Meyrargues
Meyrargues | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Arrondissement | Aix-en-Provence | ||||
Intercommunalité | Métropole d'Aix-Marseille-Provence | ||||
Maire Mandat |
Fabrice Poussardin 2020-2026 |
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Code postal | 13650 | ||||
Code commune | 13059 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Meyrarguais | ||||
Population municipale |
3 840 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 92 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 38′ 11″ nord, 5° 31′ 45″ est | ||||
Altitude | 206 m Min. 186 m Max. 554 m |
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Superficie | 41,67 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Trets | ||||
Législatives | Quatorzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | meyrargues.fr | ||||
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Meyrargues est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole d'Aix-Marseille-Provence (AMP) depuis le .
Ses habitants sont appelés les Meyrarguais[1].
GéographieModifier
SituationModifier
Meyrargues, entourée par les communes de Venelles, Le Puy-Sainte-Réparade, Pertuis, Peyrolles-en-Provence, Vauvenargues et Saint-Marc-Jaumegarde s'étend sur 41,7 km2. À 247 mètres d'altitude[2], la commune de Meyrargues est traversée par la Durance. Enfin, Meyrargues est à 7 km du parc naturel régional du Luberon.
Géologie et relief, hydrographieModifier
Le territoire géomorphologiques de la commune de Meyrargues est constitué par trois ensembles :
- au nord, la vallée de la Basse-Durance est une plaine alluviale située à une altitude d’environ 200 m,
- à l’ouest de Meyrargues un ensemble de collines d’âge oligocène culmine vers 350 m d’altitude,
- au sud et à l’est se dressent les reliefs calcaires (Jurassique et Crétacé) formant le versant sud-ouest du massif du Concors. C'est là que se situe le point culminant, à 554 m au Terme de Judas, à l'extrémité orientale des limites communales.
Le territoire de la commune est traversé du sud au nord par une rivière temporaire appelée le Grand Vallat, un affluent de la Durance.
Voies de communication et transportsModifier
Réseau routierModifier
L'autoroute A51 traverse l’Ouest et le Nord de la commune, avec deux points singuliers : un péage pleine voie et une aire de service. Les sorties 14 Meyrargues (demi-échangeur de et vers le sud) et 15 Pertuis desservent la commune.
Plusieurs routes départementales traversent la commune :
- D 96 vers Venelles et Peyrolles ;
- D 15 en direction de Peyrolles, qui a été aménagée entre 2008 et 2010 pour recevoir les convois routiers à très grand gabarit du projet ITER (itinéraire Berre - Cadarache)[3] ;
- D 561 en direction du Puy-Sainte-Réparade ;
- D 556 en direction de Pertuis. La rive gauche du pont de Pertuis est située sur le territoire de Meyrargues.
Réseau ferroviaireModifier
La commune a la particularité de posséder trois gares ferroviaires, gérées par trois compagnies différentes.
La plus ancienne est la gare SNCF (intialement PLM) et reste la seule encore en activité. Elle est desservie par les trains TER PACA des lignes commerciales SNCF FH12 Marseille - Aix-en-Provence - Pertuis et FH13 Marseille - Gap - Briançon d'une part (5 liaisons quotidiennes) et Pertuis d'autre part (7 liaisons quotidiennes en semaine). La liaison vers Pertuis est interrompue depuis le pour une durée prévisionnelle de 4 ans[4].
Elle fut le terminus de la ligne Central-Var, gérée par la Société des Chemins de fer de Provence. Aujourd'hui disparue, elle reliait à Nice via Draguignan. Le bâtiment de cette ancienne gare subsiste toujours[5].
Elle fut également le terminus de la ligne d'Eyguières à Meyrargues, disparue elle aussi et gérée par la Compagnie des chemins de fer régionaux des Bouches-du-Rhône. Le bâtiment est toujours intact[5].
Transports en communModifier
La commune est desservie par les lignes 120, 150 et 152 du réseau Pays d'Aix mobilité qui permettent de rejoindre notamment Aix-en-Provence et Pertuis (Vaucluse).
Elle est également desservie par la ligne 107 Transvaucluse qui permet de rejoindre Pertuis et le Pays d'Aigues ainsi que par la ligne express régionale (LER) 27 de Marseille à Castellane.
Un projet, associant le département des Bouches-du-Rhône, la Région Sud, SNCF et la métropole d'Aix-Marseille-Provence, tendant à créer un pôle multimodal majeur par la modernisation du site actuel de la gare est en cours.
ClimatModifier
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000, puis 1981-2010 :
Période | Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1971-2000 | Température minimale moyenne (°C) | 3 | 3,9 | 6 | 8,5 | 12,6 | 16 | 18,7 | 18,7 | 15,5 | 11,6 | 6,8 | 4,1 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,2 | 12,6 | 15,3 | 17,7 | 22,2 | 26,1 | 29,5 | 29,2 | 25,3 | 20,3 | 14,7 | 12 | 19,7 | |
Ensoleillement (h) | 149,7 | 164 | 220,8 | 236,5 | 287,1 | 319,5 | 361,7 | 324,6 | 252,7 | 192,6 | 153,4 | 137,9 | 2 800,5 | |
Précipitations (mm) | 54 | 44 | 40 | 58 | 41 | 25 | 13 | 31 | 61 | 85 | 51 | 52 | 554,5 | |
1981-2010 | Température minimale moyenne (°C) | 2,9 | 3,6 | 6,2 | 9,1 | 13,1 | 16,6 | 19,4 | 19 | 15,7 | 12,4 | 7,2 | 4 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,4 | 12,5 | 15,8 | 18,6 | 22,9 | 27,1 | 30,2 | 29,7 | 25,5 | 20,9 | 15,1 | 11,9 | 20,2 | |
Ensoleillement (h) | 145,1 | 173,7 | 238,7 | 244,5 | 292,9 | 333,4 | 369,1 | 327,4 | 258,6 | 187,1 | 152,5 | 134,9 | 2 857,8 | |
Précipitations (mm) | 48 | 31,4 | 30,4 | 54 | 41,1 | 24,5 | 9,2 | 31 | 77,1 | 67,2 | 55,7 | 45,8 | 515,4 |
Diagramme climatique 1981-2010 | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
11,4 2,9 48 | 12,5 3,6 31,4 | 15,8 6,2 30,4 | 18,6 9,1 54 | 22,9 13,1 41,1 | 27,1 16,6 24,5 | 30,2 19,4 9,2 | 29,7 19 31 | 25,5 15,7 77,1 | 20,9 12,4 67,2 | 15,1 7,2 55,7 | 11,9 4 45,8 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Meyrargues est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Meyrargues, une unité urbaine monocommunale[9] de 3 804 habitants en 2017, constituant une ville isolée[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
ToponymieModifier
Au Xe siècle, le lieu se serait nommé Mairaniga, puis Meyranigae puis Castrum de Meyran aux XIVe siècle et XVe siècle[14]. Sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), le lieu est mentionné sous le nom de « Merargues ». Le suffixe —argues viendrait du latin —anicum, signifiant petit domaine (champs)[15]. En tout état de cause ce suffixe est typique des toponymes du sud de la France, et se retrouve sur la commune voisine de Vauvenargues. La racine serait tirée du nom du propriétaire primitif gallo-romain du lieu, pouvant être Mairan, Mayran[14] ou Marius[16].
En Provencal, la commune est désignée par Meirarguo[17].
HistoireModifier
Moyen ÂgeModifier
C'est à Meyrargues qu'est signé, le , un accord entre Guillaume de Sabran et Raymond Bérenger IV de Provence, au sujet du comté de Forcalquier qu'ils se disputaient. Le sud du comté de Forcalquier est attribué à Guillaume de Sabran, de la Durance à Forcalquier non-incluse ; le nord jusqu'au Buëch allant à Raimond Bérenger. Avignon et L'Isle restaient indivis. Quelques communautés du sud (Montjustin, Grambois et Beaumont) restèrent à Raimond Bérenger, contre Peyruis, Châteauneuf et Château-Arnoux, au nord, qui allèrent à Guillaume de Sabran[18].
Un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1274[19]. Il fusionne avec celui de Pertuis au XVe siècle[20].
Révolution françaiseModifier
Peu avant la Révolution française, l’agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-1789 très froid. L’élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de , ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[21]. C’est au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, qu’une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute se produit à Meyrargues le [22], le soir même de l’élection des députés aux États généraux. Des poursuites judiciaires sont diligentées, mais les condamnations ne sont pas exécutées, la prise de la Bastille comme les troubles de la Grande peur provoquant, par mesure d’apaisement, une amnistie début août[23].
Politique et administrationModifier
Listes des mairesModifier
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour deux ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.
FiscalitéModifier
Taxe | part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 10,85 % | 0,00 % | 9,19 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 16,32 % | 0,00 % | 10,85 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 50,02 % | 0,00 % | 9,80 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 0,00 % | 19,00 % | 7,08 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[25]).
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
EnseignementModifier
La commune comporte une école maternelle publique "Jòusè-d'Arbaud", ainsi qu'une école élémentaire publique "Jules-Ferry".
SportsModifier
Club de foot : ASM-Avenir Sportif Meyrarguais
CultesModifier
Culture et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
- Le château de Meyrargues, dont les fondations remontent au IXe ou Xe siècle, a été réaménagé au XVIIe par la famille d'Albertas, dont il a gardé le nom. Il a d'abord été transformé en hôtel 4 étoiles. Il est aujourd'hui découpé en appartements (livrés en 2018) sous le contrôle des architectes des bâtiments de France et le conservateur des Monuments Historiques. Le parc a été vendu à la commune de Meyrargues. Il figure, avec son parc, à l'inventaire des sites depuis le .
- Les ruines romaines, par endroits à ciel ouvert ou souterraines, de l'aqueduc de la Traconnade, qui desservait autrefois la ville d'Aquae Sextiae (Aix-en-Provence) (classé monument historique le ).
- La chapelle La Mère de Dieu, près du château.
- La chapelle Saint-Sébastien, à l'entrée nord du village.
- L'église Saint-André (1737) a subi d'importantes modifications en 1822.
- Le tableau de Mazzocchi, donné par Napoléon III, représentant la Vierge et sainte Catherine de Sienne.
JumelagesModifier
Meyrargues est jumelée à la ville de Jimramov (République tchèque).
Manifestations culturelles et festivitésModifier
- Carnaval organisé par l'association Les fripouilles et la municipalité en mars
- Kermesse des fripouilles le (association des assistantes maternelles : lesfripou.com).
- Foire à la brocante (du 1er au ) (organisée par l'association Arts, foires et loisirs)
- Fête de la musique
- (bal et fête foraine)
- Fête votive de la Saint-Louis (deuxième quinzaine d'août)
- Vides greniers
LoisirsModifier
- Randonnées pédestres
- Escalade
- VTT dans la colline
- Tennis
- Centre équestre
- Pêche
- Boulodrome / Salle des sports
- Médiathèque
ÉconomieModifier
Entreprises et commercesModifier
AgricultureModifier
- Miel
- Vin du château de Vauclaire (coteaux d'Aix AOC)
TourismeModifier
CommercesModifier
- Fabrique de santons
HéraldiqueModifier
Les armes peuvent se blasonner ainsi : Parti, au premier d'azur au lévrier rampant d'argent, au second de gueules à l'étoile de huit rais d'argent; le tout sommé d'un chef d'argent chargé de trois tourteaux de sable.
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Personnalités liées à la communeModifier
- Aliénor de Comminges (1329-1402), fille de Bernard VIII, comte de Comminges et de Mathé de l’Isle-Jourdain. Elle était vicomtesse de Turenne, dame de Meyrargues, épouse de Guillaume III Roger de Beaufort, neveu de Clément VI et frère de Grégoire XI, mère de Raymond VIII de Turenne.
- Joseph d'Arbaud, poète, manadier, né le à Meyrargues. Fils de Philippe, François, Marius d'Arbaud, propriétaire, et de Marie-Louise Martin, fille de Valère Martin, félibre de Cavaillon. Une rue du village porte son nom.
- Alain Soucasse, artiste peintre, dessinateur et graveur[26].
- Fernand Singerlé (1913 - 1949 ) Curé de Meyrargues et de Venelles , resistant courageux et actif, aumonier de la 2e DB et " Juste parmi les Nations "
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Francis Brun, en collaboration avec Liliane et Robert Larréa « Meyrargues au temps de nos grands-parents »
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Age en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Meyrargues, p. 751Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Site officiel
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
RéférencesModifier
- « Habitants de Meyrargues », sur habitants.fr.
- meyrargues.fr, « Ville de Meyrargues, la Mairie de Meyrargues et sa commune (13650) », sur Annuaire-Mairie (consulté le 22 octobre 2019)
- « Itinéraire ITER », sur itercad.org
- « Pertuis : desserte par car », sur TER PACA
- Marc-André Dubout, « Eyguières-Meyrargues » (consulté le 27 avril 2020)
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 24 mars 2021).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le 24 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 24 mars 2021).
- « Unité urbaine 2020 de Meyrargues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 24 mars 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- Jean DEMENGE, « Meyrargues — Origine du nom et histoire. »
- « Merveilles du Var . notions de toponymie » (consulté le 22 octobre 2019)
- « Noms de famille commençant par M »
- Frédéric Mistral, « Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français... T. 2, G-Z », sur Gallica Bnf, p. 311
- Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe-XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
- Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN 2-906162-71-X), p. 55.
- Catherine Lonchambon, op. cit., p. 54.
- Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, volume 36, no 145, 1986, p. 309
- M. Cubells, op. cit., p. 310 et 312.
- M. Cubells, op. cit., p. 322.
- « Impôts locaux à Meyrargues », taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- [PDF] « A Meyrargues, un artiste connu et reconnu en France et bien au-delà de nos frontières ! », sur www.villedemeyrargues.fr