Guy Lux

animateur télévisé français
Guy Lux
Guy Lux vers 1970. Portrait au crayon, colorisé manuellement avec Photoshop.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière de Saint-Gratien (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Guy Maurice LuxVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Paulette lisle (d) (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Laura Montossé (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Christophe Jenac (d) (petit-fils en lignée féminine)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Œuvres principales

Guy Lux[1] (/gi lyks/[2]), né le à Paris 12e et mort le à Neuilly-sur-Seine, est un producteur et un animateur de jeux et de divertissements télévisés français. Il conçoit et lance à l'antenne de nouvelles formules de jeux et plus de cinquante émissions de radio et de télévision[3] dont Intervilles. Avec son comparse Léon Zitrone, il incarne l'une des personnalités les plus emblématiques et populaires de la télévision française des années 1960 à 1990.

Biographie modifier

Guy Maurice Lux[4], bien que d'autres sources le nomment « Maurice Guy »[5],[6],[7] est le fils d'Eugène Lux, chimiste à l'institut Pasteur[4] et de son épouse, née Charlotte Gérard. La famille Lux est originaire de Haute Alsace (Sundgau) et, selon les propres mots de Guy Lux, provenant probablement du canton d'Altkirch[4].

Il effectue de médiocres études secondaires au lycée Voltaire à Paris puis entame des études supérieures à l'école Estienne, spécialisée dans les arts et industries graphiques[8]. Après des études à l'école des arts appliqués et aux Beaux-Arts, Guy Lux s'oriente vers la chanson comme parolier, mais il éprouve des difficultés à trouver preneur pour ses textes.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, il est Mobilisé en 1939 et est affecté comme ambulancier, chargé d'assurer le transport des blessés entre les postes de première ligne et les hôpitaux[9]. Lors de la bataille de France, Guy Lux est fait prisonnier ; il parvient à s'évader et il rejoint en 1943, la Résistance avant de s'engager dans les troupes alliées. Pour ces faits, il obtient la Médaille des évadés et la Croix de guerre[8].

En 1948, il s’installe comme quincaillier à Asnières-sur-Seine, dans la proche banlieue de Paris. Il conçoit dès lors ses premiers jeux qu'il teste sur ses clients, tout en animant les activités de la paroisse Saint-Joseph d'Asnières[10].

Sa carrière télévisuelle débute en 1952 à Télé Luxembourg avec l'appui de Pierre Bellemare, après avoir lancé l'idée originale de jeux radiophoniques et télévisés à la RTF[4].

Années 1960 et 1970 modifier

En 1960, Guy Lux présente sa première émission intitulée Contact devenant ensuite La Roue tourne dont il est le créateur et l'animateur, en collaboration avec l'animatrice Marina Grey et l'historien Jean-François Chiappe. L'animateur en dresse un bilan dans son premier livre Inter-Lux distribué par les éditions Solar, en 1966 : 900 000 kilomètres parcourus par Guy Lux et les membres de son équipe, 99 départements visités, 145 émissions filmées et diffusées et plus de 153 candidats dont 25 « grands gagnants » et 28 perdants[4].

Une des émissions de ce jeu télévisé diffusé en mai 1961 évoque pour la première fois à la télévision (mais sous une forme d'un reportage ludique), l'hypothétique trésor de Rennes-le-Château avec l'aide bienveillante du restaurateur Noël Corbu[11],[12].

Par la suite, il conçoit ou anime plusieurs émissions de jeux et de variétés qui ont marqué l'histoire de la télévision française, notamment Intervilles, créée avec Pierre Brive en 1962 et qu'il anime avec Simone Garnier et Léon Zitrone où il devient célèbre en France, Interneige à partir de 1964 et les Jeux sans Frontières à partir de 1965. À la radio, après RTL, il passe sur Europe n° 1 en 1972.

Animateur d'émissions de variétés, il présente le Palmarès des chansons de 1965 à 1968 avec Anne-Marie Peysson, suivi à la rentrée 1968 par Si ça vous chante devenue Chansons champions, les Étoiles de la chanson en compagnie de Jacqueline Alexandre puis Sophie Darel. Entretemps, il participe aussi régulièrement à Télé-Dimanche. Il anime à partir du Cadet Rousselle toujours en compagnie de Sophie Darel et ce, jusqu'au 21 juin 1973. Suit une trêve de plusieurs mois où il est remplacé par Jacques Martin et son Taratata. Guy et Sophie reviennent le avec Domino, French cancan, à la rentrée 1974 et ce, jusque fin décembre qui marque la fin de l'ORTF. Lors de la création d'Antenne 2 le , il revient le dimanche soir pour la première du Ring parade et Système 2 qui durera jusqu'à l'été 1976. En 1976, il revient le dimanche midi, avec Interneige. La version Interneige 1977, verra la création de la première version de La Classe. À l'automne 1977, est diffusée une série de quatre émissions d’Un taxi en or… en compagnie de Sophie Darel. Auparavant, il y a la diffusion le , d'une seule émission, La Bastille en chantant. En janvier 1978, il anime à 19 h 45, les Six jours d'Antenne 2 qui sera suivi par le Top Club et le Top Club dimanche. Le Top Club qui verra la seconde version de ce qui va devenir La Classe. Il anime à la même époque, le samedi après-midi, Loto-chansons, une émission qui fut tristement célèbre où le samedi , il annonce en direct le décès de Claude François.

Il profite de sa trêve télévisuelle pour réaliser à l'automne 1976, le film Drôles de zèbres qui sort en mars 1977 avec Sim, Alice Sapritch et toute une pléiade d'artistes ainsi que le chanteur Claude François. Le film est un échec cuisant, il reçoit les foudres de la critique cinématographique. Guy Lux souhaite, malgré tout, tourner un second film intitulé Les Charlots dans l'espace mais abandonne ce projet et met un terme à cette activité éphémère dans le cinéma. Il participe également à différents journaux spécialisés en tant que pronostiqueur de courses hippiques.

Lors d'un Système 2 diffusé le , il participe à un sketch de Coluche, Le Schmilblick, qui parodie le jeu du même nom, dont il est justement l'animateur. En 1979, quand vient l'heure de prendre sa retraite, il refuse de la prendre car il est engagé sur plusieurs projets. Guy Lux est l'un des premiers animateurs issus de l'ORTF à souhaiter travailler au-delà de 60 ans, avec Léon Zitrone. Son souhait de rester à la télévision au-delà de 60 ans ne fait cependant pas trop de vagues et il reste encore en poste pendant toute une décennie. À l'automne 1979, succède à Top Club dimanche, le Palmarès 79, émission de variétés d'abord mensuelle puis diffusée tous les quinze jours le mercredi soir, succède ensuite le Palmarès 80 puis le Palmarès 81 et ce, jusqu'à la dernière du .

Années 1980 modifier

En 1981, avec l'arrivée de la gauche au pouvoir, il est renvoyé par une décision d'Antenne 2 alors qu'il est à la tête de quatre émissions.

Son dernier Palmarès réunit les plus grands noms de la chanson française : Dalida, Julien Clerc, Michel Sardou, Mireille Mathieu, Serge Gainsbourg, Serge Lama, Sheila, Sylvie Vartan, Tino Rossi, Johnny Hallyday tous ceux qu'il a reçus dans ses émissions depuis seize ans. Sa disgrâce est provisoire après que le président François Mitterrand eut prononcé une petite phrase, lors d'un dîner avec des pontes de la télévision : « Ceux qui ont voté pour moi n'ont pas voté contre Guy Lux »[13]. Quelques années plus tard, Jack Lang, ministre de la Culture, explique qu'il n'y a eu aucune volonté d'écarter Guy Lux à aucun moment. En 1981, Guy Lux n'a à faire face qu'à des procédures administratives normales relatives à sa mise à la retraite, il a alors 62 ans. De nombreux animateurs ou salariés de la télévision prennent leur retraite légale vers la même époque, ce qui aurait dû être le cas pour lui, en 1979. Il anime encore pour Antenne 2, les Jeux sans frontières 1982 en compagnie de Simone Garnier. En janvier 1983, il revient sur FR3 avec Cadence 3. Après la fin de Cadence 3, il relance à l'été 1985, sur la même chaîne, Intervilles, le spectacle qu'il a créé avec Simone Garnier et Léon Zitrone. Le succès est tel que TF1 organise le transfert du jeu avec son équipe sur son antenne (où le jeu sera diffusé jusqu'en 1991).

Parallèlement, il anime en 1984 et 1985, les jeux de la mi-journée sur la radio RMC, en compagnie de Frédéric Gérard. Le , il présente sur FR3, avec un énorme succès[réf. nécessaire], la première finale télévisée de Miss France. Sa société de production, People production, créée au début des années 1980, lui permet de (re)lancer en 1987 l'émission de divertissements La Classe, animée par Fabrice sur FR3. Il signe les paroles de la chanson de Bézu La Queuleuleu.

Guy Lux est parodié par Goscinny et Uderzo dans Le Domaine des dieux, un album de la série Astérix, avec le personnage Guilus[6], et par Stéphane Collaro en tant que Gu-Lyx (Cocoricocoboy). Il est aussi parodié par Coluche dans Le Schmilblick.

En , Etienne Mougeotte et Dominique Cantien font appel à lui pour essayer de contrer Jacques Martin qui fait de bonnes audiences sur Antenne 2 le dimanche après-midi. Il présente alors, à compter du Interchallenges — qui, comme les émissions de Jacques Martin est entrecoupé d'une série américaine (Pour l'amour du risque) — où il diffuse notamment des extraits de l'émission américaine That's Incredible! (en), comme l'a fait Jacques Martin avec Incroyable mais vrai ![14]. En 1987-1988, il anime Intercontinents.

En 1989, Guy Lux, qui vient d'avoir 70 ans en juin, est dénigré par certains animateurs, comme Patrick Sabatier et Michel Drucker. Ce dernier, qui va rejoindre la chaîne TF1, raconte que Guy Lux était trop vieux et qu'il doit passer la main[réf. nécessaire]. Philippe Guilhaume, président d'Antenne 2, et ami de longue date de Guy Lux, répliquera dès 1989 en qualifiant Michel Drucker d'« homme du passé ». Michel Drucker devra partir d'Antenne 2 en 1990.

En 1988, Guy Lux parraine les débuts de carrière de l'humoriste Vincent Lagaf, qui participe déjà à l'émission La Classe.

Années 1990 modifier

Au début des années 1990, la position de Guy Lux, vu son âge, devient de plus en plus délicate. Jacques Chirac, en qui il voit un soutien, perd l'élection présidentielle de 1988, alors qu'au même moment, la télévision française voit arriver beaucoup de nouveaux animateurs tels qu'Alexandre Debanne, Bernard Montiel, Charly et Lulu, Jacques Pradel, Karen Cheryl, Laurent Boyer, Julien Courbet, Laurent Cabrol, Olivier Chiabodo, Pascal Brunner, Vincent Lagaf', Vincent Perrot et bien d'autres.

En 1991, Guy Lux est contraint de se retirer des écrans, en tant qu'animateur. Il continue néanmoins à créer et à produire des concepts de nouvelles émissions avec sa société de production comme Succès fous, de 1990 à 1992. Avec son comparse Claude Savarit, il trouve l'idée du jeu L'Or à l'appel, qui est présenté par Vincent Lagaf' de mars 1996 à juin 1997.

En , Guy Lux confirme son retrait des écrans en tant qu'animateur, et continue de lancer des projets. Malgré ce retrait qu'il pense être provisoire, il espère être plébiscité par son public, mais il n'y a pas de véritable engouement des téléspectateurs pour demander son retour.

Durant la décennie 1990, Guy Lux tente en vain de revenir en tant qu'animateur et producteur d'émissions de variétés, dont il propose plusieurs projets, tous refusés. Les dirigeants de TF1 misent à cette époque sur les reality shows (émissions Perdu de vue, Les Marches de la gloire, , etc.) et des animateurs ambitieux plus jeunes. Aussi, à l'époque, le concept des émissions de variétés commence à être usé et à ne plus être « à la mode ». Durant cette période, Guy Lux propose également des idées de nouveaux jeux, mais cela se solde par des échecs. En 1992, Guy Lux est victime d'un premier accident vasculaire cérébral[réf. nécessaire].

En 1994, il lance l'émission Fa Si La Chanter, présenté par Pascal Brunner (du au ) qui connait un gros succès. Enfin, il continue à produire jusqu'à fin 1994 La Classe avec Fabrice, émission qui fait la part belle aux humoristes reconnus, dont Jean-Louis Blèze, et aux jeunes qui montent tels Anne Roumanoff, Chantal Ladesou, El Chato, Élie Kakou, Jean-Marie Bigard, Les Vamps, Michèle Laroque, Muriel Robin, Pierre Palmade, Tex, Vincent Lagaf', Virginie Lemoine et beaucoup d'autres.

En 1995, TF1, qui a relancé Intervilles avec son accord, lui rend hommage au cours d'une émission spéciale en 1997 avec Jean-Pierre Foucault.

Début 2001, il tente une dernière fois de sortir de sa retraite et propose à Patrick Le Lay et Étienne Mougeotte, dirigeants de TF1, des projets de jeux et d'émissions de variétés qu'il animerait. Les deux dirigeants refusent d'envisager un retour à la télé de Guy Lux. L'équipe dirigeante de TF1 fait finalement appel à Endemol et programme l'émission de télé-réalité Star Academy, au grand dam de Guy Lux qui critique ce concept qu'il associe à de la « trash TV » (télé poubelle). En 2002, Guy Lux fera part[Où ?] de son opinion à propos de l'émission Star Academy : il pense que ce concept de programme donne une mauvaise image du monde de la chanson et des variétés. Pour lui, un chanteur ne peut pas naître en quelques semaines, et faire des scènes prestigieuses au bout de quelques mois, alors que dans la réalité, il est difficile d'émerger dans ce métier. Plutôt que de faire appel à Endemol, il aurait préféré que l'on mise sur le modèle de l'émission de Mireille, des années 1960, Le Petit Conservatoire de la chanson, qui aurait été une solution économique.

Il fera sa dernière apparition à l'image à l'occasion de l'élection de Miss France 2003 sur TF1, le samedi avec Jean-Pierre Foucault.

Vie privée modifier

Guy Lux épouse le Paulette Lisle (née le  à Villeneuve-Saint-Georges, décédée le  à Saint-Gratien). Le couple a deux enfants : Christiane (1942-1964) et Michel (né en 1943).

Christiane, épouse Lauduique, meurt en 1964 des suites d'un accident de voiture à l'âge de 22 ans laissant un fils, Jean-Christophe âgé de trois mois. À la suite de ce drame, Guy Lux a porté plainte contre la clinique de Saint-Jean-de-Luz, où sa fille a été transportée dans un état désespéré, déclarant : « Je ne peux pas dire que Christiane aurait pu être sauvée, mais il est impensable qu'elle soit restée durant près de trois heures sans qu'on ait tenté la moindre intervention. À 22 ans, l'organisme a des ressources parfois insoupçonnées. Il y avait peut-être une chance sur mille de la sauver, je ne pourrai jamais oublier qu'elle n'a pas été tentée »[15].

Après la mort de sa fille, il élève Jean-Christophe qu'il surnomme « Bibi ». En 1984, celui-ci se lance dans la chanson et sort un disque avec son groupe appelé « Actuels »[16] et prend le pseudonyme de Christophe Jenac. Jean-Christophe a eu avec l'actrice Ariane Séguillon un fils : Dorian Lauduique, membre du groupe electro-rock Ofenbach[17].

Guy Lux a également eu un fils hors mariage, Pierre avec l'animatrice Vonny. Il n'a reconnu aucun autre enfant hors mariage[18]. En , sa fille Laura Charlotte Montossé qu'il a eue avec Muriel Montossey décède à l'âge de 17 mois.

 
Le manoir de Guy Lux, dans le Loiret.

Guy Lux a vécu pendant plus de trente ans dans un pavillon, une ancienne chapelle réhabilitée, situé à l'angle des rues du Général-Leclerc et Traversière à Saint-Gratien dans le Val-d'Oise[19]. Cette maison n'existe plus, elle a été rasée lors de l'aménagement du parc urbain[19]. Guy Lux a été également propriétaire du château du Moulin aux Lièvres, un manoir du XIXe siècle de style Louis XIII, situé aux Choux, dans le Loiret, à une vingtaine de kilomètres de Montargis. Ce château est resté longtemps à l'abandon, avant d'être repris en 2021[19],[20].

Guy Lux meurt le , à presque 84 ans, à Neuilly-sur-Seine. Il repose au cimetière de Saint-Gratien dans le Val-d'Oise, auprès de son épouse Paulette Lisle (1914-1995) et de sa fille Christiane (1942-1964).

Documentaire modifier

  • Mireille Dumas, Les grands hommes du petit écran: Guy Lux, Léon Zitrone, diffusé sur France 3 à 20h35 le .

Émissions modifier

Émissions présentées, conçues et/ou produites modifier

Autres émissions conçues et/ou produites modifier

Filmographie modifier

Cinéma modifier

Acteur modifier

Réalisateur modifier

Livres modifier

  • Inter Lux, Éditions Solar, 1966 (ISBN 9782402311168)
  • Coups francs, Stock, 1977.
  • Dans les coulisses de mes souvenirs (Intervilles), Carrere, 1986.
  • On ne fait que passer, Numero 1, 1998.

Notes et références modifier

  1. Son vrai nom n'est pas Maurice Guy, comme certains ont pu l'écrire. Maurice est son deuxième prénom comme l'atteste son acte de naissance ; Sylvie Hamez, Génération Intervilles, , 156 p. (ISBN 9782951657793)
  2. Prononciation en français de France standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  3. « Guy Lux, l'inventeur d'Intervilles, avait 83 ans », sur La Libre Belgique,
  4. a b c d et e Guy Lux, Inter-Lux, Éditions Solar, (ISBN 978-2-402-31116-8, lire en ligne), p. 28.
  5. Guy Lux (préface de Marcel Jullian), On ne fait que passer, 1998, Éditions 1.
  6. a et b Gilles Boussaingault, « Guy Lux, empereur du petit écran », Le Figaro, (consulté le ).
  7. « L'animateur Guy Lux est mort », Le Monde, (consulté le ).
  8. a et b Jacques Lafitte et Stephen Taylor, Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1165.
  9. Bruno Halioua, Leur seconde guerre mondiale, Buchet/Chastel, , 288 p. (ISBN 978-2-2830-3440-8), p. 40.
  10. Guy Lux
  11. (en) Site anglophone sur le prieuré de Sion, page sur l'émission de télévision
  12. Philippe Delorme, Ombres et mystères de l'histoire, [lire en ligne].
  13. Sylvie Hamez, Génération Intervilles, Agenda du Sport Editions, , 156 p. (ISBN 978-2-9516577-9-3)
  14. Télé 7 jours no 1478, semaine du 24 au 30 septembre 1988, pp. 62-64 : Le combat des chefs. Guy Lux défie Jacques Martin…
  15. « Guy Lux porte plainte contre la clinique où est morte sa fille », L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, 7 septembre 1964.
  16. Télé 7 jours no 1254, semaine du 9 au 15 juin 1984.
  17. Demain nous appartient : Ariane Séguillon révèle que son fils est l'arrière petit fils de Guy Lux ! (Photos)
  18. Guy Lux, le père des Jeux sans frontières (1965 à 1982)
  19. a b et c Dominique Bonnet, « L'ancien château de Guy Lux en piteux état - Un ambitieux projet qui n'a pas vu le jour », Paris Match, (consulté le ).
  20. Anne-Laure Le Jan, « "Ce château est un diamant brut" : dans le Giennois, le Moulin aux lièvres n'est plus abandonné », La République du Centre, (consulté le )

Liens externes modifier