Utilisateur:Etienne M/Brouillon

Brouillon personnel (merci de ne pas modifier cette page) :

<droite>Un instant, un éclair de pur Amour (qui nous soit donné !) vaut mieux que l'agitation de toute une vie.</droite>

Sois l'auxiliaire de la vérité

Jansénistreries modifier

Wikipédia:Bibliothèque/Histoire modifier

Histoire moderne

Ancien Régime modifier

  • Dictionnaire de l'ancien régime de Lucien Bély PUF 2003 — Pline
  • L'Ancien Régime de Emmanuel Le Roy Ladurie Hachette 1991 — Pline
  • L'enfant et la vie familiale sous l'Ancien Régime de Philippe Ariès 1975 Editions du Seuil — Pline

Jansénisme modifier

Pour un futur portail modifier

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Source : Utilisateur:Philippe Giabbanelli/Biblio


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Christianisme modifier

Réflexions modifier

Parabole du trésor caché : « We’re not interested in “gaining converts” but in offering Christ. »[1] = « Nous n'avons pas à «gagner des convertis» mais à offrir le Christ. » Cf.

27 janvier modifier

Le pape François a signé les béatifications de Mgr Pierre Claverie, des moines de Tibhirine, de mère Alphonse-Marie de Niederbronn, et la reconnaissance des vertus héroïques de Madeleine Delbrêl.

Béatification aussi pour les 11 autres martyrs d'Algérie assassinés en haine de la foi entre 1994 et 1996 :

- Le mariste Henri Vergès, né à Matemale,

et la Petite Sœur de l'Assomption Paul-Hélène Saint-Raymond, née à Paris,

tous deux tués à Alger le 8 mai 1994.

- Les quatre pères blancs tués le 27 décembre 1994 à Tizi-Ouzou :

Jean Chevillard, né à Angers,

Alain Dieulangard, né à Saint-Brieuc,

Christian Chessel, né à Digne,

et le belge, Charles Deckers, né à Anvers.

- Deux Sœurs de Notre-Dame des Apôtres :

Angèle-Marie Littlejohn, née à Tunis,

Bibiane Leclercq, née à Gazeran,

assassinées le 3 septembre 1995 à Belouizdad.

- Sœur Odette Prévost, Petite Sœur du Sacré-Cœur née à Oger, assassinée le 10 novembre 1995 à Alger.

- Les deux sœurs augustines missionnaires espagnoles assassinées à Bab El Oued le 23 octobre 1994.

Personnalités WP modifier

  • Remi Mathis (d · h · j · ) :
  • Archiviste paléographe, je suis conservateur des estampes du XVIIe siècle au département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France
  • rédacteur en chef des Nouvelles de l'estampe
  • a commencé à contribuer à la wikipédia francophone au début de l'année 2006
  • devenu administrateur en octobre 2007
  • de 2009 à 2014 : membre du conseil d'administration de Wikimédia France
  • de 2011 à 2014 : président de Wikimédia France
  • actuellement : membre de son conseil scientifique.

Histoire modifier

Enseignants-chercheurs modifier

DÉPARTEMENT D'HISTOIRE

Enseignants-chercheurs au https://www.univ-st-etienne.fr/fr/lem-cercor.html :

Anne Béchard-Léauté, MCF, 11e section CNU :
Laboratoire CIEREC.
Fonction : Responsable du Master Edition d'art Livre d'artiste
Corps : Maître de conférences.
Spécialité : Langues et littératures anglaises et anglo-saxonnes. https://www.univ-st-etienne.fr/fr/cierec/annuaire/bechard-leaute-anne-francoise.html


Jean-François Brun, MCF HDR, 22e section CNU :Laboratoire LEM-CERCOR
MCF habilité en histoire moderne à l'Université Jean Monnet, Saint-Étienne.
Équipe 4 : Institutions et doctrines religieuses (Europe et Méditerranée médiévales et modernes)
Fonction : Directeur de la Faculté des Sciences humaines et sociales
Agrégé et docteur en histoire
Spécialité : Histoire et civilisations : histoire des mondes modernes, histoire du monde contemporain, de l'art, de la musique.
jf.brun@univ-st-etienne.fr
http://web.archive.org/web/20150522045023/http://portail.univ-st-etienne.fr/bienvenue/utilitaires/m-brun-jean-francois-422.kjsp :
Thèmes de recherche : Mes activités de recherche individuelle et collective s’organisent autour de trois thèmes :
1 – Histoire militaire et études des conflits. Les travaux portent plus spécialement sur l’arrière-plan technique (armement) ou logistique (économie de guerre en général), essentiellement au XIXe siècle. Ils débouchent sur une approche structurale et étude des phénomènes de groupes mettant en évidence les habitus du milieu militaire.
2 – Géographie historique et implantation des structures étatiques sur un territoire. La numérisation et la vectorisation du cadastre napoléonien de Haute-Loire permettent de constituer une base de données qui débouchera à terme sur une étude de la répartition foncière et des stratégies d’appropriation dans les cantons concernés.
3 – Étude de la franc-maçonnerie. L’approche socio-économique et socio-culturelle des membres des loges permet de replacer l’action de ces dernières dans leur contexte social et leur environnement politico-administratif.
Curriculum Vitae :
1er septembre 1994 : maître de conférences (22e section CNU, Histoire moderne et contemporaine) à l'Université Jean-Monnet
Juin 2005 - juin 2008 : Directeur du département d'histoire de l'université Jean-Monnet
1er novembre 2008 - 31 décembre 2010 : Directeur du CERHI (Centre de recherche en histoire, EA 3722), Université Jean-Monnet
Depuis septembre 2010 : Directeur de l'UFR SHS, Université Jean-Monnet.


Stéphane Caporal, PR, 2e section CNU :


Brigitte Carrier-Reynaud, MCF, 22e section CNU :


Philippe Castagnetti, MCF, 22e section CNU :
(http://web.archive.org/web/20150417150033/http://portail.univ-st-etienne.fr:80/bienvenue/utilitaires/m-castagnetti-philippe-459.kjsp?RH=ANN :)
philippe.castagnetti@univ-st-etienne.fr
Corps : Maître de conférences
Spécialité : Histoire et civilisations : histoire des mondes modernes, histoire du monde contemporain, de l'art, de la musique.
Équipe 4 : Institutions et doctrines religieuses (Europe et Méditerranée médiévales et modernes).
A été : Groupe du Centre d’études des religions du Livre (CERL)
http://lem.vjf.cnrs.fr/spip.php?article529


Michel Depeyre, MCF HDR, 22e section CNU :


Sylvain Excoffon, MCF, 21e section CNU :
http://web.archive.org/web/20150417125245/http://portail.univ-st-etienne.fr:80/bienvenue/utilitaires/m-excoffon-sylvain-711.kjsp?RH=ANN :
Fonction : Directeur adjoint du CERCOR
Corps : Maître de conférences
Spécialité : Histoire, civilisation, archéologie et art des mondes anciens et médiévaux.
sylvain.excoffon@univ-st-etienne.fr
Thèmes de recherche :
- l'ordre des Chartreux ;
- l'ordre de Chalais ;
- cartographie historique du Moyen Âge occidental (territoires, réseaux) ;
- le Forez au Moyen Âge.


Sébastien Fray MCF, 21e section CNU :


Nathalie Gagnal, PRAG Histoire :


Serge Paquier, PR, 22e section CNU :


Thierry Pécout, PR, 21e section CNU :


Philippe Rodriguez, MCF, 21e section CNU :


Karine Roche, PRCE Anglais :
karine.roche@univ-st-etienne.fr


Manuel de Souza, MCF, 21e section CNU :
Fonctions :
Enseignant-chercheur
Maître de conférences d'Histoire romaine
Secrétaire général de la Société Internationales d'Etudes Néroniennes
Thèmes de recherche :
Recherches sur le vocabulaire religieux latin.
Travaux sur l'époque néronienne et le monde romain au Ier siècle.
Travaux en cours :
La sainteté des lieux (et des choses) dans l'Antiquité romaine.
Préparation du congrès 2016 de la SIEN, Neronia X.
Enseignement :Histoire romaine en Licence; préparation aux concours, méthodologie et encadrement de recherche en Master.


Autres :
Martine ALET :
Fonction : Ingénieure d'études secrétaire d'édition.

Pas à Lyon:
Daniel-Odon HUREL :
Fonction : Directeur de recherche au CNRS.
Directeur-adjoint du Laboratoire d'études sur les monothéismes (UMR 8584).
Spécialité : Histoire du monachisme à l'époque moderne (XVIe-XVIIe siècles).
daniel.hurel@univ-st-etienne.fr
http://web.archive.org/web/20150420123254/http://portail.univ-st-etienne.fr:80/bienvenue/utilitaires/m-hurel-daniel-odon-207704.kjsp?RH=ANN


références modifier

  • Référence:Les ordres religieux, la vie et l'art (sous la direction de Gabriel Lebras)
  • Agnès Gerhards, Dictionnaire historique des ordres religieux, Paris, 1998.
  • Daniel-Odon Hurel (dir.), Guide pour l'histoire des ordres et des congrégations religieuses. France, XVIe -XXe s., Turnhout, 2001 (Bibliothèque de l'École des hautes études, section des sciences religieuses, 111).
  • Dictionnaire du Monde religieux dans la France contemporaine, t. 9, Les Sciences religieuses (dir. F. Laplanche), Beauchesne, 1996.
  • Frère Jean Huscenot, La Sainteté par l'école. Sept Religieux-Éducateurs Lasalliens, Éditions Guéniot, Langres, 1989. (L'1 des 7 : Mutien Marie Wiaux)
  • Les écoles de pensée religieuse à l'époque moderne, Lyon, Chrétiens et Sociétés. Documents et Mémoires, n°5, 2006.
  • Sophie Hasquenoph, Histoire des ordres et congrégations religieuses en France, du Moyen Âge à nos jours, Éd. Champ Vallon, 2009.
  • La France monastique. Recueil historique des archevêchés, évêchés, abbayes et prieurés de France, Dom Beaunier, nouvelle édition revue et complétée par les Bénédictins de Ligugé-Chevetogne, tome I.




Archives jésuites : Archivum Romanum Societatis Iesu : http://www.sjweb.info/arsi/Archives.cfm


Catégorie:Dictionnaire biographique

Dictionnaire des astronomes français 1850-1950, Philippe Véron : http://www.obs-hp.fr/dictionnaire/

Christianisme : Dictionnaire des temps, des lieux et des figures, dir. A. Vauchez, Paris, Seuil, 2010.


Vocabulaire européen des philosophies


Lassaliens modifier

Jean-Baptiste de La Salle#Filiation spirituelle



Spiritualité catholique modifier

La théologie ascétique et mystique a été l'objet de diverses appellations : « spiritualité », « introduction à la vie spirituelle », « histoire spirituelle » ou « théologie spirituelle ». La théologie ascétique et mystique a d'emblée eu la forme d'une histoire de la spiritualité.


Catégorie:Spiritualité catholique


Catégorie:Mystique chrétienne


École française de spiritualité du XVIIe siècle : comprend l'Oratoire, la Compagnie de Saint-Sulpice, les Lazaristes, les Eudistes[2]

bérullisme = Doctrine de Bérulle, expression de ses idées; doctrine qui s'inspire de celle de Bérulle.


à l'origine de la Devotio moderna.


Garde d'honneur du Sacré-Cœur

Bibliographie modifier
Références modifier

La collection "Bibliothèque de Spiritualité", aux éditions Beauchesne, publie des extraits du Dictionnaire de spiritualité sous la forme d'ouvrages séparés. Elle compte une vingtaine de titres.

Essais modifier
  • Bernard Peyrous, L'itinéraire de la vie spirituelle : Comment vivre avec Dieu ?, Ed. de l'Emmanuel, cop. 2004, 2013
  • Étienne Gilson, Théologie et histoire de la spiritualité, Vrin, 1943.
  • Louis Bouyer, Histoire de la spiritualité chrétienne, tome I "La spiritualité du Nouveau Testament et des Pères", Aubier, 1960 (1re édition)
  • Louis Bouyer avec Dom Jean Leclercq et François Vandenbroucke, Histoire de la spiritualité chrétienne, tome II "La spiritualité du Moyen Âge", Aubier, 1961
  • Histoire de la spiritualité chrétienne, tome III "La spiritualité orthodoxe et la spiritualité protestante et anglicane", Aubier, 1965
  • Adalbert de Vogüe, osb, Histoire littéraire du mouvement monastique, t. 10, 2006
    ouvrage scientifique de référence ; documenté
  • Frère Luc Brésard, « Le monachisme occidental » in Histoire de la spiritualité monastique, En ligne
  • Histoire de la spiritualité chrétienne : 700 auteurs spirituels, Jean-Pierre Meynard et Philippe de Lignerolles, Éditions de l'Atelier, Paris 1996
  • Louis Cognet#Livres = historien de la spiritualité chrétienne.


Autres :

  • Henri Bremond, Histoire littéraire du sentiment religieux en France depuis la fin des guerres de religion jusqu'à nos jours (11 vol.) 1916-1933, réédition en 2006 chez Jérôme Millon.

Emmanuel School of Mission modifier

Centre San Lorenzo :


passer neuf mois à l’École internationale de formation et d’évangélisation (ESM), pépinière de jeunes missionnaires animée depuis trente ans par la communauté de l’Emmanuel, à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire).


Association déclarée http://www.journal-officiel.gouv.fr/association/index.php?ACTION=Rechercher&HI_PAGE=1&HI_COMPTEUR=0&original_method=get&WHAT=ECOLE+INTERNATIONALE+DE+FORMATION+ET+D%27EVANGELISATION&JTH_ID=040000&JAN_BD_CP=&JRE_ID=&JAN_LIEU_DECL=&JTY_ID=&JTY_WALDEC=&JTY_SIREN=&JPA_D_D=&JPA_D_F=&rechercher.x=43&rechercher.y=3&rechercher=Rechercher


Souvent listées dans les sites des diocèses :

et dans les magazines chrétiens :


Manque dans :


Mais apparaît dans :


"Emmanuel School of Mission" site:www.catholicnewsagency.com


http://prieraujourdhui.esm-paray.com/temoignages/


tous les contacts : http://www.emmanuel.info/missions/esm/


http://www.emmanuel.info/?s=ESM&typ=&autour=&lng=&lat=&pay=&pub=&mis=&ok=submit


http://www.emmanuel.info/?s=%C3%A9cole+d%27%C3%A9vang%C3%A9lisation&typ=&autour=&lng=&lat=&pay=&pub=&mis=&ok=submit


(Autre : A voir ce que c'est : Institut Catholique pour l'Evangélisation (ICPE Mission) — Madonna House Apostolate — Evangelization 2033)

Ma bibliothèque modifier

  • Émile Lefranc, Abrégé du traité théorique et pratique de littérature, spécialement destiné par sa rédaction aux maisons d'éducation où l'on ne fait d'études qu'en français, par M. E. Lefranc, Paris, J. Lecoffre et Cie, 15e édition, revue et corrigée. 1 vol. in-12, iv-444 p.


Livres souhaités :

  • René Simon, Morale, Éditions Beauchesne, 1967.
  • Marie-Joëlle Louison-Lassablière, « La danse du roi David », p. 127-137 dans Le Recours à l'Ecriture, Publications de l'Université de Saint Etienne, 2000.


Emile Lefranc :

  • Abrégé du traité théorique et pratique de littérature, spécialement destiné par sa rédaction aux maisons d'éducation où l'on ne fait d'études qu'en français, par M. E. Lefranc, Paris, J. Lecoffre et Cie, 15e édition, revue et corrigée. 1 vol. in-12, iv-444 p.
  • Traité théorique et pratique de littérature, Émile Lefranc, Lecoffre, Paris, 1851. (6e édition, revue et corrigée par l'auteur). La Poétique forme le 2e volume du Traité. biblio
  • Histoire ancienne proprement dite, Emile Lefranc, Paris, J. Lecoffre et Cie, 1 vol. in-12, vii-515 p., 1861, 15e édition, entièrement refondue par l'auteur et augmentée d'un résumé de l'histoire des Hébreux.

Impr. J. Delalain, Paris : NOUVEAU MANUEL DES ASPIRANTS AU BACCALAURÉAT ÈS LETTRES, RÉDIGÉ D'APRÈS LE NOUVEAU PROGRAMME, par M. EMILE LEFRANC, de l'ancienne école normale, agrégé des classes supérieures des lettres, ancien professeur au collège Rollin, AVEC LA COLLABORATION DE PLUSIEURS MEMBRES DE L'UNIVERSITÉ, vol. grand in-18.

NOUVELLE BIBLIOTHÈQUE FRANÇAISE DES ASPIRANTS AU BACCALAURÉAT ÈS LETTRES, Collection des ouvrages et extraits d'ouvrages des auteurs français prescrits pour cet examen, accompagnés d'analyses, d'appréciations littéraires et de notes grammaticales, littéraires et historiques, Publiée par M. EMILE LEFRANC, AVEC LA COLLABORATION DE PLUSIEURS MEMBRES DE L'UNIVERSITÉ. grand in-18.

NOUVELLE BIBLIOTHÈQUE LATINE DES ASPIRANTS AU BACCALAURÉAT ÈS LETTRES, Collection des ouvrages et extraits d'ouvrages des auteurs latins prescrits pour cet examen, expliqués en français, d'après une méthode nouvelle, à l'aide d'une traduction intralittérale présentant le mot à mot tel qu'il est demandé à l'examen et précédée du texte latin, Publiée par M. EMILE LEFRANC, AVEC LA COLLABORATION DE PLUSIEURS MEMBRES DE L'UNIVERSITÉ. grand in-18

NOUVELLE BIBLIOTHÈQUE GRECQUE DES ASPIRANTS AU BACCALAURÉAT ÈS LETTRES, Collection des ouvrages et extraits d'ouvrages des auteurs grecs prescrits pour cet examen, expliqués en français, d'après une méthode nouvelle, à l'aide d'une traduction intralittérale présentant le mot à mot tel qu'il est demandé à l'examen et précédée du texte grec, Publiée par M. EMILE LEFRANC, AVEC LA COLLABORATION DE PLUSIEURS MEMBRES DE L'UNIVERSITÉ. grand in-18

__ Recension de Histoire élémentaire et critique de la littérature française au moyen âge, aux XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Lecoffre, 3 vol., nouvelle édition.

Professeur au Collège de Sainte-Barbe à Paris

L'Ode intitulée La Révélation d'Émile Lefranc a obtenu un Lys réservé : [1]

La Révélation d'Emile Lefranc sur Gallica


______

Recueil de l'Académie des jeux floraux, 1823 : Ode à Victor Hugo, qui a concouru pour le prix, par M. DURAND-VRANDAULMON

Victor Hugo passe par l'Académie des Jeux floraux : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4154435/f296.image.r=hugo?rk=278971;2


____________ Et nunc, reges, intelligite : erudimini, qui judicatis terram.

=Et maintenant, ô Rois, comprenez votre maître : aux mains de votre juge accourez vous remettre, ô vous qui jugez les mortels.



Le Sonnet, tel que nous l'ont fait les anciens modèles, est un thème à antithèses, à opposition d'idées et de mots. fin p.


Sonnet qui a remporté le prix du Lis d'argent, au concours organisé par l'Académie des Jeux floraux de Toulouse de 1841 (le Lis d'argent, qui vaut soixante francs, est destiné à un Sonnet en l'honneur de la Vierge ou à un Hymne sur le même sujet) :

LE MOIS DE MARIE, Sonnet à la Vierge par M. Alexandre-Émile LEFRANC :

Douce fleur des jardins du ciel.


Turqety.


Voici le mois des Fleurs et le mois de Marie :

L'un aux champs de la terre et l'autre aux champs du ciel ;

Tous deux ont des parfums qui distillent le miel

À la lèvre qui chante, à la lèvre qui prie.


Pour que le miel te vienne en la saison fleurie,

Prie et chante, ô ma lèvre! et, comme Gabriel

Disons : « Rose mystique, éclose en Israël

» Salut, et béni soit le sol qui t'a nourrie.


» Laisse de ta corolle épancher sur mes vers

» Un peu de tes parfums aux Poètes si chers,

» Ces parfums de la Foi que le vulgaire ignore :


» Donne encore à mes vers un peu de tes couleurs ;

» Et qu'on dise pour eux aux murs chéris d'Isaure :

» Le doux mois de Marie est le doux mois des Fleurs. »

p.120


Recueil de l'Académie des jeux floraux poème : beaux vers : description nature p.53 :

Le jour paraît : le ciel, ranimé par l'aurore,

Sous son éclat douteux à demi se colore ;

Des nuages d'argent, cherchant un air plus pur,

Roulent et vont se perdre en un ciel sans azur ;

Derrière ces coteaux, que la nuit environne,

Le soleil, tout chargé des vapeurs de l'automne,

Et d'un voile de pourpre obscurcissant le jour,

Semble, avec peine, au monde accorder son retour.


… et : poème : beaux vers : prière p.54 :

La prière seul bien qui survive au malheur,

Est comme un mot d'espoir promis à la douleur ;

Entre l'homme et le ciel c'est une autre alliance :

Où la force finit, la prière commence ;

Et, du néant fatal craignant la vérité,

Va chercher Dieu lui-même en son éternité.

Wikification modifier

  • Légion d'honneur :
 | distinctions        = {{Déco OLH}}<br/>{{Déco CG14-18PB}}
 | hommages            = 

Il était [[Officier de la Légion d'honneur]].

==Décorations==
{{Déco|OLH|décret du 30 décembre 1908}}

[[Catégorie:Officier de la Légion d'honneur]]
  • Modèle : lien vers pages spéciales :

{{u|Etienne M}} donne : Etienne M (d · c · b)


[[:Special:Permalink/140156363#Points-C.C5.93ur_.28d_.C2.B7_h_.C2.B7_j_.C2.B7_.E2.86.B5.29|demande la suppression d'une redirection]] donne : demande la suppression d'une redirection


  • Modèle : lien interwikis :

{{Wikisource|titre=Titre apparaissant|lien=Titre page ws}}


  • Modèle pour siècle :

• {{s-|VII}} donne : VIIe siècle

• {{s mini-|XVII}} donne : XVIIe

Cf. aussi : Modèle:S.


  • Modèles pour bibliographie :

{{Article |langue=fr |auteur1= |auteur2= |titre= |périodique= |volume= |numéro= |date= |pages= |issn= |lire en ligne= |consulté le= |id= }}<nowiki/></code> Cf. [[Modèle:Article#Exemples]] : plume, format pdf... <code><nowiki>{{Ouvrage |lien auteur1 =|prénom1 = | nom1 = | titre= |volume= |éditeur= |lieu= |année= |isbn = |lire en ligne={{Google Livres|au1hLYDlU9QC}}}}. {{plume}}<nowiki/></code> <code><nowiki>{{Lien web |url=|titre=|site= |auteur= |date= |consulté le=}}

{{Autorité|BNE=|BNF=|CINII=|GND=|ISNI=|ORCID=|LCCN=|Léonore=|NDL=|SBN=|SUDOC=|ULAN=|VIAF=|WORLDCATID=}}

Cf. Modèle:Autorité#Paramètres


  • Citer un auteur :

• {{citation|Texte}}

• {{Citation bloc|Citation |[[Auteur]]|Titre ouvrage}}


  • Modèles pour : Articles n'existant pas en fr. :

• {{Lien|lang=en|fr=Titre article}}

• {{Lien|lang=en|trad=English title|fr=Titre français|texte=Titre apparaissant}}


  • Expression anglaise :

{{Langue|en|english expression}}


  • no redirect :

Spiritualité chrétienne (h · j · )


  • Autre wikification :

{{Article raccourcis|Spiritualité}} donne : Spiritualité (historique · suivre)


{{Dunité|87|91|cm}}


{{n°}}


wikipédiens modifier

  • Compteur d'éditions :

Liste de toutes mes contributions sur wikipédia : Pages créées, Vue générale sur le compte d'un contributeur : https://tools.wmflabs.org/xtools-ec/index.php?user=EtienneMS&project=fr.wikipedia.org


  • Nombre de vues sur un article :

https://tools.wmflabs.org/pageviews/?project=fr.wikipedia.org&platform=all-access&agent=user&range=latest-20&pages=Anne-Marie_Budes_de_Gu%C3%A9briant|Catherine_de_Francheville


  • Jésus-Christ vs Jésus de Nazareth :

https://tools.wmflabs.org/pageviews/?project=fr.wikipedia.org&platform=all-access&agent=user&start=2017-07-18&end=2017-08-13&pages=J%C3%A9sus-Christ|J%C3%A9sus_de_Nazareth


Voir aussi : Utilisateur:Marvoir


WP français :

  • 1 897 167 articles le 11/08/2017 à 21:43.
  • 1 900 412 articles le 21/08/2017 à 21:43.
    • = 3 245 articles créés en 10 jours. (= 13,5 articles/h.)
  • 1 903 981 pages le 31/08/2017 à 22:13.
    • = 3 569 articles créés en 10 jours. (=14,9 articles/h.) A ce rythme, les 2 millions d'articles seront atteints en juin 2018.
  • 1 907 586 articles le 11/09/2017 à 12:26.
    • = 3 605 articles créés en 11 jours. (= 13,65 articles/h.)

Exemples pages Wikipédia modifier

Modèle de page wikipédia :

Modèles : citation de la Bible :



Modèle figure de style : Utilisateur:Prosopee/Projet principal: figures de styles


Cf. :


{{Wikiprojet |Christianisme|faible |Bretagne|moyenne |Finistère|faible |XX|faible |XX|faible |avancement=B |todo=oui |lumière 1= |wikiconcours mois année=numéro d'équipe}} {{Projet FGS}}


Modèle généalogie simple :

          ┌──> Frédéric III (1415-1493),
          │    empereur élu des Romains (1452-1493)
          │
     ┌──> Maximilien Ier (1459-1519), 
     │    empereur élu des Romains (1493-1519)
     │    │
     │    └──> Aliénor de Portugal (1434-1467-),
     │         infante de Portugal
     │
┌──> Philippe le Beau (1478-1506), 
│    archiduc d'Autriche, roi de Castille et de León (1504-1506) (+ autres terres)
│    │
│    │    ┌──> Charles le Téméraire (1433-1477),
│    │    │    duc de Bourgogne (1467-1477), comte palatin de Bourgogne (1467-1477) (+ autres terres)
│    │    │
│    └──> Marie de Bourgogne (1457-1482)
│         duchesse de Bourgogne (1477-1482), comtesse palatine de Bourgogne (1477-1482) (+ autres terres)
│         │
│         └──> Isabelle de Bourbon (1437-1465)
│              ...
│
Charles Quint (1500-1558),
roi de Castille et de León (1506-1556), roi d'Aragon (1516-1556), empereur élu des Romains (1519-1556) 
│
│         ┌──> Jean II d'Aragon (1397-1479),
│         │    roi d'Aragon (1458-1479), roi de Navarre (1425-1441), roi usurpateur de Navarre (1441-1479)
│         │
│    ┌──> Ferdinand II d'Aragon (1452-1516), Ferdinand le Catholique 
│    │    roi d'Aragon (1479-1516), roi de Castille et de León (1474-1504) (+ autres terres)
│    │    │
│    │    └──> Jeanne Enríquez (1425-1468),
│    │         ...
│    │
└──> Jeanne la Folle (1479-1555),
     reine titulaire de Castille et de León (1504-1555), écartée de la succession d'Aragon
     │
     │    ┌──> Jean II de Castille (1405-1454),
     │    │    roi de Castille et de León (1406-1454) 
     │    │
     └──> Isabelle Ire de Castille (1451-1504), Isabelle la Catholique
          reine de Castille et de León (1474-1504)
          │
          └──> Isabelle de Portugal (1428-1496)
               infante de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32. Léopold III de Habsbourg
 
 
 
 
 
 
 
16. Ernest d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33. Viridis Visconti
 
 
 
 
 
 
 
8. Frédéric III du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34. Siemovit IV de Mazovie
 
 
 
 
 
 
 
17. Cymburge de Mazovie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35. Alexandra de Lituanie
 
 
 
 
 
 
 
4. Maximilien Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36=42=60. Jean Ier de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
18. Édouard Ier de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37=43=61. Philippa de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
9. Aliénor de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38. Ferdinand Ier d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
19. Aliénor d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39. Éléonore d'Albuquerque
 
 
 
 
 
 
 
2. Philippe Ier de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40. Jean Ier de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
20. Philippe III de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41. Marguerite de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
10. Charles le Téméraire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42=36=60. Jean Ier de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
21. Isabelle de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43=37=61. Philippa de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
5. Marie de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44. Jean Ier de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
22. Charles Ier de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45. Marie de Berry
 
 
 
 
 
 
 
11. Isabelle de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46. Jean Ier de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
23. Agnès de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Marguerite de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
1. Charles Quint
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48=56. Jean Ier de Castille
 
 
 
 
 
 
 
24. Ferdinand Ier d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49=57. Éléonore d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
12. Jean II d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50. Sanche de Castille
 
 
 
 
 
 
 
25. Éléonore d'Albuquerque
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51. Béatrice de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
6. Ferdinand II d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52. Alonso Enríquez
 
 
 
 
 
 
 
26. Fadrique Enríquez
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Juana de Mendoza
 
 
 
 
 
 
 
13. Jeanne Enríquez
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54. Diego de Córdoba
 
 
 
 
 
 
 
27. Merina de Cordoue
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55. Inés de Ayala
 
 
 
 
 
 
 
3. Jeanne Ire de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56=48. Jean Ier de Castille
 
 
 
 
 
 
 
28. Henri III de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57=49. Éléonore d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
14. Jean II de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58. Jean de Gand
 
 
 
 
 
 
 
29. Catherine de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Constance de Castille
 
 
 
 
 
 
 
7. Isabelle Ire de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60=36=42. Jean Ier de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
30. Jean de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61=37=43. Philippa de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
15. Isabelle de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62. Alphonse Ier de Bragance
 
 
 
 
 
 
 
31. Isabelle de Bragance
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63. Béatrice Pereira
 
 
 
 
 
 


Tableaux modifier

  1  


  • Texte  1   

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  • Texte
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  • Texte


    • <span style="border: 0px solid grey; font-size: 90%; background:#FF8C00;">    </span> donne :     
    • {{Carré couleur|yellow}} donne :
    • {{Carré couleur|#ff2800}} donne :


    {{Légende/Début}}
    {{Ligne de légende|black solid 2px|Frontière en 1914}}
    {{Ligne de légende|red dotted 2px|Frontière en 1920}}
    {{Légende/Fin}}

    donne :

    • Frontière en 1914
    • Frontière en 1920


    Titre
    1) Petit titre
    a b c d
    e f g h
    i j k l
    Couleur Contenu


    Cf. :


    Voir :

    [[hdl:1908/3518|IRIS]]

    {{Lien web|langue= |url=http://www.idref.fr/028247698|titre = Notice d’autorité Idref de X|date= |site=http://www.abes.fr/ Site de l'ABES|consulté le=}}


    Pr Succession des supérieures : Modèle:S-start#Politique

    Modèle:Tableau Coupe 16 (3 sets)#Exemple


    Modèle:Tableau chronologique/début#Exemple 3


    Ont fusionné : Modèle:Tableau Coupe 4 (5 sets)

    Modèle:Tableau Coupe 8 (3 sets)

    (Depuis : Catégorie:Modèle tableau tennis)


    Généalogie : Modèle:Tableau Coupe 16 (5 sets)#Exemple et rendu

    à partir de : Modèle:FedCup 16

    Modèle:FedCup 32


    Couleur tableaux : Module:Chartes/données


    Tableau complexe: Modèle:Classement de l'indice de corruption


    Tableaux sans traits apparents :

    Texte 1   Connaître et maîtriser son véhicule E (Erreur éliminatoire) 0 1 2 3 *  
      La
    *  
    Total général


    Victoire à domicile Match nul Défaite à domicile

    Légende :

    * Maximum historique
    ** Minimum historique
    Fond vert : meilleur score mensuel de l'année.
    Fond rouge : moins bon score mensuel de l'année.


    Légende
         - bleu
         - rose
         - orange
         - bleu marine
         - marron-orange
         - bleu ciel
         - rouge
         - vert pâle
         - rouge foncé
         - vert sombre
         - bleu pastel
         - marron pastel


    En rouge et en gras, les œuvres :

    • Une phrase exemple


    Or jaune

    vert écolo


    en pointillé


    le modèle {{m|Abréviation discrète}} donne : le modèle {{Abréviation discrète}}


    {{Retrait|Phrase en retrait}} donne : Phrase en retrait


    Pokémon


    Pokemon


    • 1
    • 2
    • 3


    lien 1lien 2lien 3


    Terme défini
    Phrase explicative
    • Phrase explicative


    Modèle:Abréviation discrète :

    Exemples modifier

    • {{abréviation discrète|hab.|Nombre d’habitants}} donne : hab.
    • {{abréviation discrète|st|stone|en}} donne : st
    • {{Abréviation discrète|[[File:Increase.svg|11px|alt=Augmentation|link=]]|vers le haut}} donne : Augmentation
    • Cf. Résultats (▼ dom., ► ext.)


    Généalogies :


    Article La Retraite modifier

    RI :


    Les maisons de Retraites


    une œuvre née en Bretagne et principalement répandue à partir des diocèses de Rennes et de Vannes. Corrélativement à ces œuvres, l'animation des retraites spirituelles dans ces maisons furent à l'origine de communautés importantes dans la vie spirituelle bretonne. Leur vocation était d'organiser avec les jésuites des retraites pour les X.


    Saint-Gildas de Ruis, Aperçus d'histoire monastique, Marius Sepet, 1900, Ancienne maison Ch. Douniol, p.409, Lire en ligne sur Liberius.net [PDF] :

    « une œuvre d’apostolat fondée au dix-septième siècle par deux grandes âmes, M. de Kerlivio et Mademoiselle de Francheville, « l’œuvre des retraites », chère à la Bretagne et féconde en fruits abondants pour la religion et la civilisation chrétienne. » (Cf. Ségur, Vie de Madame Molé, fondatrice de l'Institut des Sœurs de la Charité de Saint-Louis, 1763-1825, Paris, Bray et Retaux, 1880, in-12, pp. 170, 171 et suiv. — Cf. Léon Aubineau, Les Serviteurs de Bien, Paris, Victor Palmé, 1888, in-12, t. II, p. 287 et suiv.)


    retraite des hommes modifier

    maison de retraite des hommes : gallica


    gallica (début: cf. 2ème page précédente).


    2ème colonne de : Le Ploërmelais, 21/03/1909 : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d32f081e20/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1439244598?center=1055.096618035827,-1145.8593271652007


    retraite des femmes modifier

    Résumé 1ère maison, organisation : gallica


    Histoire : Retraite des femmes p.71 : gallica


    Phrase: 351ème séance de la société polymatique. M. Le Mené commence la lecture de son étude "La retraite des femmes à Vannes".

    Source : Le Morbihannais, 02/10/1898 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2919f2c42/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1079644837?center=1643.7866778872442,-3260.890880151143

    et même chose dans : L'Arvor, 30/09/1898, p.2 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta5256242c12348/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1418429037?center=734.0986331524401,-3634.507721842765



    En guise d'ouverture d'introduction sur l'histoire des Retraites spirituelles pour hommes et femmes :

    « On cite l'exemple de tous les grands saints; on rappelle les fruits des Exercices de saint Ignace depuis le XVIe siècle; on invoque l'exemple de ces retraites d'hommes d'avant la Révolution, à Vannes, Rennes, Quimper; on leur attribue l'indomptable fidélité bretonne et vendéenne à la foi des aïeux. Mais avait-on vu cette pratique s'universaliser, comme elle fait de nos jours, dans chacune des classes de la société chrétienne ? Les laïques comme les prêtres en proclament l'utilité, le besoin et le bienfait. »

    — Louis Baunard, Un siècle de l'Église de France : 1800-1900, Poussielgue, 1901, p.474.

    Aujourd'hui :

    Plus de 700 monastères, ermitages et maisons de prière en pays francophones. http://www.spiritualite2000.com/monasteres/


    Contexte modifier

    « Les meilleurs chrétiens comme les meilleurs membres du clergé, tentés par un rigorisme et un jansénisme, ou encore par certaines tendances prophétiques mises à la mode par les convulsionnaires, ou encore par un regain de l'illuminisme et de l'occultisme, enfin pat l' Aufklärung. Le courant jansénisant a mis en vedette, telles les œuvres du prêtre Pierre Collard (mort en 1775), une piété contrainte, qui paraît exclure toute relation personnelle et familière avec Dieu : Dieu est un maître exigeant et austère.
    

    Les maisons de retraite réagissent contre de tels courants. »[3].


    Il y a encore toute la clientèle des collèges, ceux des jésuites en particulier, où l'élite pieuse se regroupe dans les congrégations mariales, voire les congrégations secrètes (ou Aa). Il y a enfin les innombrables confréries, paroissiales ou non, qui rassemblent les fidèles autour de dévotions populaires. D'un côté comme de l'autre, la vie chrétienne y est nourrie par des prédications appropriées, les livres de piété, les retraites, et le service organisé des « œuvres de miséricorde ».

    Les Dames de la Retraite, à Vannes, à Quimper, à Nantes ou à Rennes font un l'excellent travail auprès de nombreux paroissiens des campagnes. Les « Dames Budes » ou « Dames de la Retraite », fondées à Rennes par Jeanne Budes de Guébriant (morte en 1683), organisent chaque année plusieurs retraites féminines qui réunirent chaque fois des centaines de paroissiennes du diocèse. Le succès est incontestable ; Adelaïde de Cicé vit avec ces Dames de 1785 à 1788. Voir Formes modernes, p.195-201, et passim[4].


    En 1661, le Royaume de France est habité par 2 millions de Bretons, soit 1/10e de la population du Royaume. http://www.sahiv.fr/uploads/pdf/articles/CHALINE_Louis_XIV_et_Bretons_BMSAHIV_2007.pdf


    § pratique chrétienne de l'époque : books.google.fr/books?id=XcxHaIzyvDwC&pg=PA29


    Ferdinand Renaud, Michel Le Nobletz et les Missions Bretonnes, Paris, 1955. https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/4f0b13090419b559fa3e5fe5576b1401.pdf :

    p.14 : Michel le Nobletz est un homme du XVIe siècle, de ce siècle où la pire violence s'allie aux plus extrêmes raffinements. Ce siècle, par l'afflux de l'or et le commerce des épices, est devenu celui de l'enrichissement. Il pousse au matérialisme, surtout les classes possédantes pour qui la vie offre tant d'attraits que ceux qui en jouissent n'éprouvent plus le besoin de lever les yeux vers le ciel. C'est le siècle de la Renaissance qui est, avant tout, la renaissance du paganisme, et c'est contre quoi Michel le Nobletz entreprendra de lutter, cherchant, pour en faire le levain qui gonflera la pâte, à constituer une élite chrétienne parmi les humbles et les pauvres, et prêchant à tous, en réaction contre ce matérialisme envahissant, le détachement des richesses et le mépris du monde. Il est à remarquer d'ailleurs que l'action de Michel le Nobletz s'insère dans le grand courant de rénovation spirituelle à laquelle travaillent, à la même époque, saint François de Sales (1567-1622), Bérulle (1575-1629), Olier (1608-1657), saint Vincent de Paul (1581-1660), pour ne citer que quelques Français. Mais le mouvement s'étend partout aussi bien qu'en France, en Italie, en Allemagne, en Espagne et jusqu'aux Églises séparées d'Orient, puisque c'est aussi le temps de la réforme d'Avvakum en Russie (1620-1682).

    Les débuts modifier

    La première maison de Retraite pour femmes ouvrira le 21 octobre 1675 www.laretraite.ws


    Vannes modifier

    congrégation des Filles de la Sainte Vierge de la Retraite de Vannes


    « La retraite de Vannes », Yvonick Danard, in Bulletin des Amis de Vannes (1999) n°24, p.21-37.


    LES DAMES DE LA RETRAITE DE VANNES : http://www.infobretagne.com/vannes-dames-retraite.htm


    Les Sœurs de la Retraite de Vannes (ou Filles de la sainte Vierge), fondées en 1675 à Vannes par Catherine de Francheville, dispersées lors de la Révolution française et restaurées en 1842 par Jeanne de Kertanguy. Source : AAEF - archives.pdf


    Lorsqu'en 1678, le P. Huby publie La retraite de Vannes ou la façon dont la retraite des hommes se fait à Vannes sous la conduite des Pères Jésuites, cette institution, fondée en 1661, rassemble annuellement, en une vingtaine de retraites, un public estimé supérieur à 2 500 personnes. Des individus de toutes conditions, laïcs et ecclésiastiques, viennent de plusieurs dizaines de kilomètres à la ronde pour se couper du monde pendant une semaine, dans la recherche commune d'un profit spirituel. Cette communication évoque les raisons du choix fait par les fondateurs de s'adresser à un public socialement et culturellement diversifié, la nature des pratiques et les méthodes employées. Source : Résumé de Quéniart : [2]


    Sources modifier

    Acte de fondation de la Retraite de Vannes, 1675, in Processus, n. 6407, 527–31.


    Reglemens de la Communauté des Filles de la Sainte Vierge pour les retraites de leur sexe; établie dans la Ville de Vannes (Vannes: Jacques de Heuqueville, 1703), in Processus, 567–641, in particular 624.


    Archivio Segreto Vaticano, Archivum Congregationis Rituum, Processus, Catherine de Francheville, nn. 6407–12 [henceforth Processus]; particularly n. 6407, Catharina de Francheville. Processus ordinarius Venetensis super fama, n. 2, 461–521. All citations refer to this dossier.


    It should be noted that Huby’s text ends with a chapter expressly dedicated to the women’s retreats: "La retraite des femmes et filles dans la même Ville et les grands biens qu’elle fait," 497–512. For a detailed presentation of the functioning of women’s retreats, see Théry, "Fonctionnement des retraites," in Contribution à l’histoire religieuse, 2:178–96.

    Jean Quéniart, « La ‘retraite de Vannes’ à la fin du XVIIe siècle », Revue de l'histoire des religions, t. 217, n° 3 : La prière dans le christianisme moderne, 2000, p. 547-561. https://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_2000_num_217_3_1047


    Tout sur Catherine de Francheville : http://www.worldcat.org/search?q=su%3a%22Francheville%2C+Catherine+de%2C%22


    Honoré Chaurand, S, I., La Maison de retraites de Vannes au xvii siècle, Enghien, Paris, 1906.

    http://www.worldcat.org/title/maison-de-retraites-de-vannes-au-17e-siecle/oclc/902319489&referer=brief_results

    = http://www.worldcat.org/title/maison-de-retraites-de-vannes-au-xviie-siecle/oclc/459231384&referer=brief_results


    http://www.worldcat.org/title/cause-de-beatification-et-de-canonisation-de-mademoiselle-catherine-de-francheville-articles-proposes-par-le-reverend-pere-nicolet-postulateur/oclc/461702044&referer=brief_results


    http://www.worldcat.org/title/chercher-dieu-au-cur-de-la-vie-catherine-de-francheville-et-les-surs-de-la-retraite/oclc/461744790&referer=brief_results


    http://www.worldcat.org/title/actes-du-premier-chapitre-general-1969-1971/oclc/462431519&referer=brief_results


    Rennes modifier

    Couvent des Dames Budes (ou Dames de la retraite), dit séminaire des Filles de la Sainte-Vierge ou des Dames de la Retraite. Source : Recherche google


    Histoire : Jeanne Brandin d'Allérac, dame Budes du Tertre-Jouan... dans L'Ouest-Éclair, 24 juillet 1944, n°17209, p.2.


    SAINTE- VIERGE (FILLES DE LA), ou DAMES BUDES, de Rennes. p.1394 et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k209855z/f108.item.r=%22Dames%20Budes%22.zoom

    Localisation modifier

    Cf. source : Liste des édifices religieux de Vannes


     
    Ancien couvent des Dames de la Retraite du Mené, à Vannes, maintenant Foyer des jeunes travailleurs. Cf. Liste des édifices religieux de Vannes#Couvents 2


    Maisons :

    « Dames Budes », dans Hyacinthe Morice et François Marie Tresvaux, L'Église de Bretagne ou histoire des sièges épiscopaux…, Paris, Méquignon, 1839, p.[ https://books.google.fr/books?id=yr0AAAAAcAAJ&pg=PP7&lpg=PP7&dq=Hyacinthe+Morice+et+Fran%C3%A7ois+Marie+Tresvaux,+L%27%C3%A9glise+de+Bretagne+ou+histoire+des+si%C3%A8ges+%C3%A9piscopaux.&source=bl&ots=LfuDwsva3P&sig=a_Xtsv5SgROjUMjY8JchMqrECLw&hl=fr&sa=X&ei=ptahVYm5A4rvywPh1IHQCA&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=Budes&f=false 627-628].


    31 octobre 1676

    Acte de fondation des filles de la sainte Vierge par Madame Budes de Guébriant

    Une première école pour l'instruction des filles et garçons pauvres de Rennes est établie dans la propre maison de la fondatrice, rue du Pré-Botté à Rennes.

    Fermée en 1754, elle est réouverte en 1827 au 54 rue de Saint Hélier où elle fonctionnera jusqu'en 1889.

    A cette époque, la paroisse St Hélier était un faubourg en dehors des anciennes limites de la grande ville.

    Par suite de l'extension que prend le faubourg saint Hélier, l'école du 54 est transférée à l'emplacement actuel plus central pour l'agglomération nouvelle.

    Source : http://www.ecolestmichel-rennes.fr/historique.php

    Révolution :

    Dans la partie centrale de la rue Saint-Hélier, un couvent de la Retraite, les filles de la Sainte Vierge, fut quelque temps transformé en filature avant de devenir un dépôt de mendicité pour prostituées. C'est aujourd'hui une clinique de rééducation fonctionnelle. couvent des filles de la Sainte Vierge, dépôt de mendicité : http://rue-saint-helier.e-monsite.com/


    XXè s. modifier

    • La Congrégation des Filles de la Sainte-Vierge de la Retraite (de Lannion-Vannes), fondée à Vannes en 1675 par Catherine de Francheville, fusionne en 1966;
    • La Congrégation des Filles de la Sainte-Vierge de la Retraite de Rennes, fondée en 1676 à Rennes par Mme Jeanne Budes de Guébriant. Devenue la Fraternité Notre-Dame après 1960, elle s'unit aux Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut-les-Pins en 1990;
    • La Congrégation de la retraite de Quimper, dite aussi des Filles du Sacré-Cœur de Jésus[5], fondée en 1678.

    Source : Liste des congrégations catholiques#Fondations au XVIIe siècle

    46-48 rue Saint-Hélier habitait anciennement (avant années 1970) la Congrégation de la Fraternité Notre-Dame. Arrêté du 26 Décembre 1977 avec statuts. 15 Juin 1977 6 Janvier 1978.


    clinique Saint-Hélier, ancien couvent de la Retraite

    La clinique Notre-Dame-de-Lourdes, devenue le Pôle Saint-Hélier (un Centre de Rééducation Physique et un EHPAD) (54 rue Saint-Hélier) est géré par l'association hospitalière Saint-Hélier qui est une émanation de la congrégation de la Fraternité Notre-Dame.

    Une exposition retrace également l'histoire de cette institution bien ancrée dans le paysage rennais. On y apprend notamment que la « Retraite » (c'était son surnom) a connu les vicissitudes de trois guerres : hôpital militaire en 1870, accueil de réfugiés en 1914-1918 et 1939-1945. http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/derriere-le-pole-saint-helier-une-histoire-4271423


    Communauté des Filles de la Sainte-Vierge à Rennes : modification des statuts + nouveau titre : Fraternité Notre-Dame. décret du 28 novembre 1969 (35/09)

    congrégation de la Fraternité Notre-Dame.

    la Fraternité Notre-Dame a rejoint celle du Sacré-Cœur de Jésus en 1990. fusion de la congrégation des sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut-les-Pins (Morbihan) et de la congrégation de la Fraternité Notre-Dame de Rennes (Ille-et-Vilaine). Est abrogée l'ordonnance du 17 janvier 1827 en tant qu'elle a autorisé la congrégation des filles de la Sainte-Vierge, devenue la congrégation de la Fraternité Notre-Dame de Rennes par décret du 28 novembre 1969.

    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000721113&categorieLien=id

    Archives de La Retraite de Rennes modifier

    Fonds des Sœurs de la Fraternité Notre-Dame de Rennes : fonds Clos. CFDN. Une partie des Archives a été remise à la ville de Rennes. La partie déposée à la Maison Mère de Saint-Jacut n'a pas d'inventaire, sauf une description sommaire sur chaque boîte. (7,50 ml, 1676-1990).

    Source: AAEF


    Le testament de dame Jeanne Brandin est déposé aux archives départementales à Rennes. À la suite de ce testament, se trouvent les statuts ou règlements de la communauté ; ils comprennent six titres : 1° La fin de la société; 2° la conduite des sœurs; 3° exercices spirituels; 4° des vertus; 5° le gouvernement; 6° règlement des exercices de la journée. Ils furent approuvés par l'évêque de Rennes, le 20 juillet 1678. Louis XV donna depuis des lettres patentes confirmatives de la société. dictionnairedes23hl_djvu.txt

    Quimper modifier

    La maison religieuse fondée à Quimper par Claude-Thérèse de Kermeno pour accueillir les femmes désireuses de participer aux exercices spirituels de saint Ignace était dirigée par une communauté de femmes laïques sous la juridiction de l'évêque. - Connue sous le nom de Dames ou Demoiselles de la Retraite avant la Révolution, la communauté fut après celle-ci consacrée au Sacré-Coeur et prit le nom de "Dames de la Retraite - Filles du Sacré-Coeur de Jésus". - Sous la Restauration, la communauté se tourna, outre l'organisation des retraites, vers l'éducation des filles. - La maison de Quimper ayant été confisquée en 1790, la communauté s'installa à Quimperlé en 1808, ouvrit en 1820 une deuxième maison à Saint-Pol-de-Léon (transférée à Lesneven en 1827), puis une à Redon, à Lannion en 1835, à Nantes en 1838. - Les maisons de Redon et Lannion s'était détachées en 1820 et 1841, car elles souhaitaient imposer les voeux de religion à leurs membres. Ses deux branches procédèrent à leur tour à des fondations, dont celle d'Angers qui donna naissance à la Société de Marie. - En 1847 la Retraite de Quimperlé se réinstalla à Quimper, qui redevint le siège officiel de la Société en 1857. - En 1862, la congrégation imposa les voeux de religion à ses nouveaux membres et en 1885 ses constitutions furent approuvées par le Vatican. - En 1897, elle fusionna avec la Société de Marie d'Angers (issue de sa propre fondation de Redon)

    Source : bnf.fr/

    autres lieux modifier

    pensionnat de la Retraite de Lesneven


    1678 : Mlle Claude Hévin de Kermeno --> fonder une maison de retraite pour les femmes.

    gallica
    


    Maison de Retraite de femmes à Saint-Pol 1er décembre 1680. gallica


    Peut-être aussi chez la :

    Maison des pères jésuites de Chambéry années 1630 : https://books.google.fr/books?id=7Vb5RqLsESYC&pg=PA322&lpg=PA322&dq=histoire+des+maisons+de+retraite+spirituelle&source=bl&ots=e_dBtpuF6z&sig=rDmU4xOvkz8dbiV44brl2Sg7aJ8&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=histoire%20des%20maisons%20de%20retraite%20spirituelle&f=false


    Familles autour de la Retraite modifier

    Les Budes modifier

    Famille Budes :

    - http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadbam:EADC:d0e236338549_FRBNFEAD00004172534711 Manuscrits et fonds d'archives

    - http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadbam:EADC:NE0030555_FRBNFEAD00003373113311

    - Budes (Jacques), procureur général au parlement de Bretagne - Nom et armoiries http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadcgm:EADC:D29012003 Numérisé : http://www.tablettes-rennaises.fr/app/photopro.sk/rennes/detail?docid=50332#sessionhistory-ready


    BRANDIN, sr d’Allerac, par. de Saint-Just, — de Belestre, — du Tallut, — des Iles, — de Bélair. https://fr.wikisource.org/wiki/Nobiliaire_et_armorial_de_Bretagne/B


    BUDES, sr du Plessis-Budes, par. de Saint-Carreuc, — d’Uzel, par. de ce nom, — du Hirel, par. de Plédran, — du Gareth, — du Couëdic, par. de Missiriac, — de Launay-Couvran, par. de Trégueux, — baron de Sacé en Normandie, — sr du Rufflay, par. de Saint-Donan, — du Plessix-au-Noir, — de la Courbe, — de Blanchelande, — comte de * Guébriant, par. de Pluduno, — sr de Kerdaniel, par. de Plouagat, — du Tertre-Jouan et de Sainte-Guen, par. de Ploufragan, — de Quatrevaux, par. de Plaintel, — de la Noë-Sèche, — de Coësquen, — de la Touche-Carméné, — du Plessix-Cottes, par. de Hénon, — de l’Espinasse, — de Bienassis, — de la Plesse.

    Anc. ext. chev., réf. 1669, dix gén., réf. et montres de 1423 à 1535, par. de Plédran, Ploufragan et Plaintel, év. de Saint-Brieuc.

    D’argent au pin arraché de sinople ; aliàs : sommé d’un épervier d’or (Sceau 1415) accosté de deux fleurs de lys de gueules. Devise : Superis victoria faustis.

    Hervé, croisé en 1248 (cab. Courtois) ; Geoffroi, scelle de trois fleurs de lys les lettres du duc portant changement de bail en rachat, en 1276 ; Guillaume, épouse vers 1300 Jeanne du Guesclin ; Sylvestre, sr d’Uzel, accompagna du Guesclin en Espagne en 1366 et portait sa bannière à la bataille de Navarret ; son sceau porte les armes d’Uzel. Le pape Clément VII le créa gonfalonnier de l’Eglise romaine et le fit ensuite décapiter en 1379, sous prétexte d’intelligence avec Urbain son compétiteur. Jean, tué à la bataille de Rosbec en 1382 ; Jacques, procureur-général au parlement en 1551, † 1581 ; Jean, sr de la Courbe, maréchal-de-camp en 1619 ; Jean-Baptiste, comte de Guébriant, maréchal de France, tué d’un coup de fauconneau au siège de Kotweil en 1643, marié à Renée du Bec, ambassadrice en Pologne en 1645 ; cette branche s’est fondue en 1655 dans la maison de Rosmadec.

    La branche qui existe aujourd’hui, descend de Julien, sr de Blanchelande, oncle du maréchal de Guébriant, et de Françoise de Rosmar, dame de Kerdaniel, elle a produit six chevaliers de Malte depuis 1608 ; un chef d’escadre en 1757 ; un maréchal de camp en 1781 et un pair de France de nos jours. Deux membres admis aux honneurs de la cour en 1731 et 1774.

    https://fr.wikisource.org/wiki/Nobiliaire_et_armorial_de_Bretagne/B


    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54062208/f138.item.r=budes


    Nobiliaire et armorial de Bretagne :

    création du parlement de Bretagne en 1554.

    Jacques, procureur-général au parlement

    3 août 1554 :

    Référence : I-2013-0007195

    Page/feuillet : Feuillet 100

    http://www.tablettes-rennaises.fr/app/photopro.sk/rennes/detail?docid=58173

    Depuis : http://www.tablettes-rennaises.fr/app/photopro.sk/rennes/detail?docid=50332#sessionhistory-ready


    Guébriant (Jean-Baptiste Budes, comte de) :

    1 lettre (1642)

    Portrait

    Autographes de la Collection Moulin http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=IF2020628


    Registres de copies des lettres adressées à Jean-Baptiste Budes, comte de Guebriant, maréchal de France (1637-1644). http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadbam:EADC:NE0088349_FRBNFEAD00009155012776


    Monseigneur Jean-Baptiste de Guébriant, évêque d'Eurée (1860-1935) http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=Calames-2009921093440630


    Prosper LEVOT, Biographie bretonne, recueil de notices sur tous les Bretons qui se sont fait un nom, Vannes, 1852-1857, 2 vol. in-4° http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadcgm:EADC:D46020007


    Les Guébriant modifier

    - Guébriant, Baptiste Budes de (1602-1643 ; comte de)

    - Monseigneur de Guébriant, le missionnaire. R.P. A. Flachère,.... préf. du Duc de Broglie,... et du R.P. Robert,... , Flachère, Auguste (1885-1945) Éditeur(s) : Paris; Plon, 1946. Archives départementales du Finistère Q8JJ 80.

    - Guébriant, Hervé Budes de (1880-1972)


    Mgr Conen de Saint-Luc modifier

    Archives départementales du Finistère, série J, cote 1 J 48 : Abbé Boissière, Copie de l'abrégé de la vie de Monseigneur Toussaint François Joseph Conen de Saint-Luc, Espagne, 1797. http://mnesys-portail.archives-finistere.fr/?id=recherche_guidee_plan_detail&open=3244&doc=accounts%2Fmnesys_cg29%2Fdatas%2Fir%2Fserie_j%2FFRAD029_00000001J%2Exml&page_ref=3244


    Famille de Rosmadec modifier

    Archives départementales du Finistère, série J, cote 1 J 770 : Généalogie de la famille de Rosmadec. XVIIIe Tableaux généalogiques de la famille de Rosmadec copiés dans d'Hozier, notices biographiques sur Sébastien II, III et IV de Rosmadec, blason de Sébastien de Rosmadec.

    Cf. anciennes (?) "Archives de Clairfontaine"


    Archives départementales du Finistère, série J, cote 1 J 761 : Liste des paroisses de la province de Bretagne, [s.l.], [s.n.], [s.d.], XVIIIe. Le cahier, incomplet, ne comprend que la liste des paroisses des diocèse de Rennes, Nantes, Vannes, Saint-Maolo, Saint-Pol-de-Léon, Saint-Brieuc, et Dol en partie ; il manque les listes des paroisses des diocèses de Tréguier et Quimper.


    Annexes modifier

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie modifier

      : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.


    http://books.google.fr/books?id=XcxHaIzyvDwC&pg=PA29&lpg=PA29&dq=retraites+f%C3%A9minines&source=bl&ots=ylR1U5VmAr&sig=cCSwsQqLiXWApthhFzGl-rovD_k&hl=fr&sa=X&ei=Utj1U7ayINXbau7hgagG&ved=0CKcBEOgBMBI#v=onepage&q=retraites%20f%C3%A9minines&f=false


    Dossier des Dames Budes aux Archives départementales : Arch. dép. d'Îlle-et-V., 34 H 1, C 251-252, etc. → Dossiers consultés par H. Pocquet du Haut-Jussé pour son La vie temporelle des communautés de femmes à Rennes au XVIIe et au XVIIIe siècles.


    Notes historiographiques :

    « L'histoire de la Maison de Vannes ne s'appuie aujourd'hui que sur des sources fragmentaires »[6].


    « Le livre de l'abbé Alexis Crosnier sur Une dame de la Retraite de Quimper, martyre sous la Terreur, Victoire Conen de Saint-Luc (1919) est en même temps une contribution à l'histoire des maisons de retraites avant et après la Révolution dans la région bretonne. » p.46-6 de : Waquet Henri, Manuel des études finistériennes, Imprimeries réunies, Valence, 1948. Source : Waquet Henri, “Manuel des études finistériennes”, Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon, http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/items/show/11090



    « Sur les Maisons de Retraite, particulièrement en Bretagne, et sur la Société de Marie » in L'Ami de la Religion, Tome lxxx, p.593-595 et p.609-612. (mardi 28 octobre 1834, n°2330, et jeudi 30 octobre 1834, n°2331.) L'Ami de la Religion, Tome LXXX sur Google Books


    Sources web modifier

    patrimoine.landudec.free.fr/


    pole-sthelier.fr/historique/1758-1955

    pole-sthelier.fr/historique/00170.jpg

    {{Portail|France du Grand Siècle|histoire|catholicisme}} [[Catégorie:Religion sous l'Ancien Régime]] [[Catégorie:Histoire religieuse sous l'Ancien régime]] [[Catégorie:Histoire religieuse sous la Révolution française]] [[Catégorie:Histoire religieuse de la Bretagne]] [[Catégorie:Religion en Bretagne]] [[Catégorie:Religion dans le Finistère]] [[Catégorie:Bretagne au XVIIe siècle]] [[Catégorie:France du Grand Siècle]]


    Article [[]] modifier

    Textes-sources modifier

    Mostaccio modifier

    Mostaccio : [3]


    Référence:Répertoire général de bio-bibliographie bretonne modifier

    (depuis Utilisateur:Kertraon#Biographies et autres avec accès vers les vol. en ligne)


    Noms de famille: -Budes : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58176362/f100.item.r=budes p.89 -De Guébriant : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5817976m/f260.image.r=gu%C3%A9briant.langFR


    Anne-Marie Budes : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58176362/f111.item.r=%22dames%20budes%22 p.100


    Jeanne Brandin : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f154.item.r=%22brandin%22.langFR


    AAEF - archives.pdf modifier

    [PDF] ANNUAIRE des services d’archives du monde religieux en France, 2016 :


    Retraite (Congrégation de la)

    N° CORREF : 30600

    Archives générales, provinciales, archives historiques et archives des Maisons fermées.

    Congrégations intégrées :

    • La Retraite de Vannes (Filles de la sainte Vierge)
    • La Retraite d’Angers
    • La Retraite du Sacré Cœur (Quimper)
    • La Société de Marie (Angers)
    • La Retraite du Sacré-Cœur de Bruges

    Adresse : 16 avenue du Belvédère - 78100 Saint Germain-en-Laye

    Archiviste depuis 2014 : Mme Clémentine Baud (Sœur Marie-Annick Sécher)

    Consultation sur rendez-vous et recherches par correspondance.

    Téléphone : 01 30 61 87 80 (ligne d’accueil)

    Courriel : archivesgenlr@orange.fr

    Site internet : http://www.laretraite.ws/fr/0.htm


    Sacré Cœur de Jésus (Sœurs du)

    (Sœurs de Saint Jacut)

    N° CORREF : 07900

    Archives générales et provinciales

    Congrégations intégrées : Sœurs de Sainte Marie de Gacé–Orne, Sœurs de la Fraternité Notre Dame de Rennes.

    Adresse : Service des Archives, Maison Mère, 1 rue Angélique Le Sourd, 56 220 Saint Jacut les Pins

    Archiviste depuis 2009 : Sœur Yvette Guyot

    Consultation sur rendez-vous du mardi au vendredi

    Téléphone : 02 99 91 23 44 (Standard de la Maison-Mère) ________________________________________________________________________________________

    Congrégation de la Retraite
    (Mise à jour le 04/11/2016)

    Historique modifier

    L'actuelle Congrégation de la Retraite, est issue de l'union en 1966 de 3 congrégations :

    1. Les Sœurs de la Retraite de Vannes (Filles de la sainte Vierge), fondées en 1675 à Vannes par Catherine de Francheville, dispersées lors de la Révolution française et restaurées en 1842 par Jeanne de Kertanguy.
    2. Les Sœurs de la Retraite d'Angers, congrégation née de l'union en 1897 de deux instituts :

    - La Retraite du Sacré-Cœur (Quimper) fondée en 1678 par Claude-Thérèse de Kerméno.

    - La Société de Marie (Angers) fondée en 1823 par Louise-Marie du Cléguer.

    1. La Retraite du Sacré-Cœur de Bruges fondée en 1875 à Boulogne-sur-mer par Mère Marie-des-Anges.

    Tous ces instituts sont issus de l'intuition de Catherine de Francheville de proposer les Exercices de saint Ignace à des femmes, dans des maisons dédiées à cet apostolat. Touchés par la Révolution française, la Retraite de Vannes et celle de Quimper se réorganisent au début du XIXe en adossant leur apostolat initial de prédication de retraites à une activité d'enseignement.

    Cette activité se renforcera pour la Retraite d'Angers, au moment des lois anti-congréganistes et de la séparation de l'Église et de l'État, par la fondation d'écoles sécularisée (Cholet et Saumur notamment). À cette même époque, dans les deux congrégations (Vannes et Angers) pour les religieuses qui ne se sécularisent pas, l'exil en Angleterre, Belgique et Pays-Bas est l'occasion de développer leur congrégation dans ces pays.

    Les fonds modifier

    Fonds Principal modifier

    (voir détails sur pdf)

    Autres fonds modifier

    Nom du fonds suivi du métrage linéaire et dates extrêmes de l'ensemble des fonds conservés.

    Archives de la Congrégation de la Retraite (1957-2012) : 150 ml.

    Archives des Sœurs de la Retraite de Vannes (1675 à 1966) : 50 ml.

    Contenu : fondation et histoire, chapitres généraux, gouvernance, les relations avec les pouvoirs civils, les ecclésiastiques, et les autres instituts religieux, œuvres (enseignement, retraites spirituelles, catéchisme, foyers de jeune fille, pension de famille), organisation des maisons (retraites), vie religieuse (noviciat, jubilés, nécrologes, dossiers personnels, spirituel), temporel (comptabilité, immobilier, assurances).

    Archives des Sœurs de la Retraite d'Angers (1717-1966) : 150 ml. Ces archives contiennent sans distinction les archives des Sœurs de la Retraite du Sacré-Cœur de Quimper (1678-1897) (=la Retraite de Quimper) et les archives de la Retraite d'Angers (1897-1966).= Au total 150 ml (1717-1966).

    Contenu : fondation, et histoire, chapitres généraux, gouvernance, histoire de chacune des maisons, les relations avec les pouvoirs civils, les ecclésiastiques, et les autres instituts religieux, œuvres (retraites, enseignement, dames pensionnaires, amicale), archives foncières et comptables, contentieux, dossiers par religieuse.

    Archives des Sœurs de la Retraite de Bruges (1875-1966) : 2 ml.

    Contenu : fondation, et histoire, dossiers par religieuses, organisation des maisons, vie religieuse.


    Source : http://www.aaef.fr/annuaireDesArchives/admin/aaef/Front/exportPdf/188

    La semaine religieuse du diocèse de Quimper et de Léon, 7è Année. Vendredi 18 Mars 1892. N°12. modifier

    Cf. // Le Morbihannais du 19/01/1892 et du 28/01/1892 --> cf les photos.

    Source : http://recherche.archives.morbihan.fr/archive/resultats/presse/n:21?RECH_fulltext=dames+budes&RECH_complement=exact&type=presse



    p.200 : . . . popula re à Rennes . . . siècle> est --venu femmes. M- Budes née Jeanne . . . Budes consacrèrent . . . Anne œuvres de leur temps elles . . . ux bonnes eurs bienfaits, . . . beau nom de Filles de . . . le continue d'appeler « les Danmes Budes" ? . . . Rennais fondatrices. en mémoire de leurs zélées de mencements dames qui ta formèren rlueuses Société archéologique d'Ille-. . . la lacune en consafram aux ume ce volume. Cet intéressant . . .

    p.201 :

    grand roi en qualité de dame d'honneur de Mademoiselle d'Orléans • elle y renonça sur le désir de sa mère et se consacra dés lors' comme elle, à toutes sortes de bonnes œuvres. Ce que nous savons de sa vie est extrait d'une lettre circulaire, écrite à l'occasion de sa. mort en 167'i, par les Religieuses de la Visitation. Dans cette notice i! y a assez de détails, dit fort bien M. de Palys, < pour que nous puissions faire revivre cette intéressante physionomie, et si Dieu s'est contenté de sa bonne volonté, s'il s'est empressé de* cueillir très vite cette lieur de choix et de la cacher à nos yeux dans les gloires du ciel, il a laissé sur la ierre son parfum, qui s'y perpétue encore (i). » . Dans son testament la - grande héritière - — comme on appelait à Rennes M,lc Budes - confia à sa mère le soin de fonder une maison pour plusieurs demoiselles ou veuves chargées de l'instruc- 1 ion des prolestantes nouvellement converties, de l'éducation des pauvres filles de qualité eL de la tenue des petites écoles du peuple Après la mort de sa fille, Mme Budes se mit elle-même à la tète de cet établissement charitable qu'elle installa dans son propre hôtel situé près des Ponts-Neufs et de fa place de Toussaints (actuellement place de la Ha!le-au-Blé). FJte v baril une chapelle qui fut bénite le 8 décembre 1682, elle y fit irinsférer le cœur desa fille, qu'on apporta de la Visitation, el elle ajouta aux œuvres de sa communauté celte des retraites, œuvre si importante qui se développait alors avec rapidité dans toute la Bretagne et qui devint bientôt le but principal de la communauté des Filles de la Vierge. En mourant le 28 novembre 1683, Mme Budes laissait sa maison entre les mains de M"* Anne GuerrïfT de Ia Bouëxière, qui lui succéda dans le gouvernement de sa pieuse association. Mais celle dame et ses compagnes eurent bien des ennuis ; pendant quinze ans it leur faltul lutter contre les héritiers de Mm Budes; cependam celle-ci n'avait donné à sa communauté que des biens meubles, hormis sa maison. Enfin la - Providence trouva assez longue l'épreuve qu'elle impose presque toujours au\ meilleures el aux plus saintes œuvres dans leurs pénibles commencements, et ta propriété des Dames Budes, quoique bien réduite, leur fut enfin incontestablement acquise, i Cependant au milieu du siècle dernier survinrent de nouvelles difficultés; les grands percés entrepris pour la reconstruction de Rennes après le terrible incendie de 1720 s'opposaient au développement du couvent ou « Séminairedes Filles de la Sainte-Vierge. » ll fallut que ces religieuses quittassent cette maison des Budes pour elles pleine de souvenirs. La communauté de ville de Rennes leur donna un beau terrain dans la rue Saint-HéIier el el les y commencerent l'établissement religieux qu'elles occupent encore : la.première pierre du nouvel édifice fut béni te le 2 juin 1758. Dès lors les exercices de retraites y furent données avec des fruits de plus (I) Les Dames Budes, 17.

    p.202 :

    en plus abondants, les retraitants remplirent celle belle maison bMie pour eux ; Ies vastes salles et les longs corridors se peuplèrent de pieuses foules. La Révolution vial interrompre ces salutaires exercices et chassa sans pilié de leur demeure les Filles de la Sainte-Vierge. Elles ne purent rentrer dans leur cher asile qu'en 182i. Depuis ce temps leur histoire est connue à Rennes ; ces bonnes religieuses continuent de répandre les bienfaits de l'instruction chrétienne amour d'elles par le moyen des retraites, des pensionnats et de petites écoles, et Dieu bénit visiblement leurs efforts. Leur maison est achevée de nos Journel une belle chapelle la complète dignement. Il faut nous arrêter ici. « Nous avons voulu — dit l'auteur —- conserverie souvenir du passé d'une fondation qui est nôtre par toute son histoire. Nous sommes arrivés aux temps actuels. Ces temps ne nous appartiennent pas. Les mêmes vertus fleurissent à Fombre des mômes murs qui les abritaient autrefois : ce petit coin du sol Rennais a été providentiellement protégé de Dieu I Puissent les prières d'Anne-Marie Budes obtenir que cette protection continue toujours ! Puissent-elles soutenir et développer encore les œuvres pour lesquelles elle fut si heureuse d'offrir sa vie, et qui entourent et glorifient son tombeau (1) ! • Telle est à grands traits l'histoire de la Maison de retraite de Rennes ; histoire édifiante el intéressante toujours, car on y trouve mêlés au nom des Dames Budes les noms également vénérés de -M""- de Francheville, de M™ du Houx, d'Anne de Volvire, de toutes ces femmes de haute vertu qui formèrent au X VIF siècle « une radieuse floraison d'âmes d'élite. • On y ref reu ve même les fameuses possédées de Loudun, avec leur vénérable supérieure la Mère des Anges, qui fut l'amie de Mm * Budes. Au reste, quand on songe que celte histoire est l'œuvre de M. de Patys, on ne peut s'étonner de l'intérêt qu'il a su donner ;» sa composition ; écrivain habile, historien consciencieux, érudit infatigable J'auteur de la belle étude historique sur le chevalier Breil de Bretagne a composé avec non moins de soin et d'amour cette esquisse biographique des fondatrices de la Maison de retraite de Rennes; il l'a écrite égalemenl avec un grand esprit de foi el une religieuse éloquence don' voici une nouvelle preuve dans celte page qui résume parfaitement l'œuvre charitable des Dames Budes : « Le livre de compte des âmes, si je puis parler ainsi — dit-il — ces registres glorieux qui pèsent d'un si grand pofds dans la maiu des anges chargés de les présenter à Dieu, comptent environ 28,300 hommes et 66,000 femmes avant de 1830 à 1870 passé par celte maison bénie pour.s'y purifier dans les saints exercices dont on leur offrait le secours. Qui pourrait évaluer l'énorme masse de bien qui s'opéra pendant ces quelques années, tes lourds remords évanouis, la paix et l'honneur rendus (1) La Dames Budes, m, — Le corps d'Anne-Marie Budes, retrouvé dernièrement par les soins de H. de Patys, a été transféré du Colombier à la Maison de retraite.

    p.203 :

    aux familles et aux âmes, les généreux elTorls et les fruits de moralisation et de vertus qui les ont suivis (1). , Telle est bien en effet l'importance de l'œuvre des retraites. Et c'est pour le diocèse de Rennes tout entier doit se montrer reconnaissant envers l'auteur de la vie des Dames Budes. (1( Les Dames Budes, tit

    L'abbé GUILLOTIN DE CORSON, chan. hon.

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    Le Pouillé de Rennes (Guillotin de Corson) :

    40° Anciennes chapelles des Filles de la Sainte-Vierge, rue de Toussaints, au bout du Pré-Botté, puis rue Saint-Hélier. En 1676, Jeanne Brandin (Fille de Roch Brandin, seigneur de Belair, et de Léonarde Drouet), veuve de Jean Budes, conseiller au Parlement, accomplissant les dernières volontés de sa fille, Anne-Marie Budes, morte en 1674 à la Visitation du Colombier, forma une pieuse association de filles et de veuves faisant un simple voeu de chasteté et se destinant à l'oeuvre des retraites, à l'éducation des petites filles soit de la ville, soit de la campagne, et à l'instruction des protestantes converties (nota : En 1754, Mgr de Vauréal, évêque de Rennes, dispensa les Filles de la Sainte Vierge de tenir les petites écoles dans la campagne). L'autorité ecclésiastique, le duc de Chaulnes, gouverneur de la Bretagne, la Communauté de ville de Rennes accueillirent avec bienveillance les ouvertures de Mme Budes, et le roi Louis XIV approuva sa fondation par lettres patentes du 15 septembre 1678 et du 15 juillet 1681. La pieuse veuve installa la nouvelle congrégation sur la paroisse de Toussaints, dans une maison située sur le Pré-Botté. Elle ne tarda pas à en soumettre les règles et statuts à l'approbation de l'évêque de Rennes, Mgr de Beaumanoir ; celui-ci reconnut l'association sous le titre de Séminaire des Filles de la Sainte Vierge, et par ordonnance du 21 juillet 1678 il en approuva les statuts. Le prélat nomma en même temps Mme Budes supérieure perpétuelle de la nouvelle congrégation et lui permit de bâtir une chapelle ; cet édifice fut bénit le 8 décembre 1682 par Urbain Bouessay, vicaire général de Rennes. Un an après, Mme Budes mourut saintement, le 29 novembre 1683 (Semaine Religieuse de Rennes, XII, 693). Les héritiers de cette dame molestèrent longtemps les religieuses qu'elle avait fondées, et celles-ci résolurent, au milieu du XVIIIème siècle, de changer de local. En 1758, elles vendirent leur couvent du Pré-Botté à la Communauté de ville, qui l'acheta 72 000 livres, et construisirent un nouveau monastère dans la paroisse et dans la rue Saint-Hélier. M. Le Moyne de la Borderie, vicaire général de Rennes, vint bénir les bâtiments, achevés le 3 août 1760, et qui existent encore à la fin du XIXème siècle. Mme Rose Le Barbier, supérieure des Filles de la Sainte Vierge, déclara en 1790 que tout le revenu de sa maison consistait en un constitut de 60 000 livres, reliquat du prix de vente de l'ancien couvent du Pré-Botté, et dans les produits du jardin, montant de 5 à 600 livres ; mais la congrégation devait 47 560 livres qu'elle avait empruntées pour construire le nouveau monastère, et elle payait 2 260 livres de rentes viagères, sans compter ses autres charges, montant à 848 livres (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 V, 26). On voit par là que les Filles de la Sainte Vierge étaient loin d'être riches. Ces bonnes religieuses furent expulsées le 17 novembre 1792 et leur maison devint une filature. Plus tard, quelques-unes d'entre elles purent racheter ce monastère de la rue Saint-Bélier, et elles y reprirent leurs saints exercices vers 1825.

    41° Nouvelles chapelles des Filles de la Sainte-Vierge, rue Saint-Hélier, en Saint-Hélier. Nous avons dit précédemment que les Filles de la Sainte Vierge furent chassées de leur maison de la rue Saint-Hélier en 1792. Lorsqu'un peu de paix revint en France, l'une d'elles, Mlle Françoise Lévêque-Beaumard, voulut consacrer sa fortune au relèvement de sa chère communauté, et la laissa dans ce but aux mains de Mlles Esther-Pélagie Vatar et Marie-Anne de Trémereuc. Le ciel bénit ce projet : vingt-neuf ans après la dispersion, Mlles Vatar et de Trémereuc reprirent possession de l'ancienne maison de retraite et la rendirent à Dieu et à Marie. « Ce résultat n'avait pas été atteint sans traverses. Ne croyant plus à la possibilité d'acquérir leur ancien immeuble, ces dames avaient d'abord acheté l'ancien couvent des Carmélites, dont elles ne tardèrent pas à reconnaître l'insuffisance et la mauvaise distribution. Il fallut revendre avec perte. Peu de temps après cet échec, le gouvernement donna à l'abbé Carron, de vénérable mémoire, l'ancienne demeure des Filles de la Sainte Vierge en compensation des terrains qu'on lui avait confisqués au début de la Révolution. M. Carron, dont la bourse s'épuisait en largesses quotidiennes, manifesta l'intention de vendre. Mlles Vatar et de Trémereuc saisirent cette heureuse occasion. Elles furent promptement entourées et secondées par de courageuses compagnes , dont plusieurs appartenaient aux familles les plus chrétiennes et les plus estimées de Rennes. Pour se conformer à la loi, les Filles de la Sainte Vierge demandèrent à être autorisées par le gouvernement. Le Conseil d'État vérifia leurs statuts, et le 17 janvier 1825 une ordonnance royale autorisa définitivement la communauté. On vit bientôt renaître le beau temps des retraites. Ceux qui en suivaient les saints exercices se comptèrent par centaines » (Semaine Religieuse de Rennes, XII, 722). Afin d'arriver à la perfection que demande leur vocation, les Filles de la Sainte Vierge déclarèrent vouloir se lier désormais par des voeux. Aux trois voeux ordinaires de pauvreté, de chasteté et d'obéissance, elles ajoutèrent celui de travailler à la gloire de Dieu et au salut des âmes conformément aux statuts de leur congrégation. Ces nouvelles règles, plus parfaites que les premières, furent approuvées par Mgr Saint-Marc, évêque de Rennes, le 24 mai 1856. Les Filles de la Sainte Vierge ne possèdent que leur seule maison de Rennes ; mais dans cet établissement, outre l'oeuvre des retraites prêchées par les Missionnaires diocésains, les soeurs s'occupent de l'instruction des petites filles et tiennent un pensionnat et une école. La chapelle, réédifiée à la fin du XIXème siècle avec une science et un goût archéologiques incontestés par M. le chanoine Brune, est dédiée au Sacré-Coeur de Jésus. C'est un bel édifice de style ogival primitif, composé d'une nef avec une vaste abside polygonale bien décorée de vitraux peints. Dans l'enclos s'élève aussi un petit sanctuaire dédié à Notre-Dame de Lourdes : simple rectangle à chevet droit, de style ogival, cet édicule fort joli a été récemment construit en reconnaissance de la guérison de la supérieure de la maison, atteinte de cécité et guérie à la suite d'une neuvaine à Notre-Dame de Lourdes.

    Nota : Anne-Marie de Budes, petite nièce du maréchal de Guébriant, qu'on appelait à Rennes « la grande héritière, » mourut avant d'avoir réalisé le projet qu'elle avait formé de fonder une maison de Retraite sous la direction de religieuses dites « Filles du Séminaire de la Sainte Vierge ». Elle légua son dernier vœu à sa mère qui l'exécuta, en procurant cet établissement à la ville. Par reconnaissance pour leurs fondatrices, les religieuses adoptèrent le nom de « Dames Budes », sous lequel elles ont subsisté jusqu'à la Révolution [Note: Elle est la fille de Jean Budes, conseiller au Parlement, et de Jeanne Brandin de Belhair. Née en 1651, elle mourut le vendredi 16 novembre 1674, au Couvent de la Visitation du Colombier où elle a été enterrée. Elle est à l'origine de la fondation de l'ancien couvent de la Retraite à Rennes].

    Source : http://www.infobretagne.com/rennes-chapelles-anciennes.htm

    Manuscrits de la Bibliothèque du Centre Sèvres & de la Bibliothèque municipale de Lyon modifier

    Source : [PDF] catalogue_manuscrits.pdf :

    Collection jésuite des Fontaines, Inventaire des manuscrits :

    La Bibliothèque des Jésuites sise aux Fontaines (Chantilly, Oise) possèdait quelque 1.500 manuscrits.

    • Les manuscrits marqués d’un astérisque * ont été conservés par l’Ordre jésuite. Ils sont depuis 1998 consultables à Paris. Pour de plus amples renseignements, contacter Mme Jacqueline Diot Bibliothèque du Centre Sèvres Facultés jésuites de Paris 35 bis rue de Sèvres 75006 Paris 01 44 39 75 24 bibliotheque@centresevres.com
    • Les autres manuscrits sont consultables en salle du Fonds ancien de la Bibliothèque municipale de Lyon. Le catalogue des imprimés et des manuscrits est consultable sur son catalogue en ligne : [4]

    Inédits : le recueil « Philbert » des lettres de Caussade qui contient, croit-on, les seules lettres intégrales connues de cet auteur, un inédit de Pierre de Clorivière de 1791 concernant les Lumières, la Franc-maçonnerie et la Révolution commençante, et de nombreux manuscrits d’oeuvres spirituelles inédites, comme celles du récollet Archange Enguerrand + 1699, du chartreux Pierre Horst + 1716, du prêtre Gabriel Gauchat + 1777, comme les lettres de direction du jésuite Jean Bonaventure Périgaud + après 1781 et les sermons de Louis Orléans de la Motte, évêque d’Amiens mort en 1774. Des retraites et conférences du Jésuite Claude Judde, nous gardons 32 manuscrits, autant de signes de l’influence de ce bon spirituel au 18e siècle.

    L’esprit curieux comme l’étudiant en quête d’un sujet de mémoire, voire de thèse, aura avantage à consulter le catalogue qui suit.


    Numérotation utilisée :

    • Numéro de manuscrit (Ce catalogue n’obéit pas aux normes de description des manuscrits : il présente les fiches de saisie des différents manuscrits de la bibliothèque, suivant une suite numérique continue.)

    Après : en gras : la cote du manuscrit.

    Puis, description des manuscrits dans les fiches de saisie :

    2 - Titre (page de titre)

    3 - Titre factice (forgé)

    4 - Titre de départ (premiers mots du texte)

    5 - Auteurs principaux

    6 - Compilateurs, étudiants d’un cours, etc.

    7 - Lieu et date

    8 - Description : format, pages, gravures, reliure

    9 - Note de contenu

    10 - Provenance

    11 - Observations

    12 - Mots-clés


    à Paris modifier

    88 *Ms 12° 91

    3 - « Manuel de Piété. Prières. Méthode d’oraison . Obligation de l’âme »

    4 - « Acte de foy de la présence de Dieu »

    7 - « Ce livre est de la Maison de la Retraite... à Rennes » (p. de garde)

    8 - 16 cm - Non paginé - Belle reliure - Belle écriture.

    9 - Divers « actes » - Manière d’entendre la Messe - Manière de faire l’oraison mentale - « De l’obligation de l’âme chrétienne »

    11 - « ex dono D. Marchand, aumônier de la Retraite à Pontchâteau (Loire inférieure), 1906 »

    12 - Prières - Eucharistie - Oraison - Retraite de Rennes (Dames Bude).


    204 *Ms 12° 217

    2 - Copie des Statuts et réglements de la Société des Filles de la Saincte-Vierge pour leur conduite... conformément aux ordonnances des... évêques de Rennes.

    5 - Budes (Jeanne), 17e s.

    7 - Du Livre de la Retraite de Rennes, vers 1678

    8 - 17/24 cm (oblong) - 55 f.

    9 - Les Statuts comportent 70 avis ; approbation de l’évêque de Rennes, le 21 juillet 1678 - Suivi de : « Ecrit des intentions de Madame Budes, fondatrice au sujet de l’office de la Sainte Vierge et de la médaille d’argent » (f.45-49) - Extrait de l’ordonnance de l’évêque de Rennes, 9 mai 1754 (f.49-51) - Protestation que font les personnes qui s’associent... (f. 51-55).

    11 - Reproduction photographique du ms. - Cf. DHGE X, 1043-44 ; XVII, 108-09.

    12 - Retraites - Retraite de Rennes - Règles - Filles de la Sainte-Vierge.


    582 *Ms 8° 207/1-4

    3 - Livre à l’usage des Retraites chez les Dames Budes.[7]

    6 - Huby (Vincent), sj, 1608-1693

    7 - copie de 1893

    8 - 21,5 cm - 4 cahiers

    9 - Copie d’un document détenu par les Filles de la Vierge (Rennes). - T.1 , p. 63-90 : « Représentation des tableaux... » - T.2 : Méditations pour les fêtes liturgiques - T.3 : « Sujets de méditations pour servir le matin et le soir dans les huit jours de retraite » - T.4 : Lectures (souvent tirées des entretiens du P. Huby).

    12 - Dames de la Retraite (Rennes) - Maisons de retraites - Retraites.


    583 *Ms 8° 208

    3 - « Méditations du R.P. Huby..., fondateur des Retraites »

    5 - Huby (Vincent), sj, 1608-1693

    8 - 22,5 cm - non paginé

    9 - En tête (1 cahier séparé) : « Règles qu’il faut observer pendant les retraites » (12 p.) - « Méditations... » - en queue (1 cahier séparé) : Adieux aux retraitants . - Le tout semble inédit.

    10 - Copie des « Règles et Exercices à l’usage des Dames de la Société de Marie », ms chez les Religieuses de la Retraite d’Angers.

    12 - Jésuites - Retraites - Dames de la Retraite (Angers).


    1059 *Ms 4° 2

    3 - « L’Employ ou les Devoirs du R.P. Supérieur et Premier Directeur de la retraite des hommes fondée dans la ville de Vannes par Mr Louis Eudo de Kerlivio et dirigée par le R.P. Vincent Huby » sj

    5 - [Corbet (Jean-François), sj, 1655-1730]

    7 - Copie fin 19e s.

    8 - 26 cm - 198 p.

    11 - Cf. Ms 4° 3-5 - Cf. DS VII, 847-848

    12 - Jésuites - Retraites - Huby (Vincent), sj, 1608-1693 - Kerlivio (Louis Eudo de), prêtre, 1621-1685 - Retraite de Vannes.


    1099 *Ms 4° 40

    3 - Retraites : Angers, Quimper. Pièces diverses (titre factice)

    4 - « La maison de retraite de Lesneven. 1827 »

    8 - 30 cm - non paginé - dactyl.

    9 - Copie d’art. tirés des « Annales de la Retraite de Quimper ». - Détails sur Claude-Thérèse de Kermeno, fondatrice de la maison de Quimper (2 p.) - Une retraite fermée... à Lesneven, 1895 ou 1896 (12 p.) - etc.

    12 - Retraites - Maisons de retraites - Quimper - Lesneven.


    1329 *Ms Fol. 17

    3 - Instituts et Maisons de retraites en Bretagne (titre factice)

    4 - « Précis historique des différents Instituts de Retraite... »

    7 - Copies du début 20e s.

    8 - 35 cm - non paginé.

    9 - a) Précis historique... (1899, par les religieuses de la retraite de Quimper, 6 p.) - b) « Le R.P. Extasse (Jean, sj, 1674-1749) et la Retraite de Quimper de 1709 à 1717 » (extrait des « Annales de la Retraite de Quimper, t.1, ch.4 ; 20 p.) - c) Règlement de 1820 (pour Quimper), précédé des statuts des Dames de la Retraite de Quimperlé (tirés des archives de l’évêché de Quimper) - d) Statistique des retraites données à Angers, 1826-1906..., à Redon, 1846-1905. - e) Copie de quelques textes des archives de la Retraite d’Angers. - f) sur les Retraites d’Angers et de Quimper.

    11 - Voir Debuchy, C.B.E., n°31, 1911 ; P. Delattre, Les Etablissements des Jésuites en France IV, 252 (sur Extasse).

    12 - Jésuites - Retraites - Maisons de retraites - Dames de la Retraite.


    1353 *Ms Fol. 41

    2 - L’employ ou les devoirs du R.P. Supérieur et premier Directeur de la Retraite des hommes fondée dans la ville de Vannes par... Louis Eudo de Kerlivio et dirigée par le R.P. Vincent Huby...

    7 - 18e s. probablement

    8 - 31,5 cm - non paginé

    9 - a) Instruction commune au Supérieur et aux trois autres directeurs... (16 avis) - b) L’emploi particulier du Supérieur pour chaque jour (p. 6-52) - c) Particularités dans les retraites de Noël, Pâque et Pentecôte (p. 53-58) - d) « L’employ ou les devoirs du second père directeur (surtout pour le commentaire des « tableaux » et les chapelets) ; inachevé. On y trouve des notes concernant ce que faisait le P. V. Huby.

    11 - Voir les Mss 4° 2-3-4-5 et Fol. 3-4 12 - Jésuites - Retraites - Maisons de retraites

    à Lyon modifier

    1357 Ms Fol. 45

    3 - Remarques sur le dossier de séparation de Lannion (notes et documents des Archives de l’évêché de Quimper)

    6 - Notes prises par Debuchy (Paul), sj, + 1923

    8 - 31 cm - 14 feuilles de 4 p.

    9 - 123 pièces ou extraits de pièces, de 1830 à 1855, concernant la séparation de la Retraite de Lannion d’avec celles de Quimperlé-Lesneven et Nantes.

    12 - Dames de la Retraite (Lannion) - Maisons de retraites.


    Cf.

    Retraite de Rennes · 88, 204 FAIT!

    Retraite de Vannes · 1059, 1315, 1316, 1353

    Maisons de retraites · 133, 427, 476, 512, 513, 514, 565, 582, 604, 621, 628, 632, 633, 634, 665, 791, 1064, 1065, 1073, 1080, 1082, 1099, 1103, 1315, 1316, 1329, 1340, 1343, 1353, 1357

    Filles de la Sainte-Vierge · 204, 621

    Filles de Marie (Congr.) · 695

    Huby (Vincent), sj, 1608-1693 · 582, 583, 1059, 1353

    Jean Eudes (saint), + 1680 · 437

    Kerlivio (Louis Eudo de), prêtre, 1621-1685 · 1059, 1315

    La Piletière (Jean-Joseph de), sj, 1655-1739 · 1315

    Le Nobletz (Michel), prêtre, 1577-1652 · 158

    Le Valois (Louis), sj, 1639-1700 · 144, 581, 706, 709

    Clorivière (Pierre-Joseph Picot de), sj, 1735-1820 · 189, 622, 1006, 1177, 1418

    Bribes sur Wikisource modifier

    Au Pays de Rennes, Adolphe Orain, Rennes, Hyacinthe Caillière, 1892, section LE COLOMBIER. : Au Pays de Rennes (Wikisource) d'Adolphe Orain, Section “CANTON SUD-EST DE RENNES” :

    Au sud de la rue Saint-Hélier se trouve la communauté des filles de la Sainte Vierge, ordre religieux fondé à la fin du XVIIe siècle par Anne-Marie Budes. Pendant la Révolution cette communauté fut transformée en filature. On y annexa plus tard un dépôt de mendicité dans lequel on retenait les prostituées que la police y envoyait. Ce ne fut qu’en 1825 que quelques-unes des religieuses expulsées le 17 Novembre 1792 rachetèrent leur ancienne maison qui reprit alors sa destination primitive.


    Etienne M/Brouillon (Wikisource) :

    Elles se réfugièrent d’abord au monastère de la Retraite, dite Maison des Dames Budes, dont l’existence était encore tolérée provisoirement ; de là, l’abbesse adressa aux administrateurs du district des requêtes qui ne furent pas écoutées ;


    Etienne M/Brouillon (Wikisource) :

    Lesdites dames ont répondu par l’organe de Madame de Girac, que puisqu’elles étoient obligées de céder à la force que l’on paroissoit vouloir employer contre elles, elles demandoient à aller chez les Dames Budes.


    Bibliographie modifier

    https://abpo.revues.org/595?lang=en#bodyftn53 :

    Il ne faudrait pas oublier non plus une autre communauté importante dans la vie spirituelle rennaise, celle des Filles du séminaire de la Sainte-Vierge, plus connue sous l’appellation de Dames Budes, d’après le nom de leur fondatrice53. Leur vocation était d’organiser avec les jésuites des retraites pour les « personnes du sexe ». Leur registre, pour la seconde moitié du XVIIIe siècle, indique des noms de familles qui soit sont au Parlement (tel celui de Jeanne Louise de Talhouët de Boishorcand, professe en 1767, de Renée Joseph de Bégasson, ou encore d’Elisabeth du Bouëxic de la Driennais) soit y ont siégé par le passé (comme celui de trois professes Visdelou, issues des branches du Gage, de Champagné et de Villethéart).


    Patrimoine de la Retraite de Rennes :

    l'ancien couvent de la Retraite, fondé par les Dames Budes, construit à partir de 1758 : bâtiment avec toit à la Mansart, fronton triangulaire, hautes fenêtres en étage sur entresol et rez-de-chaussée. Entre 1792 et 1825, l'édifice fut transformé en filature puis en dépôt de mendicité et de prostituées. Entre 1855 et 1860, les bâtiments furent agrandis, et en 1865, une chapelle construite par le chanoine Brune. Une annexe vint encore l'agrandir à l'est autour de 1965. Cet ancien couvent abrite aujourd'hui une clinique de rééducation et une maison de retraite. Le Pôle Saint-Hélier : http://www.wiki-rennes.fr/Clinique_Notre-Dame_de_Lourdes le couvent des Dames Budes (Clinique de la Retraite).


    http://www.wiki-rennes.fr/Plan_de_1685 Plan de la ville de Rennes, conservé aux Archives municipales de Rennes (cote 1FI43).


    http://patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=dames+budes&type=


    Couvent de la Retraite, inventaire : gallica


    maison dite Gandonnière


    Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, Volume 7, J. Plihon, 1894, p.100 : https://books.google.fr/books?id=hyb2KBKy4w8C


    Histoire du diocèse de Vannes : volume 2, Joseph-Marie Le Mené, Vannes, Eugène Lafolye, 1889. Consulté dans les Collections numérisées - Université de Rennes 2, http://bibnum.univ-rennes2.fr/items/show/677.


    Le vieux Rennes : première partie, Paul Banéat, Rennes, Plihon et Hommay, 1904, consultable sur la bibliothèque numérique de l'Université Rennes 2.

    (Cf. numérisé : Index des toponymes du Banéat sur www.wiki-rennes.fr)


    Le vieux Rennes : deuxième partie, Paul Banéat, Rennes, Plihon et Hommay, 1909, 304 p., consultable sur la bibliothèque numérique de l'Université Rennes 2.


    Histoire de Rennes, Émile-René Du Crest de Villeneuve et Dominique Maillet, Rennes, Edouard Morault, 1845, consultable sur la bibliothèque numérique de l'Université Rennes 2.


    JÉGOU, K., op. cit, p. 94-101, donne des tableaux 99 Familles parlementaires à Rennes au ...


    Parcours de femmes à Rennes, Colette Cosnier, Dominique Irvoas-Dantec, Éd. Apogée, 2001.


    Fondation des Maisons de Retraite en France, 1827, Mame aîné, par les Dames de la Retraite d'Angers, 381p.

    = Titre complet = Fondation des Maisons de Retraite en France depuis leur premier établissement en 1663, jusqu'à leur approbation définitive par le gouvernement en 1827 et Lettres pieuses du R.P. Le Valois en 1682 à ce sujet, Mame Aîné imprimeur du Roi et du Clergé, Angers, 1827.


    La Congrégation de la Retraite du Sacré-Cœur société de Marie, Angers, François Charmot, Lyon, M. Lescuyer et Fils, 1957, 45 p.

    & Biblio de François Charmot


    HEDUIT J., Catherine de Francheville, sa vie son oeuvre (1620-1689). Son oeuvre : la retraite de Vannes.


    Jean QUENIART, Les hommes, l'Église et Dieu dans la France du XVIIIe siècle, Hachette, Paris, 1978. 358p.


    Guide des sources de l'histoire des congrégations féminines françaises de vie active, Charles Molette, Éditions de Paris, 1974, 477p., page 216. https://books.google.fr/books?id=JtU3AQAAIAAJ


    Mœurs et coutumes des familles bretonnes avant 1789, Édouard Frain, Plihon, 1883.


    L'Église de Bretagne ou histoire des sièges épiscopaux, séminaires et collégiales, abbayes et autres communautés de cette province, Pierre-Hyacinthe Morice, François Marie Tresvaux du Fraval, Méquignon junior, 1839, p.627-628 : https://books.google.fr/books?id=yr0AAAAAcAAJ


    • Édouard Pontal, Les congrégations religieuses en France : leurs œuvres et leurs services, Paris, Librairie Poussielgue Frères, 1880, 757 p.


    Pouillé historique : gallica


    “1. Organisation de retraites spirituelles” dans : Sœur Marie Péron, « Répercussions de la législation scolaire française (fin XIXe siècle - début XXe siècle) sur la vie d'une congrégation bretonne : «L'Immaculée Conception de Saint-Meen-le-Grand» » dans le Bulletin Association des archivistes de l'Église de France, no 56, automne 2001, p.13-24. [PDF] Consulter en ligne


    _____________

    Autres :

    L'aventure missionnaire lyonnaise, 1815-1962 ; de Pauline Jaricot à Jules Monchanin, Yannick Essertel avec la collaboration de Marcel Launay, éditions du Cerf, 2001. A lire sur Google Book :

    Au début du XIXe siècle, le renouveau missionnaire du diocèse de Lyon doit beaucoup à l'oeuvre de la Propagation de la foi fondée par Pauline Jaricot en 1822. Les Annales publiées par cette oeuvre ont entretenu un climat de ferveur qui a favorise l'éclosion de centaines de vocations missionnaires. Ce fut la pépinière des congrégations nées dans le diocèse : Pères maristes, Frères maristes des écoles, Frères du Sacré-Cœur, Société des missions africaines, Sœurs de Jésus-Marie, Sœurs missionnaires de Notre-Dame des Apôtres, etc. L'ouvrage de Yannick Essertel s'inscrit dans le renouveau des études concernant l'expansion du christianisme. Outre la précocité du mouvement missionnaire lyonnais, il révèle l'existence de multiples réseaux familiaux qui facilitèrent les vocations religieuses, en synergie avec les paroisses, les écoles congréganistes, les séminaires. En un siècle et demi, deux mille prêtres, frères et religieuses essaimèrent sur tous les continents. Leur apostolat multiforme illustre un certain mode d'insertion du message évangélique dans les cultures les plus diverses.

    "Quel beau livre il y aurait à écrire sur le rôle du diocèse de Lyon dans l'histoire missionnaire." Ainsi s'exprimait Georges Goyau en 1935. Le célèbre historien de la mission soulignait l'intérêt de l'approche régionale. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00842089

    Fin de p. : http://museedudiocesedelyon.com/MUSEEduDIOCESEdeLYONopm1822-1827.htm


    Marie de Jésus Deluil-Martiny

    Autres articles modifier

    Jeanne Budes de Guébriant modifier

    née Brandin de Belhair.


    {{Portail|histoire de Bretagne|Bretagne|XVIIe siècle|France du Grand Siècle|catholicisme}} {{DEFAULTSORT:Budes de Guébriant, Jeanne}} [[Catégorie:Personnalité féminine du XVIIe siècle]] [[Catégorie:Religieuse catholique]]

    Catherine de Francheville modifier

    Catherine de Francheville, religieuse mystique qui vécut à Vannes et joua un rôle important dans les Maisons de la Retraite. http://abpo.revues.org/595#bodyftn95


    L'Arvor, 29/10/1899 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta52562439011e5/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:2017795815?center=1520.500185240572,-3220.2088965850644


    L'Arvor, 08/11/1899 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta525624392fac3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1855044970?center=1506.4712312091447,-3348.0991130019097


    L'Action catholique du Morbihan, 07/1932 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2cea18915/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1207859094?center=879.4933391762085,-1221.0052129320495


    L'Action catholique du Morbihan, 09/1932 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2cea260ae/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1429151214?center=1936.0681712329165,-1164.6203653411112


    L'Action catholique du Morbihan, 10/1932 :

    http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2cea32ac6/daogrp/0/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213/ctx:1#id:371493530?center=1632,-2312



    Famille de Catherine de Francheville :

    LANGLAIS (Gaëtan de), Les Francheville depuis leur arrivée en Bretagne de 1442 à nos jours, s. l., Imp. Identic, 1997, 2 vol.

    Le château de Truscat, maison natale de Catherine de Francheville. Sa famille. http://recherche.archives.morbihan.fr/archive/fonds/FRAD056_IB_398-587-611-700-758-764-774/view:169158


    http://recherche.archives.morbihan.fr/data/files/ad56.portail/images/FRAD056_00000093J/FRAD056_00000093J.pdf :

    p. 10 : SILVESTRE DE FRANCHEVILLE décédé en 1609, épouse en 1579 Suzanne de KERMÉNO. Leurs quatre enfants :

    GILETTE Née en 1583, décédée en 1662, épouse en 1617 Olivier Du LEN

    RACHEL

    DANIEL Né en 1584

    ANNE Née en 1587 épouse en 1609 Jean-Henri BOISSEAUX, sieur de Mache

    p. 11 :

    DANIEL DE FRANCHEVILLE épouse Julienne CILLART le 21 juin 1610. Leurs six enfants :

    HENRI Né en 1613

    JEAN Né en 1615

    CLAUDE Né en ?, décédé en 1682

    GILETTE Née en 1617

    THOMAS Né en 1618, épouse en 1654, Jacquette LE GOUVELLO

    CATHERINE Née en 1620, décédée en 1689.



    Le cœur de Mme de Francheville : gallica et suivant.


    Vincent Huby modifier

    Notice sur le p. Huby : La Concorde du Morbihan, 26/11/1848 : fin p. : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta525624f94318a/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:2099821292?center=3031.4878402662366,-1328.393510322941

    et : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta525624f94318a/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:2098897771?center=1335.2215617965066,-1205.793399578662


    histoire Huby - retraites : L'Arvor, 03/02/1901 : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta5256244320032/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:339211727?center=-159.98295288064168,-2194.927236186408


    Adélaïde de Cicé modifier

    http://filles-du-coeur-de-marie.cef.fr/une-vie-religieuse-originale/notre-identite/


    rcf :

    À 1:35 La société des Filles du cœur de Marie est présente dans 37 pays et également bien implantée en Bourgogne Franche Comté - 3:40: œuvres. - 12:00 : promotion de la femme.

    A adapter :

    {{DEFAULTSORT:La Girouardiere, Anne de}} [[Catégorie:Histoire du christianisme en France]] [[Catégorie:Fondateur d'ordre]] [[Catégorie:Religion pendant la Révolution française]] [[Catégorie:Religieuse catholique française]] [[Catégorie:Personnalité religieuse bretonne]] [[Catégorie:Personnalité bretonne du XVIIe siècle]] [[Catégorie:Personnalité de l'Anjou]] [[Catégorie:Naissance en août 1740]] [[Catégorie:Décès en décembre 1827]]


    Livre de Lobineau modifier

    Les vies des saints de Bretagne et des personnes d'une éminente piété qui ont vécu dans la même province ; avec une addition à l'histoire de Bretagne, Dom Guy Alexis Lobineau, Compagnie des Imprimeurs-Libraires, 1725, 576 pages :

    p.498 : [5]

    p.499 : Les Dames Budes, [dame] du Bois-Février, & [dame] du Bois-Rouvrai, furent de ce nombre. Madame Budes, cette vertueuse veuve, qui a laissé dans le Séminaire des filles de la sainte Vierge qu'elle a fondé à Rennes, un si beau monument de piété, regardait Madame du Houx comme sa mère, & faisait gloire d'être sous sa direction.

    p.500 : Abbaye de la Joie près de Hennebond, l'abesse Madame le Coigneux, décembre 1659. Assistée des conseils du père Huby jésuite qui se trouva au même lieu.

    p.502 : Mais Dieu la retira encore de cette solitude, après que Monsieur l'abbé de Kerlivio, & le p. Huby, eurent établi à Vannes une maison de retraite pour les hommes (la première qu'on ait vue en France) Madmoiselle de Francheville en avait établi une autre pour les femmes ; & comme on avait besoin d'une personne sage, prudente, zélée, qui eût l'esprit de Dieu, & le don de la parole, pour commencer cet ouvrage, on jetta les yeux sur Madame du Houx. Monsieur l'abbé de Kerlivio, le p. Huby, & la Demoiselle de Francheville lui écrivirent sur ce sujet des lettres fort pressantes, lui en firent parler par son Directeur & par des personnes de piété à qui elle ne pouvait rien refuser, & obtinrent enfin cette grâce des Supérieurs majeurs, qui lui ordonnèrent d'accepter cet emploi. Quoiqu'infime & languissante, elle obéit, & se rendit à Vannes, où elle fut la première à prendre soin de cette maison qui a fait tant de biens, & qui en fait encore

    p.503 : de si grands dans toute la Bretagne. Cf. la suite du texte.

    p.504 2ème colonne : mort de Jeanne-Marie Pinczon Dame du Houx, religieuse de la Visitation, surnommée l’Épouse de la Croix. Morte à 61 ans le 26 septembre 1677 à 15 heure.

    Congrégation des Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut modifier

    Historique modifier

    La Congrégation considère comme date de fondation le 25 avril 1816, jour où Angélique Le Sourd et ses 3 compagnes décident de vivre ensemble pour être plus à même de faire le bien, mettant en commun leurs maigres ressources et leurs aptitudes. Ce sont les événements, l'appui des Recteurs de l'époque qui font de cette simple initiative le point de départ de la Congrégation. Elles se dédient au soin des malades, à l'éducation des enfants. Le 29 septembre 1828 elles sont 6 à s'engager par vœux, et élisent Angélique Le Sourd comme supérieure. Au long des années, la Congrégation des Sœurs de Saint-Jacut se développe lentement. Les Sœurs restent fidèles au charisme premier et travaillent à la promotion de la personne par l'éducation, le soin des malades et d'autres activités pastorales et sociales tant en France qu'à l'étranger. En 1909, le nom trop local est substitué par une nouvelle dénomination :

    Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus.

    Deux Congrégations viennent fusionner avec elle :

    En 1970, les Sœurs de Sainte-Marie de Gacé, de l'Orne.

    En 1990 les Sœurs de la Fraternité Notre-Dame de Rennes.

    Aujourd'hui, la Congrégation compte 471 sœurs sur les 5 continents dans 9 pays.

    Les fonds modifier

    Fonds Principal modifier

    Petites Annales des Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut (1923-1940).

    L'Écho du Sacré-Cœur (1950-1959).

    Angélica

    (voir détails sur pdf)

    Autres fonds modifier

    Fonds des Sœurs de Sainte-Marie de Gacé : fonds Clos. CGA.

    L'ensemble des Archives figure de façon descriptive dans un tableau, boîte par boîte. 7 ml (1857-1970).

    Fonds des Sœurs de la Fraternité Notre-Dame de Rennes : fonds Clos. CFDN.

    Une partie des archives a été remise à la ville de Rennes. La partie déposée à la Maison Mère de Saint-Jacut n'a pas d’inventaire, sauf une description sommaire sur chaque boîte. (7,50 ml, 1676-1990).

    Source : [PDF] http://www.aaef.fr/annuaireDesArchives/admin/aaef/Front/exportPdf/232


    Site de la Congrégation : [www.soeursdusacrecoeurdejesus.com www.soeursdusacrecoeurdejesus.com]


    Pierre-René Rogue modifier

    Bio de Rogue :

    Études, Éd. V. Retaux, Paris, avril 1908, p.[ http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113691k/f115.item.r=%22Alain%20Robin%22.zoom 114-115].

    Semaine religieuse du diocèse de Vannes (La) 06/11/1873, p.14 sq : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d3383870b0/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:159683391?center=1240,-1754


    Ossements : Courrier morbihannais (Le), 21/08/1898, p.3. http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta5256274c2a08c/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1907419057?center=712.6408446862583,-1794.5697371960623


    M. Rogue : 4ème colonne de : Courrier morbihannais (Le), 27/02/1910 : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d267310c2a/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:414501877?center=2647.8733817838443,-517.6413238424798

    même chose je crois : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2429cdb1f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:512976277?center=1058.9731270264706,-1220.937467076847


    M. Rogue : Le Nouvelliste de Vannes, 14/03/1937, p.5 --> cf la photo Rogue.jpg en PJ. Source : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta523d2cb97550a/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_db2edee07cfea1ecca4782b13c52c213#id:1461526395?center=2124.037209252575,-2497.453030368749


    Mort à Vannes : http://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/2016/03/3-mars-1796-3-mars-2016-hommage-a-pierre-rene-rogue-martyr-et-confesseur-de-la-foi.html https://books.google.fr/books?id=iD8NzeuQrIsC&pg=PA72&lpg=PA72&dq=abb%C3%A9+Robin,+vicaire+%C3%A0+Inzinzac&source=bl&ots=BxlfxMaewM&sig=tSj3etubRr_IF4LDHoO4-7Y3hDU&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwitmt6Mnt3OAhXSyRoKHfSIB94Q6AEINzAD#v=onepage&q=abb%C3%A9%20Robin%2C%20vicaire%20%C3%A0%20Inzinzac&f=false


    Les Prêtres du Morbihan, victimes de la Révolution, 1792-1802, J. Le Falher, éd. Lafolye frères et Cie, Vannes, 1921 : p.152 sq : Biographie de Pierre-René Rogue.


    Cf livre : Les Catholiques et la Révolution Française - Autour de Pierre-René Rogue, prêtre réfractaire vannetais 1758-1796, Collectif, Archives Municipales de Vannes 1996. = Le plus complet sur ce sujet, avec des communications de Bertrand Frélaut, Roger Dupuy, Michel Lagrée…


    Dans la cathédrale Saint-Pierre, à proximité immédiate de l’entrée Sud, une chapelle est tout entière consacrée à la mémoire du « Bienheureux » Pierre-René Rogue, prêtre réfractaire, bénéficiant d’une grande réputation auprès de la population vannetaise, depuis la Révolution. Arrêté le 24 décembre 1795, il est guillotiné sur la place du marché le 3 mars 1796.


    L’ARRESTATION (24 décembre 1795) ET L’EXÉCUTION DE PIERRE-RENÉ ROGUE (3 mars 1796).

    Fils du chapelier Claude Rogue (1727-1761), Pierre-René naît à Vannes, rue de la Monnaie, le 11 juin 1758. Il fait ses études au collège Saint-Yves, de 1768 à 1775. Entré au Grand Séminaire en 1776, il est ordonné prêtre le 21 septembre 1782. Chapelain de la maison de la Retraite des Femmes durant quatre ans, il entre ensuite dans la Congrégation des Lazaristes et, après avoir effectué son noviciat à Paris, il est nommé professeur de théologie au Grand Séminaire. Pierre-René Rogue refuse de prêter le serment à la Constitution Civile du clergé, exigé depuis novembre 1790. Il devient donc un prêtre « réfractaire » et, en janvier 1792, comme ses confrères, il est chassé du Séminaire. Le 8 septembre 1792, une loi institue la déportation pour les prêtres réfractaires. Certains acceptent de partir, d’autres de vivre « hors la loi », pour poursuivre leur ministère. C’est le choix que fait Pierre-René Rogue. De septembre 1792 à mai 1795, ce prêtre d’exception accomplit sa tâche, exerçant sans faillir son « saint ministère », en changeant fréquemment de cachettes. Il sait parfaitement à quoi il s’expose, quatre prêtres réfractaires étant guillotinés à Vannes en 1794. Quand les persécutions reprennent, à l’automne 1795, il ne change point d’attitude. Le 24 décembre, il est arrêté dans des circonstances ainsi relatées par J. Le Falher, dans son ouvrage « Les prêtres du Morbihan victimes de la Révolution » : «…C’était le 24 décembre 1795 entre 9 et 10 h du soir ; M. Rogue allait porter le saint viatique à un mourant, rue de l’Hôtel-de-Ville, quand sur le point d’entrer chez son malade, il s’aperçut qu’il était suivi. Craignant de compromettre la famille, il continua sa route ; mais, à quelques pas de là, deux hommes l’arrêtèrent et le poussèrent au Département qui était tout voisin… Les administrateurs restés seuls avec le prisonnier lui conseillaient de s’enfuir. « Non, leur dit-il, je vous compromettrais ». Et il resta, leur demandant seulement la permission de consommer les saintes espèces qu’il portait sur lui… Incarcéré à la Porte-Prison durant deux mois, il refuse de s’évader à plusieurs reprises, redonnant du courage à ses compagnons d’infortune et y trouvant même la force morale d’y composer un cantique. Le 2 mars 1796, il comparait devant le tribunal criminel et est condamné à mort par ce même tribunal le lendemain, 3 mars. A quinze heures, sur la place du Marché, il est guillotiné, en même temps qu’Alain Robin, vicaire d’Inzinzac. Plusieurs témoignages affirment que de nombreuses personnes vinrent tremper dans son sang des linges qu’elles distribuèrent ensuite comme des reliques. Inhumé au cimetière de Boismoreau, sa tombe devient très tôt l’objet d’une intense dévotion, d’un véritable culte populaire. Les exécutions de prêtres réfractaires, et en particulier celle de Pierre-René Rogue, considéré comme un martyr pour de nombreux Vannetais, aggravent l’hostilité des populations contre les Bleus, comme le souligne lui-même le général Hoche, dans une lettre adressée au Directoire, le 17 avril 1796 : «…Faites punir les rebelles aux lois ; mais, je vous en conjure, ne vous mêlez pas de ce qui a rapport au culte, si vous ne voulez pas rendre la guerre interminable… On guillotine des prêtres à Vannes tous les jours ! Tous les jours aussi, de vieilles femmes et de jeunes paysans viennent tremper leurs mouchoirs dans le sang de ces malheureux, qui sont transformés en martyrs de la religion ; bientôt ces monuments d’horreur servent de drapeaux aux fanatiques habitants des campagnes, qui se font égorger afin d’aller plus vite en paradis… ». Pendant plus d’un siècle, les « pèlerinages » se succèdent sur la tombe de P-R Rogue. La piété populaire est si grande qu’un procès de béatification est entrepris en 1908. Le 10 mai 1934, le pape Pie XI déclare solennellement Pierre-René Rogue « Bienheureux ».

    « 3 MARS 1796 : PIERRE-RENÉ ROGUE, PRÊTRE VANNETAIS RÉFRACTAIRE, EST GUILLOTINÉ SUR LA PLACE DU MARCHÉ », Patrick Huchet in Vannes Mag, n°92, février-mars 2015, p.24-25. [PDF] Lire en ligne


    Livre de Léon Brétaudeau modifier

    Un martyr de la Révolution à Vannes, Pierre-René Rogue Prêtre de la Mission de Saint-Vincent de Paul (1758-1796), Léon Brétaudeau, éd. Société Saint-Augustin, Desclée De Brouwer et Cie, Paris et Lille, 1908. [PDF] Lire en ligne :


    P.22 du pdf, p.1 dans livre :

    plan de Vannes en 1785 : [[File:Plan de Vannes en 1785.jpg|thumb|Description]] & [[File:Plan de Vannes en 1785 - détail du centre-vill.jpg|thumb|Description]]


    P.40 du pdf, p.16-17 dans livre :

    La retraite des femmes avant la Révolution : [[File:Retraite des femmes à Vannes.jpg|thumb|La retraite des femmes avant la Révolution.]]


    P.57 du pdf, p.32-33 dans livre :

    L'ancienne paroisse de Notre-Dame du Mené : [[File:Ancienne paroisse Notre-Dame du Méné.jpg|thumb|L'ancienne paroisse de Notre-Dame du Mené]]


    P.75 du pdf, p.48-49 dans livre :

    La vieille cité de Vannes : [[File:Vieille cité de Vannes.jpg|thumb|La vieille cité de Vannes.]]


    P.93 du pdf, p.64-65 dans livre :

    La séminaire de Vannes de 1680 à 1864 : [[File:Séminaire de Vannes de 1680 à 1864.jpg|thumb|Le grand Séminaire de Vannes dans le quartier du Méné de 1680 à 1864.]]


    P.112 du pdf, p.80-81 dans livre :

    Écriture de M. Rogue : [[File:Écriture de M. Rogue.jpg|thumb|Écriture de M. Rogue]]

    Telles sont, Messieurs, les observations que j'ai faites au premier aperçu, et que je vous communique de suite, comme vous me l'avez intimé.

    J'ai l'honneur d'être avec respect,

    Messieurs,

    Votre très humble et obéissant serviteur.

    Rogue, prêtre Miss.


    P.161 du pdf, p.128-129 dans livre :

    Les tours de l'ancienne prison de Vannes : [[File:Les tours de l'ancienne prison de Vannes.jpg|thumb|Les tours de l'ancienne prison de Vannes, d'après une estampe de la ''Bretagne pittoresque''.]]


    P.180 du pdf, p.144-145 dans livre :

    Le monument de M. Rogue au cimetière de vannes : [[File:Monument de M. Rogue - cimetière de Vannes.jpg|thumb|Le monument de M. Rogue au cimetière de vannes.]]

    « Ce monument, dont le chanoine Guesdon traça lui-même le dessin et surveilla soigneusement l'exécution, est un tombeau en granit, surmonté d'une croix en marbre blanc. (« Nous devons des remerciements, a écrit le chanoine Guesdon a la fin de sa biographie manuscrite de M. Rogue, à M. l'abbé Guillemette, recteur de Croixanvec, qui a bien voulu faire extraire de sa belle carrière de l'Ile-aux-Moines, et transporter, à ses frais et dépens, au quai de Vannes, les magnifiques blocs de granit, qui forment le piédestal de la croix du monument de M. Rogue. Honneur au bon prêtre, qui a su si bien glorifier la mémoire d'un confrère mort pour la foi ! [...] Nous ne saurions oublier, dans cette effusion de notre reconnaissance, le conseil municipal de Vannes, qui, à l'unanimité, a donné gratuitement et à perpétuité le terrain sur lequel est placé le tombeau de M. Rogue. Un tel ensemble de suffrages honore également ceux qui les donnent et celui qui en est l'objet. ») De chaque côté, sur des consoles, sont placées deux statuettes d'anges, portant les emblèmes de la Foi, de l'Espérance, de la Charité et de la Religion ; sur la face antérieure, a été gravée l'inscription suivante :

    ICI REPOSE

    LE CORPS DE

    MONSIEUR

    PIERRE-RENÉ

    ROGUE

    PRÊTRE DE LA MISSION

    PROFESSEUR AU G[RAN]D SÉMINAIRE

    NÉ A VANNES LE 11 JUIN 1758

    MORT LE 3 MARS 1796

    MARTYR DE LA FOI.

    Sur la face opposée, on lit des passages tirés de l'Ecclésiaste et des Machabées, qui sont le résumé de de la vie du saint prêtre martyr :

    DÈS SA JEUNESSE

    IL TOURNA SON CŒUR

    VERS LE SEIGNEUR.

    DANS UN TEMPS

    DE PÉCHÉS

    IL AFFERMIT

    SES FRÈRES

    DANS LA PIÉTÉ.

    IL REFUSA

    DE VIOLER

    LA SAINTE LOI

    DE DIEU,

    ET IL FUT

    IMMOLÉ.

    Ce monument fut restauré, vers 1902, par les soins d'une pieuse personne de Vannes, devenue la servante des pauvres malades dans la famille de Saint Vincent de Paul, et qui, tout enfant, conduite par sa mère, avait la dévotion d'aller prier sur la tombe du martyr.

    La mère de M. Rogue, en mourant, avait demandé à être enterrée à côté de son fils. Ses dernières volontés furent fidèlement exécutées. Après avoir été unis pendant la vie, la mort même n'a pu les séparer. (« II nous souvient encore, écrit le chanoine Guesdon, qu'aux jours de notre enfance, nous avons vu la croix de la mère à la droite de celle du fils. »)

    Une potence, placée à côté du tombeau, reçoit les ex-voto, que les fidèles, dans leur piété et leur confiance au pouvoir de M. Rogue auprès de Dieu, viennent continuellement y suspendre. On cite un grand nombre de guérisons obtenues par son intercession. Ainsi, après avoir été secourable aux malheureux, lorsqu'il était sur la terre, ce martyr de la foi les protège encore du haut des cieux, en se faisant leur interprète devant Dieu : tant il est vrai que la mort des saints est précieuse devant le Seigneur et que leur mémoire est éternelle ! »



    P.XIV :

    Après la béatification des Carmélites de Compiègne, en 1906, Mgr l'évêque de Vannes jugea que la cause de M. Rogue méritait d'être proposée à l'examen de l'Église.


    P.XIV :

    Une biographie de M. Rogue fut écrite vers 1836 par le chanoine Guesdon, de Vannes, qui avait connu les survivants de la Révolution. Son manuscrit fut imprimé presque en entier dans un recueil de circulaires des Supérieurs généraux de la Congrégation de la Mission. Il remplit huit pages in-4e (pp. 613-621) à la fin du du tome II (Paris, 1879).


    P.1-2 :

    Pierre-René Rogue, naquit à Vannes, sur la paroisse Saint-Pierre, le 11 juin 1758 ; il fut baptisé le même jour dans la chapelle Saint-Jean, attenante à la cathédrale.


    P.1-2 :

    La ville de Vannes, à l'époque de la naissance de M. Rogue, avait un aspect général, qui était à peu près celui d'aujourd'hui ; on peut s'en rendre compte en lisant la description, que donne Piganiol de la Force dans le Nouveau voyage de France, publié en 1755 (page 120) : «  Vannes,... ville épiscopale,... est à vingt-six lieues de Nantes, et à deux de la mer, qui y a son flux et reflux par un canal dit le Morbihan, qui est une baye assez grande. La ville est petite et resserrée entre le grand fauxbourg du Marché et celui de St-Patern. Le premier est plus grand que la ville même, de laquelle il est séparé par les murailles et par un large fossé. On voit dans ce fauxbourg plusieurs églises et couvens. Le collège des Jésuites est fort beau, et l'église sous l'invocation de St Joseph. Il y a aussi un assez beau mail dans ce fauxbourg. Le grand hôpital et le couvent des Dominicains sont dans le fauxbourg de St-Patern, qui est séparé de la ville par la rivière qui coule dans les fossés, jusqu'à ce qu'étant proche du château de l'Hermine, elle y entre. Ce château... est presque abandonné ; cependant son donjon et quelques grosses tours qui restent, font connoître qu'il étoit assez fort. Le couvent des Ursulines est magnifique. Au reste la ville de Vannes n'est composée que de petites rues étroites, à la réserve de celle qui va de la porte de la mer à la Maison de ville, et de celle qui conduit à l'église cathédrale. Il y a quatre paroisses, et plusieurs couvens. Cette ville fut érigée en Comté par ses anciens souverains, et réunie à leur domaine par Alain le Grand. Aujourd'hui, l'évêque est en partie Seigneur de Vannes. »


    P.8,9,11,12 :

    LE GRAND SÉMINAIRE DE VANNES : Cette maison bénie de formation sacerdotale était située dans l'ancien domaine du Coessial, au faubourg du Mené, en face de l'évêché ou manoir de la Motte. Le corps principal de logis, comprenant an bâtiment à trois étages, flanqué de deux pavillons légèrement saillants, avait été bâti de 1667 a 1679, par les soins du promoteur de l'œuvre, le saint vicaire général de Vannes, M. Louis Eudo de Kerlivio. Les supérieurs du séminaire de Vannes avant la Révolution furent MM. Jean Frey en 1702, Marc-Antoine Desverneis en 1703, Pierre Rhodes (qui était supérieur en 1713), Patrice Journeaux en 1740 (qui mourut à Vannes le 23 nov. 1761), Louis Le Bail en 1748, Louis Le Pourvandier en 1762, le même Louis Le Bail en 1770 (qui mourut à Vannes le 20 août 1780), Jean-Joseph Collot en 1780, et Jean-Mathurin Le Gal de novembre 1781 à janvier 1792 et de 1802 au 5 septembre 1831.

    Ce règlement, calqué sans doute, suivant l'usage adopté par les séminaires de la Mission, sur celui des Bons-Enfants à Paris, qu'avait tracé saint Vincent de Paul, commençait ainsi : « Ce Séminaire a été institué pour honorer le Sacerdoce de Notre-Seigneur Jésus-Christ, et pour former Messieurs les Ecclésiastiques à la vertu, à la science, et aux fonctions de leur état. On y enseigne pour cet effet la Théologie, l'Ecriture sainte, la manière d'administrer les Sacremens, le plain-chant, les cérémonies de l'Eglise, la méthode de faire le Catéchisme, de prêcher, de confesser, et les moyens de le faire avec piété, et dans l'esprit de la Religion. On tâche surtout de leur faire apprendre par pratique la science des Saints, sçavoir les vertus chrétiennes et ecclésiastiques : c'est à quoy tendent les Méditations,les Conférences de piété, les Exhortations, les Retraites spirituelles, la lecture des Livres de dévotion, etc., et principalement le bon exemple qu'on se donne réciproquement. » L'idéal à réaliser était formulé par l'article suivant: « Dans le saint désir que chacun doit avoir de faire progrès dans la vie spirituelle, et de s'unir parfaitement à Dieu, par l'acquisition des vertus solides, tous auront soin, au moins une fois le mois, de voir leur Directeur hors la confession,... pour apprendre les moyens de s'acquitter de leurs devoirs envers Dieu, de bien faire leurs exercices spirituels, de converser saintement avec le prochain, faire avec perfection leurs actions ordinaires, résister aux tentations, et se corriger de leurs défauts. » Un culte particulier pour le très saint Sacrement de l'autel, surtout « en célébrant bien l'adorable sacrifice de la messe et en en faisant un saint usage, » la pratique de la pureté et des autres vertus « requises à un Ecclésiastique, principalement de l'humilité, de la mortification, de la modestie, du zèle du salut des âmes et de la solide dévotion, » surtout le soin « d'avoir une très pure intention de plaire à Dieu dans toutes leurs actions, » telles étaient les vertus et les dévotions recommandées spécialement aux clercs du séminaire. (Archives de la Mission, Règlement du Séminaire de la Congrégation de la Mission établie au collège des Bons-Enfants.)

    P.8-9 :

    Louis Eudo de Kerlivio, né à Hennebont en 1621, se forma à l'état ecclésiastique à l'école de saint Vincent de Paul, au séminaire des Bons-Enfants à Paris, où il célébra sa première messe en 1645. Il fut un des plus grands bienfaiteurs du diocèse de Vannes, principalement par l'établissement du séminaire pour les ordinands, et des maisons de retraite pour les hommes et pour les femmes, « Monsieur Vincent disoit que dès ces commencemens [aux Bons-Enfants] il avoit égalé les plus fervens religieux, qu'il ne méritoit pas de le conduire, que s'il vivoit longtems il arriveroit à un très haut degré de perfection. » (La vie des fondateurs des maisons de retraite, par le P. Champion, Nantes, 1698, p. 4). Il mourut à Vannes en odeur de sainteté le 21 mars 1685. Cf. Grandet, Les saints prêtres français du XVIIe siècle, ouvrage publié par M. Letourneau (1897), 1ère série, p. 147.


    P.10 :

    L'église du Mené, qui servait de chapelle pour le séminaire, menaçait ruine ; la reconstruction en fut commencée en 1720, et dura 19 ans. L'église nouvelle était perpendiculaire au bâtiment central du séminaire ; le chœur allongé, contenant l'autel principal, était réservé au clergé ; la partie des fidèles comprenait le transept avec l'autel de la Sainte Vierge à droite et celui de saint Vincent de Paul à gauche, ainsi que la nef et ses chapelles latérales ; un perron de plusieurs marches donnait accès à une petite place sur la rue du Mené. Le Séminaire de Vannes, par M. Le Mené, p. 227.

    Les Dames de la Retraite, en prenant possession du séminaire le 14 juin 1864, modifièrent la disposition intérieure de l'église du Mené. Le portail donnant accès à la rue du Mené fut muré, et le grand autel transporté an fond de la nef destinée primitivement aux fidèles ; le chœur et l'ancien sanctuaire devinrent le chœur des religieuses. « Cette église, dit un mémoire [de la communauté de la Retraite], possédait la magnifique boiserie de l'ancienne abbaye de Prières, mais rien de remarquable par ailleurs. En moins de deux ans [c'est-à-dire de 1864 à 1866], elle fut merveilleusement ornée de belles et pieuses peintures dues au pinceau d'une des Sœurs (la Mère Boullé). La maison fut transformée en un couvent agréable et parfaitement distribué pour les œuvres, qui ne tardèrent pas à prospérer en ce lieu béni. » (Catherine de Francheville, p. 310.)


    p.55 : Ils confessèrent leur foi en refusant le serment. Pour « l'établissement » appelé « Le Mené », Messieurs « Légal, curé » et « Rogue, vicaire », sont portés l'un et l'autre comme ayant « refusé » le serment. Pour « le séminaire », M. « Légal, supérieur», Messieurs « Le Rogue, Rouillon, Robin, professeurs » sont portés comme ayant également « refusé » le serment. (Arch. dép. du Morbihan, L. 861.)


    p.159-160 :

    PERSONNEL DES DIRECTEURS DU SÉMINAIRE DE VANNES EN 1790

    (Un « Etat des Supérieur, directeurs, etc., du séminaire », compris dans une déclaration des revenus et des charges de la maison, rédigée vers la fin de l'année 1790, mentionne le personnel dans l'ordre suivant :)

    Jean Mathurin Le Gal, supérieur du séminaire, âgé de 44 ans, depuis 9 ans supérieur de la maison.

    Pierre René Rogue, professeur de théologie depuis trois ans et demi, âgé de 30 ans.

    Joseph Rouillon, professeur de théologie depuis trois ans, âgé de 33 ans.

    Jean Baptiste Robin, professeur depuis un an, âgé d'environ 30 ans.

    Vincent Pierre Marie Minguet, coadjuteur pour la procure depuis un an, âgé de 21 ans. (Il était clerc la Mission, né à Redon le 5 mai 1769, reçu à Saint-Lazare le 8 novembre 1785, où il avait fait les voeux le 16 octobre 1787 ; le 24 novembre 1789, il était au séminaire de Vannes, où il assista, dans l'église du Mené, à la sépulture du frère coadjuteur Pierre Lefebvre, dont il signa l'acte sur le registre des décès du Mené : Minguet clerc de la Mission ; il fut envoyé missionnaire en Chine, puis à l’Île Bourbon, où il mourut le 2 mars 1841.)

    Joachin Boursin, frère de la cuisine depuis 4 ans, âgé de 42 ans.

    Joseph Crognard, frère de la dépense, depuis 3 ans, âgé de 40 ans.

    Source : Arch. dép. du Morbihan, L. 866.


    p.153 :

    ACTE DE NAISSANCE DE PIERRE-RENÉ ROGUE (Extrait du registre des baptêmes et des mariages de la paroisse Saint-Pierre de Vannes pour l'année 1758. Source : Archives communales de Vannes, État-civil ancien)

    Né et baptisé le 11 juin 1758.

    Fils de Claude Rogue, marchant chapelier, et de Françoise Loisaux.

    Baptisé le jour de sa naissance par G. Riaud, curé de la paroisse Saint Pierre de Vannes. Son parrain a été le sieur Pierre Aubin et sa marraine Renée Marie Charlotte le Bourdiec.


    Jean-Mathurin Le Gal modifier

    André Moisan, « Le destin singulier d'un prêtre vannetais, Jean-Mathurin Le Gal (1746-1831) », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, CXXLT, juillet 1996, pp. 151-190.


    Il est simultanément vicaire général, supérieur du séminaire, chanoine et directeur de congrégation. Prêtres de Bretagne au xixe siècle, Samuel Gicquel, Presses universitaires de Rennes, 25 févr. 2015, (ISBN 9782753506671).


    In 1823 Kernoel was bought by a priest, Jean-Mathurin Le Gal, and became a seminary, property of the church for the second time. Source:


    Lafolye modifier

    Catherine de Francheville : la Retraite de Vannes ; les Filles de la Sainte Vierge, Lafolye, Vannes, 1900 :


    paroisse de Notre-Dame du Mené : Menez, en breton, vent dire mont, montagne. La Sainte Vierge fut honorée en ce lien sous le vocable de Notre-Dame du Menez (ou du Mené) depuis le XIIe ou le XIIIe siècle.


    « Envoyez en lui, Seigneur, votre Saint-Esprit, afin que, toujours fort du bon témoignage de sa conscience, il persévère, fermement et inébranlablement uni à Jésus-Christ, et par votre grâce mérite les plus grandes faveurs. »


    P.17-21 : CHAPITRE III LA RETRAITE DES FEMMES A VANNES (1782-1786)

    Au sortir de l'ordination, Mgr Amelot nomma M. Rogue chapelain de la maison de la Retraite des femmes.

    Cette œuvre avait été fondée « pour procurer la conversion des âmes et leur avancement dans la vertu » par le moyen des « Exercices spirituels, où, séparé du tumulte et des affaires du monde, chacun peut faire des réflexions sérieuses sur son intérieur pour corriger le passé et régler l'advenir par de fortes et véritables résolutions. » (Acte de fondation de la Retraite, signé par la vénérable Catherine de Francheville, le 21 octobre 1675 in Catherine de Francheville, p. 421.)

    Elle n'était pas nouvelle dans l'Église ; car en tous les temps, surtout depuis saint Ignace de Loyola, les retraites spirituelles y furent en honneur. Mais, suivant la remarque du premier historien de saint Vincent de Paul (Abelly, La vie du vénérable serviteur de Dieu Vincent de Paul, Paris, 1664, p. 120), « quoyque cela ait produit de très grands fruits, il s'est trouvé néanmoins, que faute de lieux propres et autres aides et commoditez extérieures pour faire ces Exercices, il y avoit peu de personnes, particulièrement entre les laïques, qui en pussent profiter. Ce fut cette considération, continue Abelly, qui fit résoudre M. Vincent de tenir la porte de sa maison, et encore plus celle de son cœur, ouverte pour recevoir tous ceux qui auroient celte dévotion, et mesme de convier les personnes qui en auroient besoin, de venir passer quelques jours dans les exercices d'une sainte retraite... Depuis qu'il eut commencé cet office de charité au collège des Bons-Enfans, il l'a toujours continué en toutes les maisons de la Mission, et particulièrement en celle de [Saint-Lazare à] Paris... Cette pratique des retraites, qu'il appeloit un don du ciel » (Abelly, Ibid., p. 121.), il voulut qu'elle fût aussi adoptée par les Filles de la Charité pour les personnes de leur sexe. L'usage de ces pieux exercices passa de Saint-Lazare dans un bon nombre de diocèses en France et à l'étranger, où elles produisirent partout des biens inexprimables (Cf. Collet, La vie de St Vincent de Paul, Nancy, 1748, t. 1, pp. 215-220).

    La Providence réservait à M. de Kerlivio le soin de fonder à Vannes cette œuvre salutaire sur le modèle de celle qu'il avait vue à Paris, établie par son maître dans la vie cléricale, saint Vincent de Paul (« Ainsi le grand Vincent de Paul apparaît an berceau de toutes les œuvres chrétiennes de son temps, et l'on peut dire que s'il n'est pas le père de nos retraites bretonnes, il est du moins leur aïeul, étant le père d'un de leurs pères. » Catherine de Francheville, p. 16.)

    En 1664, le zélé vicaire général, d'accord avec son saint ami, le Père Vincent Huby, jésuite de la maison de Vannes, commença les retraites de huit jours pour les hommes dans le bâtiment qu'il venait de construire auprès du collège pour un séminaire ecclésiastique.

    « Comme grand vicaire, écrit un de ses contemporains (Grandet, Les saints prêtres français du XVIIe siècle, 1re série, p. 156.), il envoyait dans les paroisses les billets de retraites, les faisait publier et afficher dans les églises, et engageait les recteurs, les prédicateurs, les missionnaires et les prêtres à les recommander et à y venir eux-mêmes pour y attirer les peuples par leurs exemples. Il eut la consolation de les voir fréquenter par les ecclésiastiques, par la noblesse et par toutes sortes de personnes des neuf évêchés de Bretagne. » Témoin de la « réformation générale » qui s'opérait « dans la province par cette institution (ibid.) », une pieuse demoiselle d'une noble famille de Vannes, la vénérable Catherine de Francheville, entreprit, en 1674, de procurer les mêmes biens spirituels à « toutes les personnes de son sexe, capables des sacrements de Pénitence et d'Eucharistie, de quelque condition qu'elle fussent » (Acte de fondation de la Retraite in Catherine de Francheville, p. 422). Avec l'appui de M. de Kerlivio et du Père Huby, l'œuvre obtint un merveilleux succès dans toute la Bretagne. Après quinze années de vicissitudes diverses, la Retraite des femmes fut installée définitivement près de l'église Saint-Salomon, dans un bâtiment édifié par la vénérable fondatrice (Il était situé « au nord du tribunal actuel, » dit M. Le Mené dans Histoire du diocèse de Vannes, t. 2, p. 127, sur les terrains compris maintenant entre l'angle nord-ouest de la place du Palais de Justice et la rue de la Salle-d'Asile. « En 1870, l'ancienne maison de la Retraite fut entièrement démolie, et il ne reste plus aujourd'hui aucun vestige de l'établissement édifié par Mlle de Francheville pour le salut de tant d'âmes. » Catherine de Francheville, p. 229.)

    La première retraite y eut lieu le 5 mai 1679 ; depuis lors elles se suivirent régulièrement jusqu'à la Révolution. Leur durée était de huit jours entiers, du mardi soir au mercredi de la semaine suivante.

    Pour l'aider au service des retraitantes, Mlle de Francheville avait réuni autour d'elle plusieurs personnes de bonne volonté, qu'on appelait les Demoiselles de la Retraite. Elles formaient, sons le nom de Filles de la Sainte Vierge, une communauté séculière, soumise à la juridiction de l'évêque de Vannes ; elles avaient soin des retraitantes en dehors de la chapelle, et s'appliquaient particulièrement à donner des conférences spirituelles et à commenter les peintures ou images morales, qui étaient une représentation sensible de la doctrine chrétienne. (Ces images étaient « de deux sortes, explique le P. Champion, les unes pour les retraites des hommes, et les autres pour celles des femmes. On y représente d'une manière sensible les choses spirituelles, qui regardent les divers états de l'âme, en la vie, à la mort, après la mort, l'état du péché, l'état de la grâce, le passage de l'un à l'autre de ces deux états. C'est comme un abrégé de toute la morale chrétienne. L'expérience a montré que rien n'est plus propre pour instruire le peuple que ces tableaux ». (La vie des fondateurs de maisons de retraite... le Père Vincent Huby..., 1698, p. 212. — Cf. Catherine de Francheville, pp. 85-98.)

    Suivant un contrat passé avec le Père recteur du collège de Vannes, deux Jésuites étaient chargés de donner les instructions et d'entendre les confessions pendant les retraites. En 1762, après la suppression de la Compagnie de Jésus, les Demoiselles de la Retraite demandèrent à l’évêque de Vannes des aumôniers ou chapelains. Mgr Berlin écouta favorablement leur requête, et il adressa à ses diocésains une lettre pastorale annonçant « qu'il y aurait, comme par le passé, quinze retraites par an dans chacune des maisons, destinées à ces pieux exercices. »

    La place de chapelain de la Retraite appelait naturellement M. Rogue à prendre une part active aux exercices suivis par les personnes qui venaient s'y retremper dans la vertu. Son zèle se montra dans toute son étendue. Pour en juger, il faudrait l'avoir entendu enseigner aux riches l'emploi salutaire de leur superflu ; aux pauvres, l'acceptation méritoire de leurs privations ; aux faibles, les avantages de l'obéissance ; aux coupables, les dangers de l'endurcissement dans le vice ; aux justes, le prix de la persévérance dans le bien ; à tous, les moyens de mener une vie heureuse et d'en mériter une meilleure.

    Qui pourrait dire combien ajoutaient à ses discours l'onction de sa parole et surtout l'effusion de son cœur d'apôtre ! Que de larmes de pénitence il a fait couler ! Que de généreuses résolutions il a inspirées ! Que d'âmes égarées il a touchées et ramenées à Dieu, que de cœurs flétris il a rafraîchis et consolés ! Ainsi s'écoulèrent les premiers jours de sa vie sacerdotale ; son temps se partageait entre la prière, l'étude, le confessionnal, la prédication et les bonnes œuvres. Telles furent les prémices de son zèle et comme les heureux préludes d'une vie, qui allait se passer dans les saints exercices de la piété et de la charité et se terminer par le martyre.

    P.23-24 : séminaire de Saint-Lazare à Paris. Cette maison, située à une extrémité d'un immense enclos, avait son entrée rue du faubourg St-Denis (C'est actuellement (en 1907) le n° 107 de la rue du Faubourg St-Denis. Depuis la Révolution, Saint-Lazare est une prison poulies femmes. Le conseil général de la Seine, dans la séance du 21 décembre 1902, en a voté la démolition. L'enclos, entouré de murs, contenant quarante-six hectares et demi de terre labourées, de vergers, et de jardins, était borné par les rues de Paradis et du Faubourg-Poissonnière, le boulevard de la Chapelle et la rue du Faubourg St-Denis. Cet emplacement est maintenant occupé par les deux tiers environ de la paroisse Saint-Vincent de Paul, qui compte plus de 40.000 habitants : outre l'église, de vastes établissements, comme l'hôpital Lariboisière et l'embarcadère du chemin de fer du Nord, ont été édifiés sur le territoire de l'enclos.). Les vastes bâtiments, pouvant abriter de deux à trois cents personnes, reconstruits presque tous à la fin du XVIIe siècle, présentaient un aspect simple et austère, comme il convient à une communauté qui fait profession de pauvreté. La petite église gothique, ouverte aux fidèles, était à peu près le seul édifice qui restât de l'ancienne léproserie de Saint-Lazare. (Les petits bâtiments, séparés de la grande communauté, et où les séminaristes faisaient leur noviciat, étaient aussi des restes de l'ancien Saint-Lazare. Collet, écrivant en 1748 la Vie de St Vincent de Paul, a consigné ce curieux souvenir (tome I, p. 282) : « On montre encore à un bout du séminaire de St-Lazare une petite chambre où [M. de Quériolet, le célèbre compatriote de M.Bogue,] a fait sa retraite [en 1638]. »)

    Saint Vincent de Paul en avait pris possession le 8 janvier 1632, succédant aux huit religieux, chanoines de Saint-Victor, qui n'avaient plus de lépreux à hospitaliser. Il y avait installé sa petite congrégation des Prêtres de la Mission, établie au collège des Bons-Enfants près de la porte Saint-Victor (A l'angle de la rue des Écoles et du Cardinal-Lemoine. On voit encore l'aile, reconstruite en 1760, de ce séminaire, qui devait être appelé séminaire Saint-Vincent de Paul, au lieu de séminaire Saint-Firmin, nom sous lequel il fut connu à partir du XVIIIe siècle. Là furent martyrisés, le 3 septembre 1792, M. François, supérieur du séminaire, plusieurs de ses confrères de la Mission, et environ soixante-dix prêtres. Aujourd'hui c'est un dépôt du mobilier de l'État.) le 17 avril 1625, et qui travaillait au salut des gens de la campagne par les missions et à la sanctification du clergé. Cette dernière fonction, le saint fondateur l'avait entreprise en 1628, à la demande de l'évêque de Beauvais, en commençant les Exercices des ordinands,qui furent le germe des grands séminaires de France. (Les Exercices des ordinands duraient dix jours, pendant lesquels étaient faits des entretiens, le matin, sur les principaux chefs de la théologie morale et le symbole des apôtres, le soir, sur les vertus et fonctions des saints ordres. Ces entretiens avaient été mis par écrit ; ceux du soir ont été conservés. Les manuscrits en étaient communiqués aux prédicateurs, à qui saint Vincent recommandait toujours de les développer en style très simple. « J'ai demandé autrefois, disait saint Vincent le 5 août 1659, et même à des docteurs de Sorbonne, si une personne qui posséderait bien ces dits entretiens pourrait confesser au village et ailleurs ; on me répondit qu'elle serait même capable de confesser à Paris… » C'était un séminaire de dix jours que les clercs faisaient à St-Lazare pendant ces exercices des ordinands. Avant saint Vincent de Paul, ils se présentaient aux ordres généralement sans préparation, et les évêques les ordonnaient, s'ils avaient l'âge requis, ainsi qu'un titre patrimonial, et s'ils savaient le latin. Le clergé en France était tombé dans le plus triste état. En 1628 commencent les Exercices des ordinands, qui peu à peu s'établissent dans les diocèses et même à Rome. Les évêques, après les avoir imposés comme préparation à la réception des ordres sacrés, les rendent obligatoires pour les ordres mineurs. Puis leur durée est prolongée de dix jours à six mois pour les clercs qui aspirent aux ordres majeurs ; ensuite de six mois à un an ; au commencement du XVIIIe siècle les clercs passent deux ans dans les grands séminaires qui sont aussi appelés séminaires des ordinands, c'est-à-dire « pour préparer les ecclésiastiques à l'ordination ».).

    Les portes de Saint-Lazare étaient ouvertes, non seulement aux ecclésiastiques, mais aux hommes du monde de toutes les conditions, désireux, par une bonne retraite, de se convertir sincèrement, d'avancer dans le chemin de la perfection, ou de faire choix d'un état de vie selon la volonté de Dieu. Suivant l'expression de l'abbé Maynard (Saint Vincent de Paul, sa vie, son temps, ses œuvres, son influence, Betaux-Bray, Paris, 1886, t. 2, p. 149.), historien de saint Vincent de Paul, « Saint-Lazare devint la grande hôtellerie de Paris et de la France pour la nourriture des âmes.... la Mission y devint permanente. »

    À l'époque où M. Rogue entra à Saint-Lazare, ces œuvres subsistaient toujours, pour le plus grand bien des âmes, ainsi que nous l'apprennent des témoignages contemporains. « A chaque ordination, lit-on dans le Dictionnaire historique de Paris (par Hurtaut et Magny, Paris, 1779, t. 3, art. St-Lazare, p. 396), ceux qui sont admis à recevoir les ordres peuvent y venir faire une retraite de huit jours, et ces retraites commencent toujours le samedi au soir. Les laïques y sont aussi reçus gratis, pour faire des retraites de huit jours. Ces exercices commencent les mardis au soir, pourvu qu'ils ne se rencontrent point dans les semaines de grandes retraites, » fondées de 1706 à 1709, pour « quatre cents curés ou prêtres desservans du diocèse de Paris ; » ces retraites pastorales, au nombre de quatre, « se font après Pâques, dans les semaines où il ne se rencontre point de fêtes, et commencent le dimanche au soir. » (Dans la circulaire du 1er janvier 1769, le Supérieur général annonçait à la Compagnie qu'à Saint-Lazare « les fonctions se font avec bénédiction. Outre les retraites journalières, celle des Ordinands ont lieu à chaque Quatre-Temps, et sont suivies de celles des clercs tonsurés. Celle de Messieurs les curés s'est faite au mois de juillet dernier ; elle a été nombreuse et fervente. »)

    De plus, outre les deux pauvres, qui partageaient au réfectoire le repas de la communauté à côté du Supérieur général, chaque jour des familles indigentes recevaient, à la porte de Saint-Lazare, des portions de potage, de pain et de viande ;tous les jours également la soupe était donnée à plus de trois cents indigents ; parfois leur nombre s'élevait à six ou huit cents, et dans les temps de calamités jusqu'à deux mille. Aussi Mgr de Quélen, archevêque de Paris, dans son mandement du 10 mars 1830 pour la translation solennelle du corps de saint Vincent de Paul, dit-il que la vaste maison de Saint-Lazare pouvait être appelée à juste litre « la maison des prêtres et des pauvres, parce que les uns venoient perpétuellement s'y renouveler dans l'esprit de leur vocation, et que les autres n'en réclamoient jamais en vain du secours dans leurs nombreuses nécessités. »

    En 1786, celui qui depuis vingt-quatre ans tenait la place de saint Vincent de Paul à Saint-Lazare, était un vénérable vieillard de quatre-vingts ans, M. Antoine Jacquier. Observateur scrupuleux de tous les usages, règle vivante, il était d'une bonté et d'une tendresse toute paternelle, et son autorité était d'autant plus absolue qu'il la faisait moins sentir. Une force peu commune était nécessaire au doux pilote, chargé de diriger la barque de saint Vincent au milieu de la tempête, que commençait à soulever l'impiété révolutionnaire, « temps malheureux, écrivait M. Jacquier (Circulaire du 1er janvier 1770), où le christianisme semble avoir disparu avec ceux qui nous ont précédés, où le monde ne respecte plus ni préceptes ni évangile, où chacun s'érige en arbitre des mystères et des lois, de la morale et du dogme, où la foi presque entièrement éteinte, la charité presque universellement refroidie, l'esprit de pénitence presque généralement ou méprisé ou inconnu, n'offrent plus à nos yeux que des chrétiens sans mœurs, sans âme, sans vie, où enfin les scandales qui se multiplient, la dépravation des mœurs qui augmente, l'incrédulité et le libertinage qui triomphent, nous annoncent d'une manière qui n'est que trop sensible, ce mystère d'iniquité redouté par nos pères et prédit par saint Paul… » Afin de combattre l'esprit de liberté et d'indépendance, qui tendait à s'infiltrer jusque dans les communautés par « les brochures éphémères » et « les livres contagieux pour les mœurs et la religion », le sage supérieur recommandait aux missionnaires, avec une insistance particulière, de se remplir de l'esprit de saint Vincent de Paul. « Dieu l'ayant appelé pour en faire un apôtre, disait-il (Circulaire du 1er janvier 1772), il a voulu qu'il excellât dans la pratique des vertus qui ont spécialement caractérisé les apôtres, il a voulu qu'il eût la simplicité, l'humilité, la douceur, la mortification et le zèle. On peut dire en effet que ce sont là les cinq vertus qui composent son esprit particulier, qui ont été comme l'âme de son âme, la règle de ses sentiments, de ses paroles, de ses conversations et de ses actions, le mobile de son esprit et de son cœur, le ressort ordinaire de sa conduite et de toutes ses bonnes œuvres. Aussi sont-ce là les vertus..., qu'il nous a recommandées avec plus d'instance et qu'il nous propose comme devant être l'âme de notre Congrégation et comme les cinq facultés de notre esprit. »

    Tels étaient les enseignements que le vénérable Supérieur général aimait à donner à la communauté de Saint-Lazare. Plus d'une fois sans doute, particulièrement aux conférences du vendredi soir, M. Rogue dut les recueillir avec un respect filial de la bouche du successeur de saint Vincent de Paul.

    Daniel de Francheville modifier

    L'évêque de Périgueux : cf. note 2 : gallica


    Aussi, généalogie claire : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58176362/f110.item.r=gu%C3%A9briant%20gu%C3%A9briant


    Compléments à : Michel le Nobletz modifier

    « Quimper. À l’évêché, les cartes peintes sortent de l’ombre », Ouest-France, Mathilde Elie, 20/02/2017 http://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-l-eveche-les-cartes-peintes-sortent-de-l-ombre-4812697


    Michel Le Nobletz - Déclarations manuscrites : http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/collections/show/91


    Archives départementales du Finistère, série J, cote 1 J 420 : Notice sur le bienheureux Michel Le Nobletz. XVIIe siècle. http://mnesys-portail.archives-finistere.fr/?id=recherche_guidee_plan_detail&open=24143&doc=accounts%2Fmnesys_cg29%2Fdatas%2Fir%2Fserie_j%2FFRAD029_00000001J%2Exml&page_ref=24143


    Collection jésuite des Fontaines à la Bibliothèque municipale de Lyon : Le Nobletz (Michel), prêtre, 1577-1652 : classé au n°158.


    Colloque sur Michel le Nobletz juin 2017. Cf. Youtube.

    abbaye de Saint-Georges modifier

    2 mai 1792, deux commissaires, furent à l'abbaye de Saint-Georges à 9 heure du matin pour exécuter l'arrêté du Directoire du département de Rennes du 24 avril (faire l'inventaire des biens).

    14 mai : récolement et enlèvement de l'argenterie et autres effets des sacristies et chapelles.

    16 mai : expulsion des sœurs, portes forcées par le serrurier. Sommées d'accepter de quitter leur abbaye, les sœurs font savoir qu'elles se réfugieront chez les Dames Budes (l'Hôtal-Général rue Saint-Michel), où elles sont emmenées sur le champ.

    Cartulaire de l'abbaye de Saint-Georges de Rennes - Page 447 https://books.google.fr/books?id=zMdmedr9XBQC&pg=PA447

    Autres congrégations modifier

    (Élie le prophète, les Frères Carmes)

    (Thérèse d'Avila, les Carmélites et le Carmel apostolique)

    (Louis et Zélie Martin)

    (Benoît, Bernard et les Cisterciens, les moines, les moniales)

    (saint Jean de Dieu et ses Frères hospitaliers)

    (Jeanne de Chantal et les Visitandines)

    (François d'Assise et les capucins, conventuels, franciscains)

    Marie de la Passion et les Franciscaines Missionnaires de Marie

    Marie-Thérèse de la Croix et les Sœurs de Chantenay

    les Franciscaines de la Présentation de Marie et les Sœurs de Saint-François

    (Ignace de Loyola et les Jésuites)

    le père de de Clorivière, Adélaïde de Cicé et les Filles du Cœur de Marie

    René Marie de La Chevasnerie et les Servantes de l'Agneau

    Catherine de Francheville et les Sœurs de la Retraite

    Marie-Madeleine Victoire de Bengy et Fidèles Compagnes de Jésus

    Pères Monfortains Mgr de Marion Brésillac et les Pères des Missions africaines

    (Jean-Baptiste de la Salle et les Frères des Écoles chrétiennes)

    Jean-Marie de la Mennais et les Frères de Ploërmel

    Gabriel Deshayes et les Frères de Saint-Gabriel

    Louis-Marie Baudouin et les Ursulines de Chavagne (sainte Ursule, Angèle Mérici et les Ursulines)

    Marie-Louise Trichet et les Sœurs de la Sagesse

    Michelle Guillaume et les Sœurs de Saint-Gildas

    Louis Chauvet et les Sœurs de Saint-Paul de Chartres

    Mère Saint-Victoire et Sœurs augustines

    Jeanne Delanoue et les Sœurs Servantes des pauvres

    Marie Moreau et les Sœurs de la Pommeray

    Maurice Catroux, Rose Giet et les Sœurs de la Salle de Vihiers

    Jean Eudes et les Sœurs de Notre-Dame de charité

    Jean-Marie Laurent, Virginie Liénard et Sœurs de la Sainte-Famille de Grillaud

    Charles Foyer et Sœurs de Sainte-Marie de Torfou

    Source : www.test.franciscains-nantes.org



    Delegal modifier

    Marquis "de Legal" né à Rennes le 27 Octobre 1651 (décédé le 8 janvier 1724), un héros breton particulièrement connu pour ses victoires contre les Forces Impériales à Munderkingen (1703) durant la guère de Succession espagnole.

    legall-bzh.blogspot.fr


    René-François Le Gal :

    [PDF] [6]


    Delegal’s Fort :

    https://en.wikipedia.org/wiki/Fort_King_George

    https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Delegal's_Fort_historical_marker.JPG

    Pierre-Joseph de Clorivière modifier

    Pierre-Joseph de Clorivière (mort en 1820), jésuite, fonda avec Adélaïde de Cicé la Société des filles du Cœur-de-Marie. Il fut chargé en 1814 de regrouper les jésuites français, dont l'ordre venait d’être restauré par le pape Pie VII. (Source : Magnificat, juin 2014, N°259, p.138.)


    Une chronologie : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA9&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U3E-T2axt0-yhj9Kn90rkHB_cgUdQ&w=685


    http://www.famillecorunum.com/histoire.html


    Notes déb. p.14 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA14&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U3rvKVEDILDk4L8XAbxhfyeL0YkIA&w=685


    Notes dans p.16 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA16&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U0whNzXn8Wd2AmO9GXY7GSb7mA_cw&w=685


    Note 11, P.18 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA18&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U2Dq8AEV6oAncenAwgS4cB7IHIJuw&w=685


    Note 6, p.21 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA21&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U2m8KDrr82gA6fzkDJcG95LC9HzXQ&w=685


    Note 16, p.22 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA22&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U3FtZDms7g-ELRofYDFNRohDvopsg&w=685


    Note p.25 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA25&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U0eDHdq4oAwOTL23Xdfix5BEhPM1Q&w=685


    Notes 2 et 3 p.27 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA27&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U3rjpEbyFYv-Tmbcj9lGVZLoc_4-g&w=685


    Pierre de C. : Note 2 : http://books.google.fr/books?id=T2LzeviwDDkC&hl=fr&hl=fr&pg=PA30&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U3BSO6d3Svt4H-rjrT_9SD_A_QdCw&w=685

    Mots de vocabulaire modifier

    • Centre d'Etudes Lexicologiques et Lexicographiques à l'Université Lumière Lyon II = étudie entre autres la dénomination des savoirs.
    • orchésographie = la notation chorégraphique. Cf. Marie-Joëlle Louison-Lassablière, Le Français Préclassique, n° 10, Paris, Champion, mars 2007, p. 89-101.
    • la métaphore macaronique
    • Sociogramme
    • Arbre : pterocaryer
    • Archéologie : restitution axonométrique
    • Ampélographie
    • Architecture : aigle bicéphale
    • Un obit (du latin obitus, c'est-à-dire mort) est un service religieux célébré en mémoire d'un défunt et pour le salut de son âme, à une date fixe de l'année (généralement le jour anniversaire du décès).
      Un obituaire : Registre tenu dans une église et indiquant à la date de chaque jour les noms des personnes pour lesquelles doivent être célébrés des obits.
                  Registre contenant une liste de morts, ou une liste de messes anniversaires pour les défunts.
    
    • en quinconce= en 5.
    1. They see people as “treasure.”
    2. Jacques Vénard, c.i.m., Religieux et moines de notre temps, Collectif, Cerf, 1980, p.193-208. (ISBN 2-204-01513-X)
    3. Foi chrétienne et vie consacrée : aujourd'hui, Tome 1, Le Fondateur, Louis Fèvre et André Raye, Ed. Beauchesne, 1971, p.28-29. en ligne sur Google Books
    4. Foi chrétienne et vie consacrée : aujourd'hui, Tome 1, Le Fondateur, Louis Fèvre et André Raye, Ed. Beauchesne, 1971, p.28-29. en ligne sur Google Books
    5. http://data.bnf.fr/12444647/religieuses_de_la_retraite_du_sacre-coeur__societe_de_marie/
    6. Louis Martin-Chauffier, « La fondation de la première maison de retraite. Vannes (1660) », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, 1922, p. 313-332.
    7. manuscrit, vraisemblablement du 17e siècle, venant des Filles de la Vierge (Dames Budes, rue S. Hélier, Rennes) et intitulé : Livre à l'usage des Retraites chez les Dames Budes. M. Leuduger. http://www.liberius.net/articles/Silence,_solitude,_retraite_pour_saint_Jean_Eudes_(Anthologie).pdf
    8. http://www.hommenouveau.fr/640/eglise-de-france/un-nouveau-superieur-pour-les-serviteurs-de-jesus-et-de-marie.htm