Saint-Germain-de-Belvès

commune française du département de la Dordogne

Saint-Germain-de-Belvès
Saint-Germain-de-Belvès
La place du village de Saint-Germain-de-Belvès.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
Maire
Mandat
Jean-Pierre Passerieux
2020-2026
Code postal 24170
Code commune 24416
Démographie
Gentilé Saint-Germinois, Saint-Germinoises
Population
municipale
173 hab. (2021 en diminution de 2,81 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 18″ nord, 1° 02′ 50″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 266 m
Superficie 7,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Germain-de-Belvès
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Germain-de-Belvès
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Germain-de-Belvès
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Germain-de-Belvès

Saint-Germain-de-Belvès est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Communes limitrophes modifier

 
Carte de Saint-Germain-de-Belvès et des communes avoisinantes.

Saint-Germain-de-Belvès est limitrophe de sept autres communes dont au nord-est Allas-les-Mines sur environ 180 mètres et Berbiguières sur environ 220 mètres.

Communes limitrophes de Saint-Germain-de-Belvès
Siorac-en-Périgord Marnac Berbiguières,
Allas-les-Mines
  Cladech
Sagelat Carves

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Germain-de-Belvès est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(1), date du Coniacien indiférencié, composée de marnes et calcaires argileux grisâtres à la base puis calcaires bioclastiques gréseux. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

 
Carte géologique de Saint-Germain-de-Belvès.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 70 mètres et 266 mètres[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,19 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,45 km2[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Germain-de-Belvès.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Vallée et le Neufond et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9,5 km de longueur totale[14],[Carte 1].

La Vallée, d'une longueur totale de 11,33 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-la-Vallée et se jette dans la Nauze en rive droite à Siorac-en-Périgord[15]. Elle borde la commune à l'ouest sur deux kilomètres, face à Sagelat.

Son affluent le Neufond marque la limite territoriale au sud sur plus de deux kilomètres et demi, face à Carves.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 924 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 5 km à vol d'oiseau[21], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Germain-de-Belvès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), forêts (33,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), prairies (13,2 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Saint-Germain-de-Belvès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Risques naturels modifier

Saint-Germain-de-Belvès est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-de-Belvès.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 40,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2005 et 2008, par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].

Toponymie modifier

En occitan, la commune se nomme Sent German de Belvés[41].

Histoire modifier

Sources : différents bulletins de la « Société des Amis de Sarlat et du Périgord Noir ».

Appelée à l'origine Saint-Germain de Berbiguières, la commune change de nom lors de la révolution le 5 Fructidor An III ().

Saint-Germain de Belvès était une des six paroisses de la seigneurie de Berbiguières. Elle est attestée pour la première fois au XIIIe siècle avec comme patron saint Germain, évêque de Paris au VIe siècle.

La toute première trace écrite de cette commune est l'hommage que le chevalier Géraud de Marcousen (maintenant Marcousin, ou aussi Marcouzin : hameau à l'ouest de la commune) rend en 1259 à Alphonse de Poitiers en tant que comte de Toulouse, et ce pour la moitié du dominium de Campagnac-lès-Quercy.

En 1365, la paroisse a 26 feux, soit environ 140 habitants.

Le bourg est fortifié comme l'atteste un acte du où Charles de Caumont, seigneur de Berbiguières, arrente à Pierre de Boussac senior, du mas de Segala (ou aussi Ségalat, hameau en contrebas et à l'ouest du village de Saint-Germain-de-Belvès) un emplacement pour faire une maison à l'extérieur près de la muraille et près de la grande porte en ruine.

Le plus ancien registre paroissial qui a été sauvegardé remonte à 1651.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs modifier

Dès 1790, la commune a été rattachée au canton de Belvès qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Le canton de Belvès est ensuite rattaché en 1800 à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

Intercommunalité modifier

Fin 2000, Saint-Germain-de-Belvès intègre dès sa création la communauté de communes Entre Nauze et Bessède. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède.

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
? mars 2001 Matthieu Pichard    
mars 2001[44]
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Pierre Passerieux SE[45] Agriculteur

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Germain-de-Belvès relève[46] :

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de Saint-Germain-de-Belvès sont les Saint-Germinois.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

En 2021, la commune comptait 173 habitants[Note 6], en diminution de 2,81 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
488452494498503518530529503
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
474446452450472443405362357
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
368356303245238243216216200
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
169144124107108139137137176
2017 2021 - - - - - - -
176173-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

En 2015[50], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 79 personnes, soit 44,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a diminué par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,4 %.

Établissements modifier

Au , la commune compte dix-neuf établissements[51], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un relatif au secteur administratif[52].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Henri Lasserre, journaliste de renom du Second Empire et auteur à Coux-et-Bigaroque de Notre-Dame de Lourdes, le plus fort tirage littéraire du XIXe siècle.
  • Théo de Marcousin, auteur contemporain de livres pour enfants à la chartreuse de Marcousin[56]

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[39].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Germain-de-Belvès » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Germain-de-Belvès » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Germain-de-Belvès », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Germain-de-Belvès », sur le site de l'Insee (consulté le )
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  14. « Fiche communale de Saint-Germain-de-Belvès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  15. Sandre, « la Vallée »
  16. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  21. « Orthodromie entre Saint-Germain-de-Belvès et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  23. « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Germain-de-Belvès », sur Géorisques (consulté le )
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  34. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
  35. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
  36. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  37. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  38. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  39. Article R214-112 du code de l’environnement
  40. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  41. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent German de Belvés sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  42. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  43. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 13 novembre 2020.
  44. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
  45. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 4.
  46. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Dossier complet - Commune de Saint-Germain-de-Belvès (24416) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
  51. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  52. Dossier complet - Commune de Saint-Germain-de-Belvès (24416) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
  53. a et b Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 95.
  54. Copie du « Procès-verbal de la bénédiction solennelle de l'église de St Germain-de-Belvès, diocèse de Périgueux et de Sarlat, département de la Dordogne », affiché à l'intérieur de l'église, vu le 13 avril 2014.
  55. Chartreuse de Conty, consulté le 26 février 2011.
  56. Théo de Marcousin