Albert Dupontel
Nom de naissance | Philippe Guillaume |
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Naissance |
Saint-Germain-en-Laye (Seine-et-Oise) |
Nationalité |
![]() |
Profession |
Acteur Réalisateur Scénariste Humoriste |
Films notables |
Bernie 9 mois ferme Au revoir là-haut |
Site internet | albertdupontel.com |
Philippe Guillaume[1], dit Albert Dupontel, est un acteur, réalisateur, scénariste et humoriste français, né le à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines, à l’époque Seine-et-Oise).
Après des débuts comme auteur et comédien de one-man-shows au début des années 1990 et d'acteur de cinéma dès fin des années 1980, il commence une carrière de réalisateur et de scénariste tout en continuant de jouer pour d'autres cinéastes. Pour ses propres films, il remporte notamment trois César dans les années 2010 : meilleur scénario original pour 9 mois ferme puis meilleur réalisateur et meilleure adaptation pour Au revoir là-haut.
BiographieModifier
Jeunesse et formationModifier
Jusqu'à l'âge de 20 ans, Philippe Guillaume vit à Conflans-Sainte-Honorine avec ses parents. Son père, originaire de Trégomeur[2] (Côtes-d'Armor), est médecin[3], et sa mère est dentiste. Âgé de quatre ans et demi, il est renvoyé de l'école maternelle, la directrice se plaignant de son refus de toute discipline[4]. Durant son cursus primaire à l'école Paul-Bert de Conflans, il pratique la gymnastique[3] et le judo.
Après avoir obtenu son baccalauréat en 1982, il fait quatre ans d'études médicales à l'UFR de médecine de l'université Paris-Diderot (CHU Bichat-Claude-Bernard). Stagiaire dans le service de neurochirurgie à un poste pas très intéressant, il s’ennuie et le déserte souvent pour aller au cinéma[4]. Son chef de service ne validant pas son stage, du fait de ces absences, il renonce à poursuivre en médecine[4]. Il s'inscrit ensuite à un cours de théâtre dirigé par Yves Pignot et choisit alors comme nom de scène Albert Dupontel ; il souhaite en effet préserver sa famille et particulièrement son père[5],[4].
Il suit ensuite une formation de deux ans (1986-1988) à l'École du théâtre national de Chaillot, sous la direction d’Antoine Vitez. Il commence alors à écrire des sketchs pour se défouler[6]. Durant cette période, il joue de petits rôles. Il est brièvement (une dizaine de jours) l'élève d'Ariane Mnouchkine, dont l'enseignement l'a cependant marqué et lui a servi plus tard dans sa carrière. Elle lui propose d'entrer dans sa compagnie de théâtre mais il décline la proposition[7],[8].
Révélation sur scène et débuts au cinéma (1990-1999)Modifier
En 1990, Albert Dupontel écrit les Sales Histoires, une série d’histoires brèves pour Canal+[9]. Son ton grinçant est nouveau et tranche radicalement avec ce qui se fait à l’époque[10].
En , il commence par des prestations scéniques d'humoriste en one man show au Théâtre de poche Graslin à Nantes. La même année, il tourne une série de spots publicitaires pour la Lada Samara[11],[12]. Un temps de vaches maigres, jusqu'à ce qu'il soit remarqué par Patrick Sébastien qui, ayant vu une captation vidéo de son spectacle sur cassette[13], lui propose de faire un sketch dans son émission télévisée Sébastien c'est fou (devenant son producteur par la suite), ce qui le fait accéder à la reconnaissance du grand public. Il se produit ensuite avec succès dans de nombreuses salles parisiennes, avec son spectacle intitulé le Sale Spectacle[14], notamment au théâtre Tristan-Bernard (avec entre-autres les sketchs cultes « Le Bac », « Rambo », « La Plaidoirie » ou « La Reproduction »). En 1992, il poursuit en se produisant à L'Olympia avec le Sale spectacle 2 et remporte un grand succès (avec notamment ses sketchs cultes « Burt » le super-flic, « Les Pourris d'Or », « La Pause » ou « le Hard-Rockeur » malvoyant, Alphonse in the Dark). Toutefois, il ne fait de la scène que « pour bouffer », comme il dit, car son projet à long terme, c'est le cinéma.
Toujours en 1992, il se lance dans la mise en scène avec Désiré, son premier court métrage. En tant que comédien, il apparaît dans des films tels que Un héros très discret ou Chacun pour toi avec Jean Yanne. Grâce à l'argent gagné avec ses spectacles, il se lance dans la réalisation et son premier film, Bernie (1996), obtient un grand succès. Le film suscitera l'enthousiasme de nombreuses personnalités, comme les membres des Monty Python, Terry Jones et Terry Gilliam, ou encore Robin Williams qui fit même une petite parodie du film pour l'édition collector du DVD[15].
En 1999, il réalise Le Créateur, toujours entouré de la même équipe. Le Créateur est cependant un échec et compte peu d'entrées au cinéma. La même année, Michel Deville lui offre son premier grand rôle sérieux dans La Maladie de Sachs. Son interprétation est saluée par une première nomination aux César[16].
Acteur et retour à la réalisation (2000-2008)Modifier
Entre 2001 et 2005, Albert Dupontel tourne plusieurs films par an dans les genres de la comédie et du drame. En 2002, il monte de nouveau les marches du festival de Cannes pour défendre Irréversible : le film est entouré d'une grande polémique en raison de sa violence[17].
Il commence à travailler sur son troisième long métrage, Enfermés dehors[16]. En 2004, il est à l'affiche de plusieurs films dont Le Convoyeur et Un long dimanche de fiançailles. La recherche de financement pour sa troisième réalisation est compliquée. En 2005, après avoir essayé de produire le film aux États-Unis, puis par une production franco espagnole[18], il trouve finalement plusieurs partenariats en France. France 2 accepte de financer le film mais souhaite ses spectacles en DVD[19]. Les spectacles à l'Olympia et au théâtre Tristan Bernard sont donc édités en 2005.
Exigeant, Dupontel reste un peu en marge de la profession, refusant les facilités du show business. En 2006, sort Enfermés dehors, où il est à la fois réalisateur et acteur principal. Il parvient à réaliser un film d'action burlesque et déjanté, faisant à nouveau l'admiration de Terry Gilliam et Terry Jones, qui participent brièvement au film[20].
De 2006 à 2008, il multiplie les apparitions au cinéma, avec trois films par an. Il a notamment le premier rôle dans Président, Odette Toulemonde, Chrysalis, L'Ennemi intime et Deux Jours à tuer, pour lequel il est de nouveau nominé aux César dans la catégorie Meilleur acteur.
Réalisateur récompensé (depuis 2009)Modifier
En 2009, Albert Dupontel réalise Le Vilain, une fable drolatique qui permet à l'actrice Catherine Frot d'y faire une composition de personne âgée. Le film est un succès (près d'un million de spectateurs[21]) et permet à Dupontel d'annoncer un nouvel opus pour 2011.
Entre-temps, il refait l'acteur pour Bertrand Blier dans Le Bruit des glaçons (2010) avec Jean Dujardin pour partenaire puis, en 2011, pour Gustave Kervern et Benoît Delépine avec cette fois-ci Benoît Poelvoorde en co-vedette dans Le Grand soir, seul film français primé lors du festival de Cannes 2012.
En , il commence le tournage de son nouveau film 9 mois ferme, une comédie sur l'amour impossible entre un prisonnier (incarné par Dupontel) et une juge enceinte (Sandrine Kiberlain, qui obtiendra le César de la meilleure actrice pour ce rôle). Le film sort en et totalise plus de 2 millions de spectateurs, tout en étant bien accueilli par la presse. Le réalisateur reçoit même le César du meilleur scénario original lors de la 39e cérémonie des César[22],[23].
En 2017, il enchaîne avec Au revoir là-haut, l'adaptation du roman homonyme de Pierre Lemaitre, récompensé par le Prix Goncourt 2013. Tourné avec plusieurs techniques créatives, dont la colorimétrie, le film dépasse le million de spectateurs en salles après deux semaines et jette un regard nouveau sur la Première Guerre mondiale. Au terme de son exploitation, il enregistre plus de deux millions d'entrées[24], ce qui en fait son plus gros succès (juste devant 9 mois ferme[25]). Dupontel obtient pour ce film les César de la meilleure réalisation et celui de la meilleure adaptation (avec Pierre Lemaître) lors des Césars 2018.
De à puis de à , ADCB Films, la société de production créée par Albert Dupontel et Catherine Bozorgan, loue un hôtel particulier délabré[26] rue Fortuny, à Paris, auprès du conseil régional d'Île-de-France. Plusieurs scènes des films 9 mois ferme et Au revoir là-haut y sont tournées[27]. Quand le nouveau conseil régional d'Île-de-France décide de vendre l’hôtel en , le faible loyer (1 200 euros), défini par le précédent conseil, fait polémique. L’immeuble est restitué par ADCB films, comme prévu par la convention initiale[28],[27].
Sa réalisation Adieu les cons sort en 2020, pendant la seconde vague de la pandémie de Covid-19, alors qu’un couvre-feu empêche les cinémas d’ouvrir en soirée. Le film reçoit des critiques partagées[29].
EngagementsModifier
Albert Dupontel est, depuis sa création en 2012, parrain de War on Screen, le festival international du film de guerre de Châlons en Champagne[30].
En , il est président du jury du Festival international du film grolandais de Toulouse. Il y décerne un prix spécial à Wrong Cops de Quentin Dupieux[31].
SpectaclesModifier
- 1990 : Sale spectacle 1, one man show au Théâtre Tristan Bernard.
- 1992 : Sale spectacle 2, one man show à l'Olympia.
FilmographieModifier
ActeurModifier
CinémaModifier
- 1988 : Encore de Paul Vecchiali : Alain
- 1988 : La Bande des quatre de Jacques Rivette : un (faux) voyou
- 1989 : La Nuit du doute de Cheikh Djemai
- 1993 : Chacun pour toi de Jean-Michel Ribes : Gus
- 1994 : Giorgino de Laurent Boutonnat : l'infirmier infirme
- 1996 : Un héros très discret de Jacques Audiard : Dionnet
- 1996 : Bernie d'Albert Dupontel : Bernie Noël
- 1998 : Serial Lover de James Huth : Eric Cellier
- 1999 : La Maladie de Sachs de Michel Deville : le docteur Bruno Sachs
- 1999 : Du bleu jusqu'en Amérique de Sarah Lévy : le professeur Helpos
- 1999 : Le Créateur d'Albert Dupontel : Darius
- 2000 : Les Acteurs de Bertrand Blier : un officier de police
- 2001 : L'Origine du monde de Jérôme Enrico : le travesti
- 2002 : Petites Misères de Philippe Boon et Laurent Brandenbourger : Jean
- 2002 : Irréversible de Gaspar Noé : Pierre
- 2002 : Monique : toujours contente de Valérie Guignabodet : Alex
- 2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie : lui-même
- 2004 : Le Convoyeur de Nicolas Boukhrief : Alexandre Demarre
- 2004 : Un long dimanche de fiançailles de Jean-Pierre Jeunet : Célestin Poux
- 2006 : Fauteuils d'orchestre de Danièle Thompson : Jean-François Lefort, le pianiste
- 2006 : Enfermés dehors d'Albert Dupontel : Roland
- 2006 : Avida de Benoît Delépine, Gustave Kervern : le garde du corps
- 2006 : Président de Lionel Delplanque : le président de la République
- 2006 : Odette Toulemonde d'Éric-Emmanuel Schmitt : Balthazar Balsan
- 2007 : Jacquou le croquant de Laurent Boutonnat : le père de Jacquou
- 2007 : Chrysalis de Julien Leclercq : David Hoffmann
- 2007 : L'Ennemi intime de Florent Emilio Siri : le sergent Dougnac
- 2008 : Louise-Michel de Gustave Kervern et Benoît Delépine : Miro
- 2008 : Paris de Cédric Klapisch : Jean, le maraîcher
- 2008 : Deux jours à tuer de Jean Becker : Antoine Méliot
- 2009 : Le Vilain d'Albert Dupontel : Sidney
- 2010 : Le Bruit des glaçons de Bertrand Blier : le cancer
- 2011 : La Proie d'Éric Valette : Franck Adrien
- 2011 : La Brindille d'Emmanuelle Millet : le directeur du musée
- 2012 : Cadres noirs de Manuel Boursinhac
- 2012 : Le Grand Soir de Gustave Kervern et Benoît Delépine : Jean-Pierre Bonzini
- 2013 : 9 mois ferme d'Albert Dupontel : Bob
- 2014 : La Cérémonie de clôture du FIFIGROT 2013, Carnets filmés de Gérard Courant : le maître de cérémonie
- 2015 : En équilibre de Denis Dercourt : Marc
- 2016 : Les Premiers, les Derniers de Bouli Lanners : Cochise
- 2017 : Au revoir là-haut d'Albert Dupontel : Albert Maillard
- 2020 : Adieu les cons d'Albert Dupontel
- 2020 : Mon cousin de Jan Kounen
Courts métragesModifier
TélévisionModifier
- 1990 : V comme vengeance d'Andy Bausch
- 2011 : Belmondo, itinéraire… de Vincent Perrot et Jeff Domenech : lui-même (témoignage)
Réalisateur et scénaristeModifier
- 1992 : Désiré (court-métrage)
- 1996 : Bernie
- 1999 : Le Créateur
- 2006 : Enfermés dehors
- 2009 : Le Vilain
- 2013 : 9 mois ferme
- 2017 : Au revoir là-haut
- 2020 : Adieu les cons
Livre audioModifier
En 1996, Albert Dupontel prête sa voix à Papoo, père de famille dans Les Enfants du futur, une fable orale écrite par Alan Simon[32].
InfluencesModifier
Albert Dupontel considère Charlie Chaplin comme une référence, étant à ses yeux le seul classique du cinéma qui a l'élégance de faire rire avec des histoires dramatiques[33].
Le réalisateur Terry Gilliam fait également partie de ses influences ; ce dernier fait des apparitions (caméo) dans ses films (Enfermés dehors, 9 mois ferme et Adieu les cons)[33].
Par ailleurs, bien qu'il ne considère pas Raymond Depardon comme une source d'inspiration, il concède que son œuvre lui a inspiré le scénario de 9 mois ferme et de plusieurs personnages[33].
Collaborateurs réguliersModifier
ActeursModifier
- Philippe Duquesne[34]
- Nicolas Marié[14]
- Claude Perron[14]
- Philippe Uchan[14]
- Hélène Vincent[14]
- Michel Vuillermoz[réf. nécessaire]
- Bouli Lanners[réf. nécessaire]
Équipe techniqueModifier
- Christophe Pinel : montage[35],[36]
- Cédric Fayolle : effets spéciaux numériques[réf. nécessaire]
- Guy Monbillard : effets spéciaux[réf. nécessaire]
- Christophe Julien : musique[réf. nécessaire]
- Mimi Lempicka : costumes[réf. nécessaire]
ProductionModifier
DistinctionsModifier
RécompensesModifier
DécorationModifier
Notes et référencesModifier
- « Philippe Guillaume dit Albert Dupontel nommé au grade de chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres en janvier 2007. »
- Johan Moison, « Albert Dupontel et la crêpière de Tregomeur », France Bleu Armorique, .
- Il a raconté cet épisode dans l'émission Tout le monde en parle du 10 avril 2004 [voir en ligne] à 1:38 (archive INA).
- Comme raconté par Dupontel dans l’émission Master Classe du 14 avril 2014 sur France 5 [voir en ligne].
- Interview dans l'émission Eclectik, France Inter, 22 mai 2011.
- « Albert Dupontel et JM Ribes, pour "Chacun pour toi" », sur ina.fr, archive vidéo, le cercle de minuit,
- « Albert Dupontel dans Hep Taxi ! », RTBF.be, 20 octobre 2013.
- « Albert Dupontel répond à vos questions », sur albertdupontel.com, .
- Théo Denmat, « Le sale sketch d’Albert Dupontel », SoFoot.com, .
- Romain Le Vern, « Du trash Bernie au fédérateur Au revoir là-haut, le parcours bigarré d’Albert Dupontel », LCI.fr, .
- Publicité pour la Lada Samara sur YouTube.
- Série complète des pubs de la Lada Samara avec A. Dupontel, sur culturepub.fr.
- « Adieu les cons, transhumance suicidaire ? Albert Dupontel », thinkerview.com, , à 1:00:55.
- Romain Le Vern, « Du trash Bernie au fédérateur Au revoir là-haut, le parcours bigarré d’Albert Dupontel », LCI.fr, .
- Samuel Douhaire, « Bernie », sur Libération.fr, .
- « Dupontel médecin de campagne », Le Parisien.fr, .
- « "Irréversible" : malaises pendant la projection officielle », sur Le Parisien.fr, .
- « Claude Perron et Albert Dupontel », sur ina.fr, Tout le monde en parle du 1/04/2006
- Émission On ne peut pas plaire à tout le monde du 20 mars 2005, présentée par Marc Olivier Fogiel.
- Interview de Terry Gilliam et Terry Jones à propos d'"Enfermés dehors", Albertdupontel.com.
- 928 995 entrées selon la fiche du film sur Allociné.
- « Albert Dupontel, César 2014 du Meilleur Scénario Original pour 9 MOIS FERME », .
- Katia Rimbert, « "9 mois ferme", ce soir sur France 2, ou le rôle qui a valu un César à Sandrine Kiberlain », LCI.fr, .
- « Au revoir là-haut (See You Up There) (2017) », sur JP's Box-Office (consulté le 18 avril 2020).
- « 9 mois ferme (9 Month Stretch) (2013) », sur JP's Box-Office (consulté le 18 avril 2020).
- Albert Dupontel présente ce lieu comme « vétuste, inhabitable et inhabité » : « Émission « Clique x » Albert Dupontel - Canal+ »,
- « Paris : Dupontel rendra en décembre l'immeuble loué à bas prix à la Région », Le Parisien.fr, 14 septembre 2017.
- « Albert Dupontel délogé d'un hôtel particulier par Valérie Pécresse », RTL.fr, 16 septembre 2017.
- Manon Bricard, « Adieu Les Cons : “un excellent millésime” ? L'avis des critiques », sur Linternaute, (consulté le 3 novembre 2020).
- « Le parrain du festival - Albert Dupontel », waronscreen.com (consulté le 10 août 2018).
- Fernand-Joseph Meyer, « Wrong Cops, de Quentin Dupieux », sur La Semaine, (consulté le 15 novembre 2020)
- « Notice bibliographique pour Les Enfants du futur », sur Bibliothèque nationale de France (consulté le 30 juin 2020).
- Michel Ursula, « "Neuf mois ferme" d'Albert Dupontel : "Je veux raconter des rencontres improbables" », sur Slate.fr, (consulté le 2 mars 2020)
- « Biographie de Philippe Duquesne », sur Gala.fr (consulté le 21 octobre 2020).
- Frédéric Robin, Histoire de cinéma : Christophe Pinel, monteur de 9 mois ferme, produit par Video Effects Prod en (présentation en ligne le , consultée le ).
- Christophe Pinel sur data.bnf.fr.
- Prisma Média, « Albert Dupontel bientôt papa à 56 ans : qui est sa compagne Catherine Bozorgan ? - Voici », Voici, (consulté le 26 octobre 2020)
Liens externesModifier
- Site officiel
- Rencontre avec Albert Dupontel au Forum des images en
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressources relatives à la musique :
- Last.fm
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative au spectacle :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste : Deutsche Biographie
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