Géographie de la Normandie

Cet article décrit la géographie de la Normandie.

Carte de la Normandie.

Situation modifier

La Normandie se trouve dans l’ouest du continent européen et dans le Nord-Ouest de la France.

Ses deux façades maritimes (au nord et à l'ouest), de 603 km de longueur, font face à la Manche. À l'ouest de la péninsule du Cotentin se trouvent les îles Anglo-Normandes. Les territoires limitrophes sont, en commençant par le sud-ouest et en allant vers l'est : la Bretagne (Ille-et-Vilaine), les Pays de la Loire (Mayenne, Sarthe), le Centre-Val de Loire (Eure-et-Loir), l'Île-de-France (Yvelines, Val-d'Oise) et la Picardie (Oise, Somme).

Sa superficie est de 29 906 km2[1] (30 100 km2[2] avec les îles Anglo-Normandes), elle s'étend entre 50°07' et 48°17' de latitude nord, et entre -1°94' (-2°67' avec les îles Anglo-Normandes) et 1°79’ de longitude ouest.

La partie continentale est située dans le fuseau horaire de l'Heure normale d'Europe centrale, UTC+01:00 et les îles sont dans le Temps moyen de Greenwich, UTC±00:00. Plus anecdotiquement, la pointe de Barfleur se situe exactement aux antipodes des îles des Antipodes.

Géographie administrative et humaine modifier

Géographie physique modifier

Carte des régions naturelles et des principaux fleuves de Normandie :

Îles Anglo-Normandes modifier

 
Îles Anglo-Normandes.

Archipel de la Manche à l'ouest de la péninsule du Cotentin, les îles Anglo-Normandes font partie du Massif armoricain. Jersey, Guernesey, Aurigny, Sercq et Herm sont les principales îles, auxquelles il faut ajouter un nombre important d'îlots et d'écueils qui se découvrent à marée basse. Ces îles, souvent bordées de côtes abruptes, ont des paysages variés.

Îles Normandes modifier

Le plus célèbre des îlots français, le mont Saint-Michel, baigne dans la baie du Mont-Saint-Michel, entre la Bretagne et la péninsule du Cotentin en compagnie de Tombelaine. Plus au large, l'archipel de Chausey comporte, à marée haute, 52 îles d'une superficie totale de 6,5 km2, dont une seule, la Grande-Île, comporte des habitations occupées par une petite population permanente de 30 personnes.

Au large de Cherbourg, l'île Pelée soutient la digue est de la rade de Cherbourg. Au nord-est du Cotentin, Tatihou, en face de Saint-Vaast-la-Hougue est une île accessible à pied à certaines marées basses. À l'est de la péninsule du Cotentin, l'archipel Saint-Marcouf inclut l'île du Large et l'île de Terre.

Littoral modifier

Les côtes maritimes normandes présentent des aspects très divers. Le long de la côte d'Albâtre, les hautes falaises du pays de Caux, au pied desquelles s’étendent des plages de galets, sont de véritables murs verticaux de craie et de silex, parfois échancrées par des valleuses abritant quelques ports, notamment Dieppe et Fécamp. La côte Fleurie et la côte de Nacre offrent de nombreuses stations balnéaires et de vastes plages de sable fin (Deauville, Trouville, Courseulles-sur-Mer). La Manche présente à la fois des promontoires cristallins élevés dans le nord du Cotentin (La Hague) et des parties de littoral bas et sablonneux (vers Saint-Vaast et le mont Saint-Michel). La Côte des Havres, sur la côte occidentale du Cotentin, présente des caractéristiques permettant le développement de vasières et de prés salés.

Pour leur importance historique, les plages du Débarquement font partie d'un bien proposé au patrimoine mondial en vue d'un classement[3] dont la candidature est officiellement déposée par le gouvernement français en 2018[4].

La Normandie connaît une importante érosion de son littoral qui est en grande partie liée à l’anthropisation. Environ 60 % des plages de la région ont tendance à reculer[5]. L’érosion la plus active concerne le littoral compris entre la baie du Mont-Saint-Michel et le cap de la Hague, à l’ouest du département de la Manche : le recul peut aller jusqu’à cinq mètres par an en moyenne[5]. Sur les falaises de craie de Seine-Maritime, le recul est de 20 cm/an en moyenne[5].

Régions naturelles modifier

Le paysage normand est surtout caractérisé par des bocages (bocage normand, pays d'Auge, pays de Bray) et des plaines (de Caen, de Falaise, d'Argentan, d'Alençon, de Saint-André et du Neubourg).

Le bocage normand modifier

 
Paysage typique du bocage normand.

Le bocage normand, très vaste, est plutôt un puzzle de régions naturelles qu'un « pays » à lui seul. On pourrait ainsi dénombrer cinq grandes pièces dans le bocage normand :

Au nord de la Seine modifier

 
Rideaux de culture dans le pays de Caux.

Le pays de Caux est la partie la plus septentrionale de la Normandie. Son sous-sol est constitué d’une grande épaisseur de craie, couverte d’une couche d’argile à silex et d’un limon fertile[6], le tout surmonté par un vaste plateau à la surface légèrement ondulée.

À cheval sur les départements de Seine-Maritime et d'Oise, le pays de Bray, créé à partir de l'érosion d'un anticlinal, est une région de bocage, qui se caractérise par un sol argileux, favorable aux herbages pour l'élevage bovin laitier. Le Vexin normand, délimité par les vallées de l'Epte, de l'Andelle et de la Seine, se présente comme un plateau calcaire dont les méandres de la Seine ont creusé par endroits des falaises de craie abruptes.

Au sud de la Seine modifier

 
Marais-Vernier.

Le long de la Seine, le Marais-Vernier, dans le Roumois, offre des paysages pour partie agraire à champs ouverts (openfields), où les cultures céréalières se mêlent à l'élevage bovin. La campagne du Neubourg, plateau de craie et d'argile à silex, recouvert d'une épaisse couche de lœss, possède de vastes étendues découvertes et plates, largement dominées par les cultures céréalières. La monotonie du paysage est rompue, de manière ponctuelle, par quelques rares boisements. La campagne de Saint-André (ou d’Évreux) est un plateau presque entièrement voué à de grande culture céréalière, qui évoque beaucoup la Beauce voisine. Le plateau de Madrie, situé entre la Seine et l’Eure, a un sol sableux qui permet la céréaliculture. Le Lieuvin et le pays d'Ouche sont des régions aux paysages de bocage ; elles annoncent le pays d'Auge situé à cheval sur les départements du Calvados, de l'Orne et de l'Eure. Le pays d'Auge est vallonné, bocagé, parsemé de nombreux bois ou forêts.

Au centre modifier

 
Campagne de Falaise.

La partie jurassique du Bassin parisien a un sol argileux qui favorise la pâture et l'élevage. Au nord-ouest du Calvados, le Bessin désignait à l'origine le territoire compris entre l'Orne et la Vire[7]. Depuis le XIXe siècle et la disparition des haies bocagères, le Bessin oriental est devenu la plaine de Caen, terre vouée principalement à l'agriculture (en particulier les cultures céréalières). La plaine de Caen est peu à peu gagnée par l'urbanisation et la périurbanisation. Plus au sud, mais encore dans le Calvados, s'étend la campagne de Falaise, puis dans l'Orne, l’Hiémois, la plaine d'Argentan, la campagne d'Alençon et enfin, au sud-est de l'Orne, le Perche, des collines duquel de nombreux cours d'eau se dispersent pour aller rejoindre la Manche (Touques, Dives, Orne) ou la Seine (Eure, Avre, Iton, Risle).

Le Massif armoricain modifier

 
Clécy en Suisse normande.

À l'ouest de la Normandie, le Massif armoricain, au sol souvent acide, offre de nombreux bocages. La région n'a pas vu pénétrer les systèmes d'assolement que l'on a rencontrés dans les openfields de l'Est. Ces réseaux imbriqués de prairies, haies, talus et fossés jouent un rôle de corridors biologiques et empêchent l'érosion des sols.

La presqu’île du Cotentin est divisée en quatre « pays » historiques : au nord-ouest, la Hague ; au nord-est, le val de Saire ; au centre, le Plain (qui fait néanmoins partie du Bassin parisien), région de bocage ; au sud, la passe du Cotentin ou Bauptois, zone de marais et de landes. Au sud-ouest du département de la Manche, l’Avranchin est tourné vers la baie du Mont-Saint-Michel ; au sud-est, le Mortainais a un paysage de bocage sur un flanc granitique et gréseux. Le bocage virois correspond au bassin de Vire et à la partie du synclinal bocain[8],[9] parcourue par la Vire et la Souleuvre. La Suisse normande, à cheval sur le Calvados et l’Orne, a un relief accidenté et verdoyant, avec des gorges sculptées par l’Orne et ses affluents, par érosion dans le Massif armoricain. Les berges du fleuve offrent un relief escarpé et un espace forestier important. Sur les collines, les champs, de taille modeste et pentus, sont très souvent bordés d’épaisses haies ou de murets en granite avec une végétation dense. Le pays d'Houlme est la partie occidentale de l’actuel département de l’Orne. Le Domfrontais ou Passais est une région bocagère située dans le sud-ouest du département de l'Orne, à l'est de laquelle se trouve la forêt d'Andaine.

Relief modifier

 
Le site de la Roche d'Oëtre.

Le signal d'Écouves, d'une altitude de 413 m, est le point culminant de la Normandie. Façonné dans le grès armoricain (gros bancs de quartzite très durs), il est entièrement recouvert par la forêt. Le panorama se restreint aux collines proches.

Le mont des Avaloirs culmine à 416 m et la butte Chaumont à 378 m.

En Suisse normande, le point le plus élevé du département du Calvados est le mont Pinçon qui culmine à 365 m d’altitude, tandis que la Roche d'Oëtre, dans l'Orne, avec 118 mètres de hauteur, est un des plus prestigieux belvédères naturels de l’ouest de la France.

Au sud-ouest de l'Orne, Saint-Céneri-le-Gérei, avec une altitude maximum de 193 m, est hissé sur un piton rocheux granitique et irrégulier des Alpes mancelles.

À Mortain (327 m d'altitude), des gorges profondes ont été creusées par les cours d'eau. On y trouve notamment les plus grandes cascades du Massif armoricain. Le belvédère de la Petite Chapelle Saint-Michel offre un très beau panorama donnant sur le mont Saint-Michel situé à 42 km de Mortain.

Sismicité modifier

Les séismes répertoriés ci-dessous indiquent la localité estimée être la plus proche de l'épicentre ainsi que l'intensité épicentrale mesurée sur l'échelle MSK de 1964, qui va de 1 (secousse non ressentie mais enregistrée par les instruments) à 12 (changement de paysage énormes crevasses dans le sol, vallées barrées, rivières déplacées)[10].

La Basse-Normandie est considérée comme une région peu soumise au risque sismique[15]. L'essentiel de son territoire a une exposition considérée comme faible, et la partie la plus orientale (Pays d'Auge, Pays d'Ouche et le Perche ornais) ont une très faible sismicité[16]. Les zones les plus concernées sont situées sur le massif armoricain, y compris les îles Anglo-Normandes[15].

Climat modifier

 
Graphique climatique du Havre

Le climat de la Normandie est un climat de type océanique. Les hivers sont relativement cléments sur le littoral, entre 5 °C et 6 °C en janvier, mais plus frais dans les terres, entre 3 °C et 4 °C en janvier. Les étés y sont frais, entre 16 °C et 17 °C en juillet, et humides. Les précipitations sont relativement abondantes, avec 123 jours de pluie par an en moyenne[17]. L'ensoleillement annuel moyen est d'environ 1 586 heures[17].

Données climatiques de quelques villes normandes
Température
(Moyenne annuelle)
(en °C)
Précipitations
par an
(en mm)
Ensoleillement
par an
(en heures)
Min. Max.
Alençon[18] 6,4 15,1 738,4 1615
Caen[19] 7,1 14,7 723,2 1624
Rouen[20] 6,2 13,9 820,6 1518

Hydrographie modifier

Les cours d’eau de la Normandie sont la Seine et ses tributaires : Epte, Andelle, Eure, Risle, Robec, ainsi que de nombreux petits fleuves côtiers : Bresle, Touques, Dives, Orne, Vire, Sée, Sélune, Couesnon, Gerfleur. La Veules, plus petit fleuve de France, se jette à Veules-les-Roses, entre Dieppe et Saint-Valery-en-Caux, en Seine-Maritime. Les bordures sud de la province, drainées par la Mayenne, la Sarthe et leurs affluents, appartiennent au bassin de la Loire. La Normandie est également sillonnée de canaux, notamment le canal de Caen à la mer et le canal de Vire et Taute.

Géologie modifier

 
Carte géologique du massif armoricain.
 
Nez de Jobourg dans la Hague.

La Normandie appartient à la plaque eurasiatique. D'un point de vue géologique, la géographie de la Normandie peut se scinder selon une ligne transversale allant de Bayeux à Alençon, l'ouest faisant partie intégrante du Massif armoricain, et l'Est du Bassin parisien, deux grandes régions naturelles de formations très différentes. Cette répartition ne correspond d’ailleurs pas à l'ancienne division administrative entre Haute et Basse-Normandie car la limite traverse du nord au sud les départements du Calvados et de l’Orne. Les rivières découpent des vallées profondes.

L'orogenèse icartienne a intéressé la Hague, où affleurent les plus vieilles roches de France (à l'instar du Trégor mais surtout du bailliage de Guernesey qui comprend Sercq et Aurigny). Il y a 600 millions d'années, seule la partie cadomienne du Massif armoricain est émergée. Il y a 200 millions d'années, durant le jurassique inférieur, alors que le Massif armoricain est émergé, ce qui deviendra le Bassin parisien est une mer. Au miocène (il y a 5 à 20 millions d'années), le réseau hydrographique actuel, dont la Seine, est mis en place. Le bassin est alors une vaste plaine dominant à peine le niveau de la mer.

À l’ouest (Manche, sud-ouest du Calvados, ouest de l’Orne), le Massif armoricain consiste en lambeaux de l'ancienne chaîne cadomienne, constituée de roches plutoniques granitiques, accompagnées pour la plupart de roches détritiques terrigènes auxquelles se sont ajoutés des sédiments paléozoïques et qui ont été légèrement plissés durant l'orogenèse hercynienne. Les lignes de crêtes armoricaines sont approximativement orientées est-ouest et sont constituées de « grès armoricain » (quartzite) très dur. Ces couches ont été déformées par le plissement hercynien. Il y a donc, du nord au sud une succession d'anticlinaux et synclinaux : synclinaux de May-sur-Orne, Urville, zone bocaine et anticlinal d'Ecouves. La zone bocaine est le synclinal le plus long (de Granville à Tournai-sur-Dives en passant par Falaise) et aussi le plus visible. La partie armoricaine alterne forêts et prairies.

Au centre (à l’est et au nord du Calvados et à l’est de l’Orne), les couches calcaires jurassiques du Bassin parisien sont très propices aux cultures céréalières.

À l'est (Haute-Normandie), le Bassin parisien est une vaste dépression où se sont accumulées des roches sédimentaires d'origine marine, lacustres, lagunaires et fluviatiles[21]. Ce bassin parisien est constitué de couches sub-horizontales, donc non plissées, parce que déposées après la période hercynienne et parce que le plissement alpin a peu affecté le nord-ouest de la France. Les paysages de plaines et de plateaux de faible hauteur (pays de Caux) attestent la présence du calcaire ou de la craie. Les couches de silex aident la résistance à l'érosion. Les surfaces y sont presque horizontales ou très peu ondulées. Le sol, argileux, favorise la pâture et l'élevage ; cependant, le sud-est de la Haute-Normandie constitue le prolongement du plateau céréalier de la Beauce.

La diversité géologique a pour conséquence une certaine diversité des paysages, malgré tout limitée par la communauté de climat, tempéré et humide. De ce fait, certains paysages (prairies, bocages) se retrouvent à l’identique dans nombre de parties de la Normandie qui comprend un certain nombre de « pays » bien caractérisés.

Environnement modifier

Les parcs naturels régionaux modifier

 
Parcs naturel régionaux de Basse-Normandie

La Normandie compte quatre parcs naturels régionaux : le parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, le parc naturel régional Normandie-Maine, le parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin et le parc naturel régional du Perche, qui occupent 17 % du territoire régional. Ils présentent des richesses très variées, qu’il s’agisse du patrimoine culturel ou du patrimoine naturel.

Flore modifier

La forêt couvre 14 % du territoire. Il s'agit là d'un faible couvert forestier, comparé à la moyenne nationale (28 %), mais compensé par les « forêts linéaires » que forment les haies bocagères. Le département de la Manche est d'ailleurs le département français le moins boisé.

Les landes recouvrent les sols pauvres, acides mais humides du département de la Manche.

Faune modifier

 
Vache normande.
 
Basset artésien normand.

Du fait d'une tradition agricole ancestrale, la Normandie est la région d'origine de nombreuses races animales d'élevage ou de compagnie. Bien que surtout connue pour son cheptel bovin grâce à la célèbre vache normande, la faune de Normandie est constituée d'une multitude de races.

Les zones humides (marais, prés-salés, tourbières, baies) sont des refuges pour de nombreux amphibiens et une multitude d'oiseaux nicheurs ou migrateurs (râle des genêts, spatule blanche, avocette, héron butor, etc.).

Références modifier

  1. Haute-Normandie, 12 317 km2 + Basse-Normandie, 17 589 km2 = 29 906 km2.
  2. Haute-Normandie, 12 317 km2 + Basse-Normandie, 17 589 km2 + Guernesey, 78 km2 + Jersey, 116 km2 = 30 100 km2.
  3. UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Les Plages du Débarquement, Normandie, 1944 - UNESCO World Heritage Centre », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le )
  4. « La Normandie veut inscrire les plages du Débarquement à l’Unesco », sur www.paris-normandie.fr (consulté le )
  5. a b et c Christiane Galus, « L’érosion touche plus du quart du littoral français ». dans Le Monde du 12-08-2007, [lire en ligne].
  6. J. Ragot, M. Ragot, Guide de la nature en pays de Caux, 2005, p. 6.
  7. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau - Caen, Éditions Charles Corlet - Presses universitaires de Caen, 1996, p. 25.
  8. [1].
  9. Géologie de la zone bocaine.
  10. BRGM, Sismicité de la France, Antille, Guyane, Mer des Caraïbes, « Glossaire » (consulté le )
  11. BRGM, Sismicité de la France, Antille, Guyane, Mer des Caraïbes, « Liste d'observation du séisme n°140007 », sur sisfrance.irsn.fr (consulté le )
  12. BRGM, Sismicité de la France, Antille, Guyane, Mer des Caraïbes, « Région épicentrale : PLAINE DE CAEN (CAEN) - NORMANDIE Carte macrosismique : séisme du 30 décembre 1775 », sur sisfrance.irsn.fr (consulté le )
  13. BRGM, Sismicité de la France, Antille, Guyane, Mer des Caraïbes, « Liste d'observation du séisme n°610006 », sur sisfrance.irsn.fr (consulté le )
  14. BRGM, Sismicité de la France, Antille, Guyane, Mer des Caraïbes, « Région épicentrale : PERCHE (LE MELE-SUR-SARTHE) - NORMANDIE Carte macrosismique : séisme du 2 janvier 1827 », sur sisfrance.irsn.fr (consulté le )
  15. a et b Marc Sadouni, « La Basse-Normandie, un territoire exposé au risque sismique », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
  16. Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement, « Séismes - La Basse-Normandie : une région peu exposée aux séismes », sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, (version du sur Internet Archive)
  17. a et b Météo-France Moyenne des stations d'Alençon, Caen, Évreux et Rouen.
  18. Météo-France, Alençon.
  19. Météo-France, Caen Carpiquet.
  20. Météo-France, Rouen Boos.
  21. Jacques Debelmas, Géologie de la France, Éd. Doin, 1974 ; Francis Doré, Guides géologiques régionaux Normandie, Éd. Masson.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier