Lalinde
Lalinde | |
Vue générale de Lalinde. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Dordogne |
Arrondissement | Bergerac |
Canton | Lalinde (bureau centralisateur) |
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord (siège) |
Maire Mandat |
Christian Bourrier 2014-2020 |
Code postal | 24150 |
Code commune | 24223 |
Démographie | |
Gentilé | Lindois |
Population municipale |
2 799 hab. (2016 ![]() |
Densité | 101 hab./km2 |
Population aire urbaine |
4 943 hab. (2014) |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 50′ 13″ nord, 0° 44′ 17″ est |
Altitude | Min. 25 m Max. 194 m |
Superficie | 27,70 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | site officiel de la mairie |
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Lalinde est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune a été le chef-lieu du canton de Lalinde, puis depuis 2015, son bureau centralisateur.
GéographieModifier
Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, la commune de Lalinde est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui limite la commune au sud. À une distance maximale de 300 mètres, le canal de Lalinde longe la Dordogne d'est en ouest.
L'altitude minimale se trouve au sud-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Capraise-de-Lalinde et Couze-et-Saint-Front. L'altitude maximale avec 194 mètres est localisée à l'extrême nord, sur la route départementale 8, en limite de la commune de Pressignac-Vicq.
La ville, ancienne bastide, se situe, en distances orthodromiques, treize kilomètres à l'ouest du Buisson-de-Cadouin et vingt kilomètres à l'est de Bergerac. Enserrée entre la Dordogne et le canal de Lalinde, elle est traversée par la route départementale 703.
La commune est également desservie par les routes départementales 8, 8E1, 8E2 et 31, ainsi que par la ligne SNCF Libourne-Cazoulès par autorail Espérance en gare de Lalinde.
Le chemin de grande randonnée GR 6 longe le canal de Lalinde depuis le barrage de Mauzac jusqu'au bassin de chargement du canal et traverse la bastide pour emprunter le pont de Lalinde.
Communes limitrophesModifier
UrbanismeModifier
Prévention des risquesModifier
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Lalinde[1],[2]. Ce plan concerne également le risque de mouvements de terrain aux abords du canal de Lalinde[2].
Un plan de prévention des risques (PPR) industriels a été approuvé en 2009 pour des effets thermique, toxique et de surpression concernant l'usine Polyrey implantée à Baneuil, en limite ouest de Lalinde, impliquant une partie du territoire communal, à Port-de-Couze[3],[4].
ToponymieModifier
En occitan, la commune porte le nom de La Linda. Le toponyme vient probablement du latin limitem (limite, frontière), puis attraction de l’occitan linda (limpide[5] ou jolie[6]).
HistoireModifier
La ville de Lalinde a été identifiée comme étant l'antique station Diolindum de la table de Peutinger[7]. Des études récentes ont encore fortifié la thèse des historiens de la Gaule qui ont placé cette mansio à Lalinde. Au XIe siècle, une paroisse sera créée en bordure de la rivière Dordogne, qui portera le nom de Linda. En 1242, apparaît pour la première fois dans les textes un seigneur du lieu, Geoffroy de La Lynde. Quelques années plus tard, en 1267, une bastide sera construite par le roi d'Angleterre. C'est un chevalier anglais dont les ancêtres avaient émigré en Angleterre à l'époque de Guillaume le Conquérant, qui aura la charge de la construction de cette ville. Il portait le nom de Jean de La Lynde[8]. Cette homonymie a fait croire pendant longtemps que ce personnage avait laissé son nom à la ville[9].
Vers 1596, le roi Henri IV nomme Arnaud de Baudet, fils de Guy de Baudet et époux de Judith de Larmandie, gouverneur de la ville royale de Lalinde et vend son droit de justice et domaine de la ville à Jacques Nompar de Caumont[10].
Depuis des recherches effectuées aux archives anglaises en 1990 par un auteur local, nous savons que la famille de La Lynde n'a jamais vécu sur le sol périgourdin. Cette famille apparaît dans le comté de Dorset depuis le XIe siècle, où elle possédait d'énormes domaines.
En 1794, les communes de Drayaux et Sainte-Colombe fusionnent avec Lalinde.
La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[11].
Le 11 juillet 1964, lors de la 19e étape qui relie Bordeaux à Brive-la-Gaillarde, les nombreux spectateurs qui attendent le passage du Tour de France à Port-de-Couze sont percutés par un camion-citerne sur le pont qui enjambe le canal de Lalinde. Emportés par le véhicule, ils tombent dans le canal. L'accident fait neuf morts, parmi lesquels trois enfants, et treize blessés[12].
Politique et administrationModifier
Rattachements administratifs et électorauxModifier
Dès 1790, la commune de Lalinde (appelée la Linde à l'époque) est le chef-lieu du canton de Lalinde qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[13].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton qui devient plus étendu lors des élections départementales de mars 2015[14]. La commune en est le bureau centralisateur.
IntercommunalitéModifier
Fin 2002, Lalinde intègre dès sa création la communauté de communes du Bassin Lindois dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2012 et remplacée au 1er janvier 2013 par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord dont elle est également le siège.
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste des mairesModifier
JumelagesModifier
DémographieModifier
La commune de LalindeModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].
En 2016, la commune comptait 2 799 habitants[Note 1], en diminution de 5,22 % par rapport à 2011 (Dordogne : -0,09 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
L'agglomération et l'aire urbaineModifier
L'unité urbaine de Lalinde de Lalinde (l'agglomération) regroupe cinq communes : Bayac, Couze-et-Saint-Front, Lalinde, Lanquais, Varennes[20], soit 4 943 habitants en 2014[21].
L'aire urbaine s'étend sur les mêmes communes[22].
ÉconomieModifier
EmploiModifier
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Lalinde ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitantsModifier
En 2015[23], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 001 personnes, soit 35,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (186) a fortement augmenté par rapport à 2010 (141) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,6 %.
L'emploi sur la communeModifier
Au , la commune offre 1 412 emplois pour une population de 2 848 habitants[24]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 41,1 % des emplois mais le secteur tertiaire est également très présent avec 35,3 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | Total | |
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 15 | 265 | 54 | 499 | 580 | 1 354 |
Pourcentage | 1,1 % | 18,8 % | 3,8 % | 35,3 % | 41,1 % | 100 % |
Source des données[24]. |
ÉtablissementsModifier
Au , la commune compte 348 établissements[25], dont 210 au niveau des commerces, transports ou services, soixante-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quarante-deux dans la construction, dix-sept dans l'industrie, et dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[26].
EntreprisesModifier
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société Ahlstrohm-Munksjö-Rottersac (fabrication de papier et de carton) implantée à Lalinde se classe en 6e position avec 75 519 k€ en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[27]. Dans le secteur industriel, elle se classe en 2e position[28], et tous secteurs confondus, également en 2e position en termes de chiffre d'affaires à l'exportation avec 49 544 k€[29].
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
Patrimoine civilModifier
- De la bastide, il ne reste plus que quelques fragments de l'ancien rempart, côté Dordogne, et la porte dite de Bergerac, faussement appelée porte Romaine, qui date du XIIe siècle, inscrite aux monuments historiques en 1946[30].
- La place centrale à vocation commerciale avait une halle d'origine qui est remplacée par l'actuelle datant de 1865. Au coin de cette place est érigée une grande croix de pierre portant la date 1351, en souvenir du premier jubilé proclamé par le pape Clément VI pour être renouvelé tous les demi-siècles, et qui attira à Rome plus d'un million de pèlerins en 1350[31].
- La ville possédait depuis le XIIIe siècle un château dans son enceinte, le château de Lalinde (ou château de la Bastide), en bord de Dordogne. Totalement refait à neuf au début du XIXe siècle, il a été un temps aménagé en restaurant[32]. C'est en 2010 une demeure privée.
- Le château de la Finou, ou château de Laffinoux, XVe au XVIIIe siècle, à Sainte-Colombe, inscrit au titre des monuments historiques en 1948[33], appartenait au XIXe siècle au tragédien Hilarion Ballande.
- Le château de la Rue, XIIIe au XVIe siècle, à Drayaux, inscrit en 1948[34]. Sa tour du XVIe siècle est construite sur une motte féodale artificielle.
- À Sauvebœuf, autre village de Lalinde, le château de Sauvebœuf date des XIVe et XVIe siècles.
- Le château des Landes, XVIIe et XVIIIe siècles, à Sainte-Colombe.
- Le canal de Lalinde qui traverse la commune d'est en ouest en longeant la Dordogne présente deux sites inscrits au titre des monuments historiques en 1996. D'une part, au niveau de la Tuilière, l'aqueduc et le pont-déversoir[35], et de l'autre, l'ensemble formé au nord-est de la ville par l'écluse, le bassin de chargement et sa cale de radoub[36].
Patrimoine religieuxModifier
- L'église Saint-Pierre-ès-Liens actuelle, bâtie entre 1899 et 1902, a remplacé l'église Saint-Pierre du Pin, chapelle romane (chapelle privée du XIIe siècle, puis chapelle de la bastide au XIIIe siècle) rasée en 1897. L'église actuelle de style néo-roman, d'élévation tripartite, s'ouvre par un clocher-porche à flèche de pierre[37].
- La plus vieille église de la commune, l'église Sainte-Colombe se situe à Sainte-Colombe, ancienne commune rattachée à Lalinde à la Révolution. Elle date du XIIe siècle, et sa coupole est la copie conforme de celle que possédait l'ancienne église de Lalinde. Inscrite en 1988, elle est entièrement classée au titre des monuments historiques depuis 2002[38].
- À Drayaux, autre ancienne commune rattachée à Lalinde se trouve une modeste église du XIXe siècle.
Saut de la GratusseModifier
Au saut de la Gratusse, vivait selon la légende locale un monstre, le coulobre de Lalinde. Ce dragon vivait « dans une caverne sur une colline de la rive gauche de la Dordogne. Il dévorait moutons, bergers et bateliers ; il asséchait la rivière en y buvant, une patte posée sur chaque rive et et la queue plongée dans l'eau... Un jour, saint Front parvint à le tuer et, depuis, les rochers sont teintés de rouge »[39].
Patrimoine naturelModifier
Notamment liées à la présence de la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.
Natura 2000Modifier
Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Lalinde :
- la Dordogne[40], protégée pour différentes espèces de poissons,
- les coteaux calcaires qui bordent la Dordogne sur sa rive droite[41].
ZNIEFFModifier
La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I :
- à l'est-nord-est de la bastide, au nord du lieu-dit la Plane, une plantation de chênes verts (Quercus ilex) est préservée sur 18 hectares de coteaux calcaires[42],[43].
- les îlots et rapides en aval du barrage de Mauzac jusqu'au pont de Lalinde représentent des sites privilégiés pour différentes espèces d'oiseaux aquatiques (hérons, cormorans, palmipèdes, etc.)[44],[45].
- en limite des communes de Mauzac-et-Grand-Castang et Pressignac-Vicq, une partie au nord-est du territoire communal fait partie de la Combe de Foulissart, forêt de chênes pubescents (Quercus pubescens) de 460 hectares, refuge de la grande faune et de plusieurs espèces de rapaces[46],[47].
Protection du biotopeModifier
Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Lalinde est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[48].
Site remarquableModifier
Au sud-est de Sainte-Colombe, le domaine autour du château des Landes, avec ses noyeraies, représente sur 38 hectares un site inscrit depuis 1974[49],[50].
Patrimoine culturelModifier
Chaque année depuis le début des années 1980, sauf en 2010, Lalinde rassemble au début du mois de mars de nombreux participants pour sa course à pied des « 50 kilomètres de Lalinde ». En fait, il existe deux parcours, l'un de 24,150 km, l'autre de 50 km. En 2014, ces deux courses ont rassemblé un millier de coureurs pour la 32e édition[51].
Personnalités liées à la communeModifier
- Pierre Lafon (1773-1846), né à Lalinde, tragédien.
- Jean Auguste Hilarion Ballande (Cuzorn, Lot-et-Garonne 1820 - Sainte-Colombe, aujourd'hui intégrée à Lalinde 1887) : tragédien. Hilarion Ballande était le fils cadet d'Antoine Ballande et d'Élisabeth Dabland, papetier et maître de forges à Pombié et à Libos. Son père Antoine s'installe à Couze en 1841 et exploite le moulin de Bayac. Sociétaire du Théâtre Français jusqu'en 1853, Hilarion démissionne et part en tournée dans la troupe de mademoiselle Rachel. En 1867, il crée la Société des auteurs dramatiques inconnus qui doit faciliter les jeunes auteurs dans la représentation de leurs ouvrages, tentative qui reste sans lendemain. En 1869, il met à exécution l'idée qui va illustrer son nom : « Les Matinées Littéraires du dimanche ». Elles ont lieu au théâtre de la Gaîté. En 1876, il prend la direction du théâtre Déjazet, et de 1880 à 1883 celui du théâtre des Nations. Il se retire ensuite à l'âge de soixante-trois ans dans son château de La Finou pour s'occuper de viticulture et reconstituer son vignoble détruit par le phylloxéra. Il meurt à l'âge de soixante-sept ans, le . Hilarion repose à Couze dans le caveau de la famille Ballande.
- Élie de Riols de Fonclare (1859-1944), né à Lalinde, militaire, il est nommé général de brigade en 1914, puis général de division en 1916.
- Edgar La Selve (1849-1892), né à Lalinde, écrivain et professeur de rhétorique au lycée national de Petion, à Port-au-Prince (Haïti).
- Jean-Baptiste Lemire (1867-1945) : compositeur, il a été chef d'orchestre à Lalinde.
- Jean Gautheroux (1909-1986), né à Lalinde, joueur international français de football.
- Pierre Gonthier (1932-), né à Lalinde, écrivain et poète, il a publié plusieurs ouvrages racontant son enfance à Port de Couze.
- Jean Monribot (1987-), né à Lalinde, joueur de rugby à XV.
- Jefferson Poirot (1992-), joueur de rugby à XV, a joué dans l'équipe de Lalinde de 2001 à 2007.
HéraldiqueModifier
Lalinde porte "de gueules à un lion d'or issant d'une forêt de sinople sur une terrasse du même ; au chef cousu d'azur chargé d'une croisette d'or entre deux fleurs de lys de même. (Grand armorial de France)"[52].
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Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Abbé Goustat, « La Linde et les libertés communales à La Linde », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1883, t. 10, p. 76-106, p. 166-197, p. 293-341, p. 391-449, p. 507-563, p. 599-664, 1884, t. 11,p. 71-85
- Jacky Tronel, La Prison militaire de Mauzac : camps d’internements sous Vichy, revue Arkheia, nos 5-6, Montauban, 2002.
Articles connexesModifier
- Dordogne (département)
- Liste des communes de la Dordogne
- Anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 6
- Pays des bastides et cités médiévales
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
RéférencesModifier
- PPR inondation - 24DDT20070002 - Dordogne Centre, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- [PDF] Lalinde - Dordogne centre - Plan de prévention du risque inondation p. 9, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- PPR risque industriel - 24DREAL20130011 - PPRT Polyrey, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- [PDF] Plan de prévention des risques technologiques : Société Polyrey, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 mars 2014.
- Madeleine Bonnelle, La Linde et son histoire, Pierre Fanlac, 1976, p. 5.
- Bernard Lachaise, Christian Chevillot, Histoire du Périgord, Fanlac, 2000, p. 72
- En effet, en langue flamande, « Lynde » signifie « tilleul ». Ce nom se retrouve dans les noms de familles d'origine flamande Verlynde ou Vanderlynden signifiant « Dutilleul ». De nombreux lieux et rues en Flandre française ou en Flandre belge portent ce nom (Lynde Straete = Rue du Tilleul).
- Jean de La Lynde et Lalinde. Christian Bourrier
- Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1875, tome 2, p. 156
- [PDF] Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945, Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), p. 14-15.
- Grégoire Morizet et Anne-Marie Sopkowitz, Les larmes du Tour, Sud Ouest édition Dordogne du 11 juillet 2014, p. 11.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 6 août 2015).
- Voici vos 557 maires, éditions spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
- Antoine Tinel, « Libre de mes pensées », Sud Ouest édition Périgueux du 8 décembre 2014, p. 12.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Unité urbaine de Lalinde (24201), Insee, consulté le 19 janvier 2018.
- Séries historiques sur la population et le logement en 2014 - Unité urbaine de Lalinde (24201), sur le site de l'Insee, consulté le 23 janvier 2018.
- Aire urbaine de Lalinde (593), Insee, consulté le 19 janvier 2018.
- Dossier complet - Commune de Lalinde (24223) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- Dossier complet - Commune de Lalinde (24223) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le 25 novembre 2018).
- Dossier complet - Commune de Lalinde (24223) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- « Chiffres d'affaires : les 50 premières », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 28.
- « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
- « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
- « Porte des fortifications dite Porte Romaine », notice no PA00082600, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- Madeleine Bonnelle, op. cit., p. 78
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 149, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X)
- « Château de Laffinoux », notice no PA00082597, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- « Château de la Rue », notice no PA00082598, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- « Canal de Lalinde (aqueduc et pont-déversoir de la Tuilerie de Villeneuve) », notice no PA24000005, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- « Canal de Lalinde (écluse, y compris l'aqueduc et le canal de communication des biefs, le pont supérieur qui lui fait suite et le bassin de chargement avec sa cale de radoub) », notice no PA24000004, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- Madeleine Bonnelle, La Linde et son histoire, Pierre Fanlac, 1976, p. 137.
- « Église Sainte-Colombe », notice no PA00082599, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 octobre 2010.
- Éloïse Mozzani, Légendes et mystères des régions de France, Robert Laffont, 2015, p. 123.
- FR7200660 - La Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 14 décembre 2011.
- FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 14 décembre 2011.
- Coteaux nord de la Dordogne en amont de Lalinde lieu-dit la Plane sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 14 décembre 2011.
- Carte de la ZNIEFF 26640000 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 14 décembre 2011.
- « Barrage de Mauzac, îlots et rapides de la Gratusse sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 14 décembre 2011.
- « Carte de la ZNIEFF 26440000 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 14 décembre 2011.
- Combe de Foulissart, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2017.
- Carte de localisation de la Combe de Foulissart sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- « Arrêté préfectoral de la Dordogne no 911909 portant conservation du biotope du saumon, de la Grande Alose "Alosa Alosa", alose Feinte "Alosa fallax", lamproie fluviatile "Lampetra fluviatillis", lamproie Marine "Petromyzon Marinus" constitué par l'ensemble du cours de la Rivière Dordogne dans le Département »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 14 décembre 2011.
- « Domaine des Landes sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 14 décembre 2011.
- « Carte du site inscrit 0000060 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 14 décembre 2011.
- Émilie Delpeyrat, 1 000 engagés à Lalinde, Sud Ouest édition Dordogne du 6 mars 2014, p. 31.
- Armorial de la noblesse du Périgord d'Alfred de Froidefond de Boulazac, p403.