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Le président de la République du Chili[n 3] est le chef d'État et de gouvernement du pays et sa maximale autorité politique. Il lui correspond, comme mandat générique, le gouvernement et l'administration de l'État. Si bien son papier et signification a éprouvé des changements tout au long de l'histoire, de même que sa position et relations avec les autres acteurs de l'organisation politique nationale, a été et il est une des figures politiques plus soulignées. Également, il est envisagé une des institutions qu'ils conforment la "constitution historique du Chili" et une des clefs de la stabilité politique du pays.[1][2]

Sauf les périodes d'interruption institutionnelle, il s'est régulièrement occupé comme chef d'État et de gouvernement en Chili; cela a été modifié dans la pratique, bien que ne constitutionnellement, pendant la période 1891-1924 en qu'a existé un régime pseudoparlamentario[3] –aussi caractérisé comme gouvernement de parti sous des formes parlementaires–[4], sous le vigueur de la Constitution Politique de 1833, où son papier est resté réduit au de chef d'État.[n 1] Le système présidentiel, avec certaines particularités, a été rétabli par la Constitution de 1925, et renforcé dans la Constitution de 1980.

D'accord avec la constitution en vigueur, le président a le devoir général d'occuper fidèlement sa charge, maintenir l'indépendance de la nation et garder et faire garder la Constitution et les lois, telle comme le signale le juramento ou promesse qui prête à l'assumer ses fonctions.

Depuis le 11 mars 2014 la présidente de la République du Chili il est Michelle Bachelet Jeria Jeria.

Antécédents modifier

 
Manuel Blanc Encalada.

Pendant l'époque colonial, les gouverneurs désignés par la Couronne espagnole ont été des dénommés "présidents" en raison de la fonction de présider la Réelle Audience qu'ils avaient assignée, d'accord avec les Lois d'Indiennes.[5] Le premier président du Chili a été Melchor Bravo de Saravia, président de la Réelle Audience avec siège en Conception, depuis 1568 jusqu'à sa dissolution en 1575.[n 2]

 
Bernardo Ou'Higgins.

En 1609 il s'a rétabli l'Audience à Santiago, et avec elle le métier de président –avec Alonso García de Ramón–. À partir de cette date, les gouverneurs coloniales ont occupé le titre officiel de président de la Réelle Audience, en s'appelant à soi mêmes et en étant connus simplement comme des présidents du Chili –en raison de l'égard de majeure "dignité" de la charge de président de l'Audience, le tribunal du roi par antonomasia, face au de gouverneur et capitaine général qu'aussi occupait– dénomination qu'il a été reprise après l'indépendance, avec les présidents de la République. Par l'antérieur, s'est soutenu que pendant plus de quatre siècles le Chili a eu un président comme chef d'État ou de gouvernement, en s'exceptant l'époque de l'indépendance et les périodes d'interruption institutionnelle du siècle XX.

À des débuts de la Patrie Vieille, le gouvernement du pays il a été chargé d'une sériez des organes pluripersonales ou colegiados appelés ensemble de gouvernement.[n 3] Seulement le 7 mars 1814 il s'a établi une autorité unipersonnelle comme chef d'état et de gouvernement du pays, dénommé Directeur Suprême. Cette charge a été exercée effectivement par Francisco de la Lastra en 1814 et, après la Reconquista, par Bernardo Ou'Higgins et Ramón Freire.

Le titre de directeur suprême, qu'en plus était íntimamente lié à la direction de l'armée, a été créé légalement par le Règlement pour le Gouvernement Provisorio de 1814 et contemplé, également, par les Constitutions de 1818, 1822 et 1823.

 
Ramón Freire.

Ramón Freire, qu'avait assumé le commandement du pays en 1823, dans le message d'ouverture du Congrès de 1826, a fait connaître ses désir de renoncer à la charge de Directeur Suprême, qu'a après réitéré dans un métier jours plus soir. Devant cela, le Congrès a suspendu femme au foyer référents à la rédaction d'une constitution, que dans ce moment il était sa principale tâche, pour traiter ce sujet dans les séances du 7 au 8 juillet. En elles, après un débat, s'ont pris les suivants accords: "La personne qui administre le Pouvoir Exécutif national s'intitulera en Président de la République" et qu'il y aurait "un Vice-Président qu'il subroge au Président dans les cas de mort, absence ou maladie grave"; l'élection de tous les deux serait effectuée par le Congrès, par majorité absolue de votes; ceux-là seraient seulement provisorios, et dureraient dans ses fonctions jusqu'à ce que "donnée la constitution de l'état, il se fît l'élection de propriétaires dans la forme légale".[6][7][8]

Le 8 juillet 1826, le Congrès National a procédé à choisir au successeur de Freire. En dite élection a résulté gagnant Manuel Blanc Encalada, qui a assumé le commandement au lendemain, préalable juramento devant le Congrès, en se convertissant ainsi dans la première personne en Chili qu'occuperait officiellement le titre de président de la République ("Président Provisoire de la République"). Le 15 février de l'an suivant, Ramón Freire a été choisi comme "Président de la République".[n 4]

La figure du président de la République a été comprise dans la Constitution de 1828 et maintenue par les suivants textes constitutionnels: de 1833, 1925 et 1980.

Conditions requises pour occuper la charge modifier

Les conditions requises pour être président de la République, d'accord avec la Constitution de 1828, le premier texte constitutionnel chilien en incorporer cette figure, étaient les suivants: être citoyen chilien de naissance et avoir plus de trente ans d'âge.

 
José Joaquín Prieto.

La Constitution de 1833 a établi que pour occuper la charge de président était nécessaire: y avoir né dans le territoire du Chili; posséder les qualités nécessaires pour être membre de la Caméra de Députés –être en possession des droits de citoyen électeur et une rente minime équivalente à 500 poids–; et avoir 30 ans d'âge au moins.

Pendant le vigueur de la Constitution de 1925, pour être choisi président se requérait: y avoir né dans le territoire du Chili; avoir 30 ans d'âge, au moins, et avoir les qualités nécessaires pour être membre de la Caméra de Députés –posséder les conditions requises de citoyen avec droit à suffrage et n'y avoir été condamné jamais par délit qu'il méritât peine aflictiva (trois ans et un jour ou plus)–.

D'accord avec le texte original de la Constitution de 1980, pour être choisi président était nécessaire: y avoir né dans le territoire du Chili; avoir accomplis 40 ans d'âge, et posséder les autres qualités nécessaires pour être citoyen avec droit à suffrage –ne se trouver pas en suspension de dit droit (par interdicción en cas de demencia; par se trouver accusé par délit que mérite peine aflictiva ou par des délits qualifiés par la loi comme conduite terroriste, et par y avoir été sanctionné par le Tribunal Constitutionnel d'accord avec le inciso septième du nombre 15e de l'article 19 de la Constitution), ou en perte de la qualité de citoyen (par perte de la nationalité chilienne; par condamnation à peine aflictiva, et par condamnation par des délits qualifiés par la loi comme conduite terroriste)–.

Après la réforme constitutionnelle de 2005, les actuelles conditions requises pour être président, ils sont les suivants:

  • Avoir la nationalité chilienne, par naissance dans le territoire du Chili ou par être fils de père ou mère chiliens, né en territoire étranger;
  • Avoir accomplis 35 ans d'âge,
  • Posséder les autres qualités nécessaires pour être citoyen avec droit à suffrage –ne se trouver pas en suspension de dit droit (par interdicción en cas de demencia; par se trouver accusé par délit que mérite peine aflictiva ou par des délits qualifiés par la loi comme conduite terroriste, et par y avoir été sanctionné par le Tribunal Constitutionnel) ou en perte de la qualité de citoyen (par perte de la nationalité chilienne; par condamnation à peine aflictiva, et par condamnation par des délits qualifiés par la loi comme conduite terroriste et les relatifs au trafic de stupéfiants et que #avoir mérité, en plus, peine aflictiva).

Élection présidentielle modifier

Les deux premières élections de président, de 1826 et 1827, ont été réalisées par les membres du Congrès.

 
Table de votation dans les élections présidentielles de 1915.

Entre 1829 et 1925, les élections ont été effectuées en forme indirecte par l'intermédiaire d'un système d'électeurs, d'accord avec l'établi par les Constitutions de 1828 et 1833. Le système était de vote censitario masculin, jusqu'à l'an 1884 en que s'a changé par un système de suffrage masculin.

Pendant bonne part de cette période, les candidats ont été choisis par des grandes majorités ou en forme unanime, en raison de l'absence de réels concurrents, puisqu'ils habituellement se réalisaient des accords entre les factions dirigeantes et, postérieurement, à l'intérieur des principaux partis politiques, ou parce qu'un candidat il avait un considérable avantage, ce que provoquait la retraite de ses adversaires. De cette façon, ils ont été choisis sans contrincantes: Hannibal je Peins, Dimanche Sainte María, José Manuel Balmaceda, Jorge Montt et Ramón Vases Luco; Manuel Bulnes a été réélu en égale situation.[n 5][n 6]

 
Ex présidents du Chili réunis en 2014.
 
Eduardo Frei Ruiz-Tagle vote dans les élections présidentielles de 2009.

Pourtant, ils ont dû être choisis par le Congrès Plein, après les respectives élections: Federico Errázuriz Echaurren, que dans la votation de 1896 a obtenu seulement trois électeurs de différence face à Vicente Reyes Palazuelos, avec des accusations de fraude électorale; Juan Luis Sanfuentes, après l'élection de 1915 en qu'a obtenu seulement un électeur de différence sur Javier Ange Figueroa Larraín, avec des dénonciations de cohecho; et Arturo Alessandri Palma, que dans la votation de 1920 a obtenu quatre électeurs plus que Luis Vases Borgoño, et après la décision d'un Tribunal d'Honneur ad-hoc qu'a qualifié l'élection, il a été proclamé président.[n 7][n 8][n 9]

Dans la Constitution de 1925 s'a consacré un système de suffrage masculin de vote direct, en étant choisi le candidat avec la majorité absolue des votes validement émis. Après une réforme constitutionnelle, s'a permis le suffrage féminin en des votations présidentielles, à partir de l'élection de 1952. Et depuis 1970 ils ont pu voter les handicapés (aveugles) et analphabètes et dans ce moment le système d'élection du président il a été de suffrage universel direct.

Dans le cas où aucun candidat obtînt la majorité absolue, le Congrès Plein devait choisir au président entre les deux candidats qui eussent obtenu la majorité relative. Dans les quatre occasions que le Congrès il a dû décider, dans les élections de 1946, 1952, 1958 et 1970, il a choisi au candidat qu'a obtenu la majorité relative. Ils Ont ainsi été choisis: Gabriel González Videla, Carlos Ibáñez du Champ, Jorge Alessandri, et Salvador Au delà, respectivement.[n 10][n 11][n 12][n 13]

La Constitution de 1980 a maintenu le système d'élection populaire directe, en incorporant le mécanisme du deuxième tour ou balotaje. En cas qu'aucun candidat il obtienne la majorité absolue des votes validement émis, il se procède à une deuxième votation 30 jours après la première, dans celle qui ils doivent se faire face à seulement les deux candidats qui aient obtenu le majeur nombre de préférences individuelles.[9] De cette façon ils ont été choisis Ricardo Lacs, qui s'a fait face à avec Joaquín Lavín dans la deuxième ronde de 2000, Michelle Bachelet Jeria, face à Sebastián Piñera dans la deuxième ronde de 2006, Sebastián Piñera, face à Eduardo Frei dans la deuxième ronde de 2010, à nouveau Michelle Bachelet Jeria face à Evelyn Matthei dans la deuxième ronde de 2013 et à nouveau Sebastián Piñera, face à Alejandro Guillier dans la deuxième ronde de 2017.

Mandat présidentiel modifier

Durée modifier

Le mandat du président du Chili, d'accord avec la Constitution de 1828, était de cinq ans, n'en pouvant pas d'être réélu, mais en intervenant le temps avant signalé, entre la première et deuxième élection.

Dans la Constitution de 1833 s'a établi une période de 5 ans avec la possibilité d'être réélu pour la période immédiatement suivante, avec la limitation de deux mandats consécutifs, donc il a disposé que pour être choisi par troisième fois, devait intervenir entre celle-ci et la deuxième élection l'espace de cinq ans. En 1871, par une réforme constitutionnelle il s'a interdit la réélection pour la période suivante.

Pendant le vigueur de la Constitution de 1925 le mandat a été de 6 ans, sans possibilité de réélection immédiate, c'est-à-dire, pour la suivante période.

La Constitution de 1980, dans son texte original, a fixé une période d'huit ans sans possibilité de réélection immédiate, mais la réforme constitutionnelle de 1989 il a établi une première période présidentielle transicional de quatre ans (1990-1994) et un tour au mandat d'huit ans, en maintenant dans les deux situations l'interdiction de réélection pour la suivante période.[n 14] Pourtant, moyennant la réforme constitutionnelle de 4 mars de 1994 s'a réduit la période présidentielle d'huit à six ans, sans réélection immédiate. Postérieurement, avec les réformes de 2005 le mandat présidentiel il est resté avec une durée de 4 ans sans possibilité de réélection pour la période suivante.

Le président de la République, d'accord avec la Constitution, cesse le même jour en qu'il complète sa période et il lui arrive immédiatement l'élu, sauf qu'existait quelque empêchement, cas en lequel ils s'appliquent les règles sur subrogación et succession.

Cérémonie de changement de commandement modifier

 
Germán Riesco (droite) abandonne le Congrès, après de la cession de commandement à Pedro Montt (1906).
 
Cérémonie de changement de commandement en laquelle Pedro Aguirre Cochonne (gauche) a reçu la bande présidentielle d'Arturo Alessandri (1938).
 
Salon d'Honneur de l'ancien bâtiment du Congrès National à Santiago.
 
Salon d'Honneur du bâtiment du Congrès National en Valparaíso.

La cérémonie de changement de commandement, ou assomption au commandement, se réalise dans le Salon d'Honneur du Congrès National. Depuis 1990 le Congrès il est convoqué dans le port de Valparaíso; avec antériorité celui-ci se trouvait placé dans la ville de Santiago.

La première transmission régulière du commandement de l'époque républicaine, a été réalisée le 18 septembre 1841, dans laquelle José Joaquín Prieto (1831-1841) a été arrivé par Manuel Bulnes (1841-1851).

Pendant le siècle XIX, la cérémonie de changement de commandement s'a effectué le 18 septembre, et le président saliente accoutume prononcer un discours, en présentant un compte rendu de sa gestion. D'accord avec la Constitution de 1833, la cérémonie devait s'effectuer dans le salon du Sénat et le président élu au prendre possession de la charge devait prêter le suivant juramento:

« Yo N. N. juro por Dios Nuestro Señor y estos Santos Evangelios que desempeñaré fielmente el cargo de Presidente de la República; que observaré y protegeré la Religión Católica, Apostólica, Romana; que conservaré la integridad e independencia de la República, y que guardaré y haré guardar la Constitución y las leyes. Así Dios me ayude, y sea en mi defensa, y si no, me lo demande. »

Tant que la Constitution de 1925 établissait, que le président élu devait prêter juramento ou promesse de "occuper fidèlement la charge de président de la République, conserver l'intégrité et indépendance de la Nation et garder et faire garder la Constitution et les lois".

Depuis cette époque, et pendant le siècle XX, autant le président saliente, comme l'élu, se dirigeaient directement depuis le Palais de la Monnaie au Congrès, en recevant le saliente les honneurs de rigueur au revenu au bâtiment du Congrès. En dite cérémonie, effectuée dans le Salon d'Honneur du Congrès, le président du Sénat était le responsable de placer au président élu l'insigne du commandement –la piocha d'Ou'Higgins–, procédure modifiée en le ceremonial en vigueur depuis les ans 1990.

Jusqu'à 1970, il a été traditionnel que le président élu et saliente assistassent habillés de frac –ou avec robe de gala dans le cas des militaires–; dans cet an, l'élu Salvador S'a au delà présenté à la cérémonie en usant une robe obscure, tant que le saliente, Eduardo Frei Montalva, le faisait de frac. Depuis celui-là alors, l'habillement pour la cérémonie est la robe sastre.[10]

En le ceremonial actuel, le président saliente encaisse avec les honneurs correspondants au salon où il se trouve réuni le Congrès Plein, alors que le président élu attente dans un salon j'annexe, en encaissant à suite une salle attenante, de laquelle sort accompagné de #son conjoint, le cas échéant, jusqu'au Salon d'Honneur du Congrès.[11] Une fois entamée la séance du Congrès Plein, le secrétaire du Sénat communique au Congrès la résolution en vertu de laquelle le Tribunal Calificador d'Élections a proclamé au président élu, d'accord avec les résultats de la respective élection présidentielle. il après invite au président élu à encaisser au salon et, une fois là, le président du Sénat d'accord avec la Constitution de 1980 lui prend juramento ou promesse de:

« [...] desempeñar fielmente el cargo de Presidente de la República, conservar la independencia de la Nación, guardar y hacer guardar la Constitución y las leyes »

Une fois réalisé ceci, le président saliente s'enlève la bande présidentielle et la lui livraison au président du Sénat, en même temps que s'enlève la piocha d'Ou'Higgins. Alors le président du Sénat place la bande au président élu, et le saliente lui place la piocha d'Ou'Higgins. À suite s'entonne l'Hymne National et le président saliente –déjà dans ce moment expresidente– se retire accompagné de ses ministres d'État. Enfin, le président récemment assumé prise juramento ou promesse à qui s'occuperont comme ses ministres d'État et, après de cela, il se donne par conclue la cérémonie et il se lève la séance du Congrès Plein.

Subrogación Et succession présidentielle modifier

Du président élu modifier

La Constitution de 1828, que contemplait la figure du Vice-président, disposait que si, le jour de prise de possession de la charge, quelque accident empêchait la présence du président élu, le vice-président recevrait provisoirement le gouvernement.

À son tour, dans la Constitution de 1833 s'établissait que si celui-ci se trouvait empêché pour prendre possession de la présidence, lui subrogerait ou il substituerait en attendant le conseiller d'État plus ancien. Si l'empêchement du président élu était absolu ou il durerait indéfiniment, ou par plus de temps du signalé à l'exercice de la charge, il se ferait nouvelle élection dans la forme constitutionnelle, en lui substituant en attendant dans la charge le même conseiller d'État plus ancien, que ne fût pas ecclésiastique.

Dans la Constitution de 1925 se prévoyait que si le président élu se trouvait empêché pour prendre possession de la charge, lui subrogerait en attendant, avec le titre de Vice Président de la République, le président du Sénat; à défaut de celui-ci, le président de la Caméra de Députés, et à défaut de celui-ci, le président de la Cour Suprême. Si l'empêchement était absolu ou il durerait indéfiniment, ou par plus de temps du signalé à l'exercice de la présidence, le vice-président, dans les dix jours suivants à la déclaration qu'il à ce sujet devait faire le Congrès, il expédierait les mandats convenables pour qu'il se procédât dedans du terme de soixante jours, à nouvelle élection dans la forme prévenue par la Constitution et, par la loi d'élections.

D'accord avec la Constitution de 1980, en cas que le président élu se trouve empêché pour prendre possession de la charge, lui substituera en attendant, avec le titre de Vice-président de la République, le président du Sénat; à défaut de celui-ci, le président de la Cour Suprême, et à défaut de celui-ci, le président de la Caméra de Députés; après les réformes de 2005, il s'a changé l'ordre avant signalé, en restant actuellement, à suite du président du Sénat, le président de la Caméra de Députés, et à défaut de celui-ci, le président de la Cour Suprême. Si l'empêchement est absolu ou il devait durer indéfiniment, le vice-président, dans les dix jours suivants à l'accord qu'il doit il adopter le Sénat, expédie les mandats convenables pour qu'il se procède, dedans du terme de soixante jours, à nouvelle élection dans la forme prévue par la Constitution et la loi d'élections.

Historiquement ils ne se sont pas présenté des situations qu'ils aient obligé à appliquer les normes avant rapportées.

Du président en exercice modifier

 
Juan Antonio Rivières, pendant sa visite aux États-Unis en 1945, a été subrogé par le ministre de l'Intérieur Alfredo Duhalde.

Dans la Constitution de 1833 se disposait que, en cas que le président de la République il commandait personnellement la force armée, ou lorsque par maladie, absence du territoire de la République ou autrui grave motif ne pouvait pas exercer sa charge, il lui subrogerait ou il substituerait temporellement le ministre du Bureau de l'Intérieur avec le titre de Vice Président de la République. À défaut de celui-ci, lui substituerait le ministre du Bureau le plus ancien et, à défaut des ministres du Bureau, le conseiller d'État plus ancien, que je n'allais pas ecclésiastique. En 1910, après la mort du président Pedro Montt et, postérieurement, du vice-président Elías Fernández Albano, s'ont suscités des doutes à l'heure de définir qui est-ce qui devait se comprendre comme "Ministre du Bureau le plus ancien", en étant résolues dans le sens que l'ancienneté se rapportait à la date de juramento dans la charge de ministre et ne à la de création du ministère.

De son coté, la Constitution de 1925 établissait que, lorsque le président commandait personnellement la force armée, ou lorsque par maladie, absence du territoire de la République ou autrui grave motif, ne pouvait pas exercer sa charge, il lui subrogerait ou il substituerait temporellement, avec le titre de Vice Président de la République, le ministre à qui avantage l'ordre de precedencia que signale la loi. À défaut de celui-ci, lui substituerait le ministre qu'il suive dans cet ordre de precedencia, et à défaut de tous les ministres, successivement, le président du Sénat, le président de la Caméra de Députés ou le président de la Cour Suprême. L'arrêté avec force de loi n.º 7912, De 5 décembre de 1927, a établi l'ordre de precedencia des ministères, de la suivante forme: ministre de l'Intérieur, de Relations Extérieures, d'Éducation Publique, de Justice, de Guerre, de Marina, de Promotion, de Bien-être Social.[12] Postérieurement, un Arrêté n.º 5802, Du Ministère de l'Intérieur, de 24 décembre de 1942, a fixé le suivant mandat de precedencia des Ministères: Ministère de l'Intérieur; Relations Extérieures; Économie et Commerce; Trésor; Éducation Publique; Justice; Défense Nationale; Oeuvres Publiques et Voies de Communication; Agriculture; Terroirs et Colonisation; Travail; et Salubridad, Prévision et Assistance Sociale.[13]

Les règles disposées par la Constitution en vigueur sont similaires aux antérieures, et signalent que, en cas d'empêchement temporel, par maladie, absence du territoire ou autrui grave motif, le président de la République est subrogé, avec le titre de vice-président de la République, par le ministre d'État titulaire à qui corresponde d'accord avec l'ordre de precedencia légal. À défaut de tous ils, il est subrogé par le président du Sénat; à défaut de celui-ci, par le président de la Caméra de Députés, et à défaut de celui-ci, par le président de la Cour Suprême.

Jusqu'à l'an 2011, l'ordre de precedencia légal des ministères d'État, était le contenu dans l'Arrêté avec Force de Loi n.º 7912 De 1927.Comme dit listage résultait obsolète –de même que signalé dans l'Arrêté n.º 5802 De 1942–, donc quelques ministères qu'il comprenait déjà n'existaient pas comme tels (ont été modifiés ou refundidos en autrui) et omitía les créés avec postériorité à son promulgation, s'accourait au Règlement de Ceremonial Public et Protocole, contenu dans l'Arrêté n.º 537 Du Ministère de Relations Extérieures, de 18 août de 2002, pour "bâtir" l'ordre de precedencia actualisé; ainsi celui-ci restait de la suivante forme: ministre de l'Intérieur; Relations Extérieures; Défense Nationale; Trésor; Secrétariat Général de la Présidence; Secrétariat Général de Gouvernement; Économie, Promotion et Tourisme; Planification et Coopération; Éducation; Justice; Travail et Prévision Sociale; Oeuvres Publiques; Santé; Logement et Urbanisme; Agriculture; Minería; Transport et Télécommunications; et Biens Nationaux.[14][15]

Postérieurement, avec la Loi n.º 20.502 De 21 février de 2011 s'a actualisé le listage de ministères, moyennant une réforme à l'Arrêté avec Force de Loi n.º 7912 De 1927, en se fixant avec clarté l'ordre de precedencia légal entre ceux-ci, compatibilizándolo totalement avec l'ordre contenu dans le Règlement de Ceremonial Public et Protocole. De cette forme, à partir de telle date, l'ordre de precedencia des ministères est le suivant: ministre de l'Intérieur, de Relations Extérieures, de Défense Nationale, de Trésor, Secrétaire Général de la Présidence, Secrétaire Générale de Gouvernement, d'Économie, Promotion et Tourisme, de Planification, d'Éducation, de Justice, Travail et Prévision Sociale, d'Oeuvres Publiques, de Santé, de Logement et Urbanisme, d'Agriculture, de Minería, de Transport et Télécommunications, de Biens Nationaux, d'Énergie, et d'Environnement.[16]

Vacancia Du président modifier

La Constitution de 1833 établissait que la vacancia du président se produisait dans les cas de mort, déclaration d'y avoir lieu à son il renonce, ou une autre classe d'impossibilité absolue, ou qu'il ne pouvait pas cesser avant de se accomplir le temps qui manque aux 5 ans de sa durée constitutionnelle. En tel cas, est était arrivé dans le commandement d'accord avec les règles de subrogación de président en exercice, en devant le gouvernement expédier les mandats convenables pour qu'il se procédât à nouvelle élection de président dans la forme prévenue par la Constitution.

Pour la Constitution de 1925, la vacancia de la charge existait dans les cas de mort, déclaration d'y avoir lieu à son il renonce, ou une autre classe d'impossibilité absolue, ou qu'il ne pouvait pas cesser avant de se accomplir le temps qui manque de la période constitutionnelle. En dite situation, la succession dans le commandement se vérifiait d'accord avec les règles de subrogación de président en exercice, en devant le vice-président, en les premiers dix jours de son gouvernement, expédier les mandats convenables pour qu'il se procédât, dedans du terme de soixante jours, à une nouvelle élection de président dans la forme prévenue par la Constitution et par la loi d'élections.

Dans la Constitution de 1980 les causales de vacancia ne sont pas nombrées, comme dans les textes constitutionnels antérieurs. De la lecture de ses normes et de l'application d'autres dispositions de l'ordonnance juridique chilien en vigueur, ils se signalent les suivantes:

  • Mort, n'est pas mentionnée explícitamente, mais résulte évidente.
  • Il renonce, qu'il doit être admise par le Sénat, en devant écouter préalablement au Tribunal Constitutionnel.
  • Inhabilidad, Que doit être déclarée par le Sénat, lorsqu'un empêchement physique ou mental le inhabilite pour l'exercice de ses fonctions, en devant écouter préalablement au Tribunal Constitutionnel.
  • Déclaration de culpabilité en jugement politique, que doit être prononcée par le Sénat, en restant destitué de sa charge.
  • Condamnation en matière pénale, dans l'événement que la sentence lui porte la déclaration d'inhabilité pour des charges ou des métiers publics.
  • Déclaration d'inhabilité par sentence du Tribunal Constitutionnel, que déclare la inconstitucionalidad d'organisations et de mouvements ou partis politiques, et la responsabilité des personnes qu'eussent eu participation dans les faits qu'ont motivé telle déclaration, donc il implique, entre autres sanctions, la perte de session plénière droite des charges publiques d'élection populaire qu'il s'avait possession, bien que en se traitant du président requiert, en plus, l'accord du Sénat.

Vérifiée la vacancia, se produit la subrogación conformément à l'ordre antérieurement mentionné pour le président en exercice, et se doit procéder à choisir au successeur –que dure dans la charge jusqu'à compléter la période qui soustrayait à qui remplace, n'en pouvant pas postular comme candidat à l'élection présidentielle suivante–, d'accord avec les suivantes règles:

  • Si ils manquent moins de deux ans pour la prochaine élection présidentielle, le président est choisi par le Congrès Plein par la majorité absolue des sénateurs et députés en exercice.
  • Si ils manquent deux ans ou plus pour la prochaine élection présidentielle, le vice-président, dedans des dix premiers jours de son mandat, doit convoquer à élection présidentielle pour le 60e jour après la convocation.

Facultés, attributions et devoirs du président modifier

Le Congrès en 1826, moyennant les Lois Fédérales, outre disposer que le chef de l'État se dénommerait dorénavant président de la République, a établi que ses attributions seraient "celles qui ils correspondent au Pouvoir Exécutif par les lois preesistentes et celles qui ulteriormente convienne celle-ci et les subsiguientes lejislaturas".

Le même an, moyennant une loi de 14 octobre ils s'ont réglés en forme provisoria, tant que s'approuvait la Constitution, les "attributions du Pouvoir Exécutif", en se fixant également une série d'interdictions. L'exercice de ces facultés, en générale, ils requéraient de l'accord de la "Législature Nationale".[17]

Le président dans la Constitution modifier

Constitution de 1828 modifier

 
Exemplaire de la Constitution Politique de la République du Chili de 1828.

« Artículo 60. El Supremo Poder Ejecutivo será ejercido por un ciudadano chileno de nacimiento, de edad de más de treinta años, con la denominación de Presidente de la República de Chile. »

La Constitution de 1828 établissait que "L'exercice de la souveraineté [...] Il se divise en trois pouvoirs, que sont: le Législatif, le gouvernement et le Judiciaire, lesquels ils s'exerceront separadamente, n'en devant pas se réunir dans aucun cas" (article 22), en disposant que le Pouvoir Exécutif serait exercé par un "président de la République du Chili" (article 60), et en créant en plus un vice-président, pour le subroger ou le remplacer, le cas échéant.

Dans l'article 83 fixait les facultés présidentielles, en exprimant que "ils Sont des attributions du Pouvoir Exécutif", entre autrui: nommer et brasser aux Ministres Secrétaires du Bureau –qui pouvaient il être accusés devant la Caméra de Députés et jugés par le Sénat de même que le même président–, aux officiels des secrétariats, et munir les emplois civils, militaires et ecclésiastiques, avec accord du Sénat, ou de la Commission Permanente en sa receso, pour les diplomates, et officiels #supérieur de l'armée –les ministres de la Cour Suprême les désignait le Congrès–; désigner aux intendentes, viceintendentes, et juges avocats de première instance, de ternas proposées par les Assemblées provinciales. Il pouvait destituer aux employés, par ineptitud ou omission, en requérant du consentement du Sénat, ou de la Commission Permanente en sa receso, et par la commission de délits, en devant passer les antécédents aux tribunaux de justice.

Aussi, il lui correspondait au président l'exercice des attributions du patronat, mais la proposition des évêques devait se faire avec l'approbation de la Caméra de Députés. Il possédait, également, attributions en matière législative, en pouvant proposer des lois et exercer la faculté de veto suspensivo sur les projets de loi approuvés par les caméras du Congrès; il devait promulguer les lois, présenter annuellement au Congrès le budget des dépenses nécessaires, et rendre compte de l'investissement du budget antérieur. En général, le Congrès National, à son tour, devait approuver toutes les lois et certains actes du gouvernement, le budget national et le compte de son investissement, et celle qui fixait annuellement les forces armées (article 46).

Cette Constitution n'a pas établi un pouvoir exécutif fort, comme celui qui se requérait dans le contexte de l'instabilité que s'a généré dans la période de l'Organisation de la République –et qu'il a terminé dans la Révolution de 1829–, donc les pouvoirs du président ils étaient conditionnés à l'actionner du Congrès, et sa gestion gubernativa limitée, en des diverses formes, par les attributions que possédaient les deux caméras du Congrès et les assemblées provinciales, les intendentes et gouverneurs locaux.[18][19]

Constitution de 1833 modifier

 
Exemplaire de la Constitution Politique de la République du Chili de 1833.

« Artículo 59. Un ciudadano con el título de Presidente de la República de Chile administra el Estado, y es el jefe Supremo de la Nación. »

La Constitution de 1833 disposait que le président était le "chef Suprême de la Nation" (article 59), en lui attribuant l'administration et gouvernement de l'État, en agrégeant que "son autorité s'étend à tout combien il a par objet la conservation de l'ordre public dans l'intérieur, et la sécurité extérieure de la République, en gardant et en faisant garder la Constitution et les lois" (article 81). Il était irresponsable politiquement pendant son mandat et il possédait un organisme consultatif, dénommé Conseil d'État, dont l'avis était obligatoire dans certaines matières.

Les facultés qui se reconnaissent au président ils sont très amples, en surpassant ceux qui auraient jusqu'alors eu les gouvernant en Chili, en couvrant un grand éventail d'activités de l'État: gouvernement intérieur, relations extérieures, justice, trésor, guerre, éducation et matières ecclésiastiques. Gabriel Amunátegui le décrivait comme "un petit monarque temporel, absolu et irresponsable".[n 15]

L'article 82 établit une série de "attributions spéciales" du président, entre autrui: nommer et brasser à sa volonté aux Ministres du Bureau et officiels de ses secrétariats, aux Conseillers d'État, aux ministres diplomatiques, aux consuls et des autres agents extérieurs, et aux intendentes de province et gouverneurs de place; nommer les magistrats des tribunaux supérieurs de justice, et les juges avocats de première instance, sur proposition du Conseil d'État; veiller sur la pronta et accomplie administration de justice, et la conduite ministérielle des juges; munir les autres emplois civils et militaires, avec accord du Sénat, et avec le de la Commission Conservatrice en sa receso, en s'agissant des officiels supérieurs de l'Armée et Armée; destituer aux employés par ineptitud, ou un autre motif similaire, –avec accord du Sénat, et en son receso avec le de la Commission Conservatrice, en cas de de les chefs de bureau ou employés supérieurs, et avec rapport du respectif chef, en s'agissant d'employés subalternos–; exercer le droit de patronat, en présentant les candidats pour les arzobispados, obispados et autres dignidades ecclésiastiques –à proposition en terna du Conseil d'État, et avec approbation du Sénat en ce qui concerne les deux premiers–; déclarer en état d'endroit, et par un déterminé temps, un ou divers points du territoire en cas d'attaque extérieure, avec accord du Conseil d'État, et en cas de commotion intérieure, avec le de le Congrès National, en se suspendant l'empire de la Constitution dans le territoire compris en telle déclaration (article 161).

En plus, le président possédait des importantes attributions en matière législative, qu'ils contredisaient le enunciado de l'article 13 ("Le Pouvoir Législatif réside dans le Congrès National"), en concourant à la formation des lois: il pouvait présenter des projets de loi, prorrogar les sessions ordinaires du Congrès et le convoquer à des sessions extraordinaires, avec accord du Conseil d'État, et il devait les sanctionner et les promulguer, en jouissant de droit à veto absolu, dans dont cas le projet desechado totalement ne pouvait pas être proposé à nouveau dans la séances législatives de cet an. Le Congrès National, en général, devait approuver toutes les lois, fixer annuellement le budget de dépenses de l'administration et les forces de mer et terroir, et chaque dix-huit mois les contributions (dénommées en ensemble comme "des lois périodiques"), et il pouvait attribuer au président "facultés extraordinaires", qu'ils lui permettaient legislar par voie réglementaire et suspendre temporellement les droits constitutionnels.

La Constitution n'ajustait pas pleinement ni au régime parlementaire ni au présidentiel, en enfermant éléments d'un et d'un autre système. Les réformes constitutionnelles qui s'ont effectués en 1874, tendieron à diminuer le pouvoir présidentiel et robustecer au Congrès, ce que a permis le surgimiento du parlamentarismo chilien. Il s'a supprimé la concession de "facultés extraordinaires", en les substituant par une autorisation pour dicter "lois exceptionnelles", et l'attribution de "veiller sur la pronta et accomplie administration de justice"; ils s'ont modifiés les effets de la declaratoria d'état d'endroit, en se limitant à la faculté présidentielle d'arrêter ou déplacer des personnes; ils s'ont modifiés les facultés et la composition du Conseil d'État, en remportant que la plupart de ses membres ils allaient désignés par les caméras du Congrès, entre autrui. À partir de dite époque s'a commencé à débattre largement la détermination du système politique établi dans la Lettre de 1833: si il était de predominio présidentiel ou parlementaire. Cela est allé enfin résolu moyennant les armes, dans la guerre civile chilienne de 1891, avec le triomphe des forces du Congrès, en s'imposant alors l'interprétation parlementaire de la Constitution.

Avec la République Parlementaire, à partir de 1891, s'est imposé la pratique parlamentarista, sans que s'introduisissent des majeurs changements dans le texte constitutionnel, sauf par la modification du système de convocation à des sessions extraordinaires du Congrès, afin de prévenir les événements préalables à la Guerre Civile, et du veto présidentiel, qu'a été substitué par un mécanisme de veto suspensivo. Pendant la période, le président s'a transformé dans un simple chef d'État, dont le cabinet requérait de la confiance du Congrès, en faisant les fois de chef de gouvernement le ministre de l'Intérieur, bien que en manquant de la faculté de dissoudre les caméras du Congrès.

Le système s'a maintenu jusqu'aux ans 1920, époque en que le système parlementaire chilien il est entré en crise, produit du desprestigio dérivé de l'inefficacité gubernativa que générait, par la censure continue des cabinets ministériels, et la crise économique qui affectait au pays. En 1924 il s'a produit un putsch, en s'installant une Junte de Gouvernement, qu'a assumé le pouvoir en remplacement du président que se exilió, et qu'a décidé dissoudre le Congrès National.[20]

Constitution de 1925 modifier

 
Exemplaire de la Constitution Politique de la République du Chili de 1925.

« Artículo 60. Un ciudadano con el título de Presidente de la República de Chile administra el Estado, y es el Jefe Supremo de la Nación. »

La Constitution de 1925, d'après se rend compte dans les actes de la commission rédactrice, il a prétendu remplacer le régime parlementaire imperante par un "absolument peculiar, adapté à nos habitudes politiques et orientées à corriger nos maux; il est une thérapie spéciale pour le Chili, ne copiée de part quelqu'une", en se procurant un majeur écart entre les fonctions du Congrès National et du président.[21]

Dans cette constitution, de même que dans la Lettre de 1833, le président était le "Chef Suprême de la Nation". Il lui était confiée l'administration et gouvernement de l'État, et son autorité s'étendait à tout combien il avait par objet la conservation de l'ordre public dans l'intérieur, et la sécurité extérieure de la République, "d'accord avec la Constitution et les lois" (article 71).

L'article 72 contient les "attributions spéciales du président", où se lui attribue, entre autrui: la faculté de nommer et brasser à sa volonté aux ministres d'État et Officiels de ses Secrétariats –en s'agrégeant explícitamente que les accords qu'il adoptait la Caméra de Députés en la fiscalización des actes du gouvernement n'engageaient pas la responsabilité politique de ces (article 39 n.º 2), Bien que de même que le président pouvaient être objet d'un jugement politique–, aux Agents diplomatiques, intendentes et gouverneurs; nommer aux magistrats des tribunaux supérieurs de justice, d'une quina –pour les ministres de la Cour Suprême– ou terna –pour les ministres des Cours d'Appellations–, proposition par la Cour Suprême, et aux Juges Avocats, à proposition en terna de la Cour d'Appellations de la juridiction respective; veiller par la conduite ministérielle des juges et autres employés du Pouvoir Judiciaire; munir les autres emplois civils et militaires qui déterminent les lois, conformément au Statut Administratif, et conférer, avec accord du Sénat, les emplois ou degrés de colonels, capitaines de navire et autres officiels supérieurs de l'Armée et Armée; destituer aux employés de sa désignation, par ineptitud ou un autre motif –avec accord du Sénat, si sont des chefs de bureaux, ou employés supérieurs, et avec rapport de l'autorité respective, si sont des employés subalternos–, en conformité aux lois organiques de chaque service public.

En plus la Constitution accordait des amples facultés colegisladoras au président, donc ne seulement lui attribue la sanction et promulgation des lois, et le droit à veto suspensivo, mais aussi une amplísima initiative législative –exclusive à l'égard des suppléments à des départs ou ítem de la loi de budgets–, la possibilité de urgir le bureau des projets de loi (moyennant le dénommé système de "urgences") et intervenir dans sa discussion à travers les ministres d'État. il aussi possédait l'attribution de prorrogar la période ordinaire de séances du Congrès ("législature ordinaire") et le convoquer à une période de sessions extraordinaires ("législature extraordinaire") –bien que le Congrès aussi pouvait autoconvocarse–. En général, le Congrès National devait approuver toutes les lois et attribuer son accord pour des sujets spécifiques, comme l'autorisation pour que le président il pût sortir du territoire national.

La Constitution a disposé que au s'inaugurer chaque législature ordinaire (du 21 mai au 18 septembre de chaque an), le président devait rendre compte au Congrès Plein de l'état administratif et politique de la Nation (article 56), en incorporant une pratique qui s'est imposé depuis les premiers ans de vigueur de la Lettre de 1833.[22]

En 1943 il s'a introduit la première de réforme constitutionnelle à la Lettre de 1925, à travers la loi 7727. Entre autres matières, il s'a réduit la liberté d'initiative législative des sénateurs et députés, en accordant exclusivité au président pour présenter projets de loi en matière d'altération de la division politique ou administrative du pays, pour créer nouveaux services publics ou emplois rentados, et pour accorder ou augmenter des salaires et des gratifications au personnel de l'Administration, des entreprises fiscales et des institutions semifiscales; en ce qui concerne des telles initiatives, le Congrès National il seulement pouvait accepter, diminuer ou rejeter les services, emplois, emolumentos ou augmentations qui se proposassent. En plus, il se lui a attribué au président la faculté pour décréter paiements n'autorisés par la loi, avec la signature de tous les ministres d'État, dans certaines situations de gravité ou émergence pour le pays, et jusqu'à 2 % du budget de dépenses approuvé pour l'an ("arrêtés d'émergence économique").

Moyennant la loi 17284 de 1970 s'a réformé à nouveau la Constitution. Entre autres aspects, il s'a facilité la sortie du pays du président, en requérant de l'accord du Congrès seulement en cas d'absence du territoire national par plus de quinze jours ou en les derniers quatre-vingt-dix jours de son mandat; il se lui a permis dicter des arrêtés avec force de loi, préalable délégation du Congrès, en se fixant le cadre de la respective autorisation, les matières et la forme de contrôle des normes dictées –sans préjudice que dans la pratique antérieure ils s'ont attribués des amples lois delegatorias aux présidents, bien que la Constitution ne le contemplait pas (article 44 n.º 13)–; Ils s'ont modifiés les matières d'initiative exclusive du président, en l'étendant à tous les projets de loi d'ordre économique et social –tributs, rémunérations, régimes de prévision et sécurité sociale–; et il se lui a permis consulter aux citoyens, moyennant plebiscito, en cas de divergencias sur un projet de réforme constitutionnelle, entre le président et le Congrès.

Après le Putsch de 1973, s'a installé une Junte Militaire de Gouvernement, qu'a assumé le "commandement suprême de la Nation", comme le signale son acte constitutiva –contenue dans l'Arrêté Loi n.º 1 Du même an–. Dit acte ne derogó ni a suspendu la Constitution de 1925, mais qu'il a affirmé que la junte respecterait "la Constitution et les lois de la République, dans la mesure en que l'actuelle situation le pays ils le permettent [sic]" (article 3.º). Avec l'Arrêté Loi n.º 128 De 1973, s'a éclairci que le commandement suprême de la Nation supposait "l'exercice de toutes les attributions des personnes et organes que composent les Pouvoirs Législatifs et Exécutif, et en conséquence le Pouvoir Constituant que à ils correspond" –exercés par la Junte Militaire moyennant des arrêtés lois–, et que le Pouvoir Judiciaire il exercerait ses fonctions "dans la forme et avec l'indépendance et des facultés que signale la Constitution Politique de l'État", tant que le Pouvoir Exécutif serait exercé à travers des arrêtés suprêmes et des résolutions. À partir de ce moment, la Constitution a été objet de diverses modifications, tu exprimes et tácitas, moyennant des arrêtés lois, dedans du contexte d'un "procès de desconstitucionalización" des normes constitutionnelles, que sont passé à avoir vigueur dans le même degré que les lois ordinaires.[23]

Le Statut de la Junte de Gouvernement (je décrète loi 527 de 1974) il a établi que le "pouvoir exécutif" serait exercé par "le Président de la Junte de Gouvernement, qui est le Chef Suprême de la Nation" et il aurait les facultés, attributions et prérogatives que le même Statut il fixait (article 7); il s'a postérieurement modifié la norme, en se disposant que le président de la Junte "qui, avec le titre de Président de la République du Chili, administre l'État et il est le Chef Suprême de la Nation, avec les facultés, attributions et prérogatives que ce même Statut lui attribue". Ses "attributions spéciales" étaient, en générale, similaires à ces signalées dans la Constitution de 1925, et son énumération terminait en exprimant qu'ils aussi se comprenaient les autres "que la Constitution et les lois accordent au Président de la République" (article 10 n.º 15).

Constitution de 1980 modifier

 
Exemplaire de la Constitution Politique de la République du Chili.

« Artículo 24. El gobierno y la administración del Estado corresponden al Presidente de la República, quien es el Jefe del Estado. »

La Constitution de 1980, signale que le gouvernement et l'administration de l'État ils correspondent au président de la République, à celui que intitule proprement de "Chef d'État", à différence des deux textes constitutionnels préalables qui utilisaient l'expression "Chef Suprême de la Nation". Le chapitre sur le "Gouvernement" –que comprend le paragraphe sur le président de la République– se présente dans le texte plutôt que le rapporté au Congrès National –que l'a traditionnellement précédé–, comme forme de ressortir le rôle du président dedans de la institucionalidad; en plus, le titre du chapitre s'explique parce que, entre autres raisons, en il se contemplent, d'un côté, toutes la tâches que lui competen au président dans la direction du pays comme chef maximal du Pouvoir Exécutif et, par autrui, celles qui ils lui rentrent dedans de l'administration de l'État.[24]

La Constitution, au le qualifier comme Chef d'État, le définit comme le "organe maximal de l'ordonnance juridique et, en même temps, le centre de sa normativité, puisque à il et en il convergen d'une façon ou autrui les autres organes". D'accord avec l'article 24, le président dispose du pouvoir gouvernemental "que lui permet adopter, toujours dedans de la Lettre, n'importe quelle mesure que ne se trouve pas explícitamente attribuée au législateur ou à un autre organe d'hiérarchie constitutionnelle".[n 16]

Cependant, le gouvernement et l'administration de l'État "ils ne lui appartiennent pas exclusivement à il, mais que lui competen dans le degré le plus remarquable, et peu de fois de façon exclusive et excluyente, bien que en beaucoup d'aspects de façon spéciale", bien que toujours d'accord avec la Constitution et les lois. La Lettre se les confère avec toutes les limitations et des contraintes qu'elle même il établit; il est par ceci que "sa faculté d'administrer ne comprend pas ni il peut comprendre aux organisme autonomes que contemple la Constitution, comme la Contraloría Générale de la République, le Banc Central et les Municipalités".[25]

La Constitution, également, dispose que l'autorité du président "s'étend à tout combien il a par objet la conservation de l'ordre public en l'intérieur et la sécurité externe de la République, d'accord avec la Constitution et les lois" (article 24 inciso deuxième). C'est-à-dire, il ne lui charge pas la "simple exécution passive et d'accomplissement littéral de cela qu'est prévu dans l'ordonnance en vigueur, mais que, sans se sortir du cadre que lui impose, il devra comprendre qu'il agit conformément à la Constitution, autant lorsqu'use les attributions spéciales que celle-ci et les lois ils signalent, comme au temps où il étend son autorité à tout ce que regarde à la conservation de l'ordre public interne et à la sécurité externe, bien que ne soit pas prévu explícitamente dans la lettre des règles de droit positif en vigueur et à condition que n'écrase pas l'orbite propre du législateur ou la de les autres organes constitutionnels". Il est nécessaire avoir présent, à chaque instant, que le président est une des autorités par l'intermédiaire desquelles il s'exerce la souveraineté, et il n'est pas le titulaire et dépositaire du pouvoir qu'il exerce, mais que seulement un délégué (article 5) –de là l'exactitude de la dénomination de "Premier Mandataire"–, en étant responsable de ses actes. En plus, dans son texte original, preceptuaba que le président devait donner, au moins une fois à l'an, compte au pays de l'état administratif et politique de la nation (article 24, inciso final); avec la réforme de 2005, elle dois s'effectuer précisément le 21 mai de chaque an devant le Congrès Plein, en ramassant avec cela la tradition constitutionnelle à ce sujet.

La Constitution de 1980, depuis son entrée en vigueur, le 11 mars 1981, jusqu'au terme du mandat présidentiel d'huit ans disposé par la même, ou soyez, jusqu'au 11 mars 1989 —que se prorrogó un an, d'accord avec la règle vigesimonovena transitoire, c'est-à-dire, jusqu'au 11 mars 1990, en raison du résultat du plebiscito de 1988—, a fixé une période constitutionnelle transitoire, configuré basiquement par les préceptes contenus dans les normes quatorzième à vigesimoséptima transitoires.[n 17] Au signaler les facultés du président, la règle quinzième lui attribuait les attributions et des obligations contenues dans les normes permanentes de la même Lettre, avec certaines modifications et des exceptions; de cette façon, se lui a permis décréter par soi même les états d'émergence et catastrophe, et désigner et brasser librement aux maires, et en lui imposant l'accord de la Junte de Gouvernement pour certains actes: désignation des Comandantes en Chef des Forces Armées et au Général Directeur de Carabineros et du Contralor Général de la République; déclaration de guerre; implantation des états d'assemblée et d'endroit; déclarer la guerre; admission des actions contre les ministres d'État pour faire effective sa responsabilité civile dérivée de l'exercice de ses fonctions; et absence du pays par plus de trente jours ou en les derniers quatre-vingt-dix jours de sa période.

D'autre part, dans son texte permanent, la Constitution a établi originalmente un régime présidentiel autoritaire avec un clair déséquilibre entre le président et le Congrès, en faveur du premier.[26] Les réformes constitutionnelles de 1989, entre autres aspects, il a diminué dit déséquilibre, en privant au président de la faculté de dissoudre la Caméra de Députés.

Avec les réformes constitutionnelles de 2005, le président il a récupéré l'attribution, contemplée dans les antérieures constitutions, d'appeler à retraite aux Comandantes des Forces Armées et au Général Directeur de Carabineros avant de compléter sa respective période; préalable à cette réforme, l'appelé à retraite procédait en des cas qualifiés et avec accord du Conseil de Sécurité Nationale. D'autre part, au derogarse la figure des sénateurs désignés, s'ont éliminés les facultés présidentielles d'intervention dans sa nomination.

Le régime actuellement en vigueur se rapproche à un presidencialismo démocratique pur. L'ample accumulation d'attributions que possède le président de la République, ils ont configuré un fort presidencialismo –ou presidencialista avec tendance au neopresidencialismo–[27], que s'est montré quelque chose plus vigoroso au se projeter dans un État Unitario, comme l'est le Chili.

Attributions spéciales

La Constitution nombre dans l'article 32 les "attributions spéciales du Président de la République". Cette norme ne suppose pas taxatividad ou un numerus clausus, puisque les indiquées ne sont pas toutes celles qui lui competen, parce qu'existent autrui expressément conférées dans autres sections de la Lettre et parce que, en plus, sa mission il ne s'harasse pas "en des tâches spécifiques, mais qu'il est universelle par sa vastedad et transcendance", situation avant commentée. En envisageant son contenu, celles-ci ont été classées en: attributions liées avec le pouvoir constituant (article 32 n.º 4), Liées avec la fonction législative (n.º 1, 2 Et 3), liées avec le Pouvoir Judiciaire (n.º 12 Et 13), liées avec les Forces Armées (n.º 16, 17, 18 Et 19), liées avec l'organisation institutionnelle (n.º 9), Matières de relations extérieures (n.º 8 Et 15), de caractère politique (n.º 5 Et 14), de caractère administratif (n.º 6, 7, 10, 11 Et 20).[n 18][n 19]

Après la réforme constitutionnelle de 2005, ils sont des attributions spéciales du président de la République les suivantes:

  • Concourir à la formation des lois avec arrange à la Constitution, les sanctionner et les promulguer.
  • Demander, en indiquant les motifs, qu'il se cite à séance à n'importe qui des branches du Congrès National. En tel cas, la séance dois se célébrer à la brevedad possible.
  • Dicter, préalable délégation de facultés du Congrès, arrêtés avec force de loi sur les matières que signale la Constitution.
  • Convoquer à plebiscito dans les cas de l'article 128 (sur réforme constitutionnelle).
  • Déclarer les états d'exception constitutionnelle.
  • Exercer la puissance réglementaire en toutes ces matières que ne soyez pas propres de la domination légale, quitte à la faculté de dicter les autres règlements, arrêtés et instructions qu'il crée convenables pour l'exécution des lois.
  • Nommer et brasser à sa volonté aux ministres et subsecretarios, les intendentes et gouverneurs.
  • Désigner aux ambassadeurs et des ministres diplomatiques, et aux représentants devant des organismes internationaux.
  • Nommer au Contralor Général de la République du Chili avec accord du Sénat.
  • Nommer et brasser aux fonctionnaires que la loi il dénomme comme de sa "exclusive confiance" et munir les autres emplois civils. La remoción des autres fonctionnaires se fait d'accord avec les dispositions que la loi il détermine.
  • Accorder des retraites, retraites, montepíos et pensions de grâce, avec arrange aux lois.
  • Nommer aux magistrats et des procureurs judiciaires des Cours d'Appellations et aux juges avocats, à proposition de la Cour Suprême et des Cours d'Appellations, respectivement; aux membres du Tribunal Constitutionnel qu'il lui correspond désigner; et aux magistrats et des procureurs judiciaires de la Cour Suprême et au Procureur National, à proposition de dite Cour et avec accord du Sénat, tout cela conformément au prescrit dans cette Constitution.
  • Veiller par la conduite ministérielle des juges et autres employés du Pouvoir Judiciaire et requérir, avec tel objet, à la Cour Suprême pour que, s'il y a lieu, déclarez son mauvais comportement, ou au ministère public, pour que réclame des mesures disciplinaires du tribunal compétent, ou pour que, si il y avait mérite assez, il intente la correspondante accusation.
  • Attribuer des grâces particulières en les cas et des formes qu'il détermine la loi.
 
Michelle Bachelet Jeria je joins au président du Brésil Lula da Silva. Le président du Chili est le conducteur des relations internationales
  • Conduire les relations politiques avec les puissances étrangères et des organismes internationaux, et mener à terme les négociations; conclure, signer et ratifier les traités qu'il estime convenables pour les intérêts du pays, ceux qui devront être soumis à l'approbation du Congrès.
  • Désigner et brasser aux Comandante en Chef de l'Armée, de l'Armée, de la Force Aérienne et au Général Directeur de Carabineros, et disposer les nominations, hausses et retraites des Officiels des Forces Armées et de Carabineros dans la forme que signale la Constitution.
  • Disposer des forces d'air, mer et terroir, les organiser et les distribuer d'accord avec les besoins de la sécurité nationale.
  • Assumer, en cas de guerre, la préfecture suprême des Forces Armées.
  • Déclarer la guerre, autorisation préalable par loi, en devant faire état d'y avoir écouté au Conseil de Sécurité Nationale, et
  • Soigner de la recette des rentes publiques et décréter son investissement avec arrange à la loi.

il aussi possède des fonctions colegislativas: il existe une série de matières nombrées dans la Constitution d'initiative exclusive du président, en général sur des projets de loi que requièrent de financiamiento (le Congrès National ne peut pas "créer des dépenses" par soi seulement); il en plus possède la faculté d'intervenir dans le travail législatif moyennant le système de "urgences" ("urgence simple" et "il ajoute urgence") et de mettre son veto à projets de loi approuvés par le Congrès (veto suspensivo ou substitut).

Matières d'initiative législative exclusive

Il correspond au président de la République l'initiative législative exclusive pour:

  • Imposer, supprimer, réduire ou condonar tributs de n'importe quelle classe ou nature, établir des exemptions ou modifier les existantes, et déterminer sa forme, proporcionalidad ou progression.
  • Créer des nouveaux services publics ou emplois rentados, soient fiscaux, semifiscales, autonomes ou des entreprises de l'État; les supprimer et déterminer ses fonctions ou des attributions.
  • Embaucher empréstitos ou célébrer n'importe qui une autre classe d'opérations qu'ils puissent il engager le crédit ou la responsabilité financière de l'État, des établissements semifiscales, autonomes, des gouvernements régionaux ou des municipalités, et condonar, réduire ou modifier des obligations, intérêts ou autres charges financières de n'importe quelle nature établies en faveur du Fisc ou des organismes ou établissements rapportés.
  • Fixer, modifier, accorder ou augmenter des rémunérations, retraites, pensions, montepíos, rentes et n'importe qui une autre classe de emolumentos, prêts ou bénéfices au personnel en service ou en retraite et aux bénéficiaires de montepío, le cas échéant, de l'Administration et autres organismes et établissements antérieurement signalés, comme également fixer les rémunérations minimes des travailleurs du secteur privé, augmenter forcément ses rémunérations et des autres bénéfices économiques ou changer les bases qu'ils servent pour les déterminer.
  • Établir les modalités et des procédures de la négociation collective et déterminer les cas en qu'il ne se pourra pas négocier, et
  • Établir ou modifier les normes sur sécurité sociale ou qu'ils influent en elle, autant du secteur public comme du secteur privé.

Le Congrès National seulement peut accepter, diminuer ou rejeter les services, emplois, emolumentos, prêts, bénéfices, dépenses et autres initiatives sur la matière que propose le président de la République.

Facultés de législation déléguée

Le président de la République peut solliciter autorisation au Congrès National pour dicter dispositions avec force de loi, pendant un terme ne supérieur à un an, sur des matières qu'ils correspondent à la domination légale. Ces normes sont soumises en ce qui concerne sa publication, vigueur et effets, aux mêmes normes que régissent pour la loi.

L'autorisation rapportée ne peut pas s'étendre à la nationalité, la citoyenneté, les élections ni au plebiscito, comme non plus à des matières comprises dans les droits constitutionnels ou que doivent être objet de lois organiques constitutionnelles ou de quórum qualifié. il non plus peut comprendre des facultés qu'ils affectent à l'organisation, attributions et régime des fonctionnaires du Pouvoir Judiciaire, du Congrès National, du Tribunal Constitutionnel ni de la Contraloría Générale de la République. Quitte à l'antérieur, depuis 2005 le président est autorisé constitutionnellement pour fixer le texte refundido, coordonné et sistematizado des lois lorsque soit convenable pour sa meilleure exécution.

À la Contraloría Générale de la République lui correspond prendre raison de ces arrêtés avec force de loi, en devant les rejeter lorsqu'ils excèdent ou contravengan l'autorisation du Congrès.

Exercice des attributions modifier

 
Arrêté du président Juan Luis Sanfuentes, avec la signature de l'alors ministre de la justice et Instruction Publique Pedro Aguirre Cochonne, que désigne à Lucila Godoy (Gabriela Mistral) comme directrice du Lycée d'Enfants de Pointe Sables en 1918.

En étant le président de la République un organe unipersonnel, l'exercice de ses fonctions ne peut pas se qualifier de "exclusive", par combien l'ordonnance juridique chilien n'envisage pas qu'un acte du président, réalisé exclusivement par il, possédez force juridique obligatoire, en se requérant pour ils de la signature du ministre d'État du portefeuille respectif.

Ainsi, dans la loi de 14 février de 1827 se prescrivait, dans l'article 2e, que "Tous les arrêtés et mandats du Pouvoir Exécutif ils seront signés par le Secrétaire du Bureau à que il corresponde le sujet, et sans cette condition requise ils ne seront pas obéis". Dans la Constitution de 1828 s'établissait qu'il s'interdisait au Pouvoir Exécutif "Expédier des mandats sans les parapher et sans la signature du Ministre respectif. En manquant cette condition requise, aucun individu sera obligé à les obéir" (article 85 n.º 8).

La Constitution de 1833, dans l'article 86, se disposait que "Tous les mandats du Président de la République devront se signer par le Ministre du Département respectif, et ils ne pourront pas être obéies sans cette essentielle condition requise". À son tour, la Constitution de 1925 réitérait le précepte, en signalant que "Tous les mandats du Président de la République devront se signer par le Ministre du département respectif, et ils ne seront pas obéies sans cette essentielle condition requise" (article 75).

Dans la Constitution en vigueur, d'accord avec l'article 35, "Les règlements et arrêtés du Président de la République ils devront se signer par le Ministre respectif et ils ne seront pas obéis sans cette essentielle condition requise", en agrégeant en le inciso deuxième que "Les arrêtés et instructions pourront s'expédier avec la seule signature du Ministre respectif, par ordre du Président de la République, en conformité aux normes que à l'effet établisse la loi".

L'exigence de la signature, de à le moins un ministre d'État, ne seulement a par finalité donner authenticité à l'acte, mais différencier ces personnels du président, de ceux qui ont caractère fonctionnaire, et faire possible le système de responsabilités.

Responsabilité du président modifier

En relation à la nature et portée de la responsabilité assumée par le président de la République, se peut distinguer cette qu'il lui correspond comme simple particulière, de celle-là que lui compete comme le plus grand fonctionnaire de l'État.[28]

Responsabilité publique modifier

En principe, la responsabilité fonctionnaire du président se vérifie moyennant un jugement politique suivi dans son contre et que, le cas échéant, il peut le porter à sa destitution.

Dans la Constitution de 1828, le président pouvait être accusé pendant le temps de son gouvernement ou jusqu'à un an après son terme, devant la Caméra de Députés, par les délits de trahison, malversation de fonds publics, infraction de la Constitution, et violation des droits individuels. Arrivé à échéance signalé, ne pouvait pas être accusé par délit quelqu'un commis pendant la période de son gouvernement.

À son tour, la Constitution de 1833 disposait qu'il seulement pouvait être accusé dans l'an postérieur au terme de sa présidence, par tous les actes de son administration, en qu'ait gravement engagé l'honneur ou la sécurité de l'État, ou enfreint ouvertement la Constitution.

La Constitution de 1925 établissait qu'il pouvait être accusé par la Caméra de Députés, par des actes de son administration en qu'ait gravement engagé l'honneur ou la sécurité de l'État, ou enfreint ouvertement la Constitution ou les lois. Cette accusation pouvait s'interposer tant que j'étais en fonction et dans les six mois suivants à l'expiration de sa charge.

D'accord avec la Constitution de 1980, peut être accusé par la Caméra de Députés, par des actes de son administration qu'ils aient gravement engagé l'honneur ou la sécurité de la Nation, ou enfreint ouvertement la Constitution ou les lois. Cette accusation, que doit se présenter par ne moins de dix ni plus de vingt députés, il peut s'interposer tant que le président soyez en fonction et dans les six mois suivants à son expiration dans la charge. Pendant dit lapso, et encore après son éventuelle condamnation, seulement peut se faire effective la responsabilité publique par les causales matières du jugement politique.

La Caméra de Députés, comme attribution exclusive, doit déclarer si il y a ou ne lieu l'accusation à l'encontre du président de la République, en se requérant le vote de la plupart des députés en exercice pour déclarer qu'y a lieu l'accusation formulée. Postérieurement, il correspond au Sénat résoudre l'accusation, comme jury, en se limitant à déclarer si est ou ne coupable du délit, infraction ou abus de pouvoir que se lui impute. Cette déclaration de culpabilité doit être prononcée par les deux tiers des sénateurs en exercice.

Par la déclaration de culpabilité, le président en exercice reste destitué de sa charge et il ne peut pas occuper aucune fonction publique, soyez ou ne de élection populaire, par le terme de cinq ans. En plus, il reste sujet aux tribunaux compétents pour être jugé d'accord avec les lois, autant pour l'application de la peine signalée au délit, si l'y avait, combien pour faire effective la responsabilité civile par les dommages et intérêts causés à l'État ou à des particuliers.

Conclu la période présidentielle, et le lapso après de celui-ci fixé par la Constitution, peuvent s'interposer les actions civiles et pénales qu'ils correspondaient pour être effective la responsabilité fonctionnaire, dedans des termes de prescription, et quitte aux privilèges du procès dérivés du statut de expresidente.

Responsabilité particulière modifier

Le président, comme n'importe quel autre citoyen, et d'accord avec le principe d'égalité devant la loi, est responsable, civil et criminalmente, par les activités réalisées dans le milieu particulier ou privé. Il manque de fuero ou autres conditions requises du procès équivalentes, pour pouvoir procéder dans son contre.[n 20] Pourtant, il jouit de certaines bénéfices du procès pour faciliter son intervention en jugement (pour des interrogatoires ou des déclarations judiciaires), que se sont justifié répondue sa fonction publique.

Emblemas, Insignes et privilèges présidentiels modifier

Bande présidentielle et piocha d'Ou'Higgins modifier

 
Carlos Ibáñez avec la bande présidentielle et la piocha d'Ou'Higgins.

La bande présidentielle, usée initialement par Bernardo Ou'Higgins, s'a converti en symbole de l'autorité du premier mandataire avec l'assomption du président José Joaquín Prieto en 1831. Il est composée par trois franges avec les couleurs du drapeau du Chili, est cousue à la main et il mesure, environ, 75 cm de long et 13 cm de large.

Depuis le siècle XIX s'a maintenu une unique bande qu'il était traversée de président en président jusqu'à ce qu'en 1915, par suite des différences d'hauteur entre le saliente Ramón Vases Luco et l'élu Juan Luis Sanfuentes, s'a dû dessiner une nouvelle bande. Depuis cette date, chaque président a eu sa propre bande présidentielle, laquelle s'utilise seulement en des cérémonies officielles.[29]

La piocha d'Ou'Higgins, qu'est envisagée le véritable symbole du pouvoir présidentiel et qu'il se place dans le bout inférieur de la bande présidentielle, est une étoile de cinq pointes de, environ, 7 cm de diámetro, esmaltada en couleur rouge. Elle se remonte aux médailles de la Légion au Mérite et il s'a maintenu intacte jusqu'au putsch de 1973, dans qu'a disparu pendant le bombardement au Palais de la Monnaie. Pendant le Régime Militaire a été confectionnée une nouvelle, en des bases à des photographies de l'originale. il uniquement s'utilise je joins à la bande présidentielle.

Drapeau présidentiel modifier

 
Drapeau Présidentiel.

« Artículo n.º 1: [...] Se forma con la bandera nacional y el escudo de armas de la República bordado sobre sus colores en el centro del paño. »

Edecanes Présidentiels modifier

Les edecanes présidentiels sont quatre assistants militaires, un par chaque branche des Forces Armées (Armée, Armée, Force Aérienne) et un de Carabineros, que se distinguent par le cordón doré qu'usent dessus de l'uniforme, dont la principale mission est accompagner, protéger et assister au président en toutes ses activités officielles et le représenter dans les événements protocolares que spécifiquement leur confie.[30] Ils possèdent un bureau spécial dans le Palais de la Monnaie (la salle de Edecanes, attenante au bureau de la secrétaire privée du président).

Ils sont désignés par le propre président, d'une liste de candidats présentée par le Ministère de Défense et élaborée par les propres Forces Armées et de Mandat.[31] Dans l'accomplissement de femme au foyer, qu'ils prêtent les 24 heures du jour, coordonnent l'agenda protocolar du président –que décident son conseillers politiques–, ils préparent l'escorte, et ils reçoivent et ils étudient les instructions qu'il leur livre le mandataire en terrain. Pourtant, ils n'assistent pas à des réunions privées et n'ont pas injerencia politique quelqu'une. Les quatre edecanes se divisent le travail par des semaines, en restant un de tour chaque semaine. En cas, que le président assistez à une activité dans une enceinte militaire, l'accompagne le edecán respectif, et pour les cérémonies d'État concourent les quatre.

L'origine des edecanes se remonte à Napoléon, tradition imitée en Chili pendant l'époque de l'Indépendance, et il se lui envisage un symbole de la prérogative qu'ils ont les présidents d'assumer la préfecture suprême des forces armées.[n 21]

Garde de Palais et escorte présidentielle modifier

 
Carabinero De la Garde de Palais.

La Garde de Palais est une unité de Carabineros, que dépend du Département de Sécurité Présidentielle, qu'a par fonction abriter le Palais de la Monnaie et le Palais présidentiel de Colline Château –seulement lorsque le président se déplace à ce dernier–, et veiller par la sécurité du président de la République et autres autorités et dignidades officielles.

L'origine de cette unité se remonte à des principes du siècle XX, lorsqu'il se crée l'École de Carabineros en 1908, à laquelle se lui assigne comme une de ses premières missions couvrir la "Garde de Palais de Gouvernement", labeur qu'il jusqu'alors occupait l'armée. Jusqu'aux ans 1930, les deux institutions réaliseraient alternadamente dite tâche.[32]

En 1932, le président Arturo Alessandri Palma a établi que la fonction d'abriter le Palais Présidentiel était netamente matière policière, par ce que a livré exclusivement cette mission au récemment formé Corps de Carabineros. Depuis cet an, cette responsabilité a été développée de façon ininterrumpida par la police uniformada du Chili, en étant le Escuadrón Escorte Présidentielle l'unique unité de l'armée qu'encore accompagne au président en des déterminées cérémonies.

Escorte montée présidentielle modifier

 
Escuadrón Escorte Présidentielle du Regimiento "Granaderos", après de l'Arrêt Militaire de 2007.

Le Groupe Escorte Présidentiel du Regimiento Escorte Présidentielle n.º 1 "Granaderos" Constitue l'unité de présentation de l'armée et il a la mission d'escorter au président de la République dans les cérémonies publiques plus importantes, telles comme le Discours du 21 mai, le Te Deum Ecuménico de Fêtes Patries, l'Arrêt Militaire et le changement de commandement présidentiel.

Le regimiento duquel dépend cette unité il a été créé en 1827 et en 1840, après la Guerre contre la Confédération le Pérou-Boliviana (1836-1839), a reçu comme #prix à son action en dit conflit bélico l'honneur de couvrir la garde présidentielle, labeur qui a occupé jusqu'à 1862. En dite date le "Granaderos" a été envoyé à la zone de Angol pour participer à occupation de la Araucanía, en demeurant là jusqu'à 1879.[33] Après de la Guerre du Pacifique (1879-1883), revient à Santiago et il occupe sa caserne face au Palais de la Monnaie et il se lui destine au service de garde de palais. En 1982, le regimiento a été envoyé à prêter ses services dans la localité de Putre. Enfin en 1999 il s'ordonne son déplacement à la Guarnición Militaire de San Bernardo, en recevant par troisième fois dans son histoire, la mission d'escorter au président de la République et constituer l'unité de présentation de l'armée. Dans l'actualité, le regimiento a siège dans la ville de Quillota, dans le Champ Militaire San Isidro, où partage caserne avec l'École d'Équitation.

Transport présidentiel modifier

 
Ford Galaxie 500 XL De l'an 1966 qu'il sert comme transport présidentiel.
 
Avion Boeing 767-300ER de la FACh qu'est usé comme avion présidentiel.

Les présidents, jusqu'à la deuxième moitié du siècle XIX, n'avaient pas des véhicules spéciaux qu'ils les véhiculassent dans l'exercice régler de sa charge ou en des cérémonies officielles, et ils habituellement se décalaient montés à cheval. José Joaquín Pérez a introduit l'usage de voitures de cheval, et José Manuel Balmaceda a fait importer, depuis la France, luxueux carruajes pour les destiner au transport présidentiel, particulièrement pendant les cérémonies publiques.

La tradition du carruaje présidentiel, pour des cérémonies officielles, s'a maintenu jusqu'à 1970, lorsque Salvador il A au delà décidé occuper dans son remplacement une automobile Ford Galaxie 500 XL de 1966, noir et descapotable, qu'a été offert par la reine Élisabeth II pendant sa visite au Chili. Depuis cette date a été utilisé pour ces effets, hormis le cas de l'entrée à la explanada pour l'Arrêt Militaire, donc pendant les gouvernements de la Concertation, entre 1990 et 1999, s'a utilisé le carruaje, celui qui a été remplacé à l'an suivant par une automobile tout-terrain Toyota Land Cruiser descapotable appartenante à l'armée du Chili. Dans le cas où le climat soyez inclemente, se remplace le Ford Galaxie 500 XL descapotable, par l'automobile couverte dans lequel habituellement se déplace le président, pour ses diverses activités. Pendant les célébrations du Bicentenario du Chili, Sebastián Piñera a repris l'usage du carruaje même pour l'arrêt militaire.

À son tour, depuis des fins du siècle XIX et pendant grande part du XX, les présidents ont utilisé pour se déplacer tout au long du pays, en particulier au sud du Chili, un "train présidentiel", comandado par une locomotive et un wagon; de ceux-ci auraient existé quatre tout au long de l'histoire, pourtant seulement deux voitures présidentielles ils encore se conservent dans l'actualité (l'EST-24, dans le Musée Ferroviaire de la Cinquième Normale à Santiago, et l'il EST-1, dans le Musée Ferroviaire Pablo Neruda en Temuco, en étant de provenance américaine et allemande, respectivement).[34]

Pendant bonne part du siècle XX, pour les voyages à l'extérieur, les présidents ils ont fait usage de vols commerciaux jusqu'à ce qu'il a commencé à se utiliser un DC-3 (surnommé "Le Canela"), un Ryan Navion ("Le Canelita") et un Série 500 (58N).[35] Postérieurement, un Boeing 707 de la FACh (surnommé "Le Calambrito" par la presse chilienne) a été utilisé comme transport aérien habituel des présidents, en étant utilisé successivement par Jorge Alessandri, Eduardo Frei Montalva, Salvador Au delà et Augusto Pinochet, et postérieurement, a aussi été usé par Patricio Aylwin.[36] Eduardo Frei Ruiz-Tagle, au début de son mandat, a fait usage de quelques vols commerciaux pour ses visites à l'étranger.

En 1997 la FACh a acquis un Boeing 737-500, pour être utilisé dans ses propres opérations et comme avion présidentiel. Il a été usé avec ces fins jusqu'à aujourd'hui, même en véhiculant au président je joins à autres chefs d'État d'Amérique latine, à des diverses cimes, réunions multilaterales ou changements de commandement réalisés dans la région. En janvier de 2007 s'a annoncé qu'un aéronef de deuxième main serait acquis pour remplacer l'actuelle, en raison de sa basse autonomie de vol et en août de cet an a été confirmée l'achat de deux avions Airbus 310 par la FACh que seraient utilisés comme cargueros et comme avion présidentiel.[37][38][39] Enfin ce dernier achat ne s'a pas concrétisé, en s'acquérant dans son lieu un Boeing 767-300ER .

Palais présidentiel modifier

 
L'ancien Palais de l'Indépendance, actuel siège du Musée Historique National.

Au début de l'Indépendance, le bâtiment qui occupait la Réelle Audience dans le centre nord de la Place d'Armes de Santiago, bâti par Juan José de Goycolea et Zañartu et inauguré en 1808, s'a converti en le epicentro des événements politiques de cette époque: il a été le siège du Premier Congrès National en 1811, et la maison de gouvernement pendant la Patrie Vieille, entre 1812 à 1814.[n 22] Dans la période de la Reconquista Espagnole a été à nouveau siège de la Réelle Audience.[40][41]

En 1818, le Palais de la Réelle Audience (connu aussi comme Palais des Caisses Réelles ou des Caisses) il a été désigné officiellement comme maison de gouvernement par Bernardo Ou'Higgins, en le dénommant Palais de l'Indépendance. Ce bâtiment a été utilisé comme la maison du président et siège des ministères d'État et autres bureaux publics jusqu'à des fins du premier gouvernement de Manuel Bulnes.

 
Palais de la Monnaie et la Place de la Constitution.

Le 17 avril 1845, le président Bulnes a émis un arrêté qu'il ordonnait que le bâtiment de la Maison de Monnaie de Santiago, dessiné par Joaquín Toesca à des fins du siècle XVIII, servît de maison de gouvernement et comme siège les ministères et des bureaux qu'ils existaient dans l'ancien palais présidentiel, en se réalisant les adaptations et réparations qui allaient nécessaires, en raison du mauvais état et incommodités qu'ils s'éprouvaient dans le Palais de l'Indépendance. Le déplacement, par des partialités, s'a fait des espèces en 1846.[42]

Depuis cette date, le maintenant dénommé Palais de la Monnaie La plus connue simplement comme La Monnaie s'a transformé dans le siège du président du Chili. Pendant la reconstruction du palais, par suite du bombardement qu'a éprouvé dans le putsch de 1973, les bureaux présidentiels ils s'ont établis temporellement dans le Bâtiment Diego Portales, jusqu'à 1981. Aujourd'hui, La Monnaie est le siège officiel du gouvernement du Chili et il héberge aux ministères de l'Intérieur, Secrétariat Général de la Présidence et Secrétariat Général de Gouvernement.

 
Frontis Du Palais de Colline Château

En Chili actuellement il n'existe pas une résidence officielle pour les présidents, par dite raison, dans les derniers décennies, chaque mandataire il a eu une résidence particulière, propre ou louée, pour des tels effets. Le Palais de l'Indépendance et, postérieurement, La Monnaie ont été utilisée comme résidence présidentielle: le premier jusqu'à 1845 et la seconde depuis l'an 1845 jusqu'à 1958 (plus précisément de 1845 à 1861, 1876 à 1881, 1886 à 1891, 1906 à 1910 et de 1920 à 1958).[43]

Depuis 1930, il existe comme un siège alternatif le Palais de Colline Château, placé en Vigne du Mar.[44] Celui-ci est envisagé le palais d'été (ou de repos) des mandataires, n'est pas la résidence du président, mais il est à sa disposition pour prendre repos et il aussi est utilisé pour réunions ministérielles et diplomatiques.[45]

Traitement protocolar modifier

D'accord avec le protocole, le président reçoit le traitement de "Son Excellence le Président de la République" (abrégé "S. Et. Le Président de la République"), et moins fréquemment le de "Excellentissime monsieur Président de la République", Aussi, en des occasions, se lui agit de "Votre Excellence". Ou simplement de "Monsieur Président".[46][47][48][49]

Par son terminación, "Président de la République" peut s'utiliser comme commune ou neutro en ce qui concerne le genre, en se spécifiant moyennant l'article ("le" ou "la" président), ou s'user la féminine "Présidente de la République".[50][51] En les actes et des cérémonies officielles, d'accord avec le Règlement de Ceremonial et Protocole, le président jouit du premier lieu de precedencia.

D'autre part, la conjointe du mandataire est connue comme Première dame, mais il n'a pas aucun traitement protocolar assigné.

Rémunération modifier

Le président de la République perçoit, par le je occupe de sa charge, le salaire correspondant au degré À de l'Échelle Unique de Salaires (EUS) de l'Administration, créée par l'Arrêté Loi Nº 249, de 31 décembre de 1973, plus attributions et primes spéciales —comme l'attribution de direction supérieure, l'attribution de modernisation, l'attribution professionnelle et l'attribution d'ancienneté (bienio), d'après corresponde— et dépenses de représentation.[52][53]

La rémunération brute mensuelle de la présidente, que comprend salaire basez, attributions et dépenses de représentation, et sans envisager les rabais légaux ou obligatoires —c'est-à-dire, impôts et dépôts de sécurité sociale—, à l'an 2016, il monte à CLP$ 9 920 104.[54]

Papier dans l'organisation politique modifier

Le président, selon tiende à coïncider la bibliografía nationale –en des oeuvres sur Histoire générale, Histoire constitutionnelle et Histoire des institutions politiques et autres textes spécialisés–, est et il a été une des figures politiques plus soulignées; en fait, il a été censé une des institutions qu'ils conforment la constitution historique du Chili. Naturellement son papier et signification a varié en fonction de l'époque, de même que sa position et relations avec les autres acteurs du spectre socio-politique, et de là les facteurs qui contribuent et ils ont contribué au définir ils soient multiples.

Il se lui est habituellement vu comme un simple substituto du monarque espagnol et ses fonctionnaires territoriaux –et de là la supposition que son origine est postérieure à l'Indépendance –, mais s'est mentionné que les premiers "présidents" ils se remontent à l'époque colonial. Bien que ils existent des importantes différences entre les "présidents-gouverneurs" et les "présidents de la République", il y aurait certaine continuité institutionnelle entre uns et autrui. Alberto Edwards Habites il signalait à ce sujet que, les organisateurs de la république chilienne, "ont trouvé le modèle de ce grand fonctionnaire [le président] dans la structure traditionnelle du pays, dans le régime que pendant trois siècles avait fourni aux colonies espagnoles de l'Amérique l'ordre et le progrès, que la plupart d'elles il n'est pas revenu à trouver".[55] Sur la Constitution de 1833, le même Edwards Habites il disait que ses rédacteurs, au créer son "Chef Suprême de la Nation [le président], ils n'ont pas fait mais se soutenir dans une tradition existante: continuer sous la République le régime de la Cologne. Ils ont su par instinct, que la société humaine, comme dans le royaume organique, la nature a horreur aux changements bruscos et aux troubles radicaux".

Les trois premiers présidents de la République titulaires –Manuel Blanc Encalada (1826), Ramón Freire (1826) et Francisco Antonio Peins (1829)– ils ont à peine duré quelques mois en le commandement et tous ont terminé en renonçant à la charge. Récemment José Joaquín Prieto (1831-1841) a été le premier en remporter compléter sa période; il est plus, il a été réélu par une autre période en 1836, pratique qu'ils ont maintenu ses successeurs jusqu'à 1871.

La figure institutionnelle du président de la République aurait commencé à se définir à partir de 1830, par oeuvre de Diego Portales –selon la historiografía traditionnelle–, "qui a fait du Président-Chef d'État, plutôt qu'un gouvernant, le garant du régime instituido". La Constitution de 1833, dont la rédaction se doit en bonne part à Mariano Egaña[n 23] –à travers son "vote particulier" présenté à la Grande Convention–, lui a désigné "Chef Suprême de la Nation" (article 59) –que la Constitution du le Brésil de 1824 contemplait pour l'empereur, et qu'il s'a maintenu en Chili jusqu'au promulgation de la Constitution de 1980– et il a étendu ses pouvoirs et des milieux d'action –en reproduisant l'article 170 de la Constitution espagnole de 1812, relatif au roi– "à tout combien a par objet la conservation de l'ordre public dans l'intérieur, et la sécurité extérieure de la République, en gardant et en faisant garder la Constitution et les lois" (article 81).[56][57] D'autre part, au président ils ne se lui ont seulement attribué des importants pouvoirs et milieux constitutionnels, mais que se lui ont ajouté autres extraconstitucionales et extralegales, que lui ont permis obtenir un incontrarrestable pouvoir électoral, qu'a porté à Edwards Habites au qualifier comme le "grand électeur".[n 24] Au se transformer aux intendentes et gouverneurs dans ses "agents #naturel" –fait qui a permis il placer aux province sous contrôle direct du gouvernement central–, le président a acquis la possibilité d'influencer dans les votations parlementaires, en facilitant l'élection des candidats –que se comprenaient dans la "liste officielle"– qu'ils avaient la sympathie du gouvernement. Ce pouvoir, que se remonte aux ans 1830, il s'a perfectionné avec le temps, et bas diverses formes s'a maintenu jusqu'à la guerre civile chilienne de 1891. Après elle, les partis politiques ils sont arrivé au président en le je manie des élections.[58]

Depuis 1841, fin du mandat de Joaquín Prieto, la succession présidentielle il s'a fait en forme régulière, et tous les présidents jusqu'à 1920 ils ont terminé sa période –les uniques exceptions ont été José Manuel Balmaceda, par la guerre civile chilienne de 1891, et les prematuras morts de Federico Errázuriz Echaurren (1901) et Pedro Montt (1910)–. Le fait qui a marqué une borne dans l'évolution institutionnelle a été le surgimiento des partis proprement tels, dans les ans 1850, après de la dénommée "question du Sacristán".

Depuis ce moment, le président n'a pas eu une position fixe et indiscutida dedans de l'État, donc elle a commencé à dépendre de sa relation avec les partis. À partir de 1860 les partis politiques predominaron sur la figure du président, à travers le Congrès National, ce que leur a permis réduire ses attributions et des facultés constitutionnelles. Entre 1861-1891, la figure du président est décrite comme un "Chef d'État et de gouvernement, conditionné par les partis"; à la fin de cette période a éclaté une guerre civile, qu'il a résolu la tension entre presidencialismo et gouvernement de parti (parlamentarismo), en faveur de ce dernier. Par suite d'elle, à partir de 1891 et jusqu'à 1920, le président s'a converti dans un "Chef d'État, neutral face aux partis", sans des majeures attributions de gouvernement, dedans d'un régime pseudoparlamentario.

Vers 1920, qu'il coïncide avec l'assomption d'Arturo Alessandri Palma et la crise du parlamentarismo national, la relation entre le président et les partis a commencé à se investir en faveur du premier; decayó la preeminencia des partis et reparaît la tendance à augmenter les pouvoirs présidentiels. Cela s'a concrétisé en 1925, avec le promulgation d'une nouvelle constitution qu'il a rétabli le régime présidentiel, bien que cela n'a pas impliqué que le président pût mener à terme toute sa gestion sans le soutien des partis, qu'ils contrôlent le Congrès; c'est pour cela que depuis 1932, date de début du vigueur plein du régime instituido par la Constitution de 1925, le président s'a converti dans un "Chef d'État et de gouvernement, négociateur avec les partis" (un pseudo-semipresidencialismo). À son tour, depuis les ans 1930, lentement les tâches de gouvernement ont rélégué le papier du président comme chef d'État à une seconde plate, ce que a coïncidé avec l'augmentation de ses pouvoirs et milieux d'action; par exemple, cela s'a vérifié à travers la croissance de l'appareil administratif de l'État lié à l'il (institutions, service et entreprises publiques de divers caractère).

La transformation du président, fondamentalement, en "Chef de gouvernement", s'a produit vers les ans 1960, particulièrement depuis l'assomption d'Eduardo Frei Montalva, époque en que le président se proclame ejecutor du programme des partis ou coalitions politiques que le soutiennent. Cette situation se maintient, avec des vicissitudes, jusqu'au présent; bien que de toute façon, en général, s'envisage que le président est appelé à être le centre du communauté nationale et symbole de l'idéal de Droit et progrès qu'elle possède.

Liste de présidents modifier

Nombre Inicio Término Cargo
Ramón Freire Serrano 1823 1826 Director Supremo provisional
Manuel Blanco Encalada 9 de julio de 1826 9 de septiembre de 1826 Presidente provisional de la República Elegido
Agustín Eyzaguirre Arechavala 9 de septiembre de 1826 25 de enero de 1827 Vicepresidente (Presidente Interino)
Ramón Freire Serrano 25 de enero de 1827 15 de febrero de 1827 Presidente provisional
Ramón Freire Serrano 15 de febrero de 1827 8 de mayo de 1827 Presidente de la República Elegido
Francisco Antonio Pinto Díaz 8 de mayo de 1827 16 de julio de 1829 Vicepresidente (Presidente Interino)
Francisco Ramón Vicuña 16 de julio de 1829 19 de octubre de 1829 Presidente Delegado
Francisco Antonio Pinto Díaz 19 de octubre de 1829 2 de noviembre de 1829 Presidente de la República Elegido
Francisco Ramón Vicuña 2 de noviembre de 1829 7 de diciembre de 1829 Vicepresidente (presidente interino)
Acefalía del Ejecutivo 7 de diciembre de 1829 24 de diciembre de 1829 Guerra Civil
José Tomás Ovalle Bezanilla 24 de diciembre de 1829 18 de febrero de 1830 Presidente de la Junta de Gobierno
Francisco Ruiz-Tagle Portales 18 de febrero de 1830 1 de abril de 1830 Presidente provisional
José Tomás Ovalle Bezanilla 1 de abril de 1830 †21 de marzo de 1831 Vicepresidente (Presidente provisional)
Fernando Errázuriz Aldunate 8 de marzo de 1831 22 de marzo de 1831 Vicepresidente accidental (presidente provisional)
22 de marzo de 1831 18 de septiembre de 1831 Vicepresidente (presidente provisional)
José Joaquín Prieto Vial 18 de septiembre de 1831 18 de septiembre de 1836 Presidente de la República Elegido
18 de septiembre de 1836 18 de septiembre de 1841 Presidente de la República Reelegido
Manuel Bulnes Prieto 18 de septiembre de 1841 18 de septiembre de 1846 Presidente de la República Elegido
18 de septiembre de 1846 18 de septiembre de 1851 Presidente de la República Reelegido
Manuel Montt Torres 18 de septiembre de 1851 18 de septiembre de 1856 Presidente de la República Elegido
18 de septiembre de 1856 18 de septiembre de 1861 Presidente de la República Reelegido
José Joaquín Pérez Mascayano 18 de septiembre de 1861 18 de septiembre de 1866 Presidente de la República Elegido
18 de septiembre de 1866 18 de septiembre de 1871 Presidente de la República Reelegido
Federico Errázuriz Zañartu 18 de septiembre de 1871 18 de septiembre de 1876 Presidente de la República Elegido
Aníbal Pinto Garmendia 18 de septiembre de 1876 18 de septiembre de 1881 Presidente de la República Elegido
Domingo Santa María González 18 de septiembre de 1881 18 de septiembre de 1886 Presidente de la República Elegido
José Manuel Balmaceda Fernández 18 de septiembre de 1886 29 de agosto de 1891 Presidente de la República Elegido
Manuel Baquedano González 29 de agosto de 1891 31 de agosto de 1891 Jefe Accidental de la República[n 25] Guerra Civil
Jorge Montt Álvarez 31 de agosto de 1891 10 de noviembre de 1891 Presidente de la Junta de Gobierno
Jorge Montt Álvarez 10 de noviembre de 1891 26 de diciembre de 1891 Jefe del Poder Ejecutivo [n 26]
Jorge Montt Álvarez 26 de diciembre de 1891 18 de septiembre de 1896 Presidente de la República Elegido
Federico Errázuriz Echaurren 18 de septiembre de 1896 † 12 de julio de 1901 Presidente de la República Elegido
Aníbal Zañartu Zañartu 12 de julio de 1901 18 de septiembre de 1901 Vicepresidente
Germán Riesco Errázuriz 18 de septiembre de 1901 18 de septiembre de 1906 Presidente de la República Elegido
Pedro Montt Montt 18 de septiembre de 1906 † 16 de agosto de 1910 Presidente de la República Elegido
Elías Fernández Albano 16 de agosto de 1910 † 6 de septiembre de 1910 Vicepresidente
Emiliano Figueroa Larraín 6 de septiembre de 1910 23 de diciembre de 1910 Vicepresidente
Ramón Barros Luco 23 de diciembre de 1910 23 de diciembre de 1915 Presidente de la República Elegido
Juan Luis Sanfuentes Andonaegui 23 de diciembre de 1915 23 de diciembre de 1920 Presidente de la República Elegido
Arturo Alessandri Palma 23 de diciembre de 1920 12 de septiembre de 1924 Presidente de la República Elegido
Luis Altamirano Talavera 12 de septiembre de 1924 23 de enero de 1925 Presidente de la Junta de Gobierno Golpe de Estado
Pedro Pablo Dartnell 23 de enero de 1925 27 de enero de 1925 Presidente de la Junta de Gobierno Golpe de Estado
Emilio Bello Codecido 27 de enero de 1925 12 de marzo de 1925 Presidente de la Junta de Gobierno
Arturo Alessandri Palma 12 de marzo de 1925 1 de octubre de 1925 Presidente de la República[n 27]
Luis Barros Borgoño 1 de octubre de 1925 23 de diciembre de 1925 Vicepresidente
Emiliano Figueroa Larraín 23 de diciembre de 1925 10 de mayo de 1927 Presidente de la República Elegido
Carlos Ibáñez del Campo 10 de mayo de 1927 21 de julio de 1927 Vicepresidente
Carlos Ibáñez del Campo 21 de julio de 1927 26 de julio de 1931 Presidente de la República Elegido
Pedro Opazo Letelier 26 de julio de 1931 27 de julio de 1931 Vicepresidente
Juan Esteban Montero Rodríguez 27 de julio de 1931 3 de septiembre de 1931 Vicepresidente
Manuel Trucco Franzani 3 de septiembre de 1931 15 de noviembre de 1931 Vicepresidente
Juan Esteban Montero Rodríguez 15 de noviembre de 1931 4 de diciembre de 1931 Vicepresidente
Juan Esteban Montero Rodríguez 4 de diciembre de 1931 4 de junio de 1932 Presidente de la República Elegido
Arturo Puga Osorio 4 de junio de 1932 16 de junio de 1932 Presidente de la Junta de Gobierno de la República Socialista Golpe de Estado
Carlos Dávila Espinoza 16 de junio de 1932 8 de julio de 1932 Presidente Junta de Gobierno de la República Socialista
Carlos Dávila Espinoza 8 de julio de 1932 13 de septiembre de 1932 Presidente provisional de la República Socialista
Bartolomé Blanche Espejo 13 de septiembre de 1932 2 de octubre de 1932 Presidente provisional de la República Socialista
Abraham Oyanedel Urrutia 2 de octubre de 1932 24 de diciembre de 1932 Vicepresidente
Arturo Alessandri Palma 24 de diciembre de 1932 24 de diciembre de 1938 Presidente de la República Elegido
Pedro Aguirre Cerda 24 de diciembre de 1938 † 25 de noviembre de 1941 Presidente de la República Elegido
Jerónimo Méndez Arancibia 25 de noviembre de 1941 2 de abril de 1942 Vicepresidente
Juan Antonio Ríos Morales 2 de abril de 1942 † 27 de junio de 1946 Presidente de la República Elegido
Alfredo Duhalde Vásquez 27 de junio de 1946 3 de agosto de 1946 Vicepresidente
Vicente Merino Bielich 3 de agosto de 1946 13 de agosto de 1946 Vicepresidente
Alfredo Duhalde Vásquez 13 de agosto de 1946 17 de octubre de 1946 Vicepresidente
Juan Antonio Iribarren 17 de octubre de 1946 3 de noviembre de 1946 Vicepresidente
Gabriel González Videla 3 de noviembre de 1946 3 de noviembre de 1952 Presidente de la República Elegido
Carlos Ibáñez del Campo 3 de noviembre de 1952 3 de noviembre de 1958 Presidente de la República Elegido
Jorge Alessandri Rodríguez 3 de noviembre de 1958 3 de noviembre de 1964 Presidente de la República Elegido
Eduardo Frei Montalva 3 de noviembre de 1964 3 de noviembre de 1970 Presidente de la República Elegido
Salvador Allende Gossens 3 de noviembre de 1970 † 11 de septiembre de 1973 Presidente de la República Elegido
Augusto Pinochet Ugarte 11 de septiembre de 1973 17 de junio de 1974 Presidente de la Junta de Gobierno Golpe de Estado
17 de junio de 1974 17 de diciembre de 1974 Jefe Supremo de la Nación[n 28]
17 de diciembre de 1974 11 de marzo de 1981 Presidente de la República[n 29]
Augusto Pinochet Ugarte 11 de marzo de 1981 11 de marzo de 1989 Presidente de la República[n 30] Plebiscito
11 de marzo de 1989 11 de marzo de 1990 Presidente de la República[n 31] Plebiscito
Patricio Aylwin Azócar 11 de marzo de 1990 11 de marzo de 1994 Presidente de la República Elegido
Eduardo Frei Ruiz-Tagle 11 de marzo de 1994 11 de marzo de 2000 Presidente de la República Elegido
Ricardo Lagos Escobar 11 de marzo de 2000 11 de marzo de 2006 Presidente de la República Elegido
Michelle Bachelet Jeria 11 de marzo de 2006 11 de marzo de 2010 Presidenta de la República Elegida
Sebastián Piñera Echenique 11 de marzo de 2010 11 de marzo de 2014 Presidente de la República Elegido
Michelle Bachelet Jeria 11 de marzo de 2014 En el cargo Presidenta de la República Elegida
Sebastián Piñera Echenique 11 de marzo de 2018 Electo Presidente de la República Elegido
Simbología: En négrillonne, ils ont exercé effectivement la charge de président. En cursiva, ont exercé la charge intérimaire ou momentáneamente en raison de vacancia de la charge. Il signifie date de décès du mandataire.

Stats modifier

  • Durée dans la charge: la personne que plus temps a occupé la charge de président de la République a été Augusto Pinochet avec 5.563 jours, en surpassant les 3.723 jours des deux périodes d'Arturo Alessandri.[n 32] Alors que Francisco Antonio je Peins il est la personne que moins jours s'est occupés comme président, avec seulement 14 jours, suivi de Manuel Blanc Encalada, avec 62 jours.
  • Réélection: quatre présidents ont été réélus pour la période suivante (José Joaquín Prieto, Manuel Bulnes, Manuel Montt et José Joaquín Pérez) et quatre pour une période ne consécutive (Arturo Alessandri Palma, Carlos Ibáñez du Champ, Michelle Bachelet Jeria et Sebastián Piñera).[n 33]
  • Subrogación Par vacancia: en deux occasions le président du Sénat (Francisco Ramón Vicuña et Pedro Opazo) et une le président de la Cour Suprême (Abraham Oyanedel), respectivement, ont dû subroger au président par vacancia.[n 34][n 35] La subrogación dans le président de la Caméra de Députés ne s'est pas produit.
  • Succession irrégulière: depuis 1831, seulement quatre présidents ils ont été derrocados: José Manuel Balmaceda en 1891, Arturo Alessandri Palma en 1924, Juan Esteban Montero en 1932 et Salvador Au delà en 1973.
  • Sexe: de toutes les personnes qu'ont occupé la charge de président, une seule a été femme (Michelle Bachelet Jeria), ce que a supposé le terme du ininterrumpido exercice de la charge seulement par des hommes.[n 36]
  • Âge: le président de la République qu'a assumé plus jeune a été Ramón Freire, avec seulement 35 ans et 10 mois d'âge, tant que le de majeur âge il a été Ramón Vases Luco, qu'a assumé la charge aux 75 ans d'âge. Pourtant, la personne qui a exercé à majeur âge a été Carlos Ibáñez du Champ, qu'a terminé sa deuxième période le même jour qui a accompli 81 ans. Manuel Blanc Encalada est qui a plus habité temps après laisser la présidence, puisqu'a habité presque 50 ans après la fin de son mandat. Patricio Aylwin A été le expresidente plus longevo, à l'habiter jusqu'aux 97 ans.
  • Lieu de naissance: de toutes les personnes qu'ont occupé la charge de président de la République, la plupart est né dans la ville de Santiago (19), suivis très de loin par les deux qu'ils sont né en Conception (Prieto et Bulnes) et par les nés en Petorca (Montt Torres), le Trésor Bucalemu (Balmaceda), Casablanca (Montt Álvarez), Rancagua (Riesco), Longaví (Alessandri Palma), Linares (Ibáñez), Pocuro (Aguirre Cochonne), Cañete (Rivières), La Sereine (González Videla), Valparaíso (Pinochet) et Vigne de la Mer (Aylwin).[n 37] L'unique né en dehors du territoire national a été précisément le premier président du Chili, qu'il l'a fait à Buenos Aires, Empire Espagnol (Manuel Blanc Encalada).
  • État civil: de tous les présidents de la République, seulement deux n'ont pas été mariés pendant l'exercice de sa charge (Jorge Alessandri Rodríguez et Michelle Bachelet Jeria).[n 38] Carlos Ibáñez du Champ a contracté mariage en 1929, alors qu'Arturo Alessandri Palma enviudó pendant son deuxième mandat.
  • Profession: un total de 19 présidents ils ont été plaidé, desquels Pedro Aguirre Cochonne il était en plus professeur d'État en Castillan, cinq ont été des militaires, deux ont été marin, deux ingénieurs civils, deux médecins et un ingénieur commercial.
  • Âme mater: Des présidents que se graduaron dans quelque institution d'éducation supérieure, la grande plupart l'a fait dans l'Université du Chili ou son antecesora (la Réelle Université de San Felipe); les uniques exceptions sont Eduardo Frei Montalva et Sebastián Piñera que l'ont faits en la Pontificia Université Catholique du Chili et Juan Antonio Rivières qu'il a étudié dans le Cours Fiscal de Lois de Conception, aujourd'hui Faculté de Sciences Juridiques et Sociales de l'Université de Conception.
  • Décès: quatre présidents sont naturellement mort tant qu'ils exerçaient la charge (Federico Errázuriz Echaurren, Pedro Montt, Pedro Aguirre Cochonne et Juan Antonio Rivières) et seulement un, Salvador Au delà, s'est dedans suicidé de son mandat.[n 39][n 40] Aucun a été assassiné pendant le je occupe de ses fonctions.[n 41]
  • Lieu de décès: des présidents morts pendant l'exercice de la charge, trois l'ont faits à Santiago, un en Valparaíso (Federico Errázuriz Echaurren), et un en dehors du pays, à Brême, l'Allemagne (Pedro Montt).[n 42]
  • Parentesco: Cinq présidents ont eu fils que, à son tour, ils sont allé des présidents (Francisco Antonio je Peins Díaz et Hannibal je Peins Garmendia; Manuel Montt Torres et Pedro Montt Montt; Federico Errázuriz Zañartu et Federico Errázuriz Echaurren; Arturo Alessandri Palma et Jorge Alessandri Rodríguez; et Eduardo Frei Montalva et Eduardo Frei Ruiz-Tagle).[n 43]

Statut de expresidente modifier

Traditionnellement qui se sont occupé comme des présidents de la République, et après y avoir laissé le commandement, ont été connus comme des ex présidents, sans que cela il impliquât quelque traitement différent.[59]

À des débuts de 2000, il s'a approuvé une réforme constitutionnelle, moyennant la Loi n.º 19672 De 28 avril de cet an, par celle qui se créait le statut de «Ex Président de la République», à travers le comme, qui ils #avoir occupé la charge de président par la période complète, ils acquéraient de de session plénière droite la dignité officielle de expresidente, et en vertu de cette qualité, lui seraient applicables les normes sur fuero parlementaire, et recevraient une rémunération équivalente à la des membres du Congrès (régime parlementaire).[60][61][62][63] Pourtant, il n'obtient pas cette dignité qui arrivât à occuper le post par vacancia du même, ni qui a été déclaré coupable en jugement politique suivi dans son contre.

En 2012, les rémunérations payées à expresidentes —que ne comprenaient pas à Frei, par être alors sénateur viager—, ont impliqué une dépense pour l'État chilien de  CLP$ 435 084 636, équivalent à la construction d'une nouvelle école municipale, en étant supérieure à la pension que reçoivent les exmandatarios des États-Unis, en étant équivalent à 48 salaires minimes chiliens. Outre les rémunérations, les expresidentes reçoivent des attributions par des dépenses de traslación et fonctionnement de bureaux propres. À 2016, la rémunération (régime) brute mensuelle qu'ils perçoivent les expresidentes monte à CLP$ 9 121 806.[64]

Le expresidente de la République qu'assume quelque fonction rémunérée avec des fonds publics il laisse de percevoir le régime parlementaire, en maintenant le fuero —se exceptúan les emplois docentes et les fonctions ou commissions d'égal caractère de l'enseignement supérieur, moyenne et spéciale—. Avec tout, jouit de certaines bénéfices de mandat du procès, identiques aux possédés par certaines autorités en fonction, de passeport diplomatique et sécurité attribuée par le service de Protection de Personnes Importantes (PPI).

Ils possèdent actuellement cette qualité: Eduardo Frei Ruiz-Tagle, Ricardo Lacs[n 44] et Sebastián Piñera.[n 45][n 46] Autant Augusto Pinochet comme Patricio Aylwin ont eu cette qualité depuis l'an 2000 jusqu'à ce qu'ils sont mort.[n 47] En plus, Michelle Bachelet Jeria a affiché telle dignité entre les ans 2010 et 2014.[n 48][65]

Expresidentes Vifs modifier

Vice-président modifier

 
Diego Portales a été le dernier vice-président élu du pays, bien que n'arrivât jamais à jurer dans la charge.

En 1826, en forme conjointe avec l'établissement du titre de président de la République, il s'a créé la charge de "Vice-Président", dont la fonction serait le de remplacer au premier dans les cas de maladie, absence et autrui. Dans l'élection de 1826 a été choisi comme le premier vice-président de l'histoire chilienne, Agustín Eyzaguirre. Dans l'élection d'an suivant a été désigné dans le post Francisco Antonio je Peins.

La Constitution de 1828 –unique texte constitutionnel chilien qui a établi l'existence d'un vice-président comme figure permanente–, a disposé qu'en cas de mort ou impossibilité physique ou morale du président, est le remplacerait dans son post; et ses qualités étaient les mêmes qu'ils se requéraient pour être président. La désignation de Joaquín Vicuña comme vice-président, après l'élection de 1829, la première sous l'empire de la Lettre de 1828, est allé objet d'une grande polémique et il s'envisage un des détonants de la Révolution de 1829. La charge permanente de vice-président a été abolido avec la Constitution de 1833, en étant Diego Portales le dernier en l'occuper (a été choisi en 1831, bien que n'a pas prêté le juramento pour l'occuper).

À partir de ce moment et jusqu'à l'actualité, vice-président de la République seulement est le titre de qui ex officio subroge ou il remplace au président élu ou en exercice, en cas d'empêchement temporel ou vacancia. Le vice-président, en le je occupe de ses fonctions, il a toutes les attributions que la Constitution confère au président de la République.

Liste de Vice-présidents modifier

Portrait Nom(Naissance–Mort)


Début du mandat Fin du mandat Parti Élection Président Notes
1   Agustín


Eyzaguirre(1768–1837)

9 juillet de 1826 9 septembre  de 1826 Indépendant 1826 Manuel Blanc Encalada Il a assumé la présidence après la renonce de Manuel Blanc Encalada.
Post vacante9 de septembre de 1826 – 15 février de 1827


Agustín Eyzaguirre
Ramón Freire
2   Francisco Antonio je


Peins(1785–1858)

15 février de 1827 8 mai de 1827 Pipiolos 1827 Il a assumé la présidence après la renonce de Ramón Freire.
Post vacante8 de mai de 1827 – 19 octobre de 1829


Francisco je Peins
Francisco Vicuña
3   José Joaquín


Vicuña(1786–1857)

19 octobre de 1829 2 novembre de 1829 Pipiolos 1829 Francisco Antonio je Peins
Post vacante2 de novembre de 1829 – 18 février de 1830


Francisco Vicuña
Acefalía
José Ovalle
4   José Tomás


Ovalle(1787–1831)

18 février de 1830 1 avril de 1830 Pelucones Francisco Ruiz-Tagle Élu par le Congrès. Il a assumé la présidence après la renonce de Francisco Ruiz-Tagle.
Post vacante1 d'avril de 1830 – 18 septembre de 1831


José Ovalle
Fernando Errázuriz
5   Diego


Portales(1793–1837)

18 septembre  de 1831 26 mai de 1833 Pelucones 1831 José Joaquín Prieto il n'a Jamais prêté juramento.

Notes et références modifier

Notes modifier

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Références modifier

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Bibliografía modifier

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  1. Véase la sentencia Rol 78-1989 del Tribunal Constitucional de Chile, recaída sobre el proyecto de ley orgánica constitucional sobre el Banco Central (considerandos n.º 7 al 13).
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  3. {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant
  4. {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant
  5. Ordenanzas de la Real Audiencia de Concepción de 18 de mayo de 1565.
    Ordenanzas de la Real Audiencia de Santiago de Chile de 17 de febrero de 1609.
  6. {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant
  7. Ley de 13 de julio de 1826, sobre Elección Provisoria de Presidente
  8. Ley de 26 de julio de 1826, sobre Duración del Presidente y Vice-Presidente
  9. Art. 26 Constitución Política de Chile
  10. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant. [1]
  11. Véase el Reglamento del Senado de Chile.
  12. Artículo 1.º del Decreto con Fuerza de Ley n.º 7912 de 1927, que organiza las secretarías de Estado] (texto original).
  13. Decreto n.º 5802, del Ministerio del Interior, de 24 de diciembre de 1942, que fija el orden de precedencia de los ministerios.
  14. Artículo 87 del Decreto n.º 537 del Ministerio de Relaciones Exteriores, de 18 de agosto de 2002, aprueba reglamento de ceremonial público y protocolo.
  15. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant. [2]
  16. Artículo 1.º del Decreto con Fuerza de Ley n.º 7912 de 1927, que organiza las secretarías de Estado] (texto original).
  17. Ley de 14 de octubre de 1826, sobre Atribuciones del Poder Ejecutivo
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  25. Sentencia Rol 78-1989 del Tribunal Constitucional de Chile, recaída sobre el proyecto de ley orgánica constitucional sobre el Banco Central (considerandos n.º 7 al 13).
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