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Nombre irrationnel (discussion) modifier
Je ne sais trop si je dois m'excuser d'intervenir dans ce débat si riche, argumenté, réfléchi...
J'ai découvert cet article par hasard, mis en avant par la page d'accueil ce 18 décembre comme « article labellisé ». J'avoue que sa lecture m'a laissé perplexe.
L'introduction, notamment, m'a fait l'effet d'un coup de massue. L'ayant lue, je me suis demandé ce que j'avais sous les yeux. Ainsi donc, parmi les irrationnels, « on peut distinguer deux sous-ensembles complémentaires ». Oui, mais on peut aussi en distinguer un autre, puis un autre, et même des sous-ensembles dans lesquels il y a à la fois des ceci et des cela. Et alors ?
Reprenons.
Soit on fait un état des lieux : on définit froidement un emboîtement d'ensembles : rationnels, constructibles, algébriques,... bref le diagramme de l'intro, ou celui, plus subtil, de la page d'accueil du 18 déc., avec en supplément une mention des nombres normaux ou autres curiosités (qui n'ont rien à voir, mais bon).
Soit on prend un point de vue historique : les Grecs ont découvert que certaines quantités (longueurs ou surfaces) n'étaient pas commensurables ; on a découvert depuis que certains de ces « irrationnels » n'étaient même pas racines d'équations algébriques, etc.
Ce dernier point de vue aurait eu l'avantage de poser clairement le problème épistémologique de l'« existence » des nombres, et peut-être d'éviter certains anachronismes dans la rédaction : les Grecs n'ont pas « découvert les nombres irrationnels », ils ont découvert l'incommensurabilité de certaines grandeurs, et ce sont les générations ultérieures qui ont décidé de donner le statut de nombres à ces « rapports irrationnels », comme ce fut le cas plus tard pour les « imaginaires », d'abord de simples outils techniques avant d'être admis au statut de nombres.
Sur quoi on peut évidemment disserter longuement sur le fait de savoir qui parmi les Grecs a le premier dit ou pensé ceci ou cela. Encore faut-il être d'abord clairs sur le fait que les Grecs n'avaient pas notre notion de nombre, et ne s'autorisaient pas comme nous à étendre une notion au-delà du champ où elle a été définie.
Il y aurait fort à dire sur le reste de l'article. Un exemple : le problème des autels en Inde. Ce n'aurait pas été long ni compliqué de préciser l'enjeu : pour construire un autel deux fois plus grand en volume que le précédent, il ne faut pas doubler les dimensions, mais les augmenter dans une proportion... à déterminer. Le lecteur ordinaire aurait compris que racine cubique de 2 est un nombre, mais « irrationnel ».
Je suis hors sujet ? Désolé. ----
(coup de gueule non publié) (note ajoutée le 11 janvier 2021)
Ponts sur le Drac modifier
- sur le Drac noir
- Pont des Foures (route des Chabauds)
- Pont Peyron (D 475, route des Audiberts)
- Pont ...
tous trois sur la commune d'Orcières
- sur le Drac blanc
- Pont des Fermons (D 472)
- Pont des Eyrauds (route des Rolands)
- Pont de Corbière (D 944, route de Gap à Orcières)
tous trois sur la commune de Champoléon
- sur le Drac en Champsaur
- pont des Ricous (route de Serre-Eyraud), commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas
- Pont de Pont-du-Fossé (D 944, route de Gap à Orcières), commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas
- Pont de Chabottes (D 945, reliant la Fare-en-Champsaur à Chabottes)
- Pont de Saint-Julien (D 215, reliant Saint-Julien-en-Champsaur à Forest-Saint-Julien
- Pont de Saint-Bonnet (D 945, reliant la Fare-en-Champsaur à Chabottes), communes de la Fare et de Saint-Bonnet-en-Champsaur
- Pont de la Guinguette (N 85, route de Grenoble à Gap), communes du Noyer et d'Aubessagne
- Pont Bernard (D 57, route de la Guinguette au Motty), communes de Beaufin et d'Aspres-les-Corps
- Pont du Saut-du-Loup (D 217, route du Motty à la D 537), communes de Beaufin et d'Aspres-les-Corps
ces deux derniers à l'entrée des gorges
- sur les gorges du Drac
- Pont du Sautet (D 537, route de Corps à Veynes), communes de Corps et de Pellafol
- Pont de Ponsonnas (D 526, route de Clelles au [[le Bourg-d'Oisans|Bourg-d'Oisans}}
- sur le Drac inférieur
- Pont de Saint-Georges-de-Commiers (D 63, reliant Saint-Georges-de-Commiers à Vif), communes de Saint-Georges-de-Commiers et de Vif
- Pont-Rouge (D 1075, roue de Grenoble à Sisteron), commune de Pont-de-Claix
- Pont de l'autoroute A480, reliant l'A48 à l'A51), commune de Pont-de-Claix
- Pont du Rondeau (D6, ...), communes d'Échirolles et Seyssins
- Pont de Catane (D 1532, reliant Romans à Grenoble), communes de Grenoble et Seyssinet-Pariset
- Pont du Drac (ligne A du tramway de Grenoble), communes de Grenoble et Fontaine
- Pont Esclangon (D 531, circulaire Grenoble-Fontaine-Sassenage), communes de Grenoble et Fontaine
- Pont du Vercors (D 106, ...), communes de Grenoble et Fontaine
- Pont des Martyrs (D 531, circulaire), communes de Grenoble (polygone scientifique) et Sassenage
.
Détente / Jeux de mots modifier
Clémentine Mélois modifier
Connaissez-vous les auteurs des ouvrages suivants ?
- Maudit Bic,
- Wifi-génie,
- Légumes des jours,
- Père et gay (guère épais).
Merci à Clémentine Mélois de nous les avoir signalés (Cent titres, 2014, éd. Grasset).
« Clémentine Mélois est née en 1980 (le 15 juin comme Jean-Philippe Smet). Elle a grandi à La Ferté-Milon (ville natale de Jean Racine), est allée au collège à Villers-Cotterêts (où est né Alexandre Dumas), et a fait ses études aux Beaux-Arts de Paris (comme Nicolas Poussin)[1]. »
- Texte en quatrième de couverture de Cent titres, ouvrage de C. Mélois (2014, éd. Grasset)
Charade modifier
- Une charade à solution multiple :
- Mon premier sert aux jeux de l'amour
- Mon second sert aux jeux de hasard
- Mon tout est un grand chef militaire.
Cette charade admet quatre solutions : trois classiques et une approximative.
(Avec l'aide de Dfeldmann (d · c · b) pour la numéro 3)
Lipogramme (Pérec) modifier
Le texte qui suit, extrait d'un roman célèbre, a une particularité rare : laquelle ?
J'avais compris qu'il dissimulait son vrai motif, mais aussi qu'il irait, si l'intimidation manquait son but, jusqu'à l'obstruction par corps.
Il m'apparaissait clair qu'il avait pour instruction d'assaillir tout individu portant sur l'avant-bras droit un fin sillon blafard, tout « individu du clan » ainsi qu'avait dit l'assistant Mahmoud Abd-ul-Aziz. Mais j'ignorais — lors voulais savoir — la raison qui provoquait sa discrimination. Pourquoi craignait-on tant, à Ankara, l'apparition d'un gars « du clan » ?
Ce texte ne comporte aucune occurrence de la lettre 'e'.
C'est ce qu'on appelle un « lipogramme ».
Il est extrait du roman La Disparition, écrit par Georges Pérec.
Allographie modifier
Pouvez-vous déchiffrer ce poème allographe de Louise de Vilmorin ?
ABI ABI
LN MA FY LHR LET
G AC ZE FET
LE BZ IR
L RUL DT
LEJ FMR
OWGT
Abbaye abbaye
Hélène aima et fit grecs et la chair et l'été
J'ai assez aidé et fêté
Et les baisers d'hier
Et les ruelles d'été
Élégie éphémère
Au doux bleu végété.
Les juex de mots du moemnt modifier
Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des lteters dnas un mot n'a pas d'improtnace, la suele cohse ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire lteetres sionet à la bnnoe pclae. Le retse peut êrte dnas un dsérorde toatl et vuos povuez tujoruos lrie snas porblmèe. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot.
Autonymie modifier
Je préside à la ruine ainsi qu'à la raison
Je suis en liberté sans sortir de prison
Je mets fin à l'amour, je termine le jour.
Qui suis-je ?
La lettre « r » :
- initiale de ruine et de raison
- intermédiaire dans liberté et dans prison
- finale de amour et jour.
Ce type d'énigme, apparentée à l'autonymie, a été largement développé par François Gayot de Pitaval (1673-1743).
Figure de style (anaphore) modifier
En 2012, au cours d'un débat télévisé, François Hollande, alors candidat à l'élection présidentielle, a répété « Moi, président de la République, ... » 16 fois en un peu plus de 3 minutes. Comment nomme-t-on cette figure de style, bien connue des rhéteurs de l'Antiquité, des écrivains et des avocats ?
aphorisme ? - - métaphore ? - - anamorphose ?
anacoluthe ? - - anaphore ? - - paronomase ?
(Quiz proposé par Pascale Cheminée dans « Jeux de mots. La langue française en fête », hors série Le Monde / Jeux, avril 2013)
Messages chiffrés (à lire à haute voix) modifier
- 20, 100, 1000 ânes dans un pré, et 120 dans l'autre. Çà fait combien d'ânes ?
Un seul : Vincent mit l'âne dans un pré et s'en vint dans l'autre.
- Un jeune mathématicien épouse la fille d'un collègue plus ancien. Le lendemain des noces, il lui envoie ce télégramme : « 7 et 3 , 13 et 3 ». Il reçoit la réponse suivante : « 6, 7 et 3, 7 et 9 ».
des chiffres et des lettres= modifier
Un allographe est une suite de lettres telle que si on l'épelle à haute voix on entend une phrase. Exemple classique :
- L N N E O P Y = « Hélène est née au pays grec »
On fait plus difficilement des allographes de chiffres :
- 4 4 4 7 1 9 = « Cat-cat-cat, c'est un œuf »
Des allogrammes mixtes letres et chiffres sont plus intéressants !
- G H T 3 K 7 = « J'ai acheté ... »
- L A K C 1 9 = « Elle a ... »
Les immatriculations automobiles françaises actuelles offrent un large champ d'allographes mixtes, à condition que les chiffres soient lus comme des nombres. Exemple en forme de maxime :
- CC·200·BT = « Cesser de s'em-bêter » (Carpe diem)
Exercez-vous à « lire » les suivants :
- LN·100·PY (la guerre de Troie)
- AJ·110·QT (discipline militaire)
- PI·112·ET (le pôle et le Sahara)
- LD·113·MU (l'ai-je bien descendu ?)
- EP·613·EP (c'est trop !)
- HT·910·QT :(caprice de riche)
... et inventez-en d'autres (à rajouter, pourquoi pas, dans la liste ci-dessus).
Mots croisés modifier
Quelques définitions célèbres :
- (en 9 lettres) Ne sort jamais de sa cage
- (en 6 lettres) On voit juste quand on l'a dans l’œil
- (en 4 lettres) Entier qui partage sa moitié avec un tiers
- ASCENSEUR (attribuée à Raymond Queneau)
- COMPAS (figure dans le Dictionnaire des idées reçues, de Gustave Flaubert)
- COCU (aphorisme d'Alphonse Allais)
Queneau modifier
Quel est l'auteur de ce texte ? Quand a-t-il été écrit ? Pourquoi ? Et que signfie-t-il ?
Sol erat in regionem zenithi et calor atmospheri magnissima. Senatus populusque parisiensis sudebant. Autobi passebant completi. In uno ex supradictis autobibus qui S denominationem portebat, hominem quasi junum, cum collo multo elongato et cum chapito a galono tressato cerclato vidi. Iste junior insultavit alterum hominem qui proximus erat : Pietinat, inquit, pedes meos post deliberationem animae tuae. Tunc sedem liberam vidente, cucurrit là. Sol duas horas in coelo habebat descendues. Sancti Lazari stationem ferrocaminorum passente devant, junum supradictum cum altero ejusdem farinae qui arbiter elegantiarum erat et qui apropo uno ex boutonis capae junioris consilium donebat vidi.
L'auteur du texte est Raymond Queneau. C'est l'une des 99 <variations> composant l'ouvrage Exercices de style, composé par Queneau entre 1942 et 1946, suite à un défi lancé par Michel Leiris à la sortie d'un concert où avait été joué l'Art de la fugue de Jean-Sébastien Bach : faire un maximum de variations (ici littéraires) sur un thème mineur[1]. Celle-ci est intitulée « Latin de cuisine » (les entorses à la lanque latine y sont effectivement nombreuses). Le texte autour duquel toutes les variations ont été composées est présenté parmi les autres variations sous l'intitulé « Récit ». Le voici (on en appréciera la réelle vacuité) :
Un jour vers midi du côté du Parc Monceau, sur la plate-forme arrière d'un autobus à peu près complet de la ligne S (aujourd'hui 84), j'aperçus un personnage au cou fort long qui portait un feutre mou entouré d'un galon tressé au lieu d'un ruban. Cet individu interpella tout à coup son voisin en prétendant que celui-ci faisait exprès de lui marcher sur les pieds chaque fois qu'il montait ou descendait des voyageurs. Il abandonna d'ailleurs rapidement la discussion pour se jeter sur une place devenue libre. Deux heures plus tard, je le revis devant la gare Saint-Lazare en grande conversation avec un ami qui lui conseillait de diminuer l'échancrure de son pardessus en en faisant remonter le bouton supérieur par quelque tailleur compétent.
- Raymond Queneau, Exercices de style, éd. Gallimard, 1979 (sans ISBN), pages 9-11.
La Pimpolaise modifier
Dans le troisième couplet de la Pimpolaise, le pauvre gars fredonne tout bas : « Ta voilure, mon vieux Jean-Blaise / Est moins blanche, au mât d'artimon / Que la coiffe de la Pimpolaise / Qui m'attend au pays breton » La coiffe ? Certes, la coiffe bretonne est blanche. Mais quand le pauvre gars pense à sa promise, est-ce bien à sa coiffe qu'il rêve ? En réalité, Théodore Botrel avait écrit la peau de la Pimpolaise, exprimant un désir naturel bien que rarement formulé au XIXe siècle. Mais lorsqu'il proposa à Félix Mayol de chanter sa Pimpolaise, celui-ci lui fit remarquer qu'on risquait d'entendre plutôt la peau de lapin... polaise. Et Botrel modifia son texte.
(Rapporté par Pierre Saka & al., Y'a d'la France en chansons, Larousse 2002.)
Pluriel des mots composés modifier
Comment met-on au pluriel chacun des mots de la liste ci-après :
coffre-fort • sèche-linge • haut-fourneau • cessez-le-feu • arc-en-ciel • prie-Dieu • ex-voto • tire-bouchon • trompe-la-mort • après-midi • pèse-lettre • sans-abri
coffres-forts • sèche-linge ou sèche-linges • hauts-fourneaux • cessez-le-feu • arcs-en-ciel • prie-Dieu • ex-voto ou ex-votos • tire-bouchon ou tire-bouchons • trompe-la-mort • après-midi ou après-midis • pèse-lettre ou pèse-lettres • sans-abri ou sans-abris
Les mots composés de la forme verbe-complément sont traditionnellement invariables. En France, le rapport du Conseil supérieur de la langue française, publié en 1990, recommande de leur ajouter un -s terminal au pluriel, sauf si le complément est un nom propre (donc prie-Dieu) ou est précédé d'un article (trompe-la-mort). Même recommandation pour les mots de la forme préposition-nom (sans-abris).
Pour en savoir plus, voir
- Rectifications orthographiques du français en 1990 sur Wikipédia
- Pluriels_de_mots_composés sur Wiktionaire
- Rapport_de_1990_sur_les_rectifications_orthographiques sur Wikisource
Éloge de l'imparfait du subjonctif modifier
« Oui, dès l'instant où je vous vis,
Beauté féroce, vous me plûtes.
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes.Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les vœux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis.Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes ;
Et je ne sais comment vous pûtes
De sang-froid voir ce que je mis.Ah! fallait-il que je vous visse,
Fallait-il que vous me plussiez,
Qu'ingénûment je vous le disse,
Qu'avec orgueil vous vous tussiez !Fallait-il que je vous aimasse,
Que vous me désespérassiez,
Et qu'en vain je m'opiniâtrasse,
Et que je vous idolâtrasse,
Pour que vous m'assassinassiez ! »
Quiz : les accents circonflexes sont-ils tous bien placés ?
Oui pour les imparfaits du subjonctif. Mais il y en a un de trop sur le u de ingénument.
Allographes en anglais modifier
Les anglophones appellent gramograms| les allographes à épeler. Ils utilisent couramment IOU, pour « I owe you » (je vous en suis redevable), ou ICQ pour « I seek you » (je vous cherche).
De nombreuses lettres sont directement utilisables pour créer des gramograms :
- A = A (un, une)
- B = be (être), bee (abeille)
- C = see (vois), sea (mer)
- H = ache (douleur)
- I = I (je, moi)
- O = owe (être débiteur)
- P = pee (pisse)
- Q = cue (file)
- R = are (es, est, sommes, sont)
- T = tea (thé)
- U = you (tu, vous)
- Y = why (pourquoi)
et de manière approximative :
- N =+- and (et)
- S =+- ace (as)
Mais c'est en mêlant des chiffres aux lettres que les anglophones font le plus de gramograms:
- 1 = one (un, une)
- 2 = to (à, pour)
- 3 =+- free (libre, gratuit)
- 4 = for (pour) -- d'où le célèbre T42 N 24T (du thé pour deux, et deux pour le thé), mais aussi 34U (gratuit pour vous), et bien sûr 2B3 (être libre)
- 6 =+- sex
R U OK? est une association australienne de prévention du suicide.
Lewis Carroll a pu créer un personnage ne s'exprimant qu'en gramograms[réf. nécessaire].
Drôles de musiciens modifier
Le saviez-vous ?
- Gounod était fâché avec Shakespeare. Parce que quand Gounod voulait faire laver Maria, Shakespeare ôtait l'eau.
- C'est Mozart qui a inventé la braguette. Parce qu'il voulait une ouverture pour sa flûte enchantée.
- Avant d'être pape, Benoît XVI faisait de la pop' dans le groupe des Rat Singers.
- Pourquoi y a-t-il peu de filles vierges dans les bassins miniers ? Parce que le concerto en sol mineur.
- Les sucettes à l'anis, ce n'est pas une chanson de Morissette.
- On peut acheter des mélodies allemandes chez Lieder Price.
- Qui sème l'instrument à vent récolte la trompette.
- Pour les foyers modestes, c'est vive Aldi toutes les quatre saisons.
- La fille de Ray Charles est stone.
- Pour Armand Gonzalez, le beat est roi.
(avec l'aide involontaire de M. Hillman & E. Savoye, via leur Drôle de dico de la musique, Librio 1140.)
Âges modifier
Énigme :
J'ai trois fois l'âge que vous aviez quand j'avais l'âge que vous avez. Quand vous aurez l'âge que j'ai, nous aurons ensemble 112 ans. Quel âge ai-je ?
Mon âge ( , comme grand âge) est inconnu ; le vôtre ( , comme petit âge) aussi.
Pour faciliter les écritures, nous appellerons :
- la différence entre nos âges : , ou
- (comme enfant) l'âge que vous aviez quand j'avais l'âge que vous avez. C'était il y a années, vous aviez ans. Donc , ou .
J'en ai aujourd'hui le triple : . Par comparaison, il vient , donc (surprise !).
Quand vous aurez l'âge que j'ai ( ), dans années, j'aurai ans, donc nous aurons ensemble ans.
. J'ai donc ans.
Et vous ?
nouveau modifier
Affluents de la Cadière modifier
La Marthe ou ruisseau de Marthe modifier
La source géographique de la Marthe se situe à 240 mètres d'altitude, sous le rebord du plateau des plaines d'Arbois, au nord-est de la commune des Pennes-Mirabeau[1]. Cette source est à sec la plupart du temps, et le ruisseau n'en coule qu'en période pluvieuse. De là son cours descend plein ouest jusqu'à atteindre un rebord rocheux, à la hauteur du village des Pennes. Au pied de ce chaos rocheux une source de type vauclusienne dite « source de Marthe » coule en permanence. Le ruisseau passe une cascade (l'une des très rares cascades du département des Bouches-du-Rhône), franchit un défilé taillé dans les marnes, puis continue dans la plaine jusqu'à la limite de la commune de Vitrolles, où elle rencontre la Cadière dans laquelle elle se jette. La longueur de son cours depuis la source théorique est de 4 kilomètres[2], depuis la source de Marthe environ 2,5.
- SANDRE
- SANDRE
Apiers, enclos et murs d'abeilles (discussion) modifier
Je découvre cet article et je dois dire que je suis tenté de le bousculer un peu. Je ne conteste pas l'intérêt d'un article sur les enclos-apiers de la Côte d'Azur, mais il existe d'autres sortes d'apiers, qui devraient figurer dans un article commun, car ils ont la même fonction de protection des ruches que les enclos. Je pense notamment à l'apier de Cornillon-Confoux, dans les Bouches-du-Rhône, et au Rucher de la Combe à la Serpent, à Corcelles-les-Monts, en Côte-d'Or. Faire de ces murs-apiers des « enclos du pauvre » est franchement malheureux. Mais les intégrer dans l'article nécessiterait une refonte complète. D'autant qu'il faudrait aussi faire place au Rucher de Montagnac, sur la commune de Montfrin, dans le Gard — ce dernier étant encore différent car creusé dans une paroi rocheuse. Bref, du boulot. J'hésite.
Victoire d'Ikaria modifier
Cette image, dont la statue, œuvre d'Igor Mitoraj, est le sujet principal et unique, me semble contrevenir au droit d'auteur (droit de représentation). Igor Mitoraj est mort en 2014, et ses droits sont gérés par l'ADAGP (www.adagp.fr). Il me semble donc impossible d'attribuer à cette image une licence de libre usage.
Baou-Roux modifier
Oppidum du Baou Roux | ||
Vestiges d'une cabane de l'oppidum (Fouilles Tennevin) | ||
Localisation | ||
---|---|---|
Pays | France | |
Département | Bouches-du-Rhône | |
Commune | Bouc-Bel-Air | |
Protection | Inscrit MH (1992) | |
Coordonnées | 43° 25′ 27″ nord, 5° 24′ 23″ est | |
Altitude | 300 m | |
Superficie | 2 ha | |
Géolocalisation sur la carte : France
| ||
Histoire | ||
Époque | ? – 124 av. J.-C. | |
modifier |
L'oppidum du Baou-Roux est un ancien oppidum celto-ligure, ou plus proprement salyen, situé sur le flanc nord-ouest du massif de l'Étoile, au nord de Marseille. Occupé dès le septième siècle avant notre ère[1], il a été détruit en 124 av. J.-C. par les Romains[2]. Il n'a été que très partiellement fouillé.
Le site modifier
Le Baou-Roux est un petit plateau de 2 hectares de superficie, bordé à l'ouest par une falaise d'une quarantaine de mètres de hauteur (un baou en provençal). Avec une altitude voisine de 300 mètres, il domine la plaine de Bouc-Bel-Air, ancienne voie de communication entre la cuvette marseillaise et la vallée de l'Arc. De son sommet les habitants pouvaient apercevoir les hauteurs sur lesquelles se trouvait l'oppidum d'Entremont, ou celles du Camp Marius de Ventabren. L'accès principal se fait par un chemin dit « carraïre arlésienne », sur le versant sud. Deux accès plus difficiles existent sur la face nord, où des marches ont été par endroit taillées dans la roche (postérieurement à l'époque salyenne).
Le plateau bénéficie d'un sol végétal permettant son exploitation agraire. Son exploitation a d'ailleurs été largement poursuivie depuis l'époque salyenne, avec une large réutilisation des blocs de pierre provenant des murailles et murs d'habitations de l'oppidum[3].
Les fouilles modifier
- Premières explorations
Le premier document faisant état de recherches archéologiques sur le Baou-Roux est une note de Benoni Blanc, datée de 1856, représentant un fragment de meule provenant « du camp retranché de Sousquières, près de Simiane ».
A la fin du XIXe siècle, la famille Tennevin, propriétaire d'une partie du plateau, commence à recueillir des objets ramassés en surface et à faire des fouilles éparses. En 1903, Félix Tennevin, trouve à 60 cm sous la surface du sol un squelette de femme qui paraissait enterré rituellement et portait huit bracelets en bronze et deux bagues en fer[4].
La même année, le Comte de Gérin-Ricard explore ce qu'il appelle le « castellum de la Chiera », nom qu'il tire de l'étymologie de Sousquières, ou encore « Mons rapaciosus », nom trouvé dans une charte du XIe siècle de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.
En 1903 encore, G. Vasseur, de la Faculté des Sciences de Marseille, entreprend une campagne de fouilles, dont il publie les résultats dans les Annales de la faculté sous le titre « Note préliminaire sur l'industrie ligure en Provence ».
A la même époque, d'autres chercheurs tels Convert, Faudin, Durand, apportent leurs contributions aux travaux de Gérin-Ricard et de Vasseur.[5]
- Fouilles Tennevin
Dans les années 1960, Jean-Pierre Tennevin, petit-fils de Félix Tennevin, entreprend des fouilles plus méthodiques, restreintes à un secteur précis au nord-est du plateau. Sous une première couche de terre, il trouve une « table archéologique » contenant une multitude de débris d'amphores, dolia, urnes, d'époques variées, jusqu'aux Ve et VIe siècles av. J.-C., voire préhistoriques. Plus bas, il atteint une surface en terre battue, dallée par endroits, qu'il identifie comme le sol de l'époque terminale de l'occupation salyenne. Sur ce sol, il met à jour des murettes de pierre rectilignes quadrillant tout en espace, délimitant dix-huit « cases » et plusieurs « rues » : un quartier d'une véritable ville[6].
En 1972, J.-P. Tennevin publie le résultat de ses recherches (plans et photos des lieux fouillés, description des pièces archéologiques récoltées) dans la revue des Amis d'Entremont.
- Fouilles C81
En 1981, une équipe de chercheurs conduite par Jean-Louis Charrière a entrepris une fouille méthodique d'un secteur situé dans la partie ouest du domaine. Le chantier a été clos et les lieux rendus à la nature en juin 1988. En creusant de plus en plus profondément l'équipe C81 a mis à jour cinq niveaux successifs d'occupation des sols, correspondant à cinq périodes d’occupation successives, qu'ils ont pu dater « avec plus ou moins de certitude ».[7]
Pièces archéologiques modifier
- Monnaies
Une étude numismatique de 449 pièces de monnaie conservées par J.P. Tennevin a été publié en 1987 dans la Revue archéologique de Narbonnaise[8]. Cette étude confirme qu'aucune occupation permanente du site n'a eu lieu postérieurement à sa destruction en -124.
Sources modifier
- Jean-Pierre Tennevin, Le Baou-Roux, Oppidum celto-ligure, préface de François Salviat, les Cahiers de l'Association des Amis d'Entremont et du Pays d'Aix antique, numéro 1, 54 pages, impr. Paul Roubaud, Aix-en-Provence, novembre 1972 (sans ISBN).
- Jan Peire Tennevin, Lou Grand Baus, fiction historique en provençal, avec traduction française de l'auteur, préface de Fernand Benoit, impr. Mistral, Cavaillon, 1965 (sans ISBN).
- Fouille sur l'oppidum du Baou-Roux (1981-1996), sur le site asso-archeo-entremont.com
Notes et références modifier
- Tennevin, p.18
- Tennevin, p.4
- Tennevin, p.10
- Mémoire de l'abbé Chaillan, Académie d'Aix, 1931, cité par J.P. Tennevin, p. 15
- Tennevin, op.cit., pp.15-18
- Tennevin, pp. 23-25
- Fouille sur l'oppidum du Baou-Roux
- Inventaire des monnaies trouvées sur l'oppidum du Baou-Roux (B. du Rh.) de 1907 à 1981, in Revue archéologique de Narbonnaise, année 1987, n°20, pp. 99-141.
Voir aussi modifier
- Histoire de la Provence, et notamment la partie intitulée Marseille et les Celto-Ligures
- Marseille antique, et notamment la partie intitulée Massalia, alliée de Rome
Saint Pelade modifier
Pelade ( ? - 6 janvier 823) est un saint chrétien. Il fut évêque d'Embrun au début du VIe siècle.
Sa vie, son œuvre modifier
Palladius, ou Pallade, ou Pelade est issu d'une famille embrunaise de haut rang. Élève de Catulin, l'évêque d'Embrun, il le suit dans son exil à Vienne lors de son conflit avec les ariens et le roi Sigismond[1]. En 518, à la mort de Catulin, Pelade lui succède[2]. L'hagiographie voit dans l'évêque Pelade un saint éminent, qui « donnait l'exemple de toutes les vertus », « jouissait du privilège de converser avec les anges »[3], possédait le don de prophétie[1]. On lui doit la construction de nombreuses églises, à Embrun, la Roche-de-Rame, Chorges, le Sauze, et même Marseille[3].
Il décède le 6 janvier 523.
Dévotion modifier
Vénéré de son vivant, il fait rapidement l'objet d'un culte. Déclaré « saint » par l’Église catholique, il est célébré le 21 juin[1], sauf dans le diocèse de Gap et Embrun, où il est célébré le 7 janvier[4].
Ses reliques ont été volées par un moine bénédictin espagnol, et déposées au monastère Saint-Pierre de Camprodon (Espagne). Elles sont actuellement dans l'église Sainte-Marie de cette même ville[1],[5], où Pelade, sous le nom de Patllari, est fêté le 21 juin[3].
Pelade est le saint patron de l'église de Montgardin (Hautes-Alpes)[3].
L'église de Réallon (Hautes-Alpes) lui est dédiée[6].
Voir aussi modifier
Notes et références modifier
- Saint Pelade sur le site de la Conférence des évêques de France
- Nous suivons ici le site de la CEF. D'autres intercalent entre Catulin et Pelade un certain Gallican, inconnu par ailleurs, et sans précision de date — voir p.ex. Tableau Historique du Département des Hautes-Alpes, de Joseph Roman, Paris/Grenoble 1887, rééd. Gap 1993, (ISBN 2909956024), p.2, ou l'article Liste des évêques et archevêques d'Embrun.
- Saint Pelade, patron de Montgardin sur le site paroissesdelavance.fr
- Calendrier liturgique particulier du diocèse de Gap et Embrun sur le site diocesedegap.fr
- Llegenda de Sant Patllari({cat}) sur le site de la ville de Camprodon
- Église Saint-Pelade sur le site alpes-guide.com
Aiguines modifier
(d'après le site de la commune : https://www.aiguines.fr )
Le musée des tourneurs sur bois modifier
Le tournage sur bois a pendant plusieurs siècles été au cœur de la vie économique du village d’Aiguines. Afin de mettre en valeur ce patrimoine artisanal exceptionnel, la commune a créé en 1980 un Musée des Tourneurs sur Bois associant le savoir-faire d’hier et la création contemporaine[1].
Car si la boule en bois cloutée n'est plus fabriquée, le métier de tourneur sur bois est resté à Aiguines. Ce qui a changé, ce sont les pièces, leurs fonctions, leurs destinations : l’artisan est devenu un artiste. De l’artisanat à l’art, d’un patrimoine reconnu au développement international d’une production artistique, le musée raconte l’histoire des Tourneurs sur Bois à Aiguines[1].
L'Ecole Escoulen modifier
Grace à Jean-François Escoulen, tourneur sur bois à la renommée mondiale, la commune a créé en 2004 une école dédiée au tournage sur bois[2].
L’École Escoulen a pour vocation de promouvoir le tournage sur bois contemporain, aussi bien auprès d’un public d’amateurs que de professionnels. Car le tournage sur bois, désormais reconnu comme métier d’art, ne se pratique plus au sein d’un atelier à répéter des gestes mécaniques pour une production en série, mais produit aujourd'hui des pièces artistiques, pièces à façon et petites séries[3].
L’École Escoulen organise également des événements, comme Les Petites Journées d’Aiguines, congrès annuel de tournage sur bois, et Le Grand Atelier, séminaire de collaboration entre métiers d’art[2].
Liens externes modifier
- Le musée des tourneurs sur bois sur le site de la commune.
- École Escoulen sur le site de la commune.
- Site de l'école Estoulen
MARSEILLE avant Foresta modifier
En , l'installation d'un panneau « MARSEILLE » sur la colline de Batarelle est à l'étude à l'initiative de l'artiste Christophe Fort[1] au bénéfice de la recherche sur le cancer. En pour la promotion de la série Netflix Marseille, le projet est réalisé avec le lettrage de la série.
- Christophe Fort interrogé par Constance Jamet, « Un symbole d'Hollywood importé à Marseille ? », sur lefigaro.fr, .
Compagnie Franco-Indo-Chinoise (Marseille) modifier
La Compagnie Franco-Indo-Chinoise, ou Compagnie Franco-Indochinoise, est une ancienne société de commerce et de traitement du riz qui possédait une usine au 204 boulevard de Plombières, à Marseille (14e arrondissement). Le bâtiment, datant de 1885, a été réhabilité en 1998. Il est aujourd'hui occupé par la société Avenir Télécom.
Histoire modifier
A l’époque coloniale, la position géographique de Marseille, son port, les activités portuaires et plus généralement l’ensemble des activités économiques font de Marseille le port privilégié du commerce avec l’Indochine. La part de l’Indochine dans les importations de riz à Marseille atteint 45.380 tonnes en 1900, alors que l’industrie rizière y est présente depuis 1860. Jusqu’en 1940, 80 à 96 % du riz reçu à Marseille sera indochinois. Le riz est bien sûr destiné à l’alimentaire mais il est aussi utilisé pour l’amidonnerie et la brasserie[1].
En 1910 deux génois, les frères Pellas, déjà propriétaires d'une usine à Modane (Haute-Savoie), quartier Sainte-Anne, s'installent à Marseille, place Marceau, où ils créent les Rizeries de la Méditerranée. Début 1928, les Rizeries de la Méditerranée fusionnent avec les Rizeries du Havre, la nouvelle société prenant le nom de Compagnie Franco-Coloniale des Riz, siège maintenu à Marseille. Minoritaires, les frères Pellas sont évincés fin 1929 lorsque la Compagnie Franco-Indo-Chinoise (FIC), fondée en 1912[2], absorbe la société[3]. La FIC, dont le siège est parisien, possédait une usine à Marseille au 178[4] boulevard de Plombières[3], qui produisait entre autres des aliments composés pour les animaux[1].
Alors qu'en 1936 l'usine de Marseille n'avait pas été affectée par les mouvements sociaux, une grève de plus de 45 jours a eu lieu en mars-avril 1938, avec occupation des locaux et piquets de grève[3].
En 1954, la FIC construit une usine à Port-Saint-Louis-du-Rhône.
Le Viêt Nam, le Laos et le Cambodge deviennent indépendants par les accords de Genève de 1954. Malgré cette rupture, la FIC continuera son activité, restée bénéficiaire, jusqu'à la fin des années 1950. Le bâtiment du boulevard de Plombières est resté ensuite à l’abandon. Entièrement réhabilité en 1998, pour plus de 3,5 millions d’euros, par le cabinet d’architectes Lévy & Magnan, chantier financé par l'agence Marseille Aménagement, il a accueilli le siège de la société de développement informatique Avenir Télécom[5], qui a déposé son bilan en 2016[3].
Autres modifier
Une Compagnie Franco-indochinoise de Commission et d'Exportation avait été créée à Paris en 1927, administrée par des membres de la Société Indochinoise de Transports, dont le siège était à Saïgon.
Une nouvelle Compagnie Franco-indochinoise, ayant pour objet l'Administration d'entreprises, a été créée à Paris en 1957[6], immatriculée RCS en 1985[7]. Elle est considérée par l'INSEE comme ayant cessé son activité en 1985[8].
Pellas frères modifier
La Société Rizeries de la Méditerranée, établissement Pellas frères a été créée en 1910,pour une durée de 25 ans, par dévolution des biens de la société italienne Fratelli Pellas DI. C. N., comportant notamment une usine située à Marseille, place Marceau, et un ensemble de biens dont une usine situés à Modane, lieudit Sainte-Anne. Elle a son siège à Marseille.
En 1921 elle met en service une usine boulevard de Plombières [?]
En 1927, elle fusionne, à égalité de capital, avec la société des Rizeries françaises, du Havre, pour former la Compagnie Franco-Coloniale des Riz, dont le siège reste à Marseille. Les frères Pellas sont membres du CA, Nicodemo VP.
En novembre 1928, après quelques démissions, le conseil d'administration est renouvelé. Les frères Pellas ne sont plus administrateurs.
Le 30 octobre 1929, l'AGE de la F-C du Riz vote l'absorption de la Société par la Compagnie Franco-Indochinoise.
- Compagnie Franco-Indochinoise des Riz, 1885, Avenir Telecom 1989 sur le site tourisme-marseille.com
- annuaire_df_1948 sur le site dfih.fr
- Cie_franco-indochinoise (pdf) sur le site entreprises-coloniales.fr
- numéro attesté par divers documents officiels ; il pourrait y avoir eu une renumérotation du boulevard
- Siège Avenir-Télécom - Rizeries franco-indochinoise sur le site annelevy.com
- Compagnie Franco-indochinoise sur le site societe.com
- [Export_Portail_Data_COMPAGNIE_FRANCO_INDOCHINOISE_Du_09-03-2023-1.pdf Data_COMPAGNIE_FRANCO_INDOCHINOISE] ?
- avis de situation SIRENE sur le site de l'INSEE
Sources modifier
- Le site https://www.entreprises-coloniales.fr donne une liste détaillée d'informations concernant la FIC et Pellas frères, année après année, en provenance de sources diverses (presse nationale ou indochinoise notamment), dont certaines rapportées par des auteurs spécialisés.
Montessori modifier
L'école bilingue Montessori au Mont d'Or, située à Albigny-sur-Saône, est une école maternelle et élémentaire privée hors contrat, laïque et associative. Elle propose une pédagogie Montessori pour des enfants de 2 à 11 ans. Les classes 2-6 et 6-11 ans sont bilingues anglais-français. L'école bilingue Montessori au Mont d'Or a ouvert en 2010 avec une quinzaine d'enfants de 2 à 6 ans[1]. Elle accueillait à la rentrée 2015 une cinquantaine d'enfants de toutes les communes environnantes[2].
2024 (nombre) modifier
2024 est l'écriture dans le système décimal d'un nombre naturel. Il se lit « deux mille vingt-quatre ».
Dans le système binaire, 2024 s'écrit 11111101000 (1024+512+256+128+64+32+8), qu'on pourra écrire 111_1110_1000 pour une transcription directe dans le système hexadécimal : 7E8.
Propriétés arithmétiques modifier
2024 est un nombre pair, car son dernier chiffre (4) est pair. Il n'est pas multiple de 3, car la somme de ses chiffres (2+0+2+4=8) ne l'est pas, ni multiple de 5 car son dernier chiffre n'est ni 5 ni 0.
Les seuls entiers premiers qui divisent 2024 sont 1, 2, 11 et 23. La décomposition en facteurs premiers de 2024 est : 23x11x23. Les diviseurs de 2024 sont tous les nombres de la forme 2px11qx23r, où p vaut 0, 1, 2 ou 3, q et r valent 0 ou 1 (on rappelle qu'un nombre à la puissance 0 vaut 1) ; ils sont donc au nombre de 4x2x2=16, en comptant 1 et 2024 lui-même ; soit :
- 1, 2, 4, 8, 11, 22, 23, 44, 46, 88, 92, 184, 253, 506, 1012, 2024
2024 est un coefficient binomial, égal au nombre de choix possibles de 3 éléments dans un ensemble de 24 éléments : , soit ici ; il figure en 4e position sur la ligne 24 du triangle de Pascal :
- 1 23 253 1771 . . .
- 1 24 276 2024 10626 . . . (note : 2024 = 253+1771)
- 1 25 300 2300 . . .
2024 est un nombre tétraédrique, c'est-à-dire égal à la somme des n=22 premiers nombres triangulaires, ou si on préfère au nombre de cellules d'une pyramide à base triangulaire (un tétraèdre régulier) de hauteur n (ici 22) comportant à chaque niveau p (de 1 à n) un nombre de cellules égal au pe nombre triangulaire :
- 1 + 3 + 6 + 10 + ... + 253 = 2024
Curiosités modifier
La somme de tous les diviseurs stricts de 2024 vaut 2296, qui est supérieur à 2024. On dit que c'est un nombre abondant. On peut obtenir le total exact de 2024 en additionnant seulement un certain nombre de ses diviseurs ; par exemple 4+8+11+46+184+253+506+1012 = 2024. On dit que c'est un nombre semi-parfait (un nombre parfait est égal à la somme de tous ses diviseurs stricts ; exemple 6 = 1+2+3).
2024 peut s'écrire de multiples façons comme somme de deux nombres premiers :
- 2024 = 7+2017 = 13+2011 = 31+1993 = ... = 937+1087
2024 peut s'écrire de 3 manières et de 3 manières seulement comme somme de nombres entiers consécutifs :
- de 2024 = 8x253 = 8x(126+127) on déduit que 2024 est la somme de 16 nombres consécutifs dont 126 et 127 sont les nombres médians (les nombres équidistants des extrêmes totalisant 2 à 2 253) :
- 119+120+...+125+126+127+128+...+134 = 2024
- de 2024 = 11x184 on déduit que 2024 est la somme de 11 nombres consécutifs dont 184 est le nombre médian (les autres ayant des écarts à 184 qui se compensent 2 à 2) :
- 179+180+...+183+184+185+...+189 = 2024
- de même de 2024 = 23x88 on déduit
- 77+78+...+87+88+89+...+99 = 2024
2024 est la somme de tous les produits pxq où p et q sont des entiers naturels tels que p+q=23 (ordre tétraédrique de 2024 +1)[3] :
- 1x22 + 2x21 + 3x20 + 4x19 + ... + 21x2 + 22x1 = 2024
2024 n'est pas un carré, mais est égal à 44x46, soit 452 - 1.
Selon le théorème des deux carrés de Fermat, 2024 ne peut pas être la somme de deux carrés, car 11 et 23, ses deux facteurs premiers congrus à 3 modulo 4 (11=2x4+3, 23=5x4+3), figurent dans sa décomposition en facteurs premiers avec un exposant impair (1).
Articles connexes modifier
- Nombres 2 000 à 2 999
- Nombre figuré
- Nombre pyramidal
- Combinaison sans répétition
- Partition d'un entier
{{Portail|nombre}} [[Catégorie:Entier naturel]]
(nouveau) modifier
- « École Montessori au Mont d'Or », sur ecolemontessori.fr (consulté le ).
- « École Montessori au Mont d'Or - Albigny-sur-Saône - Lyon », sur Ecole Montessori au Mont d'Or - Albigny-sur-Saône - Lyon (consulté le ).
- Tetrahedral (or triangular pyramidal) numbers sur The On-Line Encyclopedia of Integer Sequences (OEIS.org)