Montmorot

commune française du département du Jura

Montmorot est une commune française située dans l'agglomération de Lons-le-Saunier, dans le département du Jura, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Montmorot
Montmorot
La mairie.
Blason de Montmorot
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Espace Communautaire Lons Agglomération
Maire
Mandat
André Barbarin
2020-2026
Code postal 39570
Code commune 39362
Démographie
Gentilé Catharus, Catharuses
Population
municipale
3 154 hab. (2021 en évolution de +4,64 % par rapport à 2015)
Densité 278 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 37″ nord, 5° 31′ 50″ est
Altitude Min. 223 m
Max. 355 m
Superficie 11,36 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Lons-le-Saunier
(banlieue)
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lons-le-Saunier-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Montmorot
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Montmorot
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Montmorot
Liens
Site web montmorot.fr

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Saint-Didier, Lons-le-Saunier, Courbouzon, Messia-sur-Sorne, Courlans, Larnaud, Ruffey-sur-Seille, L'Étoile et Villeneuve-sous-Pymont.

Géologie

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Le territoire communal repose sur le bassin houiller du Jura, où le charbon est découvert par un sondage[1].

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records LONS LE SAUNIER (39) - alt : 298m, lat : 46°41'34"N, lon : 5°31'03"E
Records établis sur la période du 01-01-1972 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,8 3,8 6,4 10,1 13,6 15,5 15,3 11,8 8,8 4,1 1,3 7,7
Température moyenne (°C) 3,3 4,2 8,1 11,3 15,1 18,7 20,7 20,5 16,5 12,5 7,1 3,9 11,8
Température maximale moyenne (°C) 6 7,6 12,4 16,1 20 23,8 25,9 25,8 21,3 16,2 10,1 6,6 16
Record de froid (°C)
date du record
−19,6
09.01.1985
−15,8
11.02.1986
−12,2
01.03.05
−3,8
10.04.1977
−0,2
03.05.1979
1,7
01.06.1986
6,6
04.07.1984
4,8
30.08.1998
0,4
29.09.1972
−4,2
30.10.1997
−9,2
23.11.1998
−15
30.12.05
−19,6
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,2
01.01.23
20,8
24.02.21
23,8
31.03.21
28,3
30.04.05
32,4
24.05.09
36,6
18.06.22
39,4
31.07.1983
39,8
12.08.03
33,7
10.09.23
29
04.10.1985
22,4
08.11.15
19,9
16.12.1989
39,8
2003
Précipitations (mm) 83 76,6 79,7 91,5 113 88,8 95,4 95,3 95 112,4 117,2 99,5 1 147,4
Source : « Fiche 39362001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6
0,6
83
 
 
 
7,6
0,8
76,6
 
 
 
12,4
3,8
79,7
 
 
 
16,1
6,4
91,5
 
 
 
20
10,1
113
 
 
 
23,8
13,6
88,8
 
 
 
25,9
15,5
95,4
 
 
 
25,8
15,3
95,3
 
 
 
21,3
11,8
95
 
 
 
16,2
8,8
112,4
 
 
 
10,1
4,1
117,2
 
 
 
6,6
1,3
99,5
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Montmorot est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lons-le-Saunier[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,1 %), zones urbanisées (16,4 %), forêts (16,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Histoire

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  Blasonnement :
« Losangé d'argent et de gueules de six tires. »

Les membres de la maison de Montmorot (ou Montmoret) avaient leur sépulture dans la cathédrale Saint-Étienne de Besançon au même titre que les comtes de Bourgogne, le vicomte de Besançon, le maréchal impérial de Besançon, les seigneurs de Montfaucon, d'Abbans, de Scey et d'Arguel. Leurs armes étaient "lozangées d'argent et de gueules"[14].

Thiesbert/Thibert Ier de Montmoret (ou Montmorot), seigneur de Montmorot. Il est le fils d'Hugues de Bourgogne, dit de Superalios (v. 1037- v. 1086) et d'Aldeberge de Scey. Petit-fils de Renaud Ier de Bourgogne et d'Adélaïde de Normandie il est apparenté à la maison de Scey par sa mère. Il est nommé dans la donation faite par le comte Géraud Ier de Mâcon à la chartreuse de Bonlieu que Thisbert fonde en 1170, en 1172 il engage Ponce de Cuiseaux à demander à Burchard, abbé d'Abondance, de recevoir parmi ses religieux Henry de Cuiseaux[14].

Mariage et succession :
Il épouse Alix de qui il a :

  • Pierre qui suit,
  • Hugues,
  • Humbert.

Pierre de Montmoret (ou Montmorot), seigneur de Montmorot, chevalier. Il confirme en 1200 à la Chartreuse de Bonlieu les biens qui avaient été donnés par son père et en ajoute de nouveaux. Son sceau le représente à cheval, tenant son épée à la main[14].

Mariage et succession :
Il épouse Béatrix, (? - après 1222), fille d'Humbert de Coligny et d'Ide de Vienne (fille de Géraud Ier de Mâcon et de Maurette de Salins), de qui il a :


Jacques de Montmorot, dit "Jacques de Ruffey", chevalier, seigneur de Montmorot, de Ruffey et de Bletterans. Il est nommé dans l'acte de foi d'Humbert de Montmorot envers Jean de Bourgogne en 1246[14].

Mariage et succession :
Il épouse l'héritière de la maison de Ruffey de qui il a :

  • Étienne qui suit,
  • Guillemin, écuyer, seigneur à Gevingey, à Rotalier et à Vincelles.

Étienne de Montmorot, (? - après 1284), dit "Étienne de Ruffey", chevalier, seigneur de Montmorot, de Ruffey et de Bletterans. Il relève le nom et les armes de sa mère[14].

Mariage et succession :
Il épouse Béatrix, fille de Gaucher Ier de Broyes-Commercy et d'Agnès de Fouvent, de qui il a Marguerite, dame de Montmorot, Ruffey, Bletterans, Montdoré et Argilla. Cette dernière recueille la succession des maisons de Montmorot et de Ruffey[14]. Avant 1298 elle épouse Guy de Jonvelle, puis vers 1304 Hugues V de Vienne seigneur de Seurre, Pymont et Lons-le-Saunier en partie  : leur fils Philippe III de Vienne, sire de Montmorot, Pymont et Lons en partie (Saint-Désiré), a pour héritière vers 1368/1370 sa fille Marguerite qui apporte ces fiefs à son époux Louis Ier de Chalon-Arlay ; vers 1400, leur fils Jean III prince d'Orange obtient l'autre partie de Lons-le-Saunier (le bourg avec le fief de Montaigu), de son cousin Louis II de Chalon-Tonnerre : la baronnie de Lons est ainsi réunie.

Le plus ancien membre connu de cette maison est Hugues de Montmorot, prieur de l'abbaye de Baume, qui assistait en 1120 à un accord passé entre son abbaye et les chanoines de Sainte-Madeleine de Besançon sous la médiation de l'archevêque Anséric. En 1147 il est fait mention de Milon, Viard et Étienne de Montmorot dans l'acte de donation faite à l'abbaye de Cluny par Guillaume IV de Bourgogne. En 1207 Guy et Humbert de Montmorot assistaient à un don fait par Pierre IV de Scey à l'abbaye Notre-Dame de Billon. Vuillemin de Montmorot, fils de Vion de Montmorot, donnait plusieurs sujets à Étienne de Vuillafans en 1256. Hugues, fils de Renaud de Montmorot, prêtait hommage, en mai 1259, à Jean de Bourgogne pour des terres situées près du château de Montmahoux et la promesse de faire construire une maison dans l'enceinte de la forteresse. Plusieurs autres membres sont cités dans divers actes de donation : Renaud de Montmorot dit de Saillenay en 1271, Huguenin de Chapoy fils de Renaud de Montmorot en 1276, Jean de Montmorot fils de Bertrand de Bornay en 1294, Humbert de Montmorot en 1314, Jean fils de Vauchier-Romain de Montmorot en 1318, Guillaume de Montmorot châtelain cité en 1346 à la Perrière-sur-Saône, Donnet de Montmorot en 1388, Fromont de Montmorot en 1402[14], Étienne de Montmorot (Montmoret) aumônier du roi de France cité en 1418, Guillaume de Montmorot fils de Pierre et de Claude de Vienne, seigneur de Pelagey, marié en 1499 à Denise de Chissey, Antoine de Montmorot châtelain pour le roi à Couches en 1507...

 
La saline de Montmorot.

L'extinction du rameau aîné d’Étienne de Montmorot marque la fin de la grande puissance territoriale des Montmorot en Franche-Comté, puisque tous les biens de cette famille sont transmis à la famille de Vienne. Il existe encore néanmoins de nombreux Montmorot - cadets de Bourgogne - mais les principaux domaines féodaux héréditaires (Montmorot, Navilly, Bletterans, Ruffey...) sont passés en d'autres mains. Une branche cadette de la famille de Montmorot a vu son titre comtal confirmé par le roi Philippe IV d'Espagne.

Une saline est exploitée sur la commune de 1752 à 1966[15].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1871 1871 Georges Clément    
1871 1872 Claude François Charnier    
1872 1881 Charles Alix Dumont    
1881 1900 Félix Bury    
1900 1913 Eugène Alcide Maillot    
1913 1919 Pierre Cazot    
1919 1921 Stéphane Cusin    
1921 1923 Pierre Cazot    
1923 1935 Désiré Journet    
1935 1938 Louis Carlot    
1938 1941 Eugène Malois    
1941 1944 Alix Rivoire    
1944 1947 Charles Billon    
1947 1965 Eugène Malois    
1965 1971 Marcel Billon    
mars 1971 mars 1989 Maurice Monnier    
mars 1989 juin 1995 René Grand[16]    
juin 1995[17] mars 2014 Robert Choulot UDI Retraité
mars 2014 En cours André Barbarin DVG Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 3 154 habitants[Note 5], en évolution de +4,64 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5431 5491 7641 5551 6171 8031 8361 9461 925
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7331 7501 9592 0061 9551 8271 8121 7571 702
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8871 7391 7921 6421 8381 9942 0642 3462 344
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 6882 7923 3443 3203 1773 0903 1243 1123 038
2017 2021 - - - - - - -
3 0363 154-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Grégoire.
97 odonymes recensés à Montmorot
au
Allée Avenue Bld Chemin Cité Impasse Montée Parc Place Quai Rd-point Route Rue Square Autres Total
0 5 0 16 1 5 1 1 3 0 0 8 30 [Note 6] 1 26 [Note 7] 97
Notes « N »
Sources : rue-ville.info & OpenStreetMap & FNACA-GAJE du Jura

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 172 à 179
  • Roglo, de Montmoret [1]
  • Roglo, de Ruffey [2]

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Lons-le-Saunier, il y a une ville-centre et dix communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Dont une Rue du 19-Mars-1962, mitoyenne avec Lons-le-Saunier.
  7. Voie(s) en relation avec divers hameaux, quartiers, lieux-dits, écarts, zones industrielles, résidences, etc.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Georges Lienhardt, Géologie du bassin houiller stéphanien du Jura et de ses morts-terrains, Éditions Technip Chambéry, Impr. réunies, coll. « Mémoires du BRGM », , p. 39, figure 15.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lons le Saunier » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lons le Saunier » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Lons-le-Saunier », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Montmorot ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f et g histoire généalogique des sires de Salins
  15. Dicofg, « Montmorot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur dicofg.hypotheses.org, .
  16. René Grand, ancien maire de Montmorot s’est éteint http://www.leprogres.fr/jura/2016/07/15/rene-grand-ancien-maire-de-montmorot-s-est-eteint
  17. Robert Choulot brigue un quatrième mandat https://actu.fr/bourgogne-franche-comte/lons-le-saunier_39300/montmorot-jai-des-projets-a-terminer_14202416.html
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.