Chepoix
Chepoix (anciennement Chepoy ou Cepoy[1]) est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.
Chepoix | |||||
L'église Saint-Léger et le cimetière. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise picarde | ||||
Maire Mandat |
Jacques Taveau 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60146 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chepoisiens, Chepoisiennes | ||||
Population municipale |
473 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 36′ 21″ nord, 2° 22′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 88 m Max. 155 m |
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Superficie | 8,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://chepoix.fr/fr/ | ||||
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Ses habitants sont appelés les Chepoisiens et les Chepoisiennes.
Géographie
modifierDescription
modifierChepoix est un village-rue agricole du Plateau picard. Situé à 29 km au nord-est de Beauvais, à 33 km au sud d'Amiens et à 40 km au nord-ouest de Soissons, il est aisément accessible par les anciennes routes nationales RN 30 (actuelle RD 930) et RN 16 (actuelle RD 916).
Le territoire communal constitue une vaste plaine traversée du sud au nord par un vallon ramifié qui descend vers la vallée de la Noye[2].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Ansauvillers, Bacouël, Beauvoir, Bonvillers, La Hérelle, Le Mesnil-Saint-Firmin, Mory-Montcrux, Plainville, Sérévillers et Tartigny.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,2 | 1,1 | 2,6 | 3,9 | 7,2 | 10 | 12 | 12 | 9,5 | 7,3 | 4,2 | 1,8 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,4 | 7 | 9,5 | 12,9 | 16 | 18,2 | 18,2 | 15,1 | 11,5 | 7,2 | 4,4 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 7,7 | 11,5 | 15,2 | 18,6 | 21,9 | 24,5 | 24,5 | 20,6 | 15,6 | 10,3 | 7 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,6 07.01.09 |
−12,9 07.02.12 |
−11,5 13.03.13 |
−6,6 07.04.21 |
−3,2 03.05.21 |
−2 05.06.1991 |
2,3 04.07.1990 |
2,1 08.08.1990 |
−1,3 30.09.18 |
−6,2 28.10.03 |
−10,8 24.11.1998 |
−17,2 18.12.10 |
−18,6 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,2 27.01.03 |
20 24.02.1990 |
24,3 31.03.21 |
27,1 19.04.18 |
30,8 27.05.05 |
36,4 18.06.22 |
41,5 25.07.19 |
39,7 06.08.03 |
34,7 08.09.23 |
29,2 01.10.11 |
20,1 01.11.14 |
17 07.12.00 |
41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 52,4 | 42,9 | 46,1 | 43,2 | 57,4 | 54,2 | 59,7 | 58,1 | 49,1 | 57,8 | 57,2 | 69,8 | 647,9 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Chepoix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), forêts (11 %), zones urbanisées (4 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifierLa commune compte plusieurs hameaux :
- Warmaise, située sur la route de Bonvillers, est une dépendance de Chepoix.
- Petit Chepoix, situé au sud-est du village.
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 193, alors qu'il était de 185 en 2013 et de 165 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chepoix en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Chepoix[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 82,9 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,2 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,9 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille, mais la gare la plus proche est celle de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 624, 6103, 6122, 6140 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[13].
Toponymie
modifierLa localité a été connue sous les noms de Sepoix , Chépoy , Chepois , Chepoi , Cepoix (Chepeyum en 1302, Cepoium en 1190, Chepcium en 1280, Cepeium. en 1165)[2].
De l'ancien français sep, « haie ou palissade défensive »[14].
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierLes sires de Chepoix eurent une importante forteresse au village pendant le Moyen Âge était en ruine en 1431 et a été détruite sur ordre de Charles VII[2], dont il ne reste malheureusement rien. Elle aurait été remplacée par un autre édifice au hameau de Warmaise, qui existait encore en 1862 et était flanqué de deux tours[15].
Au Moyen Âge toujours, la paroisse dépendait de la commanderie d'Ivry-le-Temple de l'ordre de Malte[16].
Selon Louis Graves[2], « Chepoix avait de l'importance au Moyen Âge. Philippe-le-bel exempta les habitons des subsides qu'il leva sur le royaume à son avènement au trône, à cause des terres dont il était possesseur sur leur territoire, en compagnie de religieux qu'on croit être des templiers ».
L'église médiévale est détruite pendant la Guerre de Cent Ans[16].
Époque contemporaine
modifierLa commune de Bacouël a été détachée de celle de Chepoix par une loi du [17].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
modifierLa commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[19], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[20], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[21].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[22], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [23].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 473 habitants[Note 2], en évolution de +18,25 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La baisse de la population constatée en 1866 est liée à la création de Bacouël, détachée de Chepoix en 1865.
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 218 hommes pour 229 femmes, soit un taux de 51,23 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
modifierChepoix est réputée pour ses illuminations et les décorations de ses maisons lors de la période de noël[33],[34].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère : construite de la deuxième moitié du XXe siècle dans l'art contemporain de l'époque, elle fut réalisée par Gérard Ansart (mosaïste) et Pierre Ansart (architecte, décorateur). Elle est classée monument historique depuis 2011[35].
- Église Saint-Léger, du XVIe siècle : L'édifice appartenait à l'ordre de Malte. Le clocher à flèche date du XVIe siècle. Au-dessus du portail, dans une niche, se trouve une statue de saint Léger mitré, crossé, tenant une palme.
À l'intérieur, retable de la Vierge à l'Enfant, chaire datant de 1739 et vitrail du début du XVe siècle représentant une pietà. On trouve également un ensemble de deux statues de saint Léger et de saint Jean-Baptiste. Les verrières et ces statues sont classées monuments historiques[36],[16].
Une statue en pierre polychrome représentant une pieta a été retrouvée le , dissimulée sous l'autel de la Vierge et cachée sous un tas de gravats depuis plus de 200 ans. Elle a été déposée au musée de Vendeuil-Caply[37],[38]. - Croix de chemin, au hameau de Warmaise.
-
Monument aux morts.
-
L'école de la commune.
-
L'église Saint-Léger.
-
Calvaire situé sur le bord de la D 90.
-
L'église Saint-Léger, avec une croix et un repère de nivellement.
-
Le cimetière proche de l'église, avec la mairie en fond.
-
Calvaire situé sur le hameau de Warmaise.
-
Calvaire situé dans le cimetière.
-
Calvaire situé à l'intersection des rues de La Hérelle et de l'École.
Personnalités liées à la commune
modifierLa famille de Chepoix, d'ancienne chevalerie (souvent dite de Sépoix), originaire du Santerre, eut des alliances avec les Coucy, Lannoy, Ongnies, Renty, Rubempré, Saveuse, etc. :
- Thibaut, sire de Chepoix, nommé en 1304 grand-maître des arbalétriers de France[39], rendit de grands services à Philippe le Bel en s'illustrant dans plusieurs batailles, tant dans la guerre de Guyenne que dans la guerre de Flandre[40]. Il remplit la charge d'amiral de la mer dans une expédition en Grèce en 1308[40] (montée par Philippe le Bel et son frère Charles de Valois en vue de reconquérir l'empire de Constantinople, auquel Charles prétendait depuis son union en 1302 avec Catherine de Courtenay) et recevait en cette qualité trente sols par jour d'émoluments. Si sa mission échoua, il rapporta de Venise une copie du Livre de Marco Polo mise en bon français et corrigée par l'auteur, que son fils Jean diffusa en France.
- Jean Ier acquit vers 1311 Crouy et Houssoy de Charles de Valois.
- Jean II de Chepoix commanda les galères que Philippe de Valois envoya contre les Turcs en 1334[41].
- Louis de Chepoix mourut lors de la bataille d'Azincourt[42].
- Charles de Chepoix devint chambellan de Louis XII.
- Méry de Chepoix fut fait chevalier par François I à la bataille de Marignan. Il mourut vice-amiral de Bretagne.
Cette illustre maison s'éteignit par la mort de Robert de Chepoix, gouverneur de Saint-Quentin et bailli du Valois, à la fin du XVIe siècle[43].
Les Boulainvilliers[44], dont Perceval et Henri, furent aussi seigneurs de Chepoix[45].
Héraldique
modifierBlason | D'or, à cinq châteaux maçonnés de sable. les tourelles et portails de gueules, 2, 2 et 1. |
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Détails | Le blason du village de Chepoix, visible sur la tour du clocher de l'église Saint-Léger, est celui de la famille de Chepoix[43]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Chepoix (60146) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Chepoix » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Chepoix » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Chepoix ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Chepoix » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chepoix - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chepoix - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Joseph Petit, Un capitaine.., p. 224.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p. (lire en ligne), p. 65-67.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chepoix et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Chepoix », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 106.
- Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 75, lire en ligne sur Gallica.
- Dominique Vermand, « Chepoix, église Saint-Léger », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
- « Loi du 19 juin 1865 qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500, , p. 761-762 (lire en ligne) sur Google Livres
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française, , p. 1067.
- Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 2 avril 2008
- « Jacques Taveau y retourne à Chepoix », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Taveau, le maire sortant, est candidat à sa propre succession. Cet ancien chef d'entreprise et ses colistiers ont travaillé à l'amélioration de l'accès au numérique, avec la fibre optique, du matériel informatique et de projection pour l'école. Il y a également eu les travaux des places, l'accessibilité aux lieux administratifs et les trottoirs ».
- « Chepoix 60120 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chepoix (60146) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Patrick Caffin, « Découvrez les merveilleuses décorations de Noël », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CHEPOIX Rencontre avec ceux qui créent la magie de Noël : En remontant le soir la rue principale de Chepoix, on ne peut rester indifférent à la féerie de lumières qui illumine bon nombre d'habitations », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère », notice no PA60000061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Les objets classés de l'église Saint-Léger sur la base Palissy
- « Une pietà était cachée sous l'autel de la Vierge de l'église de Chepoix : La découverte remonte à quelques semaines. La statue a depuis été mise à l'abri », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Claude Crépin, « Aux petits soins pour la pietà de Chepoix : Les élus se sont rendus au musée de Vendeuil-Caply ce samedi pour admirer la sculpture, découverte dans leur église il y a quelques semaines », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Général Claude Marion, Chronologie des machines de guerre et de l'artillerie, depuis Charlemagne jusqu'à Charles X, Doullens, Imprimerie de Quinquempoix, , 40 p. (lire en ligne), p. 8.
- Joseph Petit, « Un capitaine du règne de Philippe le Bel : Thibaut de Chepoy », Le Moyen Age, Revue d'histoire et de philologie, vol. 2e série, tome 1 (tome X de la collection), 1897, pp. 224-239 (lire en ligne).
- Jean Le Féron, Catalogue des nobles admiraulx de France, depuis le roy Philippes de Valois jusques à... Henry deuxième, Paris, impr. de M. de Vascosan, , 10 ff (lire en ligne), p. 3f, lire en ligne sur Gallica.
- Yann Fossurier, « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? : Plus de 6000 combattants français ont péri il y a 600 ans lors de la bataille d'Azincourt, dans le Pas-de-Calais. Mais seuls 500 noms nous sont parvenus. Parmi eux, peut-être, un de vos ancêtres ou le seigneur de votre commune », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Paul Roger, Noblesse et chevalerie du comté de Flandre, d'Artois et de Picardie, Amiens, impr. de Duval et Herment, , 400 p. (lire en ligne), p. 233, sur Gallica.
- « Maison de Boulainvilliers, p. 2 et 6-8 », sur Racines & Histoire.
- De Flavigny-Renansart, Paris, Impr. de E. Duverger, , 32 p. (lire en ligne), p. 9.