Moncel-sur-Seille

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Moncel-sur-Seille est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Moncel-sur-Seille
Moncel-sur-Seille
Vue sur l'église Saint-Pierre.
Blason de Moncel-sur-Seille
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes de Seille et Grand Couronné
Maire
Mandat
Alain Chane
2020-2026
Code postal 54280
Code commune 54374
Démographie
Gentilé Moncellois, Moncelloises[1]
Population
municipale
530 hab. (2021 en évolution de +4,54 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 57″ nord, 6° 25′ 21″ est
Altitude Min. 195 m
Max. 283 m
Superficie 12,41 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand Couronné
Législatives Première circonscription
Localisation
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Moncel-sur-Seille
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Moncel-sur-Seille
Liens
Site web mairiedemoncelsurseille.com

Géographie

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Localisation

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Moncel-sur-Seille se trouve à 19 kilomètres au nord-est de Nancy en direction de Château-Salins, par la route nationale 74.

Communes limitrophes

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Moncel-sur-Seille est limitrophe de six communes, dont quatre sont situées dans le département de Meurthe-et-Moselle et deux dans le département de la Moselle. Ces localités sont réparties géographiquement de la manière suivante :

Transport

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La gare de Moncel-sur-Seille a été transformée en salle polyvalente. La gare était située sur la ligne Nancy - Sarreguemines et mise en service en 1873, pour la section vers Nancy[2]. La ligne et la gare furent fermées en 1979 avec l'arrêt de l'exploitation de la section de Nancy à Château-Salins.

Une ligne de bus du réseau TED (R350) reliant Nancy à Château-Salins passe par Moncel-sur-Seille.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Loutre Noire, la Seille et le Rupt de Geneve[3],[Carte 1].

La Loutre Noire, d'une longueur de 18 km, prend sa source dans la commune de Réchicourt-la-Petite et se jette dans la Seille à Moncel, après avoir traversé sept communes[4].

La Seille, d'une longueur de 138 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans divers bras mort de la Moselle à Metz, après avoir traversé 57 communes[5].

 
Réseau hydrographique de Moncel-sur-Seille[Note 1].

.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 18 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Moncel-sur-Seille est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,9 %), terres arables (24,2 %), forêts (16,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), zones urbanisées (3,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Les termes Moncels et Monces apparaissent en 1206.

Le vocable Moncel est attesté en 1793.

Histoire

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L'origine de Moncel (alors Monces) remonterait aux environs de 1206, date à laquelle le duc Ferry II de Lorraine déclare par une charte que Hugues, chevalier de Bezange, a donné en aumône à l'Abbaye Saint-Èvre de Toul, ce qu'il possédait à Moncel en terres, prés, forêts et hommes. En l'année 1260 Jean Simon, alors prêtre de Sornéville, donne à l'abbaye de Bosserville les biens qu'il possédait sur le territoire de Monces.

En 1679 les Chartreux de Bosserville achètent de Marie-Antoinette de Gaintois, veuve de Gaspard Seigneur de Drouville, les trois quarts de la seigneurerie de Moncel en toute propriété, et l'autre quart en provenance de l'évêché de Metz. Cela rend les Chartreux propriétaires de l'ensemble des droits seigneuriaux, des terres et hommes de Moncel.

Après la signature du traité de Vienne qui, en 1738, donne la Lorraine à Stanislas Leszczynski jusqu'à sa mort, le village intègre, au décès du duc bienfaiteur en 1766, le royaume de France sous la juridiction du territoire du grand-gouvernement de Lorraine-et-Barrois. Il est intégré en 1790 au nouveau département de la Meurthe. À cette époque, la commune est rattachée au canton de Bioncourt, district de Château-Salins, diocèse de Metz.

À la fin du Premier Empire en 1815, la Lorraine est envahie par les Prussiens, Autrichiens et Russes. Moncel n'est pas épargnée et des Cosaques y sont d'une grande cruauté.

À partir des années 1820, le territoire communal accueille des carrières de gypse, exploitées pour la fabrication de plâtre et également une carrière de gypse transparent qui fournit des ornements à plusieurs églises de Nancy[18].

En 1871, avec la signature du traité de Francfort et la fin de la Guerre franco-allemande de 1870, Moncel, ancienne commune du canton de Château-Salins, reste française, intégrée au nouveau département de Meurthe-et-Moselle et rattachée au canton de Nancy-Est. De 1871 à 1918 Moncel devient de ce fait un village-frontière avec l'Allemagne, le dernier village français sur la route nationale no 74, et prend un nouvel essor.

Le village, jusque là essentiellement agricole, connaît une transformation importante avec l'installation d'une gendarmerie, d'une agence des Douanes, d'un « Commissariat spécial » chargé de recueillir au profit de l’État français des informations sur l'Empire allemand voisin, ainsi que d'une succursale de la Caisse d'épargne de Nancy.

Malheureusement, du fait de sa situation, le village subit de plein fouet la Première Guerre mondiale et en particulier, en 1914, les conséquences de la bataille du Grand Couronné, à l'issue de laquelle le front se stabilise sur la rive droite de la Loutre noire. En 1917, après de nouveaux combats et bombardements, le village, alors quasi vidé de ses habitants, est totalement détruit à l'exception d'une seule maison encore présente de nos jours rue de L'Ancienne gare.

Le , Moncel est, de la part des Français, le théâtre d'un « coup de main à grande envergure »[19], au cours duquel des éléments du 411e RI appuyés par une compagnie du 6e RI franchissent la rivière, pénètrent dans les lignes allemandes jusqu'à une profondeur de 2 km en occupant momentanément la ferme de Rosebois et le plateau des Ervantes, font plus de 300 prisonniers et reviennent à leur point de départ avec seulement 38 tués et 67 blessés graves[20]. Ce « coup de main des Ervantes »[21],[22], que Michel Goya décrit comme probablement « la plus grande opération « commando » (...) de l’histoire militaire française », apporte au commandement français, grâce aux renseignements recueillis, la certitude que l'ennemi ne prépare rien en Lorraine, ce qui va permettre de reporter des forces sur Reims ou la Picardie, avec d'importantes conséquences pour la fin de la guerre[20].

Le village est reconstruit pendant l'entre-deux-guerres à partir de 1923. L'architecte M. Marchal est responsable des plans des nouvelles constructions réalisées en grande partie par les établissements Erb Louis de Toul.

Lors de la reconstruction de l'église en 1923 également, les trois cloches de l'ancien clocher détruit purent être réinstallées dans le nouvel édifice afin de rythmer et encore de nos jours la vie du village. Ces trois cloches datant de 1855, coulées à Robécourt dans les Vosges, portent les noms de Barbe Augustine, Marie Elisabeth et Marie Elise. Elles portent le message « Nous sommes trois sœurs nées le même jour. Nous devons notre existence à la commune, à la fabrique et à la générosité des habitants de Moncel ». Ces trois « sœurs » furent des miraculées de la destruction de 1917 car retrouvées intactes dans les décombres de l'ancienne église totalement détruite.

Le , la première Jeep Willis de l'US Army pénètre à Moncel par la route de Sornéville signifiant la libération du village.

En 1998 Moncel-sur-Seille est passée du canton de Saint-Max à celui de Seichamps.

En 2013 le village a obtenu sa première fleur au concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
AN XII (1803) ? M. Vieille    
1826 1838 M. Martin    
1838 1839 M. Travaux    
1839 1866 M. Grandidirer    
1866 1871 M. Geny    
1871 1874 M. Grandidirer    
1874 1880 M. Geny    
1880 1886 M. Kiffer    
1886 1889 M. Andre    
1889 1905 M. Geny    
1905 1910 M. Collot    
1910 1930 M. Kiffer    
1930 1936 M. Geny    
1936 1941 M. Collot    
1941 1947 M. Laurent    
1947 1953 M. Richard    
1953 1956 M. Colson    
1956 1959 Marcel Vaimbois    
1959 1965 Jules Grandidier    
1965 1971 M. Larose    
1971 1983 Eugène Jean    
1983 mars 1989 Albert Vaimbois DVD  
mars 1989 avril 2014 Ennio Bazzara UDI (PR)  
mars 2014 En cours
(au 26 mai 2020)
Alain Chane[23],[24]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ancien cadre

Population et société

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Démographie

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En 2010[25], Moncel-sur-Seille compte 486 habitants[26], soit une remarquable stabilité par rapport au recensement de 1999, où l'on décomptait 485 habitants sur la commune[27]. Le village appartient à l'aire urbaine de Nancy.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 530 habitants[Note 4], en évolution de +4,54 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
481490558546560722740725706
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
628630660739793752744732715
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
709722325295274303307287333
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
324311434485474501502488500
2019 2021 - - - - - - -
514530-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Chapelle Saint-Nicolas et Saint-Pierre.
  • Lieu-dit de Rosebois.
  • Église Saint-Pierre, reconstruite après 1918.
  • Chapelle Saint-Nicolas-et-Saint-Pierre, rebâtie après 1918.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D’azur au faucon pèlerin de gueules, becqué et membré d’or posé sur une montagne de sinople et brochant sur une fasce ondée d’argent[35].
Détails
Le faucon pèlerin figure sur un sceau de 1612 de Georges de Remicourt, seigneur de Moncel. La montagne rappelle le nom de la localité, et la fasce ondée, la Seille qui la traverse.
Adopté en 1992.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Lien externe

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Moncel-sur-Seille » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA57001381
  3. « Fiche communale de Moncel-sur-Seille », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « la Loutre Noire »
  5. Sandre, « la Seille »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Moncel-sur-Seille et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Moncel-sur-Seille ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Statistique, , 587 p. (lire en ligne), p. 390.
  19. Historique du 411e régiment d'infanterie, Paris, Henri Charles-Lavauzelle, (lire en ligne), p. 17-20
  20. a et b Michel Goya, « 20 février 1918, une opération "commando" française géante en Lorraine », sur lavoiedelepee, (consulté le ).
  21. « Le coup de main des Ervantes (Lorraine) (février 1918) », Bulletin de renseignements de l'artillerie, Paris, inspection générale de l'artillerie,‎ , p. 27-39 (lire en ligne).
  22. « Le coup de main des Ervantes (Lorraine) 20 février 1918 », La Revue d'infanterie, vol. 64, no 376,‎ , p. 3 (lire en ligne).
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. « Résultats du recensement de la population - Moncel-sur-Seille », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. « Recensement de la population au 1er janvier 2006 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  27. « Populations légales 2009 en vigueur le 1er janvier 2012 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Laurence Pauchet-Warlop, « Henri-Joseph Harpignies (1819-1916) : dessins et aquarelles conservés au Musée des Beaux- Arts de Lille », Revue du Nord, t. 74, nos 297-298,‎ , p. 663-674 (DOI 10.3406/rnord.1992.4768)
  33. « Vue prise à Moncel-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle) », sur pba-opacweb (consulté le ).
  34. « Cote LH//2437/39 », base Léonore, ministère français de la Culture
  35. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.