Projet:Communes de France/Section Géologie et relief/Dordogne/Exemples

Âges : Pas de Quaternaire, ni Mésozoïque, ni Paléolithique.
Roches : sédimentaires (Céno)
Nb formations < 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bardou est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée g1-Cc, est la formation du Calcaire de Castillon, un calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), avec un faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental). La formation la plus récente, notée g1-Cmo, est le Calcaire de Monbazillac, un calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et des argiles carbonatées à nodules calcaires (Rupélien continental). Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[2],[3] et sa notice associée[4].

 
Carte géologique de Bardou.
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
 non présent
Néogène
(2.58 - 23.03)
 non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
  g1-Cmo  : Calcaire de Monbazillac : calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
  g1-A  : Molasse de l'Agenais inf. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées jaunâtres à verdâtres à niveaux gréseux tendres à la base (Rupélien continental)
  g1-Cc  : Formation du Calcaire de Castillon s.s. : calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
Éocène  non présent
Paléocène  non présent
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
 non présent
Paléozoïque
(252.17 - 538.8)
 non présent

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 124 m et 181 m[5].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[7]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil, dans le Landais ; 233 m au sud de Tocane-Saint-Apre, dans la Double). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[8]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 4,76 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,84 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 124 m et 181 m[13].

Âges : Cénozoïque + Mésozoïque + Paléolithique.
Roches : formations superficielles + roches sédimentaires (Céno + Méso + Paléo) + roches métamorphiques
Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Bachellerie est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[14].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est les grès de Thiviers et ardoises d'Allassac : métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée CFvs, est des formations superficielles de types colluvions carbonatés de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris.. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[15],[3] et sa notice associée[16].

 
Carte géologique de la La Bachellerie.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 94 m et 281 m[17].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [18]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 3] et 14 sous-unités[19]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[20].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,34 km2[21],[Note 4]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,73 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 94 m et 281 m[24].

Âges : Cénozoïque + Mésozoïque, pas de Paléolithique.
Roches : formations superficielles + roches sédimentaires (Méso)

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Allemans est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[25].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentairesdu Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), est le Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFvs, est des formations superficielles de types colluvions carbonatés de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris.. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°757 - Ribérac » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[26],[3] et sa notice associée[27].

 
Carte géologique d'Allemans.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 47 m et 167 m[28].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [29]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 5] et 14 sous-unités[30]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil, dans le Landais ; 233 m au sud de Tocane-Saint-Apre, dans la Double). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[31]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[32].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,75 km2[33],[Note 6]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,77 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 47 m et 167 m[36].

Âges : Cénozoïque + Mésozoïque + Paléolithique.
Roches : formations superficielles + roches sédimentaires (Céno + Méso + Paléo) + roches métamorphiques Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Coquille est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l’ère primaire, antérieurement au Carbonifère. Cette zone est dénommée Nontronnais ou « Périgord Vert »[37].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, est des micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (Groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, est des formations superficielles de types colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, alterites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°711 - Chalus » et « n°735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[38],[3] et leurs notices associées[39],[40].

 
Carte géologique de la La Coquille.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 259 m et 432 m[41].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [42]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 7] et 14 sous-unités[43]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[44],[45].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,37 km2[46],[Note 8]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 259 m et 432 m[49].

Commune nouvelle
Âges : Cénozoïque + Mésozoïque
Roches : formations superficielles + roches sédimentaires (Céno + Méso) Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Brantôme en Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[50].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, est le Turonien inférieur à moyen, composé de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à Rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFp, est des formations superficielles de types colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, alterites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°734 - Nontron » et « n°758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[51],[3] et leurs notices associées[52],[53].

 
Carte géologique de Brantôme en Périgord.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 92 m et 246 m[54].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [55]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 9] et 14 sous-unités[56]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil, dans le Landais ; 233 m au sud de Tocane-Saint-Apre, dans la Double). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[57]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[58].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 133,33 km2[59],[Note 10]. L'altitude du territoire varie entre 92 m et 246 m[62].

Plus petite commune du département
Âges : Cénozoïque + Mésozoïque
Roches : Form.sup. + roches sédimentaires (Céno + Méso)
Nb formations < 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Monpazier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[63].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, est le Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, est des formations superficielles de types colluvions carbonatés de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris.. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[64],[3] et sa notice associée[65].

 
Carte géologique de Monpazier.
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
  CFvs  : Formations superficielles : colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
  Fy3-z  : Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène  non présent
Néogène
(2.58 - 23.03)
 non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
  g2-A  : Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
  g1-Cmo  : Calcaire de Monbazillac : calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
Éocène  non présent
Paléocène  non présent
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
Supérieur
  Ac  : Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
  c5c  : Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
inférieur non présent.
Jurassique
(≃145.0 - 201.4)
 non présent
Trias
(201.4 - 251.902)
 non présent
Paléozoïque
(252.17 - 538.8)
 non présent

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 144 m et 222 m[66].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [67]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 11] et 14 sous-unités[68]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil, dans le Landais ; 233 m au sud de Tocane-Saint-Apre, dans la Double). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[69]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[70].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 0,53 km2[71],[Note 12]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 0,54 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 144 m et 222 m[74].

Commune nouvelle (2017)
Plus grande commune du département
Âges : Cénozoïque + Mésozoïque
Roches : Form.sup. + roches sédimentaires (Céno + Méso)
Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Mareuil en Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[75].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3-4, est le Bathonien supérieur à le Callovien, composé de calcaire cryptocristallin, localement crayeux. La formation la plus récente, notée CFp, est des formations superficielles de types colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, alterites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[76],[3] et sa notice associée[77].

 
Carte géologique de Mareuil en Périgord.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 98 m et 251 m[78].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [79]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 13] et 14 sous-unités[80]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil, dans le Landais ; 233 m au sud de Tocane-Saint-Apre, dans la Double). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[81]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[82].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 150,48 km2[83],[Note 14]. L'altitude du territoire varie entre 98 m et 251 m[86].

Superficie : 67 km2 (7ème du département)
Âges : Cénozoïque + Mésozoïque + Paléo
Roches : Form.sup. + roches sédimentaires (Céno + Méso) + métamorphiques + magmatiques
Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Jumilhac-le-Grand est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l’ère primaire, antérieurement au Carbonifère. Cette zone est dénommée Nontronnais ou « Périgord Vert »[87].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, est des micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (Groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, est des formations superficielles de types colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, alterites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°711 - Chalus » et « n°712 - Nexon » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[88],[3] et leurs notices associées[89],[90].

 
Carte géologique de Jumilhac-le-Grand.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 186 m et 442 m[91].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [92]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 15] et 14 sous-unités[93]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[94],[95].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 66,67 km2[96],[Note 16]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 68,05 km2[3]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 2 560 186 m et 442 m[99].

Commune nouvelle (2017)
Âges : Cénozoïque + Mésozoïque
Situation dans plusieurs causses
Roches : Form.sup. + roches sédimentaires (Céno + Méso)
Nb formations > 6

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bassillac et Auberoche est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[100]. Elle est à la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3a-b, est le Bathonien inférieur à moyen, une alternance de calcaires micritiques gris cryptocristallins avec des argiles parfois ligniteuses ou des marnes noires (fm Ajat). La formation la plus récente, notée CFp, est des formations superficielles de types colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, alterites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°759 - Périgueux (est) » et « n°783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000ème du département de la Dordogne[101],[3] et leurs notices associées[102],[103].

 
Carte géologique de Bassillac et Auberoche.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Viellecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (7 m à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 87 m et 257 m[104].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [105]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 17] et 14 sous-unités[106]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[107].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 103,26 km2[108],[Note 18]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,78 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 87 m et 257 m[111].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  4. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[22],[23]
  5. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  6. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[34],[35]
  7. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  8. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[47],[48]
  9. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  10. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[60],[61]
  11. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  12. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[72],[73]
  13. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  14. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[84],[85]
  15. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  16. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[97],[98]
  17. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  18. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[109],[110]

Références modifier

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