qu'administrations centrales réalisent leur propre bilan d'ici fin 2008 sur leurs sites parisiens et parfois hors de Paris (exemple du Ministère de la Défense).

Selon le portail du Premier ministre : « À ce stade, tous les ministères ont entamé une démarche de bilan carbone de leur activité. »

Certains ministères formalisent leur engagement en direction du public. Par exemple, le ministère de l’Agriculture a déjà publié les résultats du bilan carbone de ses 6 sites parisiens. Le ministère de la Défense a communiqué de son côté clairement sur le sujet en listant dans son premier rapport 2008 sur le développement durable les 7 sites qui ont fait l'objet d'un tel bilan en 2008.

Premiers concernés, le ministère de l'Environnement et du Développement durable comme les services du Premier ministre ont également achevé les bilans de leur administration centrale[20].

Un bilan récent établi fin 2009 illustre les mesures entreprises,

« qui concernent les démarches bilan carbone, mais aussi la gestion de la flotte automobile, la politique de déplacement des personnels, les achats courants et la gestion des déchets. Les démarches bilan carbone sont très largement engagées. Le bilan des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre (GES) du cabinet du ministre d'État a été réalisé, dès la fin 2007, et généralisé à l'ensemble des sites de l'administration centrale courant 2008. Par ailleurs, malgré un contexte de réorganisation profonde qui implique, notamment, de multiples transferts et relocalisations de sites, les services déconcentrés ont aujourd'hui réalisé, pour plus de 70 % d'entre eux, leur bilan des consommations énergétiques et des émissions de GES. Cette opération sera achevée fin 2009 pour les sites les plus significatifs. Les consolidations opérées mettent en évidence, outre la consommation d'énergie liée aux bâtiments, la part prépondérante des déplacements dans les émissions de GES dans les activités administratives (de 28 à 32 %). Les actions entreprises depuis deux ans visent prioritairement à améliorer l'empreinte-carbone de ce poste. »

— Assemblée nationale,Question écrite n° 13007 Secrétariat d’État aux transports 18 décembre 2009

En 2010, la circulaire du « relative à l’État exemplaire - rationalisation de la gestion du parc automobile de l’État et de ses opérateurs » présente des avancées concrètes en la matière en conjuguant amélioration de la gestion de l’État et réduction de son bilan :

« La nécessaire réduction des émissions de CO2 se conjugue avec l'obligation de réduire les coûts de gestion du parc automobile. En effet, les émissions de CO2 sont totalement corrélées à la consommation en carburant, qui dépend, elle-même essentiellement des dimensions du véhicule. Ces contraintes ont déjà conduit à limiter les émissions de CO2 depuis 2005. Afin de faciliter le respect des objectifs du Grenelle de l'environnement, il convient d'aller plus loin, d'une part, en limitant les dotations en véhicules puissants aux plus hautes autorités de l’État (6) et, d'autre part, en réduisant les segments de véhicules autorisés selon les fonctions exercées. Ces mesures, qui s'appliqueront à tous les ministères et aux opérateurs, et qui seront combinées avec les plans de gestion annuels du parc automobile, préparés par la mission d'appui, en concertation étroite avec les ministères, devraient permettre à ces derniers de réaliser d'importantes économies. »

Impact de la loi portant Engagement national pour l'environnement modifier

La loi n° 2010-788 du dite Grenelle 2, confirme par son article 228 l'institution d'un bilan carbone à travers une expérimentation prévue à l'article L. 112-10 du code de la consommation. Pour un durée minimale d'une année, un certain nombre de produits disposeront d'une information sur leur équivalent carbone calculé sur la base de leur cycle de vie (cf.ACV) sans oublier leur emballage. Si l'expérimentation s'avère concluante sur la base d'un bilan au Parlement, la généralisation de ces bilans carbone « produits » passera par une série de décrets par catégorie. S'ajouteront des décrets de méthodologie sur l'information, ses supports et la responsabilité des acteurs et la traçabilité qui permettront au consommateur de vérifier le bien-fondé de ces informations.

Si les services sont exclus de ce type de bilan, ces derniers ne doivent être confondus avec les bilans GES (Gaz à effet de serre dont le CO2) également institués par la loi (cf. art. 75 de la loi).

L'expérimentation est désormais lancée avec 168 entreprises et 1000 produits à compter du [21].

Yuri Felshtinsky
Description de l'image Yuri Felshtinsky.jpg.
Naissance (67 ans)
Nationalité Russo-Américain
Pays de résidence Etats-Unis
Diplôme
Docteur en Histoire
Profession
Historien - écrivain
Activité principale
Histoire politique et bolchévisme
Formation
Doctorat en Histoire
Auteur
Langue d’écriture russe - anglais

Œuvres principales

  • The Bolsheviks and the Left SRs
  • Towards a History of Our Isolation
  • The Failure of the World Revolution
  • Blowing up Russia
  • The Age of Assassins


La notion de bilan carbone renvoie à un ensemble de méthodes permettant de mesurer et de suivre la quantité de gaz à effet de serre (GES) qu'une organisation (entreprise, administration pubilque,...) émet. Par extension, un bilan carbone peut être calculé pour évaluer les impacts en émission de GES de la fabrication d’un produit, d’un individu, d’un projet, d’un événement ou d’une filière industrielle.

De nombreux gouvernements dans le monde ont rendu obligatoire diverses formes de reporting pour les organisation, et il semble que le fait d’exiger cette comptabilisation des GES incite à réduire les émissions.[4] Les marchés d’achat et de vente de crédits carbone ne peuvent fonctionner que si on dispose d’une mesure précise des émissions et des réductions d’émissions. Ces techniques aident à comprendre les impacts de produits et services spécifiques en quantifiant leurs émissions de GES tout au long de leur cycle de vie. Cela rend possible des décisions d’achat plus respectueuses de l’environnement.


Le bilan carbone lié à la fabrication d'un produit ou à l'activité d'une entité humaine (individu, groupe, collectivité) est un outil de comptabilisation de ses émissions de gaz à effet de serre. Il tient compte de l'énergie primaire et de l'énergie finale de ces produits et services.

Le bilan carbone vise à renseigner les systèmes d'échange de type bourse du carbone, à poser les bases de solutions efficaces de réduction de la consommation énergétique, et peut optimiser la fiscalité écologique (taxe carbone…) et certains mécanismes de compensation carbone.

Le bilan carbone permet également d'étudier la vulnérabilité d'une activité économique ou d'une collectivité, particulièrement sa dépendance aux énergies fossiles, dont le prix devrait augmenter dans les prochaines années selon les prospectivistes.

L'outil est géré et diffusé par l'Association pour la transition Bas Carbone (ABC) et est notamment utilisé en France pour le calcul du Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES), que l'article 26 du texte de la loi Grenelle II en France a rendu obligatoire pour certaines structures (les entreprises de plus de 500 salariés, les collectivités territoriales de plus de 50 000 habitants et les établissements publics de plus de 250 personnes).

Depuis le 23 avril 2012, la nouvelle version 7 du bilan carbone, intégrant notamment les facteurs d'émissions de la nouvelle Base Carbone de l'ADEME et une extraction automatique des facteurs d'émissions GES, permet de répondre aux exigences de l'article 75 du texte de la loi Grenelle II



Définition

Le bilan carbone est une mesure normalisée et structurée des émissions de gaz à effet de serre (GES) et permet une évaluation détaillée de l'empreinte carbone d'une organisation ou d'une activité spécifique.

C’est dans une optique initiale de sensibilisation aux émissions de gaz à effet de serre (GES) produits par les activités humaines, qu’une méthodologie normalisée a été développée par l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie); cette méthodologie permet de comptabiliser les émissions de GES des activités exercées par des entreprises (entreprises industrielles ou tertiaires, associations, événements culturels ou sportifs…), par des collectivités territoriales ou sur un territoire.

ou bien

Principe et finalités

Le Bilan Carbone est un outil de diagnostic conçu par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) et Jean-Marc Jancovici [22]à partir de 2004 pour comprendre et analyser l'activité des particuliers, des entreprises, des collectivités et des administrations en matière d'émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre[23]. La mesure prend en compte six gaz selon une méthode dont les règles sont publiques et reconnues officiellement par des accords internationaux : le dioxyde de carbone ou CO2, le méthane, le protoxyde d'azote, l'hydrofluorocarbure, le perfluorocarbure et l'hexafluorure de soufre. Le but initial est de mesurer et de suivre la quantité de gaz à effet de serre (GES) émise par une organisation. La méthode peut également être utilisée pour contrôler des projets ou des actions visant à réduire les émissions dans différents secteurs, tels que la sylviculture ou les énergies renouvelables par exemple. Les entreprises, les villes et d'autres groupes ont recours à ces techniques pour contribuer à limiter le changement climatique. En France, les entreprises de plus de 500 personnes et les administration ont obligation de réaliser un bilan de leurs émissions (BEGES) et de s’engager dans un plan d’action volontaire visant à les réduire tous les trois ou quatre ans. Ce bilan porte sur les émissions directes de gaz à effet de serre et les émissions indirectes liées à la consommation d’électricité, de chaleur ou de vapeur.

Le principe d’action qui en découle veut que les organisations définissent un niveau de référence pour leurs émissions, fixent des objectifs de réduction de ces émissions et effectuent un suivi des progrès réalisés dans ce sens. Le fait de disposer d’une méthodes formalisée de comptabilisation leur permettent de le faire de manière plus cohérente et plus transparente. En France, les bilans des entreprises sont accessibles sur le site de l’ADEME

Plus largement, la comptabilisation des GES est souvent effectuée pour répondre à des préoccupations de responsabilité sociétale ou pour satisfaire à des exigences légales.

Modalités de mesure

Les six gaz pris en compte sont les gaz identifiés par le GIEC comme ayant un effet de serre direct. Les quantités émises sont dans un premier temps évaluées, puis dans un deuxième temps, converties en tonnes équivalent de CO2 ( tCO2e) en fonction de leur pouvoir de réchauffement global (PRG)[24]. Les PRG sont évalués sur une durée de 100 ans. Ils tiennent compte de l’impact plus ou moins important des différents GES sur le climat.

Il demeure cependant plusieurs possibilités de mesure, intégrant de plus en plus des émissions non directes. Pour répondre à cette difficulté, une répartition en trois SCOPES des sources d’émission de GES a été prévue. Le SCOPE 1 recense les émissions directes de GES des installations fixes ou mobiles détenues ou contrôlées par l’organisation (combustion d’énergies fossiles des véhicules de l’entreprise, émissions des ruminants, fuites de fluides frigorigènes, fertilisation azotée, …). Le SCOPE 2 tient compte des émissions indirectes de GES induites par l’achat ou la production d’électricité, de chaleur et de vapeur. Enfin, le SCOPE 3 prend en compte toutes les autres sources d’émissions indirectes de GES de la chaîne logistique étendue au transport des biens et des personnes. Les trois Scopes sont nécessaires pour une évaluation complète des émissions de GES d'une organisation, car ils couvrent à la fois les émissions directes et indirectes associées à ses activités.

Informatics modifier

La théorie des systèmes a été appliquée dans le domaine de la neuroinformatique et des sciences cognitives connexionnistes. Des tentatives sont faites en neurocognition pour fusionner les neuroarchitectures cognitives connexionnistes avec l'approche de la théorie des systèmes et de la théorie des systèmes dynamiques.


System theory has been applied in the field of neuroinformatics and connectionist cognitive science. Attempts are being made in neurocognition to merge connectionist cognitive neuroarchitectures with the approach of system theory and dynamical systems theory.[25]


Manifestations ==

En 1859, Mlle Laura Edmonds, fille du juge Edmonds, qui fut président du sénat et membre de la cour suprême de justice de New-York, se mit à parler en grec moderne avec un invité M. Evangélidès lors d'une réception. Elle disait être M. Botzaris, ami intime décédé de M. Evangélidès, et lui apprit la mort imminente de son fils en Grèce (ce qui était exact)[26]. Le juge Edmonds écrit :

« Ma fille ne connaît que l'anglais et un peu de français et pourtant elle a parlé en français, grec, latin, italien, portugais, polonais, hongrois, ainsi que plusieurs dialectes amérindiens. Quelquefois, elle ne comprend pas ce qu'elle dit, mais celui qui parle avec elle comprend toujours ses paroles[27],[28]. »


Dans les années 1920, le célèbre violoniste Florizel Von Reuter ainsi que sa mère Grace Von Reuter, tous deux médiums, utilisant un appareil nommé "additor" (sorte de ouija en forme de règle plate) reçurent des communications en une quinzaine de langues. Outre l'anglais, l'allemand, le français, l'espagnol, l'italien et un peu de suédois et de latin qu'ils connaissaient, ils reçurent des messages en russe, maggyar, norvégien, polonais, hollandais, lituanien, irlandais, persan, arabe et turc[29].


Mme Grace Von Reuter avait les yeux bandés, deux doigts sur le curseur de l'additor qui se déplaçait à toute vitesse, pendant que son fils Florizel notait les lettres qu'il pointait. Les phrases étaient en langue inversée, la dernière lettre de la phrase étant donnée en premier et ainsi de suite, il fallait ensuite un miroir pour lire l'ensemble. ces communications réagissaient en temps réel aux questions qu'on leur posait[30],[31],[32].


Des cas avérés d'écriture automatique en hiératique égyptien[33],[34], en dialecte hindo-persan[35],[36],[37], turco-persan[38],[39], chinois de l'Antiquité[40],[41], fut également recensés et attestés par des archéologues et des orientalistes. Certaines de ces langues, vieilles de plusieurs milliers d'années, n'étaient connues que par une dizaine de personnes au monde à l'époque des faits. De plus ces communications concernaient le présent et réagissaient en temps réel aux demandes des témoins.[42]


Plusieurs personnes connues auraient eu cette faculté parmi lesquelles S. Yvonne-Aimée de Malestroit, et Thérèse Neumann qui eut des visions, des stigmates et s'exprimait en araméen revivant la passion du Christ[43].


Le terme « xénoglossie » peut aussi être utilisé pour les apôtres du Christ se mettant à annoncer leur message évangélique dans toutes les autres langues que la/les leur(s), sous l'emprise de l'Esprit-Saint qui vient de se manifester à eux, le jour de la Pentecôte, cinquante jours après la mort et la résurrection de Jésus[44].


De plus en plus de cas de xénoglossie sont médiatisés, tels que celui du jeune Américain de 16 ans, Rueben Nsemoh, qui aurait « changé » de langue maternelle après son réveil de trois jours de coma causé par un violent coup sur la tète en jouant au football. Il parle alors quelque temps l'espagnol au lieu de l'anglais, sa langue maternelle[45]. Avant cela, il ne maîtrisait pas cette langue, soulignent plusieurs médias. Toutefois, il avait dans son entourage des personnes qui parlent cette langue ; le choc qu'il a reçu lui a donné accès à une zone cérébrale qui stockait inconsciemment des données linguistiques entendues. Ce phénomène est ainsi expliqué scientifiquement, « il ne s'agit ni d'un miracle ni d'une réminiscence d'une vie antérieure, mais d'une erreur commise par le cerveau » comme le rappelle Angela de Bruin de l'institut basque de recherche neurolinguistique BCBL[46].



Une fonctionnalité relativement populaire de Twitch consiste en la possibilité de " lancer un raid " sur une autre chaine. Il s'agit d'une action par laquelle plusieurs utilisateurs, coordonnés à partir d'une autre chaine Twitch ou d'un autre service de médias sociaux, rejoignent ensemble une chaine cible pour lui apporter soutien et encouragement. Cette technique a d'abord été utilisée pour accompagner et faciliter la montée en popularité de la chaine cible, c'est efficace en particulier si le raid est organisé par un streamer populaire. Twitch soutenait officiellement ce type d'activité depuis 2017, du fait que la plateforme offrait la possibilité pour un streamer d'envoyer tous ses spectateurs sur une autre chaîne sous forme de raid[47]. Cependant, au cours de l'année 2021, sont apparus une autre forme de raid, des " raids de haine ", et ceux-ci sont devenu de plus en plus courants sur Twitch. Dans ces raids, des utilisateurs submergent en nombre une chaîne et son chat de messages pour déverser des messages de haine envers le streamer, ce qui constitue une forme de cyberintimidation. La plupart de ces utilisateurs sont souvent des bots automatisés, ce qui complique la tâche des modérateurs face à la quantité de messages[48]. Bien que Twitch ait reçu des signalement pour ces raids de haine, il été peu réactif pour les arrêter, ce qui a conduit de nombreux streamers à organiser un "#ADayOffTwitch" le 1er septembre 2021, en guise de protestation, dans l'espoir que Twitch réagisse plus vigoureusement [49]. Après avoir reconnu le problème, Twitch a intenté un procès en septembre 2021 contre deux personnes qui paraissaient être à la source de plusieurs raids de haine, et a bloqué leurs comptes[50], puis Twitch a introduit des outils permettant aux streamers de limiter le nombre de participants à leur chat afin d'empêcher les raids de haine. Des outils permettent aussi aux streamers de limiter le chat à ceux qui se sont soumis à un protocole de vérification de leur numéro de téléphone ou leur adresse électronique auprès de Twitch, ce qui permet d'identifier les robots[51].



L'entraînement à basse intensité (EBI) est une forme d'entraînement d'endurance aérobie utilisée dans des sports tels que la course à pied, l'aviron[52] et le cyclisme[53], également connue sous le nom d'entraînement d'endurance aérobie, d'entraînement de base et d'entraînement de zone 2[54]. Les adaptations physiologiques positives associées à cette modalité d'entraînement sont l'amélioration de la fonction cardiovasculaire, de la fonction thermorégulatrice, de la production d'énergie mitochondriale, de la capacité d'oxydation des muscles squelettiques et de l'utilisation des graisses comme carburant. Ernst van Aaken, médecin et entraîneur allemand, est généralement reconnu comme le fondateur de cette méthode d'entraînement adaptée notamment à la course de longue distance et aux sports d'endurance comme le cyclisme[55].

Origine du terme modifier

En France, le terme « islamo-gauchiste » apparaît pour la première fois, mais sous un sens très différent du contexte iranien, sous la plume du sociologue Pierre-André Taguieff en 2002 dans l'ouvrage La Nouvelle Judéophobie. Il y définit cette expression comme un militantisme d'extrême gauche qui, au nom de la « lutte contre l'impérialisme » fait alliance avec les islamistes favorables au nationalisme palestinien. Pour lui, ce rapprochement vient de ce que ces militants d'extrême gauche perçoivent les musulmans comme une minorité opprimée de manière systémique par les non-musulmans, et ce à l'échelle mondiale[56],[57][source insuffisante].[58]

Tanguieff considère que c’est Chris Harman, dirigeant trotskiste du Parti socialiste des travailleurs au Royaume-Uni, qui a été le premier militant de gauche a avoir théorisé un rapprochement entre les ambitions révolutionnaires marxistes et celles liées à l'Islam et à la Palestine[59]. Le terme n'est cependant jamais utilisé par ce dernier.

C’est bien en France que le terme a fait flores, le journaliste Romain Houex note qu’ «il a été repris par Pascal Bruckner, dans son livre 'La tyrannie de la pénitence '. Quelques temps après, ce fut ensuite au tour de Caroline Fourest dans La tentation obscurantiste, Alain Finkielkraut de faire usage du terme… Peu à peu, c'est devenu un terme flou et stigmatisant."[58] Marine Le Pen l’utilise en 2012 à la suite des attentats commis par Mohammed Merah , et ses mots sont repris dans la presse internationale : «La plus grande menace pour la France du XXIe siècle est ce qu'elle appelle l'"islamo-gauchisme", un mot qu'elle a choisi pour décrire ce qu'elle considère comme une alliance malsaine entre les "fanatiques islamistes" et la gauche française»[60]. Du côté des médias, Le Monde note que la première apparition dans ses colonnes remonte à l’automne 2004

En 2017, le terme est utilisé par Emmanuel Valls pour discrédité son concurrent au primaire socialiste Benoit Hammon, dont le directeur de campagne considèrera qu’il s’attendait plutôt à "retrouver ce genre de propos dans la bouche de Florian Philippot que dans la bouche d’un dirigeant de gauche"

Origines évoquées du rapprochement modifier

D'après le journaliste Amir Behnam Massoumi[61], une des racines du rapprochement entre logique gauchiste et islamisme se trouverait dans l'Iran des années 1970, avec le front commun créé entre un courant de la gauche iranienne et l'islam révolutionnaire pour faire face à la dictature de Mohammad Reza Pahlavi. Cette « gauche islamique » était notamment représentée par Massoud Radjavi et le philosophe Ali Shariati. Selon Ali Shariati, l'islam contiendrait par nature une dynamique contre la tyrannie et en faveur de la liberté, l’égalité et l’émancipation des femmes et des hommes. Cette théorie aurait significativement contribué au programme "socialiste de la révolution iranienne de 1978-1979, conduisant le régime islamique de Khomeini à promettre la nationalisation des industries et à donner la priorité à la justice sociale [61].

Une autre origine de l'islamo-gauchisme se trouverait au Royaume-Uni ou l'idée selon laquelle l'Islam pourrait contribuer à faire émerger un mouvement révolutionnaire a été développée au sein de l'extrême-gauche[57],[62].


Confronté à l'assimilation de l'islam à une force de lutte pour les dominés, voire à une force progressiste, dans les cercles intellectuels de gauche[63], Chris Harman, dans son article « Le prophète et le prolétariat »[64], analyse la perception par la gauche du renouveau islamique. Il commence par soutenir l'idée que « la gauche a commis une erreur en considérant les mouvements islamistes soit comme automatiquement réactionnaires et « fascistes », soit comme automatiquement « anti-impérialistes » et « progressistes » », ce qui a contribué à aider les islamistes à croître aux dépens de la gauche dans la majorité du Moyen-Orient[59],[64],[source insuffisante].

Chris Harman distingue cette erreur à l'international de la compréhension qu'il propose de l'islamisme tel qu'il se développe dans les pays occidentaux. Celui-ci est pour lui « le produit d’une crise sociale profonde » et appelle la gauche à se battre pour gagner certains de ses jeunes partisans à une autre perspective très différente, « socialiste, indépendante et révolutionnaire »[65]. Ainsi, il n'exclut pas l'unité d'action avec les islamistes dans les pays où ils sont dominés :

« Sur certaines questions nous serons du même côté que les islamistes contre l’impérialisme et contre l’État. C’était le cas, par exemple, dans un grand nombre de pays lors de la seconde guerre du Golfe. Ce devrait être le cas dans des pays comme la France ou la Grande-Bretagne lorsqu’il s’agit de combattre le racisme. Là où les islamistes sont dans l’opposition, notre règle de conduite doit être : « avec les islamistes parfois, avec l’État jamais »[66]. »

Pierre-André Taguieff déplore depuis son usage « à toutes les sauces »[67].

Expérience de pointe modifier

Le terme expérience de pointe ou encore expérience extatique est utilisé pour décrire un certain état de conscience qui peut se produire au cours d’une expérience transpersonnelle ou extatique dans laquelle des sentiments d’unité, d’harmonie et de connectivité sont particulièrement présents. Les gens qui en font l’expérience témoignent de la difficulté pour eux de mettre des mots sur ce qu’ils ont vécu subjectivement.

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Origine du terme modifier

Beaucoup des caractéristiques attribuées à ces exprériences ont été décrites par le psychologue américain Abraham Maslow. Maslow a essayé de décrire l’essence de ces expériences, qui étaient jusqu’alors généralement associées à de conceptions religieuses et parfois considérées comme surnaturelles. Il a supposé que l’origine, le noyau et l’essence de toutes les « grandes religions» connues peuvent être en lien à une exépérience de réalisation de soi d’un prophète ou d’un voyant exceptionnellement sensible "« l'illumination, la révélation ou l'extase intime, solitaire et personnelle d'un prophète ou d'un voyant à la sensibilité très développée »".

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Nature des expériences de pointe modifier

Les expériences de pointe sont décrites par Maslow comme des moments particulièrement joyeux et excitants de la vie associés à des sentiments de bonheur et de bien-être intenses, d’émerveillement et de crainte, éventuellement accompagnés de la sensation d’une unité transcendante avec le monde ou d’accès à la connaissance d’une vérité supérieure (comme si le monde était vu d’un point de vue différent, souvent très profondément ressenti et impressionnant). Ces expériences viennent généralement soudainement et peuvent être déclenchées par une méditation profonde,par des sentiments intenses d’amour, par l’expérience du grand art ou de la musique, ou une rencontre avec la beauté écrasante de la nature. Les expériences de pointe peuvent également être déclenchées par des produits chimiques. Un essai clinique en double aveugle a montré que la psilocybine (le principal composé psychoactif de plusieurs espèces de champignons hallucinogènes) provoquait des pics intenses chez la plupart des sujets.

Selon Maslow (1970), les expériences de pointe sont édifiantes et changent la personnalité: l’énergie créatrice est libérée, elle met l’accent sur le sens et la valeur de l’existence, elle donne un but à l’individu et un sentiment d’appartenance, elle peuvent transformer durablement quelqu’un en une meilleure personne. Les expériences de pointe peuvent être thérapeutiques et conduire à une plus grande liberté de volonté, d’autodétermination, de créativité et d’empathie. Peuvent y être associé un sentiment d’être capable de tout et en même temps plus impuissant que jamais, un sentiment de grande extase,d’émerveillement et de crainte, ou encore la perte de conscience de l’espace et du temps. Avec des expériences de pointe très puissantes, la conscience de soi semble se dissoudre dans un ensemble plus vaste.

La théorie de Maslow a été étayée par les résultats des recherches de Griffiths (2006 et 2008).

Selon Maslow, tout le monde est capable d’avoir des expériences de pointe. Littéralement, tout le monde a vécu des expériences de pointe au cours de sa vie, mais souvent de telles expériences ne sont pas remarquées comme spéciales. Chez ceux qu’on appelle les non-peakers, les expériences de pic auraient été réprimées. Selon Maslow, les expériences de pointe devraient être étudiées et promues afin que les personnes qui ne les ont jamais eues ou qui y ont jamais résisté puissent être mises en contact avec elles, ce serait un moyen de réactiver la croissance personnelle et la réalisation de soi.

Expérience de pointe de longue durée modifier

Les expériences de pointe sont par essence des moments momentanés de réalisation de soi. Maslow a décrit les expériences de pic à long terme(expériences de plateau)évoquées par sa propre volonté comme une caractéristique des personnes auto-actualisées. Il a décrit cela comme un état conscient de béatitude cognitive qui ne peut être atteint qu’en le travaillant tout au long de la vie.

Lien externe modifier

  • Maslow, A.: Religions, values, and Peak Experiences (texte intégral en ligne).
Sources, notes et/ou références
  1. ↑ Maslow, A., 1964. Religions, valeurs et expériences de pointe. Columbus: Université d’État de l’Ohio.
  2. ↑ Pubmed
  3. ↑ Pubmed
  • Cet article ou une version antérieure de celui-ci est une traduction (partielle) de l’article Peak_experience sur la Wikipédia en anglais, qui est sous licence Creative Commons Attribution/Share Alike. Voir l’historique des modifications ici.
  • Griffiths, R.R., Richards, W.A., McCann, U., Jesse, R., 2006. La psilocybine peut occasionner des expériences de type mystique ayant une signification personnelle substantielle et soutenue et une signification spirituelle. Psychopharmacologie, 187(3): 268-283; PMID 16826400.
  • Griffiths, R., Richards, W., Johnson, M., McCann, U., Jesse, R., 2008. Les expériences de type mystique occasionnées par la psilocybine médient l’attribution de la signification personnelle et de la signification spirituelle 14 mois plus tard. Journal of Psychopharmacology, 22(6): 621-632; PMID 18593735.
  • Maslow, A., 1964. Religions, valeurs et expériences de pointe. Columbus: Université d’État de l’Ohio.
  • Maslow, A., 1970. Aspects religieux des peak-experiences. Personnalité et religion. Harper & Row : New York.
  • Maslow, A., 1971. Les confins de la nature humaine. New York: Viking Press.

Dans un ouvrage récent[68], Egger considère qu’on pourrait résumer l’écopsychologie en trois propositions :

  • il existe un lien ontologique (ancré jusque dans les tréfonds de l’être ) entre les humains et la nature.
  • L’oubli, l’ignorance ou la destruction de ce lien conduit à des souffrances et des déséquilibre tant  pour la terre (dégradation écologique) que pour l’être humain (aliénation, mal-être, angoisse, …).
  • Restaurer en profondeur le lien entre l’être humain et la nature est l’une des clés pour guérir la terre et soigner l’humain. La santé et le bien-être des humains et ceux du reste de la nature sont donc indissociables.

L’écopsychologie serait donc nécessaire pour accomplir la transition, pour autant qu’on entende celle-ci comme un changement radical par rapport un système socio-économique productiviste et consumériste qui détruit la biosphère et qu'on admette que ce changement ne peut s’opérer qu’accompagné d’un changement du système de représentations et de valeurs qui soutient ce système. L’enjeu de transition selon la vision de l'écopsychologie n’est par conséquent pas uniquement la protection du milieu naturel mais la transformation du milieu culturel et psychologique qui détermine nos relations avec la nature.



Wikipédia:Le Bistro/7 juin 2021#Conversation sur la politique de modification des articles suite à des décisions de justice Une explication couramment avancée dans certains ouvrages récents pour expliquer le paradoxe de l'égalité des sexes est que, dans les pays plus égalitaires et plus développés, les filles et les garçons ont plus de liberté et de facilité à exprimer leurs préférences et intérêts personnels intrinsèquement distincts (10⇓-12)[69][70]. Cette explication trouve ses fondements théoriques dans la tradition de la psychologie évolutionniste, qui postule l'existence de différences innées entre les sexes, par exemple en matière de personnalité ou d'intérêts.

  1. 11 A. Falk,
  2. J. Hermle

DOI: 10.1126/science.aas9899

  1. 12 R. A. Lippa,
  2. M. L. Collaer,
  3. M. Peters

CrossRefPubMedGoogle Scholar

Lippa, R.A., Collaer, M.L. & Peters, M. Sex Differences in Mental Rotation and Line Angle Judgments Are Positively Associated with Gender Equality and Economic Development Across 53 Nations. Arch Sex Behav 39, 990–997 (2010). https://doi.org/10.1007/s10508-008-9460-8



v—ts—x- (discuter)

En 1970, il part à New York pour étudier la psychophysiologie au Brain Research Institute. Il y obtient un doctorat sur les effets électrophysiologiques des stimuli géométriques sur le cerveau humain3[71].

En 1987, il fond au Mexique l'Institut national pour l'étude de la conscience (INPEC). Il y tente d'appliquer la méthode scientifique dans des études sur le chamanisme et d'autres états de conscience non ordinaires. La théorie synergique de Jacobo Grinberg propose qu'il existe un continuum d'espace énergétique et que l'homme ordinaire ne peut en percevoir qu'une partie[72]. Le résultat de ce processus serait ce que chacun comprend comme étant "la" réalité.

L'affaire Mia est une affaire criminelle française qui a pour point de départ l'enlèvement sans violence de Mia Montemaggi, fillette âgée de huit ans, par trois hommes dans la maison de sa grand-mère, le mardi .

Ce kidnapping s'est déroulé sur le territoire de la commune de Les Poulières, un petit village situé dans un secteur rural et montagneux du département français des Vosges, dans la région Grand-Est. Cet enlèvement a très rapidement entrainé le lancement d'une opération Alerte enlèvement par les autorités judiciaires françaises.

Le , soit cinq jours après l'enlévement, la petite fille est retrouvée avec sa mère sur le territoire de la commune suisse de Sainte-Croix, dans le canton de Vaud, non loin de la frontière franco-suisse.

Au delà de cette simple affaire d'enlèvement de mineure et selon les premiers éléments de l'enquête, de nombreux protagonistes seraient également soupçonnés d’appartenir à différentes sphères complotistes, faisant l'objet d'une surveillance de la part par la direction générale de la sécurité intérieure. Un mandat international est lancé à l'encontre d'un supposé organisateur de l'enlèvement, un français réfugié en Malaisie.

Chronologie des faits modifier

Le , une fillette de huit ans, prénommée Mia, a été enlevée par trois hommes vers 11 h 30 sur le territoire de la commune de Les Poulières, au sud-ouest de Saint-Dié-des-Vosges dans le département français des Vosges.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la fillette a été soustraite de la garde de sa grand-mère, puis emmenée dans une voiture. Une description des trois hommes a été donnée par la grand-mère et son entourage. Les auteurs de l'enlèvement sont tous trois de type européen, dont deux sont âgés entre 25 et 35 ans, dont l’un serait porteur d’un tatouage en forme de croix au niveau du cou, et un troisième âgé de 45 à 50 ans.

Le dispositif Alerte-Enlèvement, lancé le soir même qui suit le kidnapping, est finalement levé vers minuit sur décision du procureur d’Épinal, sans que la fillette ne soit retrouvée[73].

Après de nombreuses arrestations successives de plusieurs personnes venues d'horizons différents et qui ont planifié cette opération en commando, il s'avère que ces individus appartiennent à la mouvance survivaliste. Finalement le au matin, la petite fille et sa mère sont retrouvées dans un squat situé sur le territoire de la commune suisse de Sainte-Croix[74].

Enquête judiciaire modifier

 
Palais de justice d'Épinal, lieu de la première conférence de presse lié à l'affaire Mia.
 
Le territoire de la commune suisse de Sainte-Croix (carte) est situé à proximité immédiate de la frontière française.

Dés le , Nicolas Heitz, le procureur de la République d’Épinal a tenu une conférence de presse au palais de justice de la ville afin de revenir sur les conditions de la disparition de Mia.

Le magistrat confirme les premières informations données sur l'enlèvement et précise en outre que des documents avec l’en-tête du ministère de la justice ont été présentés par les ravisseurs à la grand-mère, afin de mettre en confiance cette femme titulaire du droit de garde de la petite fille. Ils lui assurent devoir emmener la petite Mia à un lieu de rendez-vous où elle pourra rencontrer sa mère. Peu de temps après leur départ, la grand-mère, prise d’un doute, s'informe auprès des autorités et alerte la gendarmerie. Selon les premiers éléments de l'enquête, la mère de Mia, Lola Montemaggi, pourrait être impliquée dans l'enlèvement. Le procureur annonce également, ce même jour, que la perquisition, menée ce matin à son domicile d’Épinal, n’a pas permis de retrouver cette maman à qui les autorités judiciaires avaient retiré la garde de l'enfant, jugeant son comportement inquiétant vis-à-vis de l'enfant[75].

Le , quatre hommes ont été interpellés par le GIGN. Ils sont suspectés d'avoir participé à l'enlèvement de Mia. L'un deux, âgé de 58 ans, a été interpellé à son domicile parisien. Un autre homme a été interpellé aux Lilas (Seine-Saint-Denis) et un troisième à Varreddes (Seine-et-Marne). Après leur interpellation, ils ont été transférés à Épinal où ils sont entendus par les gendarmes de la SRPJ de Nancy[76].

Le , la DGSI annonce que son service suivait de près les suspects identifiés et arrêtés par la police qui se révèlent faire partie de la mouvance complotiste et survivaliste et qu'elle avait été déjà alertée par un projet d'enlèvement d'enfant du côté d'Épinal. Une enquête préliminaire pour « association de malfaiteurs terroristes » les visait déjà[77].

Le , le procureur de Nancy, François Pérain, précise qu'un cinquième homme, âgé de 43 ans, suspecté d'avoir participé à la préparation de l'enlèvement de la petite fille, est appréhendé et doit être déféré le avec les quatre autres suspects interpellés les jours précédents[78].

Le , en fin de matinée, suite à la découverte du lieu où était caché la petite fille et à sa récupération par la police suisse, le procureur de la République de Nancy annonce au cours d'une brève allocution que « les investigations ont permis de déterminer que Lola Montemaggi avait passé une première nuit en Suisse, dans un hôtel à Estavayer-le-Lac, dans le canton de Fribourg, avant d’être hébergée par une femme à Neuchâtel et d’être déposée à cet immeuble squatté à Sainte-Croix. » Les investigations ont été menées par la police fédérale suisse en collaboration avec la police cantonale vaudoise, agissant sous l'autorité du parquet de Fribourg[79]. Sa mère a été immédiatement placée en garde à vue par les autorités judiciaires suisses[80].

Lors d'une nouvelle conférence de presse organisée dans l'après-midi, le procureur de Nancy précise que l'enlèvement de l'enfant a été extrêmement bien préparé, digne d'une opération militaire et avait même reçu un nom de code : « Lima »[81].

Les autorités françaises ont demandé l'extradition de la mère de la fillette et du ressortissant français arrêtés en Suisse. Selon le procureur du canton de Fribourg, Jean-Luc Mooser, le retour en France de Lola Montemaggi et de son complice pourrait être rapide, si ceux-ci ne s'opposent pas à cette extradition, opposition qui pourrait allonger la période de présence dans ce pays. La protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) a été mandatée pour rapatrier l'enfant en France et le confier à sa grand-mère, qui avait déjà obtenu sa garde[82].

Le 23 avril, lors d'un point presse, le procureur de la République de Nancy précise qu'une femme originaire de l'Aude a été mise en examen pour « association de malfaiteurs en lien avec un crime » et placée sous contrôle judiciaire. En outre, la mère de Mia a été extradée ce même jour, tout comme l'autre ressortissant français qui l'a aidée à enlever sa fille[83].

Le 26 avril, le faux éducateur qui s'était présenté au domicile de la grand-mère avec deux autres hommes et surnommé « Basile » est, à son tour, interpellé, mis en examen et placé en détention provisoire. Une seconde personne, prénommé Bruno, est présenté au juge des libertés et de la détention qui doit statuer sur la mesure à prendre à son égard[84].

Profil des suspects modifier

La mère modifier

Dés le début des faits, le procureur de la République considère que la mère de la fillette est très probablement la commanditaire de l'enlèvement, même si elle n'était pas présente lors du déroulement des faits[85]. Selon le témoignage d'une amie, cette femme de 28 ans, prénommée Lola, admiratrice et supportrice du mouvement des gilets jaunes, prend la décision de prendre en charge la scolarité de sa fille à son domicile du fait de son rejet de la société[86].

Lors d'une interview diffusée sur BFMTV, son père confirme ce fait mais précise que cette prise en charge lui a été refusée. il précise en outre qu'un membre de sa famille a fait un signalement en décembre auprès des services sociaux, qui ont aussitôt prévenu le parquet d'Épinal[87]. Lors de sa conférence de presse, le procureur Nicolas Heitz précise que la mère de famille « refusait toute collaboration avec les services éducatifs et souhaitait vivre en marge de la société »[88].

Personnes « anti système » modifier

Les quatre hommes (surnommés « Jeannot », « Le Corbeau », « Bruno » et « Pitchoune »), suspectés d'être les complices de cette mère, sont présentés par les enquêteurs comme appartenant à la mouvance survivaliste et pourraient être proches des milieux de « l’ultra-droite »[a],[89]. Proches des milieux complotistes et antisystèmes, ces quatre personnes font également l'objet d'une enquête préliminaire menée par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour association de malfaiteurs terroriste[90]. Un cinquième homme (surnommé « Roméo »), puis un sixième (« Bouga ») ont également été interpellés suite à la découverte du lieu où s'était réfugiée la mère de l'enfant[91]. Une retraitée résidant dans l'Aude, prénommée « Harmonie », a également été mise en examen le 23 avril pour « association de malfaiteurs en lien avec un crime » et placée sous contrôle judiciaire[92]. Le 24 avril, Jérôme S., alias « Basile », le dernier kidnappeur présumé encore recherché, est arrêté et placé en détention le 26 avril[93]. Il est accusé d'avoir participé à l'organisation de l'enlèvement, et de s'être fait passer pour un des deux faux travailleurs sociaux le 13 avril. Ancien « coach mental », il appartient également à la mouvance antisystème et complotiste.[94].

Organisateur supposé modifier

Présenté comme un gourou, ou, du moins comme un influenceur, le nom de Rémy Daillet-Wiedemann, ancien président du MoDem en Haute-Garonne (parti dont il a été exclu en 2010 et fils de l'ancien député UDF, puis UDC, Jean-Marie Daillet[95]), exilé depuis plusieurs années à Langkawi en Malaisie[96], est évoqué par la presse qui annonce que cet homme fait l'objet d'un mandat d’arrêt international par la justice française qui le soupçonne d’être l'organisateur du kidnapping de la fillette[97],[98].

Personnalité de la sphère complotiste, cet homme est présenté par le juge d'instruction chargé de l'enquête comme ayant « un rôle dans l'organisation de l'enlèvement et aurait ainsi fourni les coordonnées de l'accueillante de la mère et de l'enfant à Neuchâtel »[99].

Mise en cause conspirationniste de l'aide sociale à l'enfance modifier

Le grand-père de l'enfant kidnappé, ainsi que le complotiste Rémy Daillet-Wiedemann, considéré par la justice comme le supposé organisateur du rapt, mettent, tous les deux, en cause les services départementaux de l'aide sociale à l'enfance qu'ils considèrent comme pratiquant des « placements abusifs d’enfants », alors que ces mineurs sont confiés à ces services sur décision de justice[100],[101]. Les accusations autour des placements d'enfants sont assez rependues dans les sphères complotistes, notamment dans la mouvance QAnon[102]'[103]'[104].

Couverture médiatique modifier

Le lancement de la procédure Alerte enlèvement par le ministère de la justice française fait connaître cette affaire dans les médias. Un grand nombre de chaînes de télévision en France affiche un bandeau déroulant présentant le détail du kidnapping ainsi que le signalement de la fillette et de ses présumés ravisseurs, ainsi que celui de sa mère. Au bout de treize heures qui marquent la fin de la procédure, plus de trente signalements ont été effectués auprès des autorités judiciaires et les chaînes de télévision retirent le bandeau d'alerte[105].

Durant les jours suivants, le procureur entretient la médiatisation de l'affaire en précisant que même si les ravisseurs présumés ont été interpellés, l'enfant est toujours introuvable et présentée comme étant en danger. Il annonce que la photo de Mia sera diffusée dans les médias jusqu'à ce qu'elle soit retrouvée[106].

En France, la presse télévisuelle et la presse écrite évoquent l'affaire très rapidement, relayées par des médias d'information étrangers, telles que le site de RTL Television, en allemand[107], la BBC[108], la Tribune de Genève[109] ou La Libre Belgique[110].

Au-delà de ce simple kidnapping, la particularité des ravisseurs et de leurs complices se déclarant en fait plutôt « contre l'État, contre la dictature sanitaire, contre la vaccination[111] », tous assimilés, sans trop de recul, à la mouvance survivaliste, a entrainé certains médias à s'intéresser aux activités des personnes qui se préparent à une catastrophe éventuelle dans un avenir considéré comme extrêmement proche[112].



Des études interdisciplinaire faisant appel à la modélisation des comportements collectifs d’animaux commencent à révéler les principes sous-jacents de la prise de décision collective dans les groupes d'animaux, en démontrant comment les interactions sociales, l'état individuel, les modifications de l'environnement et les processus d'amplification et de désintégration de l'information peuvent tous jouer un rôle dans le calibrage de la réponse adaptative[113]. Il semblerait que d'importants points communs existent avec ce qu’on sait des processus neuronaux et que l'on pourrait apprendre beaucoup en considérant le comportement collectif des animaux dans le cadre des sciences cognitives.


À un certain niveau de description, la prise de décision collective telle qu’elle semble opérer chez des collectifs d’animaux présente de fortes similarités avec des caractéristiques essentielles des mécanismes de prise de décision au sein du cerveau [114]. Bien que de nombreux détails diffèrent, cela incite à renforcer les échanges entre les chercheurs qui s'intéressent au comportement collectif des animaux d’une part et ceux qui travaillent dans le domaine des sciences cognitives.

Ainsi, la modélisation informatique de ce qui se passe dans des comportements de regroupement chez des animaux sociaux atteste que plusieurs modes stables de comportement collectif peuvent apparaître sur la base d’exactement les mêmes formes d’interactions examinées au niveau individuel[115] .  Ce principe est strictement analogue à la multistabilité  qu’on observe pour les systèmes neuronaux, dans lesquels de multiples états collectifs (attracteurs) coexistent pour la même valeur des paramètres du système et ce sans changer le réseau neuronal [116]. Cette multistabilité des systèmes neuronaux joue sans doute un rôle pour la mémorisation et dans la reconnaissance des patterns temporels[116] . Dès lors, l’étude du comportement coordonné d’animaux évolués peut servir de source d’inspiration directe pour concevoir des systèmes artificiels collectifs comme des groupes de robots autonomes ou des algorithmes de recherche informatique massivement parallèles [117].

Une définition plus large a été proposée par Geoff Mulgan dans une série de conférences et de rapports diffusés à partir de 2006 [118][119] dans son livre Big Mind [120], qui propose un cadre d'analyse de de tout système de pensée, y compris l'intelligence humaine et l'intelligence artificielle, en termes d'éléments fonctionnels (observation, prédiction, créativité, jugement, etc.), de boucles d'apprentissage et de formes d'organisation. ), des boucles d'apprentissage et des formes d'organisation. L'objectif étaide Mulgan est ni plus ni moins de fournir un moyen de di’évaluer dpuisméliorer, l'intelligence collective d'une ville, d'une entreprise, d'une ONG ou d'un parlement.

Le terme "scientisme" apparaît au tournant du XIXième au XXième siècle, l'auteur Romain Rolland l'ayant utilisé dans sa pièce "les loups"[121]. Renan l'utilise en 1890 pour annoncer son renoncement à la foi chrétienne et sa croyance aux vertus de la science, alors que Brunetière dénonce avec le même mot le fait de souscrire au illusions de cette dernière Le biologiste Félix Le Dantec l'utilise à son tour pour définir sa foi en la sciencedans un article paru en 1911  :

C'est donc dans un contexte polémique sur les apports et limites de la science que le terme apparaît.

Le mot a été employé de manière négative dès le XIXe siècle, puis de manière positive par c qui le lança

Assez fréquemment, le terme "scientisme" est mobilisé pour évoquer une science appliquée "avec excès". Cette utilisation du terme scientisme renvoie en fait à deux sens :

  1. L'usage abusif de la science ou d'allégations scientifiques[122]. Cet usage concerne d'abord des contextes où la science pourrait ne pas s'appliquer [123] , par exemple lorsque la question traitée dépasse par sa complexité la portée "raisonnable" de la démarche scientifique, ou dans des contextes où les preuves empiriques sont insuffisantes pour qualifier de scientifique une quelconque conclusion. Cela peut procéder notamment du fait d'une vénération excessive pour les affirmations des scientifiques ou d'un empressement à accepter un résultat décrit comme scientifique court-circuitant l'esprit critique. Il peut également s'agir de la volonté d'appliquer la méthodologie des "sciences dures" et des prétentions de certitude aux sciences sociales[122], ce que Friedrich Hayek a pour sa part considéré comme étant impossible, car cette méthodologie implique souvent de déployer des efforts afin d'éliminer le facteur humain, alors que les sciences sociales (y compris son propre domaine de l'économie) sont précisément focalisées très largement sur l'action humaine.
  2. "La croyance que les méthodes de la science de la nature, ou les catégories et les choses reconnues dans ces domaines des sciences, constituent les seuls éléments nécessaires et suffisant pour répondre à toute question, qu'elle soit de nature philosophique ou autre" [124], ou que "la science, et seulement la science, décrit le monde tel qu'il est en lui-même, indépendamment de toute perspective" [125] avec comme corollaire l'élimination des dimensions psychologiques [et spirituelles] de l'expérience. Ceci amène Tom Sorell à proposer cette définition : "Le scientisme consiste à accorder une trop grande valeur aux sciences naturelles par rapport à d'autres branches de l'apprentissage ou de la culture" "[126].




Le terme générique de gouvernance partagée regroupe plusieurs modes d’organisation d’équipe ou de structure visant à réduire ou à supprimer la concentration des pouvoirs sur très peu de personnes pour les répartir parmi ceux qui réalisent le travail, autrement dit une horizontalité dans la prise décision. Ces différentes formes de gouvernance s'appuient sur la confiance en la capacité de chacun à s’orienter et à prendre des décisions par soi-même dans son domaine d’action.

Le terme « gouvernance » renvoie à l’exercice du pouvoir, le terme « partagé » renvoie au fait de le répartir parmi plusieurs protagonistes. Certaines variations de gouvernance partagée sont formalisées, d’autres non.

En tant que variation formalisée, il est possible de citer la sociocratie, la gouvernance cellulaire, l’entreprise libérée et l'entreprise opale


parfois aussi appelée gouvernance participative [127]

Pour Benoît Lévesque, la gouvernance partagée cherche à dépasser à la fois les limites de la hiérarchie et celle du marché en impliquant une pluralité d’acteurs dans les processus de prise de décision. Pour lui, cela implique d'être attentif à trois points : l'identification des parties prenantes qui doivent participer aux prises de décision, la prise en compte de la diversité des logiques et des mécanismes de coordination, une identification claire de ce en quoi constitue l’intérêt général pour ces parties prenantes et

Principes modifier

Selon Bretonnes, cinq principes interviennent dans ce mode de gouvernance ssBret:

  • Exercer les pratiques sociales en intelligence collective et systémique ;
  • Élever le niveau de conscience par le développement personnel ;
  • Éviter le fondamentalisme de l’horizontalité ;
  • Articuler l’émergence d’une verticalité sacrée pour le bien commun ;
  • Élaborer la gouvernance partagée comme raison d’être économique et politique pour le troisième millénaire.

Selon Bertand Michotte qui s'inspire des formations données par l'Université du Nous, six points sont à considérer

  • Un “Nous” fort : le collectif doit être soudé afin de rendre prééminents la confiance et la collaboration.
  • Des individus souverains : chacun des individus constituant le collectif doit être assuré de sa légitimité à affirmer son libre-arbitre. Ceci implique que chacun se sente libre et légitime de s'exprimer, en particulier quand il est en désaccord, fut-il minoritaire.
  • Des rôles clairs et bien délimités : la gouvernance partagée n'implique pas que le collectif décide tout. Des délégations sont mises en place et elles sont assumées par les individus ou les sous-groupes qui en ont la charge.
  • Des process qui neutralisent les égos : l'hubris au sens donné par Caillé dans le second manifeste du convivialisme doit être neutralisé.
  • Un pilotage par tensions : ce sont les tensions qui signent des conflits de logique qu'il importe de lever ss5 https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=DC%2015.
  • Une structure: celle-ci est souvent organisée en cercles reliés entre eux.


Exemple

vu comme un moyen de développer de formes de gestion du foncier à la fois plus solidaires et respectueuses de l'environement [128]

repenser l'économie collaborative pour renforcer l'attractivité et revitaliser les centres des villes moyennes[129]


Les récentes recherches menées par le Lab OuiShare x Chronos au travers de l’exploration Sharitories montrent que les pratiques issues de l’économie collaborative peuvent constituer un levier puissant de lien social et d’attractivité économique. Ces pratiques englobent quatre grands piliers : la consommation collaborative ; la production distribuée ; le financement participatif ; et la gouvernance partagée.


  1.   Conserver il y a des sources à foison et je pense que l’article commençait à être correctement lisible quand il a été supprimé (je suis arrivé trop tard pour que ma contribution soit prise en compte et je le regrette).

qlqs sources : Le monde 11 septembre 2020 A l’Agence nationale du sport, les syndicats de salariés regrettent un manque de « gouvernance partagée » https://www.lemonde.fr/sport/article/2020/09/11/a-l-agence-nationale-du-sport-les-syndicats-de-salaries-regrettent-un-manque-de-gouvernance-partagee_6051832_3242.html

Ouest France Vignoble de Nantes. Le Loroux-Bottereau installe une gouvernance partagée https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-loroux-bottereau-44430/vignoble-de-nantes-le-loroux-bottereau-installe-une-gouvernance-partagee-7031096

16 juil. 2020 le journal toulousain.fr Toulouse Métropole se dote d’un mode de gouvernance partagée

La Libre Belgique Consultation citoyenne : Get Up Wallonia, une nouvelle étape vers la gouvernance partagée 9 déc. 2020 lalibre.be

Les DNA juin 2020 Municipales à Strasbourg : Catherine Trautmann veut un projet de territoire cohérent Elle veut réunir l’ensemble des quartiers à l’échelle de la Ville et prône une gouvernance partagée à l’Eurométropole https://www.dna.fr/politique/2020/06/24/catherine-trautmann-veut-un-projet-de-territoire-coherent/

Kaizen La Voix des Oasis - Ecoravie et la gouvernance partagée

https://kaizen-magazine.com/sound/la-voix-des-oasis-ecoravie-et-la-gouvernance-partagee/

Sur google scholar :

Herimanitra, R. V., Holy, M. R., & Jean, M. R. Gouvernance des Aires Protégées à Madagascar: Cas de la Nouvelle Aire Protégée du Corridor Forestier Fandriana-Vondrozo Etude de faisabilité de la structure de gouvernance partagée.

Dobremez, L., Nettier, B., Legeard, J. P., Caraguel, B., Garde, L., Vieux, S., ... & Della-Vedova, M. (2014). Les alpages sentinelles. Un dispositif original pour une nouvelle forme de gouvernance partagée face aux enjeux climatiques. Journal of Alpine Research| Revue de géographie alpine, (102-2).

Masson, D. (2001). Gouvernance partagée, associations et démocratie: les femmes dans le développement régional. Politique et sociétés, 20(2-3), 89-115.

Cardinal, L., Lang, S., & Sauvé, A. (2005). Apprendre à travailler autrement: la gouvernance partagée et le développement des communautés minoritaires de langue officielle au Canada. Ottawa, Chaire de recherche sur la francophonie et les politiques publiques.

Lévesque, B. (2007). Une gouvernance partagée et un partenariat institutionnalisé pour la prise en charge des services d'intérêt général. CRISES, Centre de recherche sur les innovations sociales. Gourgues, G., & Sainty, J. (2020). Créer deux, trois… mille Saillans? Des collectifs citoyens face à la conquête du pouvoir municipal. Mouvements, (1), 70-78.

En lien avec l’expérience de Saillans https://nos-communes.fr/gouvernance/introduction-a-la-gouvernance-partagee/

et si on élargit à gouvernance participative, ce qui me semble une bonne idée:

https://nos-communes.fr/gouvernance/la-gouvernance-collegiale-et-participative-de-saillans/

Schneider, H. (1999). Gouvernance participative: Le chaînon manquant dans la lutte contre la pauvreté.

Tavernier, P. (2014). La sociocratie, un mode de gouvernance participatif. La tribune fonda, (224).

Yates, S. (2015). Relations publiques et gouvernance participative: une vision partagée du «vivre ensemble»?. Communiquer. Revue de communication sociale et publique, (15), 107-121.

Rijpens, J. (2010). La gouvernance dans les entreprises sociales. MERTENS, S., La gestion des entreprises sociales, Edi. Pro, Liege, 219-286.

Cultiaux, John, and Raphaël Darquenne. "Quelle gouvernance pour de nouveaux défis? Pour une gouvernance participative." (2016).

Un colloque avec actes publiés sur le thème à Lausane en 2014

La gouvernance participative dans les coopérativesColloque interdisciplinaire sur les défis et les bonnes pratiques en matière de gouvernance participative.

Une thèse au Québec

Paradis, M. M. (2012). La gouvernance participative au service de la mission des parcs nationaux du Québec (Doctoral dissertation, Université de Sherbrooke.).

Vertsaxo (discuter) 12 mars 2021 à 17:25 (CET)


Catégories de Modèles théoriques du technostress modifier

Lynn Atanasoff and Melissa A. Venable considèrent que les modèlisations et définitions du technostress peuvent être réparties en trois grandes catégories : celles qui s’appuie sur les théories du stress transactionnel et du stress perçu, celles qui s’appuient sur la biologie et la physiologie, et les modélisations en termes de santé au travail[130]. Ces catégories fournissent un cadre pour discuter de l'impact potentiel du technostress sur le parcours professionnel, les transitions et la prise de décision des individus, ainsi que sur les résultats organisationnels.


Les premiers peuvent par exemple prendre appui sur le modèle job-demande modèle,le modèle demande-autonomie au travail ou le modèle transactionnel de Lazarus et Folkman[130].


Selon les seconds, Lorsque les situations stressantes ne sont pas résolues et que les systèmes de régulation physiologiques sont activés de façon chronique, il en résulte un effet cumulatif d'usure. Les états de tension non résolus vécus de manière répétése entraînent des dommages ou une fatigue qui compromettent la santé[131]. L'utilisation des TIC peut ainsi augmenter la fréquence cardiaque, la pression sanguine et la production d'hormones de stress [132](par exemple, Riedl et al., 2012 ; Riedl, Kindermann, Auinger et Javor, 2013), ou modifier le système immunitaire, le sommeil et l'activité gastro-intestinale. Il est prouvé que les gens développent des réactions physiologiques de ce type aux TIC avant de percevoir leur situation comme stressante(p. ex., Hjortskov et coll., 2004 ; Riedl, 2013)[130].


Le technostress lié aux TIC est autssi abordé et expliqué par les théories des ressources de la santé au travail. Ces modèles prennent en considération de multiples ressources (p. ex. le statut socioéconomique, le soutien environnemental, économique, personnel et social) qui interagissent avec les exigences, ici véhiculées par les TIC. Les ressources de différentes origines peuvent être gagnées ou perdues de fait du techostress, entraînant la personne dans une spirale positive ou négative. Par exemple, des événements négatifs engendrent ou accélèrent d'autres cycles de perte de ressources (Hobfoll, 2001). Le modèle Ressources-Expériences-Demandes (RED) de Salanova[133] fournis ainsi les fondements théoriques qui permet de modéliser le processus de technostress comme une spirale négative aboutissant à une détérioration qui dégénère[130].[134]

Premiers travaux modifier

Le psychologue clinicien Criag Brod (1984) a introduit le terme technostress au début des années 1980, le définissant comme un trouble psychologique ressenti par les individus lorsqu'ils interagissent avec la technologie[135][136]. Le technostress est défini par la suite comme " tout effet négatif sur les attitudes, les pensées, les comportements et la psychologie de l'être humain qui résulte directement ou indirectement de la technologie "[137] . Brod a précisé que le technostress peut se manifester de multiples façons, comme la confusion, la peur, la technophobie ou des symptômes physiologiques, mais que le symptôme principal est l'anxiété. L'état émotionnel négatif du technostress peut ralentir le temps de réponse et interrompre les habitudes de travail normales. Les personnes technostressées ont des attitudes et des sentiments négatifs envers la technologie[137]. Les variables qui influent sur le technostress chez les utilisateurs sont selon Brod l'expérience, l'âge, le contrôle perçu et le climat organisationnel. Weil et Rosen ont déclaré que le technostress est un problème d'adaptation où les individus sont incapables de faire face aux ajustements à la technologie tels que les exigences physiques, sociales et cognitives liées à l'utilisation de la technologie. Dans la littérature, le technostress est aussi au début appelé anxiété informatique, phobie informatique ou encore stress lié à l'utilisation inconfortable de l'ordinateur (Weil et Rosen, 1995)[138].


En mars 2021, Coco sort un nouveau livre, Dessiner encore où elle raconte sa vie depuis l'attentat à Charlie Hebdo de janvier 2015[139].


La question des relations que la gauche devrait ou pourrait avoir avec les mouvements islamistes est largement discutée en 1994 par Chris Harman, dirigeant d'un parti trotskiste anglais[140][66] parfois présenté à tord comme précurseur de l'islamo-gauchisme.

Le livre «  Going Dirty : The Art of Negative Campaigning »


Lorsque les résultats des élections présidentielles de 2012 ont été publiés, annoncant la victoire d'Obama, il considère déjà que les électeurs républicains ont été floués et publie sur son compte twitter des appels à refuser le résultat :« Nous ne pouvons pas laisser faire cela. Nous devrions marcher sur Washington et mettre fin à cette parodie. »[141]

Lors des primaires républicaines démocrates, alors que Ted Cruz l'a devancé dans l'Iowa, il crie à nouveau à la fraude « au vu de la fraude commise par le sénateur Ted Cruz au cours du caucus de l'Iowa, soit une nouvelle élection devrait avoir lieu, soit les résultats de Cruz devraient être annulés »


Quelques jours avant l'élection présidentielle de 2020, un développeur de logiciels connu pour avoir fait à plusieurs reprises des déclarations douteuses, Dennis Montgomery, affirme qu'un programme du nom de "SCORECARD", fonctionnant sur un superordinateur du gouvernement dont il dit qu’il s’appelle "HAMMER", sera utilisé pour faire transformer des votes en faveur de Trump en vote pour Biden sur les machines de vote. Une des avocates particulièrement en vue de l'équipe juridique de Trump, Sidney Powell, relaie cette hypothèse sur lors de deux émissions du groupe Fox News, d’abord Lou Dobbs Tonight dès le 6 novembre [142][143] , et à nouveau le 8 novembre, dans une autre émission prétendant qu’elle dispose de "la preuve que c'est exactement ce qui s'est passé" ."[144]. Elle affirme dans la foulée que la CIA a ignoré les avertissements concernant le logiciel, et demande à Trump de licencier la directrice de la CIA pour cette « faute », Gina Haspel [145] . Christopher Krebs, directeur de la Cybersécurité et de l'Agence de sécurité des infrastructures (CISA), qualifie les allégations relatives au superordinateur de "non-sens" et de "canular". Cela l’amène à qualifier, au nom de la CISA, l'élection de 2020 comme "la plus sûre de l'histoire américaine", à démentir l’existence de la moindre  "preuve qu'un système de vote ait supprimé ou perdu des votes, changé des votes ou été compromis de quelque manière que ce soit" [146][147] . Quelques jours plus tard, Trump licencie Krebs par tweet, en affirmant que l'analyse de Krebs était "très inexacte".

Lors d'une conférence de presse le 19 novembre, Powell affirme, de nouveau sans preuve, qu'un complot communiste international a été mis en place par le Venezuela, Cuba, la Chine, Hugo Chávez (décédé en 2013), George Soros et la Fondation Clinton, pour truquer les élections de 2020[148]. Elle allègue également que le dispositif de vote Dominion permet "de définir et d’exécuter un algorithme qui a probablement été utilisé dans tout le pays pour prendre un certain pourcentage des votes désignant Trump comme président et les comptabiliser pour Biden" [149]. La source de nombre de ces affirmations semble être l'organe de presse d'extrême droite One America News Network (OANN) [150] [151]. Elle relaie également une théorie du complot notamment propagée par le député Louie Gohmert et l'OANN : des résultats de vote exacts auraient été transmis au bureau allemand de la société espagnole de vote électronique Scytl, où ils auraient été traités et auraient révélé des victoires écrasantes de Trump dans plusieurs États (notamment des victoires peu plausibles de Trump dans des bastions démocrates comme la Californie, le Colorado, l'État du Maine, le Minnesota et le Nouveau Mexique), après quoi un serveur de cette société aurait été saisi lors d'un raid de l'armée américaine. L'armée américaine et Scytl ont réfuté ces affirmations : Scytl signalant en outre qu’elle n’a plus de bureaux en Allemagne depuis septembre 2019 et ne comptabilise aucun vote américain [152].

Dans une interview accordée à Newsmax le 21 novembre, Powell accuse nommément le gouverneur républicain de Géorgie, Brian Kemp, d'être "dans le coup" et évoque des irrégularités financières de celui-ci [153] [154]. Powell laisse entendre que la fraude aurait empêché Doug Collins d’être qualifié dans la course au Sénat de Géorgie, lors des primaires générales non partisanes de novembre 2020 au bénéfice de Kelly Loeffler [155].

Elle a également affirmé que le Parti démocrate avait déjà utilisé des machines truquées de Dominion pour vaincre Bernie Sanders lors des primaires de 2016, et que Sanders l'avait appris mais qu'il s'était tu [156] . Elle déclare être en capacité de faire "sauter" la Géorgie dans un procès qu’elle prédit comme "biblique" [157] . Powell suggère que les candidats "ont payé pour que le système soit truqué" en leur faveur. Sur la base de ces affirmations, Powell a appelé les parlements d'États contrôlées par les républicains des swing states à ne pas tenir compte des résultats des élections et à nommer des grands électeurs "loyaux" qui voteraient pour réélire Trump, sur la base de l'article deux de la Constitution. Le Washington Post rapporte que le 5 décembre, Trump demande effectivement à Kemp de convoquer une session spéciale du parlement géorgien à cette fin, ce que Kemp a refusé. Trump fait également pression sur le président de la Chambre des représentants de Pennsylvanie, Bryan Cutler, pour qu'il annule le résultat et désigne des électeurs favorables à Trump, mais Cutler a refusé, disant que le parlement d’état n'a pas le pouvoir de modifier la liste des grands électeurs.

Des chaines de télévision conservatrices ont relayé ces allégations sans fondement de fraude liées aux machines de vote, ce qui a amené Smartmatic, une société accusée de complicité avec Dominion, à leur envoyer une demande formelle de rétractation assortie de menaces de poursuites judiciaires. L'animateur de Fox News, Lou Dobbs, s'était exprimé ouvertement pendant son émission pour soutenir les allégations, mais le 18 décembre, son émission diffuse un segment vidéo discréditant les allégations, et Lou Dobbs lui-même n’ajoute aucun commentaire. Les animatrices de Fox News, Jeanine Pirro et Maria Bartiromo, qui avaient également soutenu ouvertement les allégations, diffusent dans leurs émissions le même segment vidéo pour démentir les allégations les deux jours suivants. Smartmatic avait exigé que les corrections "soient publiées à plusieurs reprises" en prime time pour "faire correspondre l'attention et l'audience visées avec les publications diffamatoires originales". Dominion envoie une lettre similaire à Sidney Powell, lui demandant de se rétracter et de conserver tous les documents pertinents ; suite à quoi l'équipe juridique de Trump ensuite demande à des dizaines de membres de son personnel de conserver tous les documents pour tout litige futur.

L'INRS reprend de la DARES quelques chiffres-clé permettant de situer les risque psychosociaux et la pénibilité du travail en France

  • 45 % des actifs occupés déclarent devoir (toujours, souvent) se dépêcher
  • 25 % déclarent devoir cacher leurs émotions, faire semblant d’être de bonne humeur (toujours, souvent)
  • 25 % disent devoir faire appel à d’autres en cas d’incident
  • 30 % signalent avoir subi au moins un comportement hostile dans le cadre de leur travail au cours des 12 derniers mois
  • 10 % disent devoir faire des choses dans leur travail qu’ils désapprouvent
  • 25 % craignent de perdre leur emploi



Allégation de fraude de la part du camp Trump

Pendant la campagne, le soir de l'élection[158] [18] et après que les Démocrates aient été déclarés vainqueurs[[159]19], Trump et de nombreux Républicains ont fait des déclarations sans aucune preuve visant à "renverser le résultat del'élection"[160] [20]. Les responsables des 50 États ont pourtant déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de fraude ou d'irrégularités systématiques dans leur État[161] [21]. Les agences fédérales chargées de la sécurité des élections ont rapidement déclaré que l'élection était "la plus sûre de l'histoire américaine"[162][163] [22][23][24].

À plusieurs reprises, Trump a néanmoins déclaré être le vainqueur [164][25][26].

La campagne Trump et ses alliés se sont engagés dans de nombreuses tentatives pour renverser les résultats de l'élection en déposant des dizaines de recours judiciaires dans plusieurs États, dont la plupart ont été abandonnés ou rejetés par les tribunaux en charge de les examiner[165] [27][28]. Ils ont en outre répandu des théories d’inspiration conspirationniste alléguant d’une fraude massive, et refusé de coopérer avec la transition présidentielle pendant plus de deux semaines[166] [29].

Bien que les principaux médias aient annoncé l'élection de Biden le 7 novembre, Emily W. Murphy, qui en tant que chef de l'Administration des services généraux (GSA) est chargée de gérer le processus de transition présidentielle pour l'administration sortante, a dans un premier temps refusé de reconnaître officiellement Biden comme président élu, ce qui a empêché le processus officiel de transition de commencer [167] 30]. Le 23 novembre, la GSA a reconnu Biden et Harris comme vainqueurs et a déclaré que l'administration sortante allait commencer le processus officiel de transition. M. Trump a alors déclaré qu'il avait demandé à son administration de "faire ce qui doit être fait" mais a indiqué qu’il continuait néanmoins la bataille judiciaire[168].



les qlqs thèmes en rapports avec organisations horizontales


Flat organization modifier

De Wikipedia

(Redirigé depuis Self-managing team) Sauter à la navigation Sauter à la recherche A flat organization (also known as horizontal organization) has an organizational structure with few or no levels of middle management between staff and executives. An organization's structure refers to the nature of the distribution of the units and positions within it, also to the nature of the relationships among those units and positions


dans wikipedia français : Community organizers (reécrit par Adrien Roux)


Workers' self-management modifier

This article is about the type of organizational management. For other uses, see Self-management. Workers' self-management, also referred to as labor management and organizational self-management, is a form of organizational management based on self-directed work processes on the part of an organization's workforce


Collaborative leadership modifier

De Wikipedia

This article appears to contain a large number of buzzwords. There might be a discussion about this on the talk page. Please help improve this article if you can. (February 2012)

Collaborative leadership is a management practice which is focused on leadership skills across functional and organizational boundaries.

https://en.wikipedia.org/wiki/Socialism#Self-managed_economy

Self-managed economy modifier

Main articles: Decentralised planning, Economic democracy, and Workers' self-management A self-managed, decentralised economy is based on autonomous self-regulating economic units and a decentralised mechanism of resource allocation and decision-making. This model has found support in notable classical and neoclassical economists including Alfred Marshall, John Stuart Mill and Jaroslav Vanek.


Michael Winkelman identifie quatre «modes de conscience» différents: (1) le mode de veille (2) le mode de sommeil profond (3) le mode sommeil / rêve REM (4) le mode d'intégration [27]. Selon ce cadre, de nombreux états modifiés de consciences (psychédéliques, hypnose, méditation, etc.) sont considérés comme appartenant au mode intégratif[169]. Pour Winkelman, le mode intégratif signifie que ces états ont un effet «intégrateur» sur la cognition, c'est--à-dire qu'ils permettent une meilleure communication entre les systèmes mentaux spécialisés par exemple dans la théorie de l'esprit, dans l'intelligence sociale ou l'histoire naturelle, ...[170]. Grâce à cette intégration cognitive, l'état de conscience peut permettre à celui qui y accède de résoudre des problèmes sociaux complexes ou de mieux comprendre des phénomènes naturels par exemple.


Au tournant des années 2000, des chercheurs comme l'anthropologue Michaël Winkelman proposent une grille d'approche scientifique du chamanisme qu'ils qualifient de neuophénoménologique (Wilkelman page27)[171]. L'intérêt de Winkelman pour le chamanisme n'abandonne pas les dimensions sociale et symbolique (courantes en anthropologie), mais porte aussi sur les implications des sous-bassements neurologiques de la pratique chamanique, à la fois pour les praticiens chamans et pour leurs clients. Selon Kripner et Combs, Winkelman va plus loin en posant l'hypothèse que "le chamanisme a joué un rôle fondamental dans l'évolution humaine sur les plans culturels et individuels, en particulier sur l'intégration cognitive, la pratique de guérison et les aptitudes à l'auto-transformation" [172].

K et C note que cela tranche avec le premier regard porté par des orientaux sur les pratiques chamanique, lorsqu'elles étaient assimilées à de la folie. ces deux auteurs, pour leur part considèrent comme Winkelman que les chamans sont généralement parmi les membres "les plus sains et les mieux adaptés de leur société". Et ils prolongent « Cette qualité est nécessaire pour maintenir leur capacité à discriminer entre les expériences de la vie quotidienne et celles du monde chamanique (p. 58). Contrairement à l’aplatissement émotionnel du schizophrène, le comportement chamanique se caractérise par l’expression de l’affect positif et une intensification de l’émotion. La crise initiatique, souvent décrite comme une `` forme temporaire de psychose (par exemple, Walsh, 1990) [...] peut être considérée comme une `` déconstruction psychologique et une `` expérience de croissance » ( p. 81). Selon la lecture de ces deux auteurs, Winkelman considère que les états modifiés de conscience doivent être vus comme des modes d'appréhension de la réalité complémentaires les uns des autres, chacun étant potentiellement utile dans certaines circonstances. Comme le rêve est un état de conscience qui a une utilité, la transe chamanique est un autre de ces états, dont il importe de comprendre l'utilité individuelle et collective.

Michael Winkelman,Shamanism: The Neural Ecology of Consciousness and Healing, Westport,CT: Bergin & Garvey/Greenwood, 2000, 336 pp., $65, ISBN: 0897897048 (hbk)

(PDF) Stanley Krippner and Allan Combs, The Neurophenomenology of Shamanism: An essay review. Available from: https://www.researchgate.net/publication/233494112_Stanley_Krippner_and_Allan_Combs_The_Neurophenomenology_of_Shamanism_An_essay_review [accessed Jul 07 2020].M

les chamans sont généralement parmi les membres les plus en santé et les mieux adaptés de leur société. Cette qualité est nécessaire pour maintenir leur capacité à discriminer entre les expériences de la vie quotidienne et celles du monde chamanique (p. 58). Et contrairement à l’aplatissement émotionnel du schizophrène, le comportement chamanique se caractérise par l’expression de l’affect positif et une intensification de l’émotion. La crise initiatique, souvent décrite comme une `` forme temporaire de psychose '' (par exemple, Walsh, 1990) n'est pas une caractéristique universelle du chamanisme, et lorsqu'elle se produit, elle peut être considérée comme une `` déconstruction psychologique '' et une `` expérience de croissance '' ( p. 81)

(PDF) Stanley Krippner et Allan Combs, The Neurophenomenology of Shamanism: An dissert review. Disponible sur: https://www.researchgate.net/publication/233494112_Stanley_Krippner_and_Allan_Combs_The_Neurophenomenology_of_Shamanism_An_essay_review [consulté le 07 juillet 2020].


Laurent Huguelit est un élève de Michael Harner, formé à la FSS, Olivier Chambon est psychiatre et psychothérapeute. C'est aussi en France qu'est organisé depuis 12 ans un festival international de chamanisme réunissant des chamanes de très nombreux pays [archive].

Un Festival international de Chamanisme est organisé en France chaque année depuis douze ans[173] [174] [175][176] [177].

réf

Grosso M. The Deep State of Self-Transformation. Explore (NY). 2018;14(3):234‐235. doi:10.1016/j.explore.2018.03.005

Ayahuasca Use Throughout Time: A Literature Review Auteur: Richardson, Gabriella

https://www.researchgate.net/profile/Carla_Frias2/publication/341371102_Shamanism_Its_Basic_Spiritual_Function_to_Heal/links/5ebd09ae299bf1c09abbde5b/Shamanism-Its-Basic-Spiritual-Function-to-Heal.pdf

Bruxelles - Place de la Monnaie modifier

En janvier 2020 La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a appuyé les actions de Carta Academica et Belgium4Assange, visant la défense de défendre la liberté d'expression, la liberté de la presse et du droit de savoir. Les lanceurs d'alerte Julian Assange, Chelsea Manning, Sarah Harrison et Edward Snowden ont été mis à l'honneur au moyen de la statue par de simples citoyens, des journalistes, des artistes, des organisations de défense des droits de l'homme et des syndicats. Un appel a été adressé au gouvernement belge pour qu'il agisse pour protéger Julian Assange et empêcher son extradition vers les États-Unis.

La Monnaie à Bruxelles qui accueillait l'événément a été rebaptisée temporairement Place Julian- Assange pour l'occasion[178][179].


Berlin – Alexanderplatz modifier

Le 1er mai 2015 sur Alexanderplatz, un lieu historique de Berlin, l'artiste présente publiquement la sculpture pour la première fois en présence de membres du parti Vert allemand qui ont participé à son financement[180][181]. L'artiste explique le choix des trois personnages par le fait qu'il s'agit de "trois personnes qui ont perdu leur libérté pour défendre la nôtre".

Paris – centre Georges Pompidou modifier

Le Centre Georges Pompidou Centre accueille la sculpture en septembre en face de ses batiments centre, en présence du président de Reporters sans frontières Christophe Deloire, de la lançeuse d'alerte d'UBS, Stéphanie Gibaud.

Catherine Deneuve[182] fait partie des sponsors qui ont rendu possible la venue de la statue à Paris. Elle prend la parole pour lire un texte d'Irène Frachon, qui avait dévoilé le scandale du Mediator.

Selon des chiffres du système américain de recenseiemnt des morts violentes qui collecte les morts violentes dans 17 états, 18% des personnes tuées par des représentants de l'ordre relèvent de cette forme de suicide[183].

National Violent Death Reporting System

 
Page d'accueil Mooc Zéro déchet Colibris


Mise en perspective modifier

Les violences policières Victims were majority white (52%) but disproportionately black (32%) with a fatality rate 2.8 times higher among blacks than whites. Most victims were reported to be armed (83%); however, black victims were more likely to be unarmed (14.8%) than white (9.4%) or Hispanic (5.8%) victims.

Théorie U modifier

La Théorie U est une méthode de leadership et de conduite de l'intelligence collective orientée vers la découverte et la mise en œuvre de solutions innovantes. Pour son promoteur Otto Scharmer, il s'agit de cherche à développer et mettre en œuvre des innovations de rupture en adéquation avec le besoin d'un futur radicalement différent du passé (qui a engendré les crises sociales et environnementales) sur la base d'un travail intégrant l'introspection individuelle et collective.

Otto Scharmer a créé le Presencing Institute au M.I.T. en vue de développer et diffuser la théorie U. L'auteur pose pour principe que dans ce contexte, la qualité du management dépend non des compétences du managers mais de ses états internes et de son rapport à ces états internes.

Elle est enseignée par l'universitaire et son équipe au moyen de Mooc qui rassemblent des milliers de personnes dans de multiples pays et incité à travailler en petits groupes.

Historique modifier

Friedrich (Fritz) Glasl, un spécialiste de la théorie des conflits, a publié les premiers travaux sur la théorie U avec Dirk Lemson en 1968 dans le cadre de l'Institut Pédagogique des Pays-Bas (NPI). Les deux auteurs la présentent de façon systémique à partir de 1980. Elle est alors utilisée dans le développement de l'organisation et dans le développement social. Suivant l'intérêt particulier du Dr. Glas sur la question des conflits, la méthode a aussi été explicitement développée pour gérer la conscience et les procédures associées aux dynamiques relationnelles et la résolution des conflits.

Otto Scharmer prend connaissance de ces travaux lors de sa formation à la Witten/Herdecke University

Il devient par la suite enseignant au Massachusetts Institute of Technology où il rencontre Peter Senge auteur du la cinquième discipline. Il produit en 2007 un livre consacré au sujet de la thèorie U. Scharmer intitule son laboratoire "Presencing Institue" et le dédie à la diffusion du modèle.

Depuis, plusieurs MOOC sont consacrés au sujet, rassemblant des communautés d'apprenants partout dans le monde.

 
Le Processus U de Co-sentir et co-créer — Presencing


Principes généraux - le presencing modifier

La théorie U s'adresse essentiellement à des groupes restreints, dont Otto Scharmer considère qu'ils sont la pierre angulaire du changement de paradigme que la réalité du monde moderne rend à la fois indispensable et inévitable[184]. « “What I see rising is a new form of presence and power that starts to grow spontaneously from and through small groups and networks of people” »

Scharmer propose de concevoir la théorie U comme un cheminement qui suit effectivement une forme de U. Il utilise le mot presencing pou le décrire.

Ce mot presencing correspond au bas de la courbe en U. Ce mot-valise renvoie à présence (être là dans l'instant présent) et sensing ("sentir" les choses). Inspiré par la pleine conscience bouddhiste, Scharmer considère important d'être présent à soi et au réel pour produire des solutions qui soient orientées vers le futur et le global et non vers des intérêts particuliers et le passé.

« Il s'agit d'abord "de descendre" d'un côté du U (nous connectant au monde en dehors de notre bulle culturelle), pour ensuite arriver au bas du U (nous connectant au monde qui émerge de notre intériorité) et enfin remonter de l'autre côté du U (faisant naître le nouveau dans le monde) »[185]


Au cours de ce cheminement, au bas du U, Scharmer considère que se trouve une "porte intérieure" qui nous amène à abandonner tout ce qui n'est pas essentiel. Ce processus de lâcher prise (de notre ego et de notre moi égocentré) puis de laisser venir (le futur qui veut naître et qui cherche à s'exprimer à travers nous: notre Soi transcendant) établit ce que Scharmer conceptualise comme une connexion subtile à une Source Profonde de connaissance. L'essence de la présélection est que ces deux éléments - notre soi Actuel, Transcendant et Relié et le soi lié au Futur qui veut émergence - se rencontrent au bas du U et commencent à s'écouter et à entrer en résonance l'un avec l'autre.

Une fois qu'un groupe franchit ce seuil, rien ne reste le même. Les membres individuels et le groupe dans son ensemble commencent à fonctionner avec un niveau d'énergie accru et une conviction lié à la reconnaissance de cette possibilité future. Souvent, ils commencent alors à fonctionner comme un véhicule animé par une forte intentionnalité liée à la part du futur émergent qui s'exprime en leur groupe.


Mettre en place et tenir un espace d'écoute modifier

Ce processus de cheminement commence paradoxalement par un temps d'arrêt. Une suspension. Une grande interruption. Il s'agit d'ouvrir l'espace de l'écoute (holding the space of listening). « The foundational capacity of the U is listening. Listening to others. Listening to oneself. And listening to what emerges from the collective. Effective listening requires the creation of open space in which others can contribute to the whole. » [186]

Observer modifier

Il s'agit en suite d’accueillir ce qui est là en suspendant les jugements qui nous viennent de nos conditionnements sociaux et culturels.

« The capacity to suspend the “voice of judgment” is key to moving from projection to focused and peripheral observation. »[186]

Sentir modifier

Ce n'est pas un raisonnement conscient qui va amener le changement, mais une attitude décrite comme "open Mind, Open Heart, Open Will" (un esprit ouvert, un coeur ouvert, une volonté ouverte) qui va permettre de synthétiser ce qui a été acceuilli du réel pour générer l'innovant.


En France, Décathlon s'est appuyé sur la théorie U pour construire sa vision et la promouvoir[187].

 
Theory U

Liens externes modifier

  • C. Otto Scharmer Home Page [archive] (includes print and podcasts to download)
  • Presencing Home Page [archive]
  • Change Management Blog [archive]'s Theory U entries
  • Society for Organizational Learning [archive] / Theory U (just a short blurb)
  • The U-Process for Heuristic Discovery [archive]






Spirale dynamique modifier

Toutes les pages avec « spirale » dans le titre

https://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Tubamirum/WikiOutils


R.I.

Toutes les pages avec « Carré » dans le titreLa spirale dynamique est une représentation imagée de l'évolution par stades de la conscience humaine et des systèmes de valeurs déterminant les rapports à la réalité (weltanschauung, vision du monde) développés par les humains tout au long de l'évolution.

Le concept de spirale dynamique a été développé par Don Beck et Chris Cowan sur la base des théories de Clare W. Graves et présenté en 1996 dans un livre du même nom (dernière édition 2014). Le modèle a été initialement conçu pour communiquer les idées de Graves à un public de managers, mais, de par la facilité avec laquelle le modèle permet d’appréhender la culture et la psyché des groupes humains, il a également trouvé d'autres promoteurs et cibles.

Origine du concept modifier

En 1952, un chercheur en psychologie, Clare W. Graves, débute une recherche sur ce qu’il appelle dans un premier temps la «théorie des niveaux d’existence humaine». Son objectif est de comprendre pourquoi les réactions et les motivations des humains sont si variées. En 1966, il publie une première ébauche de ses résultats, conceptualisant des niveaux de conscience organisés hiérarchiquement. Il continue à affiner son modèle et arrive en 1974 à une échelle en huit niveaux organisée en deux cycles, le premier comptant six niveaux et le second deux niveaux[188].

Pour lui, l’humanité a inventé progressivement au cours de son histoire chacun de ces niveaux et, de l’enfance à l’âge adulte, chaque être humain passe d’un stade à l’autre jusqu’à se stabiliser, le plus souvent au niveau dominant dans sa culture.  Le passage au 7ième niveau correspond pour lui à un changement beaucoup plus radical (les termes second tier - quantum leap ou saut quantique servent à qualifier ce changement) et est en cours actuellement, en raison notamment des urgences écologiques.

Beck et Cowan, deux universitaires formés par Graves, proposent dans leur livre de 1996 une représentation visuelle de ces stades sous forme de spirale de couleur[189].  Par analogie avec ce qu’on trouve dans la nature (coquillage, adn, constellations,…), ils choisissent d’utiliser une spirale pour symboliser les stades de Graves. La spirale est à la fois « Expensive, ouverte, continue et dynamique » [190].  La forme de la spirale fait pour eux aussi écho à la nature de la pensée, à la fois en évolution continue et revenant cycliquement à son point de départ pour y prendre appui. Le terme anglais spiral dynamics aurait dû produire en français le concept de "dynamique en spirale" mais a été mal traduit par le terme spirale dynamique.

Selon les mots de Graves : « The psychology of the mature human being is an unfolding, emergent, oscillating spiraling, process marked by progressive subordination of older, lower older behavior systems to newer, higher order systems as individual’s existential problems change. » [191]

Beck et Cowan déposent le terme Spiral Dynamics au National Values Center, Inc. Sous ce nom, leur société, le Spiral Dynamics Group, Inc. promeut l'usage de cette représentation pour aborder les questions de management.

Conceptions fondamentales

Se référant aux observations de Graves, la Spirale Dynamique incarne et figure la conception selon laquelle les gens passent par différents niveaux de conscience au cours de leur vie individuelle ainsi qu'au cours de l'histoire humaine. Ces stades ou niveaux font qu’ils mobilisent différentes formes de sentiments et de pensées (visions du monde) relativement incompatibles entre elles. Lorsqu’on vit dans une culture, on a pas conscience de l’existence d’autre modes d’appréhension du réel que ceux qui y prédomine, ce qui fait qu'on a tendance à considérer ceux de sa propre culture comme universels et intemporels[192]. Frédéric Laloux l’illustre en soulignant que, jusqu’au moyen âge et depuis l’antiquité, les hommes ont été convaincus que les femmes et hommes n’avaient pas le même nombre de dents. Ce n’est qu’avec l’émergence de la pensée scientifique et rationnelle puis son installation comme mode dominant d’appréhension du monde en occident qu’il nous est devenu évident « qu’il suffit de compter pour le savoir ». Laloux conclue que la pensée rationnelle, dominante culturellement actuellement n’était pas spontanée pour nos ancêtres et pose pour hypothèse que les modes de pensée qui vont à l'avenir s'imposer seront tout autant distants de nos modes de pensée actuels que la pensée rationnelle serait apparue étrange à un humain du moyen-âge ou de l'antiquité[193][192].

C’est lorsqu’ils sont confrontés à des circonstances particulièrement pressantes que les hommes s'avèrent capables de développer de nouvelles visions du monde, un nouveau cadre d’appréhension du réel, afin que de nouveaux problèmes, insolubles avec le cadre de référence ancien, puissent être traités. C’est donc l'évolution des exigences de l'environnement naturel et social et des difficultés auxquelles l’humain a à faire face qui a déterminé l’apparition successives des différents «modèles», qui existent aujourd’hui dans l'esprit des gens et déterminent leur attitude générale envers la vie ainsi que les grandes caractéristiques de leur vision du monde (voir les exemples ci - dessous ). Selon l'idée de la spirale dynamique, chacun de ces nouveaux modèles intègre tous les modèles précédents, du moins dans le cas d’une expression saine du niveau de la spirale.

 
Représentation synthétique de la spirale selon Maththieu Van Niel. CC By SA

Selon Beck et Cowan, ces modèles conceptuels sont organisés en « mèmes de valeur » (abréviation VMeme) . Le mème est l’équivalent sur le plan culturelle du gène biologique.  Il dénote un certain contenu de conscience (par exemple une pensée ou dans ce cas-ci une vision intégrée du monde) qui est transmis par la communication et ainsi reproduit dans la communauté.

La représentation graphique permet en outre de distinguer deux versants de la spirale. Cela renvoie à un alternance d’évolution entre des systèmes de valeurs axés sur le sacrifice de soi au bénéfice du collectif et des systèmes de valeurs individualistes, privilégiant l’expression du soi[188].

Les niveaux et codes couleurs suivants sont les plus communément admis[194] [195]:

  • Beige : Mode archaïque , instinctif , déterminé pour la survie, autonomie ,

Présent depuis le Paléolithique moyen (100 000 avant JC)

Il s’agit du niveau de survie de base pour lequel est priorisée l’obtention de la nourriture, de la chaleur, du sexe et de la sécurité. La survie s’appuie sur l’utilisation des habitudes et instincts. Un soi distinct est à peine présent et l’individu ne développe pratiquement aucun effort pour le préserver. Constitution de bandes orientées vers la survie. Présent chez : les premières formes sociales humaines, les nouveau-nés, des personnes âgées séniles, des personnes touchées par la maladie d'Alzheimer à un stade avancé, des traumatisés extrêmes.

Evalué à 0,1% de la population adulte, pour 0% du pouvoir dans la société.

  • Violet : la pensée est animiste , tribaliste , magique - animiste

Présent depuis le Paléolithique moyen (50000 avant JC)

La pensée est animiste : croyance en la présence d’esprits magiques, bons comme mauvais, susceptibles d’entraîner des malédictions ou des bénédictions qui vont déterminer le cours des événements. S’organisent en tribus ethniques associée à des esprits issus des ancêtres qui maintiennent l’ordre social. C’est la parenté et les liens de sang qui établissent des liens politiques. La vision peut être dite « atomiste »: " chaque virage dans la rivière reçoit un nom, alors qu’il n’y a pas de nom pour la rivière." Prééminence des liens de sang. Présent chez les peuples organisés autour de croyances en les malédictions vaudoues, des rituels inscrits dans le sang, de l’usage de gris-gris porte-bonheur, de rituels familiaux, de croyances ethniques et superstitions; forte dans les pays du Tiers-Monde, les gangs, les équipes sportives et les «tribus» d'entreprises.

Evalué à 10% de la population, pour 1% du pouvoir.

  • Rouge : Dieux de la violence égocentriques et exploiteurs

Présent depuis 7000 avant JC BC

Première apparition d'un soi distinct de la tribu; expression de sa puissance autonome, de son impulsivité égocentrique, affirmation héroïque. Croit en l’existence d’esprits mythiques, animaux et d’hommes surpuissants. Les seigneurs féodaux protègent les subalternes en échange de l'obéissance et du travail. Apparition de structure dichotomique du pouvoir, à la base des empires féodaux où le pouvoir et la gloire sont valorisés. Le monde est vu comme une jungle pleine de menaces et de prédateurs. Conquiert, trompe et domine; profite au maximum sans regret ni remords.

Présent dans : l’enfant de deux ans qui s’affirme, la jeunesse rebelle, les rivalités de voisinages, les royaumes féodaux, les héros épiques, les méchants dans James Bond, Atilla, … Donald Trump selon la communauté intégrale est rouge.

20% de la population, 5% du pouvoir.

  • Bleu : absolutiste , obéissant , mythique , ordonné, déterminé, autoritaire

Présent depuis 3000 avant JC BC

C’est le niveau de la règle et du conformiste. La vie a un sens, une direction et un but, ce qui nous arrive est déterminés par la toute-puissance d’un Autre ou d’un Ordre. Cet Ordre vertueux impose un code de conduite basé sur des principes qui ne se discutent pas et sont invariables, délimitant le bien et le mal. Violer le code ou les règles a de graves répercussions, peut-être éternelles. Suivre le code rapporte des récompenses pour ceux qui sont de bons croyants. C’est la base des anciennes nations, construites sur une hiérarchie rigide, souvent paternaliste. Pout toute chose, il y a une bonne façon de penser. La loi et l'ordre priment; l'impulsivité se doit d’être contrôlée par le sentiment de culpabilité qui frappera celui qui transgresse; Les croyances, de type littérale, imposent une obéissance sans limite. Si le modèle est souvent religieux et absolutiste, il s’applique aussi à des modèles athées ou laïque qui refuseraient toute transgression ou divergence de vue.

Présent dans :  l’Amérique puritaine, la Chine confucéenne, la France de Vichy, les fondamentalismes religieux, les partis construits sur un patriotisme guerrier et intransigeant.

40% de la population, 30% du pouvoir.

  • Orange: le niveau de la réalisation individuelle, scientifique et rationnelle mais aussi stratégique.

Présent clairement depuis 1700  selon Wilber, (déjà en 600 après JC selon Graves et Calhoun)

À ce stade, le moi s’extirpe (à nouveau, comme rouge avant par rapport au niveau beige) de la mentalité grégaire du bleu, et cherche la vérité et le sens en termes individualistes. C’est le règne de la pensée hypothético-déductive, de la preuve administrée dans un cadre expérimental, des représentations mécanistes. C’est le règne du scientifique au sens classique. Le monde est vu comme devant se conformer au modèle d’une machine rationnelle et bien huilée. Celui qui comprend les lois de fonctionnement et les maîtrise n’hésitera pas à les manipuler pour ses propres fins. Fortement orienté vers la réalisation individuelle, en particulier traduite par des gains matérialistes. Les lois de la science devraient à terme gouverner tant la politique que l'économie et les comportements humains qui sont sensé rester rationnels. Le monde est un échiquier sur lequel les plus malins gagnent et profitent des autres.Présent dans : Les Lumières, Wall Street, les classes moyennes émergentes à travers le monde, la chasse aux trophées sportifs et olympiques, le colonialisme, l'industrie de la mode, le matérialisme, la recherche du profit du monde libéral.

30% de la population, 50% du pouvoir.

  • Vert : relativiste , personnalisé , communautaire , égalitaire

Présent depuis 1850 (bourgeonnant au début du XXe siècle)

Vert, c’est l’être sensible. Retour vers le communautaire, importance du lien humain, apparition d’une forte sensibilité écologique, de la logique du réseautage. Retour en grâce des émotions, apparition de préoccupations éthiques (à ne pas confondre avec la morale, bleue), sensibilité au corps, au féminin, à la terre. Croyance que l'esprit humain doit être libéré de la cupidité (orange), mais aussi du dogme (bleu) et de la division (rouge); les sentiments et le souci d’autrui remplacent la rationalité froide. Forte opposition à toute forme de hiérarchie; volonté d’établir des relations d’égal à égal, condition d’une authenticité relationnelle souhaitée, que des forts écarts socioéconomiques rendent impossibles. Moi ouvert aux autres, relationnel, souhait de rencontre d’autres cultures, d’autres groupes « qui ont le droit d’être comme ils sont ». Accent sur le dialogue, les relations. Construction communautaire sur la base de valeurs partagées (nous éprouvons la même chose face aux travers du monde, donc nous formons communauté). Volonté de respecter chacun qui peut entraîner une difficulté à décider ensemble en un temps court ou une tyrannie de fait du minoritaire sur le groupe.  La spiritualité (dénigrée en Orange) est revisitée comme un vecteur d’harmonie. Elle s’incarne dans le corps (bouddhisme et christ incarné), fonde de nouveaux liens où la dimension corps-esprit (vertical) et communautaire (horizontal) reprend son sens. La science classique n’est plus la seule porte d’accès à la connaissance : du fait qu’elle ne s’applique que difficilement à la vie intérieure elle est suppléée par un retour en légitimité de l’introspection et une revalorisation de l’intuition, des arts expressifs. Fortement égalitaire, anti-hiérarchie, empreinte de pluralisme, prise de conscience de la construction sociale de la réalité et donc de l’intrication du subjectif et de l’objectif. Les systèmes de valeurs sont conçus comme relativistes; ils sont propres aux cultures qui les portent. Les pratiques artistiques permettent le déploiement d’une pensée subjective et non linéaire empreinte de chaleur affective et susceptibles d’aider ceux qui s’y adonne à découvrir des dimensions cachées de la réalité.  L'esprit humain doit être libéré de la cupidité , du dogme et de la division; Les sentiments et les soins dépassent la rationalité froide; Appréciation de la terre, de Gaïa , de la vie. Contre toute hiérarchie ; Établir des interconnexions et des réseaux .

Présent dans : L’écologie profonde, la pensée postmoderne, la psychologie humaniste, la théologie de la libération, les mouvements végans et pour les droits des animaux, l’écoféminisme. En France, c’est Foucault / Derrida, Colibris et Pierre Rabhi, la mindfulness.

10% de la population, 15% du pouvoir.

  • Jaune// opale : systémique - intégratif

depuis environ 1950

Le soi est ce qu'il veut être dans le respect des autres et de la vie en général, le but n'étant pas de seulement promouvoir sa propre vie. Valorisant la pensée non duelle, capable d'intégrer et d'inclure toutes les perspectives, sans peur d'une hiérarchie saine, et donc vraiment capable de diriger[196].

Selon Laloux, c'est le stade où à la fois on commence à se désidentifier de son égo et où on est capable de mieux écouter des voix intérieures, on renonce à un besoin de contrôle comme au souci de l'apparence et de la conformité sociale. On "fait confiance à la vie" tout en étant pleinement investi, mais sans rigidité. Les échecs sont vus comme des opportunités de croissance. On cherche des espaces d'authenticité et un alignemnet à une mission de vie spécifique[192].

début du 21e siècle, on estime qu'environ 1% de la population mondiale et environ 5% des structures de pouvoir appartiennent à ce niveau.

  • Turquoise : holistique

depuis environ 1970

Un système sacrificiel égoïste à plusieurs niveaux, tissé en un système conscient.

  • Corail

Se développera à partir des exigences des conditions de vie turquoise.

Choix des couleurs modifier

Butter rapporte que Cowan a voulu distinguer des couleurs froides d'un côté, des couleurs chaudes de l'autre, respectivement pour évoquer la mise entre parenthèse du soi et son expression forte. Les couleurs auraient eu pour Cowan une signification particulière : par exemple le beige renverrait à la couleur de la savane habitée par les peuples premiers, la couleur rouge évoque la violence du moi qui veut dominer, le turquoise renvoit à la couleur de la terre vue du ciel, symbolisant l'absence de perspective terrestre[188].

Dynamique d’émergence et inclusion de la dimension spirituelle

Le concept de Spirale Dynamique est basé sur le travail de la psychologue américaine Clare W. Graves.

“I am not saying in this conception of adult behavior that one style of being, one form of human existence is inevitably and in all circumstances superior to or better than another form of human existence, another style of being. What I am saying is that when one form of being is more congruent with the realities of existence, then it is the better form of living for those realities. And what I am saying is that when one form of existence ceases to be functional for the realities of existence then some other form, either higher or lower in the hierarchy, is the better form of living. I do suggest, however, and this I deeply believe is so, that for the overall welfare of total man's existence in this world, over the long run of time, higher levels are better than lower levels and that the prime good of any society's governing figures should be to promote human movement up the levels of human existence.

«« Je ne dis pas dans cette conception du comportement adulte qu'un « style d'être », une forme d'existence humaine est inévitablement et en toutes circonstances supérieur ou meilleur qu'une autre forme d'existence humaine, qu’un autre style d'être. Ce que je dis, c'est que lorsqu'une forme d'être est en meilleure adéquation aux réalités de l'existence, alors c'est la meilleure forme de vie pour ces réalités. Et ce que je dis, c'est que lorsqu'une forme d'existence cesse d'être fonctionnelle pour les réalités de l'existence [présentes et dominantes], alors une autre forme, supérieure ou inférieure dans la hiérarchie, devient la meilleure forme de vie. Je suggère, cependant, et je le crois profondément, que, pour le bien-être global de l’humain dans son ensemble et à long terme, des niveaux supérieurs sont meilleurs que des niveaux inférieurs et que le premier objectif de toute société devrait être de promouvoir le mouvement humain vers les niveaux supérieurs de [ce modèle de] l'existence humaine. » »

- Clare W. Graves

La théorie originale de Clare Graves est connue sous le nom de «modèle cyclique émergent à double hélice du développement de systèmes biopsychosociaux pour adultes» ou plus simplement: la théorie des niveaux d'existence (ECLET). Le terme valeur mème (Vmème), introduit par Beck et Cowan n’était pas utilisé par Graves pas plus que l’usage des couleurs. Graves a utilisé des paires de lettres pour décrire chaque niveau de son modèle de développement, et il n'avait aucun rapport avec la « mémétique ». Beck et Cowan mettent l'accent sur les «états changeants» de la théorie de Graves. Ils marquent des repères sur le chemin de la transformation entre les niveaux. La théorie originale de Graves utilise un modèle à double hélice pour montrer les interrelations entre la cognition individuelle concernant les conditions de vie et le système neuronal des individus qui détermine le niveau d'existence mentale.


Cowan a voulu rester proche de la pensée de Graves et considère que la spirale dynamique fait partie de cet héritage, alors que Beck a souhaité que la spirale développe sa propre vie et continue d'évoluer après la disparition de Graves[188]. Aussi, en 2001, après que les deux chercheurs se sont séparés, Beck se rapproche de Wilber qui venait de publier a theory of everything.  Beck considère que le modèle AQAL de Wilber permet d’étendre les applications de la spirale dynamique dans plusieurs champs. La collaboration avec Wilber donne une notoriété supplémentaire au modèle de Graves et à la spirale au travers de la communauté intégrale. Beck considère qu’au-delà du modèle Gravésien, une conception intégrale de la SD est utile et légitime et parle alors de Spiral Dynamics Integral (SDI) pour décrire ce qu'il considère être une troisième évolution des notions fondées par Graves[188].

Les deux penseurs se sont par la suite éloignés, Beck réfutant l’intérêt de Wilber pour une conception de la spirale dynamique accordant une place centrale à la spiritualité et Wilber ne voyant pas l'intérêt d'approfondir les preuves de corrélats physiologiques des niveaux de conscience [188].

Certains penseurs chrétiens ont cependant voulu intégrer les stades d’évolution de la conscience de la SD à leur vision de la spiritualité. Ainsi, Sanguin pense qu'à mesure que nous atteignons des niveaux supérieurs de développement psycho-spirituel (le niveau turquoise en termes de Dynamique Spirale),  nos conceptions religieuses évoluent et qu’un croyant doit le reconnaitre et le souhaiter[197][198] .

Influences modifier

Au dleà de Graves, on voit l'influence de Ken Wilber, de Dawkins pour le concept de mème, d' Arthur Koester et sa notion de holon.

Dérives pathologies des mèmes

Don Beck et Ken Wilber (qui promeut à la fois la dynamique spirale et la théorie intégrale) croient que chaque mème de valeur peut développer des versions saines ou malsaines ( pathologiques). Ils choissisent de marquer le caractère malsain par la préposition "mean" (qui signifie à la fois moyenne et maligne en anglais); par exemple «Mean Green Meme» (MGM) ou «Mean Orange Meme» (MOM) font référence aux évolutions négatives des stades vert et orange. L'ajout du mot "Mean" est destiné à souligner que le mème orange va s'exprimer en des formes extrêmes malsaines, c'est le cas d'un capitalisme orienté vers l'exploitation outrancière d'autrui, une indiférence à la dégradation de l'environnement et un éloignement marqué vis-à-vis de valeurs éthiques et de toute sensibilité au sort des personnes. Similairement, le MGM surdéveloppe des tendances du vert et en fait des défauts, tels que des positions anti-hiérarchie et anti-concurrence sans nuance, qui auront pour résultat d'empêcher l'expression de personnes qui ne sont pas au niveau vert en niant leurs limitations ou en étant aveugle aux rapports de forces.

Le «Mean Green Meme» fait donc référence à l'idéalisation des pensées du niveau vert et à la négation des aspects positifs de pensées des niveaux orange et bleu, telle une pensée et une action prenant en compte le profit, ou simplement une vision positive des lois, des États constitutionnels et des États-nations. Selon les prévisions de Wilber en particulier cette forme d'expression du mème vert va dès lors ouvrir la voie à l'apparition et à l'instalation de «courants inférieurs» comme le niveau rouge (violence, recherche de pouvoir par l'intimidation physique, criminalité). Ceci explique la virulence de Wilber à l'égard du mème vert.

Cependant, le co-auteur de Spiral Dynamics, Chris Cowan, de même que sa partenaire, Natasha Todorovic, nient qu'il existe des preuves crédibles de l'existence du Mean Green Meme (MGM) et pensent qu'il s'agit d'une interprétation erronée de la théorie de Graves[199]. De nos jours, au dire de la communauté intégrale, les effets MGM semblent de plus en plus reconnaissables[200] et la position de Cowan et Todorovic semble mise à mal[196].

Exemples

Une personne avec une vision du monde "beige" le décrirait ainsi:

« Ma vie, c'est d'abord la survie. Je dois satisfaire mes besoins biologiques humains. Je vis - comme les autres animaux - de ce que la nature a à offrir. Mon corps me dit quoi faire. Je réagis à ce que mes sens disent à mon cerveau . "

Une personne avec une vision du monde "pourpre" pourrait la décrire ainsi:

" Ma conscience, mon expérience intérieure est diverse. Je vis dans une association sociale. Nous recherchons la sécurité de notre peuple à travers la connexion dans la famille et avec des esprits magiques. Nous avons des rituels et des cérémonies. Nous essayons de vivre en harmonie avec la nature . "

La vision du monde (redéveloppée) "rouge" (mais qui inclut les deux anciennes) peut être formulée comme suit:

«La vie est une jungle dans laquelle seuls les plus forts survivent. Je soumets d'autres personnes et la nature. Je suis immédiatement en train de suivre mes sentiments et mes pulsions et je me bats sans regrets ni sentiments de culpabilité. J'ai du respect. Bien sûr, j'appartiens à mon clan, mais je ne fais que ce qui est bon pour moi . "

Applications

En plus de la commercialisation internationale du livre du même nom, cette théorie est utilisée pour l'analyse du développement culturel , en particulier dans des régions en conflit et pour la prise de décision politique. Sur cette base, Don Beck a conseillé Bill Clinton, Tony Blair et Nelson Mandela[201][202] et a utilisé le modèle pour soutenir la transition vers une ère post- apartheid en Afrique du Sud[195]. Il a reçu un prix pour cela de l'État du Texas. La spirale dynamique a été également utilisée au Moyen-Orient[203].

Graves n'a jamais développé de test pour sa théorie. Il doutait qu'il soit possible de développer un instrument facile à utiliser capable de mesurer exactement les niveaux d'existence mentale. Il était intéressé par la question de savoir comment les gens pensent mais n'était pas intéressé à cataloguer ce que les gens pensaient ou à évaluer.

Voir aussi

  • Don Beck
  • Théorie intégrale
  • Ken Wilber

Publications

  • Don Edward Beck, Teddy Hebo Larsen, Sergey Solonin, Rica Viljoen, Thomas Q. Johns: Dynamique spirale: maîtrise des valeurs, leadership et changement . 2018, (ISBN 978-1-119-38718-3).
  • Don Beck, Christopher Cowan: Dynamique spirale: maîtrise des valeurs, leadership et changement . 1996, (ISBN 1-55786-940-5).
  • Martina Bär, Rainer Krumm, Hartmut Wiehle Unternehmen verstehen, gestalten, verändern : das Graves-Value-System in der Praxis. Gabler Verlag, Wiesbaden 2007, (ISBN 978-3-8349-0291-7) .[204]
  • Marion Coast Maker, Tilmann Haberer, Werner, Tiki Coast Maker : GOD 9.0 Where Christianity could grow spiritually, 2010, (ISBN 978-3-579-06546-5).
  • La quête sans fin. Clare W. Graves. Edité par Christopher C. Cowan, Natasha Todorovic, ECLET Publishing, Santa Barbara 2005, (ISBN 0-9724742-1-8) .
  • Rainer Krumm, Benedikt Parstorfer: Clare W. Graves: His Life, His Work , Iuniverse 2018; (ISBN 978-1532038433)




The great turning xxx modifier

Selon l'approche intégrale, nous abordons un changement radical dans nos modes de pensée. Le mode actuellement dominant est caractérisé par la prééminence de la pensée rationnelle, linéaire cartésienne.

Le mode de pensée qui émerge est qualifié soit d'aperspective, de post-rationnel, ou simplement d'intégral. Les positionnements théoriques des penseurs intégraux sont eux-mêmes construits selon ces modèles.

Les études intégrales se sont fortement appuyées sur les théories du développement: le développement des individus, le développement des cultures, le développement des nations, des écosystèmes, des biosphères, des noosphères, des planètes, du cosmos et, surtout, de la conscience. Le désir de créer un nouveau modèle et une nouvelle approche dans tous les domaines du questionnement et de l'action humaine est également essentiel. C'est une réaction, non pas un repli réactionnaire, face aux pathologies du modernisme et du postmodernisme.

Juan Branco :

e précise à toutes fins utiles que Brc (d · c · b) = Rinko87 (d · c · b) = MarceloBielsa (d · c · b) = Juan Branco lui-même, comme démontré par Hybris1984 (d · c · b) et reconnu par l'intéressé.

: le nom du compte Brancojuan (d · c · b) est assez transparent


récupéré ancien sur K Dürckheim

Dürckheim développe une conception de l'homme intégrant spiritualité et ancrage corporel. Derrière l'homme existentielle, il s'agit de se connecter à notre Être Essentiel, à la part de divin en nous. La personne humaine intègre quatre composantes : la liberté (j'ai le choix de travailler ma connexion au divin ou de m'en détourner), la relation (je ne peux exister indépendamment des autres humains, du reste de la création, de mon ancrage dans le cosmos), la capacité à rendre grâce (l'homme est appelé à bénir son existence terrestre et à exprimer sa gratitude pour ce don qu'est la vie), le développement continu (le chemin de développement personnel n'est jamais terminé : il est sans limite).

La tradition zen lui a permis de souligner l'importance de notre incarnation, le lien avec notre dimension corporelle. Nous ne pouvons évoluer vers notre Être essentiel qu'en acceptant notre connexion « vers le haut », notre relation au divin, à l'Esprit, mais aussi notre incarnation, notre lien à travers notre corps vers la création, vers le cosmos et la nature.

Dürckheim envisage quatre moyens d'être en relation avec le numineux, le divin :

  • le contact avec la grande nature, par exemple en nous laissant toucher par le silence d'une balade en forêt,
  • la rencontre avec l'art, que ce soit lorsque nous lâchons prise pour nous exprimer artistiquement, ou lorsque nous nous laissons toucher par la beauté d'une œuvre, quel que soit le sens au travers duquel nous nous connectons à elle (les sons d'une musique, la vue d'une peinture, d'une danse, le goût d'un met,...)
  • la rencontre érotique, la caresse, le contact charnel qui nous transcende
  • le culte religieux, l'action de prière.

Dürckheim, en droite ligne de la tradition zen insiste sur l'absence d' effort volontaire conscient dans la rencontre avec le divin. C'est le lâcher prise qui permet à l'Esprit de nous pénétrer et non un effort conscient qui est toujours piloté par l'être existentiel, l'égo, et fait obstacle à la rencontre avec la grâce.

En France, l'Église Catholique Orthodoxe des Gaules fait largement référence à l'œuvre de Dürkheim dans ses enseignements. En langue française, Jacques Castermane prolonge son oeuvre notamment au travers d'un centre établi dans la Drôme [2] [archive].

Au centre installé à Rütte, sa méthodologie d'accès à notre nature profonde s'appuie sur quatre piliers :

  • le travail du corps,
  • la psychologie des profondeurs,
  • la méditation et
  • l'expression artistique.


Récupéré plus récent

Graf Dürkeim adhère à une conception militariste du bouddhisme zen (Arahitogami), et organise la diffusion au Japon de la propagande nazie. En 1942, il publie en japonais à Tōkyō un livre intitulé Nouvelle Allemagne - esprit allemand.

En octobre 1945, il est arrêté par les Américains. Pendant son emprisonnement qui va durer seize mois, à la Prison de Sugamo, il pratique le zazen, ainsi que l'art du tir à l'arc.

Dürckheim revient en Allemagne seulement en 1947. Il suit une analyse didactique auprès de Leonhard Seif (de).

Il met au point les bases spirituelles de sa « thérapie initiatique », partiellement influencée par la notion de renaissance spirituelle de Julius Evola. Avec Marie Hippius, il conçoit, construit et aménage, à Rütte, près de Todtmoos, en Forêt-Noire, un « Centre de formation et de rencontres de psychologie existentielle », qui est également une école de thérapie initiatique, de psychothérapie existentielle et de psychologie transpersonnelle (Roberto Assagioli, Stanislav Grof).

Tout comme Hugo Enomiya-Lassalle, Dürckheim contribue à répandre le mouvement Zen en Allemagne. Son travail a une dimension spirituelle et psychologique centrée sur la découverte de notre connexion à l’Être, au delà de l'égo.

Il rencontre Alan Watts (1915-1973) en 1958.



message envoyé le 3 janvier à Payot à partir de leur site

Bonjour, je travaille de manière approfondie la page de Wikipédia consacrée au Chamanisme, j'aurai voulu utiliser la page de couverture d'un livre princeps publié chez Payot en 1951. Il est dans la base de données d'image de Wikipédia, il a été utilisé dans une page de wikipédia anglaise consacrée au livre. Les droits français étant différents, j'aurais voulu confirmation que c'était ok de votre point de vue. Voici le lien vers l'image que je compte utiliser https://en.wikipedia.org/wiki/File:Eliade%27s_Chamanisme.jpg



Le rituel chamanique consiste typiquement en une cérémonie ayant lieu la nuit à laquelle assiste un groupe local et au cours de laquelle le chamane interagit avec les esprits pour le compte de sa communauté ou pour l'un ou l'autre de ses membre. Au sortir de l'échange avec les esprit, le chaman explique avoir dominé les esprits contraire avec l'aide de ses alliés spirituels. Durant le cérémonial, il danse frénétiquement, parfois pendant des heures avec l'accompagnement de tambours, de hochets, de chants et de chants. Il n'est par rare que la cérémonie se termine alors que le chaman s'effondre, épuisé par son passage dans le monde des esprits. Cet état extatique impliquait «une transe pendant laquelle son âme est sensée quitterle son corps pour entreprendre des ascensions célestes ou des descentes infermales» (Eliade, 1951/1964, p. 23). Le trait spécifique de l'altération de l'état de conscience du chamanisme renvoie à ce vol de l'âme au cours duquel celui-ci se sépare du corps physique afin de voyager dans le monde des esprits.

he shamanic ritual was typicallya night-time ceremony attended by the entire local group in which theshaman’s enactment of battles with the spirits produced fear, awe, and,finally, assurance as the shaman dominated enemy spirits with the assis-tance of spirit allies. Dancing violently and excitedly forhours to theaccompaniment of drums, rattles, singing, and chanting, the shamaneventually collapsed, exhausted, and entered the spirit world. This ecstaticstate involved “a trance during which his soul is believed to leave his bodyand ascend to the sky or descend to the underworld” (Eliade, 1951/1964,p. 5). This signature feature of the shamanic alterations of consciousnessreferred to assoul flightinvolved a personal aspect that separated fromthe physical body in order to travel to the spirit world

Remarque : les icônes peuvent légèrement changer, mais le principe reste le même.

  • Pas de message ni d'alerte :
  • J'ai reçu une alerte :
  • J'ai un message (sur Flow) :
  • J'ai un message (sur ma PdD) :

Tant qu'il reste un message ou une alerte qui n'a pas été vue, l'item reste coloré.


quatre tilde = signature






modif pour Holacracy modifier

Origine modifier

Le système holacratique fut développé par itérations successives entre 2001 et 2006,4 par Brian Robertson au sein de son entreprise de production de logiciels(Ternary Software) en vue de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus efficaces. Il s'est appuyé pour ce faire sur les méthodes agiles sur le Lean (production) et sur la méthode Getting Thing Done. C'est en 2007 que Robertson formalise le mode de fonctionnement auquel il est arrivé et lui donne le nom "holacratie"5.

En 2007, le Wall street journal lui consacre un article6. Brian Robertson publie la première version de sa constitution holacracy qui sert de socle formel à la mise en place de la démarche. Actuellement, le site holacracy propose la version 4.1 en français de ce document. Le terme Holacracy est protégé par un copyright, mais la constitution holacracy est distribuée sous licence libre Creative Commons 7.

Le terme retenu pour définir la holacratie est dérivé de ceux d'holarchie et de holon développés en 1967 par Arthur Koestler dans son livre Le cheval dans la locomotive 89. Une holarchie est composée de holons (mot composé du grec:ολον, forme neutre de ολος signifiant le "tout" et de la terminaison "on" renvoyant à la partie). Un holon est pour Koestler à la fois un tout et la partie d'un tout. Une holarchie est donc une structure complexe dans laquelle chaque sous-système est à la fois autonome et dépendant de la structure plus large dans laquelle il s'insère 10. Ces principes se répètent tout au long d'une échelle de complexité. Koestler pensait ainsi l'organisation des systèmes vivants depuis la cellule jusqu'aux organismes complexes, puis aux systèmes sociaux11.

Robertson prolonge la vision de Koestler en l'appliquant aux organisations humaines. Il conçoit donc qu'une équipe projet est une entité autonome et souveraine dans son fonctionnement interne, mais est également dépendante (vers le haut de la structure holarchique) des attentes du département dans laquelle elle s'insère. Elle doit, selon le même principe, respecter l'autonomie des membres qui contribuent à son fonctionnement (vers le bas de la structure holarchique).

C'est par l’intermédiaire du philosophe Ken Wilber, que Robertson a eu connaissance de ces concepts12.

Cette vision organique des organisations humaines est fréquemment comparée aux cellules d'un organisme qui sont à la fois autonomes et dépendantes de cet organisme qu'elles contribuent à édifier.

Ce nouveau mode de management horizontal renverse complètement le management traditionnel13. L'autorité et les prises de décisions sont distribuées sur l'ensemble de la structure, à des individus ou à des collectifs. De nombreuses entreprises testent ce modèle, comme Zappos, Danone ou encore Castorama14.

Influences[modifier | modifier le code] modifier

L'holacratie est souvent comparée à la sociocratie, un système de gouvernance développé beaucoup plus tôt, lui aussi inspirée des systèmes vivants et prônant les principes d'auto-organisation. Toutes deux définissent les processus de décisions au sein de groupes et d'organisations, et distinguent très nettement la raison d'être des organisations des aspirations particulières des personnes qui les composent. Ainsi, les quatre principes fondamentaux de la sociocratie se retrouve aussi en holacratie : gouvernance par cercle, doubles liens entre deux cercles, gestion par consentement et élection sans candidat.

L'holacratie va cependant plus loin en rendant la structure totalement flexible. Elle met un accent particulier sur la gouvernance itérative, les processus adaptatifs. En cela, elle s'est inspirée des initiatives développées dans le cadre des entreprises agiles et du lean management. L'holacratie est hautement compatible avec la théorie des parties prenantes puisque la structure même du pilotage permet à de nombreuses parties prenantes d'être représentées au niveau de la gouvernance d'une organisation et pour de nombreuses organisations partageant les mêmes intérêts d'être liées à un niveau de gouvernance.

En tête mouvement colibris modifier

Le Mouvement Colibris, nom usuel d'Association Colibris est une association loi de 1901 qui a été créée en 2007 en France.

Elle considère que la transformation écologique du monde passe d’abord par une réforme intérieure et spirituelle

Les fondateurs de ce mouvement sont notamment Pierre Rabhi, agriculteur bio partisan de la permacultureainsi que de l'agro-écologie et Cyril Dion, réalisateur et écrivain.


Colibris dans les groupes locaux

Au delà des leaders que sont Dion et Rabhi, des colibris individuels ont parfois fait la une de la presse quotidienne locale. ainsi, parmi les actions revendiquées par un Colibri nancéen à la une de l'Est Républicain au moment de la Cop21[205] [206]:

  • privilégier le vélo pour aller au travail et pour ses vacances
  • expérimenter la permaculture
  • retaper des vieux vélos,
  • réduire sa consomation de viande, participer à une AMAP
  • expérimenter des pratiques psycho-corporelles comme la méditation, le yoga, la sophrologie

- Après avoir participé aux Rencontres de l’écologie au quotidien à Die en février sur le thème de « Ralentir, vers une sobriété heureuse » où il a écouté l’agriculteur écolo Pierre Rabhi, initiateur du mouvement Colibris, il adhère à Colibris Nancy en avril et participe à Alternatiba en juin.

- Il est à l’atelier Dynamo à Nancy et aide quand il peut à retaper des biclous.

- Il part en vacances à vélo avec des amis : 800 km l’été dernier le long des canaux : «Le bonheur n’est pas d’avoir une grosse Mercedes et passer des vacances à l’autre bout du monde ! »

- Il est actif à l’AMAP du Pichou à Amance. (Paniers de légumes et autres productions locales.)

- Il a réduit de 20 % sa consommation de viande depuis 5 ans.

- Il pratique la méditation, le yoga, la sophrologie « pour une décentration de soi et une plus grande ouverture aux autres. »

- Il aime « les rapports humains authentiques, pas le paraître ».

- Une de ses devises : « Il faut se changer soi-même pour changer le monde. »



A l’image du mouvement Colibris, confondé en 2007 par l’agriculteur biologiste Pierre Rabhi et l’ex-comédien Cyril Dion, les courants de la transition écologique cherchent des« solutions locales » à opposer au « désordre global », selon l’expression de Coline Serreau, titre du documentaire à succès de la réalisatrice sur cette approche concrète et spirituelle qui prône autant les changements collectifs que les conversions individuelles.

article du monde "la résistance des renoncules"

LE MONDE | 04.11.2014 à 14h27 • Mis à jour le 04.11.2014 à 15h01 |Par Nicolas Truong


le Mouvement colibris promeut un nouveau projet de société par une écologie positive notamment grâce à la réalisation de projets avec des citoyens, des collectivités locales, des élus, des entreprises et des associations. Colibris encourage la création de projets tels qu’une AMAP à Draguignan, un potager à La Ciotat, un café citoyen et une « grainothèque » à Aubagne, un groupement d’achat et un habitat groupé en Seine-et-Marne, une monnaie locale à Strasbourg.

Tribune du monde

LE MONDE | 04.11.2014 à 14h21 |Par Pierre Rabhi (Philosophe, agriculteur et biologiste)


Qualifie le mouvement de mouvement alter-écolo-citoyen qui interpelle le monde politique. Artistes et intellectuels, et s’attachent à faire émerger des initiatives concrètes.

Cyril Dion porte depuis janvier l’Appel du monde de demain, relayé par le Chant des colibris, une tournée de rassemblements citoyens et de concerts organisés dans quatre villes de France à partir de la fin du mois de mars (1). «Notre objectif est de permettre aux gens de se rassembler et d’être au contact avec un certain nombre d’initiatives», explique-t-il, enthousiaste.

Au programme : des rencontres avec des experts et des ateliers d’expérimentation animés par des acteurs locaux. A Bordeaux, où a débuté la tournée le 25 mars, il était question de «cuisson économe et valorisation des déchets organiques», de lombricompostage, de «lessive maison», de «massage en binôme» mais aussi, avec Parlement et Citoyens, de la participation de tous à l’élaboration des lois. A ce programme chargé s’ajoute de la musique. Parmi ceux qui donnent de la voix, des oiseaux, petits et gros : Alain Souchon, Dominique A, Jeanne Cherhal, Izia, Matthieu Chedid, Zaz ou Gaël Faure. C’est ce dernier qui, avec son tourneur Zamora, impulse le mouvement. Ça tombe bien, «l’idée de fédérer des artistes autour de la question écologiste comme d’autres ont pu le faire avec la lutte contre le sida», trotte dans la tête de Cyril Dion depuis un bon moment.

Le 31 janvier, jour du lancement de l’Appel du monde de demain, à la maison de la Poésie, à Paris, se croisent artistes, penseurs (Pierre Rabhi, Patrick Viveret), responsables d’associations ou d’ONG (Emmaüs, Fondation Nicolas Hulot), chefs d’entreprises engagés comme Emmanuel Druon (Pocheco) ou Françoise Nyssen, présidente du directoire d’Actes Sud. Venus d’horizons différents, tous s’accordent sur l’idée d’un mode de vie plus écologique et solidaire, privilégiant la mutualisation, la sobriété énergétique, l’agriculture vivrière, l’éco-construction, les économies locales.

Outils et ressources modifier

Au carrefour de ces sujets : le mouvement Colibris, que Cyril Dion cofonde et dirige jusqu’à l’été 2013. Porté par Pierre Rabhi, pionnier de l’agroécologie devenu penseur ultra-médiatique, Colibris crée depuis dix ans des ressources et outils pour inspirer, relier et soutenir ces citoyens dits «en transition». Si Rabhi fait figure de prophète dans le paysage français, il est aussi régulièrement l’objet de violentes critiques : certains lui reprochent ses sorties ouvertement réacs, d’autres son côté inoffensif, quand d’autres encore pointent du doigt un fonctionnement jugé sectaire ou des liens avec la jet-set (Marion Cotillard, Leonardo DiCaprio) et les grands patrons (McDo France, Ventes-privees.com…).

Pour Cyril Dion, Rabhi «est l’homme le plus attendrissant et le plus charmant qui soit». Un homme qui, loin «des théories fumeuses», se concentre sur l’essentiel. A savoir ? La défense d’un mode de société plus respectueux des hommes et de la Terre. Pierre Rabhi appelle à «l’insurrection des consciences» et à inaugurer une nouvelle éthique de vie, vers une «sobriété heureuse».

Paru en 2010 chez Actes Sud, Vers la sobriété heureuse, manifeste anticonsumériste de Pierre Rabhi se classe encore dans la liste des 60 meilleures ventes d’essais en France. Les ouvrages du paysan poète représentent une part non négligeable du catalogue d’Actes Sud qui enchaîne ces dernières années les jolis coups, témoignant simultanément d’un flair remarquable et d’un engagement dans l’air du temps.


Extrait de Libération Le monde d'après demain Diane Lisarelli — 12 avril 2017 à 17:16 (mis à jour le 13 avril 2017

Le réseau des Colibris modifier

Les colibris, qui se définissent comme des « individus qui inventent, expérimentent et coopèrent concrètement, pour bâtir des modèles de vie en commun, respectueux de la nature et de l'être humain », a-t-il choisi une gouvernance inédite, caractérisée par un fonctionnement en cercles, une prise de décision par consentement et des élections sans candidats.

source : Article du monde "Connexions participatives" Publié le 29 novembre 2013

Point de vue d'un Colibris d'un GL, interrogé à La roche sur Yon

https://actu.fr/pays-de-la-loire/roche-sur-yon_85191/colibris-la-nature-et-lhumain-au-coeur-de-leurs-preoccupations_9205850.html

Gouvernance participative - ... Cercles .. CO CP

https://www.pressenza.com/fr/2017/06/colibris-societe-de-sobriete-heureuse/

Groupe locaux et monnaie locael modifier

https://lareleveetlapeste.fr/amsterdam-lance-monnaie-locale-fabriquee-plastique-recycle/

https://pad.colibris-outilslibres.org/p/uXmCj2FzUt modifier

Modèle:Infobox Expérimentation législative

Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD) est une expérimentation législative visant à donner à tous les chômeurs de longue durée d'un territoire la possibilité d'obtenir un emploi. L'initiative a été portée par ATD Quart Monde, elle est en cours depuis janvier 2017 pour une période de 5 ans sur dix territoires français. Un élargissement de l'expérimentation à d'autres territoires a été annoncé par Emmanuel Macron.

Historique modifier

Maturation modifier

Vote de la loi et lancement de l'expérimentation modifier

Territoires concernés modifier

Modèle économique modifier

Structuration nationale modifier

Structuration dans les territoires modifier

Suivi de l'expérimentation modifier

Visibilité médiatique modifier

Elargissement annoncé modifier

Notes et références modifier

  1. a et b Reviewed Work: Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight by Eli Faber by Paul Finkelman. Journal of Law and Religion, Vol 17, No 1/2 (2002), pp. 125-28Modèle:ISBN missing
  2. a et b Refutations of charges of Jewish prominence in slave trade:
    • "Nor were Jews prominent in the slave trade. Of the 40 slave merchants in South Carolina, only 1 minor trader was a Jew." [paragraph goes on to list similar breakdowns for other US states] – Marvin Perry, Frederick M. Schweitzer: Antisemitism: Myth and Hate from Antiquity to the Present, p. 245. Palgrave Macmillan, 2002; (ISBN 0-312-16561-7)
    • "In no period did Jews play a leading role as financiers, shipowners, or factors in the transatlantic or Caribbean slave trades. They possessed far fewer slaves than non-Jews in every British territory in North America and the Caribbean. Even when Jews in a handful of places owned slaves in proportions slightly above their representation among a town's families, such cases do not come close to corroborating the assertions of The Secret Relationship." – Wim Klooster (University of Southern Maine): Review of Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight by Eli Faber
    Le modèle {{dead link}} doit être remplacé par {{lien brisé}} selon la syntaxe suivante :
    {{ lien brisé | url = http://example.com | titre = Un exemple }} (syntaxe de base)
    Le paramètre url est obligatoire, titre facultatif.
    Le modèle {{lien brisé}} est compatible avec {{lien web}} : il suffit de remplacer l’un par l’autre.

(2000). "Reappraisals in Jewish Social and Intellectual History", William and Mary Quarterly Review of Books. Volume LVII, Number 1. Omohundro Institute of Early American History and CultureModèle:ISBN missing

  • "Medieval Christians greatly exaggerated the supposed Jewish control over trade and finance and also became obsessed with alleged Jewish plots to enslave, convert, or sell non-Jews... Most European Jews lived in poor communities on the margins of Christian society; they continued to suffer most of the legal disabilities associated with slavery. ...

débat entre la simple et la double matérialité modifier

En matière de responsabilité écologique et sociétale des entreprises et de la finance, un débat est apparu entre deux conceptions sur la façon dont les entreprises et les opérateurs financiers devraient considérer les aspects sociaux, environnementaux et de gouvernance dans leurs opérations et rapports financiers, en ce qu’il cherchent à rendre compte de leurs lien avec la responsabilité sociale et environnementale (RSE).


C’est lorsque la notion de «double matérialité» a été proposé que celle de «simple matérialité» a émérger pour décrire ce qui lui précédait et s’y opposait, alors que jusqu’alors on parlait de "matérialité».

Depuis les années 1990, la responsabilité sociale des entreprises qui existait déjà dans les textes, a commencé à être mesurée, notamment par des agences de notation qui ont mis au point et proposé des méthodologies pour évaluent la performance « extra-financière » des entreprises, par exemple pour décider de les inclure dans des portefeuilles d’actions «vertueuses» proposés à des investisseurs soucieux des impacts indirects de leurs choix d’investissement sur les enjeux planétaires actuels. Des critères appelés « ESG » (environnementaux, sociaux et de gouvernance) ont été créés pour estimer la manière dont ces questions environnementales et sociales sont pris en compte par une entreprise ainsi que sa conception de la gouvernance. Ces critères ont été régulièrement critiqués pour leur caractère obscur, leur instabilité d’une agence à l’autre et pour l’absence de transparence dans leur fabrication et leur usage, notamment du fait de contraintes liées au secret des affaires et le souci de rester facilement compréhensibles pour les analystes financiers<ref>Michelle Van weeren, « Transformer le monde ou se transformer : Production de la performance ESG et production identitaire dans le champ de l’analyse extra-financière », Thèse, Université Paris sciences et lettres,‎ (lire en ligne, consulté le )

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