Forest-Saint-Julien

commune française du département des Hautes-Alpes

Forest-Saint-Julien
Forest-Saint-Julien
La chapelle Saint-Antoine.
Blason de Forest-Saint-Julien
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Champsaur-Valgaudemar
Maire
Mandat
Fabrice Borel
2020-2026
Code postal 05260
Code commune 05056
Démographie
Population
municipale
334 hab. (2021 en augmentation de 5,36 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 05″ nord, 6° 08′ 11″ est
Altitude Min. 1 015 m
Max. 1 631 m
Superficie 6,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Gap
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Forest-Saint-Julien

Forest-Saint-Julien est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie modifier

La commune de Forest-Saint-Julien est située dans le Champsaur, sur la rive gauche du Drac, entre la plaine de Chabottes,dont elle est séparée par le ruisseau d'Ancelle, et Saint-Laurent-du-Cros, dont elle est séparée par le torrent de Riou[1].

Le village proprement dit est à une altitude de 1045 mètres, à proximité du Drac. Mais la commune s'étend vers le sud jusqu'au Puy de Manse, qui culmine à 1637 mètres. Le hameau de Manse, qui se situe approximativement au centre de la commune, et où se trouve la mairie, est à 1165 mètres, et de nombreuses habitations sont dispersées sur les hautes plaines jusqu'à 1300 mètres d'altitude.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 054 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Bonnet Champsaur », sur la commune de Saint-Bonnet-en-Champsaur à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 085,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Forest-Saint-Julien est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), forêts (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,4 %), terres arables (6,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous le simple toponyme latin Forestum en 1406, Foresti Sancti Juliani en 1506.

Forest-Sant-Julian en occitan vivaro-alpin.

Le Forest vient du latin foras, qui a donné fora en occitan. Ce nom signifie « hors de », et désigne les constructions érigées entre les habitations permanentes et les zones d'estivage[15], ce mot désigne très souvent une cabane de berger, isolée et éloignée du village ou paroisse dont elle dépendait. À ne pas confondre avec l'occitan la forest, qui désigne la forêt mais qui n'est pas utilisé dans les Hautes-Alpes où on désigne la forêt par le bosc.

Sant-Julian fait référence à saint Julien.

Histoire modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Sébastien Ogier, pilote de rallye français, 8 fois champion du monde des rallyes en 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2020 et 2021.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean Garnier    
mars 2008 En cours Fabrice Borel[16] UMP-LR Agriculteur

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

En 2021, la commune comptait 334 habitants[Note 4], en augmentation de 5,36 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
309267353413441465475508508
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
538537543534562528513522445
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
418417426393385364356300263
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
227231197177178218263276298
2018 2021 - - - - - - -
333334-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Santé modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Toutes les curiosités décrites ici ont été balisées sur le terrain et reliées entre elles par un « sentier de découverte » à l'initiative d'une association locale[21].

La « voie romaine » modifier

On appelle ainsi un chemin, pavé par endroits, qui descend du col de Manse vers le Drac en traversant la commune de Forest-Saint-Julien.

 
La « voie romaine » à Manse

Les historiens n'attestent aucune voie romaine à proprement parler dans le Champsaur : la plus proche, la via Domitia, qui reliait le col de Montgenèvre à la basse vallée du Rhône, passait par Gap[22],[23]. Cependant les Romains aménageaient des voies secondaires pour sécuriser leurs déplacements les plus fréquents autour des voies principales. Comme il est avéré qu'ils traversaient le Champsaur pour relier la vallée de la Durance à la région grenobloise, la présence d'une « voie » d'importance secondaire est plausible.

Joseph Roman évoque une voie qui « s'embranchait sur la voie Domitia à Ictodurum (aujourd'hui le Vieux-Manse, commune de la Rochette), traversait le Drac, et allait rejoindre aux environs de Saint-Firmin la voie de Briançon à Mens. »[24]. Si cette thèse était confirmée, et surtout si son itinéraire pouvait être précisé, il pourrait s'agir de cette « voie romaine ».

Une autre hypothèse est qu'il s'agirait d'une de ces nombreux « chemins de Rome » (camins roumieus en occitan), grands chemins parcourus par les « routiers » du Moyen Âge en Occitanie.

Le « chemin des morts » modifier

Cet autre chemin descend aussi des hauteurs de la commune jusqu'au Drac, mais son histoire est tout autre.

À la fin du Moyen Âge, le forest[25] de Saint-Julien et le hameau de Manse dépendaient de la paroisse de Saint-Julien, située sur l'autre rive du Drac. Lorsqu'il y avait un mort au forest ou à Manse, il fallait le descendre en carriole jusqu'au pont sur le Drac, après lequel se trouvait le cimetière paroissial. Le trajet n'était pas facile, et un chemin fut spécialement aménagé pour ces transports.

Il fallut qu'un crue du Drac emporte le pont pour que les habitants de la rive gauche obtiennent d'avoir leur église et leur cimetière, avant de devenir une commune au sens actuel du terme.

Mais le chemin a gardé son nom.

Les aqueducs du ruisseau d'Ancelle modifier

Forest-Saint-Julien, comme les communes voisines, était parcourue par de nombreux canaux. Le canal de Pont-du-Fossé et le canal de Gap, deux des principaux canaux de la région, arrivaient tous deux de l'est, et devaient, à l'entrée de la commune, franchir le ravin du ruisseau d'Ancelle. Pour chacun d'eux un aqueduc a été construit.

Celui du canal de Pont-du-Fossé, le plus ancien, est proche de Pont-de-Frappe. Construit entre 1869 et 1882, il a cessé d'être utilisé en 1969. C'est un pont en maçonnerie en pierres de taille de moyen appareil de 70 mètres de longueur. Il comporte deux avant-ponts et six arches de plein cintre, dont la principale a 5 mètres d'ouverture et domine le torrent de 9 mètres. Le canal passait au sommet à l'air libre. L'ouvrage, fortement détérioré, a été entièrement restauré entre 2009 et 2013 à l'initiative d'une association locale[26], avec l'aide des collectivités publiques (communes, département, région, état) et de quelques mécènes. Interdit d'accès pendant plusieurs années, il est désormais proposé à la visite dans le cadre des parcours de découverte du « Pont blanc », sous le nom d'« Aqueduc des Gorges ».

 
Le pont-canal du canal de Gap.

Celui du canal de Gap (le seul canal du Champsaur toujours en activité) est de plus petite dimension. C'est une simple structure linéaire, où la conduite, couverte, est portée par une arche unique en maçonnerie. Il est situé à 1 kilomètre en amont de celui de Pont-du-Fossé, dans une zone moins accessible, et on ne peut pas le voir d'en-dessous, ce qui limite encore son intérêt touristique. Par contre on peut le parcourir, et sa traversée peut faire partie d'un itinéraire dans le vallon.

La « gare » et le « chemin de fer » modifier

Au début du XXe siècle, la ville de Gap et les communes du Champsaur s'unirent pour construire, avec l'aide de l'État, une voie ferrée qui devait rejoindre à Corps la ligne du chemin de fer de la Mure, réalisant ainsi une liaison vers Grenoble. Il s'agissait d'une ligne à voie métrique, plus facile à installer dans ce relief difficile.

 
La tranchée du "chemin de fer" près de la "gare" de Forest-Saint-Julien (août 2007) ; à gauche, l'amorce d'un siphon faisant passer un canal sous la ligne.

Dès 1906, les travaux avaient commencé entre Gap et le col de Manse (altitude 1269 mètres). En 1913, la construction de la descente du col jusqu'à la vallée du Drac fut entreprise. Longeant d'abord la route en direction du nord-ouest, la voie—ou du moins la plateforme—contournait Serre-Richard (commune de Saint-Laurent-du-Cros), et, faisant un crochet vers l'est, revenait vers Forest-Saint-Julien par une ligne droite comportant deux petits viaducs, sur le Riou Gras et sur le Riou Faubert, suivie d'une boucle de 180 degrés en tranchée, qui débouchait à l'emplacement de la future « gare de Pont-de-Frappe ». De là elle allait rejoindre la route nationale au pied du col Bayard (Brutinel, altitude 1000 mètres).

La Première Guerre mondiale interrompit les travaux. Mais il restait encore fort à faire pour atteindre Corps, et l'heure n'était plus aux investissements coûteux dans les voies ferrées d'intérêt secondaire. En 1928, au moment même où le SG-LM atteignait Corps, la construction du tronçon sud fut suspendue par le Ministère. La ligne n'atteignit jamais Corps, rendant inutiles tous les travaux préparatoires réalisés dans le Champsaur[27].

La plateforme, avec sa tranchée en courbe et ses deux viaducs intacts, est aménagée pour la promenade.

Le bois du « pas de l'ours » modifier

On raconte que, en l'an 605, alors que saint Arey, évêque de Gap, revenant de Rome, descendait du col de Freissinières, son attelage fut attaqué par un ours, qui tua l'un des bœufs qui le tirait. Arey ordonna alors à l'animal de prendre sous le joug la place du bœuf disparu. L'ours, docile, se laissa atteler, et Arey arriva à Gap dans cet équipage original. Reconnaissant à l'animal qui finalement ne l'avait guère dérangé, il le libéra. L'ours partit se réfugier dans les bois sous le col de Manse[28].

Le canal de Pont-du-Fossé quittait la commune dans ce même bois, en passant sur un pont-canal qui a été conservé et est accessible.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à un renard ravissant d'or[29].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. riou, nom occitan pour ruisseau
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Forest-Saint-Julien et Saint-Bonnet-en-Champsaur », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Bonnet Champsaur », sur la commune de Saint-Bonnet-en-Champsaur - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Bonnet Champsaur », sur la commune de Saint-Bonnet-en-Champsaur - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. André Faure, Noms de Lieux & Noms de Famille des Hautes-Alpes, Gap, ESPACI OCCITAN, , 412 p. (ISBN 2-9131-3100-X)
  16. « Liste des maires du département des Hautes-Alpes (mise à jour 15 mai 2014) », sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Association le Pont blanc, siège : Mairie de Forest-Saint-Julien
  22. Philippe Auran, Guy Barruol, Jacqueline Hursch, D'une rive à l'autre, éd. Les Alpes de Lumière, 2006 (ISBN 2-906162-81-7), page 15
  23. l'Almanach Dauphinois 2003, pp. 64 à 69.
  24. J. Roman, Dictionnaire topographique du département des Hautes-Alpes, Imprimerie nationale, Paris, 1884, rééd. Lacour, Nîmes, 2000, (ISBN 2-84406-757-3), page XXI
  25. nom local donné aux pâturages, et par extension, aux hameaux qui se constituaient autour de ces pâturages
  26. Association Le Pont Blanc, Forest-Saint-Julien
  27. Gisel Chautant, Le chemin de fer du Champsaur, ou les péripéties d'un projet inabouti, éditions du Buech, 2011, (ISBN 978-2-918 043133).
  28. Cette légende est racontée ailleurs sous d'autres formes. Voir à ce sujet Arey ou Boscodon.
  29. Jean-Charles d'Amat, Armorial des communes des Hautes-Alpes, Société d'étude des Hautes-Alpes, , 46 p.