Oriolles

commune française du département de la Charente

Oriolles
Oriolles
Mairie d'Oriolles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Isabelle Lagarde
2020-2026
Code postal 16480
Code commune 16251
Démographie
Gentilé Oriollais
Population
municipale
247 hab. (2021 en diminution de 10,51 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 42″ nord, 0° 07′ 34″ ouest
Altitude Min. 84 m
Max. 161 m
Superficie 18,30 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Oriolles
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Oriolles

Oriolles est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Oriollais et les Oriollaises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Oriolles est une commune du canton de Brossac, située à 39 km au sud-ouest d'Angoulême et à 12 km au sud de Barbezieux.

Oriolles est à peu près au milieu des 3-B, que sont les chefs-lieux de canton Brossac, Barbezieux et Baignes. Le bourg d'Oriolles est à 7 km au nord-ouest de Brossac, 9 km au sud-est de Baignes, 17 km de Chalais, 26 km de Jonzac, 40 km de Cognac, 68 km de Bordeaux[2].

Les voies importantes de communication que sont la N 10 Angoulême-Bordeaux qui passe à l'ouest et la D 731 Barbezieux-Chalais qui passe à l'est évitent la commune. Mais les routes départementales D 2, D 27, D 131 et D 452 la traversent[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits modifier

L'habitat est dispersé, et le bourg d'Oriolles n'est pas plus important que les nombreux hameaux qui sont dans la commune : Chez Baudut, les Poteries, Chez Boutillet...

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Oriolles
Condéon
Touvérac   Chillac
Boisbreteau Guizengeard

Géologie et relief modifier

Le sol de la commune se compose d'argile blanche, de sable et de galets, dépôts du Tertiaire, sol pauvre propice au boisement[4],[5],[6],[7].

La commune offre un relief vallonné propre à la forêt de la Double. Le point culminant est à une altitude de 161 m, situé au sud, chez Baudut (château d'eau), mais un autre sommet près de la limite nord atteint 160 m (borne IGN). Le point le plus bas est à 84 m, situé en limite sud avec Guizengeard. Le bourg, situé sur une hauteur, est à 145 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Oriolles.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Lary, le ruisseau Gourdine, le Petit Lary et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Lary, qui descend vers le sud et se jette dans l'Isle, prend sa source dans la forêt, près de la limite de commune avec Condéon, et forme la limite ouest de la commune avec Touvérac. Il est orthographié Larit dans sa partie amont.

Le Petit Lary qui fait la limite sud-ouest de la commune avec Boisbreteau est son principal affluent. Il prend sa source à l'ouest du bourg, au Groleau.

Au sud-est de la commune, naissent de petits affluents du Palais qui prend sa source près de Brossac, et lui-même affluent du Lary.

À l'est du bourg naît la Gourdine, qui coule vers le nord et fait la limite nord-est de la commune. Elle s'appelle dans sa partie aval le Gabout avant de se jeter dans le Beau, affluent du qui passe à l'est de Barbezieux. La commune est donc traversée par la ligne de partage des eaux entre Garonne ou plus exactement Dordogne, et le bassin versant de la Charente.

La commune comporte de nombreux ruisseaux et étangs, dont certains sont d'anciennes carrières[3].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[11]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Végétation modifier

La commune est sur la bordure nord-est de la forêt de la Double saintongeaise, grande forêt de pins maritimes, ou landes, qui s'étend de la Dordogne à la Charente-Maritime, appelée aussi localement forêt de Chaux ou Petit Angoumois, et dans laquelle se trouve une grande partie du canton.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Oriolles est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), terres arables (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Oriolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Oriolles est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[21],[22],[23].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oriolles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 89,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 143 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 99 sont en aléa moyen ou fort, soit 69 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie modifier

Une forme ancienne est Auriola en 1100[26].

L'origine du nom d'Oriolles pourrait remonter à un nom de personne gallo-romain Auriola, féminin d'Auriol provenant du latin aureolus qui signifie loriot, mais aussi à Aureolam [terram], « la terre d'or », qui peut provenir des pierres précieuses, calcédoines pseudomorphiques, de couleur blonde, qu'on y a trouvées[27],[28].

Histoire modifier

Sous l'Ancien Régime, une partie de la paroisse dépendait, avec Boisbreteau, de la seigneurie puis marquisat de Touvérac, terre elle-même dépendant de la baronnie puis duché de Montausier à partir de la fin du XVIIe siècle. Ce dernier faisait partie du Petit Angoumois, enclave de l'Angoumois en Saintonge dont Baignes était le centre[29].

En 1786, Oriolles était le chef-lieu de la paroisse; la cure d'Oriolles avec ses annexes rapportait 2 000 livres, puis l'église a été annexée à Boisbreteau.

Au bourg, le logis appartenait à la famille de Sainte-Maure, de Chaux. En 1747, le comte Louis Marie de Sainte-Maure, premier écuyer commandant la grande écurie du roi, en fit don à son fidèle serviteur et intendant Jean-Joseph Léonard, qui s'y établit avec sa famille.

Le domaine de Coiffard appartint pendant près de trois siècles aux du Busson. Cette famille, originaire des environs de Mantoue (Italie), vient en France au XVIe siècle et se fixa à Coiffard sous Louis XIV. Le dernier descendant de cette famille, qui fut longtemps juge de paix à Brossac, mourut à Coiffard en 1886[30].

Entre 1975 et 1996, l'argile blanche kaolinique a été exploitée par la société AGS, comme à Guizengeard, Condéon, Touvérac et Clérac. En 1999, le site de l'ancienne carrière a été repris par une société de traitement des déchets, mais AGS était toujours implanté à Oriolles en 2014, succursale de Clérac, avec production de chamotte[31].

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 2001 2020 Alain Bize SE Agriculteur retraité
2020 En cours Isabelle Lagarde    

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 247 habitants[Note 4], en diminution de 10,51 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
385285311383475460481507512
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
465450442446461444394375379
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
384398356349358353290311283
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
264218222223218238241283255
2021 - - - - - - - -
247--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, Oriolles comptait 247 habitants (soit une augmentation de 12,8 % par rapport à 1999). La commune occupait le 24 581e rang au niveau national, alors qu'elle était au 24 943e en 1999, et le 279e au niveau départemental sur 404 communes.

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 129 hommes pour 125 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,0 
9,2 
75-89 ans
7,2 
20,0 
60-74 ans
18,4 
25,4 
45-59 ans
28,8 
15,4 
30-44 ans
16,0 
15,4 
15-29 ans
11,2 
13,8 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

Territoire principalement boisé de pins maritimes, la commune comporte de l'élevage (ovins, bovins, porcins, gibier).

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

Industrie modifier

L'usine de chamotte, située au lieu-dit Chez Boutillet, utilise l'argile blanche kaolinique locale pour en faire de la chamotte, utilisé pour faire des briques réfractaires ou comme isolant en construction. Construite en 1976 sur une ancienne usine de 1960 qui possédait deux fours, elle possède un grand four rotatif de cimenterie chauffé au gaz de Lacq, complété plus récemment par de la biomasse. Sa production s'est élevée à 2 800 t par jour dans les années 2000[39], et elle a produit environ 300 à 380 t par jour en 2011[40], soit une production annuelle de 150 000 tonnes pour la chamotte réfractaire, calcinée jusqu'à 1 550°, et 100 000 tonnes pour l'argile réfractaire, avec en 2013 trois fours et un four flash d'une capacité totale de 200 000 tonnes. L'usine fournit aussi de l'argile broyée et séchée[41]. Elle est référencée comme patrimoine industriel[39]. Située sur une basse colline, c'est un point de repère dans la forêt qu'on voit de loin.

Tourisme modifier

  • Ferme-auberge.

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

L'école est un RPI entre Brossac, Oriolles et Passirac. Brossac accueille l'école maternelle et l'école élémentaire. Les écoles d'Oriolles et de Passirac sont aussi des écoles élémentaires. L'école d'Oriolles comporte une classe unique. Le secteur du collège est Baignes[42].

Vie locale modifier

La fête communale est le deuxième dimanche d'août.

Lieux et monuments modifier

 
L'église d'Oriolles.
  • L'église paroissiale Saint-Pierre date des XIe et XIIe siècles, mais a été remaniée aux XVe et XIXe siècles. Seule une partie du mur nord de la nef date encore du XIIe siècle. C'était un ancien prieuré-cure rattaché au prieuré Saint-Vivien de Saintes[43]. Elle est entourée du cimetière.
  • Le domaine de Coiffard, ancien domaine, est au sud de la commune.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Oriolles » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale d'Oriolles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Oriolles », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Oriolles », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 108
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 38,510-511.
  28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  29. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 388
  30. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 265
  31. « Entreprise SARCA, Oriolles » [PDF], sur entreprises-coloniales.fr, (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Oriolles (16251) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  39. a et b « Usine Sarcal », notice no IA00066345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Oriolles: la société AGS a ouvert ses portes au public », Charente libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. « AGS Minéraux », (consulté le ).
  42. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  43. « Église d'Oriolles », notice no IA00041145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier