Marseille-en-Beauvaisis

commune française du département de l'Oise

Marseille-en-Beauvaisis
Marseille-en-Beauvaisis
La chapelle des Saintes-Hosties.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Isabelle Dubut
2022-2026
Code postal 60690
Code commune 60387
Démographie
Gentilé Marseillois
Population
municipale
1 443 hab. (2021 en diminution de 1,57 % par rapport à 2015)
Densité 175 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 35″ nord, 1° 57′ 23″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 187 m
Superficie 8,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Marseille-en-Beauvaisis

Marseille-en-Beauvaisis est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Marseillois.

Géographie modifier

Communes limitrophes de Marseille-en-Beauvaisis
Fontaine-Lavaganne Rothois
Roy-Boissy   Haute-Épine
Grémévillers Achy

Localisation modifier

La commune est située à 19 km au nord-ouest de Beauvais, dans une vallée du Plateau picard, au confluent de l'Herboval et du Petit Thérain, sous-affluent de l'Oise.

Natura 2000 modifier

Les Bois et Larris de la Vallée Bailly, ou Les larris des Terres blanches, situés à proximité du stade de football, sont classés en zone Natura 2000. On y trouve une biodiversité importante, et notamment des orchidées sauvages et des papillons rouges, dont les ailes sont imbibées de cyanure, afin d'éviter les prédateurs[1]

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marseille-en-Beauvaisis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,7 %), forêts (19,7 %), zones urbanisées (8,4 %), prairies (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

 
La gare.

Marseille-en-Beauvaisis est située au carrefour de deux axes routiers anciens :

La gare de Marseille-en-Beauvaisis est desservie par des trains TER Hauts-de-France effectuant des missions entre les gares de Beauvais et d'Abancourt ou du Tréport - Mers. La ligne ferroviaire passe sous la partie ouest du bourg via un tunnel.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6104 et 6113 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Marsilloe (1086) ; Marseliae (1120) ; Marsilioe (1136) ; de Marselliis (1147) ; Marchelioe (1152) ; de Marsiliis (1153) ; prope Marsilias (1155) ; apud Marselias (1169) ; Marsilia (1170) ; apud Marselias super stratam publicam (1170) ; Marselles (vers 1173) ; de Marseliis (1177) ; Marseeles (vers 1178) ; Marseillioe (1190) ; Marseliœ (1190) ; Marseliœ supra stratam (XIIe) ; manerio de Marsellis (1219) ; Marselloe (1221) ; Marseilles (1221) ; Marceiles (vers 1250) ; Marseil (vers 1250) ; in molendino de Marsilis (1252) ; Marceilles (vers 1260) ; le vile de Marcelles (1303) ; Marseille (XIIIe) ; Marcelles (1316) ; Marseillez (1550) ; Marseille lès Achy (1570) ; Marseille en Beauvoisis (1580) ; eccl. de Marcellis (XVIe) ; Marseille le Petit (1620) ; Marseille en Beauvaisis (1931)[15].

Le Beauvaisis, Bellovaci puis Beauvoisis, est un pays traditionnel de Picardie, au sud de l'Amiénois et au nord du Vexin français. Il a pour chef-lieu Beauvais.

Histoire modifier

 
La rue principale avant 1914, à l'heure de sortie des ouvriers de l'Usine.
 
Vue générale du coteau est - gare et gendarmerie à la même époque.

La commune est un ancien bourg fortifié, qui avait trois portes, Saint-Maur au nord, Saintes-Hosties à l'ouest et Saint-Michel, au sud.

Elle fut dévastée par une inondation causée par un orage en 1645.

Le Moulin de Taussac, qui dépendait de Roy-Boissy, a été rattaché à la commune de Marseille-en-Beauvaisis en 1830.

La commune, qui s'appelait Marseille depuis la Révolution (et souvent désignée Marseille-le-Petit, a été renommée Marseille-en-Beauvaisis en 1908).

Circonscriptions d'ancien régime[16]

Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime  : Paroisse : Saint-MartinDoyenné : MontagneArchidiaconé : BrayDiocèse : Beauvais.

Circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime : Intendance (1789): ParisÉlection (1789) : BeauvaisGrenier à sel (1789) : GrandvilliersCoutume : Amiens et ClermontParlement : Paris Bailliage : Beauvais et Clermont Gouvernement : Île-de-France.

Politique et administration modifier

 
La Halle de Marseille-en-Beauvaisis servait de mairie au début du XXe siècle.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Marseille-en-Beauvaisis [17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Grandvilliers.

Intercommunalité modifier

La commune est membre depuis 1997 de la communauté de communes de la Picardie verte, qui succède à plusieurs SIVOM, dont celui de Marseille-en-Beauvaisis, dont la commune était déjà adhérente.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 2001[18] Maurice Vandeermersch    
mars 2001[19] mai 2020[20],[21] M. Marie Dubut PS
puis DVG
Instituteur retraité
mai 2020[22] janvier 2022[23] Sandrine Cirier   Démissionnaire
janvier 2022[24] En cours Isabelle Dubut   Femme de M. Marie Dubut

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 443 habitants[Note 3], en diminution de 1,57 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
614590623705773817868855838
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
829803778782790735715704754
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
707724725773751789707795741
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6987278899559739541 1321 1571 355
2017 2021 - - - - - - -
1 4821 443-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 743 hommes pour 733 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
2,6 
6,6 
75-89 ans
7,2 
12,1 
60-74 ans
11,6 
18,0 
45-59 ans
16,1 
17,6 
30-44 ans
21,0 
18,2 
15-29 ans
17,9 
26,9 
0-14 ans
23,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement modifier

Commerces modifier

Le bourg, où ne subsistaient, en 2015, qu'une boulangerie et une supérette, voit l'ouverture, en , d'un supermarché Intermarché de 1800 m² et une station-service[30].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
La nef de l'église Saint-Martin, avec sa voute lambrissée de châtaignier en forme de carène de navire.
  • Église Saint-Martin du XIIIe siècle, conservant une armure de François Ier, une armoire sculptée, des statues de la Vierge du XVIIe siècle et de saint Bernard[31].
 
L'armoire sculptée de l'église Saint-Martin, de style Renaissance.
  • La halle en bois, du XVIe siècle, abrite l'Office de tourisme de la Picardie verte et ses vallées.
  • La chapelle des Saintes-Hosties, construite en pierre et brique près de l'église.
Pendant les fêtes de Noël 1532, un ciboire en argent doré fut volé dans l’église de Marseille. Les voleurs enveloppèrent les hosties dans un paquet qu’ils abandonnèrent dans un buisson tout proche, après y avoir posé un caillou. Les hosties furent découvertes quelques jours plus tard, le . Une croix entourée d’un buisson épineux fut construite à cet endroit. Le bruit courut que ce lieu, devenu saint, avait le pouvoir miraculeux de guérir diverses maladies. Les malades affluèrent, dont certains se retrouvèrent guéris. Grâce aux dons récoltés, une chapelle fut rapidement bâtie. Elle fut l’objet d’un pèlerinage annuel le .
Une Mise au tombeau, représentation en pierre de la mise au tombeau du Christ, fut réalisée, sans doute dans la seconde moitié du XVIe siècle. La sculpture se compose des huit personnages habituels : Nicodème, Joseph d'Arimathie, Marie de Magdala, la Vierge, saint Jean, deux saintes femmes et le Christ. La chapelle et, en particulier, la mise au tombeau, furent très endommagée lors de la Révolution ; le caillou déposé par les voleurs, qui avait été conservé dans une petite niche grillagée sous le sépulcre, fut volé à son tour en 1793. Des travaux de restauration furent effectués en 1880.
 
La mise au tombeau.
En mai et , Marseille reçut 480 bombes ; la chapelle perdit ses vitraux et sa toiture, et la maçonnerie fut sérieusement ébranlée. Avec les fonds collectés à partir de 1946, le plafond fut refait en plaques de plâtre ; de nouveaux vitraux sont posés en 1949. Les pèlerinages annuels reprirent, et leur date fut transférée à la Fête-Dieu. La chapelle a été restaurée en 2000 et la mise au tombeau a été remise à neuf.
Les verrières de la chapelle retracent l’histoire de la chapelle : le vol du ciboire, le curé recueillant à l’aide d’une patène les hosties consacrées, la croix plantée au même endroit, la guérison de Jacques Sauvage, prêtre à Crèvecœur-le-Petit, celle du seigneur d’Achy, celle d’un joueur de viole aveugle, qui revint par la suite chaque année en pèlerinage jouer de son instrument[32],[33].
 
Le château, dans la première décennie du XXe siècle.
  • Château de 1680 (détruit en 1980).
  • Vestiges de fortifications détruites sous la Ligue.
  • Ancien moulin de Taussac, dont le bief a été comblé en 2019 afin de rétablir la continuité écologique de la rivière[34].
 
Le lavoir.
  • Anciens lavoirs, rue des Chauffours, rue Ferdinand-Buisson et rue du Moulin.
  • L'ancienne maison Bléry, de 1859, actuellement maison de retraite.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Bibliographie complémentaire modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Les Terres blanches, le paradis des papillons et des orchidées : Les larris des Terres blanches font l’objet d’une attention particulière du Conservatoire des sites pour préserver sa biodiversité remarquable », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3294,‎ , p. 15.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Marseille-en-Beauvaisis et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Marseille-en-Beauvaisis », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 333.
  16. SOURCE : Robert Lemaire, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire démographique et démographique - Département de l'Oise, École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1976
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. J.H., « Élections municipales », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Samedi, un nouveau maire sera installé à Marseille-en-Beauvaisis, pour remplacer Maurice Vandeermersch, qui n'a pas été réélu après dix-huit ans à la tête de la commune. Le nouveau maire sera Marie Dubut, 56 ans, instituteur ».
  19. « Marie Dubut élu maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'ancien maire, Maurice Vandermeersch, n'ayant pas été élu sur sa liste lors du second tour des municipales, c'est Francis Cossard, premier adjoint sortant, qui s'est présenté face à Marie Dubut, grand vainqueur de ces élections avec 13 sièges contre 2 aux sortants ».
  20. Mathieu Blard, « Marie Dubut, maire de Marseille-en-Beauvaisis, raccroche : À 75 ans, Marie Dubut, maire de Marseille-en-Beauvaisis depuis 2001, ne briguera pas de quatrième mandat », Le Courrier picard, édition Beauvais et sa région,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Et ses 18 années à la tête de la ville, cet homme organiquement de gauche, longtemps encarté au PS, jusqu’à la déception Hollande, il en est plutôt fier : « Sur mes trois mandats, la population est passée de 900 à 1 500 habitants. On est passé de 4 à 10 classes, dont une qui vient d’ouvrir cette année ».
  21. Sylvie Godin, « Ultimes vœux de Marie Dubut - Le maire présente Sandrine Cirier, tête de liste : Marie Dubut mettra un terme à son mandat de maire en mars. A l'occasion des vœux, il a dévoilé le nom de celle qui pourrait lui succéder en mars prochain », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585,‎ , p. 27.
  22. Sylvie Godin, « Marseille : Sandrine Cirier à la tête de la commune », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Celle qui fut adjointe au maire succède à Marie Dubut qui avait choisi de se retirer après 19 ans à la tête de la commune ».
  23. Yoann Roche, « Les habitants de Marseille-en-Beauvaisis devront repasser aux urnes après la validation de la démission du maire : Au total, huit élus ont donné leur démission, soit plus de la moitié du conseil municipal. Des élections partielles seront organisées dans les semaines à venir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Isabelle Dubut succédera à son mari à Marseille-en-Beauvaisis : Isabelle Dubut devrait être la nouvelle maire de Marseille-en-Beauvaisis. Elle a présenté la seule et unique liste de l’élection municipale, dont le premier tour s’est déroulé ce dimanche 23 janvier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marseille-en-Beauvaisis (60387) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. C. F., « La grande distribution s’installe à Marseille-en-Beauvaisis », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  31. Dominisque Vermand, « Marseille-en-Beauvaisis, église Saint-Martin », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  32. Smessaert, Roger « Historique de la chapelle des Saintes Hosties », 13 octobre 2000[réf. incomplète].
  33. Dominisque Vermand, « Marseille-en-Beauvaisis, chapelle des Saintes-Hosties », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  34. « De gros travaux sur le Petit Thérain à Marseille-en-Beauvaisis », Le Courrier picard, édition de Beauvais et de sa région,‎ (lire en ligne, consulté le ).